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  1. Bell Helicopter coupe 500 emplois de façon temporaire En raison de la crise économique qui frappe actuellement, l'entreprise Bell Helicopter doit effectuer d'importantes compressions. Ainsi, 500 travailleurs de l'usine Mirabel se retrouvent sans emploi pour les trois prochains mois. Environ 2100 personnes travaillent à pour Bell Helicopter à Mirabel. Les compressions touchent essentiellement les ouvriers et les employés de bureau. Déjà, la semaine de travail d'autres employés des installations de Mirabel avait été réduite à quatre jours. Cette mesure est en application depuis trois semaines et devrait durer encore deux semaines, selon la télévision d'État. La semaine de travail d'autres employés de la même usine a déjà été réduite à quatre jours, depuis trois semaines, et pour encore deux semaines. Dans le contexte économique actuel, Bell Helicopter vend moins d'appareils, ce qui explique qu'elle veut diminuer sa capacité de production pour le moment. La semaine dernière, il était annoncé que Bell Helicopter Textron n'avait livré que 167 hélicoptères commerciaux en 2008, alors qu'elle en avait livré 181 en 2007, une diminution de 8%. (sources: TVA, La Presse Affaires, Radio-Canada)
  2. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/201608/24/01-5013543-le-point-de-vue-deuropeens-en-visite-a-montreal.php Un nombre croissant d'Européens choisissent de venir passer leurs vacances au Québec. On les croise quotidiennement dans le Vieux-Montréal et à Québec, mais aussi en Mauricie, sur la Côte-Nord, en Gaspésie, au Lac-Saint-Jean, et même dans les pourvoiries éloignées des grands centres, où ils constituent souvent plus de la moitié de la clientèle. Une promenade dans le Vieux-Montréal nous a permis d'en rencontrer quelques-uns. Famille Blancher (Julie, Emmanuel et leurs filles Anna, 10 ans, et Lilly, 6 ans) Originaire de: Limoges (France) Durée du voyage: 2 semaines Itinéraire: Toronto, chutes du Niagara, Ottawa, parc de la Mauricie, Québec, Baie-Saint-Paul, Tadoussac, fjord du Saguenay, Montréal «Notre grand coup de coeur, c'est le fjord du Saguenay, mais nous avons beaucoup aimé la nature sauvage, tous ces grands espaces, c'est magnifique! Nous avons été très étonnés par le côté américain des grandes villes - la largeur des rues, la hauteur des immeubles, etc. - et par le côté cosmopolite de Montréal. Nous avons aussi été frappés par la grande gentillesse des gens, par leur ouverture.» Hahhah Herty Originaire de: Nuremberg (Allemagne) Durée du voyage: 2 mois Itinéraire: Montréal (depuis trois semaines), Québec, Tadoussac, les parcs nationaux, éventuellement le Nouveau-Brunswick «Je suis venue suivre des cours de français, mais pour ça, j'aurais mieux fait d'aller en France parce que tout le monde est bilingue ici. Dès qu'ils voient que je bloque, les gens me parlent en anglais! dit-elle en riant. Plus sérieusement, j'aime beaucoup l'ouverture d'esprit des gens, on peut parler de tout, même de politique. J'ai eu de superbes conversations dans mes cours. L'atmosphère de Montréal me plaît beaucoup. C'est très cool!» Famille Audenino (Claire, Alain et leur fils, Guillaume, 18 ans) Originaire de: Versailles (France) Durée du voyage: 15 jours Itinéraire: Toronto, Montréal, Québec, fjord du Saguenay, Montréal «En ville, ce qui nous étonne le plus, c'est le mélange des cultures européenne et américaine. On se sent comme entre les deux, c'est très agréable», dit Alain. «Montréal est très cool, on se sent en sécurité partout, ajoute sa femme. Et évidemment, la nature, les grands espaces... tout est plus grand ici qu'en Europe!» Stéphane Binke et sa fille Marion, 17 ans Originaire de: Cannes (France) Durée du voyage: 15 jours Itinéraire: Montréal et Laurentides «C'est la troisième fois que nous venons, et chaque fois nous sommes émerveillés. Les deux premières fois, nous avons fait un grand tour (Québec, Saguenay, Tadoussac, Gaspésie, etc.). Cette fois, comme nous avons des amis à L'Estérel, nous avons choisi de rester un peu plus sur Montréal. Vous