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  1. Je sais qu'il y a un fil là dessus, mais je ne trouve pas!! SVP Vous joindre à la page Facebook pour appuyer la cause: https://www.facebook.com/Bars.Ouverts.6.du.matin Débordements à la sortie des bars: MC Mario propose une rencontre au sommet Publié le 15 octobre 2011 à 05h00 | Mis à jour le 15 octobre 2011 à 12h33 Vincent Larouche La Presse Les débordements à la sortie des bars ont souvent fait les manchettes au cours des derniers mois. Craignant lui-même la suspension de son permis d'alcool en raison d'une série d'incidents violents, le populaire DJ MC Mario croit que le moment est venu pour une rencontre au sommet entre tenanciers, policiers et élus afin d'échanger sur la gestion des fins de soirées bien arrosées dans la métropole. « À 3 h du matin, quand tout le monde sort, ça ressemble à l'équivalent d'un Centre Bell qui se vide... après une grosse partie en séries contre Boston », reconnaît Mario Tremblay, alias DJ MC Mario. Figure incontournable de la vie nocturne montréalaise avec ses trois millions d'albums vendus, le copropriétaire du Club 1234, rue de la Montagne, se serait passé de la publicité négative des derniers mois. Le 14 septembre, La Presse a révélé que son bar avait été convoqué devant la Régie des alcools à la demande de la police. De 2005 à 2010, les policiers y ont dénombré plus de 40 incidents violents : portiers frappés à coups de couteau, clients battus par des portiers, bagarres à coups de verre, de bouteille et de chaise, coups de feu, présence de membres de gangs de rue. Lorsque les audiences ont commencé devant la Régie cette semaine, d'autres médias se sont emparés de l'histoire. MC Mario ne croit toutefois pas que son établissement pose un problème particulier. « Presque tout le monde s'est déjà fait suspendre son permis. Mais souvent, c'est déguisé en rénovations. Nous, c'est tellement médiatisé qu'on aurait du mal à passer ça pour des rénovations », explique-t-il en entrevue à La Presse. Il souligne que d'autres reportages ont montré que les débordements à la sortie des bars ne sont pas l'affaire d'un seul tenancier. En septembre, une vidéo diffusée sur YouTube et reprise par plusieurs médias montrait une disgracieuse séance de brasse-camarade entre policiers et jeunes. Quelques jours plus tard, un reportage de La Presse a évoqué la tâche difficile des deux groupes d'intervention du Service de police de la Ville de Montréal qui sont dépêchés sur le boulevard Saint-Laurent les jeudi, vendredi et samedi soir pour gérer le flot des fêtards éméchés. MC Mario affirme que plusieurs des incidents retenus contre son bar se sont produits dans la rue. « Jamais je ne pourrais prétendre faire le shérif de la rue de la Montagne, même avec mon entreprise de sécurité », dit-il. Travailler en équipe Le vétéran des boîtes de nuit croit que le contexte actuel est propice à une remise en question. Toutes les parties concernées devraient se réunir pour discuter de la situation, suggère-t-il. « La question devrait être étudiée avec les policiers, la Ville et les représentants des bars, en équipe, pour arriver à des solutions », dit-il. Il dit ne pas avoir de solution toute prête, mais est prêt à partager son expérience. « Je connais des endroits en Europe qui ferment tardivement. Ils arrêtent par exemple de vendre de l'alcool à 3 h, mais les gens peuvent rester jusqu'à 6 h le matin. Ici, on peut le faire parfois quand la police est plus tolérante, comme au jour de l'An. Et on a moins de problèmes ces fois-là », dit-il. D'ici là, il espère que la Régie sera clémente à son endroit. La décision n'est pas pour demain. Plusieurs jours seront nécessaires pour débattre devant le tribunal de l'interminable liste d'incidents qui lui sont reprochés.
