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  1. Voici une compilation de photos que j'ai prises cette année à Montréal Je suis tombé par hasard sur la plupart des fresques, les photos ont donc été prises à l'improviste avec mon iPhone. Ça reste une qualité d'image de iPhone
  2. Sax: Un air de jazz GENEVIÈVE VÉZINA-MONTPLAISIR MÉTRO 29 avril 2010 00:52 (...) «Si vous venez à notre bureau des ventes, vous pourrez voir le caractère moderne de notre salle de bain et de notre cuisine modèle, souligne-t-elle. Celles-ci possèdent seulement le fini de base et il est déjà très luxueux.» Tandis que le troisième projet Sax est présentement en construction, le Groupe Kevlar prépare déjà son quatrième projet Sax. Celui-ci sera situé à Longueuil et ses unités seront mises en vente en mai 2010. Pour plus de renseignements, visiter le site http://www.sax-1.com
  3. L'immense immeuble vacant depuis des années encerclé en rouge viens d'être démoli... Je passe par là souvent, et je trouvais ça désolant qu'un immense lot reste sous-utilisé quand il y a une gare de chemin de fer à côté (TOD?????). Finalement l'immeuble est maintenant rasé, quelqu'un a entendu parlé d'un projet là??
  4. Le Riopelle Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Hôtel/Résidentiel Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 15 étages Description: - Le projet était supposé être au coin de la rue Bleury et Viger, mais celui-ci c'est déplacé un peu au nord, au coin de la rue De la Gauchetière et Bleury. - La tour ne prendra qu'une partie du quadrilatère, le reste est donc ouvert aux autres projets. 1 image
  5. Le promoteur a fait une demande de dérogation pour bâtir 9 étages (immeuble commercial) à cet endroit, mais ce fut refusé par l'arrondissement. Reste qu'à attendre une nouvelle proposition certainement plus modeste. https://www.google.ca/maps/@45.509326,-73.573306,3a,75y,3.35h,90.55t/data=!3m6!1e1!3m4!1suXaL01e-l4LIVuaIi9IfSA!2e0!7i13312!8i6656?hl=fr
  6. Voici un article paru dans le Devoir il y a quelques temps. Je ne sais pas si cela avait été débattu alors mais vos avis sur ce sujet m intéresse... Que reponderiez vous a l auteur concernant son point de vue? crédit le Devoir 19 avril 2014 |Frédérique Doyon | Actualités en société «Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. « Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber. » Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. « L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements », rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car « la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville ? » Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. « La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne ? » Au risque parfois de briser le « skyline » plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a « le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger ». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. « À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée ? » En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. « On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme », dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. « Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain. » « Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout », note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation « Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire. » Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. « Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur. » ***
