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  1. Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
  2. Entrepreneuriat La Saskatchewan et le Québec plus dynamiques Mise à jour le mardi 20 octobre 2009 à 8 h 50 Les villes du Québec et de la Saskatchewan seraient les plus attrayantes pour les entreprises canadiennes. La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI) a comparé une centaine de villes du pays pour leurs politiques de réglementation et de taxation. La concentration d'entrepreneurs dans une région, la présence d'entreprises de démarrage et le succès des PME ont aussi été analysés. En se fiant à ces facteurs, Saskatoon est la ville canadienne la plus dynamique pour l'entrepreneuriat. Grande Prairie, en Alberta, se retrouve en deuxième position. Joliette, au Québec, se classe troisième. Des dix premières villes au palmarès, cinq sont de la Saskatchewan. Selon la FCEI, cette province est celle qui a le mieux géré le ralentissement économique. Dans l'ensemble du classement, 20 villes québécoises sont répertoriées. Québec se positionne au 37e rang. La communauté urbaine de Montréal arrive en 40e position. Plusieurs villes plus petites comme Alma (6e), Victoriaville (7e), Val-d'Or (9e) ou Rouyn-Noranda (11e) seraient plus attrayantes pour les entreprises. Ces agglomérations dominent les autres grâce à leur taux de taxation, qui est moins élevé que celui observé dans les grandes villes. Sièges sociaux Par ailleurs, la ville de Montréal continue de perdre du terrain en ce qui concerne les sièges sociaux. Selon le palmarès de l'Institut Fraser, la métropole accueillait le siège social de 92 grandes entreprises en 2000. En 2008, il n'en restait plus que 76. Ainsi, pour la première fois l'an dernier, Calgary a dépassé Montréal, avec l'ajout de 29 sièges sociaux en moins de 10 ans. Toronto connaît aussi une érosion de ses sièges sociaux, mais domine toujours le palmarès avec 176 sièges sociaux sur son territoire. Toronto, Calgary, Montréal et Vancouver abritent à elles seules les trois quarts des 500 plus grands sièges sociaux du Canada. Pour une ville, la perte d'un siège social signifie nécessairement une perte de revenus. Les bureaux administratifs d'une grande entreprise génèrent des milliers d'emplois en plus de représenter des contrats à des fournisseurs locaux.
  3. L'Institut Fraser calcule que le Québec est l'une des trois dernières provinces à atteindre la journée d'affranchissement de l'impôt, avant celle de la Saskatchewan et de Terre-Neuve-et-Labrador. Pour en lire plus...
  4. La Saskatchewan investira 950 millions de dollars dans la société d'État afin d'augmenter sa capacité de production. Pour en lire plus...
  5. Le ministre des Finances de la Saskatchewan, Rob Gantefoer, dépose un budget provincial équilibré. Pour en lire plus...
  6. Le ralentissement économique a forcé TransCanada à reporter son projet de construction d'une usine multiproductrice dans le sud de la Saskatchewan. Pour en lire plus...
  7. Bruce Power veut exploiter une centrale nucléaire dans le nord-ouest de la Saskatchewan. Pour en lire plus...
  8. Contaminée par la crise américaine, la province frôlera la récession au cours des prochains mois, contrairement à la Saskatchewan qui, selon le Conference Board, prendra la tête de la croissance canadienne. Pour en lire plus...
