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  1. I guess this is what Mark_ac was talking about when he said good news in the pipe for this week... This is wonderful. Publié le 23 septembre 2016 à 07h44 | Mis à jour à 07h44 Un an après le début du vol Pékin-Montréal d'Air China, Air Canada a annoncé vendredi le lancement d'un vol quotidien entre la métropole québécoise et Shanghai à partir du 16 février. Les vols seront assurés par des avions Boeing 787-8 Dreamliner de 251 sièges. « C'est un jour que nous attendions depuis longtemps », a déclaré le PDG d'Air Canada, Calin Rovinescu, lors d'une conférence de presse à laquelle ont notamment participé le premier ministre Philippe Couillard et le maire Denis Coderre. L'annonce créera environ 200 emplois, a précisé M. Rovinescu
  2. FRANCIS VAILLES La Presse Serge Godin n'a pas l'habitude de commenter les grands enjeux économiques ou de se mêler de politique. Cette fois, le proprio du Groupe CGI sort de sa réserve concernant la fuite de nos sièges sociaux, qu'il juge très préoccupante. En particulier, il affirme que la fiscalité canadienne incite nos entrepreneurs à vendre leur entreprise au plus offrant plutôt que la léguer à leurs enfants. Cette problématique accentuera grandement nos pertes de sièges sociaux au cours des prochaines années, soutient le président exécutif du conseil de la multinationale informatique. « Le problème est extrêmement sérieux. On essaie de protéger nos sièges sociaux, mais le système fiscal fait exactement le contraire », dit Serge Godin, dont l'entreprise de Montréal fait travailler 65 000 employés dans 40 pays. Selon l'homme d'affaires, ce sujet est la grande inquiétude de l'heure des entrepreneurs du baby-boom. Cette préoccupation est confirmée par le fiscaliste Jean-François Thuot, de Raymond Chabot Grant Thornton. De nombreux hommes d'affaires de Québec inc. sont rendus à un âge avancé. Qu'on pense à Jean Coutu, aux frères Lemaire, à Alain Bouchard ou à Rémi Marcoux. Pour eux, la question de la succession devient cruciale même si certains ont fait des arrangements. « Quand un siège social est à Montréal, c'est ici que se prennent les décisions, ce qui favorise nécessairement la communauté, les avocats, les comptables, etc. Il y a tout un écosystème autour d'un siège social et des emplois bien rémunérés », détaille Serge Godin. Or « la fiscalité est un incitatif à vendre nos entreprises, ce qui contribue à la fuite des sièges sociaux. Tous les entrepreneurs sont pris avec ce problème-là », dit Serge Godin, 66 ans, dont la fille Julie est l'une des vice-présidentes de CGI. Deux raisons expliquent la situation : le manque de liquidités de la succession pour acquitter les impôts lors de l'héritage, d'une part, et les pertes importantes qu'engendrerait le legs de l'entreprise plutôt que sa vente pure et simple, d'autre part. Lorsque le propriétaire d'une entreprise décède, faut-il savoir, le fisc exige des héritiers le paiement immédiat des impôts sur le gain en capital. Essentiellement, ce prélèvement représente 26,7 % de la valeur des actions du fondateur au Québec (fédéral-provincial combiné). Or la succession - souvent les enfants - n'a pas les fonds nécessaires pour payer les impôts et doit donc vendre une portion importante des actions de l'entreprise, ce qui en met le contrôle à risque. Prenons l'exemple d'une firme dont les actions du fondateur en Bourse valent 100 millions de dollars et représentent 55 % des droits de vote. À son décès, les héritiers devront payer 26,7 millions en impôts, essentiellement. N'ayant pas les fonds, ils devront vendre 26,7 % de leurs actions de l'entreprise, faisant ainsi passer la position de la famille de 55 % à 40 % environ, ce qui leur fait perdre le contrôle. La situation est plus dramatique lorsqu'il s'agit d'actions à vote multiple, par exemple des actions qui donnent droit à 10 votes. Ces actions procurent le même gain qu'une action ordinaire lorsqu'elles sont vendues en Bourse, mais leur cession fait perdre à la famille 10 droits de vote pour chacune. La position de contrôle peut alors fondre très rapidement avec le paiement des impôts. Autre élément néfaste, selon Serge Godin : la mécanique fiscale fait en sorte que les héritiers empochent davantage si l'entrepreneur vend au plus offrant avant de mourir que s'il transfère les actions à son décès. Par exemple, un entrepreneur qui vend son entreprise en Bourse à un concurrent obtient une prime qui peut atteindre 40 %. Dit autrement, les actions qui valaient 100 millions peuvent gonfler à 140 millions lors d'une offre d'achat. Après l'impôt de 26,7 %, il reste environ 103 millions net pour les héritiers éventuels. Au contraire, au décès, les héritiers reçoivent une valeur nette de 73 millions après paiement de l'impôt de 26,7 millions, soit beaucoup moins que si le père avait vendu son entreprise avant son décès, dit-il. Cette problématique est semblable dans les autres provinces canadiennes, mais elle est moins aiguë aux États-Unis. Serge Godin croit qu'il faut carrément changer les dispositions fiscales lors du legs à la famille d'actions d'entreprise. Il imposerait seulement le gain à la vente des actions. L'homme d'affaires affirme qu'il ne cherche absolument pas à vendre son entreprise, ni à éviter de payer ses impôts. Il est conscient que ses suggestions seront impopulaires et difficiles à vendre sur le plan politique. « Mais si on veut garder nos sièges sociaux et ne pas redevenir une économie de succursales, il faut agir », affirme-t-il. Après la sortie d'Alain Bouchard sur les actions à droit de vote multiple, voilà un autre débat connexe lancé sur nos sièges sociaux par un homme d'affaires d'envergure... GROUPE CGI EN BREF Employés : 65 000 Étendue : 400 bureaux dans 40 pays Revenus annualisés : environ 11 milliards Capitalisation boursière : 20 milliards http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201604/21/01-4973867-sieges-sociaux-en-peril-le-cri-du-coeur-de-serge-godin.php
  3. Le voyagiste exploitera 19 nouvelles liaisons aériennes pour relier des villes canadiennes aux destinations soleil. Au Québec, cela se traduira notamment par trois nouveaux vols au départ de Montréal (La Havane, Ixtapa et Rio Hato au Panama) et un autre au départ de Québec (La Romana). En fait, Transat cesse restreindre ses inventaires pour renouer avec la conquête de parts de marchés. «Nous augmenterons notre offre globale au 13% dans l’ensemble du Canada», révélait Annick Guérard, directrice général de Transat Tours. «Jean-Marc Eustache l’a annoncé en conférence de presse : nous cessons de réduire nos inventaires, tant sur le Sud que sur l’Europe.» Un redéploiement qui, au Québec, se traduira par la mise en marché vers les destinations soleil de 85 000 sièges de plus pendant la saison d’hiver et de 30 000 sièges supplémentaires pour la saison d’été! http://www.paxnouvelles.com/article/transat-lance-sa-saison-sud-2015-2016
