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10 résultats trouvés

  1. C’est ce que pense Jeff Rubin, économiste en chef à la Banque CIBC dans un rapport publié mardi. Pour en lire plus...
  2. Jeff Rubin, économiste en chef chez CIBC, croit que les cours du pétrole «sont plus à blâmer pour le ralentissement économique mondial» que l’effondrement du marché immobilier américain. Pour en lire plus...
  3. Dans un commentaire, Jeff Rubin indique que «dans un monde où il n'y a soudainement aucun point de référence pour les politiques et les évaluations, il est difficile de dire avec précision où nous nous situons». Pour en lire plus...
  4. Ni Jeff Rubin, ni HEC Montréal, ni The Economist ne voient d'autres possibilités. Le plan Paulson doit passer, surtout en raison de l'effet «bas de laine». Pour en lire plus...
  5. Le rejet du plan de sauvetage par la Chambre des représentants est «le reflet du gouffre qui sépare les financiers de Wall Street et du peuple américain», affirme l'économiste Jeff Rubin. Pour en lire plus...
  6. Selon l'économiste Jeff Rubin, l'économie canadienne va profiter du grand plan de sauvetage de Wall Street par le gouvernement des États-Unis, et ce, "sur le bras" des contribuables américains. Pour en lire plus...
  7. L'économiste en chef de CIBC Marchés mondiaux a décidé d’abaisser la cible de l'indice la faisant passer à 13 000 points sur fond de ralentissement économique. Pour en lire plus...
  8. Robert Rubin, secrétaire au Trésor américain de 1995 à 1999, va abandonner ses fonctions de président du comité exécutif mais demeurer au conseil d'administration. Pour en lire plus...
  9. Les prix pétroliers n'ont pas fini de faire des ravages, dit Jeff Rubin, économiste en chef de Marchés mondiaux CIBC. Il prédit une hausse de deux points du taux directeur de la Fed. Pour en lire plus...
  10. Le Canada a coupé le «cordon ombilical» avec les États-Unis 27 septembre 2007 - 17h49 Presse Canadienne Agrandir L'exploitation des sables butimuneux de l'Alberta s'impose comme un des moteurs de l'économie canadienne. Photo AFP La forte remontée du dollar prouve que le Canada a «coupé le cordon ombilical avec les États-Unis», a estimé jeudi l'économiste en chef de Marchés mondiaux CIBC, Jeff Rubin. C'est la demande intense pour les ressources naturelles, plus particulièrement le pétrole, qui place le Canada dans une telle position de force, a souligné M. Rubin dans une entrevue accordée dans le cadre d'une conférence d'investisseurs organisée par l'institution, à Mont-Tremblant. «Ce qui explique le bond du dollar canadien, c'est qu'il faut beaucoup plus de semi-conducteurs pour acheter un baril de pétrole aujourd'hui qu'il y a dix ans», a-t-il affirmé. «La Silicon Valley (en Californie) est devenue un simple produit de base (commodity)», a-t-il ironisé. Et la bonne nouvelle pour le Canada, c'est que les ressources naturelles ne peuvent pas être déplacées dans d'autres pays, contrairement à la fabrication d'équipement, aussi technologique soit-elle. «Exxon adorerait déménager les ressources pétrolières du Venezuela au Texas, mais devinez quoi, elle ne le peut pas! a lancé Jeff Rubin. C'est (le président vénézuélien) Hugo Chavez et le Canada qui possèdent les ressources à valeur ajoutée!» Cette bonne fortune permet au Canada de prendre ses distances avec les États-Unis. Le «coefficient de corrélation» entre la situation économique aux États-Unis et celle au Canada, qui oscillait entre 50 et 80% depuis les années 1970, n'a pas dépassé 10% au cours du présent cycle économique, a relevé le stratège. Selon lui, c'est la croissance mondiale, surtout celle des pays en développement, qui propulse aujourd'hui l'économie canadienne. L'indice de la Bourse de Toronto, qui est fortement lié à l'économie mondiale, devrait d'ailleurs dépasser la barre des 16 200 points d'ici la fin 2008, d'après la CIBC. Bon pour l'aluminium Face à la concurrence des pays émergents et la force du dollar canadien, le déclin du secteur manufacturier se poursuivra donc, entraînant d'autres licenciements au Québec et en Ontario, a convenu Jeff Rubin. «Le Canada n'est plus le genre de pays où l'on manufacturera des pneus», a-t-il rappelé. Mais contrairement à ce qui s'était passé au début des années 1990, les premiers ministres provinciaux ne multiplieront pas les appels à la Banque du Canada pour réclamer une baisse du dollar, prévoit M. Rubin. «Ce serait difficile de se faire convaincant alors que le taux de chômage est à son plus bas en 30 ans au Québec», note-t-il, en ajoutant que le secteur manufacturier occupe déjà une place moins importante dans l'économie que lors de la récession du début des années 1990. En fait, le secteur de l'énergie a largement remplacé l'industrie automobile dans le surplus commercial du pays. De plus, c'est le domaine des ressources naturelles dans son ensemble, y compris l'aluminium au Québec, qui profitera de la croissance des pays en développement. Seule exception: la foresterie, qui continuera à pâtir des problèmes immobiliers aux Etats-Unis. À l'instar de la plupart des économistes, M. Rubin ne prévoit pas que cette crise se traduira par une récession chez nos voisins. Tout au plus entrevoit-il un recul au dernier trimestre de cette année, suivi d'un retour à la croissance. Il reste que l'enrichissement plus rapide des provinces productrices de pétrole, notamment l'Alberta, continuera de susciter des tensions politiques au Canada, a prévenu l'économiste. Par contre, la hausse du dollar et la baisse des valeurs immobilières aux États-Unis pourraient unir les Canadiens sur au moins un point: l'attrait d'acquérir une propriété au sud de la frontière.
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