  7. Comme quoi les statistiques peuvent donner de fausses impressions... Entrepreneuriat: les Québécois premiers de classe! http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/entrepreneuriat-les-quebecois-premiers-de-classe-/569451 Publié à 06:02 Par Dominique Froment «Le problème est que l’on compare toujours le Québec avec l’ensemble du Canada. Or, avec leur pétrole, l’Alberta et la Saskatchewan faussent les comparaisons», affirme Étienne St-Jean, titulaire de la Chaire de recherche sur la carrière entrepreneuriale de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). C’est l’explication qu’il donne pour l’excellente performance du Québec qu’il a fait ressortir de l’analyse du plus récent rapport du Global Entrepreneurship Monitor (GEM), une initiative du Babson College et de la London Business School. Ce rapport couvre 70 pays représentant 90 % du PIB mondial. L’analyse a été faite en collaboration avec Diane-Gabrielle Tremblay, professeur titulaire à la TÉLUQ et titulaire de la Chaire de recherche sur les enjeux socio-organisationnels de l'économie du savoir. On peut, en exagérant un peu, conclure de ce rapport que tout ce qui empêche l’entrepreneuriat d’exploser au Québec, c’est la confiance. «Les Québécois s’estiment beaucoup moins compétents pour démarrer une entreprise», peut-on lire dans l’analyse du rapport du GEM que font M. St-Jean et Mme Tremblay dans le bulletin du Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises, une constituante de l'Institut de recherche sur les PME de l’UQTR. «Notre perception de compétence dans le démarrage d’une entreprise est parmi les plus faibles des pays comparables. Le reste du portrait est plutôt encourageant, mais malheureusement, ça peut être un frein important à la création d’entreprises. Il faudrait sérieusement s’y attaquer», croit M. St-Jean, interrogé par LesAffaires.com. Faits saillants Voici les faits saillants, parfois étonnants, de ce rapport du GEM : -La carrière entrepreneuriale est très valorisée au Québec et se démarque largement des économies similaires et du reste du Canada. Les citoyens du Québec estiment que les médias accordent beaucoup d’attention à l’entrepreneuriat; -Les Québécois ont beaucoup moins peur de l’échec que les autres pays comparables et que le RDC (reste du Canada); -L’intention d’entreprendre des citoyens du Québec est de 15,6 %, inférieure au 17,5% du RDC mais supérieure à tous les pays du G8 à l’exception des États-Unis; -Comparativement au RDC, une plus grande proportion d’entrepreneurs du Québec démarre par choix plutôt que par obligation; -Une plus grande proportion d’entrepreneurs québécois que du RDC et de la quasi-totalité des pays comparables se départent de leur entreprise en laissant une entreprise qui poursuit ses activités, par rapport à qui cesse ses activités. «Au niveau des transferts d’entreprises, le Québec semble faire figure d’exception lorsque comparé aux pays dont l’économie est tirée par l’innovation», estime M. St-Jean. -Les jeunes du Québec de 18 à 35 ans perçoivent plus d’occasions d’affaires que dans le RDC. Toutefois, moins de jeunes Québécois semblent passer à l’action; -Les experts au Québec estiment que les normes socioculturelles, l’accès au financement, l’enseignement et la formation en entrepreneuriat, l’ouverture des marchés et les transferts technologiques ne sont pas optimaux; -Par contre, ces mêmes experts pensent que les infrastructures physiques, commerciales et de services, les programmes et les politiques gouvernementales sont plutôt favorables à l’entrepreneuriat; «Ce portrait de la relève entrepreneuriale est très positif pour le Québec, conclut M. St-Jean. Si on exclut l’Alberta et la Saskatchewan et leur pétrole et les États-Unis, où on se lance en affaires beaucoup plus par nécessité que par choix, le Québec tire très bien son épingle du jeu.»
  8. Salut, Voici mon premier essai de timelapse pris avec une GOPRO 3 black edition. Vue sur René-Lévesque d'environ 17h le samedi à 7h00 le matin le lendemain. (4500 photos à 10 secondes d'intervalle). J'ai pas beaucoup mis de temps là dessus une fois que j'ai découvert le reflet de la vitre sur les photos la nuit. (je suis dans une tour de bureau à l'intérieur). <iframe width="640" height="360" src="http://www.youtube.com/embed/Ica7m_NKi1s" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> L'invitation est lancée à ceux qui pourraient me trouver un accès à leur toit d'immeuble et une prise de courant pour alimenter la caméra pendant les longues heures (et une certaine sécurité pour éviter le vol)... le reste je m'en charge.
