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  1. Publié le 19 février 2009 à 06h14 | Mis à jour à 06h18 Montréal, porte d'entrée du financier Stanford au pays Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville. Francis Vailles La Presse (Montréal) «Nous voulons vous informer que la Banque Stanford Internationale n'a aucun investissement dans les fonds Madoff.» Telle est l'assurance que donnait la banque accusée de fraude à ses clients à la mi-décembre, dans la foulée du scandale Madoff. Cette missive, dont La Presse Affaires a une copie, a été transmise aux clients canadiens de la Banque Stanford, en français et en anglais. L'organisation a un bureau en plein centre-ville de Montréal, avenue McGill College, ce qui en fait la porte d'entrée de l'organisation au Canada. Lundi, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a gelé les actifs de la Stanford International Bank et de ses affiliés, accusant l'organisation et ses dirigeants, Robert Allan Stanford, James M. Davis et Laura Pendergest-Holt, de fraude massive. La banque, située dans le paradis fiscal d'Antigua, et ses affiliés Stanford Group Company et Stanford Capital Management, de Houston, au Texas, ont vendu des «certificats de dépôt» totalisant environ 8 milliards US en promettant des rendements irréalistes de plus de 10% depuis 15 ans, selon la SEC. Les investissements de Stanford n'étaient pas liquides, contrairement à ce que les dirigeants affirmaient aux clients; une bonne partie était investie dans l'immobilier et des placements privés, selon la SEC. En outre, l'entreprise est exposée aux fonds Madoff, contrairement à l'assurance faite aux clients. Stanford est présente à Montréal depuis quatre ans, selon le registre des entreprises du Québec. Les locaux sont situés au 30e et dernier étage de la Place Montréal Trust, avenue McGill College, la rue la plus chère à Montréal pour la location de bureaux. Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville, etc. À la réception, impossible d'avoir un entretien avec le directeur, Alain Lapointe. La réceptionniste nous renvoie au département des communications de l'entreprise, situé en Floride, où il n'a pas été possible d'avoir la communication. Plus tôt, au téléphone, la réceptionniste nous avait indiqué que tout continuait à fonctionner normalement selon les instructions des clients. Le bureau de Montréal, le seul au Canada, nous a-t-elle dit, compterait une demi-douzaine d'employés. Au début de décembre, l'entreprise a commencé à faire circuler un nouveau bulletin d'information parmi ses employés et clients appelé Stanford Did You Know. Dans ce document obtenu par La Presse Affaires, l'organisation prétend qu'elle continue à croître malgré la crise financière sans précédent. «Ne vous y trompez pas, nous resplendissons plus que jamais», écrit l'entreprise. La SEC s'interroge d'ailleurs sur les rendements improbables de Stanford. En 2008, selon la SEC, la banque soutient que son portefeuille diversifié n'a perdu que 1,8%, comparativement à 39% pour la Bourse américaine (S&P 500). Selon la SEC, les dirigeants n'ont pas collaboré avec les enquêteurs, qui tentaient notamment de savoir ce qu'il est advenu de 90% des fonds de 8 milliards, placés dans une espèce de «boîte noire» inaccessible. Hier, selon l'agence Bloomberg, le SEC disait ne pas savoir où se trouve Allan Stanford. Pas d'enquête à l'AMF Au Québec, l'Autorité des marchés financiers (AMF) n'a pas entrepris d'enquête sur la Banque Stanford. «À la lumière des faits connus, l'AMF n'a pas juridiction, car il s'agit d'une succursale d'une banque étrangère, avec des activités de dépôt», a expliqué Nathalie Drouin, directrice générale du contrôle des marchés de l'AMF. Une telle banque relève plutôt du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), qui a commencé une enquête. Par ailleurs, le directeur de la succursale montréalaise de la banque, Alain Lapointe, est membre du conseil d'administration de l'Association des diplômés de HEC Montréal. À ce titre, il a participé aux campagnes de souscription de l'organisme. M. Lapointe a obtenu son MBA de HEC en 1985. Son nom ne figure pas dans l'acte d'accusation de la SEC. Aucun autre membre du conseil de l'Association n'a de liens avec Stanford et l'organisme n'a pas placé d'argent dans cette banque, nous indique Jacynthe Alain, porte-parole de HEC Montréal. Alain Lapointe n'est pas l'ancien professeur d'économie de cette école, aujourd'hui à la retraite.
