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  1. Économie québécoise Les ministres Bachand et Gignac se font rassurants Agence QMI 11/08/2011 11h34 QUÉBEC – Le gouvernement du Québec ne s’en fait pas pour l’économie de la province, malgré la croissance anémique aux États-Unis et en Europe, et les secousses boursières partout sur la planète. «L’économie québécoise va bien», a affirmé le ministre des Finances Raymond Bachand lors d’un point de presse jeudi matin à Québec. Il a mentionné que les prévisions de croissance 2 % pour cette année «sont maintenues», mais qu’il faudra réviser les chiffres pour l’an prochain en raison des nuages qui s’accumulent dans le ciel économique un peu partout dans le monde. Raymond Bachand a souligné que le taux de chômage est près d’un creux historique dans la province et que les investissements et la consommation demeurent soutenus. Les exportations se maintiennent, selon le ministre des Finances. Il a affirmé que cette bonne performance est notamment due au plan de contrôle de la dette qui prévoit un retour à l’équilibre budgétaire en 2013-2014. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, s’est toutefois dit «préoccupé par la situation américaine», mais il a rappelé que le «boom en Asie nous aide». Les deux ministres ont souligné qu’il faut faire la distinction entre la bourse et l’économie. Selon eux, l’économie peut croître malgré des chutes boursières. Rendement de la Caisse de dépôt et placement Le ministre Bachand ne s’est pas montré préoccupé à propos du rendement de la Caisse de dépôt et placement. «Je n’ai pas d’inquiétudes sur le rendement de la Caisse de dépôt», a-t-il dit. Selon lui, les dirigeants du bas de laine des Québécois ont adopté «un plan de gestion du risque costaud» qui le protège davantage de la volatilité boursière qu’en 2008, lors de la dernière crise financière mondiale. La Caisse doit divulguer ses résultats pour les six premiers mois de l’année plus tard en août.
  2. Finances publiques Bachand convie les Québécois à une «révolution culturelle» La Presse Canadienne Sylvain Larocque 22/02/2010 16h00 MONTRÉAL - Les nombreuses hausses de tarifs que concocte le gouvernement de Jean Charest pour retrouver l'équilibre budgétaire s'inscriront dans le cadre d'une «révolution culturelle», rien de moins, a prévenu lundi le ministre des Finances, Raymond Bachand. Dans une allocution prononcée à la tribune du Conseil du patronat, M. Bachand a évoqué non seulement des augmentations de tarifs, mais également de nouvelles ponctions. Selon lui, les Québécois doivent réfléchir à chacun des services offerts par l'Etat, se demander quels coûts il est «juste» que la collectivité assume et ce qui devrait revenir aux utilisateurs. Le ministre a donné l'exemple des motocyclistes, qui payent plus cher leur permis de conduire pour tenir compte du coût plus élevé des soins de santé qu'ils font porter, en moyenne, au gouvernement. Il a également salué le sens des responsabilités des chasseurs du Québec, qui ont réclamé plus de services de l'Etat tout en acceptant de payer davantage pour leurs permis. A un mois du dépôt de son budget, Raymond Bachand s'est montré peu bavard sur ce que le document contiendrait. On sait que Québec veut réduire ses dépenses de 3,9 milliards $ par année d'ici 2013-14. M. Bachand s'est dit peu enclin à augmenter les impôts des particuliers et des entreprises, soulignant qu'une telle décision ferait plus de mal à l'économie qu'une hausse de la TVQ, déjà prévue pour le 1er janvier 2011.
