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  1. pedepy

    mont royal a 300m

    j'peux pas croire que je n'y pas pas penser avant: on creuse des km et des km de nouveaux tunnels de metro en dompant toute la terre par dessus la montagne, jusqu'a ce que le mont-royal atteigne 300m en son plus haut point. win-win.
  2. <header id="page-header"> 05/04/2017 Mise à jour : 5 avril 2017 | 16:56 Reconnaissance du mont Royal par l’UNESCO: le soutien des Montréalais réclamé Par Marie-Eve Shaffer /journalmetro.com/actualites/montreal/1113523/reconnaissance-du-mont-royal-par-lunesco-le-soutien-des-montrealais-reclame/) </header> <figure> (http://journalmetro.com/actualites/montreal/1113523/reconnaissance-du-mont-royal-par-lunesco-le-soutien-des-montrealais-reclame/#) <figcaption> Chantal Levesque Le site du mont Royal vu de l'observatoire de la Place Ville-Marie </figcaption> </figure> L’appui des Montréalais est réclamé afin que le site du mont Royal puisse être proposé pour faire partie du patrimoine mondial de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). Les Amis de la montagne ont lancé mercredi une campagne de mobilisation au cours de laquelle ils espèrent obtenir 30 000 signatures de soutien d’ici le 26 avril prochain. «On espère que ces lettres d’appui viendront ajouter plus de poids à la candidature», a dit mercredi la directrice générale des Amis de la montagne, Silvie Guilbault. À la suite de l’appel de la ministre fédérale de l’Environnement, Catherine McKenna, l’été dernier, la Ville de Montréal a soumis la candidature du mont Royal afin qu’il fasse partie de la liste des sites promus par Ottawa auprès de l’UNESCO. Seul le gouvernement du Canada peut formuler de telles propositions à cet organe des Nations unies et seulement deux sites peuvent être mis de l’avant à chaque année. Les sites retenus par Ottawa seront dévoilés en décembre prochain. Le patrimoine culturel du site du mont Royal a été vanté dans son dossier de candidature présenté par la Ville, a indiqué Mme Guilbault. «S’il y a un lieu emblématique qui reflète toute l’histoire du pays, c’est le mont Royal», a-t-elle dit. La reconnaissance du mont Royal par l’UNESCO ferait en sorte que la montagne aurait un genre de protection planétaire. «Elle permettrait de dire, au niveau international, qu’on doit toucher ce site avec des gants blancs», a illustré la directrice des Amis de la montagne. Celle-ci a convenu que les mesures de protections du mont Royal devront être renforcées, tout en précisant que cette préoccupation est constante par les citoyens et les organisations qui ont pignon sur la montagne. À ce jour, 18 sites canadiens font partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, dont l’arrondissement du Vieux-Québec, le Canal Rideau et le parc des montagnes Rocheuses. La dernière fois que le gouvernement canadien avait proposé des sites, c’était en 2004. Cinq des 11 sites faisant partie de la liste indicative du Canada ont par la suite été retenus pour faire partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, dont le site fossilifère de Terre-Neuve, Mistaken Point, l’an dernier.
  3. As The Hill reports, Royal Jordanian posted on Twitter Monday that “following instructions from the concerned U.S. departments, we kindly inform our dearest passengers departing to and arriving from the United States that carrying any electronic or electrical device on board the flight cabins is strictly prohibited." http://www.zerohedge.com/sites/default/files/images/user3303/imageroot/2017/03/15/20170319_jordan.jpg
  4. Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. »
  5. La succursale va fermer. C'est incroyable. On dirait presque un canular. Perte immense pour le patrimoine de Montréal... *** Royal Bank abandons historic 360 St. Jacques building June 23, 2010. 1:57 pm • Section: Metropolitan News The Royal Bank of Canada is closing its historic branch in Old Montreal, in what was once the tallest building in the British Empire and the bank’s head office. The image above, from Google Earth, shows the building (in the middle, foreground) and the skyscrapers that followed it. The bank has more on the history of the Montreal landmark here and here. And check out this city of Montreal history. This story appeared in the Granby Leader-Times on March 4, 1927: http://blogs.montrealgazette.com/2010/06/23/royal-bank-abandons-historic-360-st-jacques-building/
  6. Salut groupe, Auriez vous une photo vu des airs de la montée camilien houde ? Il le semble en avoir vu sur le forum mais je ne trouve pas ou ! Merci ! Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
