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  1. Tour Québécor Architectes: Cardinal Hardy Fin de la construction:2008 Utilisation: Bureaux Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 19 étages Description: - La tour sera reliée au siège social actuel.
  2. Embauches massives au siège social de Couche-Tard Le PDG Alain Bouchard explique que les effectifs passeront de 300 à 500*personnes et que l'édifice sera agrandi. Depuis qu'il a réalisé l'acquisition de la chaîne de dépanneurs Circle*K aux États-Unis, en 2003, le groupe Couche-Tard enregistre l'essentiel de ses revenus à l'extérieur du Québec et du Canada. La forte expansion internationale du groupe profite toutefois pleinement au Québec, où Couche-Tard est en train d'agrandir de 40*% la superficie de son siège social à Laval et prévoit y embaucher 200*personnes au cours de la prochaine année. « Il y en a qui disent que ce n'est pas important, un siège social », souligne de façon très ironique Alain Bouchard lorsqu'il me reçoit dans le nouvel édifice que Couche-Tard a fait construire en 2011 à Laval, un beau siège social éclairé, à la lisière d'un boisé, mais où on se sent déjà à l'étroit. Le président exécutif de l'empire du dépanneur voulait me rencontrer pour faire le bilan de la relation de mentorat qu'il a entreprise il y a cinq mois avec l'entrepreneure Judith Fetzer, PDG et fondatrice de la jeune entreprise Cook It. Cook It est une entreprise qui a développé une plateforme de plats à préparer qui sont livrés et prêts à préparer en 30*minutes pour les ménages qui cherchent à se simplifier la vie. Je vous présenterai la semaine prochaine Judith Fetzer dans le cadre de la grande entrevue. Devant la forte activité qui se déroule du côté nord de l'édifice de Couche-Tard, où se déploie un cortège de camions, de grues et de tracteurs, je demande à Alain Bouchard ce qui se passe exactement. « On ajoute 40*% de surface à notre siège social. Une fois les travaux terminés, on prévoit embaucher 200*personnes, des emplois de professionnels, de contrôleurs, d'informaticiens... Les effectifs du siège social vont passer de 300 à 500*personnes. »*- Alain Bouchard Mis à part l'acquisition l'an dernier de 279*magasins d'accommodation et de stations Esso au Québec et en Ontario, depuis près de 15*ans maintenant, l'essentiel de l'expansion du groupe Couche-Tard se poursuit sans relâche grâce à son déploiement sur la scène internationale*:*aux États-Unis, en Europe et plus récemment en Irlande. Un petit rappel*:*Couche-Tard exploite un réseau de 8080*dépanneurs en Amérique du Nord qui emploient 80*000*personnes et de 2766*stations-service en Europe qui totalisent des effectifs de 25*000*personnes*; Couche-Tard a également 1700*magasins Circle*K qui opèrent sous licence dans 13*pays, dont la Chine, le Mexique, l'Égypte et le Mexique. Le groupe a enregistré l'an dernier des revenus de 34*milliards*US et a dégagé un bénéfice net de près de 1,2*milliard*US. UN SIÈGE SOCIAL FORT L'importance d'avoir un siège social fort, efficace et en mesure de bien coordonner l'immense et complexe activité que représente aujourd'hui Couche-Tard oblige l'entreprise à investir pour bien se structurer et recruter les compétences indispensables à la poursuite de sa croissance. L'expansion internationale de Couche-Tard a donc des répercussions fort importantes au Québec puisqu'elle permet la création d'emplois très bien rémunérés. Alain Bouchard explique qu'on rapatrie au siège social de Laval certaines activités qui étaient réalisées dans certains centres administratifs de ses entités américaines et européennes. On rationalise et on optimise les ressources, mais c'est le Québec qui, au bout du compte, en bénéficie. C'est à partir du siège social de Laval que Couche-Tard étudie et planifie les nouvelles tendances qui se dessinent dans le monde du détail et qui vont permettre à l'entreprise d'optimiser encore davantage la force incroyable de son immense réseau. « Avec le développement du commerce en ligne, on est perçus aux États-Unis et en Europe comme un last stop, un point de chute ultime où les consommateurs pourraient récupérer la marchandise qui leur était destinée, mais qui ne leur a pas été livrée en raison de leur absence », évoque Alain Bouchard. Il ne se passe pas une semaine sans que Couche-Tard reçoive des appels des Amazon, Purolator ou FedEx de ce monde qui veulent utiliser l'immense réseau de 6000*dépanneurs que Couche-Tard exploite dans plus de 40*États américains. Le même phénomène prévaut en Europe, en Suède notamment, où certains dépanneurs Circle*K acceptent de garder dans leurs réfrigérateurs les plats cuisinés de résidants qui habitent dans des tours d'habitation où les livreurs n'ont pas accès à la porte de leur logis pour y déposer leurs paquets. Des points de chute multiples dans une même municipalité, ouverts 24*heures sur 24, cela a une valeur considérable que le groupe cherchera à exploiter prochainement. Du travail en perspective pour le siège social québécois de Couche-Tard. COUCHE-TARD EN CHIFFRES Nombre de dépanneurs ou stations-service 2000 au Canada 6080 aux États-Unis 2766 en Europe 1700 (sous licence) dans 13 pays Réseau*:*12 500 dépanneurs Chiffre d'affaires en 2016*:*34 milliards US Bénéfice net*:*1,2 milliard US http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/jean-philippe-decarie/201704/03/01-5084891-embauches-massives-au-siege-social-de-couche-tard.php