  3. Bachand veut des fonctionnaires plus productifs Publié le 04 septembre 2009 à 06h51 | Mis à jour le 04 septembre 2009 à 06h54 Sylvain Larocque La Presse Canadienne, Montréal Afin d'aider le gouvernement du Québec à revenir au déficit zéro d'ici 2014, les fonctionnaires devront accroître leur productivité, a prévenu jeudi le ministre des Finances, Raymond Bachand. «Maintenir les services quand on a moins d'argent veut dire que tous ensemble, employés et gestionnaires, nous devons trouver les moyens d'accroître notre efficacité dans la façon de livrer ces services», a déclaré M. Bachand à la tribune du Cercle de la finance internationale de Montréal. «Défendre nos valeurs et nos services, oui, mais (il faut aussi) accepter de remettre en question les façons de faire désuètes et inadaptées, mises en place lorsque l'abondance perçue des ressources nous confortait dans un environnement de productivité faible et d'absence de débats et de remises en question», a soutenu le ministre. Raymond Bachand a en outre affirmé qu'en plus des fonctionnaires, tous les Québécois allaient devoir «s'entraider, faire (leur) part, y compris (leur) part de sacrifices et de solidarité financière». En point de presse, M. Bachand a assuré qu'il n'était pas question de diminuer le nombre de fonctionnaires, mais plutôt de les faire travailler «mieux». Il a donné comme exemple le réaménagement des chirurgies de la cataracte, qui a permis de multiplier les interventions sans faire travailler les employés davantage. Des discussions sur le sujet auront lieu prochainement avec les différents syndicats qui représentent des employés de l'Etat, a-t-il indiqué. La présidente du Syndicat de la fonction publique du Québec, Lucie Martineau, s'est dite surprise des propos du ministre, d'autant plus que celui-ci n'est pas directement responsable des fonctionnaires. «C'est encore alimenter des préjugés, a-t-elle lancé au cours d'un entretien téléphonique. On dit encore qu'on va couper dans les vaches sacrées, mais où sont les vaches sacrées?» Selon elle, Québec a davantage coupé dans les services aux citoyens que dans le nombre de gestionnaires au cours des dernières années. Scandales financiers Par ailleurs, dans la foulée des scandales financiers de l'été, M. Bachand a lancé un appel à la vigilance aux professionnels du secteur, plus particulièrement les conseillers en placement, les notaires, les avocats, les comptables et les dirigeants d'institutions financières. A la demande de Québec, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a récemment convoqué les représentants de plusieurs ordres professionnels afin de faire passer le message. Le gouvernement se préoccupe plus particulièrement du sort des personnes âgées qui confient la gestion de leur patrimoine à des proches ou à des tiers. «Tous les gens qui sont susceptibles, dans leur travail, de voir des mandats d'inaptitude, qui se font donner des procurations et qui voient des choses bizarres, inquiétantes, on veut essayer de regrouper tout ce monde-là pour voir comment on peut mieux s'aider ensemble pour aider la population», a expliqué le président-directeur général de l'AMF, Jean St-Gelais, qui assistait au discours de Raymond Bachand. Dans l'affaire Earl Jones, un prétendu conseiller administratif accusé d'avoir fraudé des dizaines de petits investisseurs de plusieurs dizaines de millions de dollars, on a reproché à la Banque Royale (TSX:RY) d'avoir mal supervisé le compte en fidéicommis des clients. M. St-Gelais n'a pas voulu commenter cet aspect du dossier. Le ministre Bachand n'a pas exclu d'apporter de nouvelles modifications législatives ou réglementaires pour mieux encadrer l'industrie financière. Mais dans un premier temps, Québec doit annoncer cet automne une série de mesures pour «intensifier» son action dans le domaine. Enfin, au sujet de l'ampleur du déficit de l'exercice 2009-10, M. Bachand a précisé qu'il ne s'attendait pas à des «surprises majeures» lors de la mise à jour économique de l'automne, même si la Banque Laurentienne prévoit que le gouvernement dépassera d'au moins 500 millions $ la prévision de 3,9 milliards $ comprise dans le dernier budget.