  4. http://www.scfp.qc.ca/nouvelles/2831/--Transports-Canada-compromet-la-securite-des-passagers-aeriens-en-permettant-que-des-sorties-de-secours-soient-laissees-sans-surveillance--?langue=fr «Transports Canada compromet la sécurité des passagers aériens en permettant que des sorties de secours soient laissées sans surveillance» «Le nouveau ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers proposé par Transports Canada met la sécurité des passagers en danger. Avec la nouvelle réglementation, il y aura au moins un agent de bord de moins à bord de nombreux avions, ce qui ne permet pas d'assurer un niveau de sécurité adéquat aux passagers en cas d'évacuation d'urgence», a déclaré le président de la Division du transport aérien du SCFP, Michel Cournoyer, lors de sa participation à la réunion du Conseil consultatif sur la réglementation aérienne canadienne sur le projet de modification réglementaire. Son message a été repris par des agents de bord de partout au pays, représentés par la Division du transport aérien du SCFP. Ils ont pris part à la consultation, soit en personne à Ottawa ou par vidéoconférence dans d'autres villes canadiennes. «En réalité, le nouveau ratio ne prévoit pas suffisamment de personnel pour surveiller toutes les issues de secours, lors de situations où les passagers doivent pouvoir compter sur des agents de bord ayant reçu une formation complète pour les aider», a expliqué Michel Cournoyer. Par exemple, lorsque le ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers est en vigueur sur un Airbus A320, toutes les sorties de secours ne sont pas surveillés par un agent de bord. A pleine capacité, trois agents de bord doivent couvrir les quatre sorties accessibles au niveau du plancher. «Le ratio actuel d'un agent de bord pour 40 passagers ne laissait déjà place à aucune marge d'erreur en situation d'urgence. Avec un équipage réduit, imaginez comment les choses pourraient tourner si un agent de bord était blessé en cours d'évacuation», a déclaré M. Cournoyer. «Les accidents survenus par le passé prouvent qu'un ratio d'un agent de bord supérieur au un pour 50 proposé améliore les chances de survie des passagers en situation d'urgence. En 2005, lorsque le vol 358 d'Air France s'est écrasé à l'Aéroport Pearson de Toronto, les 309 personnes à bord ont survécu en grande partie grâce à une évacuation rapide coordonnée par les agents de bord. Le ratio était d'un agent de bord pour 30 passagers et les huit issues de secours étaient surveillées», a-t-il ajouté. «De toute évidence, le ratio d'un agent de bord pour 50 sièges passagers offre un niveau de sécurité inférieur à la norme actuelle. Par conséquent, il faut maintenir le ratio éprouvé d'un agent de bord pour 40 passagers. D'ailleurs, le rapport d'évaluation des risques de Transports Canada publié en juillet 2003 concluait que le ratio d'un pour 50 n'est pas aussi sécuritaire». «Puisque Transports Canada est prêt à mettre la sécurité des passagers en danger, le Comité permanent des transports, de l'infrastructure et des collectivités de la Chambre des communes doit maintenant mener une enquête publique sur le projet de modification règlementaire», a conclu Michel Cournoyer. Le SCFP représente plus de 10,000 agents de bord à l'emploi d'Air Canada, Air Transat, Calm Air, Canadian North, Canjet, Cathay Pacific, First Air et Sunwing.
  5. Le nombre de sièges sociaux diminue partout au pays Publié le 26 mars 2013 à 10h34 | Mis à jour à 10h34 Le Canada a perdu 22 sièges sociaux d'entreprises entre 2010 et 2011, selon Statistique Canada, le nombre total étant passé de 2865 à 2843. La perte a été ressentie également dans les quatre provinces qui comptent le plus de sièges sociaux soit, dans l'ordre, l'Ontario (-40%), le Québec (-20,3%), l'Alberta (-14,2%) et la Colombie-Britannique (-11,5%). La répartition du recul a fait en sorte que la proportion de sièges sociaux que compte chaque province est demeuré inchangé. En chiffres absolus, le Québec a perdu quatre sièges sociaux entre 2010 et 2011, l'Ontario neuf, l'Alberta sept et la Colombie-Britannique deux. En contrepartie, les sièges sociaux qui restent semblent avoir une certaine vigueur puisque le nombre total d'employés de sièges sociaux s'est légèrement accru dans toutes les provinces, sauf l'Ontario. Plus de la moitié des sièges sociaux canadiens étaient liés à des entreprises oeuvrant dans trois secteurs, soit le commerce de détail (20,2%), la fabrication (18,6%) et le commerce de gros (13,1%). Sans surprise, l'Alberta regroupe 85,3 pour cent des sièges sociaux liés au secteur du pétrole, surtout à Calgary. http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201303/26/01-4634872-le-nombre-de-sieges-sociaux-diminue-partout-au-pays.php
  6. Serais-ce une petite récompense pour avoir envoyé une majorité de fédéralistes à Ottawa ? Nouvelle distribution des sièges aux Communes Des députés fédéraux de plus pour le Québec Agence QMI 18/10/2011 19h47 OTTAWA — Pour détendre l’atmosphère et éviter les contestations judiciaires, Ottawa envisage un nouveau scénario dans le dossier de la redistribution des sièges aux Communes. Selon des sources gouvernementales sûres, le Québec (75 sièges) pourrait finalement hériter de deux sièges de plus alors que l’Ontario et la Colombie-Britannique devraient se contenter de moins de sièges que prévu. C’est ce qui ressort d’une rencontre entre le premier ministre canadien Stephen Harper et le premier ministre ontarien Dalton McGuinty vendredi dernier. On ne parlerait donc plus de 30 sièges supplémentaires aux Communes, mais plutôt de 26. L’Ontario devrait gagner 13 sièges de plus, l’Alberta, six, et la Colombie-Britannique, cinq. Le nombre total de députés aux Communes passerait de 308 à 334 et non plus à 338. La dernière version du projet de loi C-12, mort au feuilleton lors de la dissolution des chambres, prévoyait 18 sièges pour l’Ontario, sept pour la Colombie-Britannique et cinq pour l’Alberta. Le premier ministre McGuinty a reconnu que sa province devrait peut-être se contenter de moins de sièges. Le calcul final dépend des résultats du recensement de 2011, attendus en janvier ou février prochain. Entre-temps, le NPD a proposé mardi que le poids politique du Québec aux Communes ne tombe jamais sous la barre de 24,35 % des sièges. Un projet de loi a été déposé à cet effet. Dans cette configuration, le Québec gagnerait environ quatre sièges. Le député néo-démocrate Thomas Mulcair, candidat à la course à la succession de Jack Layton, a estimé que c’est la meilleure façon de donner «un contenu réel» à cette idée de «nation québécoise au sein d’un Canada uni» proposée par le gouvernement conservateur de Stephen Harper et adoptée à l’unanimité aux Communes en 2006.
