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  1. Nom: District Griffin Hauteur: 18 étages (tour bureaux/hôtel) et 20 étages (tour résidentielle) Coût du projet: Promoteur: DEVIMCO et Groupe Cholette Architecte: Emplacement: Young/Wellington/Peel/Smith* Début de construction: Printemps 2011 Fin de construction: Été 2013 Site internet: http://www.districtgriffin.com Lien webcam: Autres informations: *La portion bureaux est loué à 97.7% (septembre 2013) *La tour résidentielle aura front sur Smith *La tour bureaux/hôtel aura front sur Wellington *188 condos, *Hôtel Alt 154 chambres *100 000 pied carré d’éspace de bureau *50 000 pied carré d’espace commerciale *6 Restaurants *1 garderie Ancienne version :
  2. 40 M$ pour l’Airbnb quebecoise des espaces de travail | TVA Nouvelles La Montréalaise Breather, devenue le plus important réseau d’espaces de travail et salles de réunion sur demande en quatre ans, a obtenu un financement de 40 millions $ US. Il s’agit du plus gros investissement en capital de risque à Montréal. Et avec 73 millions$ US reçus depuis les premières phases de financement, cela en fait la startup la mieux financée du secteur grandissant des espaces de travail sur demande. Cette phase de financement a été menée par Menlo Ventures, la société de capital de risque derrière Uber, Tumblr, Warby Parker et Siri. «Pour nous, c’est juste le début », dit le président et cofondateur de Breather, Julien Smith, âgé de 37 ans. «C’est un marché super, super gros. On peut être présent dans chaque ville au monde.» Ce que les investisseurs voient en Breather, c’est le Uber ou le Airbnb de son industrie, soit celui qui a le plus de chance de s’imposer comme numéro un, après quoi la compétition rame pour le rejoindre. «Il y a une compagnie qui gagne dans chaque industrie, et les investisseurs croient que ce sera Breather pour l’immobilier commercial, dit Julien Smith. Comme on dit, «winner take all», le gagnant ramasse tout...» Plein de gens essaient de bâtir un réseau comme celui de Breather. «La majorité n’a pas réussi. On n’est pas les premiers, mais on les premiers pour lesquels ça fonctionne.» Ce qu’elle fait que les autres ne font pas Breather a débuté en 2012 par quelques espaces à Montréal. Elle en opère aujourd’hui plus de 300 dans 10 marchés, incluant New York, San Francisco, Londres, Chicago, Washington, Los Angeles et Toronto. Elle n’est évidemment pas la seule dans le marché florissant des espaces de travail locatifs ou collaboratifs. Mais son modèle s’apparente davantage à Airbnb qu’au géant WeWork, par exemple. Il n’y a aucuns frais d’abonnement ou de contrat à court ou long terme, ni d’espaces communs ou collaboratifs. Breather offre une multitude de lieux, éparpillés dans les quartiers les plus denses des grandes villes. «Plutôt que d’avoir un espace super grand, dans un endroit central, dit Julien Smith, notre stratégie est d’offrir une multitude de petits espaces. Et ils ne sont pas collectifs, mais exclusifs.» L’application est similaire à celle d’Airbnb: l’abonné indique la ville, le type de lieux recherchés (pour une réunion, du travail solo, ou faire des téléphones), la date, le temps recherché (une heure, une journée, une semaine) et les options s’affichent. Les prix varient en fonction du nombre de pieds carrés, de 25$ à 150$ de l’heure. Breather verse un pourcentage des revenus générés par chaque espace au gestionnaire immobilier à qui il loue. Les immeubles sont évidemment tous différents, mais les espaces sont tous aménagés par l’équipe de cinq designers de Breather, dirigée par Caterina Rizzi, cofondatrice de l’entreprise, qui est derrière la signature visuelle des boutiques Garage. «Notre objectif est que le client soit assuré d’avoir un espace dans lequel il a confiance», dit Julien Smith. Pour Venky Ganesan, le directeur général de Menlo Ventures, «Breather a su capter un réel besoin du monde du travail. Il n’existe aucune autre compagnie de ce type à offrir des espaces locatifs privés sur demande. Breather a eu l’idée formidable de rassembler des espaces à travers le monde et de les rendre accessibles à tous.» En folle croissance La clientèle de Breather se compose d’une grande variété d’utilisateurs, allant des travailleurs autonomes aux startups, jusqu’aux grandes corporations multinationales. Parmi les clients : Apple, Google, Uber, GE, American Express, L’Oréal et IBM, qui utilisent les espaces pour des rencontres ou des réunions d’équipe. «Durant la dernière année, nous avons accueilli des centaines de nouvelles entreprises par mois», dit Julien Smith. La plus récente phase de financement viendra nourrir la croissance. Toutes les grandes villes du monde entier sont dans la ligne de mire de Breather. Un immense marché. Breather emploi 80 personnes dans ses bureaux de la rue Gaspé, dans le quartier Mile-End, à Montréal, et 70 dans les villes où l’entreprise est implantée.