  9. Les provinces inégales face à la crise Dominique Lemoine, Lesaffaires.com 09:43 La croissance au Québec sera soutenue par des «perspectives prometteuses» de l’industrie aérospatiale. Toutes les provinces ne souffriront pas autant des turbulences de l’économie mondiale, prévoit le Conference Board du Canada dans sa note de conjoncture provinciale automnale 2008. L’organisme prévoit pour le Québec des croissances du PIB réel de 0,9% en 2008 et de 1,5% en 2009. Cette croissance sera soutenue par des «perspectives prometteuses» de l’industrie aérospatiale, qui devrait contribuer au redressement des exportations en 2009. Le Conference Board précise que les résultats du Québec seront globalement comparables à ceux de l’économie canadienne. Du côté de l’Ontario, le Board soutient que la crise financière mondiale amènera la province au bord de la récession, à tout juste 0,2% de croissance en 2008 et 0,8% en 2009. L’Ontario affichera en 2009 son premier déficit commercial en presque trente ans, alors que les consommateurs se serreront la ceinture et affaibliront la croissance économique. La Saskatchewan devrait de son côté connaître des croissances du PIB réel de 5,2% en 2008 et de 3,6% en 2009. «L’éventail diversifié des ressources naturelles et des produits agricoles de la Saskatchewan continuera de lui assurer une croissance solide des exportations», malgré le fléchissement des prix des produits de base. La diversification permettra aussi à l’économie du Manitoba d’échapper à la tempête. Sa croissance devrait être de 2,7% en 2008 et de 2,4% en 2009, stimulée par les secteurs agricole, de la construction et manufacturier. L’Alberta devrait quant à elle connaître une croissance de 1,2% en 2008 et de 2,6% en 2009. En 2009, la croissance de la Colombie-Britannique devrait être de 1,8%, celle de la Nouvelle-Écosse de 1%, celle du Nouveau-Brunswick de 0,8%, celle de l'île-du-Prince-Edouard de 1,3% et celle de Terre-Neuve-et-Labrador de moins de 1,5%.
  10. Le ministre des Finances, Rod Gantefoer, prévoit que le gouvernement de la Saskatchewan engrangera des surplus de près de 3milliards de dollars à la fin du présent exercice financier. Pour en lire plus...
  11. Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, annonce une série de mesures fiscales, dont une réduction du taux d'imposition des particuliers. Pour en lire plus...
  12. Dans l'ensemble, six provinces ont indiqué des hausses en juillet, soit le Nouveau-Brunswick, le Québec, l'Ontario, le Manitoba, la Saskatchewan et l'Alberta. Pour en lire plus...
  13. Sans surprise, ce sont des régions métropolitaines de l'ouest canadien qui occupent les sept premiers rangs de croissance économique. Pour en lire plus...
  14. La valeur des permis de bâtir a crû de 1,8% 8 septembre 2008 - 09h20 Presse Canadienne Après avoir enregistré une baisse de 5,3% en juin, la valeur des permis de bâtir au Canada a augmenté de 1,8% pour se fixer à 6,4 G$ en juillet. La hausse est principalement attribuable aux permis de logements multifamiliaux dans le Centre du Canada et aux intentions de construction industrielle en Saskatchewan. Pour l'ensemble du pays, dans le secteur résidentiel, la valeur des permis de bâtir a augmenté de 2,7% pour se situer à 3,7 G$. Dans le secteur non résidentiel, elle s'est légèrement accrue de 0,6% pour se fixer à 2,7 G$. La valeur des permis de bâtir a crû dans six provinces en juillet. Les plus fortes augmentations ont été enregistrées au Québec (+13,2% pour une valeur totale de 1,3 G$), en raison des hausses observées dans les secteurs résidentiel et non résidentiel. La croissance de 47,6% notée en Saskatchewan a été attribuable au secteur non résidentiel, tandis que les secteurs résidentiel et non résidentiel ont contribué à l'augmentation de 58 pour cent enregistrée au Manitoba. En revanche, la Colombie-Britannique et l'Alberta ont connu des baisses tant dans le secteur résidentiel que dans le secteur non résidentiel pour afficher des baisses de 19% et 3,9% respectivement. Dans l'ensemble, 18 des 34 régions métropolitaines de recensement ont enregistré une hausse de la valeur des permis de bâtir en juillet. Les plus fortes hausses ont été enregistrées à Kitchener, en Ontario, où une hausse principalement dans les secteurs non résidentiels a été observée, alimentant la croissance globale pour cette région de 138,8%. Montréal et Saskatoon, avec des gains respectifs de 20,8% et 160,8%, ont suivi de près. Par contre, la valeur des permis à Vancouver et à Edmonton a diminué en juillet, de 32,3% et 27,6% respectivement, en raison des baisses inscrites à la fois dans le secteur résidentiel et le secteur non résidentiel.
  15. La hausse est principalement attribuable aux permis de logements multifamiliaux dans le Centre du Canada et aux intentions de construction industrielle en Saskatchewan. Pour en lire plus...