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  9. Appel à préserver la vue sur le mont Royal Par Mathias Marchal Métro http://journalmetro.com/actualites/montreal/969153/garder-le-mont-royal-dans-le-paysage/ Josie Desmarais La rue Peel fait partie des rues à partir desquelles la vue sur la Montagne est restreinte La prolifération des tours au centre-ville nuit aux vues sur la montagne et de la montagne, notent des intervenants qui suggèrent notamment de protéger certains corridors visuels. Pour évaluer à quel point le mont Royal est visible à partir du centre-ville, François Bastien, chercheur au département de photographie du Cégep du Vieux-Montréal a notamment parcouru la rue Sainte-Catherine, le long de ses contreforts, et a mesuré à quel point la montagne était visible entre la rue Dufort et l’avenue McGill College. Il présentait ses conclusions la semaine dernière dans le cadre d’une journée d’étude organisée par les Amis de la Montagne et intitulée Le Mont-Royal pourrait-il disparaître? Sur une quinzaine de rues présentées dans sa recherche, seule celle de l’avenue McGill College offre une vue dégagée sur la montagne. «Les rues MacKay, Saint-Mathieu, Pierce et Towers n’offrent aucune vue sur le mont Royal, alors qu’une seule donne à voir le belvédère Kondiaronk, celle de la rue de la Montagne», a souligné M. Bastien. Il a ajouté que le développement immobilier pourrait encore réduire l’aspect visuel de la montagne. S’il convient que la construction de tours sur des lots vacants au centre-ville entre en conflit avec certains éléments du paysage, le chef d’équipe à la division de l’urbanisme de l’arrondissement de Ville-Marie, Bruno Collin, reste ferme: «Si on gelait le développement au centre-ville, on serait collectivement perdant», a-t-il affirmé. M.Collin a présenté de son côté les mesures prises par les autorités municipales pour préserver la vue. «Pour protéger la vue sur le mont Royal à partir de la place Vauquelin, proche de l’hôtel de ville, on a revu toutes les hauteurs maximales des édifices dans cet axe», a-t-il donné en exemple. L’autre aspect pris en compte par l’arrondissement: la vue sur le fleuve Saint-Laurent à partir du belvédère Kondiaronk, qui se réduit au fil de l’érection de nouveaux édifices. «On peut travailler avec le promoteur pour revoir la forme des tours [ou] donner des dérogations pour en augmenter la hauteur et, en contrepartie, en réduire la largeur pour aménager des espaces entre les édifices qui préservent la vue sur le fleuve à partir de la montagne», a-t-il ajouté. Mais la lutte pour la sauvegarde de la vue n’est pas qu’une question de construction, a prévenu François Bastien. Sur la place d’Armes, des arbres ont été plantés récemment. D’ici 10 ans, quand ils seront devenus matures, ils bloqueront la vue sur la montagne, qui est déjà quasiment invisible à partir du Vieux-Montréal, a-t-il lancé. Le chercheur a plaidé pour l’instauration de corridors visuels. «Protéger la vue sur la montagne et depuis la montagne, c’est protéger l’action du regard dans l’espace du lieu, c’est contribuer au maintient de l’identité visuelle de la métropole», a-t-il insisté. 140 Le parc du Mont-Royal a eu 140 ans la semaine dernière. En comparaison, la Ville de Montréal ne dispose d’un service d’urbanisme que depuis 75 ans. Approfondir le sujet: Pour pouvoir en apprendre plus, les autorités municipales et gouvernementales ont mis au point une véritable Bible du Mont-Royal avec une architecte paysagiste. L’Atlas du paysage du mont Royal comprend 233 pages où tous les secteurs de la Montagne sont identifiées et analysées sous plusieurs angles: historique, topographique, paysagère etc. sent via Tapatalk
  10. Royal Air Maroc deux fois par jour à Montréal cet été. La compagnie aérienne Royal Air Maroc ajoutera au cœur de l’été un deuxième vol quotidien entre Casablanca et Montréal, l’une de ses deux destinations en Amérique du nord avec New York en attendant l’ouverture de Washington à l’automne. Du 2 juillet au 10 septembre 2016, la compagnie nationale marocaine propose deux vols par jour entre sa base à Casablanca-Mohammed V et l’aéroport de Montréal-Pierre Elliott Trudeau, opérés avec un mix de Boeing 787-8 Dreamliner (18 passagers en classe Affaires, 256 en Economie), de 747-400 (20+478) et de 767-300ER (12+224). Les départs du Maroc seront alors programmés à 4h30 (arrivée 7h15) et à 18h05 (arrivée 20h25), les vols retour quittant le Canada à 8h45 (arrivée 20h45) et à 22h55 (arrivée le lendemain à 10h45). Royal Air Maroc reste sans concurrence sur cette route, du moins jusqu’au 3 juin quand Air Canada inaugurera sa propre liaison, via sa filiale loisirs Rouge. Le renforcement de l’offre « intervient pour répondre à la demande croissante pendant la saison d’été des Marocains résidant au Canada », explique la RAM dans un communiqué ; « il vise également à offrir un programme de vols qui relie parfaitement Montréal au réseau de la compagnie, aussi bien au niveau national qu’international, via son Hub de Casablanca ». La compagnie partage ses codes au Canada avec WestJet. Outre Montréal, Royal Air Maroc dessert en Amérique du nord l’aéroport de New York-JFK et s’envolera le 8 septembre vers Washington-Dulles ; dans ses deux cas, les passagers peuvent profiter d’un accord de partage de codes avec JetBlue Airways pour prolonger leur voyage. En Amérique latine, elle se pose à Sao Paulo-Guarulhos et atterrira le 2 mai à Rio de Janeiro-Galeao ; elle dispose au Brésil d’un accord de partage de codes avec la low cost GOL. http://www.air-journal.fr/2016-01-14-royal-air-maroc-deux-fois-par-jour-a-montreal-cet-ete-5156520.html
  11. http://montrealgazette.com/business/local-business/new-crew-moves-into-1920s-bank-building-in-old-montreal?__lsa=851c-06b2 sent via Tapatalk
