Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'retombées'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

20 résultats trouvés

  1. Montréal du futur 2014 Du 22 au 28 avril 2014 Soirée d'ouverture officielle le mardi 22 avril Grande place du Complexe Desjardins Une exposition incontournable de maquettes et plans des projets immobiliers majeurs (résidentiels, commerciaux, institutionnels, d'infrastructures et de transports) qui moduleront le profil de Montréal d'ici 20 ans ! Un événement haut de gamme avec des retombées médiatiques importantes. Pour devenir exposant et/ou commanditaire, contactez l'organisateur de l'événement : Robert J. Vézina RJV Communications 514 875-1353 poste 205 - rjv@rjvcom.com
  2. Exploitation des ressources naturelles : CCMM prévoit des retombées de 52 milliards $ sur 25 ans pour Montréal http://www.ccmm.qc.ca/documents/etudes/2011_2012/12_04_18_etudeRessourcesNaturelles_fr.pdf
  3. Le Palais des congrès de Montréal accueille le plus important événement de l’Année polaire internationale. 2012-04-03 Le Palais des congrès de Montréal se prépare à accueillir la Conférence API 2012 Année polaire internationale du 22 au 27 avril 2012. Quelques 4 000 spécialistes du climat provenant de plus de 60 pays sont attendus pour cet événement qui générera des retombées économiques de près de 9 millions de dollars dans la métropole québécoise. Tenue sous la thématique De la connaissance à l’action, la conférence prévoit attirer l’attention de la communauté internationale sur les régions polaires, les changements globaux et les enjeux environnementaux, sociaux et économiques qui y sont reliés. Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal, souligne: « L'équipe du Palais des congrès de Montréal est fière de contribuer au succès d’un événement aussi prestigieux dont la tenue à Montréal est possible notamment grâce à l’abondance de centres de recherche et d’établissements d’enseignement supérieur dans la métropole. En plus des retombées économiques importantes, la conférence générera des retombées intellectuelles inestimables par les ateliers, discussions et les rencontres qui s’y tiendront ». Tenue pour la première fois en 1882, l’Année polaire internationale s’est produit seulement quatre fois depuis sa fondation. En 2012, grâce au soutien du Dr. Michel Béland, co-président sortant du comité international mixte pour l’année polaire 2007-2008, la 4e Année polaire internationale se conclura à Montréal par la troisième et dernière conférence réunissant des scientifiques du monde entier. Dr. Béland, aussi d’Environnement Canada et Président de la Commission des sciences de l’atmosphère de l’Organisation Météorologique Mondiale, est un membre exécutif du Club des Ambassadeurs du Palais des congrès de Montréal aussi actif au sein de son comité consultatif. Pour sa part, Nicole Ménard, ministre du Tourisme, affirme : « L’engagement des ambassadeurs locaux contribue de façon exceptionnelle au rayonnement international de Montréal auprès des gens d’affaires. Nous tenons à souligner l’implication du Dr. Béland et du comité local dans l’effort qu’il ont consacré à valoriser Montréal et le Québec dans le choix d’une destination reconnue pour la qualité de ses chercheurs et spécialistes dans le domaine ». Événement certifié écoresponsable Les organisateurs de la conférence ont choisi d’organiser un événement écoresponsable certifiée en vertu de la Norme québécoise BNQ 9700-253 en gestion responsable des événements. L'obtention de cette certification démontre que la conférence a été planifiée en fonction des exigences en matière de développement durable. Plus spécifiquement, les considérations environnementales