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  1. via LaPresse : Publié le 31 mars 2016 à 06h43 | Mis à jour à 07h32 Une entreprise ontarienne achète St-Hubert La Presse Canadienne Cara a annoncé ce matin l'acquisition de la totalité du Groupe St-Hubert pour 537 millions de dollars. Groupe St-Hubert possède la chaîne des Rôtisseries St-Hubert, qui compte 120 restaurants répartis principalement au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick, ainsi que St-Hubert Détail, division agroalimentaire qui produit et distribue plusieurs centaines de produits alimentaires au Québec et dans le reste du Canada. Cara est une entreprise ontarienne qui gère plusieurs bannières de restauration au Québec et au Canada, dont Chalet Swiss, Milestones et Harvey's. Les dirigeants actuels de Groupe St-Hubert resteront en poste et le siège social de St-Hubert demeurera au Québec. Les Entreprises Cara Limitée acquierent St-Hubert au prix d'achat de 537 millions $, sur une base sans encaisse ni endettement. Le prix d'achat comprend certains soldes de fonds de roulement et est assujetti aux ajustements de fonds de roulement usuels à la clôture. Cara a expliqué que cette acquisition lui permettra d'accroître la portée de ses activités de détail tant au Québec qu'à l'échelle nationale. La clôture de l'opération est assujettie à des conditions usuelles, y compris l'obtention de toutes les approbations nécessaires des autorités de réglementation, et devrait avoir lieu à l'été 2016. Le Groupe St-Hubert compte plus de 10 000 employés, répartis au sein de deux divisions. Au 27 décembre 2015, Cara comptait 1010 restaurants partout au Canada. De ce nombre, 973 sont situés au Canada et 37, à l'étranger.
  2. 2,7M$ pour le patrimoine religieux à Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé mardi un investissement de 2,7M$ pour la restauration du patrimoine religieux montréalais. Cette aide financière servira entre autres à effectuer des réparations et des réfections sur huit bâtiments à caractère religieux de la métropole. Le choix des projets retenus a émané de la table de concertation de Montréal du conseil du patrimoine religieux du Québec. Les sommes les plus importantes de l’enveloppe sont allouées à la cathédrale Christ Church, au centre-ville et à la Maison mère d’Youville, dans le Vieux-Montréal. Québec consacrera respectivement 1M$ et 552 500$ à ces projets de restauration. «On a un devoir de mémoire à l’égard de notre patrimoine, ça fait partie de notre histoire, de notre identité, et on veut prendre soin de ce patrimoine-là pour le léguer aux générations futures», a déclaré le ministre de la Culture et des Communications, Luc Fortin, au moment de l’annonce. Le ministre a cherché à faire valoir l’importance du patrimoine religieux dans le paysage montréalais. «Dans les pays européens, il y a beaucoup de châteaux, et les gens sont intéressés à aller les visiter. Ici, au Québec, on a moins de châteaux, mais on a beaucoup d’églises, et on souhaite les préserver et les mettre en valeur», a-t-il illustré. Le directeur des politiques d’Héritage Montréal, Dinu Bumbaru, salue ces sommes «très bienvenues», mais fait remarquer qu’elles ne représentent qu’une partie des investissements nécessaires à la réfection de ce patrimoine bâti. Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires. M. Bumbaru confirme que les quelque 600 lieux de culte de la métropole occupent une place importante au sein de son patrimoine bâti. Il fait aussi remarquer que les bâtiments proviennent de diverses communautés montréalaises de l’époque, et non pas seulement de la communauté catholique. «Le patrimoine religieux, c’est souvent la somme de tous les arts qu’on a réunis dans ces constructions», explique-t-il, en ajoutant qu’on peut voir dans les églises plusieurs formes d’expression, dont la sculpture, la peinture, le plâtre et le vitrail, entre autres. «Même si aujourd’hui on a un regard beaucoup plus critique sur les grandes confessions, il faut reconnaître ceux qui nous ont précédé ont mis beaucoup d’efforts dans la réalisation de ce patrimoine-là», juge-t-il. C'est une bonne chose mais c'est trop peu -et j'espère qu'il n'est pas trop tard pour beaucoup d'édifices religieux !! Je sais pertinemment que les Anglicans à eux seuls ont besoin d'un minimum de $2M pour remplacer la flèche dans les plus brefs délais -soit dans un peu moins de deux ans !! Comme le fait remarque Mr Bumbaru : "Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires." Je sais que les anglicans prévoient en effet d'organiser une campagne de financement afin de trouver le reste de l'argent nécessaire pour ces travaux !! 2,7M$ pour le patrimoine religieux a Montreal | Metro
