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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201602/03/01-4946661-le-geant-americain-lowes-acquiert-rona-pour-32-milliards.php (Mooresville, Caroline du Nord) Près de quatre ans après l'échec d'une première tentative pour acquérir le quincailler Rona, le géant américain de la rénovation Lowe's est finalement parvenu à ses fins. Les deux entreprises ont annoncé mercredi la conclusion d'une entente définitive qui fera passer le fleuron québécois de la rénovation sous contrôle étranger en échange d'une somme de 3,2 milliards de dollars en espèces. Cette transaction a été approuvée à l'unanimité par les conseils d'administration des deux sociétés. Le détaillant américain offre 24$ par action ordinaire de Rona, ce qui représente une prime de 104 pour cent par rapport au cours de clôture du titre de l'entreprise québécoise, mardi, à la Bourse de Toronto.  «Nous croyons que le moment est venu de franchir cette nouvelle étape», a commenté le président du conseil de Rona, Robert Chevrier, par voie de communiqué. Lowe's - qui compte 1840 magasins en Amérique du Nord - s'est engagé à établir le siège social de ses activités canadiennes à Boucherville, en plus de maintenir les bannières exploitées par l'entreprise québécoise. Le numéro deux de la rénovation aux États-Unis dit également avoir l'intention de conserver «la vaste majorité» des employés actuels de Rona en plus de maintenir en postes des «hauts dirigeants clés». Le réseau de Rona compte près de 500 établissements corporatifs et magasins affiliés indépendants. Le quincailler québécois compte plus de 17 000 employés dans ses magasins corporatifs et plus de 5000 autres répartis dans ses établissements indépendants. Ce regroupement représentera la plus importante chaîne de rénovation résidentielle au détail du pays, avec des revenus estimés à 5,6 milliards $ pour l'exercice 2015. «La transaction devrait accélérer la mise en oeuvre de la stratégie de croissance de Lowe's en intensifiant de manière importante notre présence sur le marché canadien grâce à l'ajout des activités attrayantes de Rona», a estimé le président et chef de la direction de Lowe's, Robert Niblock. Celui-ci a ajouté que Lowe's, présente en Ontario et ailleurs au Canada, pourra percer le marché québécois - le deuxième en importance au pays - principalement occupé par Rona. En octobre dernier, le détaillant américain s'apprêtait à rencontrer des fournisseurs québécois, ce qui avait alimenté les rumeurs voulant que la chaîne spécialisée soit en train de préparer son entrée au Québec. Lowe's avait présenté une offre amicale de 1,76 milliard de dollars pour mettre la main sur Rona en 2012, mais cette approche avait suscité une levée de boucliers, notamment de la part du gouvernement du Québec. La Caisse approuve La Caisse de dépôt et placement du Québec, le plus important actionnaire de Rona, avec une participation de 17%, a approuvé la transaction mercredi matin. Par voie de communiqué, l'institution annonce qu'elle*déposera ses actions dans le cadre de l'offre faite par Lowe's. «Dans l'ensemble, la Caisse estime que la transaction mènera au maintien ou à la croissance de l'activité économique générée par les bannières de Rona au Québec.» La Caisse appuie sa décision sur «la recommandation unanime du conseil d'administration de Rona en faveur de cette offre, la prime de 105*% par rapport à la valeur moyenne de l'action à la Bourse de*Toronto*dans les 30 derniers jours, les responsabilités de la Caisse envers ses déposants et les engagements pris par Lowe's quant à sa présence au Québec et au*Canada».
