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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201305/29/01-4655783-alliance
  2. Bénéficiant d'une forte augmentation des abonnements dans le sans-fil au troisième trimestre, le géant des télécommunications est assez confiant pour hausser son dividende de 5,6%. Pour en lire plus...
  3. Le chef de la direction de Shaw, Jim Shaw, a affirmé que la société ne comptait pas investir dans le sans-fil l'an prochain. Pour en lire plus...
  4. Les compagnies ont indiqué qu'elles oeuvraient toutes les deux à s'assurer de faire la transition vers la technologie de quatrième génération qui deviendra disponible début de l'année 2010. Pour en lire plus...
  5. Téléphonie - Quebecor pourrait attendre 2010 pour lancer son service de sans-fil La Presse canadienne Édition du jeudi 25 septembre 2008 Le chef de la direction de Quebecor tenant dans ses mains un iPhone. Quebecor a indiqué hier qu'elle pourrait être en mesure de se lancer sur le marché du sans-fil dès l'automne 2009, mais qu'elle pourrait décider d'attendre jusqu'en 2010 afin de s'assurer d'offrir un service de haute qualité. «La complexité de ce projet signifie que nous avons besoin de souplesse, alors ça pourrait être aussi tôt qu'à l'automne de 2009, mais ça pourrait aussi être en 2010 si nous pensons ne pas pouvoir fournir le produit de haute qualité que nous voulons», a affirmé Isabelle Dessureault, porte-parole de l'entreprise, lors d'un entretien. Carmi Levy, analyste du secteur des télécommunications chez AR Communications, a estimé qu'il était logique pour la société de reporter à plus tard le lancement de son service de sans-fil d'ici à ce qu'elle parvienne à une entente de partenariat et puisse solidifier la construction de son réseau sans fil. À l'occasion d'une conférence d'investisseurs de la Banque CIBC, hier, le chef de la direction de Quebecor, Pierre Karl Péladeau, a laissé entendre que l'entreprise de médias et de télécommunications dévoilerait la nature de son service de sans-fil dans un «avenir rapproché». Néanmoins, il a également fait allusion à un délai en affirmant que pour avoir du succès auprès des consommateurs, il était nécessaire de leur proposer les meilleurs services et produits. «Nous ne voulons pas lancer quelque chose qui vous fera vivre une mauvaise expérience de consommateur», a-t-il déclaré. M. Péladeau a refusé de parler d'éventuelles négociations de partenariat avec d'autres nouveaux joueurs du secteur de la téléphonie cellulaire, comme Globalive, afin d'établir un réseau national. Le dirigeant de Quebecor a indiqué que les actifs de la société dans le secteur des journaux au Canada anglais, par le biais de ses publications de la chaîne Sun, d'Osprey Media ainsi que de son portail Web Canoe, permettraient de fournir un contenu d'information qui est de plus en plus essentiel au marché du sans-fil. Quebecor compte dépenser jusqu'à 1 milliard au cours des quatre prochaines années afin de lancer son service de sans-fil au Québec. Ce montant comprend les 555 millions dépensés cet été dans le cadre des enchères organisées par Industrie Canada pour obtenir les licences du spectre réservé aux services sans fil.
  6. Pierre Karl Péladeau a fait valoir que ses journaux pourraient livrer un important contenu à d'éventuels partenaires dans le secteur des communications sans fil. Pour en lire plus...
  7. Avec les enchères du sans-fil, l’agence de notation croit que cette nouvelle compétition dans ce secteur va freiner la profitabilité des trois grandes entreprises de sans-fil au pays. Pour en lire plus...
  8. La société vancouvéroise rapporte des ajouts nets records d'abonnements au sans-fil, empochant des profits en hausse de 5,5% à 267 M$ au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  9. Grâce à la croissance du sans-fil et de ses marges de profit, Rogers empoche un gain de 364 M$ ou 57 cents par action au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  10. Industrie Canada n'apprécie pas l'enthousiasme de certains gagnants de l'enchère sans fil terminée lundi. Pour en lire plus...
  11. L'opérateur téléphonique américain profite du sans-fil et des échanges de données pour satisfaire le marché avec des profits en hausse de 30%. Pour en lire plus...
  12. Toutefois la firme prévient que cette industrie connaîtra peut-être des problèmes à court terme en raison de décisions imminentes par Telus et BCE d'investir dans ce secteur. Pour en lire plus...
  13. Rogers Communications mène toujours la marche avec des mises de 801,5 M$ pour 47 licences, d'après le site internet d'Industrie Canada. Pour en lire plus...
  14. Le fort prix que les entreprises du secteur paieront pourrait bien retarder l'arrivée d'une plus forte concurrence dans le sans-fil. Pour en lire plus...
  15. Des mises totalisant plus de 1,1 G$ ont été lancées cette semaine dans le cadre de la vente aux enchères du spectre réservé aux services sans fil évolués. Pour en lire plus...