êtes bien, ici. Il y a une zénitude qu'on ne trouve plus en France. D'ailleurs, j'espère pouvoir venir m'installer. C'est un peu pour ça que nous sommes là.» Famille Bouëxel (Patrice, Béatrice et leurs enfants Théa, 16 ans, et Maxime, 20 ans) Originaire de: Paris, mais Bretons d'origine (France) Durée du voyage: 3 semaines Itinéraire: Toronto, Mille-Îles, Ottawa, Tremblant, Québec, La Malbaie, fjord du Saguenay, Lac-Saint-Jean, Montréal «Ce qui nous épate, ce sont bien sûr tous ces grands espaces, mais aussi la gentillesse des gens, leur accueil, leur ouverture. La propreté, aussi, notamment dans le métro, on ne voit pas ça chez nous!» Famille Sanchez (Michaël, Caroline et leurs enfants Kyan, 3 ans, et Arvin, 1 an) Originaire de: Paris (France) Durée du voyage: 3 semaines Itinéraire: Toronto, Montréal, Mauricie, Lac-Saint-Jean, fjord du Saguenay, Québec «Nous venons de mettre le pied à Montréal. Nous avons beaucoup aimé Toronto, c'est une ville intéressante. À Montréal, ce qui nous frappe pour l'instant, c'est qu'il y a beaucoup de travaux!»
  3. http://plus.lapresse.ca/screens/a34a7529-de16-463b-9e37-a7992b141ff7%7CAtgiPrQOnG7o.html MONTRÉAL VOTE « DU BON BORD »… FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal pouvait difficilement sortir perdant de la soirée d’hier. Il suffisait que Stephen Harper soit renversé, et voilà ! La métropole était aussitôt en meilleure posture qu’elle ne l’avait été ces neuf dernières années. Mais de là à penser qu’elle serait aussi bien placée, ce matin ? Pas grand-monde ne l’espérait, il y a quelques semaines encore. Quelques jours, peut-être même. Carrément absent du Conseil des ministres pendant les deux derniers mandats conservateurs, Montréal a vu l’un des siens, Justin Trudeau, accéder au poste le plus puissant du pays hier soir. Et avec lui, un grand nombre de députés rouges qui ont le potentiel d’être nommés au Saint des Saints, autant dans l’île que tout autour dans le Grand Montréal. Après avoir voté du « mauvais bord » au cours des trois dernières élections, la métropole se retrouve à nouveau du « bon bord » ce matin. Du bord du parti au pouvoir. N’ayons pas peur de reprendre les mots du maire Coderre : « Montréal is back ! » Et ce n’est pas de l’enflure. Ayant vu la bête de l’intérieur, l’ancien ministre libéral Jean Lapierre m’a dit il y a quelques semaines à quel point l’origine des députés qui siègent au cabinet était cruciale, mais aussi celle de leur chef. « Quand le premier ministre vient de chez vous, m’a-t-il confié, là, t’es vraiment en affaires ! » Tous les députés et ministres redoublent d’attention et de prudence quand ils abordent un dossier qui touche la ville du PM. Tous évitent de tirer le tapis sous les pieds de cette ville. Et tous opinent du bonnet quand le gouvernement dépense pour cette même ville. « T’as juste à aller faire un tour à Shawinigan pour t’en rendre compte, m’a dit Jean Lapierre. Penses-tu qu’il y aurait tout ce qu’il y a là bas sans Jean Chrétien ? Ben voilà… » Le retour fort probable de Montréal au Conseil des ministres est, lui aussi, une très bonne nouvelle. Il faut se rappeler que les conservateurs n’ont élu aucun député montréalais lors de leurs trois victoires électorales. Aucun. En 2006, l’île était rouge, avec un peu de bleu pâle à l’est. Mais le gouvernement était bleu. En 2008, sensiblement la même chose. Et en 2011, la vague orange a lessivé l’île, pendant que les bleus s’accrochaient au pouvoir à Ottawa. Résultat : aucun Montréalais n’a pu défendre les dossiers montréalais au Conseil des ministres pendant toutes ces années conservatrices. Sinon pendant un court intermède de deux ans, de 2006 à 2008, alors que le sénateur Michael Fortier avait été nommé ministre. Or « c’est toujours une plus-value d’avoir quelqu’un de la place pour s’occuper des enjeux de la place », m’a confié le maire Coderre il y a quelques semaines. Toujours mieux d’avoir un interlocuteur qui connaît la ville, qui maîtrise ses codes, qui possède un vaste réseau… que d’avoir un ministre qui ne fait que passer en chemin vers le