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  1. L'entreprise de location de voitures s'adapte au ralentissement de ses activités et cherche à réduire ses dépenses. Pour en lire plus...
  2. Condominiums : une bulle à Toronto? Mise à jour le mardi 7 août 2012 à 14 h 52 HAE http://www.radio-canada.ca/regions/Ontario/2012/08/07/006-condominiums-toronto-baisse.shtml Le marché de la vente des nouveaux condominiums a connu un ralentissement à Toronto, mais les experts hésitent à parler d'une bulle au bord de l'éclatement. Selon la firme Urbanation, durant le dernier trimestre (avril-juin), 20 % des nouveaux condominiums sur le marché étaient invendus. Ben Myers d'Urbanation y voit un signe clair d'essoufflement du marché, après des années de construction effrénée. À l'heure actuelle, 176 immeubles sont en construction pour un total de 53 000 unités, soit plus que dans l'ensemble des villes canadiennes réunies. M. Myers pense, toutefois, qu'il est trop tôt pour conclure qu'il s'agit d'une bulle immobilière. « Il y a lieu de s'inquiéter, mais ce n'est pas dramatique. » — Ben Myers, Urbanation Double cause L'analyste Serge Pépin du groupe BMO gestion d'actifs ajoute que ce ralentissement était prévisible. Il l'attribue à deux facteurs principaux : les nouvelles restrictions hypothécaires imposées par Ottawa la baisse du nombre d'investisseurs étrangers (Europe, Asie, etc.) en raison notamment du ralentissement économique mondial Selon M. Pépin, les investisseurs étrangers, qui achètent des condominiums pour les louer, formaient la moitié des acquéreurs à Toronto.
  3. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/canada/201111/15/01-4468130-construction-ralentissement-prevu-a-montreal-et-toronto.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 On a quand même plusieurs chantiers en cours ceux la ne devraient pas avoir de problème mais est-ce que ça va avoir un effet négatif sur ceux qui sont proposés ! Ex : La tour des canadiens etc.
  4. La région de Montréal aurait mieux résisté à la récession La Presse Canadienne Montréal Publié le 23 septembre 2009 à 19h01 | Mis à jour à 19h04 La région métropolitaine de Montréal a mieux résisté que les autres grandes agglomérations urbaines nord-américaines au ralentissement économique, au cours de la dernière année, selon des données compilées par l'organisme Montréal International. La baisse de 0,4 pour cent de l'emploi enregistrée par Montréal et sa région a été la moins élevée parmi les 20 principales métropoles du Canada et des Etats-Unis, pour la période de juin 2008 à juin dernier, a indiqué mercredi Montréal International, organisme issu d'un partenariat privé-public ayant pour mandat de contribuer au développement économique du Montréal métropolitain et d'accroître son rayonnement international. A titre de comparaison, la région de Toronto, seule autre agglomération canadienne à s'inscrire sur la liste, s'est classée au cinquième rang avec une baisse de 2,1 pour cent de l'emploi, durant la même période. Selon Montréal International, les grands projets d'investissements privés et publics, la diversité industrielle et le dynamisme des secteurs de haute technologie ont eu pour effet de soutenir l'activité économique et de limiter les pertes d'emplois dans la région montréalaise. «En période de ralentissement économique, comme celle que nous vivons depuis 2008, le choix d'un site d'investissement offrant à la fois une économie robuste et un excellent rapport qualité-coût, comme c'est le cas dans la région montréalaise, représente une option gagnante pour les sociétés étrangères», a affirmé le président-directeur général de Montréal International, André Gamache. «De ce point de vue, malgré le contexte mondial difficile, le Grand Montréal constitue toujours une destination de premier choix sur le continent nord-américain», a-t-il ajouté. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200909/23/01-904870-la-region-de-montreal-aurait-mieux-resiste-a-la-recession.php
