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  1. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/473493/les-premieres-nations-du-quebec-disent-non-a-energie-est Énergie Est Un «non» autochtone lourd d’impacts 16 juin 2016 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement Le chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard<br /> Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Le chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard L’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador s’oppose catégoriquement à la construction du pipeline Énergie Est. Ce refus constitue d’ailleurs un coup dur pour TransCanada, puisque les autochtones ont promis de défendre leur position devant les tribunaux si le gouvernement Trudeau décide malgré tout d’autoriser le projet d’exportation de pétrole des sables bitumineux. « Il s’agit d’une position très claire d’opposition formelle et officielle au projet d’oléoduc », a résumé mercredi le chef de l’Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL), Ghislain Picard, lors d’une conférence de presse tenue à Québec pour annoncer l’adoption de la résolution d’opposition au controversé pipeline. « C’est non à Énergie Est, point final », a poursuivi le grand chef de Kanesatake, Serge Simon, invoquant des « raisons sociales, économiques, environnementales » pour s’opposer au projet de la pétrolière albertaine. Les représentants des Premières Nations ont ainsi souligné leur refus de contempler, de loin, le « désastre écologique » imputable à l’exploitation des sables bitumineux. « Les peuples autochtones sont toujours les premiers à souffrir des effets des changements climatiques », a déploré Serge Simon. Recours juridique Les 43 communautés de l’Assemblée des Premières Nations estiment d’ailleurs qu’elles détiennent un droit de veto sur ce type de projet d’infrastructure. « Quand il s’agit d’un projet qui passe sur nos terres, garanties par traité, protégées par le droit international, nous avons absolument le droit de dire non », a insisté le chef de la communauté de Kanesatake. Non seulement il n’est plus question de négocier avec TransCanada, mais le gouvernement Trudeau doit aussi prendre acte du refus exprimé par l’APNQL. « Maintenant que nos chefs ont pris position contre le pipeline, nous allons exiger que le Québec et le Canada respectent cette décision afin de satisfaire à leurs obligations constitutionnelles et afin de respecter la déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones », a fait valoir le chef Ghislain Picard. Les autochtones n’écartent pas la possibilité de recourir aux tribunaux si Ottawa autorise malgré tout la construction du pipeline. « Pour le moment, je ne veux même pas penser à des actes de violence. Je veux rester paisible dans la situation, a dit Serge Simon. Je n’aurai pas vraiment besoin de lever un poing. Ce sera plutôt un avocat que je vais lever. [un avocat], c’est plus dangereux qu’une balle. » Le leader autochtone a cité le « précédent » établi plus tôt cette année par la Cour suprême de Colombie-Britannique dans le cadre d’un autre important projet de pipeline, celui de Northern Gateway, de la pétrolière Enbridge. La Cour a statué en janvier que la province avait manqué à ses responsabilités en cédant l’évaluation du projet de pipeline à l’Office national de l’énergie, et que la province avait aussi manqué à son obligation de consulter les Premières Nations. Résultat : cet important projet, lui aussi destiné à l’exportation de brut albertain, est toujours bloqué. « Ça nous donne un tracé qu’on va pouvoir suivre », a fait valoir M. Simon, saluant les gains obtenus par les communautés autochtones de la côte ouest. Droit et climat Pour l’avocat Jean Baril, la prise de position très ferme de l’APNQL risque effectivement de peser lourd dans la balance. « C’est une prise de position très importante, c’est une nouvelle épine dans le pied de ce projet, en raison des droits fondamentaux qui sont reconnus dans la Constitution canadienne. Il y a un poids politique et juridique énorme qui vient s’ajouter dans le débat », a expliqué le professeur au Département de sciences juridiques de l’UQAM. Me Baril a aussi rappelé que la Cour suprême du Canada a déjà reconnu que les Premières Nations ont le droit à des « consultations particulières », notamment dans le cas de revendications territoriales. Cet argument pourrait être mis de l’avant, d’autant plus que le tracé du pipeline doit traverser plusieurs territoires revendiqués par des nations autochtones. Qui plus est, la question des changements climatiques pourrait très bien se poser dans le cas d’Énergie Est. « Les autochtones, notamment ceux qui vivent dans le Nord et qui subissent déjà les impacts des changements climatiques, ont une poignée juridique importante, selon Jean Baril. Dans leur cas, les bouleversements du climat ont déjà des impacts sur leur mode de vie traditionnel, et ces impacts peuvent être démontrés. » Il faut dire que le pipeline de TransCanada est conçu pour faciliter l’expansion de l’industrie des énergies fossiles. Il doit transporter chaque année plus de 400 millions de barils pétrole des sables bitumineux et de pétrole de schiste en provenance du Dakota du Nord. L’exploitation de ce pétrole pourrait générer plus de 30 millions de tonnes de gaz à effet de serre annuellement, soit l’équivalent de sept millions de véhicules. Dans ce contexte, Me Baril estime au final que le gouvernement canadien « ouvrirait la porte » à des poursuites judiciaires s’il décidait d’autoriser la construction du plus imposant pipeline en Amérique du Nord, pipeline qui doit