  7. Toronto baisse encore plus que nous. C'est vrai qu'ils partent drôlement en avance! Par contre, j'aimerais bien que l'on tienne compte dans ces statistiques des sièges sociaux d'organisations internationales (ONG, etc.) non financières ou commerciales. À ce chapitre, si je ne m'abuse, Montréal, avec ses quelques 70 HQ (et il s'en ajoute de nouveaux occasionellement), surpasse toute autre ville canadienne (bien je je ne connaisse pas les chiffres exacts des autres). Il n'y a pas que la finance qui participe du rayonnement d'une ville! Quand les décisions nationales et internationales se prennent ici, peu importe que ce soit une cie de jeux vidéos, de finance ou l'OACI, ça imprime une marque partout, et celle-ci vient de chez nous! Alors, mettons tous ensembles les Sièges sociaux: 81 (financiers/commerciaux) + 70 (approx. ONG et +) = 151. C'est pas mal mieux pour nous non? Ce calcul ne fera pas l'unanimité, mais je maintiens qu'on devrait trouver un moyen d'entrer ces éléments dans le l'équation. Le débat est lancé. Amusez-vous. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201110/12/01-4456307-sieges-sociaux-un-gagnant-quatre-perdants.php
  8. Saignée des sièges sociaux: le Québec perd le contrôle 15 septembre 2011 | 06h54 Plusieurs prises de contrôle d’entreprises québécoises ont été désastreuses pour le Québec au cours des dernières décennies. (Photo: Agence QMI) Les ventes et les fusions de fleurons comme Provigo, Canstar, le fabricant des patins Bauer, ou Microcell, l’ancien propriétaire de Fido, ont entraîné la délocalisation d’importants centres de décisions et de milliers d’emplois hors de la province. Le nombre de sièges sociaux établis à Montréal a fondu de 16 % en deux décennies, selon le dernier classement de l’Institut Fraser, obtenu en exclusivité par Argent. La métropole abritait le cœur administratif de seulement 81 grandes entreprises en 2010 alors qu’elle en comptait 96 en 1990. Les entreprises recensées par l’Institut se retrouvent dans le palmarès des 500 plus grandes compagnies canadiennes du «Financial Post». Des données compilées par Argent montrent par ailleurs que les effectifs montréalais ou québécois des sociétés qui ont changé de mains ont dans plusieurs cas fondu de plus de 50 % en quelques années seulement. L’achat de Canstar par Nike en 1994 a par exemple provoqué la disparition de près de 1200 emplois dans les bureaux montréalais de l’entreprise et à son usine de Saint-Jérôme. RioTinto s’est départi de 1000 employés d’Alcan à la suite de l’acquisition de la multinationale en 2007 (NDLR : certaines filiales ont été vendues). L’ontarien Rogers a aussi sabré près de 1000 emplois au siège social de Microcell après avoir acheté le créateur de Fido. Chez Provigo ce sont au moins 600 postes qui ont été abolis, uniquement au siège social. La moitié de l’équipe de gestion en place lors de la prise de contrôle de Loblaw. Mais la purge serait encore plus importante selon des sources. «C’est un désastre ce que Loblaw a fait», a commenté Gaétan Frigon, l’ancien président de la SAQ et Loto-Québec qui a aussi occupé des postes de direction chez Metro. Il y a quelques semaines, l’homme d’affaires a dénoncé sur son blogue le transfert de la gestion de Provigo de Montréal à Toronto. Il estime que l’élimination de nombreux postes de direction a provoqué le déclin de la bannière au Québec. «Les décideurs de Toronto ne peuvent pas voir et comprendre comment ça se passe dans le marché québécois», a ajouté M. Frigon. Plusieurs experts estiment que les Québécois doivent s’empresser de reprendre le contrôle de leur économie et de leurs entreprises pour éviter qu’elles se transforment en succursales. «Si nous continuons d’agir comme nous le faisons actuellement, il est évident que notre économie va subir un déclin», a expliqué Oona Stock, associée chez Secor. Dans le contexte actuel, certains observateurs surveillent de près la situation de Bell Canada. Ils craignent une perte d’influence de Montréal au profit de Toronto, car la majorité des dirigeants travaillent dans le Ville Reine même si le siège de la compagnie demeure dans la métropole. L’érosion des sièges sociaux n’atteint pas seulement Montréal. La vente du fabricant de sandales Crocs à des investisseurs américains s’est soldée par la disparition de près de 1000 emplois à Québec. Exit le pouvoir et le talent L’impact de la disparition d’un siège social ne se mesure pas uniquement en termes de pertes d’emplois. «Ça entraîne aussi des répercussions directes sur l’activité économique», a indiqué Niels Veldhuis de l’Institut Fraser. Chaque fois qu’une entreprise délocalise des postes de direction, ce sont des emplois prestigieux et bien rémunérés qui s’envolent. La disparition de ces fonctions de haut niveau entraîne l’exode de talents et la perte de retombées économiques. «Certains choisissent de déménager pour poursuivre leur carrière. Mais ceux qui ne veulent pas s’établir à Toronto ou ailleurs deviennent consultants et ont beaucoup moins d’argent à dépenser», a indiqué un ancien vice-président qui préfère conserver son anonymat. «La perte d’un siège social provoque toujours de graves conséquences dans une économie parce que ces entreprises-là génèrent de la plus value. Elles donnent des contrats à des firmes d’avocats ou de comptables», a ajouté Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. M. Leblanc croit par contre que la situation s’améliore puisque le nombre de sièges sociaux montréalais a progressé l’an dernier. Il est passé de 76 à 81 de 2009 et 2010, selon le classement de l’Institut Fraser. L’Institut Fraser recommande d’éviter les conclusions hâtives, car des compagnies québécoises peuvent s’être retrouvées au palmarès parce que d’autres en ont été éliminées. «On doit mettre les pertes de côté et s’intéresser aux compagnies qui vont prendre de l’expansion», a prôné Michel Leblanc, précisant que Couche-Tard et MegaBrands sont en croissance. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/09/20110915-065432.html
