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  1. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  2. As it was originally proposed in 1953 - so not exactly cancelled The 800 Rene Levesque was built 12 years later and a little narrower.
  3. J'ai passé en bagnole en ville aujourd'hui. Un ami de la rive sud voulait aller chercher un meuble dans le gettho Mcgill. Un vrai cauchemard. Tout les rues pour monter vers le nord étaient bloqués. Jamais vue ça. J'avais beau essayer un autre chemin je tournais en rond. Combien de plaque américaine et d'ontario que j'ai vue aujourd'hui une quantité phénomenale. Ca va leur donner une mauvaise opinion du manque flagrant d'information sur ce qui se passe. Le manque d'organisation de la circulation. Petite suggestion pourquoi on n'indique pas aux entrée vers le centre-ville sur l'autoroute ville marie et Bonaventure que René Levesques va être fermé et aussi toute les rues qui croisent le boulevard. Pourquoi on ne met pas de pancarte par exemple au coin de Robert Bourassa , Guy, Peel et St-Antoine etc... ou sont les policiers pour indiquer que la seule rue qui permet de croiser rené-Levesques est Atwater. Juste ça pour éviter de faire perdre du temps au gens.
  4. Jacques Parizeau n’est plus La voix du ténor des indépendantistes québécois s’est éteinte. Jacques Parizeau avait fêté ses 84 ans le 9 août dernier. Éminence grise de plusieurs gouvernements à compter des années 1960, professeur d’économie, ministre des FINANCES sous René Lévesque, chef du Parti québécois de 1988 à 1995, maître d’oeuvre du référendum de 1995, il a profondément marqué sa société. C’est son épouse, Lisette Lapointe, qui a annoncé sur sa page Facebook la mort de celui qui aura été «l’homme de a vie». Le pilier POLITIQUE est parti «tout en douceur, entouré de plein d’amour», a-t-elle écrit sur le premier coup de minuit. «Après un combat titanesque, hospitalisé durant cinq mois, traversant les épreuves, les unes après les autres, avec un courage et une détermination hors du commun, il a dû rendre les armes ce soir, 1er juin, un peu avant 20 heures. Nous sommes dévastés. Nous l’aimons et l’aimerons toujours.» Sa mort bouleverse bien sûr ceux qui voyaient en lui une sorte de phare solennel planté au milieu de la nuit de leurs rêves politiques, mais aussi ceux, nombreux, qui reconnaissaient en lui l’expression déterminée d’une vision sincère et originale du Québec. Habitué des complets trois-pièces et d’un maintien quelque peu aristocratique, celui qu’on appellera «Monsieur» est diplômé des Hautes-Études commerciales où l’économiste François-Albert Angers l’encourage à poursuivre ses études en Angleterre. Élu le 15 novembre 1976, il devient ministre des FINANCES du gouvernement de René Lévesque. Il reviendra enseigner dans son alma mater de 1985 à 1989, moment où il fait un pas de côté pour mieux pouvoir sauter à nouveau dans l’arène politique. En parallèle, il est un conseiller de première importance en matière économique dans l’appareil d’État qui se met en place au tournant des années 1960. Il est un de ceux qui jettent les bases de la Société générale de financement (1962) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (1965). Il va aussi suggérer une stratégie économique afin de faciliter la nationalisation des ressources hydro-électriques. On le trouve aussi mêlé à plusieurs réflexions qui donnent des outils à l’État pour valoriser les capacités de ses CITOYENS. Indépendantiste Ministre clé du cabinet de René Lévesque, il démissionne avec fracas du cabinet du gouvernement du Parti québécois le 22 novembre 1984, puis comme député cinq jours plus tard. Même s’il conservera toujours beaucoup d’affection pour René Lévesque, il ne tolère pas le virage que celui-ci affiche désormais en faveur du fédéralisme renouvelé, favorisé par l’arrivée au pouvoir