  5. Ralentissement économique Recul de 1,4% du PIB du Québec au cours du dernier trimestre de 2008 27 mars 2009 - 13h02 La Presse Canadienne QUEBEC -- Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a diminué de 1,4 pour cent au quatrième trimestre de 2008, sur une base annualisée et ajustée pour éliminer l'effet des saisons. Pour l'année 2008 dans son ensemble, comparativement à 2007, le PIB du Québec a crû de 1,0 pour cent. En 2007, la croissance avait été de 2,6 pour cent. En comparaison, pour l'ensemble du Canada, au quatrième trimestre, l'économie a enregistré une baisse annualisée de 3,4 pour cent. Toujours pour l'ensemble du pays, en 2008, une croissance 0,5 pour cent a été enregistrée par rapport à l'année précédente. En 2007, la croissance avait été de 2,7 pour cent au Canada. Tant au Québec qu'au Canada, la diminution du taux de croissance annuel du PIB provient de la baisse des exportations et aussi du ralentissement de la demande intérieure finale, a indiqué vendredi l'Institut de la statistique du Québec. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2009/03/20090327-130203.html
  6. Le Québec sur une mauvaise pente * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement * 13:00 Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. Selon Desjardins, l’économie québécoise s’est engagée sur une mauvaise pente, et cela devrait perdure durant les trois à six prochains mois. L'Indice précurseur Desjardins (IPD) a d'ailleurs perdu 0,7% en janvier, ce qui représente une quatrième diminution mensuelle consécutive pour l'IPD. Cette nouvelle chute indiquerait que l'économie québécoise est maintenant engagée dans un sérieux ralentissement qui devrait, selon Desjardins, se poursuivre pour au moins trois mois. Plusieurs autres facteurs économiques pointeraient également dans la même direction comme les livraisons manufacturières, les ventes des détaillants, celles des grossistes et la consommation. Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. « Même si la réduction des taux hypothécaires a donné du tonus à la composante habitation en janvier, ce secteur continuera de s'affaiblir, soutient Hélène Bégin, économiste senior chez Desjardins. La détérioration de l'économie sera donc assez généralisée, de sorte que le PIB réel diminuera de 1,3 % en 2009. » Alors que la composante consommation de l'IPD s'est considérablement détériorée, coulée par les nombreuses mises à pied et par l'affaiblissement de la confiance, la composante habitation a quant à elle rebondi de 1,0 % en janvier sous l'impulsion de la réduction des taux hypothécaires. Mais la reprise n'est toutefois pas pour demain dans ce secteur puisque tous les autres indicateurs ont poursuivi leur tendance à la baisse. La diminution des indicateurs avancés continuerait d'affaiblir la composante exportation de l'IPD : « Voilà qui confirme que le climat économique se détériorera davantage pour les exportateurs québécois, prévient Hélène Bégin. Le repli des expéditions à l'étranger sera plus important en 2009, car la relance nord-américaine tardera à venir. » En dernier lieu, la composante financière de l'IPD est demeurée négative en janvier puisque, selon Desjardins, l'indice boursier Québec-30 a diminué de 6,3 % durant la période. Dans une nouvelle tentative de stimuler le marché du crédit, la Banque du Canada a de nouveau réduit son taux directeur ce matin à 0,5%. « Il s'agit bien entendu d'un nouveau creux historique, explique Hélène Bégin. Ce bas niveau des taux directeurs s'explique par la récession qui prend de l'ampleur au pays et par la faiblesse de l'inflation qui approche maintenant les 1 %. »
  7. Le ralentissement de l'économie canadienne est encore plus important que prévu, le produit intérieur brut reculant, lors du 4e trimestre 2008, de 3,4%. Sur l'année, l'économie a progressé de 0,5 %. Pour en lire plus...
  8. La papetière Tembec annonce la suppression d'une centaine de postes de personnel cadre en raison du ralentissement économique. Pour en lire plus...
  9. Le produit intérieur brut a reculé de 0,7% en novembre, entraîné vers le fond par le ralentissement de 18 des 21 principaux secteurs économiques canadiens. Pour en lire plus...
