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  1. Publié le 16 décembre 2009 à 20h00 | Mis à jour à 20h00 Sans réforme de la Santé, les États-Unis risquent la «faillite» Agence France-Presse Washington Le président Barack Obama a une nouvelle fois plaidé mercredi pour l'adoption d'une réforme de la couverture maladie, affirmant que l'alternative était une «faillite» à terme du gouvernement fédéral, dans un entretien à une télévision américaine. Mesure phare du début du mandat de M. Obama, la réforme de la couverture maladie peine à passer au Sénat, où les élus sont divisés sur le contenu du texte, y compris parmi les alliés démocrates du président. «Si nous ne la votons pas, voici ce qui est garanti: vos primes vont augmenter, vos employeurs vont faire peser davantage de coûts sur vous», a expliqué M. Obama au micro de la chaîne ABC, qui doit diffuser l'entretien en intégralité mercredi soir et en a publié des extraits sur son site internet. Le président a aussi affirmé que les coûts des programmes fédéraux d'assurance maladie suivaient une tendance à la hausse «intenable», et que si rien n'était fait, «le gouvernement fédéral fera faillite». A terme, «personne ne conteste que les coûts de la santé vont utiliser le budget fédéral tout entier», a-t-il insisté. Mardi, M. Obama s'était dit «prudemment optimiste» sur le devenir de la réforme, affirmant que les démocrates étaient sur le point de parvenir à un accord au Sénat. Conformément à la feuille de route rédigée par la Maison Blanche, le projet de loi doit être adopté au Sénat avant la fin de 2009. Le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a besoin des voix de 60 sénateurs sur 100 pour faire approuver le projet de loi en évitant une obstruction de la minorité républicaine. Le texte du Sénat vise à fournir une couverture à 31 des 36 millions d'Américains qui en sont dépourvus et à faire baisser les coûts de la santé, tout en améliorant la qualité des soins. Une fois adoptée par le Sénat, la loi devra être fusionnée avec une autre version déjà adoptée par la Chambre des représentants, avant d'être promulguée par M. Obama.
  2. Le chef des démocrates au Sénat exige que l'assureur AIG, sauvé de la faillite grâce aux fonds publics, renégocie les contrats accordant des millions de dollars en primes à ses cadres. Pour en lire plus...
  3. Le Sénat américain approuve finalement le plan de 838 milliards de dollars de l'administration Obama, tandis que le secrétaire au Trésor présente la seconde tranche du plan de sauvetage du système financier de 700milliards adopté l'automne dernier par l'administration Bush. Pour en lire plus...
  4. Feu le plan Obama Jean-Pascal Beaupré La Presse Au rythme où le plan de relance économique est dilué au Congrès, on peut se demander si le président Barack Obama y reconnaîtra ses mesures lorsqu'il sera adopté dans sa forme finale. La montagne est en voie d'accoucher d'une souris. De haute lutte, le Sénat américain s'est entendu, en principe, sur un projet révisé, non sans l'avoir au préalable tronqué de dizaines de milliards destinés à l'éducation. À force de protester, les républicains sont parvenus à faire augmenter substantiellement la part accordée à des réductions d'impôt, improductives, au détriment des projets d'infrastructures, beaucoup plus efficaces dans un contexte de récession. Hélas, le président Obama, qui ronge son frein, n'est pas au bout de ses peines. Après le vote du Sénat, les deux chambres du Congrès doivent fusionner leurs versions du projet. L'adoption des deux plans s'est déjà avérée lancinante et pénible. Imaginez comment la patience de M. Obama sera mise à l'épreuve dans les prochains jours, lui qui, avec raison, cherche à mettre son programme sur les rails le plus rapidement possible. Le temps presse - 3,6 millions d'emplois se sont évaporés aux États-Unis - mais cela ne semble en rien atténuer les joutes partisanes dans les coulisses du Capitole. En recherchant un compromis qui puisse satisfaire les sénateurs républicains, le président a non seulement perdu un temps précieux, mais il leur a surtout donné la chance de miner l'efficacité même de son plan de relance. En tendant la main à la faction modérée du Grand Old Party, il a fait un geste noble, conforme à sa promesse de rechercher des solutions non partisanes. Mais il faut être deux pour danser le tango. Or, il est clair que les républicains veulent faire échouer le plan Obama. Ils répugnent à l'idée de collaborer à un New Deal. Autre source d'inquiétude pour la Maison-Blanche, l'appui du public au plan de redressement s'étiole et ne rallie plus que 56% des Américains. Si on se fie au consensus des économistes, ces 800 milliards seront largement insuffisants pour renverser la vapeur, même s'il s'agit de l'effort gouvernemental le plus gigantesque de l'histoire américaine. Au mieux, ces investissements amortiront la chute, déjà brutale, à la condition que les mesures soient bien ciblées, ce qui est de moins en moins sûr. C'est dire jusqu'à quel point l'économie américaine se rapproche du gouffre. Le Prix Nobel de l'économie Paul Krugman a dit il y a quelques jours que le piège de la déflation n'a jamais autant menacé de s'installer à demeure depuis la Grande Dépression. Et une fois coincé dans la spirale déflationniste, il est très ardu d'en ressortir. Le Japon a mis 10 ans pour s'en extirper dans les années 90, et il le doit au boom économique américain qui est venu à sa rescousse et lui a insufflé un nouvel élan. Mais cette fois-ci, qui serait en mesure de dépanner les États-Unis, dont la crise financière et immobilière a justement contaminé le reste du globe?
