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  1. La SAQ Signature située dans le Complexe Les Ailes déménagera sur la rue de la Montagne. Images : Sid Lee Architecture Le design de la SAQ Signature de Québec est vraiment bien!
  2. Ouverte depuis le 31 mai 2016. C'est la succursale qui était au coin de la 30e avenue qui a déménagé dans ces nouveaux locaux. Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  3. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201512/09/01-4929658-de-la-marijuana-legale-a-la-saq.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-actualites_article_ECRAN1POS1 Publié le 10 décembre 2015 à 05h00 | Mis à jour à 06h10 De la marijuana légale à la SAQ? Tristan Péloquin La Presse Le syndicat des employés de la Société des alcools du Québec voit d'un bon oeil la possibilité que le cannabis récréatif, une fois légalisé, soit vendu dans les succursales de la société d'État. Ses 5500 membres ont demandé à l'Institut de recherche et d'informations socio-économiques (IRIS) de mener pour eux une étude sur la question. «On n'est pas opposés [à la vente du cannabis], mais ce sera éventuellement à nos membres de décider en congrès quelle est notre position à ce sujet, affirme Marc-André McSween, vice-président du Syndicat des employés de magasins et de bureaux de la SAQ (SEMB-SAQ). Pour l'instant, ce qu'on veut obtenir, c'est une étude qui nous démontrera quelles sont les répercussions.» Le syndicat pourrait demander à ses membres d'adopter une position claire à ce sujet dès ce printemps, au cours de leur prochaine assemblée générale. «Il y a de plus en plus un consensus pour que ce marché soit récupéré par le secteur public. Nous avons une formation en éthique de vente, la SAQ fait du contrôle de la qualité avec ses laboratoires. Nous voyons un lien entre ce que nous faisons présentement et la commercialisation du cannabis», lance M. McSween. La SAQ assure de son côté ne pas avoir de projet en ce sens. «On fait de la collecte de données sur ce qui se fait dans le monde, admet le porte-parole Jean-Vincent Lacroix, mais c'est clair qu'il n'y a pas d'orientation. Ultimement, c'est au gouvernement de donner les orientations.» Demandes en Colombie-Britannique, en Ontario et au Manitoba Dans son récent discours du Trône, le premier ministre Justin Trudeau a réitéré son engagement de légaliser et d'encadrer la vente de marijuana récréative au pays, sans toutefois préciser de feuille de route. La semaine dernière, en Colombie-Britannique, le Syndicat des employés de service du gouvernement et l'Association des magasins privés d'alcool ont cependant pris les devants, demandant conjointement que la marijuana soit vendue uniquement dans les Liquor Stores de la province. En Ontario, le président du Syndicat des employés de la fonction publique, Warren Thomas, s'est aussi publiquement prononcé pour la possibilité que la LCBO obtienne le monopole de la vente de cannabis récréatif. Le premier ministre du Manitoba, Greg Selinger, a également recommandé, en novembre, que la vente de marijuana se fasse exclusivement dans les magasins d'alcool de la province. Au Québec, Hydropothicaire, le seul producteur de cannabis médical actuellement autorisé par Santé Canada, se dit aussi favorable à ce que les magasins d'alcool en soient les distributeurs exclusifs. «Ce qui est le plus important à nos yeux, c'est qu'il y ait une vérification d'âge. Ces réseaux de vente sont déjà habitués à le faire. Ce serait le moyen le plus simple et le plus rapide», affirme son PDG, Sébastien St-Louis. Le privé aux États-Unis Dans l'État de Washington et au Colorado, où la vente de marijuana a été légalisée au cours des deux dernières années, ce sont plutôt des commerces privés qui assurent la vente de cannabis et de produits dérivés. Les vendeurs - appelés budtenders - doivent absolument obtenir une licence du gouvernement, qui leur est délivrée seulement après une vérification de leurs antécédents judiciaires. Les commerces de vente d'alcool, qui sont également privés, n'ont pas le droit de vendre de marijuana sous quelque forme que ce soit. Un marché substantiel Marché du cannabis médical au Canada: 1,3 milliard Marché estimé du cannabis récréatif: 8 milliards* Nombre de succursales de la SAQ: 400 Nombre d'employés: 5500 Dans l'État de Washington Population: 7 millions Ventes totales en dollars de cannabis depuis la légalisation (juin 2014): 622 millions Taxes récoltées: 177 millions * Selon Hydropothicaire
