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  1. Alcan buyout called "economic suicide" for Canada Lynn Moore, CanWest News Service Published: Saturday, July 14, 2007 MONTREAL -- The proposed acquisition of Alcan Inc. by the London- and Melbourne, Australia-based Rio Tinto Group is a symptom of "economic suicide" underway in this country, Montreal billionaire and shareholder activist Stephen Jarislowsky said Friday. Others use less dramatic language as they engage in the hollowing-out-of-corporate-Canada debate but admit to growing concern over deals such as Rio Tinto's friendly $38.1-billion US bid for Alcan. The Montreal-based aluminum producer is the 10th company on the TSX 60 to be taken over, or poised to be taken over, by a foreign company in the past three years, Jarislowsky noted. Foreign takeovers are fuelling the Canadian dollar, which is "going through the roof" and contributing to the woes of Canada's exporting and manufacturing companies, he said. "I think the Canadian government is wrong to let any of the 60 biggest companies get taken over by foreigners," said the founder and chairman of Jarislowsky Fraser Ltd., which manages $60 billion in assets. The Conservative government's appointment of a panel to asses Canada's competition policy and foreign investment is akin to closing the barn door after the best horses have run away, Jarislowsky said. "Only the stupid horses are left," along with banks and companies that, for regulatory reasons, can't leave, he said. Ken Wong, an associate professor at Queen's University's business school, said there are few takers for unprofitable, poorly-run businesses, so it's not surprising the best companies are being bought. But while businesses are looking out for their own interests, someone should be considering the national good, particularly when resources or resource-dependent companies are concerned, he said. "I would be looking for certain signs that tell me that the merger or acquisition will be good for the country, not just the company" or shareholders, Wong said. Ottawa should ensure the long-term stewardship of resources is factored into the equation so that lost resources can be tabulated in much the same way lost jobs have been, he said. The Rio Tinto offer, unveiled Thursday, would see Rio Tinto Alcan with a head office in Montreal but its chief executive officer would report to Rio Tinto's CEO. Rio Tinto currently has its key aluminum and aluminum-related assets and offices in Australia. Rio Tinto Alcan would be "the new hub" of Rio's aluminum business, although investment in Australia "would not be diminished," Rio Tinto CEO Tom Albanese said at Thursday's press conference in Montreal. There would be some ebb and flow of employees between Montreal and Brisbane, Australia, but the employment levels in Montreal would remain as high, if not higher, he added. Descriptions like that make Concordia University finance professor Lawrence Kryzanowski uneasy because they remind him of what was said as Montreal head offices moved west when the separatist movement was gaining strength in Quebec. "It is clear when a company moves a head office; less clear is when a company moves key functions out," he said. "Smart companies will do that over time." The Royal Bank of Canada, for example, contends that it maintains a head office in Montreal but its corporate headquarters is in Toronto. "You can say you still have the head office here in Montreal but (what matters) is where the head office work is carried out. I would expect of lot of that to happen" with Rio Tinto Alcan, Kryzanowski said. Alcan "probably arranged the best deal for shareholders ... and Montreal," given the circumstances, Kryzanowski, an Alcan shareholder, said. The Rio Tinto Alcan office in Montreal "will be a divisional office at best," Jarislowsky said. One thing that helped tie Alcan to Canada were agreements between it and the governments of B.C. and Quebec that were linked to long-term, low-cost energy supplies for the aluminum producer, Kryzanowski said. "If it wasn't for the agreements they had in both Quebec and B.C., I think the head office would probably move," he said. The Quebec deal, signed last December just before Alcan announced a $1.8-billion US investment in the Saguaenay, requires that Alcan maintain in Quebec "substantive operational, financial and strategic activities and headquarters ... at levels which are substantially similar to those of Alcan" at the signing of the agreement. Now it's up to Quebec and other interested parties to "be vigilant" and ensure that the deal is honoured, Kryzanowski said. Quebec will have to decide how best to measure Rio Tinto Alcan's presence in Quebec, based on what it most values, be it payroll numbers, new products development or research-and-development money spent, Wong said. Montreal Gazette lmoore@thegazette.canwest.com
  2. http://journalmetro.com/actualites/montreal/988621/un-skatepark-sur-lesplanade-du-parc-olympique/ 04/07/2016 Mise à jour : 4 juillet 2016 | 2:00 Un skatepark sur l’Esplanade du Parc olympique en 2017 Par Roxane Léouzon Métro Collaboration spéciale Un schéma du futur skatepark Un nouveau skatepark permanent sur l’Esplanade du Parc olympique sera ouvert au public à l’été 2017 et accueillera des championnats canadiens. La Régie des installations olympique (RIO) doit en faire l’annonce lundi. Le parc à planche à roulettes occupera 10 000 m2 au coin des rues Pie-IX et Sherbrooke, et comptera une vingtaine de modules en béton. L’accès y sera gratuit. «Il y aura de gros obstacles de niveau professionnel, mais aussi des plus faciles, comme des bancs et des rampes droites. Ça combine tous les styles de skate», souligne le skater Charles Deschamps, qui a contribué au design du parc. «Il y a beaucoup de rampes d’escalier, ce qui est parfait pour pratiquer le style street», a pour sa part commenté le skater Jean-Sébastien Lapierre, qui a été mis au courant du projet. C’est la World Skateboarding Federation (WSF) qui a approché la RIO afin que cette dernière construise un parc pouvant accueillir la première édition des championnats canadiens de skateboard, de même que les éditions annuelles suivantes. «Montréal est en train de devenir la Mecque du skate au Canada. La communauté canadienne de skateboard est de plus en plus forte, et il est temps d’y tenir une grosse compétition ouverte à tous», juge Tim McFerran, président de la WSF. En effet, contrairement à ce qui se fait dans plusieurs concours de skateboard importants, les participants n’auront pas besoin d’invitation pour tenter leur chance. Le gagnant se qualifiera pour les championnats mondiaux, aussi organisés par la WSF. La RIO considère ce futur parc, dont le budget prévu est de 750 000 $, comme un legs des festivités du 40e anniversaire des installations olympiques. Par ailleurs, la WSF compte engager tous les étés un coach pour assister ceux qui fréquenteront le parc. C’est une bonne nouvelle pour les amateurs de planche, qui souhaitent depuis des années l’aménagement d’installations de calibre mondial dans la métropole. «C’est fou qu’on n’ait toujours pas de skatepark convenant à la demande de l’industrie», commente M. Lapierre.
