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  1. LNH à Québec: M. Stastny n'y croit pas Vendredi 28 décembre 2007 LA PRESSE CANADIENNE QUEBEC - L'ancien attaquant des Nordiques de Québec Marian Stastny est un homme optimiste. Mais à ses yeux, il faudrait que la LNH vienne près de s'effondrer pour que le hockey professionnel revienne dans sa ville d'adoption. Assis dans l'auberge qui se trouve à côté du parcours de golf qu'il a bâti tout juste au sud-ouest de Québec, Stastny a déclaré au cours d'une récente entrevue que la Vieille Capitale demeure une ville de hockey. Tout ce dont elle aurait besoin, ce serait un amphithéâtre adéquat et un financier milliardaire - deux ingrédients-clés qui sont loin de se profiler à l'horizon dans la municipalité d'environ 700 000 habitants. "Moi, je suis un éternel optimiste", affirme Stastny, qui a jadis patrouillé l'aile droite au sein du trio qu'il a composé avec ses frères Peter et Anton chez les Nordiques. Contrairement à ses frères, Marian Stastny est resté à Québec, où il a fondé une entreprise et élevé sa famille, bien après sa retraite à titre de hockeyeur. "Je pense qu'une équipe pourrait revenir ici à un certain moment, dit Stastny. Mais il faudrait une crise quelconque dans la LNH pour que le hockey revienne ici." Une crise qui, selon Stastny, devra résulter en la faillite simultanée de plusieurs équipes américaines, forçant la LNH à chercher refuge au nord de la frontière. Bref, le contraire des troubles financiers qui ont forcé, dans les années 1990, les Nordiques à déménager au Colorado et les Jets de Winnipeg à devenir les Coyotes de Phoenix. De temps à autre, certaines personnes entretiennent le rêve d'un retour du hockey de la LNH dans ces deux villes, de même qu'à Hamilton. Le chef du Parti conservateur du Manitoba, Hugh McFadyen, a perdu ses élections au mois de mai après avoir promis de ramener les Jets à Winnipeg. Au moins, la ville de Winnipeg a un tout nouvel amphithéâtre de 15 000 places, bien que ce soit un peu petit pour la LNH. Les habitants de la ville souffrent aussi d'une profonde nostalgie, les articles affichant le logo des Jets étant parmi les plus vendus dans les boutiques de souvenirs de la ville manitobaine. Québec, elle, a beaucoup plus de chemin à faire, reconnaît Stastny. Selon un sondage diffusé à l'automne, à peine la moitié des résidants de Québec veulent voir la LNH revenir dans la Vieille Capitale. Le nouveau maire de Québec ne met pas les gants blancs lorsqu'on lui demande de commenter les chances d'un retour de la LNH dans sa ville. "Les gens s'excitent pour rien", affirme Régis Labeaume, qui a été élu le 2 décembre dernier à titre de successeur à Andrée Boucher. "Le problème à Québec n'est pas le bâtiment. On peut s'organiser pour ça. Ce sont les 200 millions $ qu'il faut pour acheter une concession, ce sont les droits de télévision, c'est la vente des loges. "Si le bâtiment était le seul problème, et pas toutes ces choses-là, Winnipeg aurait déjà une équipe." Stastny voit d'autres nuages noirs se profiler à l'horizon, qui pourraient nuire à la réputation de Québec à titre de ville de hockey. Avec Halifax, Québec sera l'une des villes hôtes du championnat du monde de hockey, ce printemps. L'enthousiasme pour cette compétition n'est pas encore palpable dans la capitale québécoise. "Je me demande si le championnat du monde ne va pas décourager les gens, déclare Stastny. Ce n'est pas une tradition en Amérique du Nord, c'est plutôt secondaire. En Europe, c'est très important et les gens soutiennent ce tournoi. "Ici, qui sait." Mark Charest, un homme d'affaires peu connu, a un site Internet qui fait miroiter la possibilité d'un éventuel retour des Nordiques. Il a fait de grandes déclarations, évoquant la construction d'installations sportives au coût de 600 millions $, pour ensuite disparaître de la carte. Il n'a pu être joint pour une entrevue. "Ce n'est pas la première fois que je vois ça, c'est juste un autre homme d'affaires avec les poches vides qui essaie de faire l'important, lance Stastny. Il faudrait quelqu'un avec de l'argent, quelqu'un de solide financière pour mener la parade. "Dans le contexte actuel, il faut 200 millions $ pour obtenir une équipe, note Stastny. Il aurait été beaucoup plus facile de garder l'équipe quand elle coûtait 14 millions $." Source: http://www.rds.ca/hockey/chroniques/242873.html
  2. http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052702303834304579519620095674460 Ça serait un rêve pour moi d'avoir un jour un penthouse dans un édifice en hauteur comme cela! Les vues de celui à Chicago sont complètement malades.