  4. Raymond Chrétien doute qu'Obama veuille renégocier l'ALENA 17 janvier 2009 - 11h08 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Malgré ses promesses électorales, Barack Obama n'ouvrira pas l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), selon l'ancien ambassadeur Raymond Chrétien. Le nouveau président américain profiterait ainsi de sa première visite officielle à l'étranger au Canada dans quelques semaines afin de rassurer le premier ministre Harper au sujet de l'ALENA. «Oubliez la renégociation de l'ALENA. «En privé, M. Obama va probablement dire à M. Harper qu'il a dit qu'il voulait renégocier l'ALENA durant la campagne électorale en Ohio et au Michigan, mais qu'il est conscient que c'est impossible car on l'a informé des conséquences pour l'économie américaine. (...) Les Américains n'achètent pas chez nous pour nos beaux yeux. Ils le font parce que ça sert leurs intérêts», dit M. Chrétien, qui fut ambassadeur du Canada à Washington de 1994 à 2000. Les primaires L'ALENA a failli faire dérailler la campagne de Barack Obama durant les primaires démocrates. En février dernier, un de ses conseillers a informé des diplomates canadiens que son patron n'avait vraiment pas l'intention de renégocier l'ALENA contrairement au discours qu'il tenait devant les électeurs. L'affaire est parvenue aux oreilles des médias canadiens par le biais du chef de cabinet du premier ministre Harper, Ian Brodie, qui s'est échappé lors d'une conversation à bâtons rompus avec des journalistes lors du huis clos du dernier budget fédéral. M. Brodie a dû démissionner de son poste de chef de cabinet du premier ministre. Même si l'avenir de l'ALENA ne semble pas en danger, l'administration Obama pourrait être tentée de retourner à un plus grand protectionnisme économique sous l'influence du Congrès démocrate. "Il y a un danger pour nous: que le nouveau Congrès démocrate passe des lois susceptibles d'aider l'économie américaine. Un ralentissement Les élus du Congrès vont être moins chauds sur le libre-échange. Il y aura un ralentissement, sinon un arrêt, du processus de libéralisation économique. «Heureusement pour le Canada, nous avons déjà l'ALENA», dit M. Chrétien, conseiller stratégique du cabinet d'avocats montréalais Fasken Martineau depuis sa retraite du corps diplomatique fédéral en 2004. Même si la question de l'ALENA devait ne pas être à l'ordre du jour de la première rencontre officielle Obama-Harper, l'ancien ambassadeur est convaincu que les leaders canadien et américain discuteront surtout d'économie. «Ils discuteront de l'état de l'économie nord-américaine, dit M. Chrétien. Peut-être même que M. Obama va vouloir en savoir davantage sur le système bancaire canadien. Si j'étais M. Harper, je lui décrirais les avantages de ce système qui a fait ses preuves.» Autre point à l'ordre du jour de la rencontre Obama-Harper: la frontière canado-américaine. «Les Américains prennent toutes leurs décisions à travers le prisme de la sécurité, dit M. Chrétien. Ils ne vont pas cesser d'être fermes mais ils seront peut-être plus compréhensifs afin de rendre la frontière plus fluide pour les échanges commerciaux.» Une cérémonie suivie Raymond Chrétien suivra avec attention la cérémonie d'investiture de Barack Obama mardi à Washington, lui qui a participé à celle de Bill Clinton en 1996 comme ambassadeur du Canada. Selon Raymond Chrétien, l'homme le plus important pour l'économie canadienne au sein de l'administration Obama est le représentant au Commerce (U.S. Trade Representative), Ron Kirk. Ancien maire de Dallas, il est un fidèle de la première heure de Barack Obama. «Ce poste n'est pas le poste le plus visible mais c'est le plus important dans l'administration américaine pour les Canadiens, dit M. Chrétien. Le représentant au Commerce s'occupe des dossiers de nature commerciale comme le bois d'oeuvre. Il doit suivre les instructions de l'administration mais aussi surtout des membres influents du Congrès.»