  9. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201304/21/01-4643016-le-nouveau-montreal-inc.php
  10. La ville vient de s'entendre avec les cols bleus mais il reste aux cols bleus à entériner l'entente. Pour l'Instant il n'y a pas grand détail mais à croire M. Applebaum ce serait une bonne chose pour la ville. J'espère qu'il a raison parce qu'on sait bien que les syndiqués obtiennent toujours la grosse part su gâteau et que les citoyens finissent par payer avec des hausses de taxes. Maintenant il reste à négocier avec les pompiers et les policiers. J'espère que la ville va tenir sont bouts et forcer les pompiers/policiers à faire des concessions importantes. Mais j'en doute malheureusement !!! http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201210/11/01-4582343-entente-historique-avec-les-cols-bleus-de-montreal-.php
  11. Le poids des ans commence à se faire sentir sur le sympathique stade Uniprix et Tennis Canada projette des rénovations de l'ordre de 11,8 millions qui le rendront conforme aux normes des grands tournois internationaux, a appris Le Journal de Montréal. Cela fait déjà 13 ans (1996) que les installations avaient été complètement remodelées au coût de 25 millions. Depuis ce temps, la popularité de l'événement a connu une croissance phénoménale et en plus, le site sert maintenant de base au Centre national d'entraînement. Sans compter la pratique récréative du sport au stade, qui compte pour 45% des plages horaires sur les courts, dont l'occupation d'octobre à avril est de 100%. Avec tout cet achalandage, les travaux sont rendus nécessaires afin «d'assurer la pérennité et la croissance des Internationaux de tennis du Canada à Montréal, l'un des neuf tournois majeurs des circuits professionnels de l'ATP et la WTA», a souligné Tennis Canada dans un document présenté récemment à la Ville de Montréal. Fonds publics Tennis Canada investira 1,6 million, le reste provenant des trois paliers de gouvernement : 1,6 million de Montréal, et une somme de 8,6 millions divisée à part égale entre Québec (programme d'infrastructures) et Ottawa (Chantiers Canada) à même les enveloppes budgétaires déjà en place. On prévoit l'ajout de quatre nouveaux courts sur terre battue, de nouveaux salons aériens, des vestiaires remodelés, une galerie de presse moderne et une aire d'accueil améliorée au stade secondaire. Le projet a été très bien reçu par la Ville de Montréal, reste à négocier les modalités de financement avec Québec et Ottawa. Dans le meilleur des scénarios, les travaux débuteraient au printemps 2010. # Les Internationaux de tennis du Canada existent depuis 1881; c'est le 3e plus vieux tournoi du monde après Wimbledon et le US Open. # De 2001 à 2007, selon une étude de la firme CFM Stratégies, les retombées économiques du tournoi sont passées de 15 à 28 millions, une augmentation de 9% par année. # Le tournoi fait l'objet de plus de 2000 heures de diffusion dans 150 pays. # Près de 50% des revenus générés par les deux Coupe Rogers sont réinvestis au Québec pour le développement du tennis. source: http://www.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2009/05/20090515-062700.html
  12. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/10/20111004-173935.html
  13. Qu'est ce que vous pensez d'avoir un forum dédié aux développement immobillier pour l'extérieur de la grande région métropolitaine? Ça serais un forum séparé de celui-ci.
  14. Ma vision de l'intersection. Objectifs: 1. Rendre le quartier plus vivable. 2. Faciliter l'accès pour les piétons 3. Préserver le bon fonctionnement des artères routières 4. Raccorder les rues 5. Créer des opportunités pour du dévelopement / densification Les formes de couleur = nouvelles constructions : -Triangle au sud de l'intersection : Projet de condos, édifices de 8 à 10 étages. -Édifice directement au nord de l'intersection sur l'image : Tour de 15 étages -Le reste, des condos, des commerces, de 3 à 6 étages. En plus gros maintenant: AVANT: APRÈS:
  15. Malek

    La Havane

    Mes photos de la Havane de 2006. Le reste ici (total 192 pics):
  16. Bizarre qu'il n'y a eu aucun fil de discussion la dessus. Je ne savais même pas que s'était en construction. Peut importe, la construction est terminé et le cetre sportif ouvre dans 2 semaines. Source: Radio-Canada Un nouveau centre sportif construit au coût de 15 millions de dollars dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce a été inauguré vendredi. Après la revitalisation des logements sociaux de Benny Farm, l'arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce se dote ainsi d'un centre sportif haut de gamme avec piscine. Seule ombre au tableau, le centre a été construit dans le parc Benny, ce qui ne faisait pas l'affaire d'une poignée de résidents opposés au projet. Pour les faire taire, l'administration municipale s'était engagée à ce que le nouveau centre sportif obtienne la plus haute certification environnementale internationale, la certification LEED. « Lorsque le gouvernement du Québec dit oui, lorsque l'arrondissement dit oui, lorsque la ville centre dit oui, on est capable de réaliser dans des cours délais des projets qui sont importants », a commenté le maire Gérald Tremblay. L'imposante toiture verte du centre, accessible aux citoyens, permet une intégration visuellement harmonieuse. Mais cela n'est pas suffisant pour Diane Chambers, qui s'opposait au changement de zonage du parc. « Le projet est beau, mais moi-même j'étais avec un comité de citoyen pour sauver le parc Benny, parce qu'on a voulu que le parc reste vert », a expliqué Mme Chambers. Le nouveau centre sportif ouvrira ses portes le 24 janvier.