  16. Telus sonne la charge contre Vidéotron 22 octobre 2007 - 06h37 La Presse Maxime Bergeron Agrandir Telus s'en prend à son rival Quebecor. Grossir caractèreImprimerEnvoyer .a{float:left;padding:0px 15px 10px 0px;text-align:center;width:175;} La présidente de Telus Québec y va d'une charge en règle contre Quebecor: si le conglomérat veut offrir la téléphonie sans-fil avec sa filiale Vidéotron, qu'il paie le même prix que tous les autres pour ses licences, lance-t-elle. Karen Radford tient ses propos à quelques mois d'une enchère du gouvernement fédéral, pendant laquelle de nouvelles fréquences sans-fil seront mises en vente. Ces licences permettront aux fournisseurs actuels d'élargir leurs réseaux, et pourraient aussi entraîner l'arrivée de nouveaux venus dans ce marché très lucratif. Vidéotron plaide pour qu'une partie des licences soient réservées aux «nouveaux entrants». Ce qui fait fulminer Karen Radford. Selon elle, cela équivaut à des subventions. «Je me questionne sur le fait qu'une compagnie de 10 milliards demande aux contribuables de l'aider à entrer dans le marché, ça n'a aucun sens selon moi», lance-t-elle en entrevue à La Presse Affaires. [/url] «Si les contribuables paient pour aider Vidéotron à entrer dans le marché, alors Vidéotron ne va pas dépenser les mêmes sommes que les concurrents, ajoute-t-elle. Et Vidéotron offrira des services moins chers en utilisant l'argent des contribuables. Moi, je préfère que l'argent de mes taxes serve à réparer le système de santé plutôt qu'à aider Vidéotron à entrer dans le marché.» Le nouveau ministre fédéral de l'Industrie, Jim Prentice, devrait indiquer au cours de l'automne les règles qui entoureront la mise en vente des nouvelles fréquences. D'ici là, les deux camps continueront à mener de solides campagnes de lobbying pour convaincre Ottawa du bien-fondé de leurs arguments respectifs. Les enjeux financiers sont énormes: le sans-fil a généré des revenus de 12,7 milliards l'an dernier au Canada. Ceux qui sont présents veulent protéger leurs acquis; les autres regardent le gâteau avec envie. La question divise les experts en télécoms. Certains estiment que Vidéotron a amplement les capacités financières de lancer son propre réseau, même en payant très cher pour ses licences. D'autres croient plutôt que Bell, Telus et Rogers feront augmenter les enchères à un point tel que le modèle d'affaires de Vidéotron deviendra non viable. Le grand patron de Vidéotron, Robert Dépatie, est persuadé que les trois géants seront prêts à payer des sommes colossales pour l'empêcher d'entrer dans le marché. En entrevue avec La Presse Affaires au début septembre, M. Dépatie a affirmé que son entreprise ne participera pas aux enchères si aucune fréquence n'est mise de côté. Vidéotron a investi quelque 660 millions dans son réseau depuis deux ans, si bien qu'il lui reste peu de liquidités, a-t-il plaidé. Un «écran de fumée», réplique Karen Radford. Selon elle, les arguments de Vidéotron ne tiennent pas la route. «Je pose la question: pourquoi veulent-ils entrer dans le marché seulement si les contribuables les aident? demande-t-elle. Si leur modèle d'affaires n'est pas bon, pourquoi le faire aujourd'hui?» Des analystes se prononcent Si plusieurs analystes penchent en faveur du point de vue de Vidéotron, deux rapports publiés la semaine dernière donnent plutôt raison à Telus, Bell et Rogers. «Nous croyons que Vidéotron a le meilleur dossier commercial pour bâtir et opérer un réseau sans-fil régional au Québec, et nous croyons que c'est faisable sans toutes les règles favorables que la compagnie cherche à obtenir pour les enchères», a écrit l'analyste Jeffrey Fan, de la firme UBS. Selon M. Fan, Vidéotron participera aux enchères même si aucune fréquence n'est mise de côté pour les nouveaux entrants. De son côté, l'analyste Dvai Ghose, de la firme Genuity Capital Markets, juge que Vidéotron n'a pas besoin de fréquences réservées pour participer avec succès à l'enchère à venir. Il estime que l'entreprise pourrait bâtir son propre réseau pour environ 465 millions de dollars Dans son rapport, M. Ghose écrit que Vidéotron, MTS Allstream et Shaw (deux autres sociétés intéressées à lancer leur propre réseau) auraient pu tenter de mettre la main sur Microcell (Fido) en 2004, «mais aucune d'entre elle ne s'est montrée intéressée». «Selon nous, ce n'est pas le mandat d'Industrie Canada de corriger le manque d'instinct stratégique dont ont fait preuve ces compagnies dans le passé en ce qui a trait au sans-fil», a-t-il fait valoir. Vidéotron se dit prêt à investir 500 millions pour développer son réseau au Québec. L'entreprise offre déjà des services sans-fil à plus de 31 000 Québécois, en utilisant le réseau de Rogers.
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