ont été à la base de la sélection des fournisseurs, la gestion de matériel, de l'énergie et de l'eau, la gestion des matières résiduelles, la sélection des aliments et la gestion des moyens de transport. À propos du Palais des congrès de Montréal Le Palais des congrès de Montréal a pour mission de solliciter et d’accueillir des congrès, des expositions, des conférences, des réunions et d'autres événements. Institution publique à vocation commerciale, le Palais des congrès génère d’importantes retombées économiques pour le Québec et contribue fièrement, depuis plus de 28 ans, au partage des connaissances de même qu’au rayonnement international de Montréal à titre de destination de premier plan. Pour de plus amples renseignements sur le Palais des congrès de Montréal, consultez notre site Internet à http://www.congresmtl.com. http://www.congresmtl.com/fr/nouvelles/communiques-item.aspx?id=241
  4. Le Québec lave-t-il plus blanc que blanc ? Pierre Duhamel La guéguerre entre Québec et Ottawa sur l’environnement devient polluante. Selon le National Post, le gouvernement fédéral, qui a semoncé celui du Québec parce qu’il veut imposer aux constructeurs automobiles des normes plus sévères d’émissions de gaz à effets de serre, serait en train d’imposer les mêmes règles. Le ministre fédéral Jim Prentice trouvait le Québec ridicule d’agir sur cette question, mais on dirait qu’il était plutôt déçu de s’être fait devancer dans l’annonce de cette politique. Ceci dit, je comprends l’exaspération d’Ottawa car le gouvernement québécois est devenu un insupportable donneur de leçons sur les enjeux environnementaux. Le Québec est-il devenu à ce point vert et irréprochable en matière d’environnement ? On apprenait cette semaine que les émissions de CO2 en 2007 ont bondi de 3,7 % au Québec après avoir subi une baisse les années précédentes. Jean Charest s’était pourtant fait le preux chevalier de la lutte aux changements climatiques et s’est commis pour une baisse de 20 % des émissions d’ici 2020. Prenons note qu’il faudra dorénavant diminuer les émissions de 23,7 % pour atteindre la cible. À Copenhague, Jean Charest s’était également permis une charge audacieuse contre les répercussions de l’exploitation des sables bitumineux en Alberta. Ce point de vue est peu entendu au Québec, mais je crois sincèrement que nous profitons largement des retombées de cette exploitation. À preuve, les citoyens de l’Alberta versent par habitant plus du double en taxes et impôts au gouvernement fédéral que ceux du Québec et ils reçoivent- toujours per capita - 25 % de moins que nous en dépenses de programmes et en achats de biens d’Ottawa. Manifestement, il y en a qui paient pour les autres… et ce ne sont pas les Québécois. Présumons que les intentions de Jean Charest sont nobles et qu’il est vraiment catastrophé par l’exploitation des sables bitumineux. Pourquoi alors ce même Premier ministre ne s’offusque pas quand on exploite une mine d’uranium aux portes de Sept-Îles ? Pire, Jean Charest a même défendu en Inde l’exploitation et l’exportation de l’amiante, un produit dont le caractère extrêmement nocif est universellement reconnu. Le gouvernement du Québec défend l’existence d’une vieille mine qui emploie 150 personnes à Asbestos, mais joue les vierges offensées devant une industrie qui emploie 372 000 personnes et où on prévoit des investissements de 100 milliards de dollars d’ici 2020. Le Québec n’a pas de sables bitumineux, mais on cherche activement du pétrole en Gaspésie et du gaz naturel dans la vallée du Saint-Laurent. Je pense que certains de mes concitoyens seront beaucoup moins «verts» quand ils verront les retombées des découvertes potentielles.