  16. Immigrants pass Toronto to follow money West, study finds MARINA JIMENEZ From Thursday's Globe and Mail September 4, 2008 at 4:50 AM EDT A new study shows immigrants earn more money in Calgary, Regina and Saskatoon than they do in Toronto, a significant trend that could help explain why the city's share of immigrants is steadily declining. While Toronto remains overwhelmingly the dominant hub for newcomers, its proportion of Canada's total annual immigrant intake dropped to nearly one-third in 2007 from half in 2001. In contrast, the numbers settling in western cities such as Calgary, Edmonton, Regina and Saskatoon have increased every year in the past five years. "This represents a significant shift in immigration patterns," said Jack Jedwab, executive director of the Association for Canadian Studies, which released the study on immigrant family income this week. "We think of Alberta and Saskatchewan as a place for internal migration, but now the West is drawing immigrants as well." graphic Immigrants often settle where family members live, but are also drawn by economic opportunities. The oil and natural-gas booms in Alberta and Saskatchewan have led to huge labour demands and a rise in wages as business owners struggle to fill jobs. In 2005, the average annual income for an immigrant family in Calgary was $102,118, which is $33,000 more than in Montreal, $22,000 more than in Vancouver and $12,000 more than in Toronto, according to the census data analyzed in Mr. Jedwab's paper. The average income was $92,932 in Regina and $91,356 in Saskatoon. Between 2001 and 2005, Saskatchewan moved from the bottom three provinces to the top three in terms of average income for immigrant families, behind Alberta and Ontario. The wage differential between non-immigrant families in Toronto - who earned on average $139,926 a year - and those born elsewhere was 55 per cent. In contrast, the gap narrows to 33 per cent in Calgary, where non-immigrant families earn on average $136,380, and 19 per cent in Edmonton. In Regina and Saskatoon, non-immigrant families actually earn 1 per cent less on average than their immigrant counterparts. The income gap reflects social mobility. "People are asking the question, 'How am I doing as an individual, and how am I doing compared to others?' " Mr. Jedwab said. For his study on family incomes, all foreign-born Canadians were considered immigrants. But more recent cohorts of arrivals show a similar trend. Their wages are substantially lower than for the overall immigrant population; however, they still fare much better economically in the West, as well as in some smaller Ontario cities such as Oshawa and Ottawa, than in Toronto, Vancouver and Montreal. For example, the average annual income for an immigrant family who settled in Calgary between 2001 and 2005 was $69,148. The only city where they earned more money was Sudbury, while in Toronto, the average annual family income was $57,239; in Vancouver $53,028; and in Montreal $45,435. Ottawa's goal has always been to disperse immigrants more evenly across the country and avoid concentrating too many new arrivals in Montreal, Toronto and Vancouver. In 2007, cities outside the "MTV" received nearly one in three of Canada's total 236,000 newcomers. This trend is healthy, said Myer Siemiatycki, a Ryerson University professor of immigration and settlement studies, although he noted that Toronto, Montreal and Vancouver still receive the lion's share of immigrants and Montreal has actually increased its share. Well-educated newcomers may be faring better in smaller cities such as Regina because there is less competition for high-paying jobs. "Saskatchewan traditionally had problems attracting high-end talent," Prof. Siemiatycki noted. As well, the economy is not as robust and dynamic in Toronto and Montreal as it has been in Alberta and, more recently, in Saskatchewan. Ratna Omidvar, executive director of the Maytree Foundation, a charity that aims to reduce poverty and inequality in Canada, said Toronto is still a huge draw, as are surrounding cities such as Brampton and Mississauga. "For sure, there are fewer immigrants coming to Toronto, but they are going to the outlying suburbs comprising the city region," she said.
  17. L'éditeur montréalais de bottinsfait son entrée pour la première fois dans cette province en achetant Get It Pages pour un prix non dévoilé. Pour en lire plus...