  2. 2012 est marquée par des acquisitions québécoises à l'étranger Mise à jour le mercredi 26 décembre 2012 à 12 h 30 HNE Deux poids, deux mesures? Les entreprises québécoises ont multiplié les acquisitions à l'étranger en 2012, mais quand le géant américain Lowe's a voulu mettre la main sur le quincaillier en difficulté Rona, la levée de boucliers a été immédiate. En 2012, le Québec inc. a connu une année exceptionnelle sur la scène internationale. La pharmaceutique Valeant, qui a déménagé son siège social à Montréal cette année, a effectué plusieurs acquisitions dont la valeur totale a dépassé les 3,5 milliards de dollars américains. CGI a acquis la firme britannique Logica pour 2,8 milliards de dollars avec l'aide de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Alimentation Couche-Tard a acheté le détaillant norvégien Statoil Fuel & Retail pour 2,7 milliards de dollars. Saputo a avalé l'entreprise texane Morningstar Foods pour 1,45 milliard de dollars américains. Et Cogeco s'est porté acquéreur du câblodistributeur américain Atlantic Broadband pour 1,36 milliard de dollars américains. Genivar et Stella-Jones ont aussi réalisé des acquisitions étrangères cette année, alors que la Banque Laurentienne et Fiera Capital, entre autres, ont effectué des transactions importantes au Canada. « Ça a été une année faste et c'est encourageant: les entreprises québécoises relèvent merveilleusement bien le défi de la mondialisation », se réjouit Michel Nadeau, directeur général de l'Institut sur la gouvernance. « On a rarement vu un contexte macroéconomique aussi favorable pour permettre à nos entreprises de faire des transactions qui vont les transformer », constate Luc Bachand, chef de BMO Marchés des capitaux au Québec, en évoquant les faibles taux d'intérêt, la force du dollar canadien et les liquidités abondantes dont disposent actuellement bon nombre de grandes sociétés canadiennes. Les dirigeants ambitieux n'hésitent pas à tirer parti de la faiblesse relative de l'économie en Europe et, dans une moindre mesure, aux États-Unis, pour mettre la main sur des entreprises prometteuses à bon prix. « L'année 2013 pourrait aussi être une grande année parce qu'on va continuer à voir, d'après moi, un bon climat pour faire des transactions », avance M. Bachand. Selon le Fonds de solidarité FTQ, 29 entreprises québécoises d'importance ont procédé à des acquisitions en 2012 alors qu'à peine 11 compagnies d'ici ont été vendues. Il faut seulement espérer que les achats récents des entreprises québécoises produiront les bénéfices espérés. Après tout, notent les experts, la plupart des acquisitions se soldent par des échecs. On n'a qu'à penser à l'aventure américaine de Jean Coutu et à l'incursion ratée de Cogeco au Portugal. Hormis l'acquisition de SFR par Couche-Tard, qui a soulevé des inquiétudes chez les syndiqués scandinaves, aucune des acquisitions étrangères menées par des entreprises québécoises n'a suscité de fort mouvement de contestation. En fait, la plupart des acquisitions d'entreprises ont lieu sans faire de vagues. On se rappelle de la vente de Provigo (acquise par Loblaws en 1998), de Vidéotron (acquise par Québecor en 2000) et d'Alcan (acquise par Rio Tinto en 2007), mais qui se souvient vraiment de la vente de Van Houtte (acquise par des Américains en 2007), de Sico (acquise par AkzoNobel en 2006) et de La Senza (acquise par Limited Brands en 2007)? M. Nadeau fait remarquer que dans certains cas, les acquisitions d'entreprises québécoises par des intérêts étrangers ont eu du bon. Il donne l'exemple de Van Houtte, dont le siège social montréalais a continué à prendre de l'expansion malgré le changement de contrôle. Un Rona L'express (archives) Ce n'est clairement pas ce succès que les politiciens québécois avaient en tête lorsqu'ils se sont empressés, dans une rare unanimité, de condamner l'offre d'achat de 1,76 milliard de dollars présentée par Lowe's pour Rona, cet été. Le ministre des Finances de l'époque, le libéral Raymond Bachand, est allé jusqu'à demander au bras financier du gouvernement, Investissement Québec (IQ), d'acheter des actions du détaillant dans le but de le protéger. Ce n'est qu'en lisant le prochain rapport annuel d'IQ qu'on saura si la société d'État a obéi à cette commande inusitée. De son côté, sans qu'on le lui demande, la Caisse de dépôt a senti le besoin d'allonger 34,4 millions de dollars pour faire passer sa participation dans Rona à près de 15 %. Il faut dire que le déclenchement d'une campagne électorale était imminent. Mais encore aujourd'hui, nombreux sont les observateurs du milieu des affaires à croire qu'il faut empêcher à tout prix la vente de Rona. « Le siège