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  1. Publié le 20 juillet 2009 à 06h44 | Mis à jour le 20 juillet 2009 à 06h45 Percées de soleil, risques d'orages Sur le front de l'économie, les nouvelles encourageantes se succèdent. Aux États-Unis, les géants financiers Goldman Sachs et JPMorgan Chase ont rapporté de spectaculaires profits pour le deuxième trimestre de l'année. En Chine, la croissance a été de 7,9% au cours des trois derniers mois, ce qui laisse penser que l'Empire du Milieu atteindra son objectif de 8% pour l'année. Selon les experts consultés par Bloomberg, les ventes de maisons chez nos voisins du Sud devraient avoir atteint en juin leur plus haut niveau depuis octobre 2008. Et pour la première fois, l'administration Obama fait publiquement preuve d'optimisme: le secrétaire au Trésor, Tim Geithner, a parlé jeudi dernier d'«importants signes de reprise». Bref, le pire semble passé. Toutefois, l'économie américaine (et donc l'économie mondiale) reste exposée à des risques considérables. Et avant que la reprise ne s'installe pour de bon, beaucoup de gens vont perdre leur emploi, ou leur maison, ou les deux. Malgré son bénéfice de 3,4 milliards de dollars américains au second trimestre, la situation de JPMorgan Chase révèle à quel point l'économie américaine reste fragile. La banque a fait son argent dans le secteur de l'investissement. Au chapitre du crédit à la consommation et des prêts hypothécaires, par contre, elle a subi des pertes importantes. Le crédit personnel a aussi plombé les résultats de la Bank of America. Ainsi, sa division de cartes de crédit a perdu 1,6 milliard au cours du deuxième trimestre. Enfin, le groupe financier CIT, important prêteur aux PME, se retrouve au bord de la faillite. On peut toutefois voir comme un signe encourageant le fait que les Bourses n'ont pas paniqué devant cette perspective et que Washington a refusé de venir en aide à CIT. De toute évidence, on estime que l'économie est désormais assez solide pour résister à la faillite d'un acteur de moyenne importance. L'envers de cette stabilisation, c'est que les mauvaises habitudes semblent revenir au galop. En vertu de son système de rémunération, Goldman Sachs pourrait verser une moyenne de 770 000$ à chacun de ses 29 000 employés en 2009. Les plus hauts dirigeants recevront des dizaines de millions. Ne s'agit-il pas du genre de pratiques qui ont poussé les banquiers à prendre des risques excessifs dans le passé? Avec la confiance qui revient, le secteur financier relève la tête et combat plus férocement les nouveaux contrôles envisagés par les gouvernements. La semaine dernière, le patron de JPMorgan a averti l'administration Obama que la réglementation plus sévère imposée aux émetteurs de cartes de crédit nuira considérablement à ce secteur déjà en difficulté. Les gouvernements doivent certes se garder d'aller trop loin. Mais après ce qui s'est passé depuis un an, le secteur financier ne peut pas espérer qu'on lui fasse aveuglément confiance. Souhaitons par ailleurs que les petits investisseurs aient appris de la crise que, peu importe la sévérité des règlements, ils sont les premiers responsables de la protection de leurs avoirs. Il leur faut s'informer, diversifier leurs placements, épargner, ne s'endetter qu'avec prudence. Et surtout, se tenir loin de ceux qui leur promettent des rendements miraculeux. apratte@lapresse.ca
  2. Considérant la gravité de la situation économique canadienne, le ministre fédéral des Finances devance et accélère l'injection des milliards promis pour relancer l'économie, et ce, en dépit des risques d'erreur. Pour en lire plus...
  3. La banque américaine enregistre des pertes considérables au quatrième trimestre et sépare ses activités saines de ses actifs à risques. Pour en lire plus...