  5. http://www.conferencedemontreal.com/2.0.html Le nouvel ordre mondial en 'grand' chez nous !! Retombées médiatiques et économiques en vue? Une grande Conférence élitiste du 8 au 11 Juin 2009 à Montréal propose de << S'adapter au Nouvel Ordre Mondial >> Voici une conférence de niveau mondial à laquelle les plus grandes huiles représentant les grands lobbies pro-NWO de la finance, des affaires et de la politique dans le monde entier devraient participer. Le titre de cette grande conférence élitiste qui se tiendra du 8 au 11 Juin 2009 dans le cadre du Grand Forum économique des Amériques est pour le moins évocateur, puisqu’il ne s’agit ni plu ni moins que de “S’adapter au Nouvel Ordre Mondial”, comme on peut le vérifier ici…
  6. Terre-Neuve pourrait poursuivre Québec et Ottawa concernant un projet au Labrador Il y a 35 minutes SAINT-JEAN, T.N.-L. — Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador pourrait poursuivre en justice les gouvernements du Canada et du Québec relativement au projet hyrdoélectrique Upper Churchill Falls, au Labrador. La ministre provinciale des Ressources naturelles, Kathy Dunderdale, estime que Terre-Neuve-et-Labrador n'a peut-être pas reçu sa juste part des retombées depuis que le projet a commencé à produire de l'électricité il y a 35 ans. Elle a déclaré en entrevue que le projet, depuis le début, a essentiellement profité au "peuple du Québec". Le gouvernement terre-neuvien affirme avoir empoché environ 1 milliard $ pendant cette période, pendant que les coffres du Québec se seraient plutôt engraissés de 19 milliards $. L'entente vient à échéance en 2041. Mme Dunderdale est d'avis qu'Ottawa aurait pu intervenir dans le dossier pour s'assurer que Terre-Neuve recevrait une part équitable des retombées. Elle explique que l'éventualité d'une poursuite judiciaire est plus pertinente que jamais, maintenant que les Innus du Labrador réclament eux-mêmes une compensation relativement à ce projet. Les Innus affirment ne pas avoir été consultés avant le lancement du projet, qui leur aurait fait perdre 6000 kilomètres carrés de territoire.
  7. Annulation : UFC + 12M$ de retombées = «no brainer» (Corus Sports)- Vous désirez vendre un événement sportif à Montréal (et non Mawn-Tri-Al)? Adressez-vous à Dana White, il semble en être un expert ! Un invité des plus articulés, Dana White a habilement vendu chacun des arguments en poche pour supporter la tenue de son événement. Si on se fie à monsieur White, l'événement UFC 97 aura bel et bien lieu au Centre Bell le 18 avril prochain, tel que prévu. «Je ne vois tout simplement pas comment l'événement pourrait ne pas avoir lieu tel que prévu originalement. Nous avons entendu parler de toute la controverse avec le Régie des alcools, des courses et des jeux, mais les ventes sont déjà incroyables.» En observant les chiffres présentés par White, force est d'admettre qu'il serait tout à l'honneur du gouvernement du Québec d'appuyer l'événement : - 12 000 billets vendus en pré-vente - 1 million $ en taxes pour ces billets, jusqu'à maintenant - Retombées totales potentielles de 12 millions (argent neuf en majorité) pour le week-end du 18 avril prochain «C'est une décision évidente (no brainer)», a t-il renchéri. Questionné sur sa réaction lorsqu'il a appris que la RACJ désirait mettre un frein aux événements UFC, Dana White a déclaré avoir été tenu en haleine («we were a little bit freaked out»), mais que ce genre de démêlés étaient monnaie courante dans son industrie. Un passage remarqué À propos du dernier passage de la UFC à Montréal en 2008, White a été catégorique. «Tout le monde dans la région de Montréal a ressenti notre passage. Nous avons fait sauter la baraque! (The place was rocking)» Dana White a par ailleurs affirmé que les États-Unis étaient un excellent marché pour les arts martiaux mixtes, mais que le Canada était tout un terreau fertile, notamment parce que George St-Pierre est une vedette de calibre international.
  8. Le président et chef de la direction de l'AIAC presse Ottawa d'en faire plus pour s'assurer que les entreprises canadiennes obtiennent leur juste part des retombées qui doivent découler des contrats militaires. Pour en lire plus...
  9. Le potentiel gazier du Québec fait rêver André Caillé. «Les retombées économiques annuelles se compteront en milliards de dollars.» Pour en lire plus...
  10. Ottawa a finalement débloqué un projet de constellation de satellites qui aura des retombées considérables à Sainte-Anne-de-Bellevue. Pour en lire plus...
