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  1. Il n'y a pas qu'ici où l'on doit se battre pour "sauver" notre langue. ------------------------------------- Publié le 25 février 2010 à 11h26 | Mis à jour à 11h57 Sprechen Sie Deutsch? L'Allemagne défend sa langue Richard Carter Agence France-Presse Berlin Halte au «Denglish»: l'Allemagne lance jeudi une campagne pour la défense de sa langue face à un tsunami d'anglicismes qui déferle sur la patrie de Goethe. La campagne est menée par le ministre des Affaires étrangères Guido Westerwelle, pour qui «l'allemand est le langage des idées» et «la langue la plus parlée en Europe». «C'est la langue maternelle de plus de 100 millions de personnes» en Allemagne, en Autriche, en Suisse, au Luxembourg, et dans certaines régions d'Italie, de Belgique et des Pays-Bas, souligne le ministre. «Nous voulons donner envie au jeunes d'apprendre l'Allemand», a-t-il annoncé. La campagne marque à la fois une réaction à l'emprise croissante de l'anglais et une résurgence de la fierté nationale allemande, longtemps étouffée par les retombées de la seconde guerre mondiale. La dernière édition du Duden, le «Larousse» allemand, recensait en juillet 5 000 nouveaux mots, pour beaucoup adaptés directement de l'anglais. Les Allemands peuvent ainsi officiellement avoir «le Babyblues», ou se rendre à un «After-Show-Party». Dans le monde des affaires, nombre d'entreprises allemandes demandent désormais que leurs employés parlent anglais lors de séminaires, y compris en Allemagne. Et l'anglais a même fait son entrée discrète au sein de la justice allemande. Un tribunal administratif à Cologne autorise les entreprises à plaider en anglais, en dépit des stipulations de la constitution allemande qui prévoit que «la langue des tribunaux est l'allemand». Des députés allemands se plaignent ouvertement du recours de plus en plus fréquent à l'anglais, ou plutôt à un mélange d'allemand et d'anglais, le Denglish. «Des millions d'Allemands ne savent pas vraiment ce qui se passe et sont obligés de deviner car de nombreux produits, publicités et consignes sont distribués dans une langue étrangère», a affirmé la député chrétienne-démocrate Erika Steinbach. L'Association pour la défense de la langue allemande (VDS) s'est félicitée de la croisade de M. Westerwelle dont le ministère finance en partie les quelque 300 millions d'euros alloués annuellement à l'Institut Goethe pour l'enseignement de l'allemand. L'Institut, dont le budget est en nette augmentation depuis plusieurs années, dispose ainsi de 136 instituts dans 91 pays étrangers où l'an dernier quelque 184 000 personnes apprenaient l'allemand. La campagne pour la défense de l'allemand arrive à point «parce que l'anglais s'impose dans de nombreuses taches qui se faisaient auparavant en allemand», assure Holger Klatte, une porte-parole de la VDS. «On a recours a plus de mots anglais en Allemagne que dans n'importe quel autre pays européen», ajoute-t-elle. Mais l'offensive allemande est déjà en route. Ainsi, la semaine dernière, la compagnie allemande des chemins de fer a annoncé renoncer aux anglicismes qui pimentent ses annonces et publicités, en réponse aux critiques d'usagers et de députés. Les mots «hotline» (renseignements téléphoniques), «flyer» (brochure), et «counter» (guichet) seront désormais bannis, tandis que le service «call-a-bike» (location de vélo à la gare) sera assorti d'une explication en allemand. En revanche, les expressions «Bahn-card» (carte de transport) et «Inter-city» (trains grandes lignes) seront maintenues. Et le ministre des Transports, Peter Ramsauer, du parti social-chrétien bavarois, a récemment interdit le recours aux anglicismes au sein de son ministère, bannissant notamment les «task forces» (groupes de travail), «travel management» (bureau de voyage), et autres «inhouse meetings» (séminaires).
  2. Le délai pour déposer un recours contre le plan de restructuration du constructeur ayant expiré, GM pourrait émerger de la faillite et repartir sur de nouvelles bases dès vendredi. Pour en lire plus...