  17. MtlMan

    Le Roi est nu

    Me semble que je radote. Mais je ne suis pas le seul. Et puis, c'est pas faux. http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/12/01-4359508-le-roi-est-nu.php
  18. Encore un autre petit projet sur lequel je n'ai rien trouvé, à proximité du Pivot. La construction est pratiquement terminée, il ne reste que de la finition:
  19. Est-ce que vous êtes comme moi et vous avez aucune idée quoi acheter avec votre argent pour le RÉER??? Suggestions?? J'ai environ 10k et je veux mettre la moitié dans un cpg non fermé et le reste en actions de banques canadiennes vu que leur prix est très tentant. D'autres ont ce genre de dilemme??
  20. Vous avez sûrement tous remarqué la dernière campagne publicitaire de la Ville de Montréal pour convaincre des gens de ne pas s'enfuir en banlieue... Qu'en pensez-vous? Berri-UQAM, 5 mars 2009 d'autres affiches disent : Un Montréalais c'est quelqu'un qui reste à Montréal. Quitter Montréal, mais pour aller où? Les services de proximité, c'est mieux quand ils sont proches. Habiter la Rive-Sud, mais celle de Laval. Habiter la Rive-Nord, mais celle de Longueuil. etc.
  21. Le taux de chômage a augmenté de 0,2 % en juin au Canada, pour atteindre 8,6 %. L'emploi est resté pratiquement inchangé dans toutes les provinces, sauf à Terre-Neuve-et-Labrador, où il a augmenté. Pour en lire plus...
  22. Engagé dans d'âpres négociations avec Chrysler sur une réduction des coûts de main-d'oeuvre, le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile reste de glace devant des menaces de fermeture. Pour en lire plus...
  23. Les deux aveugles 18 février 2009 par Joseph Facal La sévérité de la crise économique dépasse les pronostics les plus pessimistes. Toutes les institutions revoient à la baisse leurs prévisions. Nous n’avons sans doute pas encore touché le fond. Tout cela donne un regain d’énergie à ceux qui nous invitent à revenir au protectionnisme d’antan ou même carrément à tourner le dos au capitalisme. Pourtant, la crise actuelle ne découle pas de ce que les principes de base de l’économie de marché seraient tout d’un coup devenus incorrects. Elle provient de la cupidité des spéculateurs et du somnambulisme de ceux chargés de les surveiller. L’eau du bain ne doit pas emporter pas le bébé. Si elle est appliquée avec discernement, la théorie qui fonde le capitalisme reste valide. Les individus font certes des erreurs, mais restent les meilleurs juges de ce qui leur convient. Les économies modernes sont trop complexes pour être planifiées par une autorité suprême qui choisirait au nom de tous. Quand deux pays commercent librement, chacun se spécialisera. Cette spécialisation rendra chacun meilleur, et cette efficacité accrue profitera aux deux, à des vitesses généralement différentes. Tout cela reste fondamentalement vrai. On a tort d’opposer de façon absolue le marché et l’État. Tous les gouvernements interviennent dans l’économie. L’important est d’intervenir de la bonne façon : en éduquant les gens, en construisant des infrastructures de qualité, et en s’assurant que les règles de la compétition sont équitables pour tous. La protection des emplois peut se justifier s’ils sont dans des secteurs qui ont un avenir. L’achat local est une bonne chose si vous n’y êtes pas forcé. Québec solidaire, pour ne prendre qu’un exemple entre mille de ce qu’on entend ces jours-ci, nous expliquait que cette crise était une occasion de «transformer l’économie» et de sortir du «cadre de pensée dominant». Voilà du langage codé pour promouvoir une idéologie qui porte un nom : socialisme. S’ils y croient, pourquoi s’en cacher ? L’idée même de porter le salaire horaire à 10,20 $ d’un coup ne peut jaillir que d’un cerveau qui nie les fondements de l’économie de marché. Le chômage augmenterait immédiatement. La vraie cause de la pauvreté n’est pas la faiblesse des salaires elle-même, mais le fait que le manque d’éducation empêche la personne d’avoir accès aux emplois mieux payés. L’aveuglement idéologique de ceux qui nient les mérites évidents du capitalisme ne vaut pas mieux que l’aveuglement idéologique de ceux qui ne voient pas le danger des excès. Nos dirigeants politiques, eux, ne veulent surtout pas donner l’impression qu’ils restent les bras croisés. Et quand on doit montrer qu’on fait quelque chose, le danger est grand que l’on fasse n’importe quoi. Dépenser vite et beaucoup n’est pas la même chose que dépenser bien. On résistera difficilement à la tentation de donner le feu vert à des projets douteux, mais politiquement rentables, sous prétexte qu’il faut «repartir la machine». Voyez les projets loufoques que les élus américains essaient d’inscrire dans leur méga-plan de relance. Dès 1959, les sociaux-démocrates allemands avaient trouvé la formule : autant de marché que possible, autant d’État que nécessaire. Elle reste valable. Il s’agit aujourd’hui d’intervenir pour relancer le capitalisme, pas pour le remplacer.