  11. Il faut remonter au milieu des années 1970 pour trouver une période où les relations entre la Grande-Bretagne et l'Islande, durement éprouvées par les retombées de la crise financière mondiale, étaient aussi tendues. Pour en lire plus...
  12. Les membres de la Banque mondiale se sont mis d'accord dimanche à Washington pour protéger les pays pauvres et vulnérables des retombées de la crise financière actuelle. Pour en lire plus...
  13. Les retombées des industries culturelles et artistiques sur l'économie du pays s'élèvent à 85milliards de dollars et représentent des centaines de milliers d'emplois. Pour en lire plus...
  14. Industrie québécoise de l'aluminium Une stratégie à revoir? Mise à jour le mercredi 30 juillet 2008, 14 h 12 . L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi Marc-Urbain Proulx estime que le temps est venu pour le Québec de redéfinir un nouveau rapport de force avec les grandes alumineries. Dans son texte publié dans le journal Le Devoir l'universitaire avance que le contexte mondial permettrait au Québec d'obtenir une meilleure part des retombées du développement de cette industrie. Le professeur de l'UQAC souligne que les alumineries bénéficient d'avantages énergétiques importants au Québec. Il rappelle que Rio Tinto Alcan détient les droits de production hydroélectrique pour ses usines et que la valeur de cet avantage augmente à mesure que le coût de l'énergie monte en flèche en raison de la flambée des prix du baril de pétrole. Le gouvernement a donc les moyens, juge Marc-Urbain Proulx, de demander à détenir une partie de la propriété des usines. Il signale qu'en Chine et en Russie, l'État est propriétaire des installations. C'est le cas aussi, note-t-il, dans les Émirats arables qui possèdent 100 % des installations de Dubaï et sont propriétaires de 50 % et même de 75 % d'autres unités. « Partout actuellement où Rio Tinto négocie, où Alcan négocie ou d'autres compagnies comme Norsk Hydro, les États cherchent à prendre des parts et réussissent à en prendre souvent à plus de 50 % - L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx » Outre la disponibilité de l'énergie, les infrastructures de transport, la qualité de la main-d'oeuvre et la stabilité politique sont aussi des éléments qui jouent en faveur de la consolidation de cette industrie au Québec, selon le spécialiste. Il est d'autant plus important que Québec reconsidère sa stratégie, croit le professeur, que les retombées de l'industrie de l'aluminium ne sont plus ce qu'elles étaient. Les emplois sont moins nombreux en raison des avancées technologiques et les profits comme les postes de haut niveau sont désormais concentrés dans de grandes capitales comme Londres, Moscou, Sydney ou New York. L'universitaire estime que le Québec pourrait accueillir quatre ou cinq nouvelles alumineries d'ici 2025. Marc-Urbain Proulx croit que ces nouvelles unités produiront environ 2 millions de tonnes supplémentaires d'aluminium, ce qui permettrait au Québec de se maintenir à 8 % de la production mondiale. En croissance, la consommation mondiale d'aluminium devrait atteindre 70 millions de tonnes en 2025, soit deux fois plus qu'en 2005.
  15. Quelque 800 événements culturels auront lieu cet été dans la province. Plusieurs régions bénéficient de retombées d'environ 500 millions de dollars par année générées par ces événements. Pour en lire plus...