  18. Les Prairies en tête de liste Mise à jour le mercredi 6 août 2008, 20 h 00 . Le Manitoba et la Saskatchewan vont enregistrer la plus forte croissance au pays en 2008, selon le Conference Board du Canada, déclassant ainsi l'Alberta et la Colombie-Britannique. Dans ses projections économiques dévoilées mardi, le Conference Board prévoit que l'économie de la Saskatchewan va enregistrer une croissance de 4,2 % cette année, comparativement à 3,6 % pour le Manitoba. Les prix élevés du pétrole et du gaz naturel, de même que la montée en flèche de la demande pour les récoltes de céréales dans ces deux provinces expliquent le fait que la Saskatchewan et le Manitoba vont déclasser l'Alberta et la Colombie-Britannique, selon l'économiste en chef du Conference Board, Glen Hodgson. Alberta et Colombie-Britannique Quant à l'Alberta et la Colombie-Britannique, ces deux provinces vont enregistrer une croissance économique modérée en 2008, prédit le Conference Board. L'économie de l'Alberta roule au ralenti en raison d'une mauvaise saison de forage et d'une pénurie de main-d'oeuvre. C'est pourquoi le Conference Board prédit une croissance de 2,6 % en 2008 la province. Pour sa part, la Colombie-Britannique continue de subir les contre coups de l'effondrement de l'industrie forestière et de la faiblesse de l'industrie manufacturière canadienne. La province, qui avait le vent dans les voiles, enregistrera uniquement une croissance de 2,2 % cette année. Pour l'ensemble du pays, le Conference Board prédit une faible croissance de 1,7 % en 2008 et de 2,7 % en 2009.
  19. Le Manitoba et la Saskatchewan vont enregistrer la plus forte croissance au pays en 2008, selon le Conference Board du Canada, déclassant ainsi l'Alberta et la Colombie-Britannique. Pour en lire plus...
  20. Regina : quand la forêt s'invite en ville Nicole Pons Édition du samedi 02 et du dimanche 03 août 2008 Nicole Pons La First Nation University of Canada et son tipi de verre La capitale de la Saskatchewan est une ville mal connue, qui offre de nombreux centres d'intérêt dans un environnement verdoyant, entièrement façonné par l'homme. Une cité contemporaine honorant son passé. Devant la profusion de verdure à Regina, il est difficile d'imaginer qu'à l'origine s'étendait ici une vaste plaine sans arbres. Amérindiens et Métis y chassaient le bison. Après l'arrivée du chemin de fer en 1882, les pionniers s'installent sur le site d'Oskana (Tas d'os) où est fondée la capitale. Une cité conceptuelle, axée sur la nature. Regina compte aujourd'hui 199 000 habitants. Ses attraits et particularités sont multiples. La nature Elle est partout. La forêt et la ville sont intimement liées. Les architectes paysagistes ont créé des lacs et des collines, planté quelque 400 000 arbres, dont 170 000 majestueux ormes, et des bouleaux. Le Wascana Centre (parc Wascana), plus grand parc urbain en Amérique du Nord, couvre presque la moitié de la cité, soit 930 hectares. Une forêt tapissée de pelouses et massifs floraux. Au milieu, le Waskana Lake, lac artificiel, a été vidé en 2003, nettoyé et approfondi, pour freiner la croissance d'algues nocives. Avec la terre extraite (3,5 millions de m3!), on a bâti deux îles. L'équilibre écologique est une priorité. Pour un arbre coupé, deux sont plantés; on étudie leur impact sur le microclimat; pour contrer les dégâts faits par les bernaches trop nombreuses, tous les ans environ 2000 oisillons sont transportés vers le Nord; une étude permettra de savoir quels poissons mettre dans le lac sans nuisances, etc. Ici, en plein corridor migratoire, on trouve une réserve ornithologique d'oiseaux aquatiques. Quelques bâtisses éparpillées dans le parc (musée, galerie d'art, Palais législatif, université, centre des sciences, centre des arts, édifice de Radio-Canada, etc.), entourées d'épaisses pelouses, semblent avoir pris la clé des champs. L'héritage amérindien La population de la Saskatchewan compte 27 % d'Amérindiens. Ce chiffre atteindrait 50 % en 2050, selon les prévisions. Bâtie dans le parc Wascana, la First Nations University of Canada, unique en son genre en Amérique du Nord, est entièrement gérée par des autochtones. Une université créée pour répondre aux besoins des