  3. Chrysler se protège de ses créanciers Publié le 30 avril 2009 à 09h00 | Mis à jour à 09h49 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) Tel que le réclamaient les autorités, le constructeur automobile Chrysler va demander la protection des tribunaux afin de se restructurer, pouvant ainsi éviter la faillite. La Maison-Blanche a annoncé ce matin que l'entreprise aura recours au chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Le président Barack Obama devrait confirmer le tout devant les médias à midi.La protection judiciaire permettra à Chrysler de faire le ménage au sein de ses activités, au lieu de se faire démanteler par environ 45 créanciers à qui elle doit 6,9 milliards de dollars US. Les médias italiens ont rapporté plus tôt dans la journée que Chrysler s'est entendue avec le constructeur italien Fiat pour que ce dernier prenne une participation de 35%. Les deux entreprises avaient jusqu'à aujourd'hui pour boucler ce partenariat. Le Wall Street Journal rapportait cette semaine que dans le cadre du marché avec Fiat, le syndicat United Auto Workers raflerait une participation de 55% dans Chrysler. Les créanciers, notamment des banques, et les autorités américaines hériteraient des 10% restants. Le recours à la loi sur les faillites était imminent car Chrysler avait jusqu'en fin de journée pour déposer un plan de relance. Le Trésor américain espérait que les créanciers acceptent une révision à la baisse à 2,25 milliards de la dette du constructeur. Ils ont finalement dit non. L'administration Obama a joué un rôle important dans la décision, ayant fait savoir qu'une restructuration avec la protection des tribunaux était la meilleure solution pour Chrysler. Le 30 mars dernier, Barack Obama donnait 30 jours à Chrysler pour préparer sa restructuration et s'entendre avec Fiat, lui fournissant temporairement du capital afin de survivre. Washington laissait entendre qu'une fois ces objectifs atteints, il pouvait allonger 6 milliards de dollars US de prêts. Ce plan de match avait été lancé après des consultations avec les gouvernements canadien et mexicain. «Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas et nous ne laisserons pas disparaître notre industrie automobile. Ce secteur est comme aucun autre un emblème de l'esprit américain et un symbole passé comme avenir de la réussite de l'Amérique», déclarait le président Obama il y a un mois. Il avait cependant averti qu'«il y a des emplois qui ne pourront être sauvés et des usines qui ne rouvriront pas» et que «des choix difficiles» devront être faits.
  4. Le géant de la distribution de billets de spectacles et d'événements sportifs a vendu des billets à des prix plus élevés via une de ses filiales. Il a accepté de payer 300000$ à l'État du New Jersey et fait face à un recours collectif au Canada. Pour en lire plus...
  5. Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers 17 février 2009 - 09h44 ARGENT Dette de 1,7G$ US - Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers La société de casinos Trump Entertainment Resorts Inc. (TRMP) s’est placée mardi sous la protection de ses créanciers en vertu du Chapitre 11 de la loi sur la faillite. La requête était largement anticipée, après que le président et fondateur de l’entreprise, le flamboyant Donald Trump, eut quitté son siège au conseil d’administration la semaine dernière. Sa fille, Ivanka Trump, avait aussi démissionné. La société avait raté une échéance de paiement d’intérêts au montant de 53,1M$ le 1er décembre dernier, alors que les clients se font plus rares dans les établissements. Les détenteurs d’obligations ont poussé la société à avoir recours au chapitre 11, ce que ne voulait pas M. Trump. La dette de la société de casinos se chiffrait à environ 1,74G$ US le 31 décembre dernier, en comparaison avec des actifs de 2,1G$ US, selon l'agence Reuters. Donald Trump a affirmé que la compagnie représentait moins d’un pour cent de sa valeur nette, et que cet investissement n’avait plus de valeur pour lui. Trump Entertainment Resort Holdings avait déjà eu recours au chapitre 11 en 2004, pour en sortir une année plus tard avec M. Trump au poste de chef de la direction.