  3. http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/459813/quebec-songe-a-proteger-une-eglise-menacee-de-demolition Québec songe à protéger une église menacée de démolition 9 janvier 2016 |Jeanne Corriveau | Villes et régions L’église Saint-Gérard-Majella sera-t-elle épargnée ? Le ministère de la Culture examine la possibilité de classer cette église de Saint-Jean-sur-Richelieu jugée exceptionnelle, mais condamnée à la démolition. Si un tel statut était accordé au bâtiment, sa destruction deviendrait impossible. Construite en 1962 selon les plans de l’architecte Guy Desbarats, l’église Saint-Gérard-Majella a été vendue en octobre dernier à des promoteurs immobiliers pour 800 000 $. Les nouveaux propriétaires prévoient de raser le bâtiment pour construire un projet domiciliaire de 104 appartements sur le site. Même si l’église dotée d’une voûte asymétrique spectaculaire a reçu du Conseil du patrimoine religieux du Québec la plus haute évaluation, soit la cote « A », la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste a décidé de la vendre, faute de financement pour la rénover. Les travaux de restauration avaient été estimés à 3 millions de dollars. Le Devoir a appris qu’après avoir reçu une demande d’intervention le 16 novembre dernier, le ministère de la Culture a décidé d’examiner la possibilité de classer l’immeuble. « Le ministère a entamé une analyse pour voir ce qu’il est pertinent de faire comme intervention en vertu de la Loi sur le patrimoine. Le classement fait partie de cette réflexion », a confirmé Philip Proulx, attaché de presse de la ministre de la Culture, Hélène David. « Le ministère a eu pour mot d’ordre de faire une analyse rapidement, étant donné qu’il y a des craintes concernant la possible démolition de l’église. » M. Proulx précise qu’advenant la signature d’un avis d’intention de classement par la ministre, la protection entrerait aussitôt en vigueur et la démolition de l’église serait interdite. Église vidée Le président de la fabrique de la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste, Louis-Charles Fontaine, ignorait qu’un classement était envisagé par le ministère lorsque Le Devoir l’a joint vendredi. « Ça serait très bien ! Je pense qu’il faut s’intéresser au patrimoine avant qu’il soit trop tard. Il est déjà tard, mais mieux vaut tard que jamais », a dit M. Fontaine. En l’absence de mobilisation pour préserver l’église et de fonds pour la rénover, la paroisse, qui compte six autres lieux de culte, avait décidé de vendre Saint-Gérard-Majella. En décembre, la fabrique a même vidé l’église et vendu le mobilier et les objets qui s’y trouvaient. « Mais avoir su qu’on aboutirait à ça, je n’aurais pas vendu les bancs et les objets », regrette M. Fontaine. La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu n’entend pas se mêler du dossier ni contribuer à la restauration de l’église, mais elle devra éventuellement autoriser le changement de zonage, la démolition de l’immeuble et la conformité du projet immobilier, a indiqué Sylvain Latour, attaché de presse du maire Michel Fecteau. Maison des patriotes Quant à la maison Chénier-Sauvé, une demeure patrimoniale de Saint-Eustache elle aussi menacée de démolition, le ministère dit suivre le dossier de près. La Ville de Saint-Eustache affirme que la maison aurait besoin de coûteuses rénovations de 2,8 millions, et elle songe à la démolir malgré une subvention de près d’un million accordée par Québec. « On a mis de l’argent sur la table pour assurer une restauration. On attend de voir quel est le plan de match [de la Ville] », a indiqué Philip Proulx. La Ville entend décider du sort de la propriété ayant appartenu au patriote Jean-Olivier Chénier dans les prochains mois.