  2. Le régulateur boursier américain, la SEC, a annoncé jeudi le troisième démantèlement d'une fraude pyramidale en un mois. Pour en lire plus...
  3. Le président élu américain Barack Obama a choisi Mary Schapiro, chef de l'autorité américaine de régulation de l'industrie financière (Finra), pour prendre la tête de la SEC, l'autorité de régulation des marchés financiers Pour en lire plus...
  4. Le régulateur boursier américain, la SEC, annonce le lancement d'une enquête interne pour déterminer pourquoi l'escroquerie alléguée de l'investisseur n'a pas été détectée plus tôt malgré plusieurs alertes. Pour en lire plus...
  5. Les autorités réglementaires américaines ne se sont jamais penchées sur les activités de Bernard Madoff en matière de conseils de placements. Pour en lire plus...
  6. Je vous conseille de lire l'histoire, très intéressante ! http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=a3uKf5P1lFmg&refer=home Madoff Confessed $50 Billion Fraud Before FBI Arrest (Update1) By David Voreacos and David Glovin Dec. 12 (Bloomberg) -- Bernard Madoff confessed to employees this week that his investment advisory business was “a giant Ponzi scheme” that cost clients $50 billion before two FBI agents showed up yesterday morning at his Manhattan apartment. “We’re here to find out if there’s an innocent explanation,” Agent Theodore Cacioppi told Madoff, who founded Bernard L. Madoff Investment Securities LLC and was the former head of the Securities Industry Association’s trading committee. “There is no innocent explanation,” Madoff, 70, told the agents, saying he traded and lost money for institutional clients. He said he “paid investors with money that wasn’t there” and expected to go to jail. With that, agents arrested Madoff, according to an FBI complaint. The 8:30 a.m. arrest capped the downfall of Madoff and businesses bearing his name that specialized in trading securities, making markets, and advising wealthy clients. Many questions remain unanswered, including whether Madoff’s clients actually lost $50 billion. The complaint and a civil lawsuit by regulators describe a man spinning out of control. Madoff appeared in federal court in Manhattan at 6 p.m., wearing a white-striped shirt and dark-colored pants. U.S. Magistrate Judge Douglas Eaton described the securities-fraud charge against him and set a $10 million bond at a hearing where Madoff said nothing. Madoff later posted the bond, secured by his apartment and guaranteed by his wife. Hedge Funds, Banks Madoff’s firm had about $17.1 billion in assets under management as of Nov. 17, according to NASD records. At least half of its clients were hedge funds, and others included banks and wealthy individuals, according to the records. The firm was the 23rd-largest market maker on Nasdaq in October, handling an average of about 50 million shares a day, exchange data show. It took orders from online brokers for some of the largest U.S. companies, including General Electric Co. and Citigroup Inc. Prosecutors joined the Securities and Exchange Commission, which filed a civil lawsuit, in scrambling to unravel the collapse of Madoff’s Investment Securities business. The broker-dealer and investment adviser was housed in a lipstick-shaped building at 885 Third Ave. A rapid series of events in early December preceded the firm’s demise, according to the arrest complaint and SEC lawsuit. In the first week of December, Madoff told a worker identified as Senior Employee No. 2 that clients had requested $7 billion in redemptions, he was struggling to find liquidity, and he thought he could do so, according to the FBI and SEC. ‘Under Great Stress’ Senior employees “previously understood” that the investment advisory business managed between $8 billion and $15 billion in assets, according to the documents. On Dec. 9, Madoff told a colleague identified as