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  1. J'ai trouvé ces photos sur uer.ca http://www.uer.ca/forum_showthread.asp?fid=1&threadid=56788
  2. brubru

    Pointe-du-Moulin

    Bonjour, Aujourd'hui j'ai fait un peu de photoshop sur le cas du silo no 5, voici le résultat Avant Après Crédit photo: http://lesbeautesdemontreal.wordpress.com Étapes de réalisation du projet: Démolition de tout les silos, sauf celui le plus récent Enlever tout les anciennes composantes qui servaient au silo Nouvelle utilisation : Observatoire Vue du toit: Crédit photo: http://www.havremontreal.qc.ca Je ne sais pas si ça serait mieux qu'il soit au béton ou peinturé d'un couleur... Je vais faire des plans du toit et du terrain. Le bas pourrait devenir la gare des trams !
  3. Afin de souligner l'œuvre remarquable du chanteur montréalais Leonard Cohen, décédé en novembre dernier, ses textes seront projetés sur le silo numéro 5, dans le Vieux-Port de Montréal. L'installation du Musée d'art contemporain, intitulée For Leonard Cohen, s'inscrit dans la programmation de l'exposition hommage Leonard Cohen : une brèche en toute chose / A Crack in Everything, à laquelle participent les musiciens Lou Doillon, Jean Leloup et Ariane Moffatt. La projection conçue par l'artiste américaine Jenny Holzer mettra en valeur des textes en anglais et en français tirés des poèmes, chansons et autres écrits de Cohen. Jenny Holzer a réalisé ce type d'œuvre dans le passé à Rome, sur le Castel Sant'Angelo, et à Paris, sur la pyramide du Louvre. La projection sera visible à partir du 7 novembre, lors du premier anniversaire du décès de Cohen. L'exposition Leonard Cohen : une brèche en toute chose / A Crack in Everything, mise sur pied par John Zeppetelli et Victor Shiffman, réunira 25 œuvres inédites conçues par des artistes d'ici et d'ailleurs issus des arts visuels, de la performance, de la musique, de l'écriture et du cinéma. Certains événements et concerts spéciaux seront également captés et diffusés sur les différentes plateformes de Radio-Canada. Le silo numéro 5 demeure une des structures les plus célèbres de Montréal. Sa revalorisation a fait l'objet, depuis 30 ans, de nombreux projets, qui n'ont toutefois jamais abouti. En octobre dernier, l'architecte Pierre Thibault et l’homme d’affaires Benoît Berthiaume ont proposé d'en faire un pôle touristique « de calibre mondial » qui inclurait une terrasse, un circuit piétonnier surélevé inspiré du High Line de New York et un hôtel. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1011791/les-textes-de-leonard-cohen-illumineront-le-silo-numero-5
  4. Un aquarium est un outil pédagogique qui s'adresse à tout le monde. Il doit alors nécessairement être bien situé, afin de pouvoir le visiter aisément tous les mois de l'année. Incidemment nous avons déjà eu un aquarium à La Ronde et justement son accès était problématique à cause de son éloignement. Il devient donc indispensable d'assurer sa popularité, en l'érigeant idéalement près des autres grandes attractions montréalaises, que sont le Vieux-Montréal et le Vieux-Port. Je verrais donc un aquarium spectaculaire installé dans le Silo no5. C'est à mon avis un des meilleurs endroits dans le secteur, à la jonction du Vieux-Port et du canal Lachine, au pied de la rue McGill, à quelques minutes de marche du métro Victoria et/ou d'une éventuelle ligne de bus ou tram, allant dans cette direction. Comme toutes les attractions d'importances, l'aquarium de Montréal devrait profiter de l'achalandage naturel de ce secteur touristique névralgique pour en assurer une rentabilité supérieure. Pourquoi pas d'ailleurs un partenariat public-privé où les risques et profits seraient partagés, dans un complexe multifonctionnel où l'aquarium serait l'élément principal. Il aurait bien sûr un mandat différent du Biodôme, qui se spécialise davantage dans la biodiversité et l'écologie du fleuve. On ferait ainsi d'une pierre plusieurs coups: la réutilisation d'une infrastructure majeure super bien située et abandonnée depuis trop longtemps; la revitalisation complète de cette partie du Vieux-Port avec une attraction de classe mondiale, si on s'en donne la peine; et le renforcement de ce pôle touristique qui permettrait de retenir encore plus longtemps