des conservateurs de Brian Mulroney, aiguillé alors en cette matière par Lucien Bouchard. Chef du Parti québécois à compter de 1988, il tend la main à Robert Bourassa au moment de la crise qui entoure l’accord du lac Meech et accepte de participer aux travaux de la commission Bélanger-Campeau. L’appui à l’option indépendantiste atteint alors un sommet. Sa volonté de réaliser l’indépendance du Québec se montre résolue et déterminée. Le Parti québécois, répètera-t-il, est souverainiste avant, pendant et après les élections. Premier ministre À l’élection du 12 septembre 1994, il forme le NOUVEAU gouvernement majoritaire. Se met alors en place la stratégie référendaire. Chef du camp du «Oui», Jacques Parizeau convient néanmoins de s’effacer de l’avant-scène au profit d’interventions de Lucien Bouchard, chef du Bloc québécois, plus en phase avec la ferveur populaire du moment. Au soir du 30 octobre 1995, l’option du Oui passe bien près de l’emporter avec 49,42 % des suffrages exprimés. Ce sont 54 288 voix qui départagent les gagnants des perdants. Amer, visiblement ébranlé, Jacques Parizeau estime alors, dans un discours livré à chaud, que c’est le vote des minorités ethniques et l’argent qui ont fait perdre le référendum. «On a été battu, au fond, par quoi ? Par l’argent puis des votes ethniques, essentiellement.» Cette déclaration jugée malhabile fait tout de suite rougir les téléphones. Elle sera l’objet d’analyses multiples qui occupent une large place de l’espace médiatique dans les jours et les mois qui suivent la déconvenue référendaire. Cette sortie a sans doute accéléré la décision de Jacques Parizeau de quitter la POLITIQUE active, du moins dans des hautes fonctions, même s’il avait déjà annoncé son intention de ne pas rester en place pour gouverner une province. Critique Jacques Parizeau s’est fait particulièrement critique à l’égard du Parti québécois ces dernières années. Il va désapprouver notamment la politique d’une charte de la laïcité. Il soutiendra aussi ouvertement Option nationale, un jeune parti dirigé par Jean-Martin Aussant, sans pour autant renier son ancien parti. Jacques Parizeau ne cachera pas dès lors l’expression de sa profonde affection envers Jean-Martin Aussant dont il apprécie la fréquentation. En août 2014 à Montréal, à l’occasion d’un congrès de militants indépendantistes qui se veut neutre, il répètera que le Parti québécois n’a que lui à blâmer pour ses insuccès dont la cause tient à sa propension à cacher ses motivations. «À force de brouiller les CARTES, de toujours passer à côté et de cacher ce qui est l’objectif même du mouvement souverainiste, il ne faut pas s’étonner qu’à un moment donné, tout ça se dissout.» Jacques Parizeau aura su pour sa part demeurer fidèle à ses rêves avec une éclatante vigueur et une puissance de réflexion que TOUS lui reconnaissaient. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/438678/1930-2015-jacques-parizeau-n-est-plus
  5. Ne sachant pas trop où mettre ça, on pourrait se faire un fil avec des choses vues dans les rues de Montréal. Je commence avec: il y a une mega grue géante sur la rue René levesque ce soir. Si quelqu'un pouvait aller prendre une photo ça serai cool Sent from my iPhone using Tapatalk
  6. http://www.nytimes.com/2013/11/12/us/blighted-cities-prefer-razing-to-rebuilding.html?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_20131112&_r=0 Absolutely fascinating article in the New York Times abut the demolition of inner city areas throughout the States. The figures for population exodus are staggering. It reminds me of Drapeau`s slum clearance programme here. . What is it now? 50 years later? And we still have great swaths of abandoned land along Rene Levesque ouest. Our urban challenges seem fairly minor compared to some.
  7. by René Beauchamp 1970 1982 1982 (intruder alert!!!)