  3. MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 9 fév. 2016) - La société KanAm Grund et Canderel annonçaient aujourd'hui la signature d'un bail au 1360 René-Lévesque Ouest avec Vigilant Global, une firme de TI novatrice nommée parmi les meilleurs petits et moyens employeurs au Canada. L'entreprise montréalaise occupera des locaux de 76 500 pi2 dans cette prestigieuse tour située en plein cœur du Quartier Windsor, la zone connaissant la croissance la plus rapide au centre-ville de Montréal. Ces tout nouveaux bureaux feront désormais office de siège social de Vigilant Global. « Nous nous réjouissons qu'une entreprise en pleine expansion comme Vigilant Global ait choisi de s'établir au 1360 René-Lévesque Ouest, » déclarait Robert Vineberg de Canderel. « Ce déménagement marque de façon positive l'engagement de cette compagnie envers la communauté montréalaise. Les propriétaires des lieux sont, quant à eux, fiers d'accueillir un nouveau locataire d'envergure dans leur immeuble. » « En tant qu'entreprise ayant ses racines à Montréal, nous sommes très heureux de pouvoir prendre part au développement continu de son centre-ville, » affirmait Arvind Ramanathan, directeur et cofondateur de Vigilant Global. « Au 1360 René-Lévesque Ouest, nous pourrons donner à nos employés un espace de travail dynamique à quelques pas de tout ce que la ville offre de meilleur. » Les partenaires de Vigilant Global dans la création de ce nouvel espace sont P & R Desjardins Construction Inc., Provencher Roy Inc. - design intérieur, BPA et Applied Électronique Limitée. Le 1350-1360 René-Lévesque Ouest continue de consolider son positionnement parmi les adresses les plus convoitées à Montréal par les sociétés cherchant un lieu idéal pour établir leur siège social. Vigilant Global se joint ainsi à une liste de locataires impressionnants, dont CGI, IBM et Ciment McInnis. Le 1360 René-Lévesque Ouest est situé à l'intersection sud-ouest de la rue Lucien-L'Allier et du boulevard René-Lévesque Ouest. Desservie par tous les réseaux de transport public, la propriété est située à environ 100 mètres de nombreux arrêts d'autobus, stations de métro et gares de train. L'immeuble détient la certification LEEDMD argent pour les bâtiments existants (BE). À PROPOS DE LA SOCIÉTÉ KANAM GRUND Fondée en octobre 2000, la société KanAm Grund a généré des transactions immobilières totalisant 25 milliards de dollars américains depuis sa création. Tant à son siège social de Francfort que dans ses bureaux internationaux de Paris et d'Atlanta, l'ensemble de son personnel réunit de nombreuses années d'expérience dans le domaine des investissements immobiliers. Au cours 15 dernières années, la société a concentré ses investissements dans des propriétés de qualité situées au cœur de métropoles internationales telles que Paris, Londres, Washington D.C. et Toronto. KanAm Grund bénéficie ainsi de son propre réseau mondial réunissant plusieurs sites stratégiques importants. Par ailleurs, par son indépendance, la société occupe une position particulière qui lui permet de se concentrer sur une stratégie d'investissement visant le meilleur intérêt des investisseurs. Profitant plus que jamais de cet avantage, les investisseurs institutionnels internationaux se tournent vers KanAm Grund en tant que gestionnaire de fonds, de portefeuilles et d'actifs pour investir et administrer leurs actifs au sein de propriétés allemandes, européennes ou américaines. À PROPOS DE CANDEREL Célébrant cette année son 40e anniversaire, Canderel est une société nationale de développement, de gestion et d'investissement immobilier, avec des projets phares à Montréal, Toronto, Ottawa et Vancouver. Elle a récemment pénétré le marché de l'Alberta par l'entremise de sa société affiliée Humford Management. http://www.canderel.com À PROPOS DE VIGILANT GLOBAL La firme montréalaise Vigilant Global est un chef de fil dans les secteurs de la recherche et du développement (R-D) et des TI. L'entreprise conçoit et met en œuvre des systèmes à haute performance et des solutions logicielles novatrices dans le domaine des finances. Vigilant Global favorise un engagement actif au sein de sa communauté, convaincue qu'une véritable implication sociale enrichit l'expérience que l'on peut tirer de vivre et de travailler à Montréal tout en forgeant un environnement professionnel collaboratif valorisant. Pour en savoir plus, veuillez consulter http://www.vigilantglobal.com. http://www.marketwired.com/press-release/la-societe-kanam-grund-et-canderel-annoncent-larrivee-de-vigilant-global-au-1360-rene-2095121.htm
  4. Une institution internationale déménage son siège social de Paris à Montréal L'organisation internationale New Cities Foundation (NCF) déménagera son siège social de Paris à Montréal le printemps prochain, une implantation qui devrait créer 25 emplois dans la métropole. John Rossant, président et fondateur de NCF, est dans la métropole ce vendredi en vue de signer l'entente de principe avec Montréal International, qui a contribué à attirer cet investissement. « Notre décision de miser sur Montréal constitue un jalon majeur dans le développement de notre organisation à travers le monde ainsi que dans l'élaboration et la mise en place de solutions concrètes aux problématiques de développement urbain », a déclaré M. Rossant. L'organisme sans but lucratif, fondé à Genève en 2010, vise à soutenir le développement des villes partout dans le monde, alors que le mouvement d'urbanisation s'accélère. NCF compte plusieurs institutions universitaires parmi ses membres, comme le Massachusetts Institue of Technology (MIT), ainsi que des entreprises comme Ericsson, Bombardier et Google. Les trois niveaux de gouvernement - municipal, provincial et fédéral - ont contribué financièrement pour attirer l'organisme au Québec. Montréal International a toutefois refusé de dévoiler l'ampleur des subventions consenties par l'État. Les dirigeants de NCF cherchent présentement des locaux à Montréal pour accueillir leur nouveau bureau principal. « Grosse prise » Pour Montréal International, l'attraction d'une institution internationale comme NCF constitue « une grosse prise », puisqu'elle devrait contribuer au rayonnement de la métropole à l'étranger. Les organisations du genre - Montréal en compte une soixantaine - génèrent des retombées économiques annuelles de 300 millions de dollars et contribuent à maintenir 1500 emplois dans la métropole, soutient Montréal International. La métropole compte entre autres quatre sièges d'organismes des Nations Unies, dont l'Organisation de l'aviation civile internationale, ainsi que l'Agence mondiale antidopage et l'Agence universitaire de la francophonie. Selon Montréal International, la métropole québécoise affiche la troisième plus importante concentration d'organisations internationales en Amérique du Nord, derrière Washington et New York. Outre son nouveau siège social montréalais, NCF conservera des bureaux à Paris, New York et Genève. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201512/18/01-4932560-une-institution-internationale-demenage-son-siege-social-de-paris-a-montreal.php
