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  1. Macadam - Toi et moi sur le toit Le Devoir Fabien Deglise Édition du jeudi 16 juillet 2009 Mots clés : Toit, Plante, Fleur, Flore, Habitation, Québec (province), Montréal Timidement, Montréal commence à apprivoiser ses toitures pour améliorer son cadre de vie Dès le retour des beaux jours, Marie-Ève Provencher, Andrée Lalonde et Patrice Deslauriers, de la firme d'architectes Ron Rayside, viennent régulièrement prendre le pouls de la ville depuis leur jardin en hauteur. Photo: Jacques Nadeau C'est la magie de la nature en hauteur. Perché au quatrième étage d'un immeuble de la rue Ontario, à Montréal, au milieu d'une orgie de fines herbes, de fleurs multicolores et de meubles de jardin en fer forgé, le temps, soudainement, semble vouloir s'arrêter. Au loin, des centaines de mètres plus bas, la ville expose bruyamment, et sous un ciel gris, son agitation matinale, avec ici une sirène en panique, là un crissement de pneu. Mais, tout en contemplant la vue imprenable sur le centre-ville, depuis son Centre-Sud, l'architecte Ron Rayside y est étrangement imperméable. «À cette époque de l'année, c'est l'un des endroits les plus agréables du bâtiment», lance ce bâtisseur qui, en 2005, a décidé d'expérimenter le concept de toit vert sur l'immeuble qui abrite les bureaux de sa firme ainsi que quelques logements. «Nous étions dans les premiers à nous lancer dans ce type de construction. Pour voir ce qu'il était possible de faire à Montréal. Pour le moment, le résultat est concluant. Ce toit, en plus de nous aider à réduire notre consommation d'énergie, est beaucoup utilisé par les habitants de l'immeuble.» Le contraire serait étonnant. Ainsi élevé, les pieds dans la verdure, le panorama qui s'offre au citadin en quête d'ascension est fascinant, avec son enfilade de toits en tout genre et toutes conditions persillées ici et là par des terrasses habitées -- généralement au sommet de constructions récentes -- et surtout avec son horizon bloqué, au sud-ouest, par les imposants gratte-ciel montréalais. Mais il y a plus. La perspective permet aussi de prendre la mesure d'un paradoxe comme Montréal aime bien les alimenter: oui, avec l'arrivée des beaux jours, les toits de la métropole prennent doucement vie, mais dans une timidité qui tranche avec notre époque écologisante. Une époque qui aime, sur papier glacé et dans les tubes cathodiques, vanter à outrance le vert sur toiture et les jardins urbains suspendus. Pour respirer l'air du temps. Espaces vacants En 2008, à l'occasion du 5e concours Génération développement durable, orchestré par la revue scientifique française La Recherche, les trois étudiants de l'UQAM qui ont décroché le 3e prix (Mariannick Houegbonou, Jonathan Gariepy-Roy et Cyrus Mokry) avec leur projet intitulé «Urmanité: des toits et des hommes» ont d'ailleurs résumé ce vide en deux phrases: «Les toits de Montréal ressemblent à d'immenses terrains vacants vus du ciel... Considérant que la ville est un objet en trois dimensions, pourquoi les surfaces extérieures de cet objet ne sont-elles pas réellement exploitées?» Sur un toit du Centre-Sud, comme sur celui de l'hôtel de la Montagne et sa terrasse Magnétic, ou même au sommet de la place Ville-Marie (deux rares terrasses en hauteur de la ville), la sous-exploitation est effectivement palpable. Elle a aussi été quantifiée par la chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal. «Actuellement, il y a une cinquantaine de toits verts à Montréal, principalement sur les toits d'institutions», lance Caroline Gagnon qui, dans les trois prochaines années, souhaite étudier le phénomène avec Danielle Dagenais. Les deux scientifiques veulent en effet mesurer l'impact psychologique des terrasses vertes sur les citadins. En présupposant que l'effet est bien sûr positif. Une cinquantaine de toits verts. Le chiffre est ridiculement bas: cela représente en effet 0,01 % des toits des quelque 435 000 immeubles en tout genre, selon le rôle d'évaluation, que compte l'île de Montréal. Pas plus. «Ce n'est pas étonnant, lance l'architecte Ron Rayside. Le problème, c'est que la plupart des toits de Montréal n'ont pas été conçus pour ça.» C'est un triste constat et aussi une question de pression: en effet, les traditionnels duplex et triplex des quartiers historiques de la métropole n'ont généralement pas la stature qu'il faut pour supporter le poids d'un jardin sur leur toit, à moins de travaux de renforcement de structure dont la facture va très vite rebuter les aspirants à l'élévation. «C'est donc sur les constructions récentes ou sur les bâtiments institutionnels [écoles, universités et compagnie] que l'on commence le plus à en voir apparaître», poursuit-il. Tant pis donc pour les rêveurs, les écolos, les traqueurs d'espaces en suspension ou les amateurs de grand air qui vont donc devoir se contenter de ce peu... sans doute de leur vivant. «On sent un engouement pour les toits et terrasses verts», dit l'architecte. Mais, en raison de toutes ces contraintes, pas question pour lui d'imaginer d'ici 50 ans des arbres, des buissons, des jardins de fines herbes monter en grande quantité du couvercle de la ville. «Peut-être dans un siècle, avec un peu de chance. Ce genre de chose, malgré nos bonnes intentions, va prendre du temps à arriver.» http://www.ledevoir.com/2009/07/16/259175.html
  2. Why did the Republicans lose the election? How should party members go about rebuilding America's Conservative Party? My problems with party (in order): 1. Too dependent on white evangelical and redneck support (they need to be able to attract educated northern voters and minorities too). Since when did the party that abolished slavery become a party that many racists support? 2. Too many half-wits. When someone of Sarah Palin's intelligence is considered a rising star in the party you have a big problem. 3. Too corrupt. During the tenure of the Bush administration we constantly heard stories of corrupt officials. 4. Too far right. I am a conservative myself. But there are just some members of this party who are a little extreme for me. 5. No new ideas. Where's the daring new schemes of the Reagan era? What happened to the days when it was cool to be conservative? The Party also seems to be suffering from unity problems. There are the McCain Republicans (Rudy Giuliani, Ron Paul, etc) and the Bush Republicans (Sarah Palin, Dick Cheney). It seems similar to the divisions in the Canadian Liberal Party between the Martin Liberals and Chrétien Liberals. In short, the Republicans need their own version of Obama. A good speaker and debater, a uniter not a divider and an intelligent person. If Harper was American he'd make a great leader despite the fact that he's not the best speaker. McCain would make a great leader but is hampered by his lack of knowledge on the economy.
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