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  1. Le français en progression dans le monde Mise à jour le mardi 12 octobre 2010 à 11 h 58 Le nombre de francophones est en constante augmentation dans le monde, selon une vaste étude de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Cette enquête internationale révèle que c'est en Afrique que le français affiche ses progrès les plus importants. Selon le rapport intitulé La Langue française dans le monde 2010, on estime actuellement à 220 millions le nombre de personnes capables de lire et d'écrire en français dans le monde. Ces données ne tiennent cependant pas compte des millions de personnes capables de parler et de comprendre le français sans toutefois savoir le lire et l'écrire. Selon le rapport de l'OIF, au moins 70 millions des 220 millions de francophones répertoriés dans le monde vivent en Afrique subsaharienne. Si on ajoute à ce chiffre tous les francophones du Maghreb (nord de l'Afrique), c'est plus de la moitié des francophones qui vivent actuellement en Afrique. Un demi-milliard de francophones africains La croissance des populations francophones africaines est telle que selon les experts consultés, en 2050, neuf francophones sur dix proviendront du continent africain. Bref, dans 40 ans, l'Afrique comptera plus d'un demi-milliard de francophones. Cette croissance du français en Afrique est directement liée aux progrès de la scolarisation dans cette partie du monde, ont constaté les chercheurs. Le rapport donne l'exemple du Burkina Faso et du Mali où, en 25 ans, le nombre de personnes capables de lire et d'écrire le français en Afrique a été multiplié par cinq. En Afrique subsaharienne, l'enseignement du français a bondi de 19 %, et en Afrique du Nord de 13 % entre 2007 et 2010, rapporte l'étude de l'OIF. Compte tenu de la situation, des efforts importants de scolarisation doivent être entrepris en Afrique pour conserver et faire fructifier ces acquis. Et pour ce faire, la compétence des maîtres est cruciale, souligne l'OIF. Selon Clément Duhaime, administrateur de l'OIF, à Paris, il faudra plus de 2 millions de nouveaux professeurs en Afrique subsaharienne seulement au cours des 5 à 10 prochaines années pour répondre à la demande. Outre l'Afrique, l'enseignement du français a également progressé au Moyen-Orient (+13 %) ainsi qu'en Asie et en Océanie (+6 %) au cours des trois dernières années. Recul du français en Europe et en Amérique Alors qu'il explose en Afrique, le français perd du terrain en Europe et en Amérique. Sur le continent américain, l'enseignement du français comme langue étrangère a accusé un faible recul de 1 % au cours des trois dernières années. En Europe, toutefois, il a reculé de 17 % au cours de la même période. Recul et concentration des francophones au Canada Au Canada, le rapport de l'OIF a aussi noté un recul du français. Selon le rapport, le nombre de personnes dont la langue maternelle est le français est passé de 27 % à 22 % au Canada, de 1971 à 2006. Les chercheurs ont également noté une concentration des populations de langue française au Québec et près de ses frontières. Le rapport souligne aussi la faible proportion de Canadiens hors Québec qui ont le français comme seconde langue, soit 7 % en 2006. Le français en bonne position sur le web Sur Internet, le français fait bonne figure en dépit de la nette domination de l'anglais (45 % des pages). Selon le rapport de l'OIF, le français arrive au troisième rang, derrière l'Allemand, au chapitre de la création de nouvelles pages Internet. Le français fait partie des 15 langues parlées dans le monde qui ont plus de 100 millions d'usagers. Le français a un statut officiel dans 29 pays et trois gouvernements. Les données recueillies dans cette étude ont été compilées par 40 chercheurs d'une quinzaine de pays en collaboration avec plusieurs organismes internationaux et universités. L'Université Laval, à Québec, l'Institut statistique de l'UNESCO, l'Agence universitaire de la francophonie et l'Agence américaine pour le développement international (USAID) ont notamment collaboré à cette vaste enquête commandée en 2008 par l'Organisation internationale de la francophonie. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/10/12/001-francophonie-stat-monde.shtml
  2. Le PIB du Québec a crû de 0,8 % en octobre 25 janvier 2010 | 12h51 LA PRESSE CANADIENNE Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a augmenté de 0,8 % en octobre, indiquent les données publiées lundi par l'Institut de la statistique du Québec. Pendant le même mois, la croissance dans l'ensemble du Canada avait été de 0,2 %. Cette augmentation du PIB québécois fait suite au recul de 0,3 % survenu en août et à une hausse de 0,1 % en septembre. En octobre, les industries productrices de biens ont augmenté leur production de 2,1 %, alors que la production des industries productrices de services s'est accrue de 0,3 %.