  4. Cela faisait 37 ans que la magnifique église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End avait perdu deux de ses statues extérieures, dû à leur dégradation avancée. Ces deux œuvres sont maintenant restaurées! J'ai pris quelques photos aujourd'hui (18 juin 2015): En espérant que la prochaine restauration ne prenne pas 4 décennies! Montréal souffre souvent d'un déficit d'entretien de son beau patrimoine. Pour plus de renseignement sur cette restauration, voici un lien vers un article du Journal Métro: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/794384/patrimoine-religieux-redonner-vie-aux-anges-du-mile-end/
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/474566/un-quai-evenementiel-permanent-sur-le-canal-de-lachine/ Un quai événementiel permanent sur le canal de Lachine Par Laurence Houde-RoyMétro Le QuaiPrevious photoNext photo Un quai flottant pouvant accueillir des événements culturels sera installé sur le canal de Lachine tout l’été. Le ponton, d’une longueur de 24 mètres et d’une largeur de 11 mètres, sera principalement utilisé et entreposé au Bassin Peel. Amarré aux berges, il y sera relié par une passerelle. Les promoteurs ou artistes intéressés à louer la structure pour leurs événements pourront aussi demander à le déplacer le long du canal, entre le Vieux-Port de Montréal et le lac Saint-Louis. La structure pourra notamment recevoir des spectacles de musique, un cinéma en plein air et des réceptions de près de 200 personnes. Le promoteur Simon Lebrun, également à la tête du Défi canot à glace Botabota, fera la présentation de ce projet vendredi au congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec. «On s’est rendu compte qu’à Montréal, c’était difficile d’organiser des événements près des berges ou sur l’eau. Il n’y avait pas de lieux saisonniers à la disposition des promoteurs et offerts à la location» -Simon Lebrun qui lancera officiellement la structure à la fin du mois de mai. Si certains artistes espéraient pouvoir présenter leur travail sur l’eau, les coûts d’assemblage d’une telle structure les rebutaient bien souvent. «Oui, nous voulons attirer les événements du milieu corporatif, mais nous voulons aussi rendre ce quai accessible», ajoute M. Lebrun qui, avec un ponton en permanence sur l’eau, compte offrir des prix plus modiques aux artistes. Ce genre d’emplacement permanent est déjà disponible dans plusieurs grandes villes internationales, indique le promoteur. «Le pouvoir attractif d’un événement sur l’eau est incroyable. Un écran de cinéma devient soudainement beaucoup plus intéressant s’il est sur l’eau», ajoute-t-il. Les discutions avec Parcs Canada, qui gère le Canal-de-Lachine, se font depuis l’automne dernier. L’institution fédérale devait notamment s’assurer que la plateforme n’affecte pas le passage des plaisanciers et que sa taille respecte les normes. Le quai événementiel sera à la disposition des promoteurs de la fin mai jusqu’au mois d’octobre. Si la réponse est positive, son promoteur pourrait agrandir sa superficie pour les années suivantes. Parc Jean-Drapeau Le congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec accueillera également une conférence de Daniel Blier, directeur général de la Société du parc Jean-Drapeau. Il présentera les avancements de la revitalisation du secteur dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. Le projet, dont les plans ont été présentés aux partenaires en décembre dernier, compte offrir aux visiteurs un meilleur accès au fleuve ainsi qu’une entrée plus fournie, avec notamment des points de restauration et un comptoir d’accueil. «Nous sommes assez emballés par rapport à la direction que prend ce projet. Il respecte autant les besoins contemporains, tout en conservant la mémoire des lieux», affirme Luc Beauchemin de la Fondation Expo 67 qui a pris connaissance des esquisses. La restauration de la Place des Nations, l’une des legs majeurs du 375e anniversaire, est particulièrement intéressante pour M. Beauchemin. «La restauration se fera avec les matériaux d’origine», se réjouit celui qui espère retrouver l’esprit d’Expo 67 après les travaux. Selon les plans qu’il a consultés, un arrêt d’autobus devrait également s’ajouter près de la Place des Nations, un attrait supplémentaire pour les visiteurs, estime-t-il. La Société du parc Jean-Drapeau songe également à offrir l’endroit pour la diffusion de spectacles ou de concerts à ciel ouvert, selon M. Blier. M. Beauchemin espère toutefois que les principaux acteurs d’Expo 67 seront reconnus à travers ces travaux en renommant les axes de circulation du parc en leur nom.