  3. Je mets ce thread ici par sarcasme, images et graphiques en suivant ce lien: http://m.radio-canada.ca/regions/montreal/2014/12/04/007-stade-olympique-toit-demantelement-scenario-pret-rio.shtml MONTRÉAL Jeudi 4 décembre 2014 17h25 Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Stade olympique : le scénario du démantèlement du toit est prêt Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Un texte de Davide Gentile La RIO a refusé de communiquer les détails de ce plan. Après avoir ouvert la porte à une entrevue avec ICI Radio-Canada, l'organisme a finalement refusé de commenter le dossier. Mais une analyse interne faite en 2012 détaille ce scénario de « démantèlement complet de la structure actuelle ». Un processus complexe et coûteux Enlever le toit du stade ramènerait la structure à l'état dans lequel il était entre 1976 et 1987. Selon les informations obtenues par Radio-Canada la perspective d'un stade sans toit serait « réalisable » sur le plan technique. L'analyse faite en 2012 chiffre les coûts du démantèlement du toit à 6,2 millions de dollars. Préparer le stade sans toit à affronter les affres de l'hiver coûterait 13 millions de plus. C'est qu'avec la construction du toit en 1988 des installations de drainage, d'alimentation électrique et de télécommunication ont été ajoutées. On pense aussi au système de gicleurs, tableaux indicateurs et systèmes de son installés depuis. Roger Taillibert, l'architecte du stade, estime qu'on ne peut pas laisser la structure ouverte très longtemps. « Bien sûr, il y a toutes les canalisations électriques, celles d'incendie, etc. Alors, donc, il faut faire un travail d'hivernation », dit-il. Si la RIO décide ou est forcée de démanteler le toit en raison de sa dégradation, il faudra chaque automne répéter cette procédure qui serait qualifiée de « contraignante ». Sans toit, le stade vieillirait rapidement Selon nos informations, l'analyse de la RIO conclut qu'enlever le toit provoquerait un vieillissement prématuré de la structure du stade. Conçue avec un toit, la coquille de béton ne serait pas faite pour faire face à la pluie, la neige et les nombreux cycles de gel et dégel. Cela rapprocherait la date à laquelle « une réfection majeure » de sa structure serait nécessaire pour conserver son intégrité. Roger Taillibert est favorable à un démantèlement, parce qu'il estime le toit Birdair « trop lourd ». Mais, selon lui, il faut éviter la précipitation. « Puisqu'on l'a installé il y a plus de 10 ans, ça peut attendre encore un an, qu'on puisse parallèlement préparer un toit qui serait monté immédiatement ». Roger Taillibert rêve toujours d'un nouveau toit Selon nos informations, la RIO aurait mis une croix sur un toit rétractable et favoriserait un toit fixe en toile, moins cher. Une éventualité qui engendrerait des coûts d'au moins 150 millions. Roger Taillibert parle d'un scénario « inconcevable ». Il rêve toujours d'un toit rétractable et aurait échafaudé de nouveaux plans. Il évoque une proposition « revue, avec des matériaux nouveaux et des mécaniques qui ont beaucoup évolué depuis 40 ans ». Le poids serait moindre et les coûts aussi. L'architecte, toujours passionné par son stade à plus de 80 ans, estime que la facture d'un toit rétractable serait aujourd'hui d'environ 150 millions. Cependant, des sources québécoises proches du dossier parlent plutôt d'une facture de 300 millions pour un toit rétractable. Trop tard pour créer un pôle majeur? Faute d'un toit pleinement fonctionnel, le stade semble avoir perdu de son attrait au fil des ans. « Beaucoup d'événements qui avaient lieu au stade ont migré au Palais des congrès ou au Centre Bell », affirme Romain Roult, professeur au département de culture et de tourisme à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Selon lui, le remplacement du toit serait indéniablement un « préambule important » au réaménagement du Parc olympique. Un toit viable augmenterait nécessairement le nombre d'événements, mais il est difficile de prédire l'ampleur de la hausse. Selon M. Roult, une relance sérieuse passerait aussi par le réaménagement des loges, des sièges et des aires de restauration, qui datent des années 80. La saga du stade aurait eu un impact sur la compétitivité de Montréal. Faute de disponibilité d'un très grand espace ouvert, comme le stade pendant les mois d'hiver, « Montréal a perdu du terrain face à des villes comme Toronto ou Chicago » pour l'organisation de grandes foires, ajoute M. Roult. Le secteur privé quitte le navire? En août 2013, des philanthropes de la région de Montréal avaient annoncé leur intention d'investir dans la relance du pôle olympique. Mais en raison de la stagnation du dossier du remplacement du toit, certains auraient abandonné l'aventure. Le gouvernement n'a pas voulu confirmer ou commenter quoi que ce soit dans ce dossier. Seule bonne nouvelle dans cette saga : la RIO a identifié des zones de fragilité sur la toile. Les réparations qui ont suivi ont permis de faire diminuer le nombre de déchirures, pour la première fois. Tous droits réservés © Société Radio-Canada 2014 CBC/Radio-Canada
  4. Nom: Planétarium Rio Tinto Alcan Hauteur: Coût du projet: 48 000 000,00$ Promoteur: Ville de Montréal Architecte: Cardin Ramirez Julien Emplacement: Parc Olympique Début de construction: automne 2011 Fin de construction: Site internet: http://www.planetarium.montreal.qc.ca/ Lien webcam: http://www.planetarium.montreal.qc.ca/Planetarium/construction_a.html Autres informations:
  5. I guess this could also go in the cancelled section. This is what RioTintoAlcan was considering before they decided to sell their head office and move their entire staff into a new tower