  4. Situé sur la rue des Migrateurs. Le territoire pointillé continue de se développer et depuis que la photo a été prise, il s'est construit une SAQ Dépôt. Photos : Smart Centres Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  5. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201404/25/01-4760915-quebec-doit-envisager-de-privatiser-la-saq-et-hydro-selon-des-experts.php Publié le 25 avril 2014 à 13h55 | Mis à jour à 13h55 Québec doit envisager de privatiser la SAQ et Hydro, selon des experts Jocelyne Richer La Presse Canadienne Québec Le gouvernement Couillard doit envisager de privatiser partiellement Hydro-Québec et la Société des alcools (SAQ) pour remettre le Québec sur le chemin de la santé financière, selon deux experts. Ces derniers, Luc Godbout et Claude Montmarquette, ont tracé vendredi un portrait extrêmement sombre de l'état des finances publiques, dans un rapport commandé par le gouvernement avant même d'être officiellement en fonctions. La situation est telle, selon eux, que seul un remède de cheval pourra éviter au gouvernement d'affronter les conséquences financières d'une décote des grandes agences de notation de crédit. La vente partielle d'actifs, comme Hydro-Québec et la SAQ, ne serait qu'une des solutions préconisées en vue de sortir l'État québécois du gouffre budgétaire. Car ils estiment que Québec doit prendre dès maintenant toute une série de moyens, qui risquent de faire plus mal les uns que les autres: gel de la masse salariale de la fonction publique, hausse (et non une simple indexation) des tarifs de garderies, imposition de tarifs à des services gouvernementaux actuellement gratuits, révision des programmes sociaux et réévaluation des subventions et crédits d'impôt aux entreprises. Seul un plan d'austérité ambitieux pourrait, selon ces deux économistes, permettre au gouvernement Couillard d'espérer atteindre la cible prévue par l'ancien gouvernement péquiste, soit un déficit de 1,75 milliard $ en 2014-2015, prélude à l'atteinte de l'équilibre budgétaire en 2015-2016. Dans la situation actuelle, si rien n'est fait, Québec se dirige vers un déficit plus important que prévu, de l'ordre de 3,7 milliards $ cette année, risquant d'autant de mécontenter les agences de notation. Les deux experts recommandent aussi une révision de la fiscalité, ce que s'est déjà engagé à faire le premier ministre Philippe Couillard. Ils recommandent de plus de privilégier une gestion des dépenses gouvernementales à plus long terme, pouvant s'étaler sur plusieurs années.
  6. La SAQ, avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal, prévoient la construction d'une nouvelle succursale sur une partie du terrain de stationnement proche de la bâtisse de Première Moisson.
  7. jesseps

    SAQ lawsuit

    CJAD This should be an interesting case to watch. We know that we are being screwed.
  8. Nouveau projet sur l'avenue Masson.. La SAQ présentement sise au coin de la 7eme Avenue est supposé déménager là.. ****FUTURE RUE PIÉTONNIÈRE***** Projet "Le Masson": une SAQ et 12 appartements en copropriété sur la Promenade Masson, près des restos branchés et au coeur de l'action d'un quartier à la mode. Construction supérieure avec la garantie de qualité-habitation, excellent rapport qualités/prix. PROJET ALDO CONSTRUCTION NB 5 stationnements disponibles en option. (Coût 10,000$ chacun)
  9. (Courtesy of CJAD) I am all for trying to get better prices and a larger selection of wine. Now the SAQ just needs to buy a spirits distributer in the US so we can get better prices on scotch, vodka and other hard alcohol.