  6. Une restauration des vestiges de l'ancienne fortification est présentement en marche sur les Champs de Mars
  7. Il y a un erreur dans mon titre, elle date de 1914. En 1993-1995, à la suite de la cessation du service de la ligne Montréal-Deux-montagnes, la ville de Mont Royal hérita de la locomotive GE boxcab #6712, dans le but de la restaurer. Elle fait partie des première locomotives à avoir traverser le tunnel du Mont-Royal.Plusieurs musée obtenu des locomotives du même modèle dont ville de Deux Montagnes qui restaura la sienne en 1998 et l'installa à coté de sa nouvelle gare. Ville Mont-Royal, entreposa la sienne sur le terrain de son garage municipal. Depuis 1995 quelle est là, à attendre... Selon quelques personnes, ce sont des citoyens de VMR qui s'oppose à sa restauration et son installation à côté de la gare de VMR, soit diant que c'est laid. Cet hiver, la bâche qui la couvrait à cédé. Photos: Le PAB, http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=12471&postdays=0&postorder=asc&start=20 En avril: http://www.flickr.com/photos/kellergraham/4516805870/ La voici en 2005 sous la bâche http://www.flickr.com/photos/kellergraham/347312676 Et en 2009 Quelle honte !
  8. Le fisc aux trousses des restaurateurs Le Devoir Robert Dutrisac Édition du samedi 25 et du dimanche 26 avril 2009 Mots clés : Évasion fiscale, Restaurateurs, Fisc, Gouvernement, Québec (province) Le tiers des 900 millions que le fisc veut récupérer d'ici 2013-14 proviendra du seul secteur de la restauration D'ici la fin de 2011, le ministère du Revenu implantera 33 000 modules électroniques dans les caisses enregistreuses de 18 000 restaurants à leurs frais. Photo: Agence Reuters Québec -- Ce sont les restaurateurs qui seront les premiers visés par le gouvernement Charest dans sa lutte contre l'évasion fiscale. Le tiers des 900 millions que le fisc veut récupérer d'ici 2013-14 proviendra du seul secteur de la restauration. Cliquez ici ! C'est ce qu'a révélé, hier, le ministre du Revenu, Robert Dutil, lors de l'étude des crédits de son ministère. «C'est là qu'il y a le plus de concurrence déloyale», a déclaré le ministre au cours d'un point de presse. D'ici la fin 2011, le ministère du Revenu implantera 33 000 modules électroniques dans les caisses enregistreuses de 18 000 restaurants à leurs frais. Grâce à ce système, il sera difficile de ne pas émettre de facture pour un repas sans que le fisc puisse s'en rendre compte. Le ministère prévoit réduire de 70 % l'évasion fiscale dans la restauration. Dans le dernier budget de Monique Jérôme-Forget, il est prévu que 900 millions des 6,13 milliards nécessaires pour arriver à l'équilibre budgétaire en 2013-14 proviendront de la lutte contre l'évasion et l'évitement fiscaux que mènera Revenu Québec. Au total, l'évasion fiscale représente un manque à gagner de 2 à 2,5 milliards annuellement pour l'État, a souligné M. Dutil. À l'heure actuelle, le montant de la récupération fiscale effectuée par Revenu Québec auprès des contribuables fautifs s'élève à 2,1 milliards. Outre la restauration, trois secteurs sont dans le collimateur du fisc: la planification fiscale abusive, la construction et le tabac. Selon les dernières données disponibles, Revenu Québec est parvenu à récupérer 216 millions auprès de 7910 entreprises du secteur de la construction en 2007-08. En vue de contrer la contrebande du tabac, des discussions ont cours avec les gouvernements fédéral et ontarien. «La contrebande de tabac, c'est devenu un problème de criminalité. Souvent, malheureusement, on pense que les autochtones sont à la source de ça. Ce n'est pas exact: le crime organisé est dans le tabac», estime Robert Dutil. Robert Dutil présentera un mémoire au conseil des ministres en vue de modifier la Loi sur le revenu afin d'accroître les pouvoirs du fisc dans sa lutte contre la contrebande de tabac. Le ministre a donné pour exemple la possibilité de taxer les revenus illicites. Afin d'intensifier ses efforts pour contrer l'évasion fiscale, le ministère du Revenu engagera 825 personnes de plus d'ici quatre ans dans les services touchés qui comptent plus de 3000 fonctionnaires. Pour cette activité, Revenu Québec est soustraite à la règle du Conseil du trésor qui exige qu'un seul fonctionnaire sur deux qui prend sa retraite soit remplacé. Dès l'an prochain, le ministère procédera à 250 embauches pour une dépense de 20 millions. On calcule que contre chaque dollar dépensé pour contrer l'évasion fiscale, on en récupère huit. Au total, Revenu Québec compte 9000 employés. Pour le député de Rimouski et porte-parole de l'opposition officielle en matière de revenu, Irvin Pelletier, l'objectif de 900 millions est trop modeste. Trop modestes aussi les moyens mis en branle par le ministère pour récupérer cette somme. http://www.ledevoir.com/2009/04/25/247446.html (26/4/2009 10H44)