  6. J'aime MTL Ville verte et sécuritaire. Je ne suis pas fanatique du ..JDM,mais ils font une chouette série sur la perception de MTL par les immigrants et les visiteurs. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/08/belle-aux-yeux-des-autres Originaire de Rio de Janeiro, la chanteuse Bïa a choisi de vivre à Montréal parce qu’elle juge que c’est l’endroit idéal pour élever son enfant. «Rio de Janeiro, d’où je viens, c’est une ville extraordinaire, mais extraordinairement violente aussi, raconte Bïa. Là-bas, je ne pourrais pas laisser mon jeune fils traverser la rue ou faire du vélo tout seul. Pour avoir un niveau sécurité acceptable, à Rio, il faut être riche et vivre dans un quartier protégé. «À Montréal, je veux faire partie de la classe moyenne heureuse. On a ici des quartiers sécuritaires et beaux pour des familles modestes. Ça n’aurait pas pu être comme ça à Rio. Si j’avais voulu une bonne éducation pour mon fils, il aurait fallu, là encore, que je fasse partie d’une caste privilégiée.» Pendant longtemps, la chanteuse vivait presque la moitié du temps à Cassis, en France. «Mon amoureux québécois et moi faisions constamment la navette entre la France et Montréal… Mais c’est finalement plus moi qui ai craqué pour Montréal et c’est ici que nous nous sommes installés. C’est agréable et simple de vivre ici. Pour se permettre la même qualité de vie à Paris, par exemple, il aurait fallu que je sois une vedette internationale de la chanson!» Après avoir vécu dans des mégalopoles comme Rio, São Paulo et Paris, Montréal ne semble pas gigantesque ou impersonnelle. «C’est une métropole à dimension humaine. C’est cosmopolite et il y a des gens de partout, mais l’individu n’y étouffe pas. Il y a un grand nombre d’espaces publics où les gens peuvent se retrouver. Pensez au nombre de parcs où les Montréalais peuvent pique-niquer l’été et faire de la luge avec leurs enfants pendant l’hiver. Il ne manque pas de piscines publiques ni d’aires de jeux. Un véritable voisinage se crée. Malgré ce côté petit et chaleureux, Montréal n’a rien de provincial, au sens péjoratif du terme, et l’offre culturelle est importante.» Les révélations de la commission Charbonneau ne la dépriment pas. «Ça fait naître l’espoir que la blessure va guérir, maintenant qu’on peut la voir, dit Bïa. Toute cette corruption se passait grâce à la loi du silence et c’est bien si les gens parlent enfin. Si Montréal vient à bout de ses problèmes de corruption dans le monde de la construction, imaginez quelle ville extraordinaire on aura.» Les coups de cœur de Bïa DÉCONTRACTION VESTIMENTAIRE ►«Dès le début, j’ai été étonnée par la grande tolérance vestimentaire des Montréalais. On peut avoir n’importe quels style, tribu, manie ou fantaisie, et personne ne vous regarde de travers. Il y a des filles en minijupe en plein hiver, des gars gothiques, des métrosexuels, des gars en complet-veston, pourquoi pas? À Montréal, on est élégant si on veut. Ça me charme, ce côté moins snob de Montréal. RÉSEAU CYCLABLE ►«Pour moi, le vélo qui peut servir à tout, c’est une révélation montréalaise. Ici, j’ai un horaire et des obligations, mais je fais presque tout à vélo ou à pied. J’utilise la voiture seulement deux fois par mois.» RESTAURANT LA SALA ROSSA ►«C’est un restaurant que j’adore. La paëlla est très bonne. On peut commander des repas pour deux pour moins de 20 $. Il y a des entrées avec des boules de fromage de chèvre dans le miel avec des amandes grillées. C’est délicieux. Il y a de la bonne musique. Rien de mauvais au menu. Tout est abordable. 4848, boulevard Saint-Laurent Info : 514-844-4227 LE CENTRE PÈRE-SABLON ►«C’est un centre sportif communautaire sans but lucratif, mais très beau et très convivial. Mon fils de sept ans et y fait plein d’activités. Il y a aussi beaucoup de beaux projets de camp de jour l’été.» LES CRÉATRICES DE MODE MARIEC ET MÉTAMORPHOSE ►«À cause de mon métier, je dois changer de robe souvent et je suis une habituée des ventes d’atelier des créatrices de mode MarieC et Karine Demers, dont la marque s’appelle Métamorphose. Leur style, leurs couleurs, leur design me vont bien, autant pour mes spectacles que pour sortir. Elles utilisent des tissus de qualité, agréables, sensuels.» http://www.journaldemontreal.com/2013/02/09/ville-verte-et-securitaire http://www.journaldemontreal.com/2013/02/08/on-est-mince-et-en-forme Un Torontois amoureux de Montréal. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/09/un-torontois-amoureux-de-montreal
  7. Productivity in Latin America City limits Once a source of economic dynamism, megacities risk becoming a drag on growth Aug 13th 2011 | from the print edition They could all be working instead FOUR out of five Latin Americans live in cities, compared with fewer than half of Asians or Africans. The region’s 198 biggest cities—those with more than 200,000 people—account for 60% of its economic output, with the ten largest alone generating half of that. The productivity gains that flow from bringing people together in cities have been one of the drivers of economic growth in Latin America over the past half century or more. But congestion, housing shortages, pollution and a lack of urban planning mean that Latin America’s biggest cities now risk dragging down their country’s economies, according to a report* by the McKinsey Global Institute, the research arm of McKinsey, a firm of management consultants. Until the 1970s, Latin America’s big cities led their countries’ economic development. São Paulo saw annual economic growth of 10.3% from 1920 to 1970 and Rio de Janeiro of 7%, both faster than the 6.8% notched up by Brazil as a whole over that period. But in the decade to 2008 São Paulo’s output grew only two-thirds as fast as Brazil’s, whereas Rio de Janeiro managed a pitiful 37% of the national average. Of the nine cities with the biggest economies, only Lima, Mexico City and Monterrey saw economic growth in this period that was above their countries’ norms. Some medium-sized cities—such as Curitiba and Florianópolis in Brazil, Toluca and Mérida in Mexico and Medellín in Colombia—are starting to show more dynamism than the urban behemoths. That is partly the healthy consequence of liberal economic reforms in the 1980s and 1990s: the previous policies of state-led import-substitution tended to concentrate economic activity close to the centres of political