les visiteurs, en multipliant les nuitées. A bien y penser, le site du Silo no5 est de loin supérieur au terrain proposé voisin du Pont Jacques-Cartier. Non que ce dernier soit un mauvais choix, mais à cause de l'incertitude qui plane quant à la vocation de tout le secteur, tout en étant retiré des foules à qui on voudrait s'adresser en priorité. Or le Silo est libre et déjà prêt à être transformé. Ne suffit que d'un projet original bien ficelé, avec un budget à l'échelle du potentiel des lieux. On éliminerait conséquemment un grand terrain en friche, facilement accessible par tous les modes de transport, incluant à pied à partir des grands hôtels du centre-ville. Personnellement je crois que c'est une idée qui devrait faire son chemin et qui n'a jamais été abordée sous cet angle. Qui sait, peut-être avons-nous ici un élément déclencheur qui relancerait simultanément le projet de développement du fameux Silo? Il aurait au passage une vocation en synergie avec celle du Vieux-Port puisque nous sommes toujours dans la thématique de l'eau. Ainsi avec le redéveloppement du quai Alexandra pour les croisières, c'est tout l'ouest du Vieux-Montréal et du V-P qui gagnerait du galon, par de précieux investissements indispensables pour bien positionner Montréal sur la carte touristique du monde.
  5. Le Silo no 5, citadelle numérique? Le Silo no 5 de la Pointe-au-Moulin, à l’ouest du Vieux-Port de Montréal, aurait tout ce qu’il faut pour devenir un centre très recherché de stockage de serveurs informatiques. L'effet vient avec la cause. La numérisation de nos vies quotidiennes fait, partout sur la planète, s'empiler des serveurs informatiques dans d'immenses entrepôts baptisés data centers. Ce marché du stockage explose. Il sourit également au Québec, à son climat nordique et même à des éléments de son patrimoine. Un silo à grain construit avant les Années folles peut-il devenir un symbole fort de la modernité? C'est le pari que veut relever la compagnie Vert.Com qui, depuis quelques mois, propose une drôle de transformation dans le Vieux port de Montréal: celle du Silo à grain no 5 en... centre de données — data center, comme disent les Anglos —, ces entrepôts de serveurs informatiques qui se multiplient pour répondre au flux grandissant à un rythme exponentiel d'informations numériques produit chaque jour par l'humanité. Baptisé Siloctet, le projet, sur les tables à dessin, consiste en l'installation de 112 000 serveurs informatiques savamment placés à la verticale dans les 44 espaces cylindriques totalement désaffectés depuis 1994 de l'annexe B1. Il attend toujours, pour prendre forme, le feu vert de la Société immobilière du Canada (SIC), propriétaire des lieux depuis 2010. Unir le monde du grain à celui de la communication numérique qui s'écrit sur iPhone et iPad: l'idée semble folle, mais elle est surtout cohérente, assure Éric Mateu, responsable du projet, puisque «les grains et les données informatiques ont besoin finalement du même environnement pour leur conservation», dit-il. «Cela va donner aussi une nouvelle vie à ce vestige industriel», tout en inscrivant Montréal dans un présent numérique qui aurait tout pour sourire au Québec. «En matière d'installation de centres de données, il y a un intérêt marqué pour le Québec qui se retrouve dans la liste des cinq endroits les plus prometteurs au monde, avec l'Islande, la Norvège, la Finlande et la Suède», résume M. Mateu. Et le coût de l'énergie qui prévaut ici — les centres de données sont énergivores —, les hivers et les lois moins intrusives en matière de surveillance électronique ne sont pas étrangers à la chose... Environnement et Patriot Act C'est qu'en se multipliant, les serveurs informatiques commencent en effet à mettre une pression énorme sur l'environnement partout sur la planète. Pour cause. Les centres de données sont en effet de gros consommateurs d'énergie, pour faire fonctionner ces concentrations de serveurs, mais aussi pour assurer leur refroidissement par climatisation. Les pays nordiques, avec leurs climats typiques se présentent désormais comme des lieux de prédilection pour l'implantation de ces centres, et encore plus quand les ressources énergétiques y sont à bon prix. Mais il y a plus. Plusieurs entreprises européennes