  5. Judge nixes bid to halt Montreal renovation LES PERREAUX From Tuesday's Globe and Mail December 16, 2008 at 3:48 AM EST MONTREAL — The owners of a Westmount house with a million-dollar view will have to give up a slice of their panorama. A judge has refused an attempt by the couple in the affluent Montreal enclave to stop a neighbour from adding a fourth storey and cutting into their spectacular view of the city below. Mr. Justice Robert Mongeon of Quebec Superior Court ruled Steven Goldberg is entitled to raise the roof on his house at 27 Bellevue Ave., even if it cuts into the sight line of his neighbours up the hill. Mireille Raymond and her husband, John Keyserlingk, sought an injunction to block an addition they say will also block sunlight and decrease the value of their $1.7-million property on Sunnyside Avenue by about 30 per cent. Those are exaggerations, Judge Mongeon ruled, after taking the unusual step of holding court on the hillside to check out the view. The judge, who was assisted by a wooden frame and yellow police tape set up on the roof of Mr. Goldberg's house to mimic the new addition, found only a small sliver of the view to the east will be blocked. "The loss must be considered in a much more realistic fashion than was initially presented," he ruled in a judgment handed down late Friday. Mr. Goldberg's lawyers pointed out that he had submitted his plans to the City of Westmount in September of 2007 and his permit was granted after an in-depth study over six months. The city argued nothing guaranteed Ms. Raymond and her husband that they would enjoy their view in perpetuity. Ms. Raymond was upset by the verdict, saying the judge, like the city, seemed to discount the importance of the unencumbered view. Ms. Raymond and Dr. Keyserlingk were ordered to
  6. L'entente a été conclue avec le cabinet Raymond James. L'offre porte sur 20 millions d'actions ordinaires de Métanor, qui seront vendues au prix unitaire de 50 cents. Pour en lire plus...
  7. C'est ce que croit Raymond Bachand, ministre du Développement économique. Il précise toutefois qu'il ne faut pas s'attendre à une croissance fulgurante de l'économie québécoise. Pour en lire plus...
  8. La papetière annonce ce matin qu'elle nomme John D. Williams à titre de chef de la direction pour le 1er janvier 2009. Il remplacera Raymond Royer. Pour en lire plus...
  9. La crise actuelle n'est pas que financière. De plus en plus, elle touche les entreprises, dont les clients de Domtar. Pour en lire plus...
  10. Sandoz to open new Quebec plant The Gazette; Reuters Published: 7 hours ago Drug maker Sandoz Canada, part of the European-based multinational Novartis, is unveiling its new manufacturing plant in Boucherville next Tuesday. The project is the second stage of a multimillion-dollar investment by Sandoz. Quebec Economic Development Minister Raymond Bachand will lead the ceremony. The Boucherville plant specializes in generic sterile products. Sandoz employs almost 680 in Canada.
  11. http://www.cyberpresse.ca/article/20080822/CPACTUEL/808221014/6685/CPACTUEL Le vendredi 22 août 2008 La fierté olympique souffle à Brossard Agent immobilier originaire de Hong Kong, Raymond Tsim vend des maisons à Brossard depuis près de 20 ans. Photo Martin Chamberland, La Presse Laura-Julie Perreault La Presse Au début des années 90, si on avait demandé à un immigrant de Hong-Kong, fraîchement installé à Brossard, s'il était fier de la Chine, on aurait eu droit à un froid haussement d'épaules. Mais les Olympiques ont changé la donne. Un vent de fierté souffle dans les voiles de la diaspora. Dans la petite salle de réunion de Brossard, campée dans un centre commercial asiatique du boulevard Taschereau, l'atmosphère est à la fête. Sur le mur, les effigies des cinq mascottes des Jeux olympiques semblent partager l'enthousiasme des hommes d'affaires d'origine chinoise. Ils ne tarissent pas d'éloges à l'égard de Pékin. «C'est la première fois qu'une cérémonie d'ouverture atteint ce niveau. Je suis canadien, mais je suis vraiment fier d'être originaire de Chine», dit Michel Wong Kee Song, le président d'une agence de voyages. «En tant que Sino-Canadien, je suis très fier de voir la Chine tenir les Jeux avec un tel professionnalisme. C'est incroyable de voir comment ce pays s'est ouvert