  2. Publié le 05 novembre 2010 à 16h57 | Mis à jour le 05 novembre 2010 à 16h57 LA PRESSE CANADIENNE MONTRÉAL Après des années d'intenses pressions, les restaurateurs ont finalement obtenu de la Régie des alcools qu'elle révise la loi qui encadre le commerce de la bière, du vin et des spiritueux. L'Association des restaurateurs du Québec (ARQ) espère maintenant que le processus se traduira par des allègements significatifs à un encadrement réglementaire qu'elle juge digne de l'«ère jurassique». L'ARQ souhaite notamment qu'on permette aux clients de repartir avec la bouteille de vin qu'ils ont achetée mais qu'ils n'ont pas bue au complet sur place, comme cela est possible en Ontario et dans plusieurs États américains. Selon l'ARQ, ce changement irait de pair avec l'intention du gouvernement Charest de faire passer de 0,08 à 0,05% le taux maximal d'alcool permis au volant. À l'heure actuelle, certains clients ont tendance à boire davantage qu'ils ne le devraient pour finir leur bouteille. Le regroupement demande également que la Régie clarifie la règle qui stipule que dans un restaurant, un client doit commander un repas pour pouvoir consommer une boisson alcoolisée. La loi actuelle ne précise pas ce qui constitue un repas, de sorte qu'un restaurateur a déjà été pris en défaut pour avoir servi de la bière à des policiers qui n'avaient commandé que des frites. Dans un jugement rendu en novembre 2006, la Cour du Québec a donné raison à ce restaurateur en statuant que la loi «n'est pas claire et apparaît équivoque». L'ARQ voudrait aussi repousser de 20 h à 21 h - ou même 22 h - l'heure à partir de laquelle les parents ne peuvent plus être accompagnés de leurs enfants sur une terrasse où l'on sert de l'alcool. Des touristes étrangers médusés ont déjà fait les frais de cette règle arbitraire. Les restaurateurs se demandent de plus s'il est encore nécessaire d'obliger la Société des alcools du Québec (SAQ) à apposer un «timbre de droit» sur chacune des bouteilles de vin qui leur sont destinées. Ce système coûte cher à la SAQ, et en cas d'erreur humaine, ce sont les restaurateurs qui écopent, soutient François Meunier, vice-président de l'ARQ. «On est allé sur la lune, on envoie des sondes sur Mars, mais on a encore un employé qui est obligé de mettre des petits collants sur des bouteilles pour que les inspecteurs puissent faire des vérifications», ironise-t-il. C'est sans compter qu'un règlement empêche les bars et les restaurants de profiter des rabais que la SAQ offre aux particuliers tout en leur interdisant de faire de la publicité à propos de leurs promotions sur les produits alcoolisés. Les restaurateurs aimeraient en outre qu'on modernise les articles de la loi qui les obligent à ouvrir une bouteille devant le client, même lorsqu'il s'agit d'une grande réception ou de la vente de vin au verre. «Apportez votre vin» chez St-Hubert? Par ailleurs, l'ARQ s'oppose à l'idée que les restaurants qui vendent de l'alcool puissent également permettre à leurs clients d'apporter leur vin ou leur bière. «On a réussi à créer une paix commerciale (en interdisant aux restaurants «Apportez votre vin» de vendre de l'alcool) et on souhaite que ça reste comme ça», explique François Meunier. La chaîne de rôtisseries St-Hubert évalue actuellement ce concept de «double vocation» et espère que la nouvelle loi permettra de l'implanter dans ses restaurants, indique une porte-parole, Josée Vaillancourt. La Corporation des propriétaires de bars, brasseries et tavernes du Québec a elle aussi ses revendications, notamment l'assouplissement de la règle voulant qu'il faut un permis d'alcool, au coût unitaire de 549 $ par année, pour chaque pièce d'un établissement. La Régie ne s'est pas fixée d'échéancier pour terminer son analyse. Après avoir consulté l'industrie, elle devra présenter son projet de réforme au ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil. «On ne peut pas présumer s'il va être d'accord ou non avec les propositions qu'on va lui faire», relève Colette Lépinay, porte-parole de la Régie. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/commerce-de-detail/201011/05/01-4339855-permis-dalcool-les-restaurateurs-demandent-des-allegements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS15 Je pense qu'on passe solidement à côté de la track ici, pourquoi ne pas demander que les salles peuvent rester ouverte après la limite arbitraire du 3am... ou mieux repousser le 3 am à 5-6 am.