  5. Les sénateurs adoptent un amendement afin que la mesure qui oblige l'achat de fer et d'acier aux États-Unis pour les projets d'infrastructures respecte les accords internationaux. Pour en lire plus...
  6. La commission des Finances du Sénat donne le feu vert à sa nomination malgré des critiques sur ses erreurs fiscales. Pour en lire plus...
  7. Le Sénat américain autorise le déblocage de la dernière tranche du plan de sauvetage financier négocié l'automne dernier, que l'administration Obama utilisera notamment pour aider le secteur hypothécaire. Pour en lire plus...
  8. Le Sénat américain s'est prononcé jeudi pour le déblocage des 350 milliards de dollars restant du plan de sauvetage du secteur financier. Pour en lire plus...
  9. Le Sénat américain a été incapable de se mettre d'accord jeudi soir sur un plan d'aide aux constructeurs automobiles, livrant ces derniers au spectre d'un dépôt de bilan qui met en péril 2,2 millions d'emplois directs et indirects. Pour en lire plus...
  10. Le leader de la majorité démocrate au Sénat demande aux trois grands de l'automobile de soumettre un plan d'aide viable au plus tard le 2 décembre. Pour en lire plus...
  11. Les dirigeants des trois groupes automobiles américains plaident devant la commission bancaire du Sénat pour obtenir une nouvelle rallonge de 25 G$ US. Pour en lire plus...
  12. La majorité démocrate du Sénat américain sortant a proposé lundi soir un plan de relance de 100 milliards $ pour aider l'économie américaine à sortir de la crise. Pour en lire plus...
  13. La Chambre a entamé ce matin une réunion au cours de laquelle elle doit débattre pendant 90 minutes sur le plan de sauvetage de 700 G$ US qui a déjà l'appui du Sénat. Pour en lire plus...
  14. La Bourse de New York a ouvert en baisse jeudi, dans un marché sans enthousiasme malgré le vote par le Sénat du plan de sauvetage des banques américaines. Pour en lire plus...
  15. Le comportement des marchés boursiers à travers le monde était mitigé jeudi matin, au lendemain du vote positif du Sénat américain sur le plan de sauvetage de l'économie. Pour en lire plus...
  16. La tension montat encore sur les taux du marché interbancaire jeudi, où le Libor et l'Euribor à trois mois poursuivaient leur ascension malgré le vote positif du Sénat américain sur le plan de sauvetage. Pour en lire plus...
  17. Le ciel semble s’éclaircir au-dessus de Wall Street et l’économie américaine alors que le Sénat a adopté le plan de sauvetage qui pourrait mettre fin à la crise financière aux États-Unis. Pour en lire plus...
  18. Les Bourses de New-York et Toronto ont clôturé à la baisse, mercredi. Elle n'avaient pas encore pris connaissance de l'adoption par le Sénat américain de la deuxième version du plan Paulson. Pour en lire plus...
  19. Le ciel semble s’éclaircir au-dessus de Wall Street et l’économie américaine alors que le Sénat a adopté le plan de sauvetage qui pourrait mettre fin à la crise financière aux États-Unis. Pour en lire plus...
  20. Le Dow Jones perdait 1,06% et le Nasdaq 0,51%. De son côté, le TSX suivait le mouvement baissier et reculait de 1,39% ou 163,07 points à 11 589,83 points. Pour en lire plus...
  21. Le plan de sauvetage du secteur bancaire, remanié depuis qu'il a été rejeté par les parlementaires américains, sera exceptionnellement soumis au Sénat, mercredi soir. Pour en lire plus...
  22. Le plan de sauvetage des institutions financières américaines, fébrilement attendu par les marchés du monde entier, sera mis au vote mercredi avec quelques amendements. Pour en lire plus...
  23. Démocrates et républicains s'entendent sur un plan de sauvetage du secteur financier. Les votes à la Chambre des représentants et au Sénat auront lieu dans les prochains jours. Pour en lire plus...
  24. Le président de la Commission bancaire du Sénat américain a jugé «inacceptable» mardi le plan de sauvetage du secteur financier mis au point par l'administration Bush. Pour en lire plus...
  25. Le président de la Commission bancaire du Sénat américain a jugé «inacceptable» mardi le plan de sauvetage du secteur financier mis au point par l'administration Bush. Pour en lire plus...
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