  6. Les dirigeants de la compagnie se sont rencontrés à Toronto, mardi soir, pourenvisager d'avoir recours à la Loi sur les arrangements avec les créanciers. Pour en lire plus...
  7. L'entreprise a annoncé jeudi avoir conclu un accord à l'amiable pour régler des recours en justice en nom collectif à la suite d'une épidémie de listériose qui avait eu pour origine une de ses usines de production. Pour en lire plus...
  8. Le conglomérat allemand a été condamné pour avoir eu recours à la corruption afin d'obtenir des contrats. Pour en lire plus...
  9. Un cabinet d'avocats de London a déposé une poursuite en recours collectif de 550 millions $ au nom d'investisseurs canadiens contre la compagnie d'assurance américaine American International Group. Pour en lire plus...
  10. Un juge a écarté hier une requête de l'Autorité des marchés financiers (AMF), visant à suspendre jusqu'au 21 novembre le recours collectif des investisseurs de Norbourg. Pour en lire plus...
  11. Le recours est fait au nom de tous les détenteurs de cartes de crédit ayant fait des achats à l'étranger avec leurs cartes, entre 2000 et 2007. Pour en lire plus...
  12. Cette fois, une somme de 78,6 M$ est réclamée de la Caisse de dépôt et placement du Québec pour les quelque 9200 personnes qui avaient investi dans les fonds Évolution. Pour en lire plus...
  13. Floué par Vincent Lacroix dans ce scandale financier, l'investisseur Réal Ouimet veut récupérer son argent en poursuivant la Caisse de dépôt et de placement. Pour en lire plus...
  14. La Cour supérieure du Québec vient d'autoriser un premier recours collectif contre une banque concernant les pénalités de remboursement anticipé de prêts hypothécaires. Pour en lire plus...
  15. La nature exacte du recours en justice prévu par le CN n'a pas été précisée, mais il porte sur la d'acheter Elgin, Joliet & Eastern auprès de U.S. Steel au coût de 300 M$. Pour en lire plus...
  16. La banque américaine fait l'objet de plusieurs actions de groupe et d'enquêtes des régulateurs dans le cadre de la vente d'obligations ARS qui ont valu des recours en justice à UBS et Merrill Lynch. Pour en lire plus...
  17. Un groupe d'investisseurs veut intenter un recours collectif alors qu'ils accusent l'institution d'avoir manqué de transparence quant à son exposition aux «subprime». Pour en lire plus...
  18. Le cours des actions de l'entreprise a chuté de près de 15 % depuis que l'entreprise a été accusée d'avoir omis de prévenir les investisseurs au sujet de problèmes de production, le mois dernier. Pour en lire plus...
  19. Sont visés par ce recours de l'AMF, Vincent Lacroix, les cabinets en épargne collective Groupe Futur et Norbourg Capital et 13 de leurs représentants impliqués dans la distribution des fonds Norbourg. Pour en lire plus...
  20. Comment devient-on membre d'un recours collectif? «On ne demande pas à être inscrit», répond Me Stéphanie Poulin, responsable des services juridiques à Option consommateurs. Pour en lire plus...
  21. «Le Québec est le paradis du recours collectif», entend-on, pour signifier qu'ils sont trop facilement autorisés et trop nombreux. Pour en lire plus...
  22. Le recours déposé par le cabinet d'avocats Siskinds est exercé par deux investisseurs découle de prévisions financières faites le 2 août 2007 et corrigées le 29 avril dernier. Pour en lire plus...
  23. Les consommateurs n'entendent pas à rire. Déjà deux recours collectifs concernant les cartels des prix de l'essence ont été déposés hier en Cour supérieure. Pour en lire plus...
  24. Un avocat a déposé une requête en Cour supérieure pour obtenir le droit d'intenter un recours au nom des automobilistes victimes de la fixation des prix de l'essence. Pour en lire plus...
  25. Une demande de recours collectif a été déposée vendredi matin, à Québec, contre les pétrolières impliquées dans la fixation des prix de l'essence à la pompe. Pour en lire plus...
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