power. But McKinsey expects this trend to continue. It reckons that over the next 15 years most of the top ten cities will display below-average growth in population and output (one exception will be Rio de Janeiro, boosted by investment in offshore oil as well as the Olympic games of 2016). But other big and medium-sized cities will grow faster than the national average. Unusually early in their development, Latin America’s biggest cities may have ceased to reap economies of scale “because their institutional, social and environmental support structures have not kept up with their expanding populations,” McKinsey argues. Put more bluntly, the problem is that they are “congested, poorly planned and dangerous”. Latin America’s overall record of productivity growth is poor, thanks to a toxic mixture of burdensome regulation, a large informal economy and a lack of innovation. Given the cities’ economic weight, it is not surprising that many of the region’s wider problems are reflected there. Compared with their peers in developed countries, Latin America’s top ten cities are unsafe, suffer endemic housing shortages, poor schooling and weak health services. They are also inefficient in their energy use and waste management. For example, every dollar of GDP generated in Chile’s capital, Santiago, requires 60% more energy than a dollar of GDP generated in (much colder) Helsinki in Finland. McKinsey reckons that Bogotá needs to double its housing stock by 2025. Overcoming Latin America’s housing shortage and supplying its urban population with associated services (sewerage, water, gas and electricity) would require investment of $3 trillion by 2025. If cities are exacerbating, rather than mitigating, national ills, this may be because of a lack of urban planning. Unplanned sprawl leads to a shortage of green space, strains transport systems, and makes it hard for businesses or housing developers to find sites. All this is harder still when cities expand beyond their political boundaries, creating problems of co-ordination (Mexico City is split between the Federal District and the surrounding State of Mexico, for example). But the report also highlights some success stories. In both Monterrey and Medellín, public authorities have worked closely with the private sector to foster innovation. Along with land use, transport is the biggest headache facing city authorities. Vehicle ownership is likely to expand by 4% a year over the next 15 years, further clogging the streets. Curitiba stands out as an exception: 54% of journeys there are by public transport. The city’s pioneering bus rapid-transport system has been copied across the region—in Bogotá, Mexico City and Lima. In Bogotá the number of daily public-transport journeys is equal to 75% of the population, whereas in Santiago this number is only 50%. More is needed. Experience in Europe and Asia shows that public authorities can increase the efficiency of goods distribution in cities by getting private firms to share their lorries. And although metros are expensive, the cost of not having them may soon be even greater. * “Building globally competitive cities: The Key to Latin American Growth”. McKinsey Global Institute, 2011.
  8. Doing business in Brazil Rio or São Paulo? For the first time in decades, Brazil’s Marvellous City looks attractive for business Sep 3rd 2011 | RIO DE JANEIRO AND SÃO PAULO | from the print edition LAST year Paulo Rezende, a Brazilian private-equity investor, and two partners decided to set up a fund investing in suppliers to oil and gas companies. Although this industry is centred on Rio de Janeiro, Brazil’s second-largest city, with its huge offshore oilfields—and fabulous beaches, dramatic scenery and outdoor lifestyle—they instead established the Brasil Oil and Gas Fund 430km (270 miles) away, in São Paulo’s concrete sprawl. Even though it means flying to Rio once or twice a week, Mr Rezende, like many other businesspeople, decided that São Paulo’s economic heft outweighed Rio’s charms. But the choice is harder than it used to be. For many years, São Paulo has been the place for multinationals to open a Brazil office. It may be less glamorous than Rio, as the two cities’ nicknames suggest: Rio is Cidade Maravilhosa(the Marvellous City); São Paulo is Cidade da Garoa (the City of Drizzle). But as Mr Rezende sadly concluded: “São Paulo is the financial centre, and that’s where the money is.” Edilson Camara of Egon Zehnder International, an executive-search firm, does 12 searches in São Paulo for each one in Rio. The biggest mistake, he reckons, is for firms to let future expatriates visit Rio at all. “They are seduced by the scenery and lifestyle, and it’s a move they can sell to their families. But many have ended up moving their office to São Paulo a couple of years later, with all the upheaval that entails.” From a hamlet founded by Jesuit missionaries in 1554, São Paulo grew on coffee in the 19th century, industry in the first half of the 20th—and then on the misfortunes of Rio, once Brazil’s capital and its richest, biggest city. The federal government abandoned Rio for the newly built Brasília in 1960, starting a half-century of decline. Misgoverned by politicians and fought over by drug gangs and corrupt police, Rio became dangerous, even by Brazilian standards. The exodus gained pace as businesses and the rich fled, mostly for São Paulo. Now, though, there are signs that the cost-benefit calculation is shifting. São Paulo’s economy has done well in Brazil’s recent boom years and it is still much bigger, but Rio’s is growing faster, boosted by oil discoveries and winning its bid to host the 2016 Olympics (see table). Last year Rio received $7.3 billion in foreign direct investment—seven times more than the year before, and more than twice as much as São Paulo. Prime office rents in Rio are now higher than anywhere else in the Americas, north or south, according to Cushman and Wakefield, a property consultancy. Community-policing projects are taming its