qui jusqu'à maintenant allaient déposer des données numériques dans des centres de données aux États-Unis commencent à réviser cette décision, au bénéfice du Québec, et ce, pour plus de sécurité et... de confidentialité, prétend M. Mateu. La raison? Le Patriot Act, cette législation américaine adoptée dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001 et qui renforce le pouvoir des autorités dans les mondes numériques, entre autres. «Dans ce cadre légal, dit-il, le FBI peut entrer dans les serveurs des centres de données sans trop de difficulté, ce qui fait réfléchir des entreprises européennes qui s'en servent pour y conserver des copies de sauvegarde de leurs brevets, de leurs plans, de leurs rapports, de leurs communications internes.» Une prolifération logique Les effets de cette nouvelle délocalisation des données commencent d'ailleurs à se faire sentir, comme en témoigne l'inauguration au début de l'année d'un nouveau centre de données à Beauharnois, dans la région de Montréal. La compagnie française OVH est derrière ce projet qui, à terme, pourrait rassembler sur le site de l'ancienne usine de Rio Tinto Alcan, dans cette petite ville de 12 000 âmes, pas moins de 360 000 serveurs informatiques. Au même moment, Technoparc Montréal et Canix Colo, une boîte canadienne spécialisée en traitement de données, planchent également sur un projet de vaste entrepôt de serveurs dans le sud de la métropole. «Ce n'est pas un phénomène de mode, résume M. Mateu. C'est une réponse normale à un besoin logique» alimenté chaque jour par les usagers de technologies de communication, internautes et entreprises qui revendiquent une existence en ligne. Pause technique: en faisant se multiplier dans l'environnement social toujours plus d'appareils de communication portable (tablettes, téléphones intelligents), en succombant à l'appel de l'informatique en nuage qui permet le fonctionnement de blogues, de la plupart des services de Google, de Facebook, de Twitter, de YouTube... les humains encouragent de manière naturelle la multiplication de données numériques et, du coup, des serveurs permettant de stocker ces données. «Les appareils que nous utilisons, pour être toujours plus petits, doivent réduire leur capacité de stockage. Or, quand on dématérialise cette capacité dans nos outils de communication, il faut la rematérialiser ailleurs, dans le nuage [informatique] qui, lui, a une existence physique: le centre de données». Les chiffres sont étourdissants. Selon CISCO, en 2015, nos vies numériques devraient entraîner la conservation dans les seuls centres de données de la compagnie de 4,8 zettabytes de données informatiques — une valeur astronomique —, soit trois fois plus que la quantité évaluée l'an dernier à 1,5 zettabytes. Sur l'ensemble de la planète, ces flux d'informations en format numérique se mesurent désormais en millions d'exabytes, dont quelques milliers pourraient bien un jour passer par un des 44 cylindres du Silo no 5 de Montréal. Le lieu, qui trône depuis le début du siècle dernier sur la Pointe-au-Moulin à Montréal, n'a jamais réussi à trouver son deuxième souffle après une fermeture complète il y a près de 20 ans. Des transformations en musée, en hôtel et même en climatiseur géant ont été envisagées. En vain. «Le centre de données est sans doute le seul capable de donner une valeur économique à ce bâtiment tout en respectant sa nature», prétend M. Mateu qui évalue entre 150 et 200 millions de dollars le coût d'implantation de ce centre de données à la verticale. Mieux, l'endroit viendrait du coup soustraire de l'environnement un énième centre de données qui, construit de manière traditionnelle, occupe de grandes surfaces au sol. «On voit donc l'intérêt d'investir des bâtiments désaffectés pour les centres de données, comme cela a été fait dans une partie du vieux port de New York, dit-il. Construit au sol, Siloctet occuperait l'équivalent de cinq terrains de football américain», conclut-il. Des surfaces bien concrètes, surtout dans les zones urbaines étriquées, qui donnent corps et matière à des vies sociales et professionnelles qui tendent à en avoir de moins en moins. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/345941/le-silo-no-5-citadelle-numerique