Saguenay. Rappelons-nous la force de Montréal au sein du cabinet Mulroney dans les années 80 alors que se sont décidés les importants investissements fédéraux du 350e anni-versaire, comme le Vieux-Port. Rappelons-nous l’impact qu’a eu pour la ville de Québec un ministre influent comme Jean Marchand, cette « colombe » de Pierre Elliott Trudeau sans qui la capitale n’aurait probablement pas profité de tous ces investissements en infrastructures. Quand on sait l’influence politique qu’ont les régions, au Québec comme au Canada, on comprend l’importance pour les grandes villes d’être représentées par des députés des grandes villes. Des députés qui ont la sensibilité et les connaissances nécessaires pour expliquer la complexité et l’importance des dossiers urbains à la grande table. Habituée d’être bien représentée au cabinet avant l’élection des conservateurs, la métropole reprend enfin la place laissée vacante depuis trop longtemps. Elle en a bien besoin. sent via Tapatalk
  4. 9 septembre 2011. Rénos qui ont commencées il y a quelques semaines. Je ne sais pas trop ce que c'est. Peut-être y avait-il un fil là-dessus. Je n'ai pas vu. [/img] [/img] [/img] [/img]
  5. Ces photos date du Samedi 17 avril 1988. Cette journée devait être une date fatidique pour ces deux tours jumelles qui ont "décorés" le ciel de Montréal pendant plusieurs années. Le 17 avril, une seule tomba, l'autre suivi son destin deux semaines plus tard soit le 2 mai suivant. ....et j'y était (avec la petite caméra Minolta de mon père) ...... Quelques minutes avant le dinamitage de la première tour (Celle avec le lettrage "MIRON"). L'évènement avait attiré beaucoup de monde ainsi que plusieurs média. Ces deux-là avaient un point de vue de premier plan....au risque de ce blesser !! Le décompte est commencé.... Et BOUM, un peu de boucanne et ç'a commence a fléchir....et elle tombe.... Il n'en reste qu'une seule. Le décompte est maintenant commencé pour elle aussi. BOUM....un peu de boucanne mais elle ne veut pas tomber !! Les artificiers en viendront a bout deux semaines plus tard, le 2 mai 1988.
  6. Après avoir quitté Montréal pour fonder sa propre agence de publicité à Toronto, un ex-vice-président de BBDO, s’apprête à revenir en ville pour ouvrir un bureau à Montréal. Cet ex-vice-président et directeur de création de BBDO Montréal, Martin Beauvais, a confirmé la nouvelle à LesAffaires.com, quelques semaines avant la date prévue. «Il reste encore quelques éléments à fisceler. Mais oui, je vous confirme que dans les prochaines semaines, nous serons en mesure d’annoncer l’ouverture officielle d’Open MTL.» Le départ pour Toronto de l’ex-patron de BBDO, également ex de Taxi et TBWA, avait fait beaucoup parlé dans l’industrie publicitaire montréalaise en 2004. À l’époque, le Montréalais quittait sa position enviable dans l’industrie -on lui doit notamment les campagnes des Producteurs de lait du Québec- pour devenir directeur de la création de Zig, une agence torontoise maintenant connue sous le nom de CP+B Canada. En 2010, Martin Beauvais quitte Zig pour fonder avec le collègue Christian Mathieu (ex-Zig et IKEA), l’agence de création publicitaire, Open. «Dès le départ, nous avons voulu créer à Toronto une agence nationale bilingue. Dans ce contexte, l'ouverture d'un bureau à Montréal nous paraissait non seulement primordiale, mais également toute naturelle.» http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/publicite-une-nouvelle-agence-torontoise-prend-pied-a-montreal/554654
  7. Tout l'été, Courrier international, en partenariat avec Le Mouv', s'engage dans un tour du monde des villes rebelles en huit étapes. Cette semaine, Montréal, berceau du "printemps érable", ce mouvement de contestation étudiant devenu au fil des semaines le "mai 68 québécois". http://www.courrierinternational.com/dossier/2012/05/24/le-printemps-erable http://www.courrierinternational.com/magazine/2012/1131-montreal-ville-rebelle
  8. Bonjour, bonjour. Je suis passé à côté de Farine Five Rose il y a deux semaines et un belle surprise m'attendait ! Wow ! Comme neuve !