  4. Qu'est-ce qui pourrait déraper au Canada ? * Anne Robert, Les affaires.com * 11:33 Les risques identifiés dans la revue du système financier. Si l’économie canadienne a fait preuve de résilience, la Banque du Canada passe en revue les risques qui pourraient faire basculer son scénario de reprise progressive. «L’issue la plus probable de la crise actuelle est une amélioration graduelle de la situation sur les marchés financiers mondiaux et des conditions de crédit au Canada, à la faveur de l’entrée en vigueur des mesures exceptionnelles adoptées pour la résoudre», pense la Banque du Canada. Elle est tout de même tenue de publier tous les six mois dans sa Revue du système financier, une analyse des risques qui pèsent sur le système. La Banque du Canada en a identifié cinq. 1. Les banques demeureraient réticentes à prêter, retardant le rétablissement de la confiance et le retour à des conditions de financement plus normales. 2. Au cas d’une récession prolongée, les banques accuseraient des pertes sur les prêts, les obligeant à serrer la vis sur les nouveaux prêts. 3. Si les ménages s’appauvrissent avec la récession, les ménages trop endettés ne seront pas en mesure de rembourser leurs emprunts, et les banques ayant encaissé des pertes prêteront moins. 4. Si la récession américaine s’avérait plus grave ou plus longue que prévu, les répercussions sur les entreprises, les ménages et les banques canadiennes seront considérables, compte tenu des liens étroits entre les deux pays. 5. Le dollar américain demeure sur-évalué. Une correction trop brutale pourrait provoquer de fortes fluctuations sur les marchés financiers.
  5. Étant donné la rapide dégradation du climat économique et les risques de déflation, la Banque centrale européenne et la Banque d'Angleterre révisent fortement à la baisse leurs taux directeurs. Pour en lire plus...
  6. Les risques de déflation guettent désormais l'économie américaine, entrée durant l'été dans une récession qui s'aggrave à vue d'oeil. Pour en lire plus...
  7. Le prix du baril de pétrole Brent est tombé mardi sous la barre psychologique des 60 dollars dans les échanges électroniques en Asie, sur des craintes de baisse de la demande en raison des risques de récession économique, selon des courtiers. Pour en lire plus...
  8. La banque réduit son exposition aux risques dans au secteur immobilier résidentiel américain grâce à un accord avec Cerberus Capital Management. Pour en lire plus...
  9. Ces deux types de fonds d'investissement sont en général sous contrôle privé, ce qui leur permet de prendre des risques élevés et de publier relativement peu d'information sur leurs activités. Pour en lire plus...
  10. Quand vient le temps d’investir dans les actions des sociétés engagées dans l’exploration gazière au Québec, l’opinion des gestionnaires de portefeuille diffère selon leur degré de tolérance aux risques. Pour en lire plus...
  11. Le prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz a minimisé les risques à court terme d'effondrement du système financier mondial. Pour en lire plus...
  12. La Norvège a liquidé les 900 millions de dollars en actions qu'elle détenait dans Rio Tinto «en raison des graves risques environnementaux». Pour en lire plus...
  13. Ces risques diminuent en raison car les constructeurs devraient toucher jusqu'à 50 G$ US en prêts du gouvernement américain. Pour en lire plus...
  14. La gestion du crédit devra se réinventer 8 août 2008 - 20h57 La Presse Rudy LeCours Il y a un an aujourd’hui, BNP Paribas annonçait le gel des retraits de trois fonds investis dans les prêts hypothécaires à risque. Il y a un an aujourd’hui, BNP Paribas déclenchait ce qui semble encore la plus importante crise de liquidités depuis la Grande Dépression. En annonçant le gel des retraits de trois fonds investis dans les prêts hypothécaires à risque, elle sonnait le glas d’un mode de gestion des risques rattaché au crédit depuis le début de la décennie, sous l’impulsion de Wall Street. Il a fallu pas moins de trois semaines à une trentaine de mathématiciens pour dénouer l’écheveau: quelle valeur réelle donner aux trois fonds de BNP Paribas, compte tenu de l’effondrement du marché hypothécaire à risque (subprime) aux États-Unis? Réalisant la gravité de la situation puisqu’elles étaient presque toutes dans la même galère, les banques se sont soudainement méfiées les unes des autres. Plus question de se prêter au taux souhaité par les banquiers centraux puisque l’argent avancé aujourd’hui ne sera peut-être pas remboursé le lendemain. Toute la machine financière s’est enrayée, faute de liquidités, comme un moteur sans huile. Devant la gravité de la situation, la Banque centrale européenne a débloqué des lignes de crédit évaluées à 148 milliards de dollars américains dans les heures qui ont suivi l’annonce. Le lendemain, la Réserve