rapidement», renchérit Raymond Tsim, patron d'une agence immobilière affiliée à Royal Lepage. «Beaucoup de gens ne veulent voir que le négatif dans les Jeux. Nous, nous voyons le positif. La Chine a démontré qu'elle est sur un pied d'égalité avec l'Occident», ajoute à son tour Warren See, coordonnateur au Québec du World Journal, un quotidien chinois distribué à la grandeur du Canada. Amour retrouvé L'épicerie Kim Phat Photo Martin Chamberland, La Presse Il y a 10 ans, les trois hommes étaient loin de donner autant de crédit au régime communiste. Raymond Tsim a quitté Hong-Kong dans les années 80 pour échapper aux turbulences politiques qui entouraient son île. Warren See l'a suivi en 1994, trois ans avant que Hong-Kong ne soit rétrocédé à la Chine. Michel Wong Kee Song, lui, a immigré de l'île Maurice. Tous trois ont été parmi les premiers à s'établir à Brossard pour faire leur vie. «Brossard m'a toujours rappelé ma vie à Hong-Kong. Prendre le pont Champlain pour aller au centre-ville de Montréal me ramène à l'époque où je devais prendre le traversier pour me rendre au travail le matin à Hong-Kong», se remémore Raymond Tsim. Ils n'ont pas été les seuls à être séduits par cette banlieue de la Rive-Sud. Beaucoup d'hommes d'affaires de Hong-Kong se sont joints à eux en débarquant au Canada. Récemment, des immigrants de la Chine continentale - choisis pour leurs compétences professionnelles - ont jeté leur dévolu sur Brossard. Aujourd'hui, forte de plus de 8000 âmes, la communauté chinoise compte pour 12% de la population de Brossard. Et sa présence ne passe pas inaperçue dans le paysage. Sur le boulevard Taschereau, une vingtaine de boutiques asiatiques s'entassent dans deux centres commerciaux. «On ne le recommande à personne, mais quelqu'un pourrait vivre à Brossard en ne parlant que mandarin ou cantonais», sourit Raymond Tsim. Les banques du secteur ont des employés et des gérants qui parlent chinois, les restaurants sont bondés de membres de la communauté chinoise à l'heure du lunch comme en soirée. Plusieurs épiceries, spécialisées en produits asiatiques, desservent aussi cette population aisée. Bientôt, les propriétaires des épiceries Kim Phat ouvriront le plus grand complexe commercial asiatique au Québec sur le boulevard Taschereau. Un restaurant de 600 places, qui pourra accueillir de grands événements, s'y établira. «Parmi les Chinois, la notoriété de Brossard est telle que beaucoup de gens m'appellent de Hong-Kong ou de Chine continentale et me demandent de leur trouver une maison. Quand ils arrivent, ils ramassent leurs clés», témoigne Raymond Tsim, qui vend des maisons sur la Rive-Sud depuis près de 20 ans. Il connaît bien les goûts de sa clientèle chinoise nantie. «Il y a certaines maisons que j'ai vendues trois ou quatre fois à des familles chinoises», donne-t-il en guise d'exemple. Les trois hommes d'affaires croient que la population chinoise de Brossard grandira vite au cours des prochaines années alors que les Sino-Montréalais, qui travaillent d'arrache-pied pour accéder à un petit bout du rêve américain, continueront de s'enrichir. «Je ne connais personne dans la communauté, surtout parmi les immigés de la première génération, qui travaille moins de 60 ou 70 heures par semaine», remarque Warren See. Mais dans la même phrase, il avoue que les Olympiques le font peut-être mentir. Nombreux sont les membres de la diaspora chinoise qui ont mis quelque peu leur travail de côté pour regarder les prouesses des athlètes chinois à la télévision. Plusieurs passent des soirées entières sur la place Sun Yat-Sen dans le Chinatown ou dans le restaurant Ruby Rouge adjacent. «Quand un Chinois gagne une médaille, le restaurant en entier se soulève», se réjouit Michel Wong Kee Song. Cette fierté retrouvée, croient les hommes d'affaires, pourrait transformer à long terme la diaspora chinoise. Cette force vive, évaluée à plus de 36 millions de personnes, semble plus soudée que jamais. En Afrique. En Asie. Et à Brossard. Carnet d'adresses Le restaurant Foo Wor se remplit tous les midis. On vient s'y délecter de dumplings et autres spécialités cantonaises. Photo Martin Chamberland, La Presse - Restaurant Foo Wor, 8080, boulevard Taschereau. La Mecque des dim sums. - Restaurant Xin Jing Hua, 8050, boulevard Taschereau. Une autre adresse prisée par la communauté