Senior Employee No. 1 that he wanted to pay bonuses in December, or two months earlier than usual. The next day, Madoff got a visit at his offices from the employees. They said he appeared “under great stress” in prior weeks, according to the documents. Madoff told the visitors that “he had recently made profits through business operations, and that now was a good time to distribute it,” according to the FBI complaint. When the workers challenged that explanation, Madoff said he “wasn’t sure he would be able to hold it together” at the office and preferred to meet at his apartment, Senior Employee No. 2 told investigators. He ran his investment advisory business from a separate floor of his firm’s offices, keeping financial statements “under lock and key,” prosecutors said. ‘One Big Lie’ At his apartment, Madoff told the employees that his investment advisory business was a “fraud” and he was “finished,” according to the FBI complaint. He said he had “absolutely nothing,” that “it’s all just one big lie,” and that it was “basically, a giant Ponzi scheme,” Agent Cacioppi wrote in the complaint. The senior employees understood Madoff to be saying he had paid investors for years out of principal from other investors, the agent wrote. The business had been insolvent for years, said Madoff, who then estimated losses at more than $50 billion. Madoff said he had $200 million to $300 million left, and he planned to pay employees, family, and friends. Madoff, who had also confessed to a third senior employee, said he planned to surrender to authorities within a week, according to the complaint. Cacioppi and another agent beat Madoff to the punch. After saying he had no “innocent explanation,” Madoff confessed “it was all his fault,” Cacioppi wrote. ‘Broke,’ ‘Insolvent’ “Madoff also said that he was ‘broke’ and ‘insolvent’ and that he had decided that ‘it could not go on,’ and that he expected to go to jail,” the agent wrote. “Madoff also stated that he had recently admitted what he had done to Senior Employee Nos. 1, 2, and 3.” Madoff founded the firm in 1960 after leaving law school at Hofstra University in Hempstead, New York, according to the company’s Web site. His brother, Peter, joined the firm in 1970 after graduating from law school, it said. Madoff, who owned more than 75 percent of his firm, and his brother Peter, are the only two listed on regulatory records as “direct owners and executive officers.” Madoff was influential with the Nasdaq Stock Market, serving as chairman of the board of directors, according to the FBI complaint. He was chief of the Securities Industry Association’s trading committee in the 1990s and earlier this decade. He represented brokerages in talks with regulators about new stock-market rules as electronic-trading systems and networks grew. Madoff, who founded his firm in 1960, won an assignment to manage a $450,000 stock offering for A.L.S. Steel Corp. of Corona, New York, two years later, according to an SEC news digest. He was an early advocate for electronic trading, joining roundtable discussions with SEC regulators considering trading stocks in penny increments. His firm was among the first to make markets in New York Stock Exchange listed stocks outside of the Big Board, relying instead on Nasdaq. Madoff’s Web site advertises the “high ethical standards” of his firm. “In an era of faceless organizations owned by other equally faceless organizations, Bernard L. Madoff Investment Securities LLC harks back to an earlier era in the financial world: The owner’s name is on the door. Clients know that Bernard Madoff has a personal interest in maintaining the unblemished record of value, fair-dealing, and high ethical standards that has always been the firm’s hallmark.” The case is U.S. v. Madoff, 08-MAG-02735, U.S. District Court for the Southern District of New York (Manhattan).