  5. OVH.com annonce l’expansion de son siège social nord-américain et la création de 140 nouveaux emplois dans le Grand Montréal. – Afin de répondre à la demande grandissante des entreprises nord-américaines, OVH.com, chef de file mondial de l’infonuagique et des services Internet, annonce l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, et ce, trois ans après son implantation en 2012. Cet investissement se traduit par l’aménagement d’un nouveau siège social de 17 800 pieds carrés au centre-ville de Montréal et par la création de quelque 140 emplois, permettant ainsi à la compagnie de doubler son effectif actuel dans la région. La croissance d’OVH.com témoigne notamment des besoins urgents auxquels les entreprises actuelles font face pour héberger un volume accru de contenus numériques. On estime d’ailleurs que seules 15 % des données mondiales pourront être hébergées en 2020, comparativement à 30 % en 2013. « L’explosion des besoins numériques a modifié toutes les cartes de l’industrie, et OVH l’a bien compris. Notre implantation dans le Grand Montréal, avec l’ouverture du plus grand centre de données au monde en termes de capacité d’hébergement -360 000 serveurs-, nous a ouvert avec succès les portes du marché nord-américain », a déclaré M. Laurent Allard, directeur général d’OVH.com. « Notre offre de services satisfait les plus hauts standards de l’industrie et s’adapte à tous les types de clients, du développeur à la start-up, en passant par les PME, les fournisseurs d’applications ou les plus grandes entreprises. Transversalité, compétitivité et sécurité constituent la recette de notre croissance », a-t-il ajouté. Accompagnée dans son implantation et son développement par Investissement Québec et Montréal International, OVH.com possède un siège social dédié à la R-D et au service commercial en plein cœur du centre-ville de Montréal, ainsi qu’un centre de données à Beauharnois, sur la rive-sud de Montréal. « Le Grand Montréal possède des atouts distinctifs, comme sa position géographique stratégique et ses coûts d’opération très compétitifs, qui lui permettent de se positionner favorablement sur la scène internationale et ainsi tirer profit du vaste potentiel que représente l’exploitation des données massives », a déclaré M. Élie Farah, vice-président, Investissement Grand Montréal, Montréal International. « À l’ère du big data, la présence d’un acteur majeur comme OVH.com contribue assurément à renforcer l’expertise de la région comme centre d’excellence dans l’industrie de l’hébergement numérique et des services informatiques », a-t-il ajouté. L’expansion d’OVH.com dans la métropole québécoise permettra également d’offrir un espace et des services d’accompagnement aux talents et startups de demain, pour nouer de futurs partenariats. « Notre objectif est de jouer un rôle majeur dans l’écosystème montréalais, en accompagnant l’éclosion des startups les plus prometteuses », a précisé M. Allard. Bientôt un label « French Tech » pour Montréal? Signe marquant de l’attractivité de la métropole québécoise, OVH.com appuie auprès du gouvernement français la candidature du Grand Montréal au label « French Tech », qui vise à reconnaitre le statut de pôle d’excellence technologique aux métropoles les plus innovantes. Après New York et Tokyo, Montréal serait la 3e ville au monde à obtenir cette appellation. Le nom de cette opération de promotion, soutenue par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, et intitulée Bleu-Blanc-Tech, consiste à dynamiser les initiatives des entreprises françaises et montréalaises afin d’accélérer leur internationalisation. À propos d’OVH.com OVH.com garantit à ses 930 000 clients un Cloud stable, fiable et sécurisé. Avec plus de 220 000 serveurs hébergés dans 17 centres de données à travers le monde, OVH.com déploie un réseau privé de fibre optique offrant 4000 Gbps de bande passante. En 2013, la compagnie a ouvert son premier centre de données nord-américain à Montréal, avec une capacité de 360 000 serveurs. Son succès, OVH.com le doit à une compétitivité hors-norme, rendue possible par une approche industrielle des hautes technologies, une maîtrise totale de la chaîne de production à travers une intégration verticale complète (de la construction des centres de données à la conception des serveurs). OVH.com s’engage chaque jour à proposer des solutions innovantes pour repousser les limites du Cloud sécurisé. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/ovh-expansion-siege-social-nord-americain-grand-montreal/
  6. Je pense pas avoir vu ce projet mentionné ici encore. COLO-D va se porter acquéreur d'une partie (150,000 pieds carrés) de l'ancien siège social de Jean Coutu à Longueuil. Il s'agit d'un investissement de 100 millions de dollars, incluant 15 millions investis par le Groupe Jean Coutu lui-même: Voir aussi les communiqués suivants sur le site de COLO-D: http://colo-d.ca/en/jean-coutu-group-announces-investment-in-colo-d/#.VlCfZaK3v3A http://colo-d.ca/en/colo-d-continues-strong-growth-and-announces-the-opening-of-a-second-mega-data-center-in-quebec-in-2016/#.VlCgA6K3v3A
  7. steve_36

    ArtsGames

    Il est difficile à ce stade ci de mesurer l'ampleur de cette nouvelle mais chose certaine, ca ne peut pas être négatif. Au contraire, c'est une bonne nouvelle et possiblement une excellente nouvelle. Par contre je suis curieux de savoir ou seront situés les bureaux de l'agence et combien d'employés y œuvreront. Je verrais bien les bureaux situés dans le même édifice que ceux du comité olympique canadien ou encore dans le quartier international.