  3. L'économie québécoise poursuit son déclin Olivier Schmouker . les affaires.com . 26-11-2009 L'agriculture est en partie responsable du déclin. Photo : Bloomberg. Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a regressé de 0,3% en août, portant le recul à 2% sur les huit premiers mois de l’année, selon l’Institut de la statistique du Québec. Depuis le début de 2009, le Québec n’a enregistré qu’une seule hausse du PIB, de 0,6% en juin. En 2008, la croissance de l’économie avait atteint un taux de 1,3% au Québec. Qu’est-ce qui a aggravé le déclin de l’économie québécoise à la fin de l’été? La décroissance de la production des industries productrices de biens, qui s’est chiffrée à 0,6%. Les pertes proviennaient de l’industrie de la fabrication (– 1,2%), de celle de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse (– 1,2%) ainsi que de celle des services publics (– 0,4%). Toutefois, la production de l’industrie de l’extraction minière, pétrolière et gazière et celle de la construction se sont appréciées respectivement de 4,1% et de 0,6%. De leur côté, les industries productrices de services ont vu leur production diminuer de 0,2% en août. C’est leur quatrième recul depuis le début de 2009. Les industries à l’origine du repli sont celle de l’information et de la culture (– 1%), celle des services professionnels, scientifiques et techniques (– 0,7%) et celle de la finance et des assurances, des services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (– 0,1%).
  4. Mauvaise surprise: le Canada a perdu 43 000 emplois 6 novembre 2009 | 07h04 Mise à jour: 6 novembre 2009 | 07h43 L’économie canadienne a perdu 43 200 emplois en octobre, après deux mois de croissance modérée. Les données publiées par Statistique Canada démontrent toutefois qu'il s'agit essentiellement d'emplois à temps partiel. Sous l'effet de cette baisse, le taux de chômage a augmenté de 0,2% pour s'établir à 8,6%. Les chiffres vont surprendre les économistes, qui tablaient sur une création de 10 000 emplois et un taux de chômage de 8,5%. Le Québec s'en est mieux tiré, avec une création de 1400 emplois. Il s’est détruit 22 500 emplois à temps partiel dans la province, en même temps qu’il s’en est créé 23 900 à temps plein. Au Québec toujours, le taux de chômage a reculé de 0,3% pour s'établir à 8,5%. Statistique Canada explique ce recul par une contraction de la population active. Depuis un an, le nombre de travailleurs a diminué de 62 000 ou -1,6 % au Québec. Il s'agit d'un taux de repli inférieur à la moyenne nationale, qui est de -2,3 %. Au pays, le recul de l'emploi en octobre s'est surtout manifesté dans les commerces de détail et de gros, dans les «autres services» et dans les ressources naturelles. Ces pertes ont été partiellement compensées par la hausse de l'emploi dans le transport et l'entreposage. Le nombre d'employés dans le secteur privé et dans le secteur public a diminué, et ce recul a été tempéré par la croissance du travail indépendant. Le fléchissement de l'emploi en octobre s'est entièrement manifesté chez les femmes adultes âgées de 25 ans et plus et chez les jeunes de 15 à 24 ans. Le chômage à la hausse en Ontario En octobre, l’Ontario a encaissé une hausse du taux de chômage de 0,1% qui s’établit maintenant à 9,3%. La situation de l’emploi y est moins reluisante qu’au Québec, alors qu’il s’est perdu 15 200 emplois à temps partiel pour une création de seulement 3200 à temps plein.