chinoise de Brossard. - Restaurant Jardin du Sud. Un café typique de Hong-Kong, dans le centre commercial du 8080, boulevard Taschereau.x - Centre Sino-Québec de la Rive-Sud, principale organisation de la communauté chinoise. http://www.sinoquebec.ca. Présentement au 45, Place Charles-Lemoyne à Longueuil, il déménagera bientôt à la nouvelle Place Kim Phat. - Épicerie Kim Phat. Il y a présentement deux épiceries Kim Phat à Brossard - la première au 8080, boulevard Taschereau et la seconde au 1875, avenue Panama. À l'automne, elles seront toutes deux remplacées par une méga-épicerie au 7209, boulevard Taschereau. Propriété d'une famille chinoise du Cambodge, les épiceries Kim Phat se spécialisent dans les aliments asiatiques.
  12. La transaction, dont le montant n'a pas été précisé au moment de son annonce, mardi, a été réalisée le 30 juin dernier. Pour en lire plus...
  13. Charest et McGuinty négocieront la levée des obstacles commerciaux Il y a 9 heures QUEBEC - Les relations commerciales parfois tendues entre le Québec et l'Ontario seront à l'ordre du jour de la rencontre qu'auront lundi à Toronto les premiers ministres Jean Charest et Dalton McGuinty. Les deux hommes participeront à une première rencontre de travail, qui donnera le coup d'envoi de négociations devant conduire à la signature d'une entente favorisant le commerce entre les deux provinces. MM. Charest et McGuinty seront épaulés par leur ministre respectif du Développement économique, Raymond Bachand et Sandra Pupatello. Le point le plus litigieux est celui de la libre-circulation de la main-d'oeuvre entre le Québec et l'Ontario, un contentieux qui dure depuis plusieurs années. L'objectif des négociations sera de lever les obstacles au commerce, pour renforcer la relation économique entre les deux provinces.
  14. Video games: the next generation By Marc Cieslak Reporter, BBC Click The video games industry is obsessed with the phrase "next generation", but what does it actually mean? What can gamers expect from any game given that name? It would be easy to dismiss the next generation gaming experience as simply eye candy. Every single thing in the city can be grabbed, climbed on, jumped from Jade Raymond, Ubisoft producer The latest games all look great but the potential offered by the processing power of consoles such as the Xbox 360 and PS3 does not end there. They also give developers a wealth of new gameplay possibilities. At Ubisoft's Montreal studio, a team of 300 designers, programmers and artists have spent four years developing Assassin's Creed, a next generation medieval action adventure. "A lot of people have heard the term 'next gen game' thrown around and so far what we've seen as far as next gen games mostly means better quality graphics," said Ubisoft producer Jade Raymond. "So you've seen in fighting games where boxers are up close, you get more detail on the facial animation. Or in car racing games it looks exactly like the car, and you get more shiny cars and the environments are more realistic. "But for me personally, next gen game had to mean new types of gameplay." Assassin's Creed is set during the Crusades and the action takes place in three huge cities. Each is populated with thousands of computer controlled characters. Players can take Altair, the character they control, anywhere in the city. "We made this rule and gave ourselves the challenge to try and make huge cities that are completely interactive, which means that every single thing in the city can be grabbed, climbed on, jumped from," said Ms Raymond. "Which means that we created tools to be able to recognise the 3D models and automatically generate interactive edges on everything." Lego blocks The gaming environment took so long to develop because everything that sticks out of a wall more than two inches can be an anchor point for Altair. Bumping into people affects the direction of the main character "Our challenge was to make it readable for the player as we're using games to see the level design ingredients or the game designer path," said creative director Patrice Desilets. "This time there is no path whatsoever." Vincent Pontbriand, Ubisoft associate producer, said: "In a regular, more linear, game what you would do is create game levels. In our case, since it involved cities in which you could