  7. Le Port de Montréal garde le cap 29 novembre 2008 - 11h52 La Presse Philippe Mercure «Quand on regarde le Baltic Dry Index.... C'est hallucinant.» Les turbulences que traverse le monde maritime, Patrice Pelletier les connaît bien. C'est pourtant avec sérénité que le PDG du Port de Montréal a accepté de faire le point sur la situation avec La Presse Affaires. Il faut dire qu'alors que plusieurs de ses concurrents de la côte Est affichent des décroissances, le Port de Montréal se maintient encore - de peine et de misère il est vrai - en territoire positif. La quantité de marchandise manutentionnée a augmenté de 0,3% au dernier trimestre par rapport à l'an dernier. En septembre, le Port était encore en avance de 4,5% sur l'an dernier. Le secret de la résilience? Patrice Pelletier l'attribue à la compétitivité de ses installations. «Quand il y a des difficultés, il faut que les lignes maritimes fassent passer leur marchandise par le chemin le plus compétitif. Et quand on veut accéder à l'Europe du Nord ou à la Méditerranée, Montréal est plus rapide par un nombre de jours importants.» Reste que le grand patron du Port de Montréal ne se raconte pas d'histoires. «On n'est pas aveugles, dit-il. C'est évident qu'il va y avoir des impacts. On ne peut pas nier qu'il y a une crise et qu'elle va continuer.» Un coup d'oeil plus minutieux aux chiffres du Port montre d'ailleurs que c'est son produit-vedette, le conteneur, qui sauve la mise avec une croissance de 10,9% au dernier trimestre par rapport à la même période l'an dernier. Le vrac liquide (pétrole, asphalte, produits chimiques), qui représente environ un tiers des marchandises manutentionnées à Montréal, a dégringolé de 18% au troisième trimestre; le vrac sec (acier, minerai, gypse, sel, sucre et autres) a stagné (+0,6%). Le Port avertit aussi que les difficultés du secteur de l'automobile risquent d'aggraver la situation du vrac sec en ralentissant les importations de minerai de fer. «Pour le vrac sec, ça va être une année en baisse, prédit M. Pelletier. Et nous, des baisses, on ne connaît pas ça.» Bref, l'heure n'est pas à la fanfaronnade. Le Port de Montréal a réduit ses prévisions de croissance de 7% à 5% pour l'année 2009. «On a des plans de contingence si on n'atteint pas ces chiffres-là. Si ça arrive, il va falloir regarder les dépenses, être plus productif pour avoir quand même un rendement intéressant malgré cette crise», dit M. Pelletier, qui écarte toutefois l'idée d'abolir des emplois si la situation se dégrade. Entre-temps, M. Pelletier compte sur le dollar canadien qui vient de baisser pour aider les exportateurs du pays à lui fournir des marchandises à expédier. Et surtout, pas question de revoir l'ambitieux projet de 2,1 milliards qui vise à tripler la capacité de manutention de conteneurs d'ici 2020. «On a comparé la durée des crises passées à celle de notre projet d'investissement. Et on a conclu qu'on continuait la marche vers l'avant. On doit s'assurer qu'en 2011 et 2012, on ait la capacité suffisante. Parce que la crise, elle ne va pas durer éternellement. Les chiffres vont revenir.»
  8. La Caisse de dépôt et placement a acheté un million d’actions de la Montréalaise dans le trimestre conclut le 30 septembre augmentant sa participation à 25% selon les chiffres de la SEC. Pour en lire plus...
  9. Réunis d'urgence à Washington, les ministres des Finances des sept pays les plus industrialisés élaborent un plan commun pour sortir le secteur financier de la tourmente. Pour en lire plus...
  10. La Commission des valeurs mobilières de l'Ontario suit l'exemple de sa vis-à-vis américaine, la Securities and Exchange Commission (SEC) en assouplissant, lundi soir, l'interdiction temporaire décrétée la semaine dernière sur la vente à découvert de titres financiers. Pour en lire plus...
  11. Agissant de concert avec la FSA, la SEC a pris des mesures d'urgence temporaires pour interdire ces ventes sur les compagnies financières pour protéger leur intégrité. Pour en lire plus...
  12. La Caisse de dépôt et placement aurait évité le pire de l'effondrement boursier des sociétés hypothécaires Fannie Mae et Freddie Mac, selon les registres de la SEC américaine. Pour en lire plus...
  13. General Motors indique à la SEC qu'il va dépenser 100 M$ US cette année, 200 millions l'an prochain et 600 millions au-delà de cette échéance pour se restructurer. Pour en lire plus...
  14. Profitant d'une baisse globale des ventes de son principal concurrent, GM, au cours du premier semestre, Toyota devient, pour les six premiers mois de l'année, le numéro un de l'automobile. Pour en lire plus...
  15. Quatre autorités en valeurs mobilières provinciales et la SEC discuteront de reconnaissance mutuelle. Pour en lire plus...
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