  12. 'Iconic' park will rise from former St-Michel dump Kevin Mio, Montreal Gazette More from Kevin Mio, Montreal Gazette Published on: August 28, 2015 | Last Updated: August 28, 2015 3:32 PM EDT What was once a quarry and garbage dump that has marred the city’s St-Michel district for decades will soon become one of Montreal’s — if not the world’s — most iconic parks, Mayor Denis Coderre said on Friday. The St-Michel Environmental Complex will be transformed into the city’s second-largest park, behind Mount Royal, beginning with several new sections that are to be opened to the public for the first time in 2017, in time for the city’s 375th birthday. The whole project is slated to be completed by 2023, Coderre said. “New York has its Central Park, Paris has its Luxembourg Gardens, London has its Hyde Park. If it is true that the major cities of the world can be recognized by their legendary green spaces, Montreal has certainly not been left out,” the mayor said as he made the announcement standing in front of what will become a 12.5 hectare wooded area and lookout in a few years. “We already have Mount Royal Park, our largest park, and in a few years we will soon have another equally iconic (park) right here,” he said. “This transformation represents one of the most ambitious environmental rehabilitation projects ever undertaken in an urban environment in North America,” Coderre said. “We are building a park out of a site that contains 40 million tonnes of garbage.” The cost of this phase of the project is $33.7 million, which the city is paying for from its capital works budget. The final price tag for the remainder of the work is not known. However, Coderre said whatever money is needed will be made available to complete the project. Once finished, the park will include thousands of trees, a lake, wooded areas, pathways, rest spots, an outdoor theatre and more. Anie Samson, the mayor of the Villeray — Saint-Michel — Park Extension borough and member of the executive committee, said the transformation shows that the impossible is possible. “Today is a big day for us and it is one more step forward toward the realization of our dreams (for St-Michel),” she said. “For the past 20 or 30 years, (residents) had a dump over there. Now it is going to be one of the biggest and nicest parks in the world,” Samson said. By 2017, just over 17 hectares of park space will be open to the public. In all, the park will occupy 153 hectares of the 192-hectare site. “A lot of people are talking about sustainable development, but what does it mean? I think we have a living proof here,” Coderre said. “We are providing today a new definition of how to revitalize an area. Frankly, at the end of the day … a lot of people are inspired by other cities. Trust me, this one will be an inspiration for the rest of the world.” Journalists were given a bus tour of the site Friday morning, which included a drive into the lowest point of the former quarry, which will eventually become the lake. It will be five times as big as Beaver Lake on Mount Royal. The lake will be filled with run-off water from the park and will be treated to make it safe to be used for boating and kayaking, but not for swimming. The second major project is a new entrance way to the park along Papineau Ave. that will include, among other things, a sliding area for winter activities, public spaces and areas where people can rest or play outdoor games such as Frisbee or flying kites. Two other sections already opened to the public will be reconfigured and new entrances constructed. There is already a pathway that rings the entire complex, but this is the first time the public will be allowed onto the landfill site. But how they will get to the park, near the corner of Papineau Ave. and Jarry St., is another question since public transit to the area is far from ideal. Coderre said they are working on a plan to address that issue. “We can have the nicest park, but it has to be accessible,” Coderre said. “We want Montrealers to be able to take advantage of the park so there will be an action plan for public transit, a mobility plan.” One challenge city officials face is how to camouflage the more than 500 wells that dot the site. They serve as monitoring stations for the biogas which is emitted by the buried garbage and the city must find a way to hide them while still allowing them to be accessible to workers for repairs. At the same time, they must prevent vandalism. The biogas is recovered and used as fuel on site by Gazmont, producing enough electricity for 2,000 homes. The company signed a new deal this year to recuperate the gas for 25 years once renovations are completed in 2016. The electricity is sold to Hydro-Québec, with the city getting 11.4 per cent of total sales per year. kmio@montrealgazette.com http://montrealgazette.com/news/local-news/iconic-park-will-rise-from-former-st-michel-dump
  13. Ce projet de 96 condos a été complété en 2013 et a remplacé un IGA et son stationnement. Peu importe ce qu'on pense du look de ce projet, c'est quand même une belle densification! Le rendu initial Le projet complété (photo: Royal Lepage) Photo : Via Capitale Voici le terrain auparavant: Le terrain maintenant:
