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  1. http://www.tvanouvelles.ca/2016/05/15/le-college-royal-militaire-de-saint-jean-reprendra-son-titre-duniversite Ca demeure une bonne nouvelle pour la région de Montréal si ca aboutit
  2. http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201406/03/01-4772382-projet-de-10-m-a-alma.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-le-quotidien_section_ECRAN1POS1 Publié le 03 juin 2014 à 09h29 | Mis à jour le 03 juin 2014 à 09h29 Complexe récréotouristique Projet de 10 M $ à Alma Agrandir PHOTO INTERNET =author%3ALaura+L%C3%A9vesque&sort=recent"]LAURA LÉVESQUE (Alma) Un projet récréotouristique majeur se mijote sur l'ancien site des Collines du Terroir, à Alma. Produits Boréal et la femme d'affaires Dominique Tremblay, connue pour avoir fondée la Forfaiterie, souhaitent mettre en place un complexe quatre saisons sur les terrains situés en bordure du lac Saint-Jean, à Saint-Coeur-de-Marie, au même endroit où devait se concrétiser le défunt projet Mistouk sur le lac. En plus d'aménager de l'hébergement et offrir des activités touristiques, la construction d'une piscine et une plage intérieures fait partie des plans. Un dôme géant recouvrirait cet attrait ouvert au public autant l'hiver que l'été et dont la superficie atteindra 40 000 pieds carrés. Les coûts entourant la construction du complexe oscilleraient entre 6 à 10 millions$. «Il y aurait une plage, un restaurant, des jeux d'eau, même un endroit pour faire du wake board», exclame d'emblée Mme Tremblay, visiblement enthousiaste à cette idée. «Et sur les murs, ce sont des projections d'images, dont des paysages. La capacité serait d'environ 900 personnes. Les gens pourront aller en motoneige le matin et revenir s'étendre sur la plage en après-midi», ajoute-t-elle. Hébergement Les promoteurs ne manquent pas non plus d'originalité en matière d'hébergement. Produits Boréal d'Alma construirait une quarantaine de chambres sous trois formules différentes, dont des troglodytes, ces petites maisons qu'a popularisé le Seigneur des Anneaux. «On a le relief parfait pour aménager ce type d'hébergement sur le site. On prévoit en faire quatre. Au bout de la pointe, il y aura des maisons dans les arbres. Et plus près de l'entrée du site, nous voulons aménager des chalets», précise Patrick Girard, copropriétaire de Produits Boréal, rappelant que ces habitations seront construites en usine avant d'être installées sur le site. En ce qui concerne l'énergie utilisée pour faire chauffer la piscine et la plage intérieures, les promoteurs envisagent l'achat d'une chaudière à biomasse qui brulerait notamment les résidus de l'usine de Produits Boréal. Vendre le lac ensemble Si tout se déroule comme l'espèrent les deux entrepreneurs, le complexe récréotouristique pourrait ouvrir ses portes en juin 2015. Ces derniers se montrent également ouverts à construire de l'hébergement sur un autre site autour du lac Saint-Jean. Mais plusieurs partenariats avec des sites touristiques, des hôteliers et des aubergistes sont souhaités. «C'est le lac Saint-Jean qu'on veut vendre. On a déjà des ententes avec Chalets et spa Chambord, l'Hermitage Saint-Antoine pour offrir plus d'hébergement. Parce que si on vend juste un site, ça ne fonctionnera pas. On veut inviter les touristes à vivre le lac Saint-Jean, pas seulement Alma», insiste M. Girard. Dominique Tremblay songeait quant à elle depuis longtemps à créer un projet dans sa région natale où elle possède un chalet. «Le Lac-Saint-Jean est l'une des régions les plus en demande par les touristes, mais elle est encore l'une des moins vendues. J'ai demandé personnellement aux dirigeants d'entreprises qui montent les forfaits du Québec pour les Européens pourquoi ils n'offraient pas le lac Saint-Jean en forfait. Et l'hébergement a toujours été un problème», constate celle qui a créé la Forfaiterie dans les années 90 et qui compte mettre son expérience au profit du développement touristique du Lac-Saint-Jean.
  3. Bonne Saint-Hean à tout le monde :-)
  4. Les jeunes préfèrent Kingston et Regina à Montréal Kingston, Saskatoon et Regina seraient de meilleures villes où vivre et travailler que Montréal lorsqu'on est un jeune professionnel. C'est en tout cas ce que pense le groupe de réflexion américain Next Generation Consulting (NGC), qui a dévoilé mardi un palmarès des 27 plus grandes villes canadiennes qui risque d'alimenter bien des conversations. La capitale de la Colombie-Britannique, Victoria, domine le classement. Elle est suivie dans l'ordre d'Ottawa, Vancouver, Kingston et Halifax. Montréal ne fait pas mieux que la 16e place, alors que Québec est 19e. La ville de Saguenay est tout en bas du classement, au 27e rang. NGC dit avoir analysé 45 types de mesures concernant les villes d'une population supérieure à 100 000 habitants. L'organisme a mis au point un système d'indexation tenant compte de sept critères (salaires, apprentissage, vitalité, autour de la ville, vie nocturne, coût de la vie et capital relationnel). Voici le classement complet: 1) Victoria (Colombie-Britannique) 2) Ottawa (Ontario) 3) Vancouver (Colombie-Britannique) 4) Kingston (Ontario) 5) Halifax (Nouvelle-Ecosse) 6) Toronto (Ontario) 7) Calgary (Alberta) 8) Saskatoon (Saskatchewan) 9) London (Ontario) 10) Edmonton (Alberta) 11) Winnipeg (Manitoba) 12) Regina (Saskatchewan) 13) Thunder Bay (Ontario) 14) St. Catharines-Niagara (Ontario) 15) Saint-Jean (Nouveau-Brunswick) 16) Montréal (Québec) 17) Kitchener (Ontario) 18) Saint-Jean (Terre-Neuve-et-Labrador) 19) Québec (Québec) 20) Hamilton (Ontario) 21) Sherbrooke (Québec) 22) Sudbury (Ontario) 23) Oshawa (Ontario) 24) Windsor (Ontario) 25) Abbotsford (Colombie-Britannique) 26) Trois-Rivières (Québec) 27) Saguenay (Québec) Source: Cyberpresse Franchement, moi j'y crois pas à ce classement. Victoria, c'est joli, mais ça m'a semblé assez vieux et tranquille comme ville. Ça prend bien des américains pour faire un classement pareil!
  5. L'Autre St-Jean: des appuis et des critiques Martin Croteau La Presse La Fête nationale doit être célébrée en français, affirme l'Association culturelle Louis-Hébert, commanditaire du spectacle L'Autre St-Jean, qui confirme avoir exigé le retrait de deux formations musicales parce qu'elles chantent en anglais. Cette décision a été vertement critiquée par des artistes et des membres de la communauté anglophone, mais plusieurs organisations souverainistes l'ont appuyée. «Ce que nous voulons, ce sont des groupes qui chantent en français le jour de la Fête nationale», a affirmé Mathieu Bouthillier, vice-président de l'Association culturelle Louis-Hébert. Tous les ans, cet organisme composé de bénévoles reçoit des fonds publics pour organiser les festivités de la Saint-Jean dans Rosemont. Cette année, sa direction a décidé de confier la programmation artistique de la fête à l'entreprise C4, qui a invité Malajube, Vincent Vallières, Les Dales Hawerchuck et Marie-Pierre Arthur, mais aussi Lake of Stew et Bloodshot Bill, deux groupes anglophones. M. Bouthillier dit avoir appris la présence de ces deux derniers groupes mercredi dernier au cours de la conférence de presse qui annonçait le programme. Dès le lendemain, il a sommé le producteur de les en retirer, sans quoi il annulerait sa commandite. Certains militants ont aussi menacé de tenir une manifestation le soir du spectacle. Une réunion tenue vendredi n'a pas permis de trouver un compromis. Pour M. Bouthillier, c'est donc officiel : les Anglos ne seront pas de la fête. «Pour nous, le dossier est clos», a-t-il affirmé. Mario Beaulieu, président du Comité de la Fête nationale de Montréal, est également intervenu auprès des producteurs pour faire modifier le programme. Dans les derniers jours, son organisme avait reçu plusieurs plaintes de militants mécontents. Il dit ne pas s'opposer à ce que des artistes anglophones participent aux festivités de la Saint-Jean, à la condition qu'ils se produisent en français. «Ils sont québécois et on les accepte comme québécois, a-t-il indiqué. On n'a absolument rien contre le fait qu'ils chantent en anglais. Mais la Fête nationale, ça se passe en français.» Le Mouvement national des Québécois, qui reçoit 3,6 millions de Québec pour financer quelque 750 spectacles à l'occasion de la Fête nationale, a refusé de commenter le cas précis de L'Autre St-Jean. Son porte-parole, Julien Beaudry, affirme toutefois que l'argent versé pour ces spectacles doit avant tout contribuer à la promotion de la langue française. «On pense que, deux jours par année, on célèbre notre Fête nationale, a-t-il indiqué. Qu'on la célèbre en français, deux jours par année, ce n'est pas trop demander.» «Honteux» Mais ces arguments n'ont pas convaincu certains membres de la communauté anglophone. Jack Jedwab, directeur général de l'Association des études canadiennes, affirme que le comportement de ces groupes est «honteux». En agissant ainsi, ils envoient un «message de rejet» à tous les Québécois qui parlent l'anglais. «Ça stigmatise la communauté anglophone, ça donne l'impression que, pour être québécois, il faut chanter strictement en français, a-t-il dénoncé. J'ose croire que, pour la Fête nationale, on veut inclure toutes les composantes de la société.» Les artistes déçus Les artistes qui devaient monter sur scène avec Lake of Stew et Bloodshot Bill sont déçus de la tournure des événements. Dave Ouellet, alias MC Gilles, devait animer la soirée. Ce souverainiste convaincu était emballé à l'idée que des anglophones célèbrent la Saint-Jean aux côtés d'artistes francophones. «Je trouvais ça le fun qu'un groupe anglophone ait le réflexe, quand on parle de la Fête nationale, de participer le 24 juin plutôt que le 1er juillet», a-t-il déploré. Même son de cloche du côté du groupe Malajube, dont l'agent n'a pas mâché ses mots. Selon Gourmet Délice, tous les artistes à l'affiche étaient ravis de partager la scène avec des anglophones. «Les gars de Malajube sont allés jouer en français partout dans le monde, a-t-il souligné. Ils ne comprennent pas pourquoi il y aurait un problème à jouer avec des gens qui sont nés ici. Pourquoi il n'y aurait pas de show en anglais? Je trouve que c'est de l'étroitesse d'esprit.»
  6. Les prix des logements neufs en hausse à Montréal Publié le 11 mai 2009 à 09h25 | Mis à jour à 09h28 La Presse Canadienne Ottawa Les prix de vente des entrepreneurs en construction au Canada ont diminué de 0,5% en mars par rapport au mois de février et de 2,4% comparativement à mars 2008, indiquent les données de Statistique Canada publiées lundi. D'un mois à l'autre, les baisses les plus importantes ont été observées dans l'Ouest du Canada. Calgary et Edmonton arrivent en tête de liste avec toutes les deux un recul de 1,2%. Vancouver suit avec une baisse de 1,1%. À Victoria, les prix des logements neufs ont régressé de 0,9% d'un mois à l'autre. Les prix ont également baissé à St. Catharines-Niagara (-0,9%), à Saskatoon (-0,7%), à Charlottetown (-0,4%), à Toronto (-0,3%) et à Hamilton (-0,2%). La ville de Saint-Jean, à Terre-Neuve-et-Labrador, a connu la plus forte augmentation au pays de février à mars, soit 0,4%. Montréal arrive deuxième avec un gain de 0,3%, suivie de Québec avec une augmentation de 0,1%. Au Nouveau-Brunswick, pour l'ensemble Saint-Jean, Fredericton et Moncton, les prix sont restés inchangés d'un mois à l'autre. D'une année à l'autre, les plus fortes baisses ont été enregistrées à Edmonton (-12,3%), à Saskatoon (-11,2%) et à Calgary (-8,7%). Pour leur part, les plus fortes augmentations, soit 20,8% et 12,8%, respectivement, ont été observées à Saint-Jean (T.-N.-L.) et à Regina. Québec a également enregistré une croissance notable sur un an, soit 8,1%, tandis que les prix ont augmenté de 3,5% à Montréal. Pour Saint-Jean, Fredericton et Moncton, la hausse a été de 3,9% entre mars 2008 et mars 2009.
  7. La nouvelle grue, achetée en Allemagne le 12 mai dernier, est entrée en service dimanche dernier en déchargeant l'Oceanex Avalon. Pour en lire plus...
  8. Loin de craindre que les festivités de Québec drainent tous les touristes hors de leur marché, les associations touristiques de Charlevoix et du Saguenay-Lac Saint-Jean disent vivre «un effet 400e favorable». Pour en lire plus...
  9. Un unifolié pour la Saint-Jean? Ottawa commence dès le 21 juin à distribuer des drapeaux en vue de la fête du Canada, soit quelques jours avant la fête de la Saint-Jean-Baptiste. Baptiste Ricard-Châtelain Le Soleil Le fédéral distribue gratuitement des millions de drapeaux, de photos de la reine, de disques de l'hymne national ainsi que des affiches, des épinglettes et des tatouages unifoliés chaque année. En 2007, le ministère du Patrimoine canadien a investi plus de 1,56 million de dollars dans les programmes de promotion du Canada. Et une attention particulière semble prêtée au Québec durant les semaines de la Saint-Jean-Baptiste et de la fête du Canada... À la fin des années 90, l'ex-ministre libérale du Patrimoine canadien, Sheila Copps, avait soulevé l'ire du clan souverainiste en semant des drapeaux à tout vent. Le citoyen n'avait qu'à téléphoner pour en obtenir un. Mme Copps espérait ainsi couvrir le pays d'unifoliés. Il est toujours aussi aisé de recevoir l'emblème rouge. Après un coup de fil, en moins d'une semaine, le bureau de Montréal du Ministère nous avait livré un drapeau de trois pieds sur six et une dizaine d'épinglettes. Un autre envoi, d'Ottawa, a été aussi rapide: photos de «Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada», armoiries, texte de l'Ô Canada et autres articles promotionnels. Nous aurions également obtenu la panoplie chez le député local. Au bureau de circonscription de la ministre du Patrimoine, Josée Verner, on offre des produits gratuits. Il suffit de se présenter. Nous aurions également pu brandir l'unifolié qui a flotté sur une tour du parlement. Mais la liste d'attente est de 20 ans... «Le drapeau de la Tour de la Paix est changé tous les jours, du lundi au vendredi, sauf les jours fériés et les jours où il est en berne», détaille le site web du Parlement. C'est donc dire que plus ou moins 5000 personnes l'accueilleront avant nous! Le Québec choyé? D'autres programmes du ministère du Patrimoine permettent de mettre la main sur les objets promotionnels. Et le Québec est choyé, selon des documents obtenus. Ainsi, dans la grille de distribution du matériel du programme Le Canada en fête! (21 juin au 1er juillet), le ministère du Patrimoine recense ses envois dans ses bureaux des provinces et territoires. Le Québec se démarque parce qu'il reçoit également des milliers d'articles livrés directement au Comité des célébrations du Canada. Un cas unique au pays, d'après un tableau du ministère fédéral. En compilant la double distribution, le Québec reçoit le tiers des grands drapeaux (2300), le quart des affiches unifoliées (1000), 160 000 drapeaux de papier, 150 000 épinglettes, 25 000 signets, 225 000 tatouages. Le service des communications du ministère du Patrimoine canadien explique que le Québec se distingue dans ce programme parce qu'une partie des articles sont directement livrés au Comité, une simple mesure administrative.
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