  3. Quartiers huppés de Montréal - Des promoteurs contourneraient le moratoire sur les condominiums Le Devoir Bahador Zabihiyan Édition du mardi 19 mai 2009 Mots clés : Moratoire, Condominums, Comité Logement Centre-Sud, Montréal Certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions, ce qui permet de chasser plus facilement les locataires Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile, contestent leur éviction. Des failles existeraient dans le moratoire sur les condominiums permettant aux propriétaires de se débarrasser des locataires et de mettre leurs logements rénovés sur le marché à des prix beaucoup plus élevés, notamment dans les secteurs huppés du centre-ville, d'après Éric Michaud, du Comité Logement Centre-Sud. Les règles pour construire des condominiums étant trop sévères, certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions. Or, les locataires sont moins bien protégés lorsque leur immeuble devient une copropriété de ce type. «Quand on convertit un immeuble en condos, on ne peut plus faire d'agrandissements, on ne peut plus faire de travaux majeurs, il y a des garde-fous. Or, comme ce type de conversion-là [copropriété par actions] n'est pas encadré, les propriétaires peuvent faire tout ce qu'ils veulent», affirme M. Michaud. Ce dernier décrit le procédé comme une conversion en condominium «déguisée». «C'est un danger pour la protection du parc locatif», rajoute-t-il. Selon lui, environ 500 logements, principalement situés au centre-ville, seraient aujourd'hui concernés par des conversions en copropriété par actions. Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile au 3475, rue de la Montagne, ont même engagé un avocat afin de porter l'affaire devant la Régie du logement, après avoir contacté sans succès la Ville de Montréal et le ministère des Affaires municipales et du Logement. Les locataires étaient au tribunal de la Régie du logement la semaine dernière. Ils demandaient notamment au propriétaire de mieux les dédommager pour leur éviction. Ils souhaitent aussi que ce dernier leur verse des dommages et intérêts pour les nuisances engendrées par les travaux importants entrepris dans l'immeuble depuis deux ans. En effet, le propriétaire, Casperdiny IFB Realty Inc., a décidé d'y effectuer des travaux majeurs notamment en combinant des petits appartements afin d'en faire des plus grands logements, qui sont par la suite vendus entre 137 000 $ et 575 000 $ environ, ou loués pour des loyers situés entre 1100 $ et 2000 $ par mois, d'après le site Web de la compagnie et les publicités publiées dans plusieurs quotidiens montréalais. Or, le propriétaire n'aurait pas pu entreprendre des travaux, ni se débarrasser des locataires aussi facilement si le projet était un condominium et non une copropriété par actions. Joanne Dolan habite au Club Sommet depuis une vingtaine d'années et refuse de quitter son logement. Elle estime qu'il devrait y avoir un moratoire sur les copropriétés par actions. «Si on avait une conversion en condominium, les locataires et leurs baux seraient protégés par la Régie du logement contre les évictions et les travaux dans l'immeuble, jusqu'à ce qu'ils décident de partir. On devrait avoir le même type de moratoire pour les copropriétés», constate Mme Dolan, avant de retourner dans la salle devant le juge pour défendre sa cause et répondre aux questions de l'avocat du propriétaire. Un procédé bien connu La copropriété par actions est un procédé bien connu de l'Association des courtiers et agents immobiliers du Québec (ACAIQ) qui le présente, sur leur site