  16. Boeing déboursera 400 M$ au Québec 21 janvier 2008 - 06h10 La Presse Sophie Cousineau Un avion C-17 de Boeing. Boeing ne boudera pas le Québec. Le constructeur d'avions américain accordera pour près de 400 M$ de contrats à des entreprises d'ici qui profiteront ainsi des retombées industrielles associées à l'achat d'avions de transport C-17 par le gouvernement fédéral. C'est un premier gain appréciable pour l'industrie aérospatiale du Québec qui craignait que sa récolte de contrats ne soit largement inférieure à son importance. Rappelons que dans une décision critiquée au Québec, le gouvernement fédéral a laissé à Boeing toute latitude sur l'emplacement de ses retombées industrielles au Canada. Boeing annoncera les contrats ce matin (lundi) à l'usine flambant neuve de la société RTI Claro dans le parc industriel de l'autoroute 25 à Laval, en compagnie des ministres conservateurs Jim Prentice (Industrie) et Michael Fortier (Travaux publics). L'emplacement n'a pas été choisi au hasard. De la dizaine d'entreprises qui ont décroché un contrat avec Boeing au terme d'un lobbying intensif de l'industrie québécoise, c'est RTI Claro qui obtient la part du lion. La valeur de son contrat frise les 300 M$, d'après les informations obtenues par La Presse. RTI Claro est une filiale de RTI International Metals, entreprise de l'Ohio dont le titre se transige à la Bourse de New York. Cette spécialiste du titane vient d'investir 43 millions pour déménager sa division montréalaise de Saint-Léonard à Laval. Elle compte plus de 250 salariés qui usinent des pièces d'aéronefs en alliage de titane, en aluminium et en acier inoxydable. Boeing figure déjà parmi les clients importants de RTI Claro, aux côtés de Bombardier et de Bell Helicopter. Le nouveau contrat à long terme d'une durée de 10 ans porte sur la fourniture de composants en titane pour les rails des sièges du nouveau Boeing 787 Dreamliner. En octroyant ces contrats de près de 400 M$, Boeing remplit une bonne partie des engagements associés à la vente des quatre avions de transport C-17. Ottawa déboursera 1,8 milliard de dollars pour les avions, leurs moteurs et les infrastructures associées à ces appareils. En vertu de l'entente convenue avec le gouvernement fédéral, le constructeur américain est tenu d'investir au Canada un dollar pour chaque dollar reçu. Cela équivaut à un investissement de 869 millions de dollars, soit le prix des appareils sans leurs moteurs. Boeing a huit ans pour s'acquitter de cette obligation. Avec des contrats de 400 millions de dollars, le Québec est assuré de recevoir au moins 45% des retombées industrielles du contrat de fourniture des C-17. Ce ne sont pas encore les 50% à 60% réclamés par l'industrie québécoise. Avec 40 400 emplois et des ventes de 11,4 milliards en 2006, le Québec représentait 60% de toute l'activité en aérospatiale au pays, calcule le ministère québécois du Développement économique. Mais ce 45% est mieux que ce que le Québec appréhendait. L'industrie québécoise redoutait que Boeing ne concentre le gros de ses retombées industrielles à sa propre usine de Winnipeg. Elle craignait aussi que Boeing refuse d'encourager des entreprises québécoises qui travaillent avec Bombardier, un rival qui veut jouer dans sa cour avec son projet d'avion commercial CSeries. Reste à voir si le Québec fera mieux - ou pire - dans les autres contrats. L'achat des quatre C-17 est en effet assorti d'un autre contrat de 1,6 milliard pour le soutien en service pendant 20 ans de ces gros appareils qui servent à déplacer du personnel et du matériel en cas de catastrophe nationale ou de crise internationale. Et ce n'est qu'une partie des achats d'équipements militaires qui se trouvent sur la liste d'épicerie du gouvernement Harper. Il y en a pour plus de 17 milliards de dollars. Or, exception faite des navires de soutien et des camions logistiques, les trois quarts de ces achats tiennent du secteur aérospatial. À preuve, le contrat de 1,4 milliard de dollars octroyé il y a une semaine au constructeur américain Lockheed Martin pour l'achat de 17 avions de transport Hercules. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080121/LAINFORMER/801210755/5891/LAINFORMER01