  14. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201107/16/01-4418490-des-projets-fous-montreal-la-echappe-belle.php Publié le 16 juillet 2011 à 10h10 | Mis à jour le 17 juillet 2011 à 08h30 Des projets fous! Montréal l'a échappé belle Imaginez que le Plateau-Mont-Royal, du boulevard Saint-Laurent au parc La... (Illustration: Anik Poliquin, La Presse) Illustration: Anik Poliquin, La Presse Karim Benessaieh La Presse Imaginez que le Plateau-Mont-Royal, du boulevard Saint-Laurent au parc La Fontaine, n'existe plus, remplacé par un campus. Pour construire l'autoroute Ville-Marie, on a rasé une grande partie de Saint-Henri, du Vieux-Montréal et d'Hochelaga. Une énorme tour évasée et penchée domine le mont Royal, un restaurant trônant à son sommet. Le métro de Montréal, démesuré, est un gouffre financier sans fond, avec ses 112 km de voies et ses 300 stations. Cauchemars d'urbaniste ou d'amant du patrimoine? Pas du tout. Dans l'ambiance folle des années 60, ces projets ont bel et bien existé, des plans ont été dessinés, des études commandées. Voici un florilège de projets ambitieux qui auraient complètement changé le visage de la métropole. Montréal, à quelques occasions, l'a vraiment échappé belle. *** L'autoroute métropolitaine, à Montréal, vers l'ouest près d'Anjou.... (Photo: Bernard Brault, La Presse) - image 1.0 L'autoroute métropolitaine, à Montréal, vers l'ouest près d'Anjou. Photo: Bernard Brault, La Presse UNE AUTOROUTE À L'ASSAUT DES VIEUX QUARTIERS Depuis plus de 50 ans, les politiciens et les ingénieurs sont embourbés dans un projet qui ne veut pas aboutir: «l'autostrade est-ouest», une autoroute qui devait être l'équivalent, au sud, de l'autoroute Métropolitaine. Une des raisons de cet échec: il aurait fallu détruire 40% du Vieux-Montréal et des portions considérables des quartiers Saint-Henri et Hochelaga pour la construire. Ce projet, couché sur papier en 1960, «c'est le pire du pire», estime Nancy Dunton, d'Héritage Montréal. Il résume à lui seul le peu de cas qu'on faisait il y a quelques décennies de ce qu'on appelait avec mépris les «vieux quartiers». «Il y avait une espèce de honte de ce qu'on était avant, explique Richard Bergeron, urbaniste et chef du parti municipal Projet Montréal. Cette honte, c'était nos quartiers anciens. Et tout prétexte pour les détruire était bienvenu. On voulait tout démolir.» Urbaniste à la Ville de Montréal dès 1956, directeur des services d'habitation puis d'urbanisme jusqu'en 1986, Guy Legault, lui, défend aujourd'hui cette vision. «Une autoroute, ça fait partie d'un réseau, ce n'est pas isolé. Il faut que l'autoroute Ville-Marie se rende jusqu'à l'autoroute 25. Notre réseau est aujourd'hui infirme, il comporte des noeuds de congestion.» Un musée sans protection Le premier segment, planifié en 1960, devait traverser le quartier Saint-Henri, de ce qui allait devenir l'échangeur Turcot à la rue Guy. «La province voulait passer dans les vieux quartiers, et le service d'urbanisme de Montréal s'y est opposé, raconte M. Legault. On a proposé une solution: construire l'autoroute le long de la falaise Saint-Jacques, une barrière naturelle déjà existante. C'est une bonne solution, je pense.» Le deuxième segment, qui devait longer la rue de la Commune, aurait détruit près de la moitié du Vieux-Montréal. Cette idée, impensable aujourd'hui, rappelle que ce quartier historique ne disposait que de peu de protection à l'époque. On a finalement opté pour l'autoroute en tranchée, partiellement recouverte entre la rue Saint-Antoine (Craig à l'époque) et l'avenue Viger, jusqu'à l'avenue Papineau. Il a tout de même fallu détruire 850 maisons. L'avenue Papineau transformée en autoroute Pour le segment suivant, on a songé à un échangeur gigantesque qui aurait causé la destruction de tout le quadrilatère Papineau-De Lorimier-Ontario-Sherbrooke. L'autoroute Ville-Marie aurait été prolongée vers l'est, entre les rues De Rouen et Hochelaga. Ce dernier quartier aurait pratiquement disparu. «Le service d'urbanisme de la Ville était opposé à ça, c'était hors de question, dit Guy Legault. Notre idée a toujours été de suivre la rue Notre-Dame.» Connectée à la rue Notre-Dame en 1987, l'autoroute Ville-Marie est restée depuis à 8 km de son objectif, l'autoroute 25. «On l'a vraiment échappé belle, dit Richard Bergeron. Je le dis souvent, le pire ne s'est pas produit!» Il rappelle notamment que la rue Berri devait initialement être prolongée jusqu'au nord, une autre autoroute qui aurait traversé le Plateau. L'autoroute 19, elle, devait relier le pont Papineau-Leblanc au pont Jacques-Cartier - un fantasme d'automobiliste aujourd'hui. L'avenue Papineau et quelques centaines de maisons dans son sillage auraient disparu. Le projet d'axe nord-sud a finalement été déplacé vers l'autoroute 25. Comment expliquer la facilité avec laquelle on envisageait à l'époque la destruction de quartiers entiers? Une idée l'emportait sur tout: le progrès. «À l'époque, tout était permis, on pensait que Montréal aurait 7 millions d'habitants, qu'il fallait détruire les quartiers anciens qui entouraient le quartier des affaires du centre-ville, rappelle Richard Bergeron. Il fallait se préparer à la construction de 150 