  10. (Courtesy of The Montreal Gazette) Sucks to be them. Guess the SAQ doesn't want to waste tax payers money to wait and see if all will get better, with people moving into the condo being developed next door. I guess the people complaining are just going to have to cab it or take the metro. I just wonder who will take over the 7000 sq.ft at the Pepsi Forum
  11. Vendre Hydro, la SAQ et Loto-Québec? 08/03/2010 L’Ontario étudie sérieusement la possibilité de créer une super entité, d’y transporter ses principales sociétés commerciales, et d’émettre une partie des actions au public. Idée dont devrait s’inspirer le Québec? Le Toronto Star rapportait cette fin de semaine que le gouvernement ontarien pourrait bientôt créer une super société dans laquelle il transporterait Hydro One, l’Ontario Lottery & Gaming Corp, et la LCBO. Cette super entité pourrait valoir entre 50 et 60 G$. Elle serait ensuite en partie vendue à des investisseurs privés ce qui permettrait de faire rentrer entre 18 et 25 G$ dans les coffres de la province. On s’est demandé ce que l’exercice pourrait donner au Québec. La valeur d’Hydro La société d’État a dégagé l’an dernier (2008) un bénéfice avant intérêts, impôt et amortissement (BAIIA) de 8,8 G$. Gaz Métro se négocie à environ 8 fois le BAIIA, mais on va être un peu plus généreux et appliquer un multiple de 10, qui correspond au multiple moyen du secteur des utilités et des producteurs d’énergie des firmes d’investissement Cormark et Desjardins. Cela veut dire 88,8 G$. Il faut retrancher la dette de 36,4 G$. On en arrive à une valeur de 52,4 G$ pour Hydro. La valeur de Loto-Québec On a évalué le BAIIA de la dernière année à environ 1,7 G$. Bien que sa rentabilité soit actuellement sous pression, Loto-Québec a la chance d’évoluer dans un secteur où les investisseurs sont actuellement prêts à payer plus cher pour des actifs que dans d’autres secteurs. L’univers de la maison Oppenheimer se négocie autour de 14-15 fois le BAIIA. On va prendre 14 fois. Moins la dette de un peu plus de 1 G$. C’est une valeur de 22,8 G$ pour Loto-Québec. La valeur de la SAQ Un BAIIA autour de 842 M$. Une dette de 545 M$. Optons pour un multiple de 10, ce qui est à prime sur l’univers des sociétés d’épicerie de Banque Nationale Groupe financier, mais en ligne avec la fiducie Liquor Stores. Valeur : 7,8 G$. Bon pour le Québec? En additionnant la valeur de chacune des société, on en arrive à une super entité qui devrait valoir autour de 83 G$. S’il faut en croire les chiffres du Star, le gouvernement ontarien songerait à céder 35-40% de la super société. Allons-y avec 40%. C’est dire que l’on pourrait retrancher 33,2 G$ à la dette de la province (134 G$). Toute chose étant relativement égale, le service de la dette (actuellement à 6,5 G$) baisserait d’environ 1,6 G$. Il faut cependant aussi retrancher 40% du bénéfice que le gouvernement a actuellement dans ses livres, puisque l’on n’y aurait plus droit. Si l’on retranche 40% de ce que le gouvernement attend de ses sociétés d’état dans le dernier budget, on se retrouve avec un manque à gagner de 1,9 G$. Quoiqu’il rentrerait probablement autour de 600 M$ en impôt (11,9%) que les sociétés se mettraient à payer. Ca fait donc un manque à gagner de 1,3 G$. Au final On se retrouve donc avec un gain de 1,6 G $ et une perte de 1,3 G $, pour un avantage réel de 300 M$. Évidemment, il y a un peu de pommes et d’oranges dans notre calcul, avec des années fiscales qui ne courent pas toujours sur la même période, des écritures qui pourraient parfois être adaptées, des taux d’intérêt qui peuvent grimper et des multiples qui prêtent à discussion. Mais, très sommaire soit-il, l’exercice permet quand même ce constat : il n’y a pas un très fort signal pour une opération du genre. En tenant compte des coûts de transaction, on ne semble pas loin de changer quatre trente sous pour une piastre.