  3. Agrandissement du stade Molson: «Ça niaise et ça niaise...» Miguel Bujold La Presse Larry Smith ne sait plus quoi penser. Le président des Alouettes estime que son organisation a tout fait ce qui a été exigé d'elle pour le projet d'agrandissement du stade Percival-Molson. Mais le dossier, bloqué dans les bureaux de la Ville de Montréal, n'avance pas d'un pouce. «On aimerait avoir une rencontre avec le maire Tremblay le plus tôt possible, mais on ne nous répond pas, a expliqué M. Smith lors d'une entrevue téléphonique. Les gouvernements provincial et fédéral ont accepté de s'impliquer et on n'attend que la Ville de Montréal pour officialiser, mais ça niaise et ça niaise et ça niaise...» Jouant à guichets fermés depuis 1997, les Alouettes veulent ajouter 5000 sièges à leur domicile, ambition qu'ils caressent depuis plusieurs années déjà. Coût de l'aventure: entre 28 et 30 millions. Selon Smith, les gouvernements provincial et fédéral auraient accepté d'investir approximativement 10 millions chacun, alors que les Alouettes s'engagent à trouver 4,6 millions du secteur privé. Ne resterait que les 4,4 millions demandés à la Ville. «Nous avons revu nos demandes à la Ville à la baisse parce que nous comprenons la situation dans laquelle elle se trouve. Nous savons qu'elle est très sollicitée et nous sommes conscients que ce n'est pas le dossier le plus important pour elle. Mais en même temps, on parle d'un projet rassembleur qui profitera à plusieurs personnes. Et ça fait plusieurs années qu'on travaille sur ce dossier. «Depuis 1998, nous avons investi 2,5 millions afin de rénover un stade qui ne nous appartient pas, a rappelé Smith. Ça ne fait aucun doute qu'il y a une demande pour un plus grand nombre de places. Nous avons 17 400 détenteurs de billets de saison à l'heure actuelle et notre liste d'attente en compte déjà 2000 autres.» À défaut d'avoir résolu toutes les questions sur le plan financier, l'organisation aurait réglé celles concernant l'environnement. «Nous avons rencontré plusieurs groupes de pression et, sans dire qu'ils sont maintenant heureux, ils sont contentés. Nous avons modifié le projet afin de les satisfaire, a indiqué le président. On devra abattre 68 arbres si le projet se réalise, mais notre organisation s'engage à planter 300 arbres et 500 arbustes.» La Ville en dit peu De son côté, la Ville de Montréal s'est montrée avare de commentaires. «Nous sommes à l'étape de prendre une décision. On analyse présentement le dossier», s'est limité à dire le relationniste Bernard Larin. Smith, lui, croit que la Ville a eu amplement de temps pour étudier la question. «Ça fait plus de deux ans qu'on attend. Et le coût du projet augmente de deux à trois pour cent à chaque année en raison du prix des matériaux et de la main-d'oeuvre», a poursuivi l'ancienne vedette des Alouettes, qui soutient que l'avenir de la concession montréalaise est directement lié aux 5000 nouveaux sièges. «Notre bail actuel se termine en 2010. Si nous annonçons que le projet va de l'avant d'ici l'automne, nous croyons qu'il pourrait être complété à temps pour la saison 2010 ou 2011. N'importe quelle entreprise est en affaires afin de faire des profits et, présentement, ce n'est pas notre cas. Nous ne voulons pas augmenter le prix des billets de façon significative, alors la survie de l'équipe passe par l'agrandissement du stade. C'est également un must afin qu'on puisse continuer à avoir une équipe compétitive sur le terrain. «C'est le temps de bouger! C'est M. Tremblay qui décidera de l'avenir du football à Montréal.» L'essor du football Il ne fait aucun doute que le football a connu un essor fulgurant au Québec depuis une dizaine d'années. Les équipes de football mineur et universitaire ont jailli de partout et les Alouettes y sont pour beaucoup. L'organisation se fait un devoir d'être impliquée dans différentes écoles à travers la province. D'ailleurs, pour une équipe professionnelle avec des moyens limités - rappelons que les joueurs font en moyenne moins de 100 000$ par année - son implication dans la communauté est à peu près irréprochable. Puis, il y a le fait que les Alouettes évoluent devant des salles combles depuis maintenant 10 ans. Vous voulez une paire de billets pour un match au mois d'août? Bonne chance. Malgré tout ça, la Ville, elle, marche sur des oeufs. Compte tenu de toutes les demandes qui lui parviennent, c'est évident qu'il s'en trouvera pour critiquer sa décision si elle devait accepter de venir en aide à une équipe de sport professionnel, même si celle-ci ne ressemble pas vraiment aux équipes professionnelles typiques... Montréal est-elle encore une ville de sport? À ce compte, la décision du maire Tremblay nous en dira plus long.