  8. Et mtlurb est mentionné!! http://www.lapresse.ca/le-soleil/maison/architecture/201305/30/01-4656123-les-murs-de-montreal-decortiques.php
  9. Localisation: René Lévesque (intersection Amherst et Wolfe) Étage: 6 Nombre d'appartement: Prometteur: Groupe Cartierville Clientèle: Référence: La Presse 14 nov 2009 Pas de photo disponible
  10. Launch of a love affair Ratings for Lévesque’s TV program sometimes hit an amazing 100 per cent by Daniel Poliquin on Thursday, September 24, 2009 10:20am - 0 Comments macleans.ca By the mid-1950s, Quebecers, like most other Canadians, had fallen in love with television. So overwhelming was the coup de foudre that although in some regions near the U.S. border only American broadcasts would come in, unilingual French Quebecers lapped it up anyway. Kids could be seen in the streets of small towns re-enacting their favourite show, The Adventures of Kit Carson, speaking in a made-up mumbo-jumbo language they believed was English. That was how it sounded to them anyway. Four out of five households in the province had a television set. And when the French-speaking people of Canada were all able to view locally made, francophone productions, they became a tight-knit virtual family, discussing at length the ending of the last sitcom or drama millions of others had watched, adopting as their own actors and actresses they had grown fond of, or, conversely, expressing unanimous hate for TV villains like Séraphin, the miser in the seemingly endless Les Belles Histoires des Pays d’En-Haut, which everybody watched. For good reason, too: there was only one French-language TV station; Radio-Canada’s monopoly ensured that all, and I mean all, francophones growing up in Quebec in the 1950s and 1960s shared a single TV culture. Lévesque was a regular commentator on current events programs, but he was mainly heard on the radio—until someone at Radio-Canada had the good sense to give him his own television show in October 1957. Here begins the legend of René Lévesque. The show was called Point de mire (Focal Point) and it was a 30-minute live broadcast first airing on Sundays at 11:15 p.m., and later, due to the show’s growing popularity, on Tuesdays at 10:30 p.m. For many, it was another coup de foudre. Here was this little man with the funny voice, equipped with a blackboard, a pointer, and maps, explaining the outside world to French-speaking Canadians, talking very fast but using only intelligible words. Let me paraphrase him: “Good evening. Thank you for joining me. Tonight, we are off to the Suez. It’s in Egypt, the land of the pharaohs that became mummies, you know, the land of the pyramids and the Sphinx. Here on the map is a canal, called Suez, built by French and British engineers in the last century. You can see here that it links up the Mediterranean and the Red Sea. So a very important route for international trade, because, thanks to the canal, ships stopped having to go all around the African continent to take their goods to the Orient, or the other way around. See?” (He would circle Africa with his pointer.) “Without Suez, the cup of tea from India you just had would cost you more because it would have to travel much farther. You follow me? Now, the Egyptians no longer have pharaohs. Egypt is now a republic, led by a man they call the Raïs—which means ‘president’ in Arabic—a man by the name of Nasser. So . . .” And on he would go. For many Quebecers with little schooling, Point de mire became their first window on the world. Not everybody watched, but those who did were enthralled, especially news junkies and all those hungry for knowledge. And in Duplessis’ Quebec, there were a lot of them. Thanks to the Radio-Canada monopoly, Lévesque’s ratings sometimes reached 100 per cent: a dream for any broadcaster and now an impossible feat, even on a day such as Sept. 11, 2001. To take the helm of Point de mire, Lévesque had had to give up his comfortable job as a broadcaster, with the guaranteed income, pension, and other benefits. But he was now earning $20,000 a year—more than any cabinet minister, provincial or federal. The real payoff, however, was instant celebrity. René Lévesque was now the star journalist who could explain the school desegregation in Little Rock, Ark.; the violent decolonization of Algeria; or the partition of Berlin and Cyprus. He could not walk the streets of Quebec without being accosted by adoring fans who would stop him to shake his hand and thank him. And he was more than loved; he was respected. In the words of novelist and social commentator Jacques Godbout, Lévesque was Quebec’s “first lay teacher.” Of course, the viewers did not