  10. UN MARCHÉ SERRÉ ET QUI LE RESTERA EN 2009 SOMMAIRE DU MARCHÉ Alors qu’il avait marqué le pas au troisième trimestre, c’est avec l’absorption de 264 000 pieds carrés que le marché de bureau du Grand Montréal termine le quatrième trimestre de 2008. L’activité s’est essentiellement déroulée dans les édifices de catégorie « B » du centre-ville, qui a vu l’absorption de 173 000 pieds carrés d’espace. Le marché de la banlieue a connu une absorption de 92 000 pieds carrés concentré à Laval, dans le Centre-Ouest et sur la Rive-Sud. Tel que prévu, cette performance positive du marché montréalais est le résultat d’un ensemble de transactions de moins de 10 000 pieds carrés. Depuis le début de l’année, le marché a absorbé 2 millions de pieds carrés, dont plus des trois-quarts dans le seul centre-ville. Il s’agit d’une performance exceptionnelle résultant de la mise en oeuvre de transactions conclues dans les deux ou trois années précédentes. Dans le même temps, l’augmentation des coûts d’occupation défrayés par les locataires a connu un ralentissement dans l’ensemble du marché au cours du trimestre, les propriétaires profitant de la fragilité de la situation économique sans pour autant renoncer à obtenir de leurs locataires un prix qui correspond à la valeur réelle de leurs services. PRÉVISIONS À ce moment-ci, les économistes n’anticipent pas de récession pour la région du Grand Montréal, mais seulement un ralentissement, en particulier si les divers ordres de gouvernement parviennent à se coordonner pour lancer rapidement les grands projets de construction et de rénovation des infrastructures de la région. Compte tenu de ces prédictions et des taux d’inoccupation particulièrement bas que connaît le marché, nous prévoyons que le resserrement se poursuivra en 2009 à un rythme plutôt lent, et que l’année affichera un bilan d’absorption positif. Le marché de bureau de Montréal dans son ensemble penche nettement en faveur des propriétaires avec ses taux d’inoccupation nettement sous les 10 % au centre-ville et sous les 15 % en banlieue. En temps normal, nous assisterons donc à une hausse marquée des taux de location au cours des trimestres à venir, particulièrement dans le marché du Centre-ville. Cependant, la volatilité de la situation économique agira comme un frein et ralentira l’envolée des prix des loyers, sans cependant lui imposer de marche arrière ni l’arrêter complètement, ralentissement qui retardera d’autant la construction de nouveaux édifices. C’est pourquoi les locataires dont les baux arrivent à échéance dans les prochains 24 à 36 mois devraient dès maintenant faire une évaluation de leur situation et planifier pour tirer le meilleur profit possible de la situation. CENTRE -VILLE Le marché du Centre-ville a donc connu une absorption nette de 171 935 pieds carrés au cours du trimestre, concentrée dans les édifices de catégorie « B » où 173 000 pieds carrés d’espace ont été absorbés, principalement dans les secteurs du Centre-des-affaires et du Vieux-Montréal. Il s’agit de la conclusion de transactions de moyennes dimensions. Se démarque du lot l’emménagement de SAP Lab dans son local de 36 700 pieds carrés du 700, rue Wellington. Le taux d’inoccupation a perdu 0,6 % pour terminer le trimestre à 4,9 %. Pour ce qui est des espaces inoccupés disponibles, le taux s’est maintenu à 4,3 %.
  11. La rue Sainte-Catherine n'échappe pas au ralentissement Publié le 27 janvier 2009 à 08h30 | Mis à jour à 08h31 Rue Sainte-Catherine aussi, des détaillants renégocient à la baisse leurs loyers dans la foulée du ralentissement des ventes. La rue Sainte-Catherine, qui est pourtant l'artère commerciale la plus recherchée de Montréal, surtout depuis qu'elle s'est refait une beauté durant les années 90, n'échappe pas à la tempête économique. Quand des chaînes sabrent leurs projets d'ouverture et que d'autres préparent des fermetures de magasin et renégocient leurs loyers, des courtiers commerciaux voient leur marché se rétrécir, reconnaît Bruce Munro, vice-président d'Avison&Young au Québec. «Presque toutes les grandes bannières ont déjà pignon sur rue au centre-ville de Montréal», (ce qui limite le bassin de la clientèle), et les autres prennent leur temps. Bruce Munro a ainsi aidé récemment deux chaînes à conclure des ententes, rue Sainte-Catherine, mais elles «n'ont pas encore signé leurs baux et veulent déjà les renégocier à la baisse». André Poulin, président de la société de développement commercial Destination centre-ville, confirme que des loyers se renégocient. «Certains propriétaires font des offres pour ne pas