infamous favelas, or shantytowns: its murder rate, though still very high at 26 per 100,000 people per year (2.5 times São Paulo’s), is at last falling. Brazil’s soaring real is pricing expats paid in foreign currencies out of São Paulo’s classy restaurants and shopping malls; Rio’s recipe of sun, sea and samba is still free. Even Hollywood seems to be on Rio’s side: an eponymous animation, with its lush depictions of rainforest and carnival, is one of the year’s highest-grossing films. Rio’s mayor, Eduardo Paes, has big plans for capitalising on the city’s magic moment. He has set up a business-development agency, Rio Negócios, to market the city, help businesspeople find investment opportunities, and advise on paperwork and tax breaks. It concentrates on sectors where it reckons Rio has an edge: tourism, energy, infrastructure and creative industries such as fashion and film. “A couple of years ago, foreign businessmen would come to Rio and ask what we had to offer,” says Mr Paes. “We had no answer. Now we roll out the red carpet.” The political balance between the two cities has changed too. In the 1990s São Paulo was more influential and better run: it is the stronghold of the Party of Brazilian Social Democracy (PSDB), the national party of government from 1995 to 2002. Now the PSDB is in its third term of opposition in Brasília, and though it still governs São Paulo state, it is weakened by internal feuds. In Rio, by contrast, the political stars are aligned. The state governor, Sérgio Cabral, campaigned tirelessly for the current president, Dilma Rousseff—and received his reward when police actions in an unruly favela late last year were backed up by federal forces. São Paulo’s socioeconomic segregation, long part of its appeal to expats, is starting to look like less of an advantage. Most of its nicer bits are clustered together, allowing rich paulistanos to ignore the vast favelas on the periphery. In Rio, selective blindness is harder with favelasperched on hilltops overlooking all the best neighbourhoods. But proximity seems to be teaching well-off cariocas that abandonment is no solution for poverty and violence. Community policing and urban-renewal schemes are bringing safety and public services. Chapéu Mangueira and Babilônia, twin favelas a 20-minute uphill scramble from Copacabana beach, are being rebuilt, with a clinic, nursery and a 24-hour police presence. The price of nearby apartments has soared. Other slums are also getting similar make-overs. Rio’s Olympic preparations include extending its metro and building lots of dedicated bus lanes, including one linking the international airport to the city centre. By 2016, predicts City Hall, half of all journeys in the city will be by high-quality public transport, up from 16% today. São Paulo’s metro extensions are years behind schedule, and the city is grinding towards gridlock. Its plans to link the city centre to its main international airport (recently voted Latin America’s most-hated by business travellers) rely on a grandiose federal high-speed train project, bidding for which was recently postponed for the third time. Rio is still unpredictably dangerous, and decades of poor infrastructure maintenance have left their mark. Its mobile-phone and electricity networks are outage-prone; the língua negra(“black tongue”, a sudden overflow of water and sewage) is a staple of the rainy season; exploding manholes, caused by subterranean gas leaks, are a hazard all year round. All in all, still not an easy choice for a multinational—but it is no longer foolish to let prospective expats fly down to Rio to take a look. http://www.economist.com/node/21528267
  9. I'm not sure if this is "urban tech", in that it probably isn't something that's applicable in a variety of scenarios, nor if it has already been talked about on this site, but regardless, i still think it's worth mentioning. -------------------- Solar City Tower for Rio Olympics is a Giant Energy Generating Waterfall by Bridgette Meinhold, 03/19/10 This renewable energy generating tower located on the coast of Rio is one of the first buildings we’ve seen designed for the 2016 Rio Olympics, and boy, is it crazy! (In case you didn’t notice, it’s also a waterfall.) The Solar City Tower is designed by Zurich-based RAFAA Architecture & Design, and features a large solar system to generate power during the day and a pumped water storage system to generate power at night. RAFAA’s goal is that a symbolic tower such as this can serve as a starting point for a global green movement and help make the 2016 Olympic Games more sustainable. The self-sustaining tower for the 2016 Olympic Games is designed to create renewable energy for use in the Olympic Village as well as the city of Rio. A large solar power plant generates energy during the day. Any excess power not used during the day is utilized to pump seawater into a storage tank within the tower. At night, the water is released to power turbines, which will provide nighttime power for the city. On special occasions water is pumped out to create a waterfall over the edges of the building, which RAFAA says will be, “a symbol for the forces of nature.” Info on the size of the solar and pumped water storage system is not available yet. Access to the eco tower is gained through an urban plaza and amphitheater 60 meters above sea level, which can be used for social gatherings. On the ocean side of the 105 meter tower (behind the waterfall) is a cafeteria and shop. An elevator takes visitors up to the top floor where an observation deck offers 360 views of the ocean and city. At level 90.5, a bungee platform is available for adventurous visitors. Link to article: http://www.inhabitat.com/2010/03/19/solar-city-tower-for-rio-olympics-giant-energy-generating-waterfall/ -------------------- if for nothing else, the renderings look kinda cool. wonder if you could have such a waterfall flowing off our own olympic tower ? or would that risk to bring in even more toilet jokes ? .. ..