Premières Nations en matière de formation générale, culture, spiritualité. En partenariat avec l'Université de Regina, elle prépare à des diplômes dans les secteurs de la santé, des sciences, des sciences sociales, de l'administration des affaires, des arts et langues autochtones. Tout en courbes, le nouveau bâtiment construit en 2003 présente la signature évidente de son architecte, Douglas Cardinal. Ici le futur se nourrit toujours du passé. Dans le hall, un étonnant tipi de verre est une chapelle destinée à des cérémonies en l'honneur des vétérans des Premières Nations ayant servi dans l'armée canadienne pendant la Deuxième Guerre mondiale. Les étudiants y rencontrent les aînés. http://www.firstnationuniversity.ca La culture francophone La communauté francophone de la Saskatchewan d'origine auvergnate, belge, bretonne, québécoise, a failli disparaître dans les années 1920, quand le Ku Klux Klan, alors très puissant ici, voulut faire régner l'ordre anglophone protestant, et fit interdire le français dans les écoles. Quand les francophones ont retrouvé leur légalité, ils se sont pris en charge et dotés d'outils pertinents. Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS), fondé en 1946, est basé à Regina. Chargé de stimuler l'économie de la communauté fransaskoise (francophones de la Saskatchewan), il oeuvre dans divers domaines: création d'emplois, développement coopératif et rural, projets économiques, tourisme (http://www.ccs.sk.ca). L'Association canadienne-française de Regina (ACFR) fait la promotion de la langue et de la culture francophones. Elle est basée au Carrefour des Plaines, lieu de ralliement des Fransaskois que l'on rencontre aux 5 à 7 du vendredi au Bistro. École, services, spectacles, en français (3850, Hillsdale Street, http://www.acfr.ca). L'Institut français universitaire offre un baccalauréat en études francophones. Enfin, l'hebdomadaire fransaskois, L'Eau vive, est publié à Regina. Les incontournables Certains attraits sont incontournables. L'immense Legislative Building, construit vers 1910, est une magnifique bâtisse dans le parc Wascana, face au lac. L'architecture, le faste des décorations avec 34 variétés de marbre, ont été voulus par son initiateur, Thomas Walter Scott, 1er premier ministre de la province (visites en français). Autre institution, la Gendarmerie royale du Canada (GRC), établie à Regina depuis 1885. Le nouveau Centre du patrimoine de la GRC, en verre et pierre, a été conçu par l'architecte Arthur Érickson sur le site de l'école où sont formés les cadets. Ouvert en mai 2007, il présente l'histoire et le mandat de la police montée (visites en français, http://www.rcmp.heritagecentre.com). Au plan culturel, le Royal Saskatchewan Museum présente plusieurs dioramas plus vrais que nature sur la faune et les habitats de la province et une extraordinaire galerie consacrée aux Premières Nations (http://www.royalsaskmuseum.ca). Quant à la Mackenzie Art Gallery, elle expose des oeuvres d'art canadien (notamment inuit et amérindien) contemporaines, de très haut calibre (http://www.mackenzieartgallery.ca). Un «downtown» branché Le centre-ville est en plein développement. Moribond il y a 20 ans, il a été sauvé par des gens d'affaires qui ont pris en charge sa restructuration. Condos de luxe, bureaux, hôtels, boutiques, restaurants, lieux de divertissement et spectacles ont ainsi fleuri. De 800 habitants dans le secteur il y a 10 ans, on est passé à 10 000. Compris entre le casino au nord et le parc Wascana au sud, le quartier Downtown est cosmopolite et animé, surtout autour de la 11e avenue avec le Cornwall Centre, énorme centre commercial, et les zones piétonnes du F. W. Hill Mall et de Scarth Street. Autres lieux branchés et récemment rénovés, Cathedral District, à l'ouest de Downtown sur la 13e avenue, et Old Warehouse District, important quartier d'affaires autour de Dewdney Avenue, où 80 immeubles et entrepôts ont été réhabilités. Un must pour la vie nocturne. Tourism Regina, % 1 800 661-5099, http://www.tourismRegina.com.
  21. Les quelque 500membres du Syndicat des travailleurs unis de l'acier ont voté à 96% pour faire grève si les négociations avec l'employeur ne progressent pas. Pour en lire plus...