  9. je vous suggère fortement de lire cet article...C'est triste pour notre ville. Une autre preuve que tout nest pas rose ici!!! http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/200910/20/01-912912-adieu-sieges-sociaux.php Adieu, sièges sociaux Publié le 20 octobre 2009 à 06h27 | Mis à jour à 06h28 Claude Picher La Presse (Montréal) Alors que Montréal est plongé en pleine campagne électorale au milieu des parfums de scandales que l'on sait, la ville continue de se vider de ses sièges sociaux. C'est bien connu, il y a des décennies que Toronto a supplanté Montréal pour ce qui est du nombre de grands sièges sociaux. Jusqu'à tout récemment, Montréal pouvait cependant se consoler en se disant qu'il arrivait bon deuxième au Canada, derrière Toronto certes, mais loin devant Calgary et Vancouver. Triste nouvelle: ce n'est plus vrai. Depuis huit ans, presque imperceptiblement, Montréal a été victime d'une véritable érosion de ses sièges sociaux, essentiellement au profit de Calgary. Voici des chiffres qui font peur: > En 2000, Toronto comptait 190 grands sièges sociaux, contre 92 à Montréal, 50 à Calgary et 41 à Vancouver. > Huit ans plus tard, en 2008, Toronto domine toujours le classement avec 176, mais Calgary arrive maintenant en deuxième place avec 79, suivi de Montréal avec 76. Vancouver est resté exactement au même point avec 41. C'est la première fois que Montréal glisse en troisième position. Ces statistiques proviennent de l'étude annuelle de l'Institut Fraser sur les sièges sociaux, qui vient d'être publiée. Les auteurs du document basent leurs calculs sur le classement du Financial Post 500, qui énumère, comme son nom l'indique, les 500 plus grandes entreprises au Canada. Pour donner un ordre de grandeur, disons que le groupe de services financiers Optimum (500 employés, 400 millions de dollars de revenus, 2,3 milliards d'actifs sous gestion) arrive au 500e rang, juste derrière Van Houtte, le plus vaste réseau de services de café en Amérique du Nord. Ça, ce sont les deux plus petits. On ne parle pas ici de bineries. Les quatre villes que nous venons de nommer abritent à elles seules les trois quarts des 500 plus grands sièges sociaux au Canada. Aux fins de l'étude, les sièges sociaux sont attribués à la région métropolitaine de recensement. Par exemple, le siège social d'Alimentation Couche-Tard est situé à Laval, mais est comptabilisé comme un siège social montréalais. La présence de grands sièges sociaux représente un atout économique de taille pour n'importe quelle ville. En plus de fournir des milliers d'emplois directs, les grands sièges sociaux entraînent des retombées importantes. Ils font appel à un vaste éventail de fournisseurs locaux: informaticiens, avocats, comptables, publicitaires, ingénieurs. Ils constituent des centres de décision stratégiques. Ils ont tendance, dans leurs contrats internationaux, à favoriser les sous-traitants locaux parce qu'ils les connaissent bien. Il existe bien sûr quelques exceptions, un des cas les plus connus étant celui de la Banque de Montréal, dont le siège social, officiellement, est bel et bien situé à Montréal alors que l'institution, dans les faits, est dirigée de Toronto (c'est la même chose pour la Banque de Nouvelle-Écosse, dont le siège social est toujours officiellement à Halifax). Mais dans la vaste majorité des cas, il est clair que les grands sièges sociaux contribuent grandement à stimuler l'économie des villes qui les abritent. Ce n'est pas tout. Le nombre de sièges sociaux ne fournit qu'une partie du portrait. Pour avoir une idée plus juste de l'impact des sièges sociaux sur l'économie locale, il faut aussi tenir compte de la taille des villes qui les abritent. Prenons une ville de 500 000 habitants, et une autre d'un million, chacune abritant le même nombre de grands sièges sociaux. Il saute aux yeux que c'est la plus petite des deux villes qui profitera le plus de leur présence. Pour mesurer la concentration des sièges sociaux, les chercheurs de Fraser calculent le nombre de sièges sociaux par tranche de 100 000 habitants. Selon cette mesure, Montréal n'est tout simplement plus dans la course. Ainsi, Calgary domine le classement avec 6,7 sièges par tranche de 100 000 habitants, contre 3,2 pour Toronto et seulement deux pour Montréal. Autrement dit, toutes proportions gardées, Calgary abrite trois fois plus de sièges sociaux que Montréal. Vancouver ferme la marche avec 1,8 mais, contrairement à Montréal, Vancouver n'a jamais été reconnue pour son grand nombre de sièges sociaux. Surtout, ce que ces chiffres nous disent, c'est que depuis huit ans, la perte des sièges sociaux montréalais s'est faite avec une brutalité sans précédent. En effet, entre 1990 et 2000, le nombre de grands sièges sociaux montréalais est passé de 96 à 92. On est loin de l'hémorragie. Pendant ce temps, Toronto en gagnait quatre, Calgary six et Vancouver en perdait quatre. Or, comme on vient de le voir, Montréal n'en conservait plus que 76 l'an dernier. Cet effondrement peut s'expliquer de plusieurs façons: départs, fermetures, ou tout simplement baisse du chiffre d'affaires. C'est notamment le cas de VIA Rail, qui apparait parmi les 500 l'an dernier, mais qui a été éjecté de la liste en 2008 à cause de la baisse de ses revenus. Sur papier, c'est une perte pour Montréal, même si la ville conserve le siège social de VIA Rail. Le problème, c'est que cette société n'est plus considérée parmi les plus grandes. En revanche, Van Houtte, qui n'apparaissait pas au classement de 2007, figure sur la liste cette année (de justesse, au 499e rang) en raison de la hausse de son volume d'affaires. C'est normal: chaque année, des entreprises apparaissent au classement, d'autres en disparaissent. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'en considérant les sièges sociaux des plus grandes entreprises canadiennes, Montréal n'est plus que l'ombre de ce qu'il a été. LES DIX PLUS IMPORTANTS SIÈGES SOCIAUX À MONTRÉAL, 2008 Revenus 1 POWER CORP 37,1 milliards 2 BOMBARDIER 21,4 milliards 3 BANQUE DE MONTRÉAL 19,9 milliards 4 BCE 17,7 milliards 5 ALIMENTATION COUCHE-TARD 15,7 milliards 6 HYDRO-QUÉBEC 12,7 milliards 7 ULTRAMAR 11,1 milliards 8 ACE AVIATION (Air Canada) 11,1 milliards 9 MARCHÉS METRO 10,7 milliards 10 CANADIEN NATIONAL 8,5 milliards Source: Financial Post 500
  10. Entrepreneuriat La Saskatchewan et le Québec plus dynamiques Mise à jour le mardi 20 octobre 2009 à 8 h 50 Les villes du Québec et de la Saskatchewan seraient les plus attrayantes pour les entreprises canadiennes. La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI) a comparé une centaine de villes du pays pour leurs politiques de réglementation et de taxation. La concentration d'entrepreneurs dans une région, la présence d'entreprises de démarrage et le succès des PME ont aussi été analysés. En se fiant à ces facteurs, Saskatoon est la ville canadienne la plus dynamique pour l'entrepreneuriat. Grande Prairie, en Alberta, se retrouve en deuxième position. Joliette, au Québec, se classe troisième. Des dix premières villes au palmarès, cinq sont de la Saskatchewan. Selon la FCEI, cette province est celle qui a le mieux géré le ralentissement économique. Dans l'ensemble du classement, 20 villes québécoises sont répertoriées. Québec se positionne au 37e rang. La communauté urbaine de Montréal arrive en 40e position. Plusieurs villes plus petites comme Alma (6e), Victoriaville (7e), Val-d'Or (9e) ou Rouyn-Noranda (11e) seraient plus attrayantes pour les entreprises. Ces agglomérations dominent les autres grâce à leur taux de taxation, qui est moins élevé que celui observé dans les grandes villes. Sièges sociaux Par ailleurs, la ville de Montréal continue de perdre du terrain en ce qui concerne les sièges sociaux. Selon le palmarès de l'Institut Fraser, la métropole accueillait le siège social de 92 grandes entreprises en 2000. En 2008, il n'en restait plus que 76. Ainsi, pour la première fois l'an dernier, Calgary a dépassé Montréal, avec l'ajout de 29 sièges sociaux en moins de 10 ans. Toronto connaît aussi une érosion de ses sièges sociaux, mais domine toujours le palmarès avec 176 sièges sociaux sur son territoire. Toronto, Calgary, Montréal et Vancouver abritent à elles seules les trois quarts des 500 plus grands sièges sociaux du Canada. Pour une ville, la perte d'un siège social signifie nécessairement une perte de revenus. Les bureaux administratifs d'une grande entreprise génèrent des milliers d'emplois en plus de représenter des contrats à des fournisseurs locaux.
  11. Mission : pas à la Caisse de sauver les sièges sociaux, dit Sabia 4 mai 2009 - 16h08 « Je suis Catholique, mais pas Jésuite » - Mission : pas à la Caisse de sauver les sièges sociaux François Pouliot ARGENT Michael Sabia estime qu’il n’est pas dans la mission de la Caisse de tenter de sauver des sièges sociaux. Il a cependant demandé à son équipe de tenter d’intégrer quatre principes dans la philosophie de placement de l’institution afin de permettre de rapprocher les deux éléments centraux de sa mission : rendement et développement économique du Québec. La question de la mission de l’institution a refait surface en commission parlementaire, alors que le député François Legault a demandé au nouveau président ce qui devait primer : rendement ou développement économique du Québec? « Je suis Catholique, mais je ne suis pas Jésuite. Je vais essayer d’éviter ce débat », a répondu monsieur Sabia. Il a néanmoins soutenu ne pas avoir de contradiction entre rendement et développement économique. Monsieur Sabia a poursuivi en énonçant quatre principes que la Caisse devrait suivre dans ses décisions d’investissement. 1-La Caisse est un fiduciaire des déposants, et sa responsabilité est différente de celles de la SGF ou Investissement Québec. 2-Nous avons un avantage compétitif au Québec parce que l’information est la clef. Il y a ici un accès prioritaire aux réseaux et aux gens d’affaires. 3-Une saine gestion demande une diversification hors du Québec et du Canada. C’est une question de gestion du risque. 4- Nous sommes un investisseur phare au Québec. Une décision d’investir ou de ne pas investir au Québec peut avoir un impact sur les autres. « J’ai l’intention de mettre ces quatre principes sur la table et de demander de les considérer pour chercher une façon d’améliorer l’équilibre entre le rendement et la participation au développement économique du Québec », a-t-il dit. Pas de sauvetage de sièges sociaux Le président a du même souffle estimé qu’il n’était pas du rôle de la Caisse de venir sauver les sièges sociaux du Québec. « Si l’on pense qu’il est possible de générer un rendement plus élevé à long terme avec une participation dans une société où il y a un débat sur le siège social, il sera possible pour nous d’avoir une oreille sympathique… », a-t-il dit, mais seulement dans cette situation. Monsieur Sabia a fait valoir que prendre une position de blocage dans les 25-30 sociétés clefs du Québec pourrait coûter entre 25 et 30 G $. Il a renouvelé l’intention de la Caisse de se rapprocher davantage des PME québécoises, qui peuvent fournir du rendement, et sont les sièges sociaux de l’avenir.