  10. Mis à jour aujourd'hui à 8h01 --------------- Publié le 12 août 2009 à 05h45 | Mis à jour à 08h01 Le secteur du stade passe au vert En plus de la Ville, la Régie des installations olympiques prendra aussi des initiatives dans le secteur. «C'est trop bétonné à notre goût, dit Sylvie Bastien, porte-parole de la RIO. Ça pourrait faire un lien visuel vert.» Avec l'apport de la RIO, le projet dépassera les 200 millions d'investissements. Éric Clément La Presse La Ville de Montréal, les Muséums nature de Montréal ainsi que les gouvernements fédéral et provincial lanceront en septembre un ambitieux projet à la fois touristique, muséal et écologique appelé le Quartier de la vie, a appris La Presse. Le secteur du Jardin botanique et les abords du Stade olympique seront reliés par une «immense place publique interactive». Le projet total est évalué à 189 millions de dollars. Cinq institutions en feront partie: le Biodôme, le Jardin botanique, le Planétarium et l'Insectarium, de même que le futur Centre sur la biodiversité. Le Quartier de la vie aura pour but de prolonger la mission des quatre muséums, soit de faire connaître et apprécier les sciences de la nature et la nature elle-même aux générations présentes et futures. Ces quatre muséums représentent déjà le plus grand complexe muséal de sciences naturelles au Canada. Le Quartier de la vie sera une expérience sociale et environnementale inédite pour le visiteur. «Rien à voir avec du show-business ou des activités commerciales habituelles, nous dit une source proche du concepteur. Les activités seront en phase avec les valeurs fondamentales des gens, pour qu'ils se reconnectent avec la nature et pour que, à terme, un citoyen qui trouve un papier par terre le ramasse même si ce n'est pas le sien.» La place publique qui sera créée partira de la station de métro Viau et se prolongera près du Biodôme et du nouveau Planétarium, qui sera construit d'ici à l'été 2011 au pied de la tour du Stade olympique. Elle se rendra ensuite jusqu'au Centre sur la biodiversité, près du Jardin botanique, en passant sous la rue Sherbrooke. «Il s'agira de la première place publique mondiale dédiée à l'humain et à la nature», nous dit la même source. Ce ne sera pas une place comme les autres. On n'y trouvera pas de parasols, de tables ou de chaises en plastique. Le lieu rendra hommage à la nature, et les citoyens pourront l'aménager à leur façon, par exemple... en déplaçant des «arbres sur roulettes» ou en érigeant des bâtiments écologiques. Le touriste pourra s'approprier les lieux et participer au façonnement de la place, qui évoluera dans le temps au gré des initiatives et des réalisations des visiteurs. Parmi les aménagements qui pourraient être bâtis, on pourrait, par exemple, construire des restaurants sur pilotis en bambou, pour que même les concessions alimentaires soient conformes à l'esprit des lieux. «La facture sera toujours inusitée et audacieuse», nous dit-on. On prévoit que 2,7 millions de personnes participeront chaque année à l'expérience. Le projet lancé par les Muséums nature est coordonné avec la Régie des installations olympiques puisqu'il s'agit de ses terrains. La RIO prendra aussi des initiatives dans le secteur. L'esplanade de béton située au coin du boulevard Pie-IX deviendra verte dans la deuxième phase du projet. «C'est trop bétonné à notre goût, dit Sylvie Bastien, porte-parole de la RIO. Ça pourrait faire un lien visuel vert.» Avec la RIO, le projet total dépassera les 200 millions. L'investissement consenti par la Ville, soit 189 millions, proviendra du programment triennal d'immobilisations et de subventions fédérales et provinciales. La somme comprend les coûts de construction du Planétarium (33 millions) et du Centre sur la biodiversité (24,5 millions), la création de la place publique (30 millions) et les coûts liés à la mise aux normes et à l'amélioration des muséums nature. Ainsi, on créera au Biodôme un nouvel écosystème consacré à l'humain, «une espèce en équilibre avec la nature, essentielle à sa survie». À l'Insectarium, les visiteurs pourront défier leurs peurs et vivre des expériences «d'immersion entomologique» afin d'apprendre à mieux vivre avec les insectes. La création du Planétarium est financée par Québec, Ottawa, Montréal et Rio Tinto Alcan, qui donnera son nom à l'édifice moyennant 4 millions. Quant au Centre sur la biodiversité, les travaux de construction commenceront ces jours-ci près du Jardin botanique. Le bâtiment, voué à la recherche scientifique, à la conservation et à la valorisation de collections biologiques, à la promotion de la préservation des espèces et au transfert des connaissances, sera inauguré l'an prochain. Les élus du comité exécutif ont découvert le projet du Quartier de la vie la semaine dernière et l'ont bien accueilli. «C'est un projet extraordinaire pour le développement de Montréal, nous a dit, hier, un membre de l'administration municipale. Il va permettre la mise en valeur de tout un quartier, au coeur de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, et va grandement contribuer à améliorer la stature internationale de Montréal.» *** Wow !! Intéressant
  11. Rio Tinto investira 228 M$ US dans la construction d'une nouvelle turbine haute efficacité d'une capacité de 225 mégawatts à sa centrale hydroélectrique Shipshaw, au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Pour en lire plus...