Internet, comme un bon moyen de contourner le moratoire sur la construction des condominiums mis en place en 2001. «Ce mode d'acquisition immobilière, surtout présent dans les grandes villes, a notamment été développé pour contourner les difficultés liées aux restrictions à la conversion d'immeubles locatifs en propriété divise [condominium]. La détention d'action avec droit d'usage d'un appartement peut, en pratique, présenter des similarités avec la copropriété divise d'un immeuble», peut-on lire sur le site de l'ACAIQ. Les investisseurs n'achètent pas un appartement, mais des actions dans la société qui possèdent l'immeuble. Ces actions leur donnent ensuite droit à un logement. Lors de la conversion d'un immeuble en condominium, les locataires déjà présents peuvent continuer à occuper leur logement et renouveler leurs baux autant de fois qu'ils le veulent. De plus, le propriétaire ne peut y effectuer des travaux majeurs jusqu'à ce que les locataires quittent les lieux. Thomas Robert Reiner, dont la compagnie Asta Corporation Inc. gère le projet au nom de Casperdiny, ne cache pas qu'il aurait «sauté sur l'occasion» si la Ville l'avait laissé construire des condominiums au Club Sommet. Il estime que l'immeuble, «composé aux trois quarts de petites unités de types, logements étudiants», n'est pas financièrement viable. «Dans ce riche quartier du Golden Square Mile, il faut faire des unités de 800, 900, 1000, 1100 pieds carrés pas 400», remarque-t-il. De plus, il affirme qu'il n'a «aucun retour sur investissement» à l'heure actuelle, car les loyers du Club Sommet sont trop faibles. Enfin, d'après M. Reiner, il est plus facile de financer un projet de condominium qu'un projet de copropriété par actions. C'est donc par défaut qu'il a opté pour un projet de copropriété par actions. Mais il estime avoir tout fait pour aider les locataires à trouver un nouveau logement, notamment en leur payant des mois de loyer gratuit et des frais de déménagement. «D'ailleurs, la grande majorité ont accepté de partir», constate-t-il. La Régie devrait rendre sa décision vers la fin de l'année. Mais d'autres projets de conversion en copropriété par actions sont en cours. Ted Pearson était présent à l'audience à la Régie du logement, jeudi dernier. Lui n'habite pas au Club Sommet, mais dans les appartements d'Embassy Row, avenue du Docteur-Penfield. Mais M. Pearson estime qu'il risque fort de se faire chasser de son logement. «Il y a une conversion en copropriété [par actions] là-bas aussi», dit-il, avant que l'audience ne reprenne. http://www.ledevoir.com/2009/05/19/251067.html (19/5/2009 18H14)
  4. La Régie de l'énergie accorde à Hydro-Québec une augmentation de 1,2% de ses tarifs à partir du 1er avril prochain, ce qui constitue une hausse globale de 18,2 % de ses tarifs depuis 6 ans. Pour en lire plus...
  5. La Régie de l'énergie étudie à partir de lundi la demande d'Hydro-Québec d'augmenter de nouveau ses tarifs de 2,2% en moyenne. Pour en lire plus...
  6. Hydro-Québec avait songé à abaisser les tarifs 5 septembre 2008 - 06h30 La Presse Hélène Baril Peut-être pour faire mieux passer son augmentation de tarifs en 2006, Hydro-Québec avait laissé miroiter que le coût de l'électricité baisserait à court terme, soit en 2008 et en 2009, des baisses qui ne sont jamais matérialisées. En 2008, les tarifs d'électricité ont augmenté de 2,9% plutôt que de baisser de 1,6% comme le prévoyait Hydro dans les documents déposés à la Régie de l'énergie. En 2009, plutôt qu'une baisse de 1,3%, c'est une augmentation de 2,2% que les consommateurs