perdre leurs locataires. Plusieurs tentent leur chance. Même Destination centre-ville a renégocié son loyer», dit-il. «Les locaux de la rue Sainte-Catherine continuent toutefois d'être recherchés. Les détaillants ne veulent pas sortir du centre-ville. La rue Sainte-Catherine ne sera pas placardée demain matin», assure André Poulin. Des magasins vont cependant fermer, selon Bruce Munro. Par contre, des chaînes vont sabrer des magasins de mégacentres de la banlieue avant ceux de la rue Sainte-Catherine, ajoute-t-il. Archambault Musique vient de quitter le Complexe des Ailes de la mode, après une entente mutuelle, mais la chaîne californienne Forever 21, concurrente de H&M, va prendre les locaux avant l'été prochain, confirme Jean Laramée, vice-président principal pour l'est du Canada chez Ivanhoé Cambridge. «De grandes bannières comme Guess, American Eagle, H&M et Apple sont arrivées récemment rue Sainte-Catherine. Cela en attire d'autres, souligne André Poulin. Là, on renégocie des loyers, mais sans provoquer des départs.» «Des loyers de 200$ le pied carré pourraient baisser à 150$, rue Sainte-Catherine, estime Bruce Munro. Le prix était de 50$ ou 60$ le pied carré en 1992. Rue Bloor, à Toronto, les loyers de 325$ le pied carré sont trop élevés aussi.» Les détaillants s'en tirent mieux dans le marché des jeunes que dans celui des hommes, dit-il. «Il n'y a pas de vague de réouvertures de baux, mais quelques négociations», assure Jean Laramée. Chez Ivanhoé Cambridge, un des grands propriétaires de centres commerciaux en Amérique du Nord, «on n'est pas fou, on sait que ça brasse un peu partout, c'est une période de tests pour plusieurs. Au Canada, par contre, on ne sent pas trop la tempête. Notre affluence a été correcte en 2008». Jean Laramée reconnaît toutefois qu'il préfère gérer dans l'est du Canada qu'aux États-Unis ces jours ci. David Jubb, chef de la direction de Pyxis Real Estate Equities, de Toronto, a acheté une dizaine de locaux à proximité de la Maison Ogilvy de la rue Sainte-Catherine, qui lui appartient, pour bâtir un «Carré de la mode». Nespresso Café, de New York, y ouvrira un magasin, le mois prochain, et David Jubb déclare travailler avec «quatre ou cinq autres détaillants. L'économie ralentit et certains repensent à leurs affaires, mais on doit se reparler au printemps. Chez Ogilvy, ce sera plus lent en 2009, mais Nespresso va attirer de la clientèle», croit-il.
  12. Rue Sainte-Catherine aussi, des détaillants renégocient à la baisse leurs loyers dans la foulée du ralentissement des ventes. Pour en lire plus...
  13. La société sud-coréenne perd plus de 5 G$ en raison du ralentissement économique qui a affecté la consommation. Pour en lire plus...
  14. C'est au tour du géant américain de l'informatique de prendre des mesures pour contrer les effets du ralentissement de la consommation. Pour en lire plus...
  15. Secouée, comme d'autres, par le ralentissement économique, l'entreprise Plastiques Moore, de Saint-Damien, vient de trouver un peu de réconfort. Pour en lire plus...
  16. Le ralentissement économique a forcé TransCanada à reporter son projet de construction d'une usine multiproductrice dans le sud de la Saskatchewan. Pour en lire plus...
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  18. Le ralentissement du marché publicitaire fait sombrer le diffuseur dans les pertes à son premier trimestre. Pour en lire plus...
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  20. L'économie du Québec n'est «pas immunisée» contre un important ralentissement, selon le président de la Banque Nationale. Pour en lire plus...
  21. Pour palier le ralentissement économique, l'aluminerie frappe un grand coup et annonce la suppression de plusieurs emplois un peu partout. Pour en lire plus...
  22. Le producteur d'aluminium supprime 13500 postes permanents à ses usines et 1700 postes contractuels chez ses sous-traitants à l'échelle mondiale, en raison du ralentissement économique. Pour en lire plus...
  23. L'équipementier en télécoms Alcatel-Lucent a annoncé vendredi un vaste programme d'économies pour faire face au ralentissement du marché. Pour en lire plus...
  24. L'industrie canadienne des télécommunications résistera au ralentissement attendu pour 2009 et 2010, malgré une croissance qui pourrait connaître un creux de dix ans. Pour en lire plus...
  25. Le constructeur automobile réduira à nouveau sa production dans plusieurs usines puisque ses ventes à l'étranger sont touchées par le ralentissement économique. Pour en lire plus...
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