  9. Nouvel immeuble de bureaux de classe A (105 000pi2) qui ouvrira ses portes au printemps 2011 à l'intersection de l'autoroute 40 et du boul. St-Jean (de biais au fairview Pointe-Claire, de l'autre-côté de l'autoroute). http://www.dcysa.ca/4-bureaux-offices/5667-6500-Autoroute-Transcanadienne/ Je n'ai malheureusement pas de photo mais ça creuse depuis quelques semaines. Une belle addition au secteur.
  10. Au cours des prochaines semaines je vais scanner des photos de ce magazine que j'ai trouvé au marché aux puces!
  11. Maxime Bergeron LA PRESSE Patrick D'Astous s'apprête à dire adieu aux heures de pointe entre sa maison de Saint-Lambert et son bureau du centre-ville de Montréal. Dans quelques semaines, le chef d'entreprise déménagera sa boîte de services-conseils - et ses six employés - sur la Rive-Sud, après 10 ans dans un gratte-ciel de la rue Beaver Hall. Le Lambertois avait déjà pris sa décision avant les embouteillages infernaux des dernières semaines. Mais l'aggravation de la situation a « bien adonné » pour le conforter dans son choix de rompre son bail de trois ans avant terme. « Le plus grand aspect de cette décision-là, c'est la qualité de vie », résume-t-il. Le cas de Patrick D'Astous demeure isolé. La multiplication des cônes oranges n'a pas encore écoeuré les entrepreneurs au point de causer un exode de l'île de Montréal. À moyen et long terme, toutefois, l'impact de l'encombrement chronique sera catastrophique pour les sociétés de toute la métropole si rien n'est fait pour corriger la situation, avertissent plusieurs représentants du milieu des affaires. Les bouchons fréquents causent une série de désagréments aux employeurs. Certains, comme les retards des travailleurs, sont déjà bien palpables. Mais d'autres problèmes, autrement plus sérieux, commenceront seulement à faire sentir leurs effets pervers au fil des prochaines semaines et des prochains mois. « Ça désorganise carrément les chaînes d'approvisionnement des entreprises qui sont situées sur l'île ou autour de l'île, explique Simon Prévost, président de Manufacturiers et exportateurs du Québec (MEQ). C'est un impact qui se voit moins à l'oeil nu, mais qui va être clairement ressenti par les manufacturiers. À l'ère du juste à temps, on va être à l'ère du toujours en retard. » L'industrie manufacturière, moins sexy que celle de la finance ou du multimédia, demeure cruciale pour l'économie montréalaise. Selon les données les plus récentes de Statistique Canada, les 13 500 fabricants de la région métropolitaine emploient à eux seuls 230 000 personnes. Leurs exportations internationales ont totalisé 58 milliards de dollars l'an dernier. Or, avant d'expédier leurs sofas, biscuits et autres électroménagers vers l'Europe ou les États-Unis, ces manufacturiers doivent d'abord s'approvisionner en matières premières et pièces de toutes sortes. Des composantes qui arriveront à des heures de plus en plus imprévisibles en raison des bouchons systématiques sur les routes. « Ça va être majeur, ça va demander une réorganisation des processus de production, et surtout, ça rajoute beaucoup d'incertitude, lance Simon Prévost. Si on pouvait me dire : ça va toujours être en retard d'une journée, tu t'organises, mais d'une fois à l'autre, on ne le saura pas. Ça devient très compliqué. » Cette coordination difficile, combinée à la surtaxe aux embouteillages que veulent imposer les camionneurs à Montréal, mine la productivité des entreprises manufacturières montréalaises. Un constat d'autant plus sombre qu'elles tirent déjà de l'arrière à cet égard, déplore le président de MEQ. Recrutement difficile Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, dénonce lui aussi les pertes économiques causées par le « chaos » sur les routes de la métropole. En 2003, son regroupement estimait à 1,4 milliard les coûts annuels liés aux embouteillages, une facture