tours. C'était ça, la vision de Drapeau.» Les quartiers aujourd'hui branchés, comme le Plateau-Mont-Royal, étaient loin d'avoir autant la cote dans les années 60, rappelle Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal. «Dans beaucoup de quartiers, le tissu social était effectivement affaibli, des quartiers qui étaient devenus des maisons de chambres, presque des quartiers de transition. On était sans mémoire et sans merci, on avait peu de pitié pour ces quartiers.» Et il y avait une «apathie» de la population, estime-t-il. L'exode vers les banlieues était notamment causé par une perception répandue, celle que «l'espoir ne se trouvait pas en ville. Et ce qui se passait avec la ville ne suscitait pas tellement de passions.» *** Le secteur du Plateau Mont Royal à l'est... (Photo: Robert Skinner, La Presse) - image 2.0 Le secteur du Plateau Mont Royal à l'est de Saint-Laurent et au sud de Rachel. Photo: Robert Skinner, La Presse LE JOUR OÙ LE PLATEAU FAILLI TOMBER Ce projet obtient sans conteste «la palme de l'éradication de l'habitat populaire», affirme l'architecte André Lortie dans son livre Montréal voit grand. Le rêve est pourtant beau: en 1966, on dresse les plans d'une université ouvrière en plein centre-ville. Elle aurait compté 12 pavillons et des résidences d'étudiants sur un campus digne des grandes institutions anglo-saxonnes. Petit détail: il fallait raser la quasi-totalité du Plateau-Mont-Royal. Carrément. Du parc La Fontaine au boulevard Saint-Laurent, de la rue Rachel à l'avenue des Pins, tout aurait été démoli, au nom de la «rénovation de l'est de Montréal». Le projet est «plus destructeur encore que l'éradication du Faubourg à m'lasse pour Radio-Canada», commente André Lortie. Il ne verra heureusement pas le jour, remplacé par une version plus modeste animée par les mêmes nobles motifs: l'Université du Québec à Montréal. Nancy Dunton, d'Héritage Montréal, est fascinée par «cette haine inimaginable» de l'époque pour les vieux quartiers. «On parle de renouvellement urbain, mais on veut en fait raser des quartiers au complet! Plus on lit sur cette époque, plus on est pris par ça, cette rage d'écraser le passé, sans réflexion sur le contexte. Comme si c'était une façon de mettre en arrière la noirceur de la guerre.» Cette attitude est d'autant plus révoltante que les vieux quartiers montréalais ont un «génie» qu'on redécouvre aujourd'hui, dit Richard Bergeron. Le concept de village urbain autour de la paroisse, la distribution des rues commerciales, la densité, le fait de pouvoir y vivre à pied, la qualité de l'architecture... «Il n'y a pas une règle d'urbanisme hyper tendance actuellement dans le monde qui n'avait pas été parfaitement comprise et mise en forme entre 1880 et 1920, dans les quartiers anciens de Montréal, estime l'urbaniste et conseiller municipal. Il y a du génie dans un quartier ancien de Montréal, autant qu'à Stockholm ou Copenhague, qui servent aujourd'hui de référence pour la qualité de l'aménagement urbain.» *** Le Stade olympique à Montréal.... (Photo: Robert Skinner, La Presse) - image 3.0 Le Stade olympique à Montréal. Photo: Robert Skinner, La Presse L'HOMME QUI RÊVAIT D'UNE TOUR endant toute sa carrière, Jean Drapeau a voulu donner une tour emblématique à Montréal. Il y est finalement parvenu l'année de sa retraite politique, en 1986: l'énorme mât du Stade olympique, qui porte le titre surréaliste de «plus grande tour penchée au monde». Cette structure n'était toutefois pas son premier choix. Deux fois, d'abord au début des années 60, puis des années 80, il a plutôt tenté de la planter sur le mont Royal. Embauché par la Ville en 1956, Guy Legault, directeur de l'urbanisme et de l'habitation au cours des trois décennies suivantes, se souvient de l'obsession de son patron en 1960. «Ça m'avait rendu vraiment malade. J'étais jeune urbaniste, je ne comprenais pas ça du tout, aller sacrer une tour sur le mont Royal...» Il ne s'agissait pas d'un projet modeste: «La tour du mont Royal serait devenue une merveille du monde et aurait servi de point de ralliement à tous les peuples de la terre», raconte dans ses mémoires Yvon Lamarre, alors président du comité exécutif. Le projet tombe, et l'on songe ensuite à construire une tour «Montréal-Paris» pour l'Expo 67. Présentée aux médias en décembre 1964, elle ressemble étrangement à celle qui, deux décennies plus tard, surplombera le Stade olympique. Cette tour devait être financée en partie par la Ville de Paris, qui n'a jamais confirmé sa participation. Selon Guy Legault, l'échec serait également lié à des problèmes techniques: «Là où on voulait placer la tour, il y avait une faille, la faille Logan. C'est un endroit où le roc est fracturé, ça ne pouvait pas tenir.» Le maire, opiniâtre, verra tout de même sa tour apparaître sur les plans de l'architecte du Stade olympique, Roger Taillibert. Selon l'ex-directeur de l'urbanisme, c'est à la demande expresse du maire Drapeau que l'édifice sera orné d'une tour. Il faudra cependant attendre jusqu'en 1986 pour voir cette structure enfin construite, et un an de plus pour la visiter. Peu auparavant, en 1985, une tour sur le mont Royal rappelant l'obsession originelle de Jean Drapeau est proposée par