see the man who never read his fan mail and never returned phone calls. Undisciplined but hard-working, incessantly feasting on magazines and newspapers in his smoke-filled office or at McGill’s nearby library to prepare for his weekly rendezvous with live television. Stressed out, as we would say today, but always focused. The badly dressed and unsuspected Lothario with doubtful hygiene who ate, talked, and smoked all at once, leaving a mess behind him all the time, driving like a madman in the streets in Montreal. Famous for his all-night poker playing, his chain-smoking; fond of sleeping late and seldom on time for appointments. Never at home, never where he was supposed to be. It was as though he was living three lives at the same time. During those years that he met Pierre Trudeau. The meeting took place in the Radio-Canada cafeteria, where artists and journalists congregated between assignments to talk and reshape the world in keeping with the fantasies and ideals in vogue. Trudeau was then a law professor and sometime TV commentator known for his scathing wit and erudition. He was well travelled, one of the few men in Canada who had visited China and reported on it. His Cité Libre was one of the very rare publications that dared to criticize Duplessis and public policy. Its circulation was of confidential proportions, but it was influential within the small, thinking elite of the era. The person who introduced them was journalist Gérard Pelletier, who was a friend of both Trudeau and Lévesque. For once, as Pelletier said later, Lévesque was not running, slowed down by the overflowing cup of coffee in his one hand and the stack of newspapers under his other arm. Pelletier motioned to him to come and sit down with him and the slightly balding man with the piercing blue eyes. He had wanted the two to meet for a long time. For the occasion, Trudeau put on his best snotty-nosed behaviour, complete with the French mid-Atlantic accent he had acquired at Montreal’s Jesuit-run Brébeuf College. Lévesque played the nonchalant TV star. This is how Pelletier remembers their conversation. I’ve added what I imagine must have been their internal dialogue in square brackets. Trudeau: Ah, the famous René Lévesque! How do you do? [Your Point de mire celebrity does not impress me at all, you should know that.] You speak well, sir, very well, but tell me something: can you write, too? Lévesque: Yes, but you know, writing takes time . . . [Don’t even think for a minute I would waste a second reading your Cité Libre . . .] Trudeau: Yes, you are right. You need time, and you also need to have ideas of your own, things to say, you know . . . [Watch out, buddy, I bite too.] The two were chalk and cheese from the get-go. They would meet again. From Extraordinary Canadians: René Lévesque by Daniel Poliquin. Copyright © Daniel Poliquin, 2009. Reprinted with permission of Penguin Group (Canada).
  11. MARCHÉ IMMOBILIER Plateau: le marché ralentit, les prix se maintiennent Publié le 7 janvier 2009 à 11:03:51 | Mis à jour à 13:26:22 La Presse Le marché immobilier du Plateau Mont-Royal montre des signes de ralentissement. «On sent que les acheteurs sont hésitants. Ils ont un peu plus de choix, font moins de compromis qu'au temps où les propriétés se vendaient en deux semaines», constate René Legault, directeur du Groupe Le Pailleur. «C'est moins un marché de vendeurs», dit-il. L'agent Pascal Atlan-Wallet du Groupe Sutton Immobia est très surpris que les prix se maintiennent, dans ce contexte. «La demande est là pour des cottages sur le Plateau, rénovés et de bon goût. En bas de 600 000$, ça se vend très bien», dit-il. Un cottage de 1800 pieds carrés qu'il a vendu 525 000$ en décembre 2007 vient d'être revendu 564 000$, douze mois plus tard, rue Garnier. Ces jours-ci, on peut trouver un cottage pour 425 000$ - à rénover, précise René Legault - et un appartement de deux chambres à coucher pour environ 225 000$, 275 000$ et plus si celui-ci a été rénové. Agrandir Agrandir La superficie habitable de l'appartement est de 1001 pieds carrés. Photo Alain Roberge, La Presse Toujours dans le Plateau, un condo coûte grosso modo de 250$ à 300$ le pied carré, estime Pascal Atlan-Wallet. Plusieurs variables déterminent bien sûr le prix, comme le voisinage, l'étage, la présence ou non d'une terrasse, d'un stationnement, le design... Un exemple? L'agent Pierre Viens, de La Capitale du Mont-Royal, demande 319$ le pied carré pour cet appartement situé rue de la Roche. Superficie habitable: 1001 pieds carrés. Outre sa localisation à 100 mètres de l'avenue du Mont-Royal, cette copropriété présente deux atouts «vendeurs»: un aménagement