devront supporter si la Régie accepte la requête d'Hydro. Ce changement de cap n'est pas passé inaperçu chez ceux qui suivent de près les présentations d'Hydro-Québec devant la Régie de l'énergie et qui avaient hâte de voir les justifications de cette nouvelle hausse des tarifs, la septième depuis cinq ans. Depuis le dégel des tarifs, en 2004, Hydro-Québec a justifié toutes ses hausses de tarifs principalement par l'obligation d'acheter de l'énergie sur le marché à des prix plus élevés afin de répondre à une demande croissante. Hydro se retrouve depuis deux ans avec des surplus considérables parce qu'elle a surestimé la demande d'électricité au Québec. Elle n'a plus besoin d'acheter de l'électricité à prix élevés. Quant à sa rentabilité, elle n'a jamais été aussi bonne. Cette fois, Hydro explique donc que, pour se conformer à des normes comptables qui seront en vigueur en 2011, elle doit radier des éléments d'actifs dont la durée de vie est expirée. C'est la principale justification de la hausse de 2,2% qui pourrait s'appliquer le 1er avril prochain. Ça ressemble beaucoup à un prétexte, selon Luc Boulanger, porte-parole de l'Association des consommateurs industriels d'électricité, qui regroupe les entreprises qui consomment le plus d'électricité au Québec. «Ce qu'on comprend, c'est qu'Hydro a jugé qu'il y avait de la place pour une augmentation de tarifs et qu'ils ont trouvé cette raison comptable pour la justifier», a-t-il commenté. Les autres sources d'énergie, comme le gaz naturel et le pétrole, ont en effet beaucoup augmenté depuis l'an dernier. «Est-ce que c'est dans le meilleur intérêt des consommateurs de se conformer avant le temps à des changements comptables qui seront en vigueur en 2011? C'est ce que nous avons demandé à nos experts d'examiner», a ajouté M. Boulanger. La façon de procéder d'Hydro est jugée habile par le porte-parole de l'Union des consommateurs, Charles Tanguay. «On ne peut pas déchirer notre chemise avec une hausse de 2,2%, a-t-il dit. En plus, les subtilités comptables ne sont pas à la portée de tout de monde.» Les spécialistes en énergie de l'Union des consommateurs dissèquent actuellement la requête tarifaire d'Hydro, en prévision des audiences publiques de la Régie de l'énergie qui se tiendront plus tard l'automne prochain. Normal Du côté d'Hydro, un porte-parole explique qu'il est normal que des baisses prévues se transforment en hausse ou l'inverse. «Les documents déposés à la Régie sont des prévisions, faites au meilleur de notre connaissance au moment où ils sont déposés. Ce ne sont pas des engagements», a expliqué Marc-Brian Chamberland. Dans la requête qu'elle vient de déposer, Hydro prévoit qu'au cours des prochaines années, les tarifs d'électricité augmenteront chaque année au rythme de 2% par année. Aucune baisse à l'horizon.
  7. La direction d'Hydro-Québec Distribution a déposé une demande auprès de la Régie de l'énergie pour hausser une nouvelle fois ses tarifs à compter du printemps 2009. Pour en lire plus...
  8. La hausse de 3¢ du litre d'essence imposée par la Régie de l'énergie entre en vigueur mardi. La Régie souhaite ainsi protéger les commerçants indépendants de la concurrence de Costco. Pour en lire plus...
  9. À Saint-Jérôme comme ailleurs au Québec, les prix de l'essence n'ont jamais été aussi élevés. Mais ils sont trop bas, selon la Régie de l'énergie. Pour en lire plus...
  10. Hydro-Québec prépare une nouvelle hausse des tarifs d'électricité. La requête sera présentée d'ici le début du mois d'août devant la Régie de l'énergie. Pour en lire plus...