  24. Les Québécois plus optimistes que les Ontariens Publié le 22 janvier 2009 à 00h00 | Mis à jour le 22 janvier 2009 à 06h48 Moins frappées jusqu'ici par la récession américaine et mondiale, les entreprises du Québec s'attendent à affronter le pire de la crise en 2009. L'optimisme de l'an dernier a carrément basculé dans le pessimisme chez les gens d'affaires, selon le nouveau sondage de la société de comptables Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT), réalisé de la fin d'octobre à la fin de novembre et rendu public hier par Sébastien Bellemare, directeur de son Centre international. RCGT a interrogé plus de 7200 dirigeants d'entreprise à capital fermé dans 36 pays, dont 300 au Canada. La marge d'erreur du sondage atteint 5,7%. Pour la première fois, le Québec fait partie de l'étude annuelle réalisée depuis 2003, avec 150 de ses entreprises. C'est une première aussi de voir la confiance chuter autant dans le monde, soit de 56 points de pourcentage. L'an dernier, l'indice affichait +40% pour les optimistes. Cette année, les pessimistes l'emportent avec 16%. Pourtant déjà frappé par le ralentissement économique (forestières, manufacturiers, exportateurs), le Québec devient pour 2009 carrément plus pessimiste que le reste du Canada sur les perspectives économiques, les profits et l'accès au financement. L'écart s'explique toutefois surtout par l'optimisme de l'Ouest canadien, motivé par la possible remontée rapide du prix du pétrole, car l'Ontario reste plus pessimiste que le Québec. Montréal compte par ailleurs plus d'optimistes (+17%) que les autres villes du Québec (+2%) et, surtout, que les régions (-21%) où la méfiance règne. La confiance des PME du Québec devance largement celle des grandes entreprises (42% contre 24%), car elles s'adaptent plus rapidement, selon Sébastien Bellemare. La pire crainte des entrepreneurs du Québec, tout comme de ceux du Canada d'ailleurs, c'est la chute de la demande des consommateurs. La grande majorité des entreprises québécoises (72%) redoutent en outre le financement difficile, au contraire de celles du reste du Canada qui croient à du crédit autant, sinon plus facile (51%). Le Québec craint de plus la rareté du personnel qualifié. Sur la planète, le record du pessimisme revient aux pays développés, avec de nouveau le Japon en tête (-85%), suivi par la France (-60%), le Royaume-Uni (-47%) et les États-Unis (-34%). Le Canada est le seul pays du G8 à rester optimiste (+3%), malgré tout. C'est Hong-Kong qui connaît la plus grande volte-face, avec l'optimisme de l'an dernier (+81%) qui se transforme en grand pessimisme (-49%) dans ce centre financier et commercial du monde. Par contre, les pays émergents voient plutôt des occasions d'affaires dans la récession, notamment en Inde (+83%), au Brésil (+50%) et en Chine (+30%).
  25. Le deuxième producteur mondial de microprocesseurs, AMD, est resté déficitaire pour le neuvième trimestre consécutif. Pour en lire plus...
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