  22. A new era of prosperity RICHARD FOOT, Canwest News Service Published: 8 hours ago Boom times for have-not provinces are redrawing Canada's economic and political map. The remarkable growth is resource-driven: potash and uranium in Saskatchewan, offshore oil in Newfoundland and Labrador To find the front lines of the global commodities boom, drive an hour east from Saskatoon on the Yellowhead Highway to Lanigan, Sask., home of the world's largest potash mine. Two huge, dome-covered warehouses, each about the size of a football field, stand on the mine site, eerily empty except for a few dusty sweepings of potash on the floors. "A decade ago there would have been a mountain of potash in here," said Will Brandsema, general manager of AMEC, whose engineering firm recently completed a $400-million expansion of the mine for the Potash Corp. of Saskatchewan. Potash Corp.'s Lanigan mine in Saskatchewan. The price of the mineral has soared to nearly $1,000 a tonne from about $100.View Larger Image View Today, worldwide demand for the pinkish, chalk-like mineral is so great, Potash Corp. can't keep its warehouses full. In the past four years, the price of potash - the basic ingredient of fertilizer - has soared to nearly $1,000 per tonne from about $100, largely because of rising populations in China and India and their sudden appetite for high-value, fertilizer-grown food. Thanks to a quirk of geologic good fortune, Saskatchewan is filled with potash and now produces more than a quarter of the world's supply. What was for years an unremarkable export has suddenly become one of the most treasured commodities on Earth - pink gold, you might call it - which, alongside surging sales of oil, uranium and even grain, is suddenly making Saskatchewan the economic envy of the nation. About 3,000 kilometres away, another once-poor province accustomed to life on the economic fringes is also reaping a windfall from its natural resources. Skyrocketing oil prices are fuelling an extraordinary economic turnaround in Newfoundland and Labrador, where a fourth offshore oil project will soon be in development. Petrodollars are transforming St. John's from a down-at-the-heels provincial capital into a bustling energy city brimming with stylish restaurants, affluent condo developments and a sense of euphoria not seen there since cod were first discovered on the Grand Banks. "The Newfoundland and Saskatchewan economies have gone from stagnant to stellar," Statistics Canada declared in its May Economic Observer. "These two provinces have moved beyond old stereotypes and stepped into a new era of prosperity." Both provinces led the country last year in growth of exports, in the rate of housing starts and in growth of gross domestic product - the only provinces, along with Alberta, whose per capita GDP was above the national average. In June, a report by the TD Bank Financial Group called Saskatchewan "Canada's commodity superstar" and said if the province were a country, it would rank fifth in the world among member nations of the Organization for Economic Co-operation and Development, in terms of per capita GDP. It would trail only Luxembourg, Norway, the United States and Ireland. (Alberta would come second if ranked on the same list.) John Crosbie, who announced the cod fishery's shutdown as federal fisheries minister and is now the province's lieutenant-governor, expressed the mood of many Newfoundlanders while reading his government's throne speech in March: "Ours is not the province it was two decades ago," Crosbie said. "We are - for the first time in our history - poised to come off equalization very soon. This is a stunning achievement that will reinforce the bold new attitude of self-confidence that has taken hold among Newfoundlanders and Labradorians." What do such economic shifts mean for the country as a whole, and how will the rise of two weaker provinces, coupled with the manufacturing malaise in Ontario, affect the workings of confederation? First, many economists say it's a mistake to underestimate the resilience and strength of the huge Ontario economy. They also say the surging energy economies of Alberta, Saskatchewan and Newfoundland face their own challenges, including cyclical commodity prices, the social costs of rapid development and severe labour shortages. Canada is already facing a labour crunch that's only going to worsen with time. In six years, said economist Brian Lee Crowley, president of the Atlantic Institute for Market Studies, there will be more people leaving the country's labour force than entering it. The new demand for workers in Saskatchewan and Newfoundland, especially in construction and engineering, can only exacerbate the problem. In 2006, for the first time in 23 years, Saskatchewan stopped losing people, on a net basis, to other provinces, thanks to the thousands of workers streaming home from Alberta to new jobs in Regina, Saskatoon, Moose Jaw and elsewhere. As job opportunities also grow in Newfoundland, and competition for skilled workers intensifies, the availability of labour will decline