  4. Construction slowdown looms VIRGINIA GALT Globe and Mail Update August 7, 2008 at 6:22 PM EDT The head of construction powerhouse EllisDon said Thursday he is “very wary and very concerned” about where the Canadian economy is going. “I am worried right across the country that things are tightening up and that a year from now we are going to see a drop-off,” Geoff Smith, the company's president and chief executive officer said in an interview after Statistics Canada reported that the total value of building permits fell 5.3 per cent in June to $6.3-billion. Economists had projected a decline in the value of building permits issued in June, but not of the magnitude that Statistics Canada reported. The consensus had been for a 1 per cent drop Mr. Smith expressed concern for the construction industry as a whole Thursday, although EllisDon has not yet experienced a drop in demand for the heavy construction in which it specializes. “Over the short term, we [at EllisDon] are still seeing a reasonably healthy market. A lot of that is in public sector work and infrastructure rebuilding work,” he said. “But I certainly understand that once you get outside of that space, the big hospital and infrastructure spending, that things are quite tight in the industry,” Mr. Smith said. Statscan reported Thursday that the slowdown in the residential sector resulted in a month-to-month decline of 4.4 per cent to $3.6-billion in June. And in the non-residential sector, the value of permits decreased by 6.6 per cent to $2.8-billion, due to declines in industrial and commercial building intentions, Statscan reported. Mr. Smith said major commercial and industrial customers are being “more careful” about committing to new projects. However, the outlook is not nearly as bleak as in the 1990s, “where things just dried up very dramatically,” he said. The market is cooling, but new projects are still being planned, added Sandy McNair, president of Toronto-based Altus InSite, which conducts market research for governments, lenders, building managers and the heavy construction industry. “No-one's gone crazy and thinking they are going to start 30 new buildings tomorrow. But on the other hand, there is no sense that the sky is falling and our world is about to end either,” Mr. McNair said. Toronto-Dominion Bank economist Millan Mulraine said in a research note that the decline in the value of building permits was broad-based – and “on a city-by-city comparison, the report was fairly ugly.” The value of permits issued in Montreal was down 12.1 per cent, in Calgary down 15.2 per cent, in Vancouver down 13.4 per cent and in Saskatoon down 16.7 per cent, Mr. Mulraine wrote, adding that the overall value of building permits is now 9.1 per cent lower than in the corresponding period last year. Merrill Lynch economist David Wolf said in an economic report Thursday that Canada's housing market is entering a “sustained downturn” and he expects Canadian home builders to pull back “substantially” in response. Bank of Montreal economists had expected June building permits to decline 3.1 per cent, “as the housing market continues to cool and non-residential intentions retrace part of the prior month's massive gain,” the bank said in a research note. The steepest decline occurred in Ontario, where the value of building permits was down 7.9 per cent to $2.3-billion, due mainly to a 15.8 per cent decline in plans for non-residential buildings, Statscan said. The decline in Ontario's residential sector was 1.7 per cent. Alberta posted a 7.5 per cent decline, due to a 19.6 per cent drop in the residential sector. British Columbia and New Brunswick also experienced declines in both the residential and non-residential sectors, Statscan said. “In contrast, intentions rose 3.5 per cent in Quebec, with gains in both the residential and non-residential sectors.” Overall, there was a slight increase in the value of permits issued for single-family residences – up 1.8 per cent to $2.3-billion. But there was a sharp drop in the value of permits issued for multiple-family dwellings. “Municipalities issued $1.3-billion worth of permits for multi-family housing in June, down 13.8 per cent, a second consecutive monthly decrease. Most of these declines occurred in Ontario and Alberta,” Statscan said. “It is now becoming clear that the Canadian housing market is continuing to cool, as the level of activity moderates to more sustainable levels,” the TD Bank said in its research note. “And we expected this correction to continue at a measured and orderly pace.” Mr. McNair said the month-to-month data on non-residential building activity tends to be “lumpy” because these tend to be larger projects “and the decisions don't get made evenly spread out across the 12 months of the year.” There is “a reasonable level of activity going on across the country” right now, he said. “Edmonton has never had more construction activity in 20 years in terms of office building activity. Calgary is extremely active as well. Toronto has a healthy level of construction activity going on right now. Ottawa, even Montreal, have a healthy level of activity under way,” Mr. McNair said. “They have got their permits and they are building them out.” Mr. McNair said the residential sector appears to be stable as well, although construction activity is moderating from the rapid pace of the past few years. “It [residential] is moderating, but it's not going over a cliff the way it has in the United States,” he said. Comme si c`était surprenant que Montreal aille bien..... Globe and mail cr**
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