social de Rona (situé à Boucherville), c'est l'un des plus importants de la région de Montréal », relève Michel Magnan, professeur de comptabilité à l'Université Concordia. « Je ne pense pas qu'on réagisse très différemment des gens dans d'autres pays », ajoute-t-il, en rappelant l'hostilité manifestée par le détaillant américain Casey's lorsque Couche-Tard a voulu en faire l'acquisition, en 2010. Les spécialistes soulignent que la présence de sièges sociaux est importante pour assurer la vitalité économique d'une région métropolitaine. En plus de faire travailler des milliers de personnes, ces centres décisionnels confient de lucratifs mandats à plusieurs professionnels: avocats, comptables, ingénieurs, informaticiens, etc. Sans compter les achats faits aux fournisseurs locaux, un aspect particulièrement important dans le cas de Rona. Il reste qu'au Canada anglais, on a mal compris la réaction quasi-épidermique de l'élite québécoise, perçue comme du nationalisme économique mal placé. Le célèbre financier montréalais Stephen Jarislowsky a résumé son malaise en quelques mots: « je ne vois pas pourquoi un détaillant ne pourrait pas appartenir à des étrangers ». Dans le reste du Canada, pourtant, l'opposition a été vive quand MDA, Potash et Nexen ont été visées par des offres d'achat provenant de l'étranger. Le gouvernement fédéral a bloqué le rachat de MDA et de Potash, n'y voyant pas d'« avantage net » pour le Canada. Il a autorisé la vente de Nexen à une société d'État chinoise, mais en promettant de s'opposer à des transactions semblables à l'avenir. Une loi protectrice? Louis Hébert, professeur de management à HEC Montréal, prévient que les entreprises étrangères qui souhaitent réaliser des acquisitions au Canada devront désormais s'attendre à « recevoir beaucoup plus d'attention qu'auparavant de la part des autorités réglementaires ». « Si c'était à refaire, Rio Tinto ne pourrait pas acquérir Alcan, estime-t-il. On trouverait quelque chose pour bloquer cette vente-là. » Réagissant au feuilleton Rona, les principaux partis politiques québécois ont proposé des mesures pour rendre plus difficiles les prises de contrôle étrangères. Il importe toutefois de préciser que plusieurs grandes entreprises québécoises sont déjà protégées parce qu'elles sont contrôlées par des actionnaires détenant des actions multivotantes. Le Parti québécois et le Parti libéral ont notamment promis d'adopter une loi pour permettre aux conseils d'administration, lorsqu'ils étudient une offre d'achat hostile, de ne pas tenir compte seulement des intérêts des actionnaires, mais aussi de ceux des autres parties prenantes: clients, employés, fournisseurs et créanciers, entre autres. Des dizaines d'États américains possèdent déjà une loi semblable, mais aucune province canadienne. Clemens Mayr, avocat spécialisé en fusions et acquisitions chez McCarthy Tétrault, souligne qu'une loi permettrait d'énoncer plus clairement ce principe déjà entériné par deux arrêts de la Cour suprême du Canada. Il avertit toutefois que pour être efficace, cette voie devra aussi être empruntée par Ottawa et les autres provinces. Sinon, la valeur boursière des sociétés québécoises pourrait en pâtir. Me Mayr rappelle que comparativement aux États-Unis et aux pays européens, le Canada a mis en place « relativement peu de barrières » pour protéger ses entreprises des appétits étrangers. Le défi, c'est de trouver le juste équilibre. « Si on accepte le jeu que nos entreprises gagnantes vont acheter des firmes à l'étranger, il va aussi arriver que certaines des nôtres vont se faire acheter des fois, affirme Michel Nadeau. Il s'agit de défendre les quelques entreprises qui sont vraiment stratégiques. » Rona a réussi à s'en tirer jusqu'à maintenant. Mais si l'entreprise ne se remet pas rapidement sur les rails, les prédateurs referont surface. À cet égard, l'année 2013 pourrait être déterminante. « Forcément, quand tu réussis à te défendre, il faut performer après, dit Luc Bachand de BMO. Il faut mettre en oeuvre un plan d'affaires qui donne des résultats. Sinon, les actionnaires vont te dire: " tu as laissé passer une offre et tu n'es pas capable de créer de la valeur ''. » http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/12/26/002-2012-acquisitions-entreprises-quebecoises-etranger.shtml
  3. Read more: http://www.montrealgazette.com/news/Doors+slam+shut+Lowe+Rona/7019504/story.html#ixzz22Js017vJ I wonder what will happen. The only way Lowe's will not be able to buy Rona, is if the Quebec government buys up the majority of the shares on the market or buys the whole company. If the Government buys up Rona, we will have a new crown corporation on our hands.