Radio-Canada. La société d'État, appuyée par l'administration de la Ville, souhaite remplacer sa vieille antenne de télécommunications par une tour de plus de 300 m, digne de celle du CN à Toronto. Le projet provoquera une levée de boucliers et l'entrée en scène de celui qu'on surnommera monsieur Patrimoine, Dinu Bumbaru. «Souvent, les administrations municipales pensent qu'un parc, c'est simplement un endroit qui attend d'être bâti, dénonce-t-il. On voulait remplacer l'antenne de transmission par une structure, plus digne, plus haute, avec un restaurant qui tourne. On disait qu'il ne se passait rien au parc du mont Royal, que c'était un endroit abandonné, mais il y avait 2 millions de visiteurs!» *** Jean Drapeau dans le tunnel qui allait accueillir... (Photo: archives La Presse) - image 4.0 Jean Drapeau dans le tunnel qui allait accueillir la ligne orange du métro, en 1962. Photo: archives La Presse Imaginez que le Plateau-Mont-Royal, du boulevard Saint-Laurent au parc La... - image 4.1 UN MÉTRO TROP GRAND POUR MONTRÉAL En 1967, un an après l'inauguration du métro de Montréal, un fonctionnaire manifestement enthousiaste trace les plans du futur réseau. Il prévoit que, en 1982, le métro comptera 9 lignes et quelque 300 stations sur un total de 112 km. Plus de quatre décennies plus tard, le métro de Montréal n'a même pas la moitié de cette envergure, avec ses 68 stations et ses 4 lignes longues de 65 km en tout. Ouf! peut-on dire aujourd'hui: le réseau prévu en 1967 était manifestement démesuré et aurait coûté une fortune. Montréal, qui engloutit chaque année quelque 360 millions de dollars dans ses services de transports en commun, aurait dû y consacrer près du double. «Ils voulaient vraiment ce plan de métro? Ils en fumaient du bon! lance Richard Bergeron, chef de Projet Montréal et docteur en aménagement. C'est de la folie furieuse. Il ne faut pas avoir une réponse excédant de 10 fois le problème posé, c'est un des principes de rationalité en urbanisme.» Ce plan est influencé par l'enthousiasme de l'époque, estime-t-il, alors qu'on croyait que la métropole québécoise compterait 7 millions d'habitants en l'an 2000. Légendes urbaines que tout cela! rétorque Guy Legault, qui a été, en 1967, le premier directeur du service de l'habitation de la Ville de Montréal. «On a fait des prévisions de population, et c'était un peu comme jouer aux cartes ou au loto. Il y avait trois scénarios: 7, 5 et 3 millions d'habitants. On ne parle que de l'hypothèse de 7 millions, ce n'est pas correct. C'était la possibilité la plus farfelue, celle à laquelle on ne croyait pas.» L'ex-fonctionnaire insiste: le scénario qu'on croyait le plus vraisemblable, et qui n'est pas si loin de la réalité aujourd'hui, était de 3 millions d'habitants dans la grande région métropolitaine. Quant à cette fameuse carte digne de la science-fiction établie en 1967, il se souvient l'avoir déjà vue. «Mais je pense que ça n'a jamais été bien sérieux. C'était des idées en l'air. On n'a pas la densité de population pour faire ça. Je ne connais pas la source de ce plan, mais c'est du wishful thinking. On savait bien que l'expansion n'allait pas se poursuivre indéfiniment au rythme des années 60.»
  15. Royal Air Maroc : un Dreamliner à Montréal. Le deuxième Boeing 787-8 Dreamliner de la compagnie aérienne Royal Air Maroc a été déployé vendredi entre Casablanca et Montréal, où il doit atterrir trois fois par semaine jusqu’au début juin. Livré mi-avril à la compagnie nationale marocaine, le Dreamliner immatriculé CN-RGC a décollé le 1er mai 2015 à 18h20 de l’aéroport de Casablanca-Mohammed V à destination de Montréal-Pierre Elliott Trudeau, où il est arrivé à 21h05 ; le vol retour a quitté le Canada à 22h35 pour se poser le lendemain à 10h35. Royal Air Maroc a prévu de déployer son 787-8 jusqu’à trois fois par semaine sur cette route sans concurrence, les autres rotations restant opérées en 767-300ER. Rappelons qu’elle a annoncé pour cet été un doublement des capacités vers le Canada, y compris via l’ajout de fréquences supplémentaires. http://www.air-journal.fr/2015-05-04-royal-air-maroc-un-dreamliner-a-montreal-5143684.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  16. http://business.financialpost.com/2011/10/14/rbc-trades-bay-street-for-bay-view/ They are going to have a nice new place.
  17. http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/environnement/20150216-amenager-un-corridor-vert-entre-le-mont-royal-et-outremont.html Accueil Campus Environnement Aménager un corridor vert entre le mont Royal et Outremont LUNDI, 16 FÉVRIER 2015 11:50 JOURNAL FORUM ENVIRONNEMENT Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Créer un corridor vert reliant le mont Royal au futur campus d'Outremont, voilà l'essentiel du projet Darlington. «Nous voulons mettre en contact ce puits de biodiversité extraordinaire que constitue le mont Royal avec l'autoroute verte représentée par les abords des chemins de fer», dit Alexandre Beaudoin, conseiller à la biodiversité au Vice-rectorat aux finances et aux infrastructures, secteur du développement durable, de l'Université de Montréal. Sous nos pieds, dans le quartier Côte-des-Neiges, coulent les vestiges des ruisseaux Rimbault