  17. Le Québec Air Force débarque chez Boeing et Lockheed 4 octobre 2007 - 06h43 La Presse Marie Tison Les entreprises québécoises qui espèrent bénéficier des retombées des contrats militaires du gouvernement canadien ont pris le taureau par les cornes. Près d'une quarantaine d'entre elles sont allées visiter Boeing et Lockheed Martin aux États-Unis pour leur montrer ce dont elles étaient capables. «Nous sommes allés là pour faire des affaires», déclare le président et chef de la direction d'Héroux-Devtek, Gilles Labbé, qui a un peu joué le rôle de grand frère auprès des plus petites entreprises. Héroux-Devtek, fabricant de trains d'atterrissage et d'autres composants pour l'industrie aéronautique, est déjà un fournisseur de Boeing et de Lockheed Martin. «Nous avons montré que nous comprenions les règles du jeu: la qualité, la livraison à temps, le prix, ajoute-t-il. Nous allons être choisis à partir de ces critères-là, nous ne serons pas choisis parce que nous sommes du Canada.» Le gouvernement Harper a annoncé un ambitieux programme d'achats militaire de 17 milliards de dollars il y a plus d'un an. Boeing a déjà décroché l'un de ces contrats pour la fourniture de quatre avions de transports C-17. Le géant américain devrait obtenir un autre contrat pour 16 hélicoptères de transport alors que Lockheed Martin devrait décrocher un contrat pour la fourniture de 17 avions de transport tactique de type C130. Le gouvernement fédéral exige que les deux manufacturiers génèrent au Canada des retombées industrielles d'un montant égal à celui des contrats. Le gouvernement Harper a toutefois refusé d'imposer un pourcentage minimum de retombées au Québec, où niche plus de la moitié de l'industrie aéronautique canadienne. Le président de l'Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec, Guy Mc Kenzie, a cependant participé à la mission québécoise au siège de Boeing à St. Louis et de Lockheed Martin à Mariette, en Georgie, la semaine dernière. Les entreprises québécoises intéressées aux retombées industrielles avaient déjà rencontré des représentants de Boeing et de Lockheed Martin à Montréal. Cette fois-ci, près de 70 entreprises ont demandé à faire partir de la mission. Les organisateurs ont fait parvenir la liste de candidats aux deux manufacturiers, qui ont eu le dernier mot. Boeing a demandé à rencontrer 20 entreprises et Lockheed Martin, 29. Une douzaine d'entreprises ont été choisies par les deux. «Les gens de Boeing et de Lockheed Martin ont pu amener les bonnes personnes pour rencontrer les fournisseurs qui les intéressaient, note M. Labbé. Ça fonctionnait par rendez-vous, c'était très productif.» Héroux-Devtek connaît bien les deux manufacturiers, mais elle aimerait bien obtenir des mandats de plus. L-3 MAS Canada, entreprise de Mirabel qui se spécialise dans l'entretien et la rénovation d'appareils militaires, a participé à la mission même si elle compte elle aussi Boeing et Lockheed Martin parmi ses clients. «C'est toujours important de renouveler les relations, explique Stéphane Germain, vice-président du développement des affaires de L-3 MAS. Il y a toujours des changements organisationnels, il est donc important de faire de nouveaux contacts.» Plusieurs participants à la mission étaient des PME, comme Minicut International, entreprise montréalaise spécialisée dans les outils de coupe pour l'industrie aéronautique. «Nous avons profité de l'occasion pour rencontrer d'autres fournisseurs, comme Goodrich et Rolls-Royce, qui peuvent devenir des clients pour nous», commente le président de Minicut, Eduardo Minicozzi. Les organisateurs prévoient déjà une nouvelle mission chez Boeing et Lockheed Martin plus tard cet automne. Des entreprises québécoises n'ont pas pu participer à cette première mission parce qu'elle avait lieu exactement en même temps que le congrès annuel du National Business Aviation Association.