  5. Ralentissement économique Recul de 1,4% du PIB du Québec au cours du dernier trimestre de 2008 27 mars 2009 - 13h02 La Presse Canadienne QUEBEC -- Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a diminué de 1,4 pour cent au quatrième trimestre de 2008, sur une base annualisée et ajustée pour éliminer l'effet des saisons. Pour l'année 2008 dans son ensemble, comparativement à 2007, le PIB du Québec a crû de 1,0 pour cent. En 2007, la croissance avait été de 2,6 pour cent. En comparaison, pour l'ensemble du Canada, au quatrième trimestre, l'économie a enregistré une baisse annualisée de 3,4 pour cent. Toujours pour l'ensemble du pays, en 2008, une croissance 0,5 pour cent a été enregistrée par rapport à l'année précédente. En 2007, la croissance avait été de 2,7 pour cent au Canada. Tant au Québec qu'au Canada, la diminution du taux de croissance annuel du PIB provient de la baisse des exportations et aussi du ralentissement de la demande intérieure finale, a indiqué vendredi l'Institut de la statistique du Québec. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2009/03/20090327-130203.html
  6. La construction résidentielle plonge * Denis Lalonde, lesaffaires.com * 10:08 Les mises en chantier se font de plus en plus rares au Québec. Photo: Bloomberg La construction résidentielle a fortement ralenti au Québec en février selon les plus récentes données de la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL). L’organisme soutient que 1 438 habitations ont été mises en chantier durant le mois de février au Québec dans les centres de 10 000 habitants et plus, comparativement à 2 794 il y a un an. Il s’agit d’un plongeon de près de 50%. Cette diminution est plus importante que celle qui avait été observée en janvier. «L'importante régression du nombre de logements vendus sur le marché de la revente au cours des derniers mois traduit bien le contexte actuel. Le recul des mises en chantier n'est donc guère surprenant. Le niveau d'activité enregistré en février 2008, qui est historiquement élevé, a d'ailleurs contribué à l'ampleur du recul observé au même mois cette année», affirme Kevin Hughes, économiste régional à la SCHL, dans un communiqué. L'affaiblissement de la construction résidentielle en février a touché tant le segment des maisons individuelles (-41%) que celui des logements collectifs (-51%). Alors que l'activité était en hausse à Gatineau (de plus de 100 %), Québec (+40 %) et Sherbrooke (+13 %), des baisses étaient enregistrées à Saguenay (-86 %), Montréal (-63 %) et Trois-Rivières (-49 %). http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-03-09/490243/la-construction-reteacutesidentielle-plonge.fr.html (9/3/2009 13H05)
  7. Miné par la baisse de ses ventes et sa participation dans Chrysler, le groupe allemand constructeur des célèbres Mercedes-Benz annonce un recul de 65% de ses bénéfices nets en 2008. Pour en lire plus...
  8. Les ventes de véhicules neufs au Canada, en baisse depuis septembre 2008, ont fléchi de près de 15% en décembre dernier. Pour en lire plus...
  9. Au cours du mois de décembre, la balance commerciale du Canada a littéralement fondu passant d'un surplus de 1,2 milliard de dollars à un déficit de 458millions, du jamais vu au pays depuis 1976. Pour en lire plus...
  10. La construction recule de 13% au Québec Publié le 09 février 2009 à 09h21 | Mis à jour à 10h18 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) L'industrie de la construction connaît encore des ennuis liés à la récession, comme en témoigne le recul de 13% enregistré dans les mises en chantier en janvier. Selon les données que publie la Société d'hypothèque et de logement ce matin, 2021 nouvelles maisons ont commencé à lever de terre.Il y a un an, 2330 mises en chantier ont été répertoriées. Janvier est toutefois stable si l'on compare cette période à décembre. La baisse de janvier est presque généralisée mais dans la région de Sherbrooke, les mises en chantier ont doublé. Dans le secteur des maisons individuelles, le recul est de 25%. Les difficultés touchent toutes les régions sauf Sherbrooke. En sens inverse, la copropriété est en hausse comparativement à janvier 2008. Le logement collectif se porte aussi mieux que la maison traditionnelle, la baisse se limitant à 9% le mois dernier. Une baisse prévisible Les chiffres sont généralement négatifs mais il ne faut pas s'en surprendre, dit la SCHL. «Le recul, ainsi que son ampleur, était attendu et concorde avec notre prévision», résume Kevin Hughes, économiste principal pour le Québec au sein de cette société fédérale. Dans l'ensemble du Canada, la situation n'est guère plus rose. Les mises en chantier ont plongé de 11% à 18 700 unités, le plus faible niveau depuis le début de 2001. Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne, croit que toutes les conditions étaient là pour causer une diminution. «Après tout, écrit-il dans une note aux investisseurs, le marché du travail perd des plumes, les ménages sont moins confiants depuis cet automne, et Ottawa a resserré les règles du jeu en abolissant les hypothèques avec une période d'amortissement de 40 ans et aucune mise de fonds.» Il ne faut pas s'attendre à une amélioration soudaine dans le secteur, avertit M. Lavoie. «Même si les taux hypothécaires pourraient baisser encore au cours des prochains mois en raison d'une réduction de taux anticipée à la Banque du Canada, ce ne sera pas suffisant pour compenser tous les autres facteurs négatifs qui nous semblent plus prépondérants dans l'ensemble.» Ainsi, ajoute l'économiste, «le nombre de mises en chantier passera de 47 825 unités en 2008 à 38 000 unités en 2009, soit une baisse anticipée de 20,5 %. La descente devrait se poursuivre en 2010 avec un recul additionnel de 8% (35 000 unités).»