intérieur conçu par un professionnel, et une succession de fenêtres en forme de «V» arrondi. Orientées au sud, au sud-ouest et à l'ouest, ces fenêtres éclaircissent trois des cinq pièces. Les planchers craquent. L'immeuble date de 1900. C'est en 1995 que cet appartement, au deuxième, a été rénové. L'intérieur a été dessiné et aménagé par le designer Richard Bélanger. Deux cabinets sont encastrés au salon et dans la salle à manger. Le premier incorpore un plan de travail et une bibliothèque. Le deuxième, un vaisselier, est surmonté de deux spots encastrés au plafond. Son dosseret argenté et texturé réfléchit la lumière. Petite, la cuisine peut loger une petite table et deux ou trois chaises. Les deux chambres se trouvent du côté de la rue de la Roche. L'une d'elle a un balcon. Les fenêtres sont oscillo-battantes. La chambre principale possède une penderie. À noter: les portes sont pleine hauteur, mettant en valeur les neufs pieds et demi de plafond. Il y a un autre balcon, accessible de la cuisine, et un espace de stationnement via la ruelle. Ceux qui ne peuvent pas s'offrir le Plateau se tournent apparemment vers Villeray et La Petite-Patrie, incluant la Petite Italie. Mais pas Outremont, d'après l'expérience de René Legault: «Les gens (dans le Plateau) aiment ce style de vie-là, par exemple ceux qui n'ont pas de voiture et qui veulent un endroit pour leur bicyclette (...) même s'ils sont un peu plus tassés (qu'à Outremont).» La propriété en bref Prix demandé : 319 000 $ Évaluation municipale : 158 300 $ Nombre de pièces : 5 Salle de bains : 1 Impôt foncier : 1621 $ Taxes scolaires : 363 $
  12. René Khayat dirige le contentieux de 12 avocats du Cirque du Soleil, des juristes capables de jongler habilement avec les subtilités juridiques... Pour en lire plus...
  13. Un Centre des congrès ouvrira à Brossard Jean-François Ducharme - LE COURRIER DU SUD 20 septembre 2008 - 09:00 Économie - BROSSARD. Le Château Brossard, un centre de congrès et de réception pouvant accueillir 1200 personnes, ouvrira ses portes à l’automne 2009. Situé à quelques mètres du nouvel Hôtel Brossard, le centre permettra d’accueillir des événements corporatifs, des expositions, des salons, des foires ou des mariages. La demande était grande pour la construction d’un centre d’une telle ampleur sur la Rive-Sud. «Un an à l’avance, nous recevons déjà plusieurs réservations de salles pour l’an prochain», affirme le directeur général du Château Brossard et de l’Hôtel Brossard, René Duchesne. Quatre salles, deux étages Le Château Brossard, un investissement de 6 à 8 M$, comprendra quatre salles qui pourront se subdiviser au besoin, réparties sur deux étages. «Selon la situation, nous pourrons accueillir soit un événement de grande ampleur ou encore plusieurs petits événements», souligne le directeur général. Un restaurant sera également construit à l’intérieur. Le Château Brossard ne sera pas utilisé uniquement par les citoyens de l’agglomération de Longueuil. «Nous visons les marchés de Montréal, Québec et même des États-Unis, soutient René Duchesne. Nous avons d’ailleurs instauré un système de navette de l’Hôtel Brossard à l’aéroport de Saint-Hubert, pour faciliter le transport des visiteurs américains.» L’architecture du Château Brossard sera similaire à celle de l’Hôtel Brossard. L’hôtel, qui a ouvert ses portes en juillet dernier, a nécessité des investissements de 10 M$. Il comprend 138 chambres réparties sur trois étages. Brossard, pôle majeur La venue de ce Centre des congrès, combinée à l’émergence du Quartier Dix30, augmente encore davantage le poids économique de Brossard. «Brossard est maintenant un pôle d’attraction majeur, souligne René Duchesne. De plus en plus de gens veulent demeurer et travailler sur la Rive-Sud, parce qu’ils ont les mêmes services qu’à Montréal sans les inconvénients reliés à la circulation.» Le directeur général ne craint pas la concurrence des autres pôles de Brossard, ni la saturation du marché. «Nous avons développé une bonne complicité avec nos concurrents brossardois, précise-t-il. De plus, nous n’attirons pas le même type de clientèle.» L’Hôtel Brossard et le futur Château Brossard sont situés sur le boul. Marie-Victorin, près du boul. Rome. Hôtel Brossard
  14. Pierre Karl Péladeau mise gros sur Star Académie et son directeur invité René Angélil pour relancer les revenus de la division «loisir et divertissement» de Quebecor, qui ont chuté de 22% au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  15. «Avez-vous songé que nous passons le tiers de notre vie allongé sur un matelas? Il a donc tout intérêt à être confortable et durable», raconte Jacques René,. Pour en lire plus...