  18. Pour une économie de 60 000$, on se prive de retombées de 45 millions $ Une bonne affaire ? C’est nous prendre pour des imbéciles ! Martin Lambert Le Soleil lundi 16 juillet 2007 J’ai pris quelques jours de réflexion avant de me décider à répondre aux allégations des conservateurs. Quelques jours pour voir si j’étais seul à croire que ce gouvernement n’avait rien compris et qu’ils se moquaient de la population et des citoyens. La semaine dernière, le syndicat représentant les employés de Prévost Car organisait une conférence de presse pour dénoncer le fait que le gouvernement conservateur de Stephen Harper avait décidé d’octroyer un contrat de fabrication de 30 autocars à une firme allemande. Le message envoyé par le syndicat n’était pas teinté de chauvinisme : nous ne réclamons pas de droit ce contrat, mais nous soulignions que, dans le contexte de la crise qui sévit dans le secteur manufacturier tant au Québec qu’au Canada (240 000 emplois perdus en 4 ans !), le minimum acceptable aurait été que le gouvernement accorde ce contrat à l’un des deux manufacturiers canadiens d’autocars. Mais non ! Pour une simple question de coût, notre bon gouvernement se fera livrer ses autocars par bateau de l’Allemagne ! Sans aucune retombée économique pour le Canada. Même pas pour l’entretien de ses véhicules ! Une décision odieuse, irrespectueuse Déjà que la décision est à mon avis odieuse et irrespectueuse pour les contribuables canadiens, les explications fournies par le député conservateur de Lévis/Bellechasse et par le ministre des Travaux publics sont scandaleuses. Reprenons-les une à une. M. Blaney mentionne que le gouvernement a bien agi car les règles ont été suivies à la lettre en choisissant le plus bas soumissionnaire. Il ajoute que de toute façon, Prévost Car n’aurait pas eu le contrat, car il existe un écart de 25 000$ entre le prix de Prévost et le prix du plus bas soumissionnaire, soit celui de SETRA, la firme allemande. M. Blaney, le syndicat n’a jamais dit que les règles n’avaient pas été suivies à la lettre.... Nous affirmons que cette règle n’a aucun sens ! Qu’elle n’aurait jamais dû s’appliquer si votre gouvernement avait eu à coeur l’intérêt des Canadiens et des Québécois. De plus, nous ne réclamons pas le contrat (pour nous-mêmes), nous réclamons que les biens fournis pour le gouvernement canadien soient de fabrication canadienne afin d’encourager les entreprises et les salariés qui paient des impôts ! Une bonne affaire ? C’est nous prendre pour des imbéciles ! Comme si ces déclarations n’étaient pas suffisantes, le ministre des Travaux publics, Michaël Fortier, en a ajouté en disant : « C’est une bonne affaire ! ». M. Fortier, allez répéter cela aux salariés de MCI à Winnipeg ! Ce manufacturier n’avait que 2000$ d’écart par véhicule dans cette soumission ! Dites aux Canadiens et aux Canadiennes que, pour une différence de 60 000$ sur un contrat de 15 millions $, ils ont fait une bonne affaire ! C’est carrément nous prendre pour des imbéciles ! Vous n’êtes pas sans savoir qu’un dollar investi dans un emploi manufacturier donne une injection indirecte de trois dollars dans l’économie. Comment pouvez-vous qualifier de « bonne affaire » le fait de priver l’économie canadienne de 45 millions $ en retombées économiques ! J’ajouterais que pour considérer que cette décision était une bonne affaire, il faut regarder plus que le prix et les retombées économiques. Il faut prendre en considération le produit que l’on achète de même que le service que nous aurons après notre achat. Un autocar, c’est comme une voiture ! Plus on veut de qualité et de fiabilité, plus il faut payer ! Vous ne trouverez jamais une Chrysler 300 au prix d’un Avéo. Avez-vous vraiment regardé cela en choisissant votre fournisseur M. Fortier ? Avez-vous considéré qu’un Prévost est la crème des autocars et que vos soldats méritent bien de