  9. La Ville de Montréal autorise le lancement de l'appel d'offres pour la restauration de la croix du mont Royal Montréal, le 16 mai 2007 - Dans le cadre de « Mai 2007 : Mois du Mont-Royal», Madame Helen Fotopulos, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal responsable de l'environnement, des parcs, des espaces verts et bleus, du mont Royal et de la condition féminine, est heureuse d'annoncer que le comité exécutif autorise le lancement d'un appel d'offres public pour l' exécution des travaux de restauration et de l'aménagement des abords de la croix du mont Royal. Le budget prévu pour ces travaux est estimé à environ 1 365 000 $, taxes incluses. « Ces travaux ainsi que d'autres démarches entreprises comme celle visant l'adoption du Plan de protection et de mise en valeur du mont Royal, la restauration du monument à Sir George-Étienne Cartier ainsi que le réaménagement du nouvel échangeur Parc-Pins pour ne nommer que ceux-là, témoignent de la volonté de l'administration municipale de reconnaître le caractère unique du mont Royal et de poursuivre la mise en valeur de ses richesses historiques et naturelles. La croix, symbole marquant de Montréal, fait l'objet d'une forte appartenance collective reposant à la fois sur sa valeur historique et emblématique. Après 80 ans d'existence, ce monument qui domine la métropole doit être restauré avec grand soin. Le mont Royal et sa croix sont des composantes majeures du caractère identitaire du paysage montréalais », a affirmé madame Fotopulos. Située sur l'un des trois sommets de la montagne, la croix, d'une hauteur de 33 mètres, avec ses bras d'une envergure de 10 mètres, se dresse directement vers le Nord-Est, elle est visible, lorsqu'illuminée, à plusieurs kilomètres. Structure métallique, assemblée à l'aide de 1 830 pièces reliées par 6 376 rivets, elle a un poids de 26 tonnes qui reposent sur 8 pilastres de béton., l'état général de la structure de la croix et de ses abords requièrent une importante restauration pour en assurer la pérennité. L'exécution de ces travaux sera répartie en 2 phases de réalisation Les travaux de la première phase devraient être complétés pour le 23 décembre 2007, ils sont estimés à 975 000 $. Ces travaux, visent la restauration de la structure métallique de la croix et des éléments stabilisateurs. Ils comprennent aussi le démantèlement du système d'éclairage et son remplacement par un nouveau système facilitant la gestion des couleurs et l'entretien. Les travaux de la deuxième phase estimés à 390 000 $, seront réalisés au printemps 2008. Ces travaux porteront essentiellement sur l'aménagement des abords incluant le traitement de la base de la croix pour empêcher son ascension, la mise à nu du roc pour mettre en valeur la nature géologique du paysage, la fourniture de mobilier, de même que la fabrication et l'installation d'un élément d'interprétation intégré à l'aménagement. Ils comprendront aussi le réaménagement du réseau des sentiers d'accès, l'exécution de travaux sylvicoles, des plantations et le gazonnement.
  10. La chaîne de restauration rapide a vu les ventes de ses restaurants ouverts depuis au moins 13 mois augmenter de 7,7% le mois dernier, à travers le monde. Pour en lire plus...
  11. La chaîne de restauration rapide empoche un profit en hausse de 11% à 1,19 G$ US au troisième trimestre grâce au Big Mac et au poulet frit. Pour en lire plus...
  12. Alors que la restauration voit sa clientèle bouder, essence et crise financière obligent, Sobeys-IGA lance à partir du Québec une gamme de plats frais, «de qualité de restaurant», partout au Canada. Pour en lire plus...
