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  1. Bonjour à tous, Voici quelques jours, un collègue de travail m'a parlé de ce documentaire sur le sable... Le sujet de ce documentaire rend songeur, perplexe : le monde serait menacé par une pénurie de sable. Un des principaux responsable de cette pénurie serait notamment l'industrie de la construction. Un sujet qui m'intéresse tant... Ah ! les belles tours en verre. Je ne les regarderai plus de la même façon désormais. Le sable, un matériau si banale, si abondant, en apparence... Quelqu'un parmi vous était au courant de ce phénomène ? http://www.telequebec.tv/documentaire/sable-enquete-sur-une-disparition/
  2. Pour compenser le sable et les vagues d'Ogunquit ou d'Old Orchard, les Québécois sont de plus en plus nombreux à s'acheter des piscines. Pour en lire plus...
  3. Crise financière: Montréal tient bon 19 avril 2008 - 08h05 La Presse Philippe Mercure Le blues qui frappe les milieux financiers de Londres et New York ne semble pas avoir gagné Montréal. La crise du crédit n'a pas entraîné de vague de pertes d'emploi chez nous ce qui ne veut pas dire qu'elle n'y a aucun impact. «À mon avis, il y en a un», dit Jean-Pierre Sablé, associé de la firme Secor spécialisé dans les institutions financières. M. Sablé rappelle que les banques font de l'argent avec deux choses: le crédit et l'épargne. Dans la première catégorie, si le marché des hypothèques ne semble pas touché, la vigueur des prêts aux entreprises risque de pâtir du ralentissement américain. «Le crédit commercial reste très corrélé à ce qui se fait aux États-Unis», dit M. Sablé qui souligne qu'il faudra attendre pour voir si les consommateurs canadiens finiront aussi par ralentir leur cadence d'achat comme l'ont fait les Américains. Du point de vue de l'épargne, l'effondrement des marchés boursiers signifie moins d'argent pour les banquiers, surtout qu'ils sont de plus en plus nombreux à se payer à partir d'un pourcentage des actifs sous gestion. «Disons que vous mettez 50 000$ à la banque et que vous devez payer 2 ou 3% à la fin de l'année. Si vous passez à 40 000$ parce que les marchés ont dégringolé, ça fait moins de revenus», illustre M. Sablé. «Il y a moins de liquidité sur les marchés, donc moins de deals d'entreprises en terme d'acquisitions et de rapprochements. Et ça coûte plus cher d'aller chercher des fonds sur le marché. Tout ça va dans le même sens pour dire que les banques ne voient pas de revenus supplémentaires: c'est plutôt le contraire.» Si les revenus sont moins importants et que les coûts d'opération ne diminuent pas en conséquence, cela veut dire que la rentabilité décline. Pour l'instant, cependant, l'équation ne semble pas s'être traduite par des pertes d'emploi massives à Montréal. «Je n'ai pas vu ça et je n'anticipe pas ça dans un horizon de six mois, dit M. Sablé. Mais on a des mauvaises nouvelles tous les jours en provenance des États-Unis. Si ça devient vraiment pas beau là-bas, ça pourrait avoir des conséquences sur les banques canadiennes.» Au Centre financier international de Montréal, un organisme qui cherche à développer Montréal comme place financière internationale, on ne sent pas non plus les effets de la crise du crédit. L'organisme a réussi à attirer six centres financiers à Montréal l'an dernier, un résultat qui se compare aux années précédentes. «Notre nouvelle année financière commence et jusqu'à maintenant on ne sent pas d'effet. () Mais je ne suis pas devin et on verra bien quelle sorte d'année on va avoir», dit Jacques Girard, PDG de l'organisme. Quant aux impacts que la crise aurait pu avoir sur les centres financiers déjà établis à Montréal, M. Girard affirme que «jusqu'à maintenant on n'a pas d'indications à cet effet». Mouvement vers Toronto Il faut dire que Montréal est loin d'être une plaque tournante de la finance comme Londres ou New York, et qu'un mouvement des activités vers Toronto avait déjà été entamé bien avant la crise du crédit. Il y a deux mois, le service de recherche de la division boursière du Mouvement Desjardins était devenu encore plus torontois après le départ vers la Ville reine de son directeur, Jon Reider. Selon le site internet de Valeurs mobilières Desjardins (VMD), seulement cinq des 17 analystes principaux ont encore des bureaux à Montréal. À la Financière Banque Nationale, le principal concurrent de VMD, il n'en reste plus que deux sur 21. Mais selon les observateurs, ces mouvements sont le reflet de choix d'affaires qui n'ont rien à voir avec la crise du crédit. MONTRÉAL 5,8% Taux d'inoccupation des tours à bureaux de Montréal.