  8. Bâtiment dans Angus, sur la rue Molson. http://binged.it/VZFcWS Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. SIÈGE SOCIAL DE L’ORDRE DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS DU QUÉBEC (OIIQ) Montréal, Canada
  9. http://sidlee.com/fr/news/2015/July/kyu 06-07-2015 Nous entamons aujourd’hui une nouvelle aventure : hisser Sid Lee au prochain niveau en déployant plus loin notre réseau mondial. Sid Lee est heureuse d’annoncer la conclusion d’une entente pour se joindre à kyu, un nouveau collectif d’entreprises de créativité, dont le siège social se trouve à New York et qui a été établi par Hakuhodo DY Holdings pour renforcer sa présence mondiale. Nous sommes fiers de nous joindre à kyu en vue de bâtir un nouveau modèle de regroupement d’agences créatives et pour accroître la portée de la marque de Sid Lee dans le monde. Cette transaction est toute particulière parce qu’il s’agit de la première fois de l’histoire canadienne où l’on acquiert la marque d’une agence dans le but de la déployer en un réseau global. Quand nous avons démarré la compagnie il y a plus de 20 ans, les entrepreneurs naïfs – mais très enthousiastes – que nous étions n’auraient jamais osé rêver d’un jour chercher à atteindre des ambitions aussi audacieuses. Aux termes de l’entente, Sid Lee maintiendra son siège social à Montréal; ses dirigeants actuels ont un engagement à long terme avec kyu et continueront de bâtir l’entreprise pour la prochaine décennie. Nous estimons que cette transaction créera plus d’emplois à Montréal et à Toronto étant donné que nos deux bureaux les plus importants agiront en tant que carrefours de création et de production pour contribuer à augmenter le rayonnement de Sid Lee dans le reste du monde. L’appui d’un partenaire mondial nous aidera à développer nos capacités plus complètement et plus rapidement. De manière plus importante, Sid Lee bénéficiera dorénavant des vastes ressources de Hakuhodo DY Holdings en Asie. Le Cirque du Soleil demeurera un partenaire commercial, comme ce fût le cas depuis 15 ans. En bref, nos clients et nos employés peuvent s’attendre à ce qui suit : Une plus grande portée géographique. La même approche dynamique et entrepreneuriale : les dirigeants de Sid Lee se joignent au collectif kyu afin de contribuer à bâtir le regroupement d’agences créatives de l’avenir. Les dirigeants actuels de Sid Lee conserveront leurs rôles pendant encore de nombreuses années : la structure de l’entente est conçue pour récompenser tout autant les succès futurs que le rendement antérieur. La marque Sid Lee sera maintenue et déployée davantage. Le siège social de Sid Lee demeurera à Montréal et notre engagement à l’égard de la métropole ne changera pas. Nous prévoyons y créer davantage d’emplois de qualité pour soutenir notre croissance internationale. Sid Lee continuera de soutenir C2 Montréal avec autant de passion qu’au cours des quatre dernières années afin d’aider Montréal à rayonner dans le monde entier. Pour en savoir plus sur l’entente, veuillez vous reporter au communiqué officiel de kyu. sent via Tapatalk
  10. So way back on June 9th 1980 HQ was planning a new headquarters.....I wonder if it's still in the works????? http://news.google.com/newspapers?nid=1946&dat=19800609&id=IokxAAAAIBAJ&sjid=caQFAAAAIBAJ&pg=1200,3642003
  11. http://affaires.lapresse.ca/economie/grande-entrevue/201405/30/01-4771436-david-culver-lalcan-davant-nexiste-plus.php À 89 ans, David Cutler se rend encore à son bureau tous les matins à 9h, pour y passer la journée. Mieux encore, l'ancien PDG de l'Alcan - qui a fondé la firme d'investissement CAI, lorsqu'il a pris sa retraite de la multinationale montréalaise en 1989 - vient de faire paraître un livre où il relate les grands évènements de sa vie peu banale. Publié aux éditions McGill-Queen's University Press, Expect Miracles - Recollection of a Lucky Life, a été coécrit par l'ex-journaliste Allan Freeman qui a longtemps travaillé pour le Wall Street Journal avant de devenir correspondant à l'étranger du Globe and Mail à Londres et Washington. «Ce goût d'écrire m'est venu de ma mère. Même si elle n'a pas fait de grandes études, elle a écrit toute sa vie. Des poèmes, des nouvelles, un journal. De 1926 à 1986 elle a écrit, à la main, un total de 48 000 pages qui sont aujourd'hui aux Archives nationales. «Elle était passionnée d'histoire et s'intéressait beaucoup à la culture francophone. Entre les deux guerres, elle a écrit une «Histoire des Canadiens français de 1629 à 1940 «. J'aimerais la publier pour donner la vision que pouvait avoir de la société francophone du Québec, une Canadienne anglaise, née