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  1. Je mets ce thread ici par sarcasme, images et graphiques en suivant ce lien: http://m.radio-canada.ca/regions/montreal/2014/12/04/007-stade-olympique-toit-demantelement-scenario-pret-rio.shtml MONTRÉAL Jeudi 4 décembre 2014 17h25 Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Stade olympique : le scénario du démantèlement du toit est prêt Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Un texte de Davide Gentile La RIO a refusé de communiquer les détails de ce plan. Après avoir ouvert la porte à une entrevue avec ICI Radio-Canada, l'organisme a finalement refusé de commenter le dossier. Mais une analyse interne faite en 2012 détaille ce scénario de « démantèlement complet de la structure actuelle ». Un processus complexe et coûteux Enlever le toit du stade ramènerait la structure à l'état dans lequel il était entre 1976 et 1987. Selon les informations obtenues par Radio-Canada la perspective d'un stade sans toit serait « réalisable » sur le plan technique. L'analyse faite en 2012 chiffre les coûts du démantèlement du toit à 6,2 millions de dollars. Préparer le stade sans toit à affronter les affres de l'hiver coûterait 13 millions de plus. C'est qu'avec la construction du toit en 1988 des installations de drainage, d'alimentation électrique et de télécommunication ont été ajoutées. On pense aussi au système de gicleurs, tableaux indicateurs et systèmes de son installés depuis. Roger Taillibert, l'architecte du stade, estime qu'on ne peut pas laisser la structure ouverte très longtemps. « Bien sûr, il y a toutes les canalisations électriques, celles d'incendie, etc. Alors, donc, il faut faire un travail d'hivernation », dit-il. Si la RIO décide ou est forcée de démanteler le toit en raison de sa dégradation, il faudra chaque automne répéter cette procédure qui serait qualifiée de « contraignante ». Sans toit, le stade vieillirait rapidement Selon nos informations, l'analyse de la RIO conclut qu'enlever le toit provoquerait un vieillissement prématuré de la structure du stade. Conçue avec un toit, la coquille de béton ne serait pas faite pour faire face à la pluie, la neige et les nombreux cycles de gel et dégel. Cela rapprocherait la date à laquelle « une réfection majeure » de sa structure serait nécessaire pour conserver son intégrité. Roger Taillibert est favorable à un démantèlement, parce qu'il estime le toit Birdair « trop lourd ». Mais, selon lui, il faut éviter la précipitation. « Puisqu'on l'a installé il y a plus de 10 ans, ça peut attendre encore un an, qu'on puisse parallèlement préparer un toit qui serait monté immédiatement ». Roger Taillibert rêve toujours d'un nouveau toit Selon nos informations, la RIO aurait mis une croix sur un toit rétractable et favoriserait un toit fixe en toile, moins cher. Une éventualité qui engendrerait des coûts d'au moins 150 millions. Roger Taillibert parle d'un scénario « inconcevable ». Il rêve toujours d'un toit rétractable et aurait échafaudé de nouveaux plans. Il évoque une proposition « revue, avec des matériaux nouveaux et des mécaniques qui ont beaucoup évolué depuis 40 ans ». Le poids serait moindre et les coûts aussi. L'architecte, toujours passionné par son stade à plus de 80 ans, estime que la facture d'un toit rétractable serait aujourd'hui d'environ 150 millions. Cependant, des sources québécoises proches du dossier parlent plutôt d'une facture de 300 millions pour un toit rétractable. Trop tard pour créer un pôle majeur? Faute d'un toit pleinement fonctionnel, le stade semble avoir perdu de son attrait au fil des ans. « Beaucoup d'événements qui avaient lieu au stade ont migré au Palais des congrès ou au Centre Bell », affirme Romain Roult, professeur au département de culture et de tourisme à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Selon lui, le remplacement du toit serait indéniablement un « préambule important » au réaménagement du Parc olympique. Un toit viable augmenterait nécessairement le nombre d'événements, mais il est difficile de prédire l'ampleur de la hausse. Selon M. Roult, une relance sérieuse passerait aussi par le réaménagement des loges, des sièges et des aires de restauration, qui datent des années 80. La saga du stade aurait eu un impact sur la compétitivité de Montréal. Faute de disponibilité d'un très grand espace ouvert, comme le stade pendant les mois d'hiver, « Montréal a perdu du terrain face à des villes comme Toronto ou Chicago » pour l'organisation de grandes foires, ajoute M. Roult. Le secteur privé quitte le navire? En août 2013, des philanthropes de la région de Montréal avaient annoncé leur intention d'investir dans la relance du pôle olympique. Mais en raison de la stagnation du dossier du remplacement du toit, certains auraient abandonné l'aventure. Le gouvernement n'a pas voulu confirmer ou commenter quoi que ce soit dans ce dossier. Seule bonne nouvelle dans cette saga : la RIO a identifié des zones de fragilité sur la toile. Les réparations qui ont suivi ont permis de faire diminuer le nombre de déchirures, pour la première fois. Tous droits réservés © Société Radio-Canada 2014 CBC/Radio-Canada