  16. 28 Janvier 2008 1600 René Lévesque Ouest-Standard Life
  17. Le lundi 23 avril 2007 La géothermie pourrait bientôt gagner du terrain au Québec puisque dès mai 2007, Hydro-Québec accordera des subventions au secteur résidentiel et aux promoteurs immobiliers pour la géothermie. Les détails seront annoncés plus tard, le temps de finaliser les modalités, précise une porte-parole de la société d'État. Au dernier Salon de l'habitation, le président de Forages Géopros a constaté une curiosité accrue du public. Son entreprise a réalisé les installations géothermiques de Benny Farm et du Zoo de Granby. «On a été surpris de voir à quel point les gens connaissaient la signification du mot géothermie, ce qui n'était pas le cas il y a quelques années», dit Jacques Lapointe, qui préside aussi l'Association des puits et pompes du Québec. En Europe, cela fait très longtemps que les avantages de la géothermie sont connus. Au-delà de trois mètres dans le sol, la température varie peu : 9 degrés en moyenne. On peut climatiser et chauffer une maison en récupérant cette énergie renouvelable non polluante. C'est le principe de la géothermie. Les avantages ? En plus d'être écologique, c'est silencieux, très durable et cela requiert peu d'entretien. Et cela ne dépare pas le bâtiment. Par contre, il faut s'éloigner d'au moins 15 ou 20 pieds de l'habitation (pour le forage) et éviter de faire pousser de la verdure par-dessus. En plus du forage, requis pour enfouir des tuyaux d'un pouce et quart de diamètre dans le sol, il faut installer une thermopompe géothermique. Équipée d'un élément électrique, celle-ci procure un chauffage d'appoint par temps très froid. Mais sa fonction première consiste à extraire la chaleur ou la fraîcheur du mélange eau-méthanol circulant dans les tuyaux et à la transmettre au système de ventilation de la maison. Climatisation douce «Cela produit une climatisation douce, confortable. Il n'y a pas de courant d'air glacé», constate René Lajeunesse, architecte de formation. Son système de géothermie est en fonction depuis un an. Le forage, dans sa cour arrière, à Montréal, a requis une journée de travail. Mais l'installation d'un tel système n'est pas donnée. Il faut prévoir de 25 000 $ à 30 000 $ si, comme René Lajeunesse, on doit remplacer ses calorifères par un système de chauffage central. Lui a payé 25 000 $, réalisant quelques économies en gérant lui-même les travaux - ce qu'il déconseille, à moins de connaître de quoi il en retourne. Le coût serait rentabilisé en 10-12 ans selon Jacques Lapointe, ou entre cinq et 12 ans selon l'installation, indique-t-on dans le site de la Société canadienne de l'énergie du sol (earthenergy.ca, en anglais). Facture mensuelle à la baisse La facture mensuelle d'Hydro de René Lajeunesse est passée de 350 $ à 250 $, pour une surface habitable de 3600 pi2 et un spa extérieur. «Pour une surface inférieure à 2500 pi2, cela ne vaut pas la peine d'installer la géothermie», dit-il. Selon la taille de la résidence, l'entrepreneur en forage calcule la profondeur et la longueur des tuyaux. Pour assurer une bonne conductivité, un coulis doit être introduit autour. «Depuis l'année dernière, nous propulsons le coulis à partir du fond pour que le travail soit mieux fait et éviter qu'il n'y ait des poches d'air. Mais surtout, nous voulons éviter de faire descendre toute autre chose au fond ! C'est comme une cheminée, cela pourrait contaminer la nappe phréatique», prévient M. Plante. Aucune réglementation n'existerait à cet égard. Conscience environmentale Pourquoi choisir la géothermie? René Lajeunesse cite l'augmentation du prix des sources d'énergie et une prise de conscience environnementale. La pompe circulatrice qui pompe le liquide dans les tuyaux fonctionne à l'énergie électrique. Quand on utilise 1 kW d'électricité pour faire fonctionner un tel système, plus de 3 kW d'énergie est retirée du sol, selon Équiterre.
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