à Halifax», m'explique David Culver, dans son bureau de la rue Drummond, situé à quelques pas de marche de la Maison Alcan, rue Sherbrooke Ouest. Toute sa vie durant, David Culver a évolué dans le «Golden Square Mile», le bastion de la bourgeoise anglophone - de 1850 à 1930 - dans le secteur centre-ouest du centre-ville de Montréal. Il a grandi sur la rue Peel, au coin de l'avenue Doctor-Penfield, dans une maison de 12 pièces, chauffées, sur quatre étages, et que son père louait 150$ par mois. Puis il a construit la Maison Alcan, rue Sherbrooke. Depuis 1989, il a son bureau tout juste à côté, rue Drummond. Après avoir obtenu un diplôme en sciences de l'Université McGill, David Culver a décroché un MBA de l'Université Harvard et un certificat du Centre d'études industrielles de Genève. Il commence sa carrière chez Alcan en 1949. Il y a travaillé durant 40 ans.. Une entreprise pro-Québec Il est donc évidemment beaucoup question d'Alcan dans le livre de David Culver. Il est devenu le président de la division Alcan Canadian Company en 1975, un an avant l'élection du Parti québécois et l'exode anglophone qui a suivi. «Contrairement à beaucoup d'entreprises canadiennes-anglaises, Alcan a toujours entretenu de bonnes relations avec les gouvernements du Québec et la communauté francophone», souligne l'homme d'affaires. Ce trait culturel a pris origine en 1928, lorsque Alcan, qui était basée à Pittsburgh, a envoyé R.E. Powell au Canada pour y superviser les activités qui y prenaient une forte expansion. Rapidement, ce dirigeant américain a compris que l'avenir de l'entreprise allait être intimement lié au fort potentiel hydroélectrique dont elle pouvait disposer au Saguenay-Lac-St-Jean. Il a décidé de déménager le siège social canadien d'Alcan de Toronto à Montréal. Contrairement au CN qui se targuait de n'avoir aucun vice-président francophone à son siège social montréalais, R.E. Powell a embauché beaucoup de Canadiens français à des postes-clés de la direction d'Alcan. «On a toujours eu de bonnes relations avec Québec et c'est dans ce contexte qu'en 1976, au lendemain de l'élection du PQ, j'ai annoncé au conseil d'administration qu'il fallait investir 500 millions pour la construction d'une nouvelle usine à La Baie. On avait besoin de ces nouvelles capacités. «Les administrateurs m'ont dit: tu es fou. Le PQ s'est engagé à tenir un référendum et ils peuvent vouloir nationaliser notre entreprise ou nos actifs hydroélectriques. Si tu veux ton projet, fais signer une lettre à René Lévesque - avec son sang - dans laquelle il s'engage à ne jamais nous nationaliser. «Je leur ai répondu qu'il y aurait au moins de 10 à 15 autres gouvernements qui allaient se succéder au Québec pendant la durée de vie utile de notre usine. Il ne fallait pas s'inquiéter pour rien», relate David Culver. L'ex-dirigeant assure qu'il a toujours eu de bonnes relations avec René Lévesque, qui comprenait bien l'importance d'Alcan. Davis Culver a même profité de la panique anglophone de la fin des années 70 pour réaliser son rêve de donner à Alcan son propre siège social à Montréal. «On était locataire dans une tour et je voulais donner un siège social chaleureux pour nos employés. J'ai décidé d'acheter la maison de Lord Althelson, située en face du Club Mont-Royal, et six autres édifices qui étaient attenants. «Ça nous a coûté moins de 5 millions. La tenue prochaine du référendum de 1980 avait fait chuter totalement les prix», se rappelle-t-il dans un large sourire. La vente de la Maison Alcan et le déménagement prochain du siège social de Rio Tinto Alcan dans la nouvelle Tour Deloitte chagrine d'ailleurs David Culver, passionné d'architecture qui aimait bien la chaleur et le rayonnement du complexe Alcan. Il souhaite que Guy Laliberté, l'un des acheteurs de la Maison Alcan, se serve de l'atrium pour y présenter des spectacles. «Cet endroit doit continuer de vivre», souhaite David Culver. L'ex-PDG d'Alcan est aussi désolé par le départ annoncé cette semaine de la PDG Jacynthe Côté et constate que l'entreprise ne sera plus jamais ce qu'elle a déjà été. «L'Alcan d'avant n'existe plus. Je ne critique pas Rio Tinto mais l'aluminium, ce n'est pas le même business que le minerai de fer. On marche par cycles de dix ans où on fait beaucoup d'argent pendant deux ans et les huit autres années, il faut gérer de façon serrée. On reste profitable mais on n'obtient pas les mêmes marges que le minerai de fer», expose-t-il. Lorsqu'il a quitté la présidence d'Alcan, en 1989, l'entreprise comptait plus de 70 000 employés dans le monde. Aujourd'hui, en incluant ses coentreprises, Rio Tinto Alcan compte 26 000 employés.