  12. Publié le 23 octobre 2008 à 11h48 | Mis à jour à 13h33 Deux adéquistes traversent la chambre Malorie Beauchemin La Presse (Québec) Deux députés de l'ADQ passent au Parti libéral du Québec. Il s'agit d'André Riedl, député d'Iberville, élu le 26 mars 2007, et Pierre Michel Auger, député de Champlain, aussi élu en 2007. Homme d'affaires d'Eastman, André Riedl était, avant de se lancer en politique, spécialisé en redressement d'entreprises et conférencier international. Sa philosophie de gestion était : «fun, passion, résultats». Lors de la dernière campagne électorale, en 2007, il avait été qualifié par le chef Mario Dumont comme l'une de «ses trois candidatures exceptionnelles du milieu économique», avec Gilles Taillon et Linda Lapointe. M. Riedl avait été sollicité pour être candidat adéquiste par M. Dumont lui-même, trois jours après le déclenchement de la campagne électorale, au moment où il s'apprêtait à partir en vacances. Porte-parole en matière d'affaires internationales, il avait été fort présent lors de la controverse entourant le départ précipité du délégué général du Québec à New York, Bruno Fortier. Le mois dernier, en pleine campagne fédérale, il n'avait pas caché son penchant pour le chef libéral Stéphane Dion, contrairement à plusieurs députés adéquistes qui s'étaient prononcés en faveur des conservateurs. Pierre Michel Auger, aussi homme d'affaires, était porte-parole en matière d'emploi. Jean Charest a confirmé la nouvelle lors d'un point de presse qu'il a convoqué à la dernière minute et durant lequel il a présenté ses deux nouveaux députés. Les deux transfuges ont d'ailleurs eu des mots durs à l'endroit de leur ancien chef. «Je me suis rendu compte que l'ADQ est le parti d'un seul homme», a indiqué M. Riedl, en point de presse aux côtés de M. Charest. Pour sa part, M. Auger a accusé M. Dumont de ne pas écouter ses députés. Ce rebondissement survient au moment où les travaux parlementaires reprennent à Québec dans un climat tendu. Mardi, l'élection du péquiste François Gendron au poste de président de l'Assemblée, à la suite d'une alliance entre le Parti québécois et l'ADQ, a irrité au plus haut point les libéraux. Malgré ces ajouts à son caucus, le premier ministre Charest est encore loin de détenir une majorité en Chambre. Les libéraux comptent désormais 48 sièges, les adéquistes 39 et les péquistes 36; deux sièges sont vacants. Pour détenir une majorité, le parti au pouvoir doit détenir au moins 63 sièges. Les transfuges sont rares à l'Assemblée nationale du Québec. En 1992, le député indépendant Richard Holden (élu en 1989 sous la bannière du Parti Égalité) s'était joint au Parti québécois, soulevant l'ire de ses électeurs dans Westmount. Il avait par la suite été battu en 1994. Avec La Presse Canadienne
  13. Déboires de Zoom: Transat ajoutera des sièges 4 septembre 2008 - 17h50 Presse Canadienne Air Transat va ajouter 130 000 sièges à son offre à partir de mai 2009, ciblant des villes que desservait le défunt transporteur à rabais. Souhaitant profiter des déboires de Zoom Airlines, le voyagiste montréalais Transat (TRZ.B) ajoutera 130 000 sièges à son offre à partir de mai 2009, ciblant des villes que desservait le défunt transporteur à rabais. Le transporteur du groupe, Air Transat effectuera trois vols de plus par semaines de Montréal vers Paris, un de plus de Montréal vers Rome, cinq de plus de Toronto vers Manchester, cinq de plus de Toronto vers Londres, trois de plus de Toronto vers Glasgow, trois de plus de Toronto vers Rome, un de plus de Vancouver vers Londres, un de plus de Vancouver vers Paris et un de plus de Calgary vers Londres. La filiale britannique de Transat, Canadian Affair, ajoutera aussi des liaisons à partir de Glasgow et Londres vers Vancouver, à partir de Manchester vers Toronto, de Glasgow et Londres vers Calgary, de Glasgow et Londres vers Toronto et de Londres vers Montréal. Zoom, une société d'Ottawa, s'est placée sous la protection de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité la semaine dernière. Des milliers de passagers ont été laissés en plan au Canada, en Europe et dans les Antilles. Selon l'analyste David Newman, de la Financière Banque Nationale, Zoom occupait entre 15 et 20% du marché des vols nolisés transatlantiques, soit entre six et sept pour cent de l'ensemble du marché transatlantique. Selon des médias britanniques, le transporteur écossais Flyglobespan augmentera aussi son offre de vols. L'action de Transat a clôturé jeudi à 19,25 $ à la Bourse de Toronto, en baisse de 0,8%. Depuis l'annonce de la faillite de Zoom, le titre est en hausse de près de cinq pour cent.
  14. Le transporteur aérien a rempli 83% de ses sièges en juillet, ce qui égale un record datant de 2005 pour le même mois. Pour en lire plus...
  15. Le nombre de sièges vides s'est accru un peu au moins de juin par rapport à l'an dernier, la ligne aérienne ayant de plus réduit sa capacité de 23,1%. Pour en lire plus...