  11. Le Québec est en récession, estime Desjardins Éric Desrosiers Édition du vendredi 06 février 2009 La crise s'annonce moins grave qu'en 1991 Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le Québec est probablement en récession depuis le mois de novembre, estime le Mouvement Desjardins. Ce recul de l'économie devrait durer au moins jusqu'à l'été, mais s'annonce moins grave que la dernière crise, il y a 18 ans. Les statistiques officielles sur le produit intérieur brut (PIB) pour le mois de novembre au Québec ne seront pas connues avant le 25 février. Les plus récentes données sur le marché du travail, la consommation, le secteur immobilier, les exportations et les marchés financiers permettent cependant de conclure que l'économie québécoise a déjà commencé à se contracter, a affirmé hier le Mouvement Desjardins, au moment de dévoiler la plus récente lecture de son Indice précurseur. Ces statistiques donnent en effet à penser qu'après avoir fait du surplace en octobre, le PIB réel a reculé en novembre de 0,5 % à 1 %. «Ce recul devrait marquer officiellement le début de la récession au Québec», a noté Hélène Bégin, économiste senior de l'institution financière. Il faudra toutefois patienter encore quelques mois, a-t-elle dit, pour avoir une idée plus précise de l'ampleur de la récession. Pour le moment, l'économiste a dit s'attendre à un recul de 0,5 % du PIB réel pour l'ensemble de l'année 2009, soit une baisse relativement modeste en comparaison de la dernière, qui avait été de - 2,7 % en 1991. Sombres statistiques Faisant la synthèse de plusieurs statistiques économiques, l'Indice précurseur Desjardins (IPD) a fléchi de 0,8 % au mois de décembre. Cette baisse était la troisième consécutive, le mois d'octobre ayant accusé un premier recul de 0,5 %, et le mois de novembre une autre chute de 0,7 %. Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le marché du travail a aussi reculé, avec 7400 pertes d'emplois en décembre qui ont fait grimper le taux de chômage de 7,2 % à 7,3 %. «D'autres mises à pied sont attendues d'ici le printemps, a prévenu Hélène Bégin, ce qui fera grimper le taux de chômage autour de 8,5 %.» La chute du nombre de transactions sur le marché immobilier a amené, jusqu'à présent, une stabilisation du prix des maisons, a observé l'économiste. Mais «une détérioration plus importante de la conjoncture économique risque de provoquer une situation de surplus qui pourrait entraîner des baisses de prix». Après les 11 premiers mois de 2008, les exportations québécoises accusaient un retard de 3,6 % par rapport à la même période l'année d'avant. À voir la gravité de la crise aux États-Unis, la situation continuera à se dégrader. Dans l'espoir d'aider la reprise économique, la Banque du Canada a déjà réduit son taux directeur à un niveau jamais vu de 1 %. «Étant donné l'assombrissement des perspectives économiques au pays et le repli de l'inflation, une autre diminution est prévue en mars», a annoncé Hélène Bégin.
  12. La Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada a haussé jeudi son dividende de 10 pour cent malgré un recul de son bénéfice net, Pour en lire plus...