et Darlington, qui drainaient les eaux de surface vers la rivière des Prairies. Observés par les cartographes militaires du 19e siècle dans le quartier agricole, ces ruisseaux ont été canalisés puis enfouis; ils coulent dans les aqueducs de la ville. C'est sur l'axe de cette voie naturelle qu'on veut ériger ce ruban de nature. Le projet a fait l'objet d'une présentation officielle à la Ville de Montréal à l'occasion de la consultation «Je vois Mtl», en novembre dernier, par le recteur de l'UdeM, Guy Breton. Dans un premier temps, l'objectif est de favoriser l'agriculture urbaine dans Côte-des-Neiges en proposant aux résidants de mettre en terre et d'entretenir des plantes dans une cinquantaine de bacs disposés au coin des rues, le long du corridor écologique. Par la suite, on aimerait amener les propriétaires à renoncer à la pelouse pour semer plutôt du couvre-sol et des plantes indigènes. Dans une perspective à plus long terme, tout un système de gestion écologique de l'eau sera mis en œuvre. «On veut proposer de défaire le raccordement des gouttières aux égouts collecteurs pour que les eaux de pluie se déversent vers la rue. L'eau recyclée pourrait servir à diminuer les îlots de chaleur plutôt que d'encombrer les égouts collecteurs», explique M. Beaudoin. Portland, ville modèle Mettant à profit la phytoremédiation, cette technologie consistant à dépolluer les sols par l'action des végétaux, le projet Darlington prévoit une importante phase de décontamination des lieux consacrés au corridor vert. Tous les 200 m, le long du corridor projeté, on aménagera des «noyaux secondaires de biodiversité», soit des zones où la faune pourra trouver refuge. Mises bout à bout, ces aires formeront quelque 5000 m2 de verdure. «Le quartier a la particularité de compter plusieurs écoles, bâtiments universitaires et hôpitaux, mentionne le biologiste. La collaboration du personnel de ces entreprises est essentielle pour réaménager leur espace (stationnements et cours de récréation par exemple) dans une perspective de développement durable.» Pour que le projet évolue, la population devra toutefois mettre la main à la pâte. Là se situe d'ailleurs le principal obstacle, selon lui. «Notre plus grand défi est de faire comprendre ce projet à la population, qui devra changer ses habitudes. Planter quelques arbres de plus sur son terrain, ça ne posera peut-être pas de problème, mais renoncer aux pelouses, ça ne fera pas l'affaire de tout le monde.» Au cours d'un voyage à Portland, en Oregon, Alexandre Beaudoin a constaté de ses yeux qu'une conversion est possible. «Tout, dans cette ville, est repensé en fonction du développement durable et de la participation citoyenne. Les murs et toits végétalisés sont nombreux; les rues sont parsemées de fleurs et d'arbustes; les eaux de pluie sont recyclées...» Avec une population 10 fois supérieure, la région montréalaise est loin de pouvoir se comparer avec Portland, où l'on dénombre environ 300 000 habitants. Mais ce n'est pas pour décourager le biologiste apiculteur, qui rêve à ce corridor vert depuis son arrivée au secteur du développement durable de l'UdeM il y a quatre ans. Mathieu-Robert Sauvé Rapport complet Le renard comme symbole On imagine aisément des papillons ou des oiseaux passer d'un arbre à l'autre le long du corridor vert que veut mettre en place l'Université de Montréal entre le mont Royal et Outremont. Mais le symbole qui plaît le plus à son promoteur, c'est le renard roux. Naguère nombreux dans les environs du mont Royal et du cimetière Notre-Dame-des-Neiges, les renards ont été décimés par une maladie transmise par le chien domestique. «On sait que, après avoir complètement disparu, les renards sont revenus récemment habiter le territoire laissé vacant», relate Alexandre Beaudoin. Pour lui, cette renaissance d'une espèce emblématique de la nature québécoise est un signe d'espoir. sent via Tapatalk
  18. http://www.thestar.com/news/gta/2014/10/31/go_looks_at_a_quieter_ride_on_montreals_electric_commuter_train.html
  19. http://www.thrillist.com/travel/nation/top-10-sexiest-neighborhoods-on-earth-ipanema-rio-de-janeiro-tops-our-list It's happened to us all before: wandering through an unfamiliar part of town, you suddenly realize you're surrounded by throngs of devastatingly attractive people. It's as if you stumbled into a dream, or at least onto the set of an Abercrombie & Fitch catalogue shoot. And while your good fortune might appear to defy the laws of science, allow us to be the Scully to your Mulder by suggesting that there is, in fact, a perfectly logical explanation for this phenomenon. Thanks to chic shopping, trendy bars, and high-end real estate, certain neighborhoods just happen to be populated by really ridiculously good-looking people. Here are 10 of them. 5. Le Plateau-Mont Royal Montreal, Canada In a town already filled with a staggering number of beautiful Québécois, the Plateau elevates MTL's "holy crap these people are gorgeous" game to new heights. It's bisected by Boulevard St. Laurent, which is one of the city's main drags and peppered with lively bars, clubs, and scores of nubile young coeds -- most of whom speak French andEnglish! -- from nearby McGill University.