  12. Pour ceux que ça intéresse, il y a actuellement une petite exposition sur le la construction du Centre CDP Capital (siège de la Caisse de Dépôt et de Ivanhoé Cambridge) sur le parquet de cet immeuble. C’est pour célébrer le 10e anniversaire de sa construction. L’exposition est modeste (panneaux explicatifs, vidéos, photos…) mais elle permet d’apprécier la beauté et le côté très innovant l’immeuble. En plus, ça permet de s’arrêter sur le magnifique parquet de bois du Centre CDP Capital, tout en lumière et jonché d’œuvre d’arts. À noter que le parquet de la Caisse de Dépôt est un espace ouvert, tout le monde a le droit d’y circuler. Les employés comme moi ont eu droit à une visite des bas fonds de l’immeuble. Saviez-vous que : - L’édifice a été bâti par-dessus l’autoroute Ville-Marie (à laquelle il y a des accès) dont les 2 tunnels sont pratiquement superposés à cet endroit. La préparation du terrain afin de recouvrir l’autoroute a coûté 175 million de dollars à la SITQ (solidification des parois de l’autoroute, construction de cheminées, construction de sorties de secours…). Ceci explique la hauteur limitée de l’immeuble et le coût élevé de sa construction qui a par contre revitalisé tout un secteur du centre-ville. - L’immeuble a été conçu de manière à ce que presque tous les employés aient accès à la lumière naturelle. - Afin de conserver l’énergie, la climatisation est entièrement automatisée : la ventilation d’un bureau s’éteint dès qu’un employé ouvre une fenêtre, les fenêtres sont munies de cellules photothermiques qui automatisent le déploiement de toiles (l’édifice est LEED niveau Or) - Les eaux d’infiltration du stationnement sont récupérées et utilisées pour laver les voitures et arroser les plantes sur les terrasses. L’exposition est brève, par contre, c’est jusqu’au 13 décembre alors dépêchez-vous!
  13. Les images du nouveau siège social de BNP Paribas Fortis. http://www.lesoir.be/409895/article/economie/2014-01-23/images-du-nouveau-siege-social-bnp-paribas-fortis
  14. I guess this could also go in the cancelled section. This is what RioTintoAlcan was considering before they decided to sell their head office and move their entire staff into a new tower
  15. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/ericsson-jean-coutu-valeant-van-houtte-les-projets-d-investissement-prive-se-multiplient-au-quebec/558406#.UbDMbfk98kU Green Mountain Coffee Roasters Canada (GMCR), propriétaire de Van Houtte, a convoqué les journalistes pour leur présenter un «investissement majeur» à Montréal vendredi. L’annonce sera faite par Sylvain Toutant, président de GMCR Canada, en compagnie de Pauline Marois et du maire de la ville, Michael Applebaum. Selon nos informations, un investissement de plusieurs dizaines de millions de dollars sera dévoilé et une centaine d'emplois seront créés. Cette convocation suit l’investissement majeur annoncé en début de semaine par Ericsson. Le géant suédois des télécommunications investira plus d’un milliard de dollars pour construire un nouveau centre de technologies de l’information et des communications mondial à Vaudreuil-Dorion. Le géant de l'épicerie Loblaw a lancé il y a deux jours une nouvelle enseigne pour sa chaîne québécoise Provigo, Provigo Le Marché. Le nouveau concept fait partie d’une offensive en vue de regagner des parts de marché au Québec. Loblaw investira 100 M$ dans la province cette année, soit environ 15 % des dépenses totales consacrées à l'ensemble de ses magasin au pays. Le gouvernement Marois a par ailleurs réussi à attirer le géant britannique des effets spéciaux Framestore à Montréal en début d’année. La société londonienne prévoit créer 200 emplois d’ici la fin de l’année à Montréal pour ainsi devenir la plus importante entreprise d’effets spéciaux au Québec. Tours commerciales En avril, Cadillac Fairview a amorcé la construction de la tour Deloitte, à Montréal, dans le cadre d’un projet de 2G$ pour réaménager les terrains situés autour du Centre Bell. La Tour Deloitte est le premier immeuble à vocation uniquement commerciale détenu et financé par une entreprise privée à être construit dans la métropole en plus de 20 ans. Lisez notre article Deloitte aura sa tour. D’autres projets commerciaux sont en cours. Aimia, la société spécialisée dans les programmes de fidélité, aura aussi un siège social, la Tour Aimia, dans un édifice à bureaux à vocation mixte au centre-ville de Montréal, en face du Square Victoria. Jean Coutu a annoncé la semaine dernière son intention d’investir 190M$ pour un nouveau siège social et un nouveau centre de distribution dans le parc industriel de Varennes. C’est sans compter la pharmaceutique Valeant, qui a inauguré le 21 mai son siège social international à Laval, dans les anciennes installations de Sanofi Canada. Valeant a investi 70 M$ pour moderniser les installations et le transfert de la production de Montréal à Laval. Sanofi Canada a pour sa part inauguré au début de mai son nouveau siège social canadien lundi à Laval, dans un édifice de cinq étages situé à l’angle de l’Autoroute 15 et du boulevard du Souvenir. La société ouvrira également un nouveau centre de distribution à Kirkland, près de Montréal. La ville de Québec a aussi son lot d’investissements. L’assureur La Capitale Groupe financier, notamment, a inauguré ce printemps son nouveau siège social, un édifice de 10 étages. Le projet est évalué à 80 M$.