  12. Henri-Paul Rousseau n'est pas le seul à bénéficier d'une clause particulière d'indemnité de départ. Les PDG d'Hydro-Québec, de la SAQ et de la SGF aussi. Pour en lire plus...
  13. Par la facturation des sacs à usage unique, la société d'État espère recueillir des fonds pour des organismes qui oeuvrent dans le domaine du développement durable. Pour en lire plus...
  14. La SAQ peut trinquer à son premier trimestre 20 août 2008 - 14h31 LaPresseAffaires.com La Société des Alcools (SAQ) peut sabler le champagne pour son premier trimestre de l’exercice en cours alors que ses revenus et ses profits ont pointé à la hausse. Au sommet de ces bons résultats se retrouvent les ventes de la SAQ. Elles ont atteint les 516,2 M$ lors de ce trimestre, une croissance de 22,4 M$ ou 4,5% par rapport à l’exercice précédent. Les ventes nettes du réseau des succursales et des centres spécialisés ont totalisé 455 M$, contre 434,9 M$ pour l'exercice précédent, une croissance de 4,6 %. Les vins spécialisés font également très bien alors que les ventes ont augmenté de 13%. Ces résultats confirment la tendance des Québécois à découvrir davantage de nouveaux produits, souligne la SAQ. Dans la colonne des profits, l’augmentation a été de 2,4% par rapport à la période correspondante l’an dernier alors qu’ils se sont chiffrés à 165,8 M$. Ce premier trimestre a également été marqué par l’arrivée de Philippe Duval à la tête de la Société. Il remplaçait Sylvain Toutant qui avait démissionné de son poste en novembre dernier.
  15. Les ventes et les profits de la Société d'État ont été à la hausse pour ce premier trimestre de l'exercice en cours. Pour en lire plus...
  16. La Société des alcools du Québec déclare des profits en hausse de 7,5% à 760,9 M$ pour son exercice 2007-08. Pour en lire plus...
  17. La ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget, se dit à l'aise avec la décision de la Société des alcools de confier à un fabricant chinois la confection de quelque 75000 uniformes d'employés. Pour en lire plus...
  18. Le Journal de Montréal 13/12/2007 Un nouveau concept de SAQ Express 22 h, aménagé au coût de 730 000 $, ouvre ses portes aujourd’hui au centre-ville, rue Sainte-Catherine Ouest. Un an après avoir commencé à tester ses SAQ Sélection nouveau genre, la société d’État entreprend la transformation de ses 34 succursales Express, a appris Le Journal de Montréal. Un processus qui devrait s’étendre sur près de dix ans. La nouvelle image de ces petits points de vente se veut plus jeune, plus urbaine, plus épurée. La SAQ souhaite aussi y rendre le magasinage plus facile. Car 81 % des clients de la bannière Express font leurs achats en seulement cinq minutes. Côté look, la nouvelle succursale du centre-ville étonne avec ses murs blancs décorés de grandes toiles modernes; son plancher, très pâle, qui imite le bambou; son plafond de 48 pieds; et la lumière provenant de puits. Pour le côté pratique des choses, tous les vins rouges ont été placés à droite, les blancs et les coolers, à gauche, les spiritueux, au centre. Et comme on le voit dans les quatre SAQ Sélection nouvelle génération qui existent à ce jour, des pastilles de couleur précisent le «goût» des vins aux consommateurs. Abolition des Classique Toutes les autres succursales Express adopteront ce concept qui met en évidence les heures d’ouverture prolongées (jusqu’à 22 h). En moyenne, les transformations coûteront 130 000 $. La succursale près de la rue Stanley est donc exceptionnelle. Simultanément, les Sélection continueront de changer de look, et la bannière Classique sera rebaptisée SAQ. «Nous avons réalisé que cette désignation ne voulait rien dire pour les gens», explique Lyne Rodrigue, directrice du développement immobilier de la SAQ. Tous ces changements devraient coûter autour de 60 M$, ce qui n’est pas «beaucoup plus», affirme-t-on, que le budget habituel de la SAQ pour l’amélioration de son réseau de succursales.