  20. http://sustainablecitiescollective.com/city-life/324311/montreal-je-tadore Montréal, je t'adore 10 years ago, I went to Montreal for the first time on a whim. I was 20 years old, living in Ottawa and working for the Canadian government when I had just found out that my mother had breast cancer. Right after I received this upsetting news, a French Canadian guy - who I’d only met a few weeks earlier - invited me to hang out with him in Montreal. I was in such an emotional state that I decided to risk it and go spend time with someone I barely knew and have him show me his city. From that day forward, I fell madly in love with Montreal (not the boy, though - we remained friends and thankfully my mom recovered from cancer shortly after). I have gone back every few years since then, including spending three weeks in a French immersion program, just a few years after my first visit. When I returned to the city last week with my husband and son, I was reminded why I love Montreal. Here are my ten favourite things - in no particular order - about North America’s coolest city. Bikes - Montreal was one of the first cities in North America to establish a public bike sharing system with its Bixi bikes. The system was launched on May 12, 2009, and currently has 450 stations around Montreal’s central core. The city has embraced bike lanes and bike infrastructure ever since. It’s King/de la Commune station, with 110 docking points, is the biggest bike sharing station in North America. You will find people of all ages and backgrounds on bikes…like this guy:image Street art - Montreal is home to many talented street artists - and it shows, especially around the Plateau/Mont Royal area, which is bursting with colourful, impressive street murals. The city supports these artists through the recently launched MURAL festival. It is a free art festival that aims to celebrate urban art and graffiti painting, sculpture and installations, dance, music, film, and performance. The second edition took place in June on the famous Boulevard Saint-Laurent. Each festival brings new street murals to the neighbourhood. I could write a whole post on Montreal street art (and I probably will).image Advanced walk signals - In some Montreal intersections, pedestrians actually get to proceed on a green light BEFORE cars! A brilliant show of respect for people and a great way to promote safe walkable cities. Babies - I noticed everyone loves babies in Montreal. In Vancouver, people without children tend to avoid eye contact with me/pretend I don’t exist. In Montreal, everyone smiles and wants to help you when you have a child- from grandmas to young male hipsters. In all of the restaurants we went to, people never seemed to mind if my son was fussy or needed tending to. One male server even offered to watch him while my husband and I shopped on St.Denis Street. I’m pretty sure he was joking, but he mentioned that he also has children (and he was under 30). Maybe it is because Quebec’s fertility rate is higher than the Canadian average, but there appeared to be a lot of young families there. Public spaces - Montreal has many fun, creative public spaces - parklets, green laneways, urban forests, public swings, and as I mentioned before, spectacular street art. Here is a shipping container converted into a pleasant seating area:image Festivals and Culture - I remember when I was staying in Montreal for a French immersion program, it was July and the streets were constantly being closed off for some big party, complete with concerts, fireworks, outdoor movies, fashion shows, drum circles and more - Tam Tam at Mont Royal, The Indy, The Festival du Mode et Design, The Comedy Festival, The Festival du Jazz. Of course at the time I found this amazing, because festivals of this scale were so rare in my hometown of Vancouver. We may finally be catching up, but nobody throws a party like Montreal. Whimsy - When I walk around Montreal, I don’t see a city of monotonous glass towers. There are little bits of whimsy all around, like purple accents on heritage buildings, a bold red staircase on a rowhome, street trees made of ribbon, amusing murals, and even garbage cans made to look like maple syrup containers. Montrealers definitely have a sense of fun.image Mid rise buildings/row homes - You can walk down some streets in Montreal and forget you are in a city. I loved getting off the main roads and finding myself on a quiet street surrounded by lush trees and row homes, very much like New York. The city also seems to prefer mid-rise buildings to high-rise towers. Bilingualism and Multiculturalism: Montreal is one of the rare cities where people speak two languages - French and English - and that is a beautiful thing. To be able to walk into a store or restaurant and have the option of being served in French, English, or a bit of both, is a treat for me as I continue to work on improving my French skills. The city is also home to many different ethnicities - from Portuguese to Chinese to Italian and Haitian. On my last visit, I loved spending time in Little Portugal on upper St Laurent St, where I bought a lucky Portuguese rooster and ate an enormous roast chicken sandwich and egg tart. Style: Many Canadian clothing brands got their start in Montreal, such as Jacob and Le Chateau, and the city is home to several clothing designers and manufacturers. Montrealers have a sense of style that is bold and eclectic. This makes for great shopping (especially around the Mont Royal area) and people watching. As one Montrealer states: In Montreal, dressing in what makes you feel awesome and sexy, no matter how outlandish, is just a normal part of life. Thinking of cutting off the arms of an old fur coat and wearing them as legwarmers? Great idea! Want to max out the use of your Dracula Halloween costume by rocking a floor-length cape year-round? By all means, please do! You can understand why Cirque du Soleil had to come from Quebec and nowhere else. Walkable. Bikeable. Hip. Fun. Stylish. Edgy. If I haven’t already convinced you of Montreal’s effortless cool and fun-loving ways, you should go and see for yourself why it’s one of the best cities in the world.
  21. Read more: http://www.montrealgazette.com/MUHC+puts+hospital+buildings+sale/8194083/story.html#ixzz2PUdxl9hL
  22. Out of History - A pace setting venture - Port Royal Condo Montreal 1965
  23. Projet de condominiums de 3 tours de 4 étages construites en 3 phases. Chaque phase aura 32 unités. Prix: à partir de 167,200$. Livraison: Été 2013. Voir le site web Emplacement 9199, rue Maurice-Duplessis Rivière-des-Prairies, Montréal (Québec) http://www.leroyalcondos.ca/
  24. Any guesses on what will become of the Royal Vic once the MUHC moves to the Glen Campus? http://blogs.montrealgazette.com/2013/03/07/condos-parkland-hogwarts-castle-recycling-the-royal-victoria-hospital-one-idea-at-a-time/ http://blogs.montrealgazette.com/2013/03/05/whats-next-for-the-royal-victoria-hospital-who-decides/ http://blogs.montrealgazette.com/2013/03/11/royal-victoria-hotel-dieu-mount-royal-montrealers-must-demand-a-say/ http://www.montrealgazette.com/news/Railway+baron+family+wants+maintain+spirit+Royal+site/8053827/story.html http://blogs.montrealgazette.com/2013/03/04/mount-royal-after-the-royal-vic-what-do-you-want-for-your-mountain/ It's actually patently ridiculous that this facility is still being used as a hospital, that would be like using a Ford Model T as an ambulance in 2013. Converting to condo is probably out of the question too given the extraordinary cost and the terrible layouts that it would yield. My guess is that the city, the provincial government nor McGill will want to pay for refurbishment or upkeep and it will become a dilapidated eyesore because Heritage Montreal and the like will oppose anything and no one will dare touch it!! *my apologies if this thread already exists anywhere or belongs to another category
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