  11. Montreal Croupiers Take Electronic Poker Table Battle to Court by PokerPages.com Mon, Jan 28th, 2008 @ 12:00am Three unions representing 1,450 croupiers at Quebec area casinos lodged a request with Quebec Superior Court to force the board that regulates gambling in the province, the Regie des alcools des courses et des jeux, to address complaints that the 25 automated electronic Texas Hold'em poker tables installed Jan. 18 at the Montreal Casino are illegal. The croupiers, who have been without a contract since Dec. 21, 2006, are in ongoing discussions with the Societe des casinos du Quebec. The croupiers say the tables are illegal and charmless. The PokerPro tables, made by PokerTek, a North Carolina USA-based company, do not meet Quebec's legal requirement that slot machines be pure games of chance, said Jean-Pierre Proulx, a spokesperson for the croupiers union, affiliated with the Quebec Federation of Labour. Proulx maintains that poker has a large element of strategy as well as chance, so should not be treated the same as a slot machine. The union has been waiting for a ruling from the Regie on the legality of the machines. 43 Electronic Tables Already Installed Besides the 25 automated poker tables installed at the Montreal, 13 have been installed at Lac Leamy in Gatineau and 5 in Charlevoix. According to Vito Casucci, a spokesman for Pokertek, the machines can deal 50 per cent faster than human dealers, allowing customers to spend their money faster. The union is concerned that casino staff may consequently lose their jobs and that the new poker rooms represent a trend toward more electronic games. According to a union spokesperson, the Regie has steadfastly refused to meet with them or confirm that a complaint against the introduction of the dealer-free machines has been lodged. The union filed a complaint with Quebec's alcohol and gaming regulator Dec. 7, arguing that the absence of a human dealer makes the tables illegal under Quebec law. "We are asking the court to make a ruling that the Regie has to meet with us," union spokesperson Jean-Pierre Proulx said. "They have not responded to our demands, they put our lawyer on hold and said they have no file of our complaint. Technically, the Regie is not doing their job." He said the croupiers' unions, affiliated with the Quebec Federation of Labour and representing workers from Montreal, Gatineau and Charlevoix, complained to the Regie twice in December and twice this month. Regie spokesperson Rejean Theriault said receipt of the complaints was acknowledged but the situation could not be analyzed until the machines were opened Jan. 18. "It's like investigating a murder when there's no body," Theriault said. http://www.pokerpages.com/poker-news/news/montreal-croupiers-take-electronic-poker-table-battle-to-court--30339.htm
  12. 21 août 2007 À partir de l'analyse d'un échantillon de locataires rencontrés ce printemps, le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) constate que les locataires montréalais ont reçu des demandes moyennes d'augmentation de loyer de 4,4 %, lors de la dernière période de renouvellement des baux. Certains secteurs ou arrondissements de Montréal s'en tirent mieux. Ce qui n'est toutefois pas le cas pour l'arrondissement de Mercier – Hochelaga-Maisonneuve, où la hausse moyenne est de 4,7 %. Différents facteurs peuvent expliquer cette différence : la disponibilité des loyers dans le secteur, l'état des logements, les services de proximité, etc. À noter que dans la grande majorité des cas de l'échantillonnage étudié, le chauffage est à la charge des locataires et leurs logements n'ont pas subi de réparations majeures. Pour ces situations, en absence de variation des taxes foncières, l'indice d'ajustement des loyers, publié par la Régie du logement en janvier dernier, était de 0,8 %. Selon la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), entre 2000 et 2006, le coût du loyer d'un logement de deux chambres à coucher a bondi de 25 % dans la région de Montréal. « Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer, précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. La ministre des Affaires municipales et des Régions, Nathalie Normandeau, a en main diverses solutions pour corriger le travail de la Régie du logement. » En l'absence d'un registre des baux, certains propriétaires en auraient profité pour hausser considérablement le coût de leur loyer. Pour contrer cette situation, le RCLALQ encourage les locataires qui déménagent à « passer leur bail » à ceux qui emménagent afin de leur donner la possibilité d'exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n'avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l'ensemble du Québec. Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n'a pas été complétée. Cependant, si cette section est dûment remplie, les locataires ne disposent que de 10 jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. « Comme souvent la section G demeure incomplète, l'entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l'absence d'un registre des baux », conclut M. Trépanier.
  13. Presse Canadienne 04/07/2007 Le coût moyen des logements a augmenté d'un peu plus de 4 pour cent à Montréal et Québec. Le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec a sondé des locataires et constate que les locataires de Montréal ont reçu de leur propriétaire des demandes moyennes d'augmentation de loyer de 4,4 pour cent lors de la dernière période de renouvellement des baux. Dans la grande majorité des cas de l'échantillon étudié, le chauffage était aux frais des locataires et les logements n'avaient pas subi de réparations majeures. L'indice d'ajustement des loyers de la Régie du logement était de 0,8 pour cent. Selon les cas recensés à Québec, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,2 pour cent. Citant la Société canadienne d'hypothèque et de logement, le regroupement rappelle que de 2000 à 2006, le coût des logements a augmenté de 25 pour cent dans la région de Montréal et de 23 pour cent dans la région de Québec. Selon le porte-parole du regroupement, André Trépanier, il ne fait pas de doute que l'actuelle intervention de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer.