  4. Sur boulevard des Galeries d'Anjou entre l'actuel restaurant Madison et McDonald, un nouveau restaurant Les trois brasseurs sera construit sous peu. Il y a actuellement des pancartes qui annonce la venue du restaurant prochainement. Pour plus de précision sur sa localisation, le restaurant sera situé à deux pas du centre commercial les Galeries d'Anjou et il sera situé devant le Rona l’Entrepôt.
  5. Forzani et Sports Experts s'éloignent-il du Québec? Publié le 22 mai 2009 à 06h22 | Mis à jour à 06h23 Sophie CousineauLa Presse (Montréal) Le Québec se trouve au coeur de la lutte de pouvoir qui se joue entre le détaillant albertain Groupe Forzani et le fonds d'investissement new-yorkais Crescendo Partners. Cette lutte sera déterminante pour l'avenir du franchiseur des Sports Experts. Après avoir accumulé en catimini 5,1% des actions en circulation de Forzani, Crescendo réclame la nomination de deux administrateurs au conseil cette entreprise de Calgary, dont le titre se languit en Bourse depuis quelques années. Mais pour faire place à ces dirigeants américains, Crescendo souhaite éjecter du conseil d'administration le seul représentant du Québec. Il s'agit d'Henri Drouin, ancien président du conseil d'administration du grand quincailler Rona. «Dans mon esprit, c'est impensable qu'on veuille retirer du conseil notre représentant du Québec. C'est là où se trouve 30% de notre business au Canada», dit Robert «Bob» Sartor, chef de la direction de Forzani, en entrevue téléphonique avec La Presse. Bob Sartor a grandi au Québec, étudié à McGill et à Concordia, mais ce comptable a quitté la province il y a 12 ans. Au Québec, Forzani est connu par l'entremise des bannières Sports Experts, Atmosphere et Intersport. Sports Experts est le joyau de la couronne, avec des ventes au pied carré de 40% supérieures à celles de Sport Chek, l'une des grandes bannières de Forzani au Canada anglais avec Athletes World et Coast Mountain Sports. La majorité des magasins Sports Experts se trouvent toujours au Québec, soit quelque 170 magasins sur 225, les autres étant situés en Ontario et en Alberta. Ancien propriétaire-exploitant d'une quincaillerie Rona transformée en centre de rénovation à Amos et d'une épicerie à Barraute, dans son Abitibi natale, Henri Drouin est un commerçant de carrière. Il n'est pas le seul à connaître l'industrie du détail au conseil de Forzani, où siège aussi Paul Walters, l'ancien président de Sears Canada. «Mais c'est notre expert pour tout ce qui touche les relations avec les franchisés», note Bob Sartor. Au conseil d'administration du quincailler Rona de 1976 à 2002, dont 21 années à titre de président, Henri Drouin était l'un de ceux qui ont négocié avec succès l'ouverture des magasins Rona de grande surface avec les petits détaillants franchisés qui craignaient de se faire concurrencer par leur propre entreprise. Joint à sa résidence de Prévost, dans les Laurentides, Henri Drouin prend la chose avec philosophie. «J'imagine qu'il leur fallait tasser quelqu'un pour faire la place à leurs candidats», dit ce retraité de 67 ans qui siège aussi aux conseils de Cactus Commerce et de Novabrik, deux PME. Même si Crescendo est établie à New York, la firme est très active au Canada depuis une quinzaine d'années. Les règles du jeu donnent le champ libre aux investisseurs activistes, a expliqué son grand patron, Eric Rosenfeld, lors d'une conférence récemment tenue à Montréal. «Au Canada, a-t-il dit, la démocratie d'entreprise règne!» Eric Rosenfeld a investi dans une vingtaine d'entreprises, parmi lesquelles Spar Aerospace, Ad Opt Technologies et BCE Emergis. Rares sont celles qui sont restées intactes après l'arrivée des représentants de Crescendo au conseil. La majorité ont fait l'objet d'une vente ou ont été complètement