traverser le territoire du Québec sur une distance de 650 kilomètres. Un défi, reconnaît TransCanada Réagissant à la sortie publique de l’APNQL, TransCanada s’est voulue rassurante. « Nous comprenons le défi qui se présente à nous et sommes déterminés à échanger de façon ouverte, transparente et respectueuse avec les Premières Nations », a fait valoir leur porte-parole, Jonathan Abecassis, dans une réponse transmise par courriel. « Énergie Est continuera de fournir de l’information complète et à jour sur le projet, afin de permettre aux Premières Nations d’évaluer ses effets potentiels et d’identifier leurs préoccupations de manière à déterminer des façons d’atténuer, de résoudre ou de compenser ces effets », a-t-il ajouté. Si elle obtient le feu vert du gouvernement canadien, la pétrolière espère commencer la construction de son pipeline d’ici environ deux ans, afin qu’il soit en exploitation en 2020 ou 2021, et ce, pour au moins 40 ans.
  2. Ce projet va renaitre de ses cendres (en partie), via un autre promoteur Simon Property Group, Calloway REIT, and SmartCentres Announce Second Premium Outlet Center® in Canada to Serve Montreal Area INDIANAPOLIS, May 21, 2012 /PRNewswire/ -- Simon Property Group, Inc. (NYSE: SPG), the world's leading retail real estate company, Calloway Real Estate Investment Trust ("Calloway") (TSX: CWT-UN) and SmartCentres announced plans to develop their second Premium Outlet Center® in Canada. The center will be located in the Town of Mirabel, Quebec, approximately 20 miles north of Montreal. The project, called Montreal Premium Outlets®, is a joint venture between Simon, Calloway and SmartCentres. Simon will own 50% of the project. The Mirabel site is located on Highway 15 at Notre Dame Street. Phase 1 will be comprised of 350,000 square feet of gross leasable area and 80 stores. Construction is expected to begin in 2013. The first Simon and Calloway project, Toronto Premium Outlets, located in the Town of Halton Hills, is currently under construction and on schedule for a summer 2013 opening. "Due to the strong response to our first announced project in the Toronto area, we are excited to now bring the Premium Outlets branded concept of upscale outlet shopping to the Montreal area," remarked John R. Klein, President of Simon's Premium Outlets platform. "We are pleased to quickly expand our presence in Canada and our partnership with Calloway and SmartCentres to develop another first-class project." "Opening a new Premium Outlet Center in the Montreal area will help fulfill the merchant demand for growth in Canada while providing economic benefits in and around Mirabel," said Al Mawani, CEO of Calloway. "With more than four million residents in the area, we look forward to bringing a high-quality outlet shopping experience to the region." "We're pleased to be partnering with Simon Property Group, the world leader in the shopping and outlet center business. We are excited about bringing many new international designer brands to the Canadian consumer at affordable prices," said Mitchell Goldhar, CEO of SmartCentres. "I am delighted with this decision to develop a portion of the Lac Mirabel lands and welcome Premium Outlets to our city," said Hubert Meilleur, Mayor of the City of Mirabel. "They can count on the City's full cooperation in seeing this new project through to its successful completion. Being the first in Quebec to have a Premium Outlets concept is something for us to be very proud of." Simon Property Group's outlet portfolio comprises 70 Premium Outlet Centers® including 57 in the United States, one in Puerto Rico, eight in Japan, two in Korea and one in Malaysia and Mexico. Premium Outlet Centers in the United States are located primarily in or near major metropolitan markets such as New York, Los Angeles, Boston and Chicago and visitor markets such as Orlando, Las Vegas and Palm Springs. Premium Outlets properties are distinguished by their unparalleled mix of leading designers and name brands selling direct to consumers at significant savings with each being an architecturally distinct village setting with charm and ambiance. About Simon Property Group Simon Property Group, Inc. (NYSE: SPG) is an S&P 100 company and the largest real estate company in the world. The Company currently owns or has an interest in 337 retail real estate properties in North America and Asia comprising 244 million square feet. We are headquartered in Indianapolis, Indiana and employ approximately 5,500 people in the U.S. For more information, visit the Simon Property Group website at http://www.simon.com. About Calloway Calloway is one of Canada's largest real estate investment trusts with an enterprise value of approximately $6 billion. It owns and manages approximately 26 million square feet in 118 value-oriented retail centres having the strongest national and regional retailers, as well as strong neighbourhood merchants. Calloway's vision is to provide a value-oriented shopping experience to Canadian consumers. For more information on Calloway, visit http://www.callowayreit.com. About SmartCentres A privately held Canadian company, SmartCentres has developed more than 200 shopping centres in communities big and small, and operates in every province. SmartCentres is committed to bringing value to Canadian communities through the efficiencies of unenclosed shopping centre formats each adapted to the market in which it is located. For more information on SmartCentres, visit http://www.smartcentres.com. http://phx.corporate-ir.net/phoenix.zhtml?c=113968&p=irol-newsArticle&ID=1698130&highlight= SOURCE Simon Property Group, Inc.