and the cost of it will increase, putting further pressures on the dollar and on manufacturers. The rampant growth of Canada's resource-rich economies is also expected to force changes to the federal equalization program. In April, the TD Bank forecast that Ontario, a longtime contributor to equalization, could become a recipient as early as 2010 - not because Ontario's economy is falling apart, but because it is slipping relative to the extraordinary growth of commodity-producing provinces. As the resource boom pushes the average level of provincial revenues higher, provinces like Ontario will fall below that average, and the cost of funding equalization will increase. Yet the federal government won't be able to afford the program, because Ottawa has no access to the commodity revenues that are driving up its cost; natural resource royalties flow only to the provinces. "The amount of money required for that program is going to get bigger and bigger," said Wade Locke, an economist at Memorial University in St. John's. As for Newfoundland and Labrador, over the past decade its per capita GDP has risen to $10,000 above the national average from $10,000 below - the fastest 10-year turnaround of any province in Canadian Newfoundland and Saskatchewan both reaped a bonanza last year from commodity royalties. Newfoundland posted a record $1.4-billion budget surplus; Saskatchewan announced a $641-million surplus plus a $1-billion infrastructure spending spree. While those two provinces enjoy their economic rebirth, recession stalks other regions of Canada, in particular the industrial heartland of Ontario. There, many manufacturers are struggling with high energy costs and a strong dollar, and the North American automakers - once Canada's economic engine - are shedding jobs and shutting factories. John Pollock, chairman of Electrohome Ltd. in Kitchener, Ont. - he is winding up the affairs of a once-proud consumer electronics maker forced to the sidelines by overseas competition - predicts Ontario is entering a period of perhaps a decade or more in which it will no longer drive the country's economy. "There's going to be a period of transition that's going to be tough," he said. "Ontario has supported the rest of the country - provinces like Saskatchewan and Newfoundland - for years. Maybe it's time for a shift." Global financier George Soros recently described Canada's economy as a split personality - half beleaguered by a sluggish manufacturing sector, and half enjoying the wonders of the worldwide resource boom. Never before have the fault lines between Central Canada's energy-dependent provinces and the far-flung energy-rich ones been so stark, says Brett Gartner, an economist with the Canada West Foundation, a Calgary think-tank. "Of course, Ontario's not about to fade away. It still accounts for more than 40 per cent of the national economy," Gartner said. "But let's not discount what's happening in the regions. It's quite astounding." In Saskatchewan, for example, Potash Corp., buoyed by a share price that has made it one of the leading companies on the Toronto Stock Exchange, is spending $3.2 billion to construct new mines and expand existing ones. Much of that work has gone to AMEC, an international engineering firm that recently refurbished a second mill at the Lanigan mine after the facility was closed in the 1980s because of lack of demand. Will Brandsema, who runs AMEC's Saskatoon office, says he can't hire engineers fast enough to fill the jobs created by mine expansions in the potash and uranium industries. Eight years ago, AMEC employed 64 people in Saskatoon; today that number is 325. "You talk about have-not provinces," he said. "Ten years ago, I spent most of my time in the office looking for business. Now I spend most of my time with human resources, looking for people to hire. "It's just amazing the growth here, and not only in potash. Thirty per cent of the world's uranium comes out of this province. And we have other commodities - oil, gas, coal and the whole agricultural side. All of these are going to grow." Saskatchewan left the ranks of equalization-receiving provinces in 2007. Newfoundland and Labrador is expected to become a "have" province this year or next, a startling change considering that the cod fishery - once the foundation of the province's economy - has not substantially reopened since its devastating closure by Ottawa in 1992. "It's currently $13 billion. It's going to be $30 billion in 10 years. The federal government doesn't have the financial wherewithal to fund that program." Yet abolishing or changing equalization, a program required by the constitution, presents huge political problems, particularly in Quebec, which receives the largest equalization payment, although the lowest per capita amount. "You're going to see some serious restructuring of equalization, but not before the next election," Locke said. "The Harper government is not going to do it." Changes to equalization, not to mention a realignment of "have" and "have-not" provinces, could also prompt a new wave of regional