  13. MTY devient franchiseur pour Taco Time 17 septembre 2008 - 11h18 Presse Canadienne MTY Tiki Ming Enterprises, filiale du groupe montréalais MTY (MTY) vient de conclure une entente ayant force obligatoire afin de se porter acquéreur des actifs de Taco Time Canada. L'entente a été conclue avec Ken et Aarol Pattenden, de Taco Time Canada, une entreprise basée à Calgary. En vertu de cette entente, MTY reprendra les droits de franchise de la chaîne de restauration rapide de style mexicain au Canada conformément à un accord signé avec Kahala Franchise Corporation, de Scottsdale, en Arizona, détentrice du nom Taco Time. Le montant de l'opération n'a pas été précisé. Il y a actuellement 117 établissements Taco Time franchisés au Canada, dans les provinces de la Colombie-Britannique, de l'Alberta, de la Saskatchewan, du Manitoba et de l'Ontario. Les ventes du réseau Taco Time au Canada ont atteint 54 M$ au cours de la période de 12 mois terminée le 30 juin dernier. La transaction devrait être complétée d'ici 60 jours, a précisé MTY, mercredi, en annonçant cette nouvelle acquisition. MTY a l'intention de maintenir le siège de Taco Time Canada à Calgary une fois la transaction réalisée. Interrogé par La Presse Canadienne, un porte-parole de la compagnie, Jean-François Dubé, a indiqué, par ailleurs, que MTY envisage d'élargir le réseau de Taco Time en Ontario et de l'introduire éventuellement au Québec. L'acquisition de Taco Time Canada portera à 1000 le nombre d'établissements de restauration rapide de MTY, qui possède entre autres les bannières Sushi Shop, Tiki-Ming, Veggirama, La Crémière, cultures et Caférama. À la fin août, le groupe a annoncé qu'il achetait la chaîne Tutti Frutti spécialisée dans les petits-déjeuners.
  14. Le groupe détient déjà plusieurs bannières de restauration rapide, dont Sushi Shop, Tiki-Ming, Veggirama, La Crémière, cultures et Caférama. Pour en lire plus...
  15. La chaîne de restauration rapide est portée par ses ventes à l'international malgré la hausse des matières premières. Pour en lire plus...
  16. Québec s'attaque à l'évasion fiscale Dernières nouvelles (archives) Le gouvernement du Québec intensifie ses efforts dans la lutte contre l'évasion fiscale dans le secteur de la restauration. Radio-Canada a appris que le ministère du Revenu annoncera lundi le lancement d'un projet pilote pour contrer ce phénomène. Revenu Québec va installer gratuitement un logiciel d'enregistrement fiscal dans une cinquantaine de restaurants pour comptabiliser leurs véritables revenus. Le projet se fera en accord avec l'Association des restaurateurs du Québec. Le gouvernement souhaite que tous les restaurants soient équipés de ce logiciel d'ici 2011. Chaque année, l'évasion fiscale dans le secteur de la restauration prive le trésor public du Québec de 425 millions de dollars. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2008/01/25/002-Restauration-Fiscal.shtml
  17. Le Journal de Montréal 21/09/2007 À l'heure du questionnement sur la laïcité dans tous les espaces publics, la Ville de Montréal entreprendra la semaine prochaine des travaux majeurs de 1,5 M$ pour garder debout la croix du mont Royal. La conseillère municipale et mairesse du Plateau-Mont-Royal, Helen Fotopulos, responsable du développement du mont Royal, a confirmé la nouvelle au Journal de Montréal. La structure a 80 ans et elle devient menaçante pour les visiteurs. Selon un document interne de l'administration de Montréal, «la corrosion est telle qu'elle pourrait engendrer des risques pour les visiteurs et les responsables de l'entretien». La croix nécessite donc des travaux de restauration urgents. «Si on repousse encore les travaux, de dire Mme Fotopulos, les interventions deviendront encore plus onéreuses et le danger augmentera dans son périmètre. » Les coûts de la restauration seront supportés par la Ville de Montréal et le ministère de la Culture, «qui veulent préserver et mettre en valeur ce patrimoine naturel et historique du mont Royal», indique la conseillère. Son état général requiert une restauration majeure pour limiter sa détérioration, due surtout à la corrosion. Les travaux, qui seront lancés dans quelques jours par la firme Ventec, permettront de restaurer les éléments stabilisateurs par le remplacement des ancrages et des colonnes principales, qui comptent 200 membrures et des centaines de rivets. L'éclairage Le système d'éclairage sera démantelé de la croix géante, qui fait 100 pieds de hauteur avec des bras d'une envergure de 32 pieds. Cet éclairage sera remplacé par un système qui permettra d'exécuter facilement les manoeuvres d'entretien et les changements de couleurs. La structure métallique réparée sera repeinte au printemps 2008, et c'est alors qu'on fera un nouvel aménagement périphérique plus agréable pour les visiteurs, qui doivent actuellement rester à distance à cause d'une clôture dissuasive. La construction de la croix du mont Royal a été financée en grande partie par une collecte de fonds publique organisée par la Société Saint-Jean-Baptiste au début des années 1930. Elle remplaçait une première croix de bois qui avait été plantée par Paul de Chomedey de Maisonneuve, fondateur de Montréal en 1642. Lors d'une importante inondation, au début de Ville-Marie, il avait promis de planter une croix sur la montagne si l'eau du fleuve se retirait. Ce qui s'était réalisé.