  3. Les entreprises Simon Property Group, Calloway (T.CWT.UN) et SmartCentres ont annoncé mardi la construction l'an prochain d'un complexe «Premium Outlet Center» à Mirabel, au nord de Montréal. Le centre commercial sera érigé sur le chemin Notre-Dame, près de l'autoroute des Laurentides, ont indiqué les firmes dans un communiqué. Les détails financiers n'ont pas été rendus publics. La première phase du projet comprendra 350 000 pieds carrés de superficie locative et 80 magasins. Sa construction devrait débuter en 2013. Le premier «Premium Outlet Center» au Canada doit ouvrir à l'été 2013 à Halton Hills, en Ontario. Le concept est d'offrir de la marchandise haut de gamme à prix réduit. Le maire de Mirabel, Hubert Meilleur, a indiqué que le projet permettrait de développer une partie des terrains du Lac Mirabel. Il a offert «la pleine collaboration» de la ville aux promoteurs. Simon Property Group, qui se présente comme la plus importante société immobilière au monde, exploite 70 Premium Outlet Centers, dont 57 aux États-Unis, un à Porto Rico, huit au Japon, deux en Corée, un en Malaisie et un au Mexique. Calloway est l'un des plus importants fonds de placement immobilier au Canada alors que SmartCentres est une entreprise canadienne privée qui a construit plus de 200 centres commerciaux. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201205/22/01-4527515-un-nouveau-centre-commercial-sera-construit-a-mirabel.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9
  4. Repenser et redéfinir le logement social en centre-ville, concours étudiant / Rethinking and Redefining Social Housing in the City Centre, student competition Projects Mention d'honneur (Sébastien-Paul Desparois / Céline Mertenat / Simon Goulet / Benoit Muyldermans) site: Montréal
  5. 04/11/2007 La plus grande murale jamais réalisée à Montréal a été dévoilée, dimanche, en matinée. La population peut admirer cette oeuvre d'art contemporaine sur l'imposant mur de la Mission Old Brewery, située dans la petite ruelle au nord-ouest des rues Saint-Laurent et Saint-Antoine. Cette murale vise à embellir le secteur et dissuader les graffiteurs. Deux jeunes artistes, Jasmin Guérard-Alie et Simon Bachand, ont réalisé la murale, inspirée par le 40e anniversaire d'Expo 67. Sa réalisation a nécessité environ 3000 heures d'ouvrage. La murale permettra de faire connaître aux jeunes et aux touristes une tranche de l'histoire de la ville
  6. Écarts importants entre universitésMise à jour le vendredi 17 août 2007, 11 h 46 . Campus de l'Université Laval (archives) Avec la rentrée universitaire qui est à nos portes, les étudiants doivent s'acquitter de frais d'inscription. Dans les universités québécoises, les écarts entre ces frais sont parfois importants. L'Université du Québec a les frais d'inscription les plus bas du Québec avec 1012 $. L'Université Laval et l'Université de Sherbrooke viennent au second rang avec notamment 1098 $ pour l'Université Laval. Il en coûte 65 $ de plus pour une inscription à l'Université de Montréal. La palme revient à l'Université McGill avec 1775 $ dont près de 1000 $ uniquement pour les frais afférents, selon un porte-parole de l'association étudiante, Max Silverman. Ces frais d'inscriptions dans les universités québécoises contrastent avec les universités ontariennes. Selon Simon Chapleau de l'Université d'Ottawa, la Faculté de médecine est un bon exemple avec des coûts d'inscription à un semestre d'environ 7500 $. À l'Université Laval, quelle que soit la faculté, les frais d'inscription demeurent les mêmes. L'Université Laval attend cette année 38 000 étudiants, soit le même nombre que l'an dernier.