  12. Festival international de jazz de Montréal - Deux jours de plus et cinq mégaconcerts extérieurs Le Devoir Caroline Montpetit Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : Stevie Wonder, Ben Harper, Festival international de jazz de Montréal, Musique, Montréal, Québec (province) Le président-directeur général du Festival international de jazz de Montréal, Alain Simard, a annoncé hier que les festivaliers pourront bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés plusieurs spectacles Photo: Jacques Grenier Ce sont Ben Harper et ses Relentless7 eux-mêmes qui feront la clôture de la programmation gratuite du Festival international de jazz cette année, en se présentant à 21h30 sur la scène General Motors de la Place des festivaliers, que Stevie Wonder aura inaugurée 13 jours plus tôt. En ce 30e anniversaire de son existence, le Festival international de jazz de Montréal s'offre en effet deux jours de programmation supplémentaires, en plus de présenter des spectacles dans deux nouveaux espaces de diffusion, la maison du festival Rio Tinto Alcan et sa salle Astral, inaugurées pour l'occasion, et la Place des Festivals, où sera érigée la scène General Motors. Ces deux très gros spectacles extérieurs s'ajouteront à trois autres, dont un spectacle réunissant Patrick Watson, Lhasa de Sela et Guy Nadon, ainsi que quelques invités-surprises, le 5 juillet à 21h. Deux jours plus tard, le public pourra applaudir plusieurs artistes qui s'étaient produits dans le documentaire Rocksteady: the Roots of Reggae, qui explorait les racines du reggae en Jamaïque. Juste avant le spectacle de Ben Harper et ses Relentless7, les amateurs de rythmes cubains sont conviés à la scène Rio Tinto Alcan, où se produira une Fiesta Cubana, où l'on attend les Afro-Cuba All stars et Los Van Van. Le festival fait en effet cette année de nombreux réaménagements géographiques, du fait de la construction de nouveaux espaces, et des aménagements liés à l'érection du quartier des spectacles. Il ne s'agit de rien de moins que la maison du festival Rio Tinto, qui compte une nouvelle salle de spectacle de 350 places, un restaurant, le Balmoral qui accueillera également des séances de jam en fin de soirée, une salle de presse qui se transformera cet automne en galerie d'art, et une médiathèque qui offrira au public gratuitement, aussi à partir de l'automne, les archives du festival depuis ses débuts. Hier, le président-directeur général du festival, Alain Simard, annonçait par ailleurs que les festivaliers pourraient cette année bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés de nombreux spectacles, dont les mégaconcerts mentionnés plus haut. Le Salon de guitare déménagera pour sa part ses pénates au Palais des congrès de Montréal, tandis que le Salon des instruments prendra place pour sa part au nouveau village de la musique, à l'angle du boulevard De Maisonneuve et de la rue De Bleury. C'est là aussi que l'on présentera une exposition mettant en valeur les pochettes de la collection Blue Note, à travers le temps, en première partie du festival. Parmi les très nombreux concerts gratuits qui jalonneront le festival, mentionnons Vic Vogel qui rendra hommage aux grands noms du jazz, une soirée spéciale pour saluer les 50 ans de la mort de Billie Holiday, le 6 juillet, avec Kim Richardson, et à 21h, le 3 juillet, Florence K présentera La noche de Lola avec ses musiciens, un spectacle spécialement conçu pour le 30e anniversaire du festival. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254073.html
  13. Atze

    Air France 447

    Un avion disparaît Radio-Canada Mise à jour le lundi 1 juin 2009 à 9 h 33 Photo: AFP/Jack Guez - Un Airbus A330 appartenant à Air France, à l'aéroport de Roissy, près de Paris, le 20 juillet 2006. Un Airbus transportant 228 personnes, assurant la liaison entre Rio de Janeiro et Paris, a disparu des écrans radars au large des côtes brésiliennes trois heures et demie après son décollage, vers 22 h 30, heure locale. « Air France a le regret d'annoncer être sans nouvelles du vol AF 447 effectuant la liaison Rio-Paris avec 216 passagers à bord et partage l'émotion et l'inquiétude des familles concernées », a déclaré une porte-parole de la compagnie aérienne française. Foudroyé L'appareil a traversé une zone orageuse avec fortes turbulences à 2 h GMT. Un message automatique signalant une panne de circuit électrique a ensuite été reçu à 2 h 14 GMT, a indiqué Air France. « Le plus vraisemblable est que l'avion a été foudroyé », a déclaré à la presse François Brousse, directeur de la communication d'Air France. « L'avion est entré dans un zone orageuse avec de fortes perturbations qui a provoqué des dysfonctionnements. » Une mission de recherche est en cours aux abords de l'archipel brésilien de Fernando de Noronha, a indiqué l'armée de l'Air brésilienne. Cette dernière précise que l'Airbus a disparu à environ 300 km au nord-est de la ville de Natal. L'hypothèse la plus tragique « sérieusement envisagée » « L'avion n'est certainement plus en vol à l'heure actuelle », a déclaré Pierre-Henri Gourgeon, directeur général d'Air France, lors d'une conférence de presse au siège de la compagnie, à Roissy. « À l'heure où je parle, il n'a plus de réserve de pétrole », a-t-il ajouté. Un peu plus tôt, le ministre Borloo avait déclaré au réseau France Info que « malheureusement, c'est affreux, mais l'hypothèse la plus tragique doit être sérieusement envisagée ». http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2009/06/01/001-AVION-ALERTE.shtml (1/6/2009 9H47) French plane lost over Atlantic BBC Page last updated at 13:35 GMT, Monday, 1 June 2009 14:35 UK An Air France plane carrying 228 people from Brazil to France has vanished over the Atlantic after a possible lightning strike, airline officials say. The Airbus sent an automatic message at 0214 GMT, four hours after leaving Rio de Janeiro, reporting a short circuit as it flew through strong turbulence. It was well over the ocean when it was lost, making Brazilian and French search planes' task more difficult. Charles de Gaulle airport in Paris has set up a crisis centre. "The plane might have been struck by lightning - it's a possibility," Francois Brousse, head of communications at Air France, told reporters in Paris. France's minister responsible for transportation, Jean-Louis Borloo, ruled out hijacking as a cause of the plane's loss. Flight AF 447 left Rio at 1900 local time (2200 GMT) on Sunday. It had 216 passengers and 12 crew on board, including three pilots. The passengers included one infant, seven children, 82 women and 126 men. Details of the passengers' nationalities were not being released immediately but it is believed that a number of Italians and Britons are among the French people and Brazilians aboard. Long search The Airbus 330-200 had been expected to arrive in Paris at 1110 local time (0910 GMT). It is reported to have disappeared 300km (186 miles) north-east of the Brazilian city of Natal. Brazilian air force spokesman Col Henry Munhoz told Brazilian TV it had not been picked up by radar on the Cape Verde Islands on its way across the Atlantic, and confirmed that Brazilian air force planes had left Fernando de Noronha to search for the missing airliner. A French military plane also flew out of Senegal to take part in the search. Mr Borloo said the airliner would already have run out of fuel. "Nothing on Spanish radar, nothing on Moroccan radar, nothing on French radar - we seriously have to fear the worst," he added. Douglas Ferreira Machado, head of investigation and accident prevention for Brazil's Civil Aeronautics Agency, said the search would take "a long time". "It could be a long, sad story," he told Brazil's Globo news. "The black box will be at the bottom of the sea." An Air France spokeswoman said there had been no radio contact with the plane "for a while". TIMELINE Air France Airbus A330-200 believed to be the missing plane - archive image from AirTeam Images Flight AF 447 left Rio at 1900 local time (2200 GMT) on Sunday Airbus A330-200 carrying 216 passengers and at least 12 crew Contact lost 0130 GMT Missed scheduled landing at 1110 local time (0910 GMT) in Paris Crisis centre An Air France official told AFP that people awaiting the flight would be received in a special area at Charles de Gaulle airport's second terminal. Relatives and friends of the passengers have been ushered away from the main arrivals hall, the BBC's Alistair Sandford reports from Paris. "I want to say that everyone at Air France is deeply moved and shares the grief of the relatives of the passengers, and we will do everything possible to help them," said the chief executive of Air France, Pierre-Henri Gourgeon. French President Nicolas Sarkozy expressed deep concern and called on the relevant authorities to do everything they could to find the plane, his office said. Air France has opened a telephone hotline for friends and relatives of people on the plane - 00 33 157021055 for callers outside France and 0800 800812 for inside France. This is the first major incident in Brazilian air space since a Tam flight crashed in Sao Paulo in July 2007 killing 199 people. http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/8076848.stm (1/6/2009 9H54)
  14. Le groupe public chinois Chinalco investit 19,5 milliards dans la multinationale anglo-australienne Rio Tinto. Pour en lire plus...