  16. À l'étroit dans ses installations de Longueuil, le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) prépare un agrandissement ou un déménagement ailleurs sur la Rive-Sud de Montréal, un projet de 70 millions de dollars. La célèbre entreprise québécoise songeait à acquérir un terrain dans le parc industriel de Saint-Bruno-de-Montarville pour y déménager son siège social et son centre de distribution, mais l'administration municipale a refusé d'autoriser la transaction. La Ville voyait d'un mauvais oeil l'augmentation du trafic de camions qu'aurait entraîné la présence d'un gros entrepôt sur son territoire. Jean Coutu scrute donc les autres terrains disponibles sur la Rive-Sud. L'entreprise pourrait aussi décider d'agrandir ses installations actuelles de Longueuil, où elle est établie depuis 1976. Elle est déjà propriétaire des terrains nécessaires pour le faire. Pour l'instant, Jean Coutu ne privilégie aucune des deux options, a affirmé mardi la vice-présidente aux communications du groupe, Hélène Bisson, au cours d'un entretien téléphonique. Les critères de sélection les plus importants sont les coûts et la proximité des autoroutes. Le détaillant souhaite réaliser les travaux à «moyen terme», soit d'ici deux ou trois ans. Les installations actuelles suffisent encore à la tâche, mais plus pour longtemps, a indiqué Mme Bisson. La filiale de fabrication de médicaments génériques de Jean Coutu, Pro Doc, qui est établie à Laval, ne devrait pas déménager, a précisé la porte-parole. Le réseau Jean Coutu compte actuellement 405 pharmacies au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick. L'entreprise prévoit avoir ouvert 14 nouveaux établissements cette année. L'action de Jean Coutu a clôturé à 15,69 $ mardi, en hausse de 1,3 %, à la Bourse de Toronto. La valeur boursière de l'entreprise frise les 3,4 milliards de dollars. http://affaires.lapresse.ca/economie/sante/201302/19/01-4623324-jean-coutu-veut-agrandir-ou-demenager-son-siege-social.php
  17. Nom: Siège social de la Commission de la construction du Québec (CCQ) Hauteur: 8 étages/?? mètres Coût du projet: 62 000 000,00$ Promoteur: Commission de la construction du Québec Architecte: lemay associés Emplacement: 8475 Christophe-Colomb Début de construction: hiver 2009 Fin de construction: hiver 2011
  18. L'édifice qui abrite le Siège Social de CGI à subit un recladding/coup de peinture récemment + changement des fenêtres, le building est maintenant d'une couleur plus pâle qu'auparavant (Gris/Beige plutot que Brun)
  19. http://www.montrealgazette.com/life/Alliance+Films+Film+company+future+uncertain/5993096/story.html Un siege sociale en moins?
  20. Provigo : le siège social se vide aussi 15 novembre 2011 | 18h52 ARGENT Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière. « Provigo est l’enfant délaissé de Loblaw » Olivier Bourque Argent Il n’y a pas que les entrepôts montréalais de Provigo qui se vident. Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière, a appris Argent. Photo : Agence QMI En tout, environ une centaine de travailleurs évoluaient dans ce secteur. Loblaws a décidé d’impartir ce service vers IBM. Seulement une poignée de travailleurs de Provigo a pris le chemin du bureau montréalais du géant informatique. Cette information a été confirmée par plusieurs sources. «Tout a commencé en 2005. On a perdu les emplois par centaines dans tous les secteurs. Et selon moi, c’est loin d’être terminé», nous a indiqué un ex-employé qui a voulu demeurer anonyme pour éviter de se faire «stigmatiser» dans son secteur professionnel. Selon cet ex-travailleur, les derniers mois ont été particulièrement difficiles. Plusieurs employés devaient accepter d’être rétrogradés. D’autres ont passé des entrevues pour des postes, mais uniquement en anglais et menées par des patrons provenant de Loblaw à Toronto. «Nous avons eu plusieurs patrons qui étaient anglophones. Un d’entre eux était d’ailleurs unilingue anglais. C’était assez désolant», nous a-t-il confié. Questionnée sur ces pertes d’emplois au «siège social» de Provigo situé au 400, boulevard Sainte-Croix, l’entreprise a minimisé la situation. Par courriel, la porte-parole de Provigo Josée Bédard a souligné que 600 employés travaillaient toujours au siège social. Sur place, certains employés d’entreprises qui louent les locaux de Provigo ont confirmé le confinement de l’ancien géant de l’alimentation à quelques étages seulement. L’entreprise fait notamment la location d’une partie de ses installations à l’imprimeur Transcontinental. Courriels inquiétants Par ailleurs, Argent a reçu plusieurs courriels lors des derniers jours et a consulté plusieurs sources. La plupart nous ont confirmé qu’il était périlleux pour eux de s’adresser avec les médias. «Il est maintenant interdit aux employés de parler aux journalistes sous peine de congédiement. C’est rendu l’enfer», a relaté un employé. «Ils n’ont aucun respect du Québec, aucun respect du français, car parfois, on ne peut pas communiquer avec eux si on ne parle pas anglais», a affirmé un autre employé dans un autre courriel.