  3. http://journalmetro.com/local/lasalle/actualites/698614/une-ecole-de-sirenes-voit-le-jour-a-lasalle/ Marielle Chartier Hénault TC Media - Hugo Lorini Previous photo Next photo Alors que Montréal est plongée dans une vague de froid, la fondatrice de l’école AquaSirène, Marielle Chartier-Hénault, est assise en bikini sur le bord de la piscine à l’Aquadôme de LaSalle. C’est là qu’elle a décidé d’établir son école. L’«aquasirène» est un type de natation pratiqué à l’aide d’une monopalme en forme de queue de sirène, qui joint les deux jambes ensemble. La pratique de ce sport offre de nombreux avantages. «[Pour se déplacer dans l’eau avec ce costume], il faut effectuer une ondulation du corps qui fait travailler les muscles abdominaux. On pousse beaucoup d’eau, et ça devient cardio. Après une heure, on est épuisé», précise-t-elle. Les cours progressent par étape. «On commence par des mouvements sans la queue pour que les gens s’habituent à nager de cette façon et puissent traverser la piscine sans toucher le fond. Après, si ça va bien, on enfile le costume», indique la jeune femme. La queue de sirène remonte jusqu’à la taille et est recouverte d’un tissu extensible qui ressemble à s’y méprendre à des écailles de poisson. Il en existe de toutes les tailles et de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Le produit est aussi disponible pour les garçons, même si «la demande de leur part n’est pas très forte en ce moment», explique Mme Chartier-Hénault. Depuis le lancement du site web de l’école qu’elle a fondée, l’engouement se répand à la vitesse de l’éclair. «Plus de 2000 personnes m’ont contactée en trois jours, dont plusieurs mamans pour leurs filles de 7 à 13 ans, rapporte Marielle. Les plus âgées s’y intéressent pour l’aspect mise en forme.» Elle assure les parents que leurs petites sirènes seront sous la supervision d’instructeurs compétents. «C’est une créature que tu forges à ton image. Je suis une sirène bonne humeur mais il y a celles qui chantent et qui envoûtent les marins.» – Marielle Chartier-Hénault, fondatrice d’AquaSirène Il s’agit d’un rêve de jeunesse pour Marielle, qui, en ouvrant cette école, lance sa propre entreprise. «Quand j’étais toute petite, la phobie de ma mère était que je me noie, relate-t-elle. J’ai donc suivi des cours de natation dès l’âge de six mois. Enfant, dans ma tête, j’étais une sirène. Mais quand j’ai dit à mes parents que je lançais une école de sirène, ils n’ont pas vraiment compris…» dit-elle en riant. Marielle Chartier-Hénault voit grand. «Je commence à Montréal, mais à long terme, j’aimerais avoir des franchises ailleurs au Canada, dit-elle. L’été sera la grosse saison.» Elle rêve d’avoir sa propre piscine. «Louer des piscines est difficile, et mon rêve serait de bâtir ma piscine à Montréal pour y tenir mes événements», souligne-t-elle. À l’Aquadôme, les cours commenceront dès février. «J’offre des cours d’essai d’une heure pour 50$, indique Marielle. Pour une session de 10 cours, c’est 300$.» sent via Tapatalk
  4. Ponto est un petit cône orange avec de grandes inspirations voulant rendre Montréal un petit peu meilleur. J'ai rencontré son artiste dans une entrevue pour ProposMontréal et vous verrez qu'il y a d'autre gens qui aiment notre belle ville. Liens pour lire l'entrevue. Qui est Ponto? Ponto est un jeune cône orange dont le grand rêve est de venir vivre à Montréal. Il vit avec sa famille sur le bord de l’autoroute 30, mais le jour arrive où il décide de partir vivre son rêve. Avec une vision idéaliste de Montréal, il arrive en ville le coeur rempli d’espoir et veut contribuer à la réparation de nos infrastructures détériorées afin que la métropole retrouve sa gloire d’antan. Cependant, il se rendra vite compte que ce sera plus compliqué que prévu avec la bureaucratie, la corruption et tous les problèmes que notre ville connait présentement. Heureusement que