  19. Le technopole Angus finalise son expansion 29 mai 2007 | Léonie Laflamme-Savoie , LesAffaires.com Le technopole Angus vient de faire l’acquisition du dernier terrain compris dans son plan d’expansion initial. Le technopole s’étend à présent sur 1,4 millions de pieds carrés et près de 40 entreprises s’y sont installées. Parmi elles on compte la compagnie française spécialisée dans la conception de jeux vidéos Ubisoft, Hélimax Énergie une entreprise spécialisée dans l’énergie éolienne ainsi qu'une succursale des caisses Desjardins et de la SAQ. Depuis 1996, ce sont près de 1000 emplois qui ont été créés sur le territoire du technopole qui réalise des revenus annuels de plus de 7M$. Le technopole est entièrement géré par la Société de Développement Angus (SDA), un organisme communautaire.
  20. La SAQ dégage un profit annuel de 710,1 M$ 8 juin 2007 | Presse Canadienne, La Société des alcools du Québec (SAQ) a conclu son exercice avec un bénéfice net de 710,1 M$, en hausse de 8 % comparativement aux 656,9 M$ de l'année dernière, tandis que ses ventes ont suivi la même progression pour atteindre 2,9 G$. Les recettes gouvernementales totales tirées de l'exploitation, incluant les revenus fiscaux, ont atteint 1,4 G$, a indiqué vendredi la société d'Etat, dans un communiqué. Durant l'exercice, la croissance des ventes en volume (litres) a été de 6,5 %. La part du vin dans les ventes totales en dollars de la SAQ a continué de s'accroître de 1,8 % pour atteindre 76,8%, alors que celle des spiritueux a légèrement régressé de 0,4 %, à 15,6 %. La part des boissons panachées (coolers) a diminué de 1,1 %, à 5,9 %. La bière ferme la marche avec 1,4 % des ventes, comparativement à 1,5 % en 2005-2006. La plus grande partie de la croissance des ventes provient des succursales, dont le niveau d'activité continue de croître alors que celui des secteurs de la restauration et de l'alimentation demeure stable. Par ailleurs, la SAQ a disposé en cours d'année de sa participation dans Maison des Futailles. La cession de ce placement, qui découle de la mise en oeuvre de son plan stratégique, a engendré un gain de 3 M$. "Nous sommes très satisfaits de ces résultats, non pas parce qu'il s'agit de résultats records, mais parce qu'ils sont le fruit des efforts de tous les employés pour faire de la SAQ un meilleur détaillant et une entreprise innovatrice", a déclaré le président-directeur général de la SAQ, Sylvain Toutant. Plus tôt cette semaine, la régie des alcools de l'Ontario (LCBO) a indiqué que son bénéfice annuel net avait augmenté de 7,6 %, pour atteindre 1,3 G$. Ses ventes ont atteint le niveau de 3,9 G$, pendant l'exercice, en hausse de 235 M$. La LCBO a versé un dividende de 1,275 G$ dans les coffres de la province de l'Ontario. Vendredi, la SAQ a indiqué que durant l'année, elle a ouvert sept magasins dans de nouveaux secteurs, tandis que 38 autres ont été agrandis ou déménagés dans des locaux plus vastes ou rénovés. La société d'Etat note aussi dans son communiqué que la consommation d'alcool des Québécois, qui est équivalente à 7,6 litres d'alcool pur par année, est alignée sur la moyenne canadienne et se situe en deçà des normes de Santé Canada. Le modèle de consommation des Québécois est "le plus responsable au Canada avec des consommations plus fréquentes, mais en plus petites quantités qu'ailleurs au Canada", estime la SAQ. Elle observe que les Québécois évoluent aussi vers la consommation de produits de gamme supérieure.