  14. La Presse Le jeudi 28 juin 2007 La Grande Bibliothèque n'aura pas à payer un seul sou pour les clôtures qui l'encerclent. Par bon voisinage, l'arrondissement de Ville-Marie fait une croix sur la somme d'un million et demi de dollars que lui doit l'institution du boulevard De Maisonneuve. Les fameuses clôtures, qui monopolisent le trottoir depuis un an et demi, servent à éviter qu'une lame de verre de la bibliothèque n'assomme un passant. En janvier dernier, la Grande Bibliothèque (GBQ), avait proposé d'installer des marquises et des bacs à fleurs pour régler le problème. Un projet de 500 000$. Mais l'arrondissement, qui avait demandé une expertise externe, avait jugé l'idée non sécuritaire, et refusé de délivrer un permis. Une décision qui a mis le feu aux poudres. La direction de la GBQ, qui a douté de la bonne foi de Ville-Marie, a demandé un avis à la Régie du bâtiment. Un avis qui se fait toujours attendre. Le chargé de communication de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée, a expliqué, hier, que les élus ont jugé qu'il valait mieux ne pas facturer la Bibliothèque en attendant l'avis. Mais il n'a pas manqué de rappeler que le service d'incendie de Montréal avait appuyé Ville-Marie dans sa décision. «Nous agissons pour la sécurité du public, a dit M. Lavallée. Et il faut se souvenir que nous étions d'accord avec l'installation de filets de protection pour remplacer les clôtures de sécurité.» Au mois de mai dernier, la directrice de la Grande Bibliothèque, Lise Bissonnette, s'était indignée publiquement contre la facture de 38 000$ par mois imposée pour les clôtures. Une somme qui menaçait d'amputer son budget de fonctionnement et de programmation, disait-elle. Jointe hier, la directrice des communications de la GBQ, Hélène Panaïoti, a indiqué que l'institution avait un permis d'occupation du domaine public jusqu'au 31 juillet. Elle n'était pas au courant de la décision de l'arrondissement. «Vous comprendrez que je ne peux pas commenter une décision dont nous n'avons pas été informés. Mais il est exact de dire que nous n'avons pas reçu de facture pour les clôtures», a-t-elle dit. Essais techniques De son côté, la Régie du bâtiment affirme que des essais techniques ont été menés, il y a un mois, pour évaluer le projet de marquises et de bacs à fleurs. «Nous posons plusieurs questions aux experts de la Bibliothèque, notamment sur les matériaux utilisés, explique Christine Grant, porte-parole de la Régie. Il y a une bonne collaboration. Mais il m'est impossible, à ce moment-ci, de dire quand l'avis sera déposé.» La décision de Ville-Marie de ne pas facturer la GBQ pour les clôtures va réjouir les commerçants du centre-ville, croit pour sa part André Poulin, directeur de Destination Centre-Ville, qui représente 8000 entreprises. «Il est normal de sévir contre les mauvais clients corporatifs, explique-t-il. Mais pas contre les propriétaires qui font preuve de bonne volonté. Je pense que les frais sont de toute façon exagérés pour une institution gouvernementale. Et que d'une façon ou d'une autre, ils sortent des poches des contribuables.» Moins de risquesDix lamelles de verre de la Grande Bibliothèque se sont détachées depuis son ouverture, en avril 2005. Une expertise a démontré que plus le temps avance et plus les risques de chute diminuent. «Mais avant de clamer la fin du phénomène, il ne serait pas surprenant de voir, durant les prochaines années, quatre ou six lamelles additionnelles se briser», indique par ailleurs une expertise de CPA verre structurel, commandée par l'arrondissement de Ville-Marie. Les clôtures qui entourent la Grande Bibliothèque servent à éviter qu'une lame de vere qui se détache ne blesse en passant.
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