  15. Dix compagnies québécoises au palmarès des 50 meilleurs citoyens corporatifs 30 janvier 2009 - 11h19 par Charles-Albert Ramsay ARGENT Dix sociétés québécoises figurent au palmarès annuel des 50 meilleurs citoyens corporatifs du Canada. Le palmarès est réalisé par le magazine Corporate Knights, de Toronto. Cette publication spécialisée en responsabilité sociale des entreprises a étudié les pratiques en environnement et en responsabilité sociale des plus importantes sociétés du Canada pour identifier les meilleurs citoyens corporatifs. En tête d'affiche, IBM Canada, Petro-Canada et McKesson Canada se placent respectivement en première, deuxième et troisième position. La quatrième position a été méritée par Rio Tinto Alcan, la filiale d'aluminium dirigée de Montréal du géant minier Rio Tinto. Les autres québécoises figurant au palmarès sont Domtar (8e), Hydro-Québec (12e), Cascades, (17e), Mouvement Desjardins (20e), Transcontinental (22e), CN (23e), Tembec (32e), Financière Sun Life (35e), SNC-Lavalin (41e) et BCE (42e).
  16. Ironore Company of Canada et Diavik figurent sur la liste des actifs dont Rio Tinto pourrait se départir, estiment certains analystes. Pour en lire plus...
  17. http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-12/09/content_776750.htm BEIJING, 9 décembre (Xinhua) -- Un responsable de la sidérurgie chinoise (China Iron and Steel Association, CISA) a déclaré lundi que la Chine pourrait demander au groupe minier Rio Tinto et à ses concurrents de ramener leurs prix du minerai de fer aux niveaux de 1994. "Les prix du minerai de fer doivent être cohérents avec les prix de l'acier qui ont chuté pour se retrouver aux niveaux de 1994. Nous allons demander à Tio Tinto et à nos autres fournisseurs de casser leurs prix", a dit Shan Shanghua, secrétaire général de la CISA. Un peu plus tôt, l'Australia and New Zealand Banking Group ltd. (ANZ) avait envisagé que la Chine demande une baisse de 50% du prix par les producteurs, Vale do Rio Doce, Rio Tinto et BHP Billiton Ltd. Cette année, le contrat de référence pour le minerai de fer de première qualité vendu par Tio Tinto affiche un prix de 95,58 dollars par tonne alors qu'en 1994, il était de 16,685 dollars. Si les prix du minerai de fer devaient s'aligner sur ceux de l'acier produit actuellement en Chine, cela signifierait une chute de 82% des prix du minerai. Selon le secrétaire général de la CISA, tous les sidérurgistes de Chine ont affiché des pertes en octobre en raison de la réduction de la demande émanant des constructeurs automobiles et du bâtiment. S'il y avait une baisse du prix des minerais de fer en 2009, il s'agirait de la première du genre en 7 ans. Selon Merrill Lynch & Co, vendredi, les prix pourraient chuter de 20% l'an prochain et BHP Billiton pourrait réduire sa production de 25%. Vale do Rio Doce, Rio Tinto et BHP Billiton représentent les trois quart du frêt maritime mondial en minerai de fer. Rio Tinto et BHP Billiton exportent à partir de l'Australie et Vale do Rio Doce, du Brésil. Cette dernière société est le plus grand producteur mondial.
  18. Selon un journal londonien, Rio Tinto pourrait annoncer qu'elle retarde ses principaux projets d'investissement dans le monde. La décision toucherait le Saguenay-Lac-Saint-Jean. Pour en lire plus...
  19. Des experts rapportent que Rio Tinto devra ralentir le rythme de ses investissements en raison de la situation financière de l'entreprise. Pour en lire plus...
  20. Le groupe minier anglo-australien BHP Billiton a annoncé mardi qu'il renonçait à son offre d'achat de son compatriote et concurrent Rio Tinto dans un contexte de détérioration du climat économique. Pour en lire plus...
  21. Portée par une demande d'aluminium qui ne se dément pas, le géant australo-canadien envisage d'augmenter sa production au Saguenay de 50% de plus que l'engagement pris auprès du gouvernement du Québec. Pour en lire plus...
  22. La Norvège a liquidé les 900 millions de dollars en actions qu'elle détenait dans Rio Tinto «en raison des graves risques environnementaux». Pour en lire plus...
  23. La société d'ingénierie obtient un contrat de 92 M$ avec un partenaire pour des travaux importants au sein d'une usine australienne d'aluminium. Pour en lire plus...
  24. L’entreprise espère ainsi amorcer deux projets afin de mettre la main sur environ 10% du lucratif marché de l’engrais. Pour en lire plus...
  25. Le géant indien du fer et de l'acier Arcelor Mittal souhaite acquérir des parts de Rio Tinto, selon le Financial Times. Pour en lire plus...
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