  13. Constatant un recul beaucoup plus élevé que prévu de l'activité économique canadienne au dernier trimestre, la Banque du Canada ne prévoit pas de relance économique avant l'été prochain. Pour en lire plus...
  14. La Bourse de Toronto a mal entrepris la semaine, perdant du terrain en raison du recul des cours pétroliers, qui ont nui au secteur de l'énergie. Pour en lire plus...
  15. Les bourses mondiales suivent la tendance à la baisse de mercredi, surtout en Asie, alors que la Banque centrale européenne doit se pencher sur ses taux directeurs. Pour en lire plus...
  16. Les ventes de cognac ont accusé un recul de 6,2% en 2008 par rapport à 2007, après six années consécutives de croissance. Pour en lire plus...
  17. Voilà que les liquidations de janvier des détaillants souffrent du recul de la popularité des cartes-cadeaux. Pour en lire plus...
  18. Le marché de l'emploi moribond en décembre 9 janvier 2009 - 07h04 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le secteur de la fabrication, qui a perdu 130 000 postes en 2007, a vécu une année 2008 beaucoup moins pénible. Seuls 32 000 emplois ont été retranchés La crise économique continue d'avoir des effets négatifs sur l'emploi au pays, avec un recul constaté de 34 000 postes pendant le mois de décembre. Selon les données que Statistique Canada a publiées à 7h, il s'agit d'un deuxième recul consécutif pour le marché du travail canadien. C'est bien pire que le recul de 20 000 emplois attendu par les économistes sondés par l'agence Bloomberg. Le piètre mois de décembre s'explique surtout par la déroute du travail à temps plein, où 71 000 postes se sont volatilisés. La majeure partie de ces pertes se trouve au Québec et en Alberta. Par contre, le travail à temps partiel a gagné 36 000 emplois dans l'ensemble du pays. En décembre, le taux de chômage a grimpé de 0,3 point à 6,6%, soit 0,8 point de plus que le creux historique du début de 2008. Les économistes prévoyaient 6,5%. Au Québec, le chômage a monté de 0,2 point à 7,3%. L'agence fédérale indique que le marché est en pleine décélération à plus long terme. Ainsi, la croissance de l'emploi de décembre 2007 à décembre 2008 est de 0,6% ou 98 000 postes. C'est un taux carrément maigrichon comparativement à celui de 2,2% enregistré il y a un an. Le secteur privé a connu une vraie débandade avec un recul de 59 000 emplois tandis que le secteur public embauchait, créant 21 000 postes. C'est surtout dans la construction que décembre a fait des dégâts: 44 000 emplois ont été perdus. Statistique Canada souligne que les mises en chantier ont atteint leur niveau le plus faible en sept ans, ce qui est loin d'aider la cause de ces travailleurs. En transport et entreposage, l'emploi a monté de 23 000, ce qui efface la baisse de novembre. Bilan d'une année de crise Si l'on fait le bilan de 2008, il faut noter que les services aux entreprises, ceux relatifs aux bâtiments et les autres services de soutien ont drôlement souffert. L'emploi a tombé de 5,9% dans ce domaine. L'information, la culture et les loisirs sont aussi touchés par la crise, le travail y ayant diminué de 4,2%. En agriculture, c'est un recul de 3,5% qui est comptabilisé. Par contre, la construction a connu une hausse annuelle de 4,7% tandis que les soins de santé ont monté de 3,7% et que les administrations publiques comptaient 3,5% plus d'employés. Le secteur de la fabrication, qui a perdu 130 000 postes en 2007, a vécu une année 2008 beaucoup moins pénible. Seuls 32 000 emplois ont été retranchés. La baisse en Ontario a été contrebalancée en partie par des hausses au Québec et en Alberta. La Saskatchewan a gagné le championnat de la création d'emplois en 2008, avec une croissance de 3,1%. Le Manitoba se trouve