transformées par la cession d'activités significatives. Dans la mesure où Crescendo a ouvert son jeu au sujet de Forzani, la firme n'entend pas démanteler le détaillant ou mettre en vente ses bannières, du moins à court terme. Mais Eric Rosenfeld aimerait accélérer la mise en oeuvre du plan d'affaires de l'entreprise, raconte Bob Sartor. Forzani prévoit que son chiffre d'affaires, de près de 1,6 milliard de dollars, atteindra 2,6 milliards de dollars d'ici cinq ans. Le détaillant entend aussi doubler son profit d'exploitation (BAIIA) au cours de cette période, pour qu'il se situe entre 190 et 200 millions de dollars en 2014. Pour ce faire, Forzani compte croître tout unifiant et simplifiant ses trop nombreuses bannières axées sur le sport ou le plein air. Forzani ne compterait plus que neuf enseignes différentes comparativement à 16 actuellement. «Crescendo voudrait faire cela en trois ans au lieu de cinq, mais c'est impossible à moins de claquer une fortune pour casser les baux», dit Bob Sartor, en rappelant que Forzani a institué un dividende et a racheté des actions depuis deux ans. Outre Henri Drouin, Crescendo souhaite aussi éjecter du conseil de Forzani Donald Gass, ancien associé du cabinet comptable Deloitte&Touche. Ce sont les actionnaires qui auront le dernier mot dans cette bataille de procurations. Ils choisiront le prochain conseil de Forzani lors de l'assemblée annuelle qui se tiendra le 10 juin. courriel Pour joindre notre chroniqueuse: sophie.cousineau@lapresse.ca
  6. Le détaillant d'articles de quincaillerie a annoncé jeudi le lancement d'une nouvelle circulaire disponible exclusivement sur le web. Pour en lire plus...
  7. Finie l'ère des magasins entrepôts? 18 décembre 2008 - 07h01 La Presse Laurier Cloutier Dans les centres de rénovation, la mode des magasins entrepôts a pris fin et laisse place aux commerces de taille plus humaine. La dernière édition du Hardlines Quarterly Report, de Toronto, affirme qu'après plus d'une décennie de croissance sans précédent, le format des grandes surfaces a atteint la saturation, tant au niveau des parts de marché que de l'attrait chez le consommateur. Pourtant, la chaîne américaine Lowe's (LOW), principale concurrente de Home Depot (HD), ouvrira sa huitième grande surface au Canada d'ici quelques jours et procédera à quatre autres ouvertures d'ici quelques semaines. Cependant, pour le président de Rona (RON), Robert Dutton, l'entrepôt de la rénovation a bel et bien dépassé son heure de gloire et la chaîne mettra plutôt l'accent sur les magasins de proximité. Cela n'empêche pas l'ex-président du conseil de Rona, André H. Gagnon, d'agrandir de 25% son Rona Régional de Saint-Hyacinthe d'ici avril 2009, pour en faire un Rona L'Entrepôt, lui qui en possède déjà trois autres (au Quartier DIX30 de Brossard, aux Promenades Saint-Bruno et à Granby) avec des associés. La porte-parole, Eva Boucher-Hartling, nie par ailleurs que Rona soit en train de vendre sa chaîne Réno-Dépôt à Lowe's Canada. «Réno-Dépôt a une bonne performance et on rénove en outre ses magasins entrepôts» (déjà 10 sur 16), réplique-t-elle. Cela dit, l'éditeur du Hardlines Quarterly, Michael McLarney, constate «le ralentissement de l'expansion des grandes surfaces de la rénovation». Le Canada en comptera déjà 274 d'ici la fin de 2008, soit une par 26 000 familles au pays. En plus de la saturation du marché, c'est très difficile de trouver un nouvel emplacement et les goûts des consommateurs canadiens changent. Les chaînes en tiennent compte. Home Depot construit des magasins plus petits, en plus de Rona qui regarde surtout du côté de ses autres formats, ajoute le Hardlines. Rona exploite déjà 80 grandes surfaces qui génèrent 2,5 milliards de dollars de ventes sur son chiffre d'affaires estimé à 6,5 milliards en 2008.