travel anywhere, we quickly realised it was going to be impossible to customise the entire city that way, polygon by polygon. "So what we did was we created a bank of objects, what we call a Lego system, and this allowed us to produce the first templates for the cities quickly by adding and removing blocks. "Then we were able to do the same things with objects and eventually with the characters and the population itself." While larger environments that allow the player more freedom are certainly a bonus, there is still more to be done before a game can earn that next gen title. Background characters Probably one of the biggest challenges facing games is to make computer controlled characters more lifelike. This is where the hardware buried inside the latest consoles proves so useful. "The tendency in technology is to move towards multi-core, multi CPU type of machines," explained AI programmer Matthieu Mazerolles. "What this means is instead of having just one processing unit you literally have several, sometimes up to a dozen all within the same box. More than 200 models were used as the templates for characters "What this allows us to do is to take all of the calculations, which are highly complex, that go into making the AI seem alive, and distribute these across many different processors." Said Ms Raymond: "We worked on this whole kind of physics systems for when you bump into people and push them out of the way, so that tactile thing really felt real. "So bumping into a group of people will make you fall over, running full force into a small woman will knock her over." One of the tools the company has worked on is something which generates crowds of diverse people. "For NPCs we have hundreds and hundreds of different looking characters, that were the templates we used to create our initial models," said Mr Pontbriand. "But then we created our own technology to take those templates, cut them down into pieces and then, with the technology, added the ability to randomise between skin colour, clothes, hair colour. "We ended up with a multiplying factor, so these sketches that became models ended up producing thousands of different variations in game." 'A player's story' Increased production values, emotional involvement, environments that have more bearing on the world - could all of these elements help shift games from what many perceive to be a marginalised ghetto into the mainstream? "As an entertainment medium, games are really just scratching the surface," said Ms Raymond. "I think we are at where we were with film when we made the transition from silent films to films that were telling a story with sound and dialogue. "We are just at the point of discovering what we can do with interactivity and what's an interactive story where you are creating a story for players, but it really has to become the player's story." Said Mr Desilets: "I strongly believe the more we go on with next gen the less we will see video game rules apparent, they will be more and more hidden and the experience will be a lot more immersive because you won't see the video game rules that only gamers really like."
  15. Salon du Bourget Le Québec bombe le torse Raymond Bachand Le ministre du Développement économique sera au Salon international de l'aéronautique du Bourget à la tête de la plus importance délégation québécoise jamais envoyée. Les représentants de 48 entreprises québécoises accompagneront le ministre Raymond Bachand, dont Bombardier, CAE, Pratt et Whitney et Héroux-Devteck. Le Québec est le principal pôle aéronautique au Canada avec des ventes de 11 milliards de dollars en 2006 et ses 40 000 emplois liés au domaine. À l'échelle internationale, Montréal se classe parmi les plus grands centres aéronautiques, aux côtés de Seattle et de Toulouse. Le ministre entend profiter du Salon du Bourget pour faire la promotion des programmes d'études et des emplois disponibles au Québec dans le secteur de l'aéronautique, afin d'attirer des jeunes étudiants étrangers et des chercheurs d'emplois. Raymond Bachand souligne que la main-d'oeuvre étrangère est essentielle pour assurer le développement de l'industrie. Plus de 2000 entreprises oeuvrant dans le domaine seront au salon du Bourget qui se tient du 18 au 24 juin.
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