qui a sans doute grimpé en flèche aujourd'hui, reconnaît-il. Le pire reste cependant à venir, craint M. Leblanc. Les bouchons généralisés risquent d'encourager de plus en plus d'employés à choisir des postes moins intéressants en banlieue, en plus d'inciter des entreprises à s'installer dans des endroits moins stratégiques au plan concurrentiel. Autant de freins à la productivité globale de la région. « Ces petites décisions-là, qui sont toutes individuelles, lorsqu'on les additionne, finissent par expliquer les milliards de dollars de pertes qu'on observe », tranche-t-il. Pour les recruteurs professionnels, l'impact de ces embouteillages quotidiens constitue désormais un casse-tête « énorme », indique Martine Lachance, directrice de succursale de la firme Manpower pour Montréal et sa banlieue sud-est. Depuis environ un an et demi, de plus en plus de travailleurs quittent leur poste au centre-ville et choisissent de poursuivre leur carrière de l'autre côté des ponts. « Nos clients commencent à avoir un problème de rétention de leurs employés, souligne-t-elle. Des gens qui travaillent déjà depuis 10 à 15 ans au centre-ville et qui demeurent en banlieue quittent leur emploi pour éviter tout le trafic. » Plusieurs employés sont même prêts à accepter des postes moins intéressants pour s'éviter les bouchons. Martine Lachance donne l'exemple récent d'une jeune adjointe administrative de Longueuil, qui a perdu 5 % de salaire et une semaine de vacances en acceptant un nouveau poste sur la Rive-Sud. « Elle était prête à faire des concessions pour avoir une meilleure qualité de vie », note-t-elle. Télétravail Et qu'en est-il des sociétés de secteurs de pointe, dont les employés typiques sont souvent des urbains purs et durs ? Le président de d'Astous Groupe Conseil, qui se spécialise dans l'innovation en technologies de l'information, reconnaît qu'il a dû modifier quelque peu ses façons de faire pour convaincre ses six employés de le suivre dans son déménagement à Saint-Lambert cet été. « Il faut trouver des moyens de les attirer, et un de ces moyens, c'est de permettre le télétravail, explique Patrick D'Astous. On l'offrait déjà, mais là on améliore notre infrastructure pour le faire davantage. » Les six employés de M. D'Astous, qui travaillent beaucoup sur la route, n'auront plus l'obligation de se présenter au bureau. Tout ce qui compte, c'est que les cibles de l'entreprise soient atteintes, dit-il. Avec la multiplication prévue des chantiers routiers d'envergure ces prochaines années - dont ceux de l'échangeur Turcot, de la rue Notre-Dame et du tunnel L.-H. Lafontaine -, ce modèle pourrait faire des petits dans la métropole. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201106/23/01-4412143-congestion-routiere-un-cauchemar-pour-les-entreprises-montrealaises.php
  12. Il y a de la construction depuis environ 3 semaines, au coin nord-ouest. Est-ce que quelqu'un saurait c'est quoi?
  13. Le SO Island / métro Charlevoix Localisé sur la rive sud du canal Lachine à moin d'un kilomètre du marché Atwater et des pistes cyclabes longeant le canal Lachine. À deux coins de rue du métro Charlevoix. Le SO Island offre 18 unités. 50% des unités se sont écoulées depuis les deux première semaines de lancement du projet. SO Island compte des unités 3½ et les 4½, des penthouses sur deux niveaux avec la mezzanine et la terrasse sur le toit. Prix à partir de 137 000.00$, taxes en sus. http://www.soisland.com/
  14. Bonjour tout le monde, je viens de passer presque les 2 derniers mois en Asie. Les villes au programme: - Hong Kong - Shenzen - Guangzhou - Singapour - Jakarta - Makassar - Bangkok - Plein de plages et d'îles paradisiaques en Indonésie, Chine et Thailande Je commence à mettre des photos aujourd'hui. Maudit que c'est déprimant revenir à Montréal ! Vivement le prochain départ ( dans 3 semaines ahahahaha!!!!)