au deuxième rang avec une hausse de 1,7%. Au Québec, c'est la stabilité qui a prévalu. The national unemployment rate was 6.6 per cent in December. Here's what happened provincially (previous month in brackets): -Newfoundland 13.7 (13.7) -Prince Edward Island 11.8 (10.7) -Nova Scotia 8.2 (7.8) -New Brunswick 8.6 (8.7) -Quebec 7.3 (7.1) -Ontario 7.2 (7.1) -Manitoba 4.3 (4.2) -Saskatchewan 4.2 (3.7) -Alberta 4.1 (3.4) -British Columbia 5.3 (4.9) The national unemployment rate was 6.6 per cent in December. Statistics Canada also released seasonally adjusted, three-month moving average unemployment rates for major cities but cautions the figures may fluctuate widely because they are based on small statistical samples. (Previous month in brackets.) -St. John's, N.L. 7.2 (7.6) -Halifax 5.3 (5.2) -Saint John, N.B. 6.6 (6.1) -Saguenay, Que. 7.6 (7.3) -Quebec 4.0 (4.3) -Trois-Rivieres, Que. 6.5 (6.6) -Sherbrooke, Que. 6.7 (6.5) -Montreal 7.5 (7.5) -Gatineau, Que. 4.4 (4.7) -Ottawa 4.5 (4.7) -Kingston, Ont. 4.4 (4.7) -Toronto 7.2 (7.0) -Hamilton 6.9 (6.5) -Kitchener, Ont. 7.7 (6.5) -London, Ont. 7.2 (6.9) -Oshawa, Ont. 7.8 (7.8) -St. Catharines-Niagara, Ont. 8.8 (8.2) -Sudbury, Ont. 5.5 (5.7) -Thunder Bay, Ont. 6.6 (5.7) -Windsor, Ont. 10.1 (10.1) -Winnipeg 4.5 (4.6) -Regina 3.6 (3.6) -Saskatoon 4.0 (4.1) -Calgary 3.9 (3.7) -Edmonton 3.6 (3.6) -Abbotsford, B.C. 5.5 (5.2) -Vancouver 4.7 (4.4) -Victoria 3.6 (3.3) A quick look at December unemployment (previous month in brackets): Unemployment rate: 6.6 per cent (6.3) Number unemployed: 1,209,100 (1,162,000) Number working: 17,110,800 (17,145,200) Youth (15-24 years) unemployment: 12.9 (12.3) Men (25 plus) unemployment: 5.8 per cent (5.6) Women (25 plus) unemployment: 5.0 per cent (4.7)
  19. La crise économique continue d'avoir des effets négatifs sur l'emploi au pays, avec un recul constaté de 34 000 postes pendant le mois de décembre. Pour en lire plus...
  20. Le crédit à la consommation aux États-Unis a reculé en novembre de 3,7% en rythme annuel, enregistrant ainsi sa plus forte baisse depuis janvier 1998. Pour en lire plus...
  21. Les ventes de voitures se détérioreront encore 8 janvier 2009 - 09h16 Presse Canadienne Les ventes de véhicules continueront de fléchir de façon notoire au Canada durant le premier semestre de 2009 pour ensuite afficher de meilleurs résultats en seconde moitié d'année. Un rapport à cet effet de l'économiste en chef de la Banque Scotia, Carlos Gomes, prévoit que pour l'ensemble de l'année qui débute, la baisse des ventes s'établira à environ 8%. En 2008, la déclin s'est élevé à 5%, un premier recul depuis 2001. Carlos Gomes estime que les mesures mises de l'avant par les banques centrales de plusieurs pays du monde, de même que les incitatifs financiers autorisés et soutenus par les gouvernements, contribueront éventuellement à une stabilisation des ventes de véhicules. M. Gomes rapporte que celles-ci ont décliné de 21% le mois dernier par rapport à décembre 2007.
  22. Il y a eu 8669 faillites au Canada en novembre, soit environ 800 - ou 8,4% - de moins qu'en octobre. Pour en lire plus...
  23. Le département américain du Commerce rapporte un recul de 4,6% en novembre, soit près du double du déclin de 2,5% attendu par les économistes. Pour en lire plus...
  24. Faisant face à un recul de ses ventes aux États-Unis de 37%, le constructeur japonais Toyota va suspendre la production de toutes ses usines au Japon pendant 11 jours, en février et mars prochains. Pour en lire plus...
  25. La crise financière et boursière a coûté plus d'un milliard de dollars en perte de valeur au Fonds de solidarité FTQ, l'équivalent de 15% en quelques mois. Pour en lire plus...
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