  8. Oubliez les 2x4 qui contribuent à la déforestation. Dans un geste salué par les écologistes, Rona a annoncé hier une nouvelle politique d'approvisionnement en bois qui fixe d'ambitieux objectifs écologiques. Pour en lire plus...
  9. Le distributeur et détaillant de produits de quincaillerie, de rénovation et de jardinage modifie sa politique d'approvisionnement des produits dans une optique de conservation de la forêt boréale. Pour en lire plus...
  10. Durement frappée par la mauvaise conjoncture, la chaîne de quincailleries et de centres de rénovation Rona résiste et surpasse même les attentes des analystes. Pour en lire plus...
  11. Le rénovateur annonce que ses profits du troisième trimestre ont reculé de 10% à 53,4 M$. Pour en lire plus...
  12. Le rénovateur porte le nombre de magasins de son réseau à travers le pays à 700, avec l'ajout de ventes estimées à près de 50 M$. Pour en lire plus...
  13. Le Journal de Montréal 20/04/2007 Rona (RON) se prépare pour un déménagement et deux ouvertures de magasins dans la grande région de Montréal. Des projets qui totalisent 75 M$ et qui créeront 325 emplois. Rona a annoncé hier qu’elle avait acquis un immense terrain au centre commercial Carrefour Candiac afin d’y construire un Réno-Dépôt. Les travaux, qui commenceront en juin, se termineront au printemps 2008. Environ 175 emplois seront alors créés. Le magasin adoptera un nouveau concept qui utilise des pictogrammes pour guider les clients. «C’est quelque chose d’assez révolutionnaire dans le commerce de détail», soutient Pierre Dandoy, premier vice-président, magasins à grande surface de Rona. «Quand tu sors de l’allée des planchers, les pictogrammes te font penser que tu as peut-être besoin de colle», donne-t-il en exemple. Ce concept, implanté à Rimouski depuis novembre, connaît beaucoup de succès, selon Rona. L’entreprise fermera par ailleurs son magasin-entrepôt du boulevard Taschereau, à Brossard, pour le déménager au Quartier Dix30. On souhaite ainsi profiter du grand pouvoir d’attraction que ce nouveau centre commercial doit avoir. La construction du magasin commencera ce mois-ci. Tous les employés du magasin sur Taschereau y seront transférés. Enfin, le détaillant est sur le point de terminer la construction d’un Rona L’entrepôt à Pierrefonds. L’ouverture est prévue pour juillet, et 150 personnes y trouveront du travail. Même si la SCHL prévoit un ralentissement dans les mises en chantier et les reventes de maisons pour 2007, Rona estime qu’il y a encore de la place au Québec pour de nouveaux magasins comme les siens. «C’est certain qu’on ne s’attend pas à une grosse année en ce qui concerne les ventes des magasins comparables (une mesure utilisée dans le commerce de détail pour évaluer la performance)», admet Stéphane Milot, directeur des relations avec les investisseurs chez Rona. En 2007, Rona prévoit entreprendre la construction de 15 magasins de grande surface et de proximité dans diverses provinces canadiennes.
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