  16. Réforme du Sénat: Harper demande l'appui des provinces Stephen Harper, Photo Reuters Le dimanche 01 juin 2008 Joan Bryden Presse Canadienne Ottawa Stephen Harper semble résigné à ne pas obtenir un appui des parlementaires pour un Sénat élu. Le premier ministre préfère désormais exercer des pressions sur les provinces pour qu'elles prennent l'initiative, selon l'émissaire de la réforme du Sénat du premier ministre, Bert Brown. Click here to find out more! M. Brown, le seul sénateur élu du Canada, affirme que le premier ministre Harper semble avoir accepté que ses deux projets de loi sur la réforme du Sénat - la création d'un processus d'élection des sénateurs administré par le gouvernement fédéral, et la limitation du mandat de sénateur à huit ans - sont voués à l'échec. Le gouvernement conservateur minoritaire n'a l'appui d'aucun des trois partis d'opposition pour ses projets de loi. «Il ne me l'a pas dit comme tel, a affirmé M. Brown en entrevue. Mais il m'a dit que le C-20 (le projet de loi pour l'élection du Sénat) semblait ne pas être adopté.» Bert Brown exerce donc des pressions politiques sur les gouvernements provinciaux et territoriaux pour qu'ils adoptent leurs propres processus d'élection de candidats au Sénat, que le premier ministre Harper pourrait par la suite nommer à la Chambre haute. De plus, M. Brown fait comprendre aux provinces que le premier ministre laissera vides les sièges vacants du Sénat si elles ne lui offrent pas de candidats élus à désigner. «Le gouvernement fait pression simplement en laissant les sièges vacants», a expliqué M. Brown. Depuis son élection en 2006, Stephen Harper a seulement nommé deux sénateurs - Michael Fortier, pour augmenter son contingent du cabinet québécois, et Bert Brown, qui a remporté une élection sénatoriale en Alberta. Le Sénat compte maintenant 14 sièges vacants, et le premier ministre ne semble pas avoir l'intention de leur trouver des remplaçants. L'Alberta est la seule province qui tienne actuellement des élections de sénateurs, mais la Saskatchewan prévoit imiter sa voisine. Le Manitoba s'apprête à commencer des consultations publiques sur l'élection de sénateurs. La Colombie-Britannique s'est pour sa part dite prête à suivre si les projets de loi sont adoptés à Ottawa. Cependant, les deux provinces les plus populeuses du pays s'y opposent, soit l'Ontario et le Québec. Le Nouveau-Brunswick et Terre-Neuve-et-Labrador sont également contre. Les quatre provinces estiment que les deux projets de loi du gouvernement Harper sont inconstitutionnels. Bert Brown est convaincu que les provinces opposées changeront éventuellement d'avis et choisiront d'élire les sénateurs, succombant aux pressions de l'opinion publique qui souhaitera jouir des mêmes droits démocratiques que ses concitoyens ailleurs au pays. http://www.cyberpresse.ca/article/20080601/CPACTUALITES/80601079/1019/CPACTUALITES
  17. Le mercredi 16 avril 2008 Défendre Montréal Photo La Presse Alain Dubuc Collaboration spéciale, La Presse Le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoît Labonté, a offert son soutien au maire Tremblay pour que celui-ci réunisse une vaste coalition qui défendrait les intérêts de la région montréalaise dans le dossier de la refonte de la carte électorale. document.write(''); L'Assemblée nationale, les trois partis confondus, s'apprête à mettre à la poubelle la nouvelle carte électorale proposée par le Directeur général des élections, pour rééquilibrer les circonscriptions et donner à chacune à peu près le même poids. Ce projet propose entre autres choses l'élimination de trois sièges dans des régions qui se dépeuplent, pour en ajouter trois dans la région montréalaise. Ce dossier soulève deux enjeux qui ne sont pas tout à fait de même nature. Le premier, c'est un principe démocratique. Le second, qui m'inquiète beaucoup plus, c'est la place de Montréal au Québec. On peut douter de la pureté des intentions de M. Labonté; il dit tendre la main, mais allonge aussi le pied pour faire trébucher le maire dont il convoite le poste. Mais il a raison. La région montréalaise est sous-représentée à l'Assemblée nationale, ce qui veut dire que le vote d'un Montréalais vaut moins que celui de bien des Québécois des régions. Si le maire de Montréal ne se lève pas pour défendre les intérêts de la métropole, qui va le faire? L'enjeu démocratique est connu. En principe, les circonscriptions devraient avoir la même taille pour que chaque vote soit égal. Au Québec, idéalement, chacune des 125 circonscriptions devrait compter 45 000 électeurs. C'est difficilement praticable et on accepte un écart, raisonnable, de 25% par rapport à cette moyenne. Une circonscription ne devrait pas avoir moins de 34 000 électeurs ou plus de 56 000. Une vingtaine de circonscriptions dépassent ces seuils; sept d'entre elles sont trop populeuses dans le Grand Montréal, et 13 qui sont sous-peuplées, en région. Pour corriger les déséquilibres, le DGE propose le redécoupage de 86 circonscriptions, l'élimination de trois sièges et la création de trois autres. C'est un processus qui devrait être normal en démocratie. Mais pas en politique. Les trois partis hésitent, pour ne pas provoquer de remous dans les régions pénalisées. On explique souvent cette réticence par un calcul politique. Les élections se gagnent en région, notamment parce que les circonscriptions montréalaises changent peu de mains. Il n'y aurait donc pas d'intérêt à courtiser cet électorat captif. L'explication est courte, entre autres parce que les trois nouveaux sièges ne seraient pas à Montréal, mais en banlieue, où justement, il peut y avoir du changement. La mécanique est d'un autre ordre. Elle tient au fait qu'un enjeu comme celui-là laissera les gens de la métropole relativement indifférents tandis qu'il mobilisera des régions pour qui la perte d'une circonscription est un coup dur de plus. Un politicien répondra naturellement aux pressions les plus fortes. Mais il y a autre chose. On comprend qu'un politicien veuille traiter les régions avec respect. Ce qui est plus difficile à comprendre, c'est que trop peu de politiciens semblent capables de se lever avec la même passion pour la métropole, de se porter à la défense de ses citoyens, de leurs besoins ou de leurs droits démocratiques. Ce n'est pas que du calcul électoral, mais le reflet d'une conception du Québec enracinée dans les réflexes politiques, selon laquelle l'âme québécoise est dans les régions tandis que la métropole est en quelque sorte une excroissance, extérieure, étrangère par sa démographie, ses activités économiques et sa culture. Un sentiment diffus renforcé par le fait que la capitale et l'appareil d'État soient