  7. Le Journal de Montréal 16/04/2007 En 2005, la Ville de Montréal a adopté sa politique de développement Montréal, métropole culturelle. Dix-huit mois plus tard, c'est un bilan des réalisations «bien modeste» que dépose l'administration municipale. «Mise en place d'un chantier de réflexion», «politique en cours d'élaboration», «adoption d'une stratégie» et «lancement du processus», voilà autant d'expressions qui parsèment le bilan de la mise en oeuvre de la politique culturelle de Montréal. «Quand tu regardes les résultats concrets, c'est vraiment modeste. Une série d'engagements éparpillés et à la pièce n'égale pas un plan d'action», affirme le président de Culture Montréal, Simon Brault. Celui-ci salue tout de même l'initiative de la Ville de Montréal de déposer un rapport témoignant de ses actions. «Ça rappelle les engagements des élus et c'est une boussole pour s'orienter au quotidien», dit-il. Le dépôt de ce bilan constitue d'ailleurs un des engagements de la politique culturelle de Montréal. Culture Montréal aurait toutefois aimé y voir apparaître plus de réalisations. En un an et demi, la situation à la Ville en est visiblement une de démarrage. «On est beaucoup en train de planifier et on n'est pas encore en train de faire quelque chose», indique Simon Brault. Manque de moyens et de vision Selon lui, les moyens financiers manquent pour que Montréal, métropole culturelle se réalise pleinement. «Par elle-même, la Ville n'arrive pas à concrétiser les engagements pris pour la politique culturelle», dit-il. Pour atteindre ses objectifs, Montréal aura donc besoin de l'appui des gouvernements fédéral et provincial, une collaboration étroite qui n'est «pas encore acquise», selon le président de Culture Montréal. L'action des trois paliers de gouvernement pour la culture doit également suivre une vision commune, c'est pourquoi il propose de revoir la gouvernance culturelle de la métropole. «Il y a un manque de moyens, mais aussi un manque de travail d'équipe, un manque de gouvernance. Eux-mêmes (la Ville) l'admettent et ils le disent dans leur rapport», remarque Simon Brault. Culture Montréal a soumis l'idée d'une Agence métropolitaine qui regrouperait les acteurs culturels afin que tout le monde marche dans la même direction. Une idée qui a plu au responsable de la culture à la Ville de Montréal, Benoît Labonté. La consultation publique pour le bilan culturel de Montréal se tiendra ce soir à l'hôtel de ville à compter de 19 h. Le bilan complet est disponible dans le site Internet de la Ville. Le bulletin culturel Comme à la petite école, un bulletin d'étape s'impose pour ce premier bilan de la mise en oeuvre de Montréal, métropole culturelle. Nous avons donc demandé au président de Culture Montréal et au responsable de la culture de la Ville de Montréal de donner une note sur 100 aux réalisations des élus. Voici ce qu'ils nous ont répondu. Simon Brault, président de Culture Montréal : Entre 60 et 70 %. Il hésite entre la note de passage et un peu mieux. Mais si la Ville n'avait pas admis que le Rendez-vous Montréal novembre 2007 prend une importance capitale pour activer les réalisations, il aurait été fort découragé de ce bilan. Benoît Labonté, responsable de la culture à la Ville de Montréal : Visiblement au fait de la réforme scolaire, Benoît Labonté préfère noter les compétences transversales... «100 % d'effort et 100 % d'intérêt», répond-il tout en laissant le soin à d'autres d'évaluer les élus sur leurs réalisations. À la défense de la Ville Sans toutefois crier victoire, le responsable de la culture à la Ville de Montréal, Benoît Labonté, défend le bilan «positif» de l'administration Tremblay en matière de culture. «Pour une première année, je pense que c'est extrêmement intéressant et ça envoie le signal qu'on était sérieux», affirme le maire de Ville-Marie et membre du comité exécutif de Montréal, Benoît Labonté. «Il y a énormément de mesures entreprises ou réalisées.» Parmi les meilleurs coups, il note la nomination de Montréal comme ville Unesco de design, «une des trois villes dans le monde avec Berlin et Buenos Aires». Modernisation et part du privé La technologie wi-fi installée dans toutes les bibliothèques et lieux culturels montréalais de même que l'augmentation du nombre d'heures