  2. La méthode londonienne: un centre d'achats éphémère Publié le 10 décembre 2011 à 06h00 | Mis à jour le 10 décembre 2011 à 06h00 (Londres) Au lieu de chercher à battre ses rivaux en termes de superficie et de longévité, le promoteur d'un centre d'achats londonien a préféré voir petit et à court terme. Avec son design industriel et sa date d'expiration prévue pour 2016, Boxpark fait sonner les caisses de ses détaillants. Samedi après-midi, dans le quartier est-londonien de Shoreditch. Tuques et grosses lunettes bien en vue, des hipsters dévalisent des conteneurs noirs. Ils en ressortent les bras remplis d'espadrilles Puma, de manteaux North Face... et de friandises. De nouvelles émeutes? Pas au sens propre du terme. Des fashionistas ont accouru le 3 décembre dernier à l'ouverture de Boxpark, le premier centre commercial éphémère au monde. Le concept est d'une simplicité désarmante. Des détaillants, indépendants et internationaux, emménagent dans une soixantaine de conteneurs recyclés pour une durée de cinq ans. À l'expiration des baux, la marchandise est remballée et Boxpark disparaît sans laisser de trace. L'idée a germé dans l'esprit de l'entrepreneur Roger Wade en longeant chaque jour le terrain qui jouxte la station Shoreditch High Street, vacant depuis 40 ans. «Je trouvais dommage de voir ce bel espace à l'abandon», dit-il à La Presse. Avec ses boîtes métalliques, 40 au rez-de-chaussée et 20 au premier étage, il propose un projet clé en main aux propriétaires fonciers, Hammerson et Ballymore. La rumeur sur le premier centre d'achats éclair a été si favorable que de grandes marques, comme Calvin Klein et Nike, se sont disputées les caisses, louées à 40 000 dollars canadiens l'unité par année, avant même leur livraison. Pour les griffes émergentes, c'était l'occasion de se démarquer sur le marché britannique, et en particulier auprès de la faune influente et branchée du quartier Shoreditch, l'équivalent londonien du Meatpacking district à New York. «On cherchait quelque chose de différent pour notre première présence en Angleterre. Le premier centre d'achats pop up, c'est un concept cool qui nous sied bien», dit Ole Fjelberg, porte-parole d'OnePiece, une sorte d'American Apparel norvégien qui fait fureur en Europe. Les conteneurs de Boxpark voyageront bientôt aux quatre coins de l'Europe. Roger Wade s'est allié au géant immobilier Corio pour ouvrir d'autres franchises sur le continent. Prochaine destination: Amsterdam en 2012. Mode et récession L'anti-centre d'achats récupère la tendance pop up, qui fait rage depuis trois ans dans la capitale. Tout a commencé en 2009, lorsque des cordons-bleus londoniens ont commencé à attirer dans leur maison de parfaits inconnus pour des soirées gastronomiques. Intrigués par la popularité de ces restaurants clandestins, des chefs vedettes, dont le triple-étoilé Pierre Koffmann et Nuno Mendes, ont occupé à leur tour des espaces inusités (le dernier étage du magasin Selfridges, un loft) pour une durée limitée. «On ne veut pas rater les événements pop up justement parce qu'ils sont éphémères, explique Victoria Stewart, journaliste au quotidien londonien Evening Standard. Les Londoniens aiment se sentir dans le coup.» Des galeristes et des petits commerçants ont saisi l'occasion. Avec la récession, ils étaient soudain en mesure de dicter leurs règles aux propriétaires de locaux vacants, dont la proportion actuelle est de 6,5% contre 2% en janvier 2009. Bonnie Stowell a ainsi fait l'essai de sa première boutique pendant trois mois dans le chic quartier de Chelsea, question de tâter le marché. «C'était moins risqué que de s'engager à long terme», explique la propriétaire de Willow Beauty. La formule ne plaît toutefois pas à tous les marchands. «Si nos affaires vont bien, ce sera dommage de devoir fermer», dit Georgina Dawson, dont le café Foxcroft & Ginger était bondé au jour de lancement de Boxpark. Mais les locataires de Roger Wade n'auront pas le choix de plier bagage. Un édifice à bureaux de 58 000 mètres carrés, évalué à 780 millions de dollars canadiens, remplacera les boîtes noires dès 2017. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/commerce-de-detail/201112/09/01-4476397-la-methode-londonienne-un-centre-dachats-ephemere.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
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