  21. Toronto baisse encore plus que nous. C'est vrai qu'ils partent drôlement en avance! Par contre, j'aimerais bien que l'on tienne compte dans ces statistiques des sièges sociaux d'organisations internationales (ONG, etc.) non financières ou commerciales. À ce chapitre, si je ne m'abuse, Montréal, avec ses quelques 70 HQ (et il s'en ajoute de nouveaux occasionellement), surpasse toute autre ville canadienne (bien je je ne connaisse pas les chiffres exacts des autres). Il n'y a pas que la finance qui participe du rayonnement d'une ville! Quand les décisions nationales et internationales se prennent ici, peu importe que ce soit une cie de jeux vidéos, de finance ou l'OACI, ça imprime une marque partout, et celle-ci vient de chez nous! Alors, mettons tous ensembles les Sièges sociaux: 81 (financiers/commerciaux) + 70 (approx. ONG et +) = 151. C'est pas mal mieux pour nous non? Ce calcul ne fera pas l'unanimité, mais je maintiens qu'on devrait trouver un moyen d'entrer ces éléments dans le l'équation. Le débat est lancé. Amusez-vous. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201110/12/01-4456307-sieges-sociaux-un-gagnant-quatre-perdants.php
  22. Je peux vous dire que pour Ste-Thérèse et même toute la couronne nord de Laval, c'est un projet majeur d'une beauté, d'une hauteur et d'un design jamais vu !
  23. Saignée des sièges sociaux: le Québec perd le contrôle 15 septembre 2011 | 06h54 Plusieurs prises de contrôle d’entreprises québécoises ont été désastreuses pour le Québec au cours des dernières décennies. (Photo: Agence QMI) Les ventes et les fusions de fleurons comme Provigo, Canstar, le fabricant des patins Bauer, ou Microcell, l’ancien propriétaire de Fido, ont entraîné la délocalisation d’importants centres de décisions et de milliers d’emplois hors de la province. Le nombre de sièges sociaux établis à Montréal a fondu de 16 % en deux décennies, selon le dernier classement de l’Institut Fraser, obtenu en exclusivité par Argent. La métropole abritait le cœur administratif de seulement 81 grandes entreprises en 2010 alors qu’elle en comptait 96 en 1990. Les entreprises recensées par l’Institut se retrouvent dans le palmarès des 500 plus grandes compagnies canadiennes du «Financial Post». Des données compilées par Argent montrent par ailleurs que les effectifs montréalais ou québécois des sociétés qui ont changé de mains ont dans plusieurs cas fondu de plus de 50 % en quelques années seulement. L’achat de Canstar par Nike en 1994 a par exemple provoqué la disparition de près de 1200 emplois dans les bureaux montréalais de l’entreprise et à son usine de Saint-Jérôme. RioTinto s’est départi de 1000 employés d’Alcan à la suite de l’acquisition de la multinationale en 2007 (NDLR : certaines filiales ont été vendues). L’ontarien Rogers a aussi sabré près de 1000 emplois au siège social de Microcell après avoir acheté le créateur de Fido. Chez Provigo ce sont au moins 600 postes qui ont été abolis, uniquement au siège social. La moitié de l’équipe de gestion en place lors de la prise de contrôle de Loblaw. Mais la purge serait encore plus importante selon des sources. «C’est un désastre ce que Loblaw a fait», a commenté Gaétan Frigon, l’ancien président de la SAQ et Loto-Québec qui a aussi occupé des postes de direction chez Metro. Il y a quelques semaines, l’homme d’affaires a dénoncé sur son blogue le transfert de la gestion de Provigo de Montréal à Toronto. Il estime que l’élimination de nombreux postes de direction a provoqué le déclin de la bannière au Québec. «Les décideurs de Toronto ne peuvent pas voir et comprendre comment ça se passe dans le marché québécois», a ajouté M. Frigon. Plusieurs experts estiment que les Québécois doivent s’empresser de reprendre le contrôle de leur économie et de leurs entreprises pour éviter qu’elles se transforment en succursales. «Si nous continuons d’agir comme nous le faisons actuellement, il est évident que notre économie va subir un déclin», a expliqué Oona Stock, associée chez Secor. Dans le contexte actuel, certains observateurs surveillent de près la situation de Bell Canada. Ils craignent une perte d’influence de Montréal au profit de Toronto, car la majorité des dirigeants travaillent dans le Ville Reine même si le siège de la compagnie demeure dans la métropole. L’érosion des sièges sociaux n’atteint pas seulement Montréal. La vente du fabricant de sandales Crocs à des investisseurs américains s’est soldée par la disparition de près de 1000 emplois à Québec. Exit le pouvoir et le talent L’impact de la disparition d’un siège social ne se mesure pas uniquement en termes de pertes d’emplois. «Ça entraîne aussi des répercussions directes sur l’activité économique», a indiqué Niels Veldhuis de l’Institut Fraser. Chaque fois qu’une entreprise délocalise des postes de direction, ce sont des emplois prestigieux et bien rémunérés qui s’envolent. La disparition de ces fonctions de haut niveau entraîne l’exode de talents et la perte de retombées économiques. «Certains choisissent de déménager pour poursuivre leur carrière. Mais ceux qui ne veulent pas s’établir à Toronto ou ailleurs deviennent consultants et ont beaucoup moins d’argent à dépenser», a indiqué un ancien vice-président qui préfère conserver son anonymat. «La perte d’un siège social provoque toujours de graves conséquences dans une économie parce que ces entreprises-là génèrent de la plus value. Elles donnent des contrats à des firmes d’avocats ou de comptables», a ajouté Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. M. Leblanc croit par contre que la situation s’améliore puisque le nombre de sièges sociaux montréalais a progressé l’an dernier. Il est passé de 76 à 81 de 2009 et 2010, selon le classement de l’Institut Fraser. L’Institut Fraser recommande d’éviter les conclusions hâtives, car des compagnies québécoises peuvent s’être retrouvées au palmarès parce que d’autres en ont été éliminées. «On doit mettre les pertes de côté et s’intéresser aux compagnies qui vont prendre de l’expansion», a prôné Michel Leblanc, précisant que Couche-Tard et MegaBrands sont en croissance. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/09/20110915-065432.html
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