  21. Profits records à la SAQ 26 avril 2007 - 06h48 Le Soleil Pierre Couture La Société des alcools du Québec (SAQ) est de plus en plus rentable. Au cours de la dernière année, la société d'État a engrangé des profits de plus de 700 millions $, a appris Le Soleil. Des documents du ministère des Finances révèlent notamment que la SAQ a roulé sur l'or en 2006-2007. L'exercice financier annuel terminé au 31 mars dernier fait état d'un bénéfice net d'au moins 702 millions $, en progression de 6 %. L'an dernier, la SAQ avait déclaré des profits sans précédent de 657 millions $. Mercredi, à la SAQ, personne n'a voulu commenter cette autre excellente performance financière. «Nous n'avons pas l'habitude de discuter de nos résultats avant que notre rapport annuel soit publié», a fait valoir la porte-parole Linda Bouchard. Chaque année, la SAQ dépose quelque part en juin devant l'Assemblée nationale son bilan annuel officiel. Quoi qu'il en soit, les ventes de bouteilles de vin sont demeurées le moteur de croissance de la SAQ au cours des 12 derniers mois. À la SAQ, 75 % des revenus émanent de la vente de bouteilles de vin alors que 16 % proviennent des spiritueux. Des conseils payants Évidemment, la nouvelle approche-client privilégiée par la SAQ et ses conseillers en vins a rapporté gros l'an dernier. Selon la SAQ, un client bien conseillé en magasin tend à augmenter sa facture moyenne de 30 à 65 %. Actuellement, l'achat moyen d'un client de la société d'État tourne autour de 17 $. Continuant à chérir sa clientèle dite passionnée - qui génère 25 % des ventes - , la SAQ s'est attaquée au très porteur marché des découvreurs dits conviviaux âgés entre 30 et 35 ans. Dans cette nouvelle approche, la SAQ a ainsi fait davantage de place aux produits dits de spécialités. Résultat: au troisième trimestre, les ventes de bouteilles de vin dont le prix oscillant entre 24 et 25 $ ont bondi de 50 %. Pendant cette même période, les bouteilles vendues entre 14 et 17 $ ont vu leurs ventes progresser de 20 %. En décembre, soit le mois le plus achalandé - la SAQ y réalise 15 % de son chiffre d'affaires annuel - , les différentes promotions offertes dans les succursales ont contribué à hausser les ventes de vins de près de 10 %. Avec un chiffre d'affaires avoisinant les 3 milliards $, la SAQ a poursuivi son contrôle serré sur ses dépenses d'exploitation, en progression de moins de 4 %. Comme l'an dernier, les revenus engrangés dans les épiceries et les dépanneurs ont affiché une légère baisse. En contrepartie, les ventes réalisées dans les succursales et les centres spécialisés ont augmenté de 10 %. Nouvelle Sélection En 2006, la SAQ a aussi lancé un nouveau concept de magasins Sélection dans la région de Montréal. Réservée uniquement au grand public, cette nouvelle génération des Sélection offre un vaste choix de vins bas, moyen et haut de gamme entouré de plusieurs équipes de conseillers spécialisés. Bien qu'elle se dit à l'écoute de sa clientèle, la SAQ n'a toutefois pas l'intention, du moins pour l'instant, de changer ses bannières Classique, Sélection et Express. Déjà, le concept Express s'avère très rentable. Au pied carré, ce type de magasin génère un profit moyen de 720 $ alors que l'ensemble du réseau offre un rendement moyen de 489 $ au pied carré. Depuis 1996, année où sont apparues les bannières Express, Classique et Sélection, la SAQ dit avoir investi moins de 100 millions $ pour revoir la configuration de son réseau, tout en ouvrant 60 nouveaux magasins. Rapport financier pour l'année 2006Profit de 657 millions $ Exercice financier terminé le 31 mars 2007 Profit net d'au moins 702 millions $ en progression de 6 %
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