dans une autre ville. En soi, ces tensions ne sont pas uniques. Les gens des régions n'aiment pas leur métropole, les Américains n'aiment pas New York, les Ontariens et les Canadiens anglais se méfient de Toronto, les Français des régions détestent Paris. Mais ailleurs, cette animosité contre les grosses villes n'empêche pas de reconnaître leur rôle essentiel et d'être fiers de leur performance. Pas ici. C'est ici que le maire à un rôle à jouer. Il est vrai que les trois sièges proposés ne sont pas sur l'île, mais dans le «450». Mais justement, c'est une occasion en or pour M. Tremblay d'appuyer les banlieues. Le maire est aussi président de la Communauté métropolitaine de Montréal, et c'est son devoir de défendre les intérêts de la grande région montréalaise. Et si les pressions semblent fonctionner dans le cas des régions, le message est clair. Si c'est le seul langage qui semble fonctionner, il faut que les leaders montréalais exercent eux aussi toute la pression dont ils sont capables, pour que le pouvoir politique sache qu'il y a un coût à ne pas soutenir sa métropole. http://www.cyberpresse.ca/article/20080416/CPOPINIONS05/804160658/6742/CPOPINIONS
  18. La fonction publique stable à Québec LE JOURNAL DE QUÉBEC 30/01/2008 20h46 La région de Québec a conservé sensiblement le même poids dans le secteur public, selon la plus récente étude de la Commission de la Capitale nationale. Aux deux ans la Commission rend public un profil de la localisation des bureaux et de l’effectif du gouvernement. Cet instrument avait été mis au point pour mesurer l’exode vers Montréal ou ailleurs des employés de l’État, des ministères, des sièges sociaux. Le profil de la CCNQ couvre la période 2004-2006. Il ne tient donc pas compte de la volonté assez récente du gouvernement de remplacer un départ sur deux dans la fonction publique. Le rapport indique que le nombre d'employés du gouvernement (incluant les sociétés d’état) est passé de 117 577 à 119 194 au Québec en deux ans mais que la répartition est demeurée stable: 39 429 à Québec (39 124), 35 514 à Montréal (35 238) et 44 251 en région (43 215). Les tableaux révèlent que sur une période 10 ans, de 1996 à 2006, il s’est ajouté 14 822 personnes dans le secteur public québécois. Dans notre région cette période a vu l’embauche de 5 224 employés de plus dans le secteur public. Le creux a été atteint dans les années 1998-2000 quand le gouvernement Bouchard a poussé à la retraite ses travailleurs. Le même constat s’applique au nombre de sièges sociaux qui a a peu bougé passant de 95 à 99 à Québec. Dans l’ensemble du Québec, durant cette décennie, le nombre de sièges sociaux a baissé de 20 soit de 176 à 156. Le profil nous indique par ailleurs que la répartition des effectifs des ministères et des organismes gouvernementaux donne ceci : 33,1% à Québec, 29,8% à Montréal et 37,1% en région. L’étude montre que le pouvoir décisionnel est fortement présent à Québec quand on parle de l’État québécois. En fait, 81,6% des sous-ministres demeurent ici versus 11,2% à Montréal et 7,1% en région. Quant au personnel de la haute direction il demeure à Québec à 52,2%. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/exclusif/archives/2008/01/20080130-204608.html
  19. Lundi 10 Décembre 2007 Dommage qu'il ne puisse se coiffer de plusieurs chapeaux sinon Mario Dumont pourrait être un sérieux aspirant à la mairie de Montréal. À son passage dans la métropole, le chef adéquiste a livré un discours en faveur de l'autonomie des universités montréalaises et pour conserver la bourse des produits dérivés à Montréal. " Cette bourse doit demeurer dans la métropole. Montréal ne doit pas devenir une ville de succursales, mais bien une ville de sièges sociaux ", a-t-il déclaré. Il a aussi défendu le droit des universités en reprochant au gouvernement Charest de vouloir détruire leur autonomie en leur imposant 13 étapes administratives avant de lancer tout projet d'envergure. " C'est comme mettre des menottes aux chevilles ", dit-il.
  20. Checkez ce lien, c'est assez intéressant. On eput voir à quel point Montréal perd de son importance dans le pays! http://www.fraserinstitute.ca/admin/books/chapterfiles/JulAug06ffQandA.pdf Nous sommes passé de 96 Sièges Sociaux (dans le Top 500) en 1990 à 75 sièges sociaux en 2006. C'est pathétique!
  21. Pour les plus grandes entreprises du Canada, le siège social — une entité distincte qui se charge de la gestion de l’entreprise et de ses activités — est l’endroit où de nombreuses décisions clés sont prises. Les villes les considèrent à la fois comme des joyaux précieux offrant des emplois relativement bien rémunérés et comme une source de fierté métropolitaine. On se préoccupe de plus en plus du fait que l’effectif des sièges sociaux diminue au Canada. On craint non seulement que les emplois occupés au sein des sièges sociaux migrent vers d’autres pays, mais aussi qu’un bon nombre des emplois qui appuient les activités d’un siège social — dans des secteurs importants comme les services comptables, juridiques et financiers — soient perdus. Toutefois, l’effectif des sièges sociaux au Canada demeure stable dans l’ensemble, sans croissance ni diminution marquée du nombre de sièges sociaux ou d’employés. En fait, les deux ont légèrement augmenté de 1999 à 2002. La croissance des sièges sociaux la plus marquée a été observée dans les secteurs de la fabrication, de l’immobilier et de l’information. Les secteurs du commerce de gros, de l’exploitation minière, de l’extraction de pétrole et de gaz ainsi que de la construction ont vu leur nombre de sièges sociaux diminuer d’environ 8 % au cours de cette période. Dans l’ensemble, le Canada comptait un peu moins de 4 000 sièges sociaux en 2002. Parmi les 170 000 employés des sièges sociaux dénombrés au Canada en 2002, plus des deux tiers travaillaient en Ontario et au Québec. Montréal a perdu des employés entre 1999 et 2002, tandis que Toronto a consolidé sa position de principal centre des sièges sociaux du pays, enregistrant une hausse de près de 5 000 cols blancs. Pendant cette période, le nombre total d’employés de sièges sociaux au Canada a connu une croissance annuelle de 1 %. Dans l’Ouest, un changement remarquable s’est produit. En 1999, la Colombie-Britannique comptait le plus grand nombre de travailleurs de sièges sociaux de la région, soit environ 20 000. Toutefois, en 2002, ce nombre a chuté à 16 500, tandis que l’Alberta a vu le nombre de travailleurs de ce secteur grimper à plus de 21 000. Par ailleurs, cette même année, Calgary a supplanté Vancouver en tant que principal centre des sièges sociaux de l’Ouest canadien.
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