  6. Le silo Canada Maltage est localisé dans le Quartier Saint-Henri de l'arrondissement Le Sud-Ouest le long du Canal Lachine à Montréal. À l'intersection des rues Saint-Ambroise et Saint-Rémi, il parait être le bâtiment le plus massif et le plus élevée du coin. Édifice de brique rouge, de ciment et d'aluminium (enfin je crois), il survit au travers du temps, des décennies et des époques refusant obstinément à tomber ou à s'effondrer sous le poids du climat nordique montréalais ou sous la torture de la rouille envahissante. Les graffitis se multiplient et les visiteurs illégaux ne se compte plus sur les doigts d'une main. Dernier silo en terre cuite de toute l'Amérique, malgré le fait qu'il ne soit pas officiellement reconnu comme un patrimoine canadien, québécois ou montréalais, compte tenu de l'importance historique que représente cet édifice, compte tenu du fait qu'il fait partie des bâtiments populaires abandonnés à même titre que la Brasserie Dow et le Silo No.5, compte tenu qu'il s'agit d'un symbole industriel du Canal Lachine, compte tenu qu'il s'agit du plus vieux silo de Montréal, que devons-nous faire avec ce mastodonte historique ? À mon humble avis, il faudrait tout faire pour qu'il puissent faire partie du patrimoine montréalais et que la ville de Montréal en fasse l'acquisition. Selon le rôle d'évaluation foncière de la ville de Montréal, voici les détails : Propriétaire : QUONTA HOLDINGS LTD, 431 AV COURTEMANCHE, MTL-EST, QC. Valeur du terrain : 668,600 Valeur du bâtiment : 291,800 Valeur globale : 960,400 Terrain : Front (m) : 94.51 Profondeur (m) : 128,76 Superficie (m²) : 12,388.70 Bâtiment Année de construction : 1904 Nb étages : 5 Nbre autres locaux : 1 Adresse officielle : 5022 SAINT-AMBROISE Canada Maltage Silo - Vue ouest de l'édifice.
  7. Merci pour tous les commentaires à propos de mon point de vue sur les projets de Montréal dont la Place des festivals et les édifices significatifs de la ville en tant qu'icônes ou symboles forts. C'est vrai que Montréal manque d'un projet majeur qui la ferait connaitre mondialement au moyen d'un édifice-monument au caractère symbolique comme ceux qui ont été décrits pour Toronto, Hong-Kong, Sydney, etc. Toutefois je pense à Habitat 67 que l'on oublie souvent puisqu'il est presqu'invisible du Vieux-Montréal et du centre-ville caché derrière l'horrible silo no 5. C'est certainement la construction la plus connue de Montréal mais sans doute ses caractéristiques ne portent pas une signature assez forte pour le comparer à La grande Arche de Paris notamment. Mais il y a tout un potentiel dans le grand terrain de ce fameux silo pour justement en créer un de toute pièce qui donnerait à Montréal ce symbole rêvé qui lui fait tant défaut. Encore faut-il détruire ce mûr de béton hideux, comme on a fait avec bonheur avec les autres silos, pour ouvrir enfin une dernière fenêtre sur le fleuve et la cité du hâvre. En effet une icône se doit d'être original, une oeuvre architecturale unique et appréciée de la majorité. Il doit être esthétique tout en étant fonctionnel et situé idéalement pour la maximum de visibilité. Ce peut être un grand musée, une centre de foires, un complexe immobilier, un siège social ou tout autre édifice publique. Pas besoin d'être haut mais il doit nécessairement s'imposer de lui-même et attirer des regards d'admiration. Voilà ce qu'il faut et ce terrain représente à mon sens un endroit idéal avec tout le recul nécessaire et qui serait ouvert dans toutes les directions. Maintenant que faut-il pour enfin donner à cette ville son monument-phare? De la fierté, du courage, du dynamisme et une grande détermination afin de redonner à ses habitants le sentiment d'être dans le coup. Montréal n'est pas seulement une ville au passé récent glorieux mais aussi une ville moderne tournée vers l'avenir et quoi de mieux pour le prouver que de construire son propre chef-d'oeuvre architectural pour redorer son image. Vite une volonté politique, vite un consensus général, vite convaincre nos hommes (femmes) d'affaires, vite un concours internationnal puisque rien ne peut réveiller le dynamisme d'une ville que le projet ambitieux mais réaliste de construire son propre symbole dont on serait fier.
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