  15. Salut la gang, j'ai découvert par hasard, un nouveau bar/club à St-Jérôme, sur la rue St-Faustin, d'ailleurs ça s'appelle le ''Saint-Faustin''. Belle place d'extérieur comme de l'intérieur avec terrasse et piscine, le long de la Rivière du Nord, y'a plus d'infos et de photos sur leur page facebook. Ça ouvert, il a environ 2 semaines. http://www.saintfaustin.ca
  16. Charest enterre les PPP Denis Lessard La Presse (Québec) Le gouvernement Charest va habiller l'opération comme une profonde «réflexion» sur l'avenir de la formule des partenariats public-privé. Mais à Québec tout le monde a compris qu'il s'agissait d'un enterrement de première classe, surtout le président de l'Agence des PPP, Pierre Lefebvre. Le départ de ce haut fonctionnaire doit être annoncé aujourd'hui, après la réunion du conseil des ministres, a appris La Presse. Le protégé de Monique Jérôme-Forget était dans la ligne de mire de bien des membres du gouvernement depuis le départ de la Dame de fer, début avril. Joint lundi, il a refusé de commenter. Cette démission, prédit-on déjà, ouvrira la voie au retour au mode conventionnel pour la construction du CHUM, l'hôpital universitaire de Montréal. Ce changement de cap signifierait un an de retard supplémentaire - il faudra faire travailler des professionnels avant d'aller en appel d'offres général et donner tout le temps nécessaire aux entrepreneurs d'y répondre. Tout récemment le ministre de la Santé, Yves Bolduc, soulignait que le gouvernement reconsidérait le choix de la formule PPP pour le CHUM. «Si le gouvernement ne s'était pas peinturé il y a quelques semaines en faveur du projet en PPP, (il voulait désamorcer un rapport embarrassant du Vérificateur général), on serait déjà revenu en conventionnel», confie une source au centre de toutes ces tractations. «Pour les médecins spécialistes, il est évident que si on abandonne le PPP pour le CHUM c'est une excellente nouvelle», de renchérir de son côté le Dr Gaétan Barrette, le président des 8000 spécialistes. La présidente du Conseil du Trésor, Monique Gagnon-Tremblay, avait aussi des réticences et insiste depuis des semaines sur le fait qu'elle n'a jamais trouvé que les PPP étaient une panacée. Et, en coulisse, Julie Boulet et tout le ministère des Transports travaillent à ce que la réfection de l'échangeur Turcot revienne en mode conventionnel. Même le maire de Montréal, Gérald Tremblay, s'est mis de la partie pour demander que Turcot revienne en construction conventionnelle. Pierre Lefebvre, indique-t-on, voyait clairement dans ces sorties publiques convergentes la mort annoncée du processus de PPP. Depuis les dernières semaines, les associations de professionnels, les ingénieurs, les architectes et les entrepreneurs généraux ont enclenché une campagne publique pour que ces deux immenses projets ne soient plus réalisés en partenariat public-privé. Moins médiatisés, beaucoup d'autres projets, le CHUQ (l'hôpital universitaire de Québec), et des constructions de prisons provinciales, sont aussi «pris dans la mélasse». De sources sûres, on a appris que Pierre Lefebvre restera employé au Trésor pour la transition, et deviendrait, à compter de l'automne prochain, secrétaire associé au Conseil du Trésor, une étape avant son départ de la fonction publique - son contrat arrivait à échéance au printemps prochain. Avec un remaniement mineur, le gouvernement Charest doit annoncer ce matin un jeu de chaise musicale plus imposant du côté de la haute fonction publique - même en fin de semaine, on s'affairait à ce sujet au Conseil exécutif, le ministère du premier ministre. «Québec traîne les pieds» Le gouvernement annoncera le remplacement, par intérim, de M. Lefebvre par un haut fonctionnaire. Depuis des semaines, Québec coupait l'oxygène à l'organisme