fédérale américaine injectait 38 milliards de liquidités sur son marché bancaire. Il s’agissait du premier d’une longue série de mesures d’urgence pour tenter de rétablir un peu de confiance dans le système. Selon Frank Milne, professeur à l’Université Queen’s de Kingston et nouveau conseiller spécial à la Banque du Canada, la crise présente n’en est pas une de liquidités. Il s’agit du retour brutal des risques de crédit à long terme au bilan des institutions financières. Depuis des années, elles les délocalisaient dans des filiales, souvent nichées dans des paradis fiscaux. Ces filiales saucissonnaient ces risques de crédit en tout genre dans des produits financiers à courte échéance (comme du papier commercial), d’une complexité et d’une opacité telle qu’elles auraient été incapables de les expliquer à ceux à qui elles les vendaient. Les investisseurs mal informés les achetaient, à la fois attirés par un rendement légèrement supérieur à celui des bons du Trésor et rassurés par la bonne note de crédit accordée par les grandes agences. À leur échéance, ces titres étaient remplacés par une nouvelle émission de même nature de sorte que l’émetteur continuait de refiler son risque et de reprêter à long terme le produit de la vente de ces titres à court terme. La roue tournait. Certaines banques américaines et européennes ont ainsi pu prêter le même dollar de 20 à 30 fois. Devenus méfiants après l’annonce de BNP Paribas, les investisseurs ont boudé les nouvelles émissions. Tout le marché de la titrisation du risque et de l’activité bancaire hors bilan s’est dès lors évanoui. Pour les institutions financières, cela signifiait la reprise soudaine de toutes ces créances, bonnes ou mauvaises, et autant d’argent en moins à prêter. Le fiasco de ce modèle mis au point par des mathématiciens est attribuable en partie à la fausse prémisse voulant que la croissance soit continue, permettant le financement des risques à long terme comme un prêt hypothécaire par des titres de dettes à courte échéance, sans cesse renouvelables. L’effondrement du marché de l’habitation aura montré sa fausseté. «Les répercussions sont loin d’être terminées», prévient M. Milne, dans son analyse Anatomy of the Credit Crisis : The Role of Faulty Risk Management Systems (Anatomie de la crise du crédit : le rôle des systèmes erronés de gestion du risque) publiée dernièrement par l’Institut C.D. Howe. Il y décortique avec soin le rôle des institutions financières, des acheteurs de produits financiers structurés et des agences de notation de crédit dans le fouillis financier présent. Il met en lumière sa symbiose funeste avec l’économie réelle. «À mesure que se poursuit la crise et que devient apparente sa nature systémique, l’évaluation des pertes grimpe. Elle s’étend des prêts hypothécaires dans leur ensemble, aux cartes de crédit, aux prêts immobiliers commerciaux, etc.», écrit M. Milne. En fait, ce qui demeure troublant, c’est que personne ne connaît l’envergure des pertes à venir des grandes institutions financières, à mesure qu’elles reprennent les produits structurés qu’elles ou leurs filiales ont émis et dont personne ne veut plus. Il n’existe pas de valeur marchande pour ces titres puisqu’il n’y a plus de marché. Depuis août, les radiations s’élèvent à près de 500 milliards de dollars. Des prévisions réalistes comme celles du Fonds monétaire international voient la note grimper à 1000 milliards. On serait donc à mi-chemin de la crise. Des scénarios plus pessimistes évaluent le dégât plutôt à 3000 milliards, compte tenu de son effet domino sur des créances jugées bonnes jusqu’ici. Devant ces pertes, les institutions doivent réunir des capitaux pour redorer leur bilan, mais les investisseurs sont réticents et gourmands. Jusqu’ici, elles ont amassé quelque 400 milliards d’argent frais, soit 100 de moins que le capital pulvérisé. C’est autant d’argent en moins à prêter. Emprunter coûte plus cher qu’il y a un an aux États-Unis, même si la Réserve fédérale américaine a fait passer son taux directeur de 5,25 % à 2,0 %. Le retour à une situation plus normale, c’est-à-dire sans les contraintes actuelles ni le laxisme qui a abouti au présent bourbier, paraît possible quand le marché américain de l’habitation aura atteint le creux de la grave crise qu’il traverse. Entre-temps, une crise en nourrit une autre. Plus se déprécient les propriétés résidentielles, plus grandit le nombre de prêts hypothécaires qui excèdent leur valeur. Plus se gonfle celui des prêts défaillants et plus se multiplient les saisies qui font à leur tour baisser le prix des maisons. Et la vrille continue.
  15. La Réserve fédérale américaine a laissé inchangé mardi son taux directeur à 2%, notant des risques d'affaiblissement de la croissance et des menaces d'inflation. Pour en lire plus...
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