  18. Le Journal de Montréal 24/04/2007 La Ville de Montréal a lancé hier la phase finale des travaux de restauration du monument de Sir George-Étienne-Cartier, dont la facture est évaluée à 3 M$, soit près de 300 000 $ de plus que prévu. Cet imposant monument situé au pied du mont Royal, sur l'avenue du Parc, est le plus imposant et le plus fréquenté de Montréal. Il rend hommage à la mémoire d'un grand homme politique qui a joué un rôle important sur les scènes fédérale et provinciale et qui a participé à la rébellion de 1837. Depuis sa création, au début du siècle dernier, le monument n'a jamais reçu une telle cure de rajeunissement. Pour cette dernière portion des travaux, le comité exécutif a octroyé un contrat de 560 870 $ à la firme Maçonnerie Rainville et Frères, et un autre contrat de 689 400 $ pour la restauration des personnages de bronze aux restaurateurs Dolléans Art Conservation, pour une facture de 1 250 270 $. Terrasse dangereuse La firme Fournier Gersovitz Moss et Associés, qui a préparé les plans de la restauration et qui assure la surveillance des travaux, recevra 240 000 $. D'autres travaux ont été réalisés en 2005 et 2006 pour consolider la structure de béton et la terrasse entourant le monument. La terrasse avait été jugée en très mauvais état il y a quelques années et le site avait été fermé aux joueurs de tam-tam et au public en général pour des raisons de sécurité peu avant le début des travaux. Benoit Labonté, maire de Ville-Marie et responsable politique des dossiers culturels à Montréal, a assisté hier à la «dépose» des 17 personnages de bronze du monument, c'est-à-dire au déplacement des statues pour leur restauration. Il s'est dit enchanté «de la reprise de ces travaux à l'un des endroits les plus fréquentés du Mont Royal», travaux qui devraient être terminés au printemps 2008. Difficultés budgétaires Ce dossier a connu beaucoup de soubresauts depuis l'automne 2004 et, à l'hôtel de ville, on indique que des raisons d'ordre budgétaire expliquent l'étirement de l'échéancier. La restauration du piédestal en granit sera réalisée sur place mais la restauration des personnages, en bronze, sera effectuée en atelier. L'expertise en profondeur en vue des travaux a été réalisée en 2000 par la Ville alors que l'ouvrage présentait déjà des faiblesses. Cette restauration sera financée en parts égales par la Ville et le ministère québécois de la Culture et des Communications.
  19. 18 mai 2007 Le square Saint-Louis a retrouvé sa fontaine la semaine dernière. La restauration a été annoncée au mois d'octobre dernier. Les travaux se sont échelonnés tout l'hiver. La restauration était devenue nécessaire pour assurer l’intégrité physique et maintenir la valeur artistique de l’œuvre. La restauration de l’œuvre d’art a été effectuée en atelier par la firme Dolléans Inc. Art Conservation, au montant de 72 609 $. La fontaine fut réinstallée le 16 avril et mise en opération le 8 mai. Réalisée en 1849, la fontaine en fonte de fer, située au centre d’un grand bassin peint dans le square Saint-Louis, fait partie d’une série de fontaines du même type à Montréal, dont plusieurs sont maintenant disparues. Ces œuvres d’art datent de la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle. Les éléments constituant ce type de fontaine étaient à l’époque vendus sur catalogue par Mott Iron Works. Les différentes composantes de ces œuvres permettaient d’ériger des fontaines différentes et personnalisées. «Cette fontaine, qui date de l’époque victorienne, représente un élément patrimonial important pour notre métropole et pour l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. C’est pourquoi je suis heureuse de la décision de conserver et de mettre en valeur cet élément identitaire qui occupe une place particulière dans le cœur des résidents du Plateau», a affirmé Helen Fotopulos, mairesse de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal.
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