chargé de préparer les partenariats. L'indécision du gouvernement se manifeste de bien des manières. La moitié du conseil d'administration est parti sans être remplacé - le président du conseil, Claude Garcia, est parti depuis mars -, le sous-ministre des Transports, Denis Jean, assume l'intérim depuis. Pour l'économiste de CIRANO, Marcel Boyer, membre du conseil de l'agence, «le gouvernement traîne les pieds dans ces dossiers. Il y a beaucoup de rumeurs... je pourrai commenter dans quelques jours». «Je suis déçu. Les PPP ont leur place même s'il y a une forte opposition au Québec, ce sont des arguments qui ne tiennent pas la route. L'opposition aux PPP vient en général de gens dont la compétence n'est pas étincelante. Ce n'est pas parce qu'on dit quatre fois la même chose que cela devient vrai pour autant», de conclure l'économiste. Aussi, des postes de cadres à l'Agence ont été annoncés, mais n'ont jamais eu le feu vert pour être comblés.
  17. Voilà qui illustre bien la crise des médias imprimés. --------------------- Pour la durée de l'été Le National Post annule son édition imprimée du lundi 29 avril 2009 - 17h18 LA PRESSE CANADIENNE TORONTO -- Le quoditien National Post, propriété de Canwest Global Communications (CGS), a annoncé mercredi qu'il n'imprimerait pas son édition du lundi pendant neuf semaines à partir du 29 juin, même si ses articles continueraient d'être publiés sur son site internet. Canwest espère ainsi réduire ses coûts de papier journal.
  18. L'entreprise met à pied près de 80 de ses 100employés pour deux semaines pour réduire ses stocks. Pour en lire plus...
  19. Pratt & Whitney Canada abolit 1000 postes Publié le 11 février 2009 à 13h58 | Mis à jour à 14h00 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) Pratt & Whitney Canada subit aussi les contrecoups de la récession et prévoit d'abolir 1000 emplois, a appris LaPresseAffaires.com. L'entreprise n'a pas encore précisé où les postes seront abolis mais le secteur d'activité le plus touché est celui des avions d'affaires.Parmi les mesures mises en place et annoncées aux employés, l'on retrouve aussi des vacances estivales qui seront imposées à des moments précis pour cesser la production et l'incitation à prendre des journées de congé. Pierre Boisseau, porte-parole de Pratt & Whitney Canada, confirme que la compagnie doit réagir à la récession et à la baisse des commandes, de la même façon que les autres acteurs de son industrie le font depuis quelques semaines.
  20. La Russie et l'Ukraine ont enfin rouvert les vannes de leurs gazoducs mardi, mettant fin à trois semaines d'un conflit acrimonieux et riche en rebondissements. Pour en lire plus...
  21. Après des semaines de discussions avec l'entourage du président élu, Barack Obama, les démocrates dévoilent à la Chambre des représentants un plan massif de relance de 825 milliards de dépenses. Pour en lire plus...
  22. La chaîne de magasins de vêtements pour femmes a vu son chiffre d'affaires diminuer de 2,7% au cours des cinq semaines terminées le 3 janvier dernier. Pour en lire plus...
  23. Le projet ambitieux annoncé il y seulement deux semaines était dès le départ semé d'embûches. Pour en lire plus...
  24. Il y a deux semaines, Bernard Madoff est entré au Everglades Barber Shop, sur Worth Avenue, à Palm Beach, en Floride, pour le traitement habituel: une coupe de cheveux (65$US), un rasage (40$US), une pédicure (50$US) et une manucure (22$US). Pour en lire plus...
  25. La direction semblait tellement persuadée de voir la transaction se conclure avec Teachers' qu'elle a arrêté il y a deux semaines de faire des prélèvements automatiques sur les paies de ses employés qui participaient à l'actionnariat. Pour en lire plus...
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