d'ouverture des bibliothèques en font également partie. Et Benoît Labonté est particulièrement fier de la création du réseau des élus pour la culture. «C'est très important, 19 personnes, un élu par arrondissement, qui se réunissent pour discuter de la chose culturelle. Et la particularité, c'est qu'il est non partisan», dit-il. Pour les prochaines années, le responsable de la culture estime que Montréal aura besoin d'aide pour poursuivre le développement de la métropole culturelle. «Un des grands enjeux va être la participation du privé», indique Benoît Labonté. De ce côté, la relance du prix Arts-Affaires jouera un rôle significatif selon lui. «Le privé doit comprendre que mettre de l'argent dans la culture à Montréal, ce n'est pas de faire du mécénat, c'est d'investir dans le développement et l'avenir de sa ville», souligne-t-il. Malgré tout, il demeure conscient que beaucoup reste à faire pour la mise en oeuvre de Montréal, métropole culturelle. Benoît Labonté, tout comme Simon Brault d'ailleurs, fonde beaucoup d'espoir dans le Montréal, métropole culturelle, Rendez-vous novembre 2007. «Si le rendez-vous peut accroître l'intérêt de tous les milieux pour la culture et servir d'effet de levier, ce sera tant mieux», conclut-il. Un Rendez-vous très attendu Les espoirs sont grands envers le Rendez-vous de novembre 2007. L'événement, considéré par beaucoup comme une véritable bouée de sauvetage pour la culture montréalaise, sera-t-il à la hauteur des attentes ? «On aura simplement réponse à cette question en novembre prochain», admet Simon Brault. Le Rendez-vous de novembre 2007 émane justement de l'organisme qu'il préside. L'idée a été lancée aux élus lors des dernières élections municipales et Gérald Tremblay s'est engagé à la mettre en oeuvre. À l'automne, des représentants de la Ville de Montréal, du gouvernement du Québec, du gouvernement fédéral, du milieu des affaires et du milieu culturel se réuniront à la même table pour parler de culture. Déjà, des comités de travail sont à préparer le terrain. Simon Brault se dit conscient que le danger est grand de se fier sur ce sommet pour régler tous les problèmes de Montréal quant à la culture. Lui-même serait «découragé» en regardant le bilan des premiers 18 mois de politique culturelle si ce n'était de l'espoir du Rendez-vous novembre 2007. Pas une thérapie de groupe Du côté de la Ville de Montréal, Benoît Labonté assure qu'il n'«attend pas au Rendez-vous 2007 pour faire des actions». Encore la semaine dernière, la Ville a adopté un budget de 700 000 $ pour compléter l'identification lumineuse des salles situées dans le Quartier des spectacles. «Néanmoins, le fait que le Rendez-vous 2007 se produise et qu'on puisse asseoir tout le monde à la même table, ce n'est pas un geste qui est innocent», rappelle Benoît Labonté. Lui aussi mise sur le sommet pour que les choses passent à la vitesse supérieure. Quant à Simon Brault, il met toute sa confiance dans les décideurs pour que ce sommet marque un virage important pour le Montréal culturel. «Tout le monde s'est engagé pour que ce ne soit pas du parlage et de la thérapie de groupe, mais un sommet où on fait des annonces», conclut-il. Les principales réalisations de Montréal Lancement du processus menant à Montréal, métropole culturelle, rendez-vous novembre 2007. Gratuité de l'abonnement dans toutes les bibliothèques de la Ville et prolongement des heures d'ouverture. Rendre disponible Internet sans fil dans les bibliothèques d'ici l'été 2007. Annonce de la mise sur pied de la Vitrine culturelle, une billetterie de dernière minute qui permettra l'achat de billets de spectacle à rabais et qui doit ouvrir ses portes à l'été 2007. Augmentation de la contribution de la Ville pour les musées. Augmentation récurrente du budget du Conseil des arts de Montréal, qui passe de 9,5 M$ à 10 M$. Relance du prix Arts-Affaires pour stimuler l'implication du privé dans la culture. Adoption d'un budget d'immobilisation de 5,5 M$ pour la réalisation du Quartier des spectacles et mise en branle d'un plan de développement. Désignation de Montréal comme «ville Unesco de design» en mai 2006. Sans oublier la réalisation du rapport sur la mise en oeuvre de la politique culturelle.
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