beefs and resentments - the bane of confederation. Ontario Premier Dalton McGuinty is already complaining about how much his province's taxpayers contribute to national transfer programs, a system Ontario governments once supported in better economic times. Oil itself could become a flashpoint that divides the country. Public demands in Quebec, Ontario or British Columbia for a national carbon tax would now raise the ire of more than just one oil-producing province. In the meantime, Saskatchewan and Newfoundland, which typically wield little weight in national discussions, could use their new economic clout to campaign for a truly effective Senate, with real power to represent regional interests. "There is some realignment of economic power occurring that will influence the national political debate," said former Newfoundland premier Brian Peckford, who now works as a business consultant in British Columbia. "Premiers' meetings, for example, won't be dominated by only a few big provinces. Smaller provinces like Saskatchewan and Newfoundland won't have to shout and demand to be heard. We'll get noticed simply by being there." Still, Peckford - who grew up in a province so poor that he remembers, as a boy, studying his schoolbooks by kerosene lamp - warns Newfoundlanders not to let their budding affluence go to their heads. "I would caution them that as they grow financially, they must also grow emotionally and socially," he said. "The last thing Newfoundland and Labrador should do is get arrogant about this, because one never knows how long it will last. "A lot of Canadians helped us after we joined confederation, so it's our turn now to contribute back." Rags to resources: First of a series Boom times for the "have-nots" are redrawing Canada's economic and political map. Next: Day 2: Flush with commodities cash, Saskatchewan revels in its rebirth. Day 3: From misfit to petro-darling: Newfoundland's remarkable transformation. Day 4: Hard times in the industrial heartland: Ontario's painful transition. Day 5: The ''curse'' of resources: Post-fortune perils. Day 6: Finding new fortunes: Quebec's industrial heartland moves on. http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=6fd0d4f0-4e9c-462d-af41-4ae1b93545a0&p=3
  23. Le plus grand producteur d'engrais au monde prévoit investir 1,6 G$ US pour ajouter 2,7 millions de tonnes à la capacité de potasse de trois de ses usines et mines en Saskatchewan. Pour en lire plus...
  24. La société Yara International, d'Oslo, acquiert le fabricant d'engrais azoté de Belle Plaine pour 1,6milliard de dollars. Pour en lire plus...
  25. La Laurentienne prévoit une croissance modérée au Québec 20 juin 2008 - 08h11 La Presse Canadienne L'économie québécoise progressera à un rythme inférieur à sa vitesse de croisière habituelle en 2008 et 2009, selon Valeurs mobilières Banque Laurentienne, qui publie ses perspectives, vendredi. L'économiste Sébastien Lavoie précise que la croissance économique de 0,8 et de 1,7% pour ces deux années sera en-deçà de la moyenne de 2% observée depuis 2001. L'économie québécoise subira les contrecoups du ralentissement aux États-Unis compte tenu de son grand degré d'ouverture aux échanges commerciaux. Toutefois, M. Lavoie n'entrevoit pour le Québec aucune récession. Il cite à cet effet quelques facteurs: l'allègement fiscal provincial sur le revenu et la baisse de la taxe sur les produits et services (TPS) qui stimuleront les dépenses de ménages; le grand nombre de projets d'investissements privés et publics; l'exploration dans les secteurs minier et gazier, et la bonne santé de l'agriculture. Click here to find out more! La Banque Laurentienne prévoit qu'ailleurs au Canada, l'expansion économique sera également plus modérée cette année. En Ontario, le dérapage de l'industrie automobile frappera fort. L'expansion économique y sera la plus faible au pays en 2008, tout près du point neutre. Pour la première fois depuis 2002, la croissance économique albertaine sera inférieure à 2,5%. L'Alberta laissera sa place à la Saskatchewan comme chef de file au pays puisque sa croissance économique avoisinera 3%. En plus du pétrole, la Saskatchewan est un important producteur mondial de potasse et d'uranium. Leader mondial dans la production de blé et d'orge, cette province est aussi de loin celle qui est en meilleure posture pour profiter du boom du prix des céréales. Le secteur de l'agriculture au Manitoba tirera également son épingle du jeu. Plus à l'Ouest, la Colombie-Britannique profitera des entreprises qui se lancent à la recherche de nouveaux sites d'exploitation de gaz naturel. Le nouveau cousin riche du Canada, Terre-Neuve-et-Labrador, ne recevra plus de paiements de péréquation très bientôt en raison du boom pétrolier. L'annonce prochaine d'un accord avec le gouvernement du Canada au sujet des revenus énergétiques extracôtiers pourrait aider la situation économique et fiscale de la Nouvelle-Écosse. La croissance économique sera modeste en Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard.
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