se promener dans ce qu’il y a de mieux ? Lorsque vos autocars briseront, M. Fortier, où irez-vous les faire réparer ? Lorsque vous aurez besoin d’une pièce de remplacement, y aura-t-il un avion nolisé du gouvernement pour vous livrer cette pièce en provenance d’Allemagne ? Nous sommes plus de 1400 travailleurs et travailleuses à Sainte-Claire dans le comté de M. Blaney et je peux vous garantir que plusieurs se souviendront que le Parti conservateur a exporté nos emplois et ceux des gens de Winnipeg. Que votre gouvernement préfère faire des chômeurs plutôt des que travailleurs et travailleuses fiers de vivre ici ! *** Martin Lambert Président du syndicat usine TCA 911
  19. Montréal pourrait-il perdre son titre de ville des festivals? Toronto lance présentement une offensive majeure et vient de créer de nouveaux festivals. La plus grande ville du Canada est plus déterminée que jamais à s'implanter dans cette industrie aux retombées économiques importantes. Voila le lien ou il ya le reste http://www.canoe.com/divertissement/arts-scene/nouvelles/2007/03/21/3798060-jdm.html
  20. Ottawa refuse d'intervenir en faveur du Québec Photo: AFP/Jack PRITCHARD/CROWN COPYRIGHT Un C-130J Le gouvernement conservateur de Stephen Harper a clairement laissé entendre, mardi, qu'il refusait de garantir au Québec, où se trouve près de 60 % de l'industrie aéronautique canadienne, sa juste part des retombées économiques des gros contrats militaires qu'il signera sous peu. En effet, lors d'une entrevue au quotidien Le Devoir, le ministre fédéral de l'Industrie, Maxime Bernier, a affirmé que les firmes québécoises n'ont pas à attendre une garantie quelconque d'Ottawa quant aux retombées des contrats. Pour le ministre conservateur, les contrats qu'Ottawa passera avec les constructeurs américains Boeing et Lockheed-Martin sont des contrats privés et « la politique de ce gouvernement est de ne pas intervenir dans les contrats privés. » Au Québec, toutefois, plusieurs politiciens se demandent comment il est possible de considérer comme « privés » des contrats payés avec les deniers publics. « On achète ces avions avec l'argent des citoyens, notre argent. C'est la moindre des choses de respecter la répartition régionale de l'industrie et de donner au Québec 60 % des retombées économiques », a soutenu au Devoir le porte-parole bloquiste en matière d'industrie, Paul Crête. Tout aussi ulcéré par le laisser-faire économique d'Ottawa dans ce dossier, le porte-parole de l'opposition libérale en matière de Défense, le député Denis Coderre, a estimé que l'« on abdique notre souveraineté », ajoutant au Devoir que « faire confiance à des compagnies étrangères, ce n'est pas une politique industrielle, c'est une politique de franchisé. » Plus tôt cette semaine, le quotidien The Globe and Mail laissait entendre que le gouvernement Harper serait sur le point de revenir sur une décision controversée de confier aux firmes américaines Boeing et Lockheed-Martin la formation des pilotes des futurs Chinooks et Hercules canadiens. En effet, selon ce que rapportait le quotidien, Ottawa pourrait lancer sous peu un appel d'offres unique pour la formation sur les deux appareils. Cet appel d'offres, ouvrant la porte à un lucratif contrat de plusieurs dizaines de millions de dollars, favoriserait, toujours selon le Globe and Mail, la firme montréalaise CAE. Un simulateur de vol de CAE (archives) Le président de CAE, Robert Brown, s'est d'ailleurs montré catégorique lors d'une entrevue récente au Journal de Montréal: sa firme se doit d'avoir sa juste part des retombées des récents achats militaires canadiens. « C'est à notre tour, on est Canadiens et le gouvernement canadien ne peut pas ignorer la principale entreprise canadienne dans le secteur militaire quand vient le temps d'assurer les retombées industrielles de tels contrats », a expliqué M. Brown.
×
×
  • Créer...