  4. Le Journal de Montréal 25/07/2007 Tout est encore à refaire rue de la Commune. Les pavés de pierre ne tiennent pas et la Ville de Montréal doit réparer la chaussée pour une énième fois depuis la pose originale de ces pierres de granite, en 1991. Mais cette fois-ci on parle de travaux majeurs qui coûteront 2 M$ et qui seront financés à parts égales par la Ville et par le ministère québécois de la Culture. Selon Sammy Forcillo, responsable des infrastructures, la Ville entend régler le problème une fois pour toutes en utilisant un revêtement de pavés de béton autobloquants, sur une distance d'environ un demi-kilomètre, entre les rues Saint- Gabriel et De Bonsecours. Des études menées depuis deux ans par SNC-Lavalin et l'Institut de recherche en construction ont permis de réaliser des tests dans la rue de la Commune pour vérifier la résistance de nouveaux produits. Et le gagnant est : le pavé de béton non collé avec du mortier, comme ce fut le cas dans le passé, mais reposant sur un lit de sable granitique garni d'un sable à jointoiement polymérique, tel que décrit dans un document interne de la Ville. Des zones d'essai de ce produit, dans la rue de la Commune, ont résisté non seulement au passage des nombreux camions de livraison et autobus remplis de touristes, mais aussi aux gels et dégels fréquents des hivers modernes! Patrimoine «Le pavé de la rue de la Commune fait partie de notre patrimoine dans le Vieux-Montréal et cette rue est aussi une fenêtre très importante sur la métropole. Il est de notre responsabilité de refaire l'artère dans cette zone à forte concentration touristique et c'est d'autant urgent qu'il en va aussi de la sécurité des visiteurs», a commenté Sammy Forcillo. Les travaux seront réalisés dès cet automne. L'administration espère fermer le chantier avant la fin de 2007, mais elle n'écarte pas la possibilité que les travaux soient complétés au printemps de 2008. Les milliers de briques de granite qui seront enlevées, rue de la Commune, seront conservées par la Ville et serviront à certains aménagements dans des parcs publics
  5. La Presse Le lundi 28 mai 2007 Tous les enfants ne sont pas égaux quand vient le temps de s'amuser au parc, révèle une enquête exclusive menée par Actuel. Tandis que certains arrondissements bénéficient de belles aires de jeu toutes neuves, d'autres doivent se contenter de vieux modules désuets, peu entretenus, souvent carrément dangereux. Surprise: ça ne sont pas toujours les plus riches qui ont les plus belles structures. Près de trois structures de jeu sur cinq ont été construites il y a plus de 10 ans dans la région de Montréal. C'est dire que plus de la moitié des aires de jeu en ville et en banlieue ne rencontrent pas les normes de sécurité actuelles. Attention: danger, crient certains experts et parents interrogés. «Faute d'investissements majeurs au cours des dernières années, la majorité des aires de jeu au Québec sont hors normes, dénonce Patrick Lafleur, directeur général de l'Association québécoise du loisir municipal. Le fait d'avoir un équipement désuet est une problématique alarmante.» Au mini parc de l'Épée, à Outremont, un grand trou accueille les enfants en plein milieu de l'aire de jeu. La surface de revêtement est déchirée depuis des semaines. Les poutres qui entourent le parc sont pourries, et de gros clous en ressortent. Dans Villeray, au parc Gabriel Sagard, il manque carrément une planche au petit pont du module. L'an dernier, un enfant y est tombé. Faute de sable en quantité suffisante, le béton des piliers de la structure est aussi à découvert. À Rivière-des-Prairies, au parc Sainte-Marthe, un espace carré est envahi d'herbe. Peut-être, jadis, trônait là un carré de sable. Sur le Plateau-Mont-Royal, au parc Louis-Reitman, on a réinstallé au printemps une balançoire complètement défoncée l'année d'avant. Aux quatre coins de la ville, il n'est pas rare de trouver des glissoires manquantes, un barreau absent, ou du sable visiblement mal entretenu, habité par les excréments des animaux du coin. Si certains arrondissements ou villes entretiennent leurs parcs quotidiennement (Anjou, Montréal-Nord, Pierrefonds, Plateau, Dorval et Laval), d'autres, comme Montréal-Est Ahuntsic et Pointe-Claire, n'y passent qu'une fois par année, ou pour des interventions «ponctuelles». Pire: à Outremont, il n'y a carrément pas de politique d'entretien des aires de jeu. Bien sûr, la situation a déjà été pire. Bien pire. Tous les experts interrogés s'accordent pour confirmer que la métropole a fait un travail énorme depuis quelques années. «Nous avons mis beaucoup l'accent sur les surfaces amortissantes, et là-dessus, la Ville de Montréal semble avoir travaillé très fort», indique Sylvie Melsbach, responsable du dossier des aires de jeu au Regroupement des CPE de la Montérégie. «Il y a eu des efforts pour corriger les pires situations, mais cela ne veut pas dire qu'il n'en reste pas», ajoute Diane Sergerie, membre du comité d'experts de SécuriJeunes Canada. Il faut dire que les investissements ont été inégaux. Tandis que Côte-des-Neiges/Notre-Dame de Grâce a réaménagé 28 parcs entre 2002 et 2007, Montréal-Est n'a littéralement pas touché à ses aires de jeu. Conséquence: «en cinq ans, on est passé d'une situation où la majorité des parcs étaient hors normes, à une situation où certaines aires de jeu sont très conformes, alors que d'autres sont très peu conformes», indique David Fortier, agent de planification, spécialisé en prévention des traumatismes (notamment dans les aires de jeu), à l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Les normes des aires de jeu sont dictées par l'Association canadienne de normalisation (CSA), un organisme sans but lucratif qui définit les critères à respecter (hauteurs des structures, barrières de protection, surfaces protectrices, taille des ouvertures) dans la conception et l'entretien des aires de jeu. Une étude menée par l'Université de Toronto a d'ailleurs révélé que sur quatre ans, les blessures avaient baissé de 49% dans les aires de jeu des écoles qui s'étaient conformées aux normes CSA; 520 blessures ont ainsi été évitées, estiment les chercheurs. Le hic? Ces normes, souvent contraignantes et coûteuses à appliquer, n'ont pas force de lois. «Ce sont des normes de bons près de famille, résume Patrick Lafleur. Si demain matin, on obligeait toutes les villes à appliquer ces normes, les parcs fermeraient.» Prendre les grands moyens C'est l'histoire d'une mère de deux jeunes enfants qui n'ose plus aller dans le parc de son quartier. «C'est vraiment pas sécuritaire», dit-elle. Louise Lippe, de Villeray, en a gros sur le coeur. «L'air de jeu est dans un état terrible», confie-t-elle. Le parc en question, baptisé Gabriel Sagard, est à deux pas de chez elle. La dernière fois qu'elle y est passée, la plaque du parc avait été décrochée. Il manque de sable, les piliers en béton de la structure sont dénudés, la première marche de l'escalier, faute de sable en quantité suffisante, est beaucoup trop haute, et il manque carrément une planche au petit pont. En guise de barrière de protection, on a placardé une vulgaire plaque de contreplaqué sur le module. «Ça fait dur, dit-elle.» Tous les parents du coin se disent d'ailleurs la même chose: «Ça n'a pas de sens. C'est rendu qu'on n'ose pas aller au parc près de la maison», dit celle qui songe à lancer une pétition pour «son» parc. Interrogé par La Presse la semaine dernière, le chargé de communications de l'arrondissement, Claude Raymond, a d'abord affirmé ne pas «avoir eu vent de quoi que ce soit» au sujet de ce parc. Vérification faite, il a ensuite promis que les réparations seraient effectuées aujourd'hui (lundi) au plus tard. Pour faire bouger les choses, certains parents prennent aussi les grands moyens. C'est ainsi que des parents de Rivière-des-Prairies ont mis sur pied un comité de travail en 2003, avec des représentants de la ville, de la police, des CPE du coin, chapeautés par l'Initiative 1,2,3 go! de Centraide (visant la promotion locale du développement et de la santé des tout-petits), afin de dresser un portrait de l'état des lieux. Ils ont fait le tour de tous les parcs de leur quartier, afin de pondre un important document, ciblant, photos à l'appui, toutes les réparations à faire. Résultat? «Oui, il reste encore des choses à faire, mais on a bien entamé le travail», signale Véronique Moreau, coordonnatrice de l'Initiative 1,2,3, go! à Rivières-des-Prairies. À Longueuil, un groupe de parents vient de se lancer dans le même travail, et s'apprête à évaluer les 69 parcs du Vieux-Longueuil. Il faut dire que pour obtenir gain de cause, il faut non seulement du temps, mais beaucoup de patience. Nathalie Michellod, du Plateau-Mont-Royal, en sait quelques chose. Elle se bat depuis des années pour revitaliser «son» parc, Jean-Jacques-Olier. Clôture, sable, vitesse dans la rue, lumières la nuit: «il faut toujours appeler la ville. Cela prends des mois et des mois. J'ai l'impression d'être toujours en train d'appeler!» dit celle qui tente maintenant d'aménager un nouveau parc dans le quartier, fermé la nuit et les fins de semaines. «On veut un parc sécuritaire, aux normes, et adapté à nos besoins.» Où sont les nouveaux parcs? Nous avons sondé Montréal (et ses 19 arrondissements), les 15 villes reconstituées, Laval et Longueuil, histoire de savoir combien d'aires de jeu ont moins de 10 ans. (voir la carte ci-contre) À noter: + : Baie d'Urfé et Mont-Royal, où 100% des parcs sont tout neufs (moins de 10 ans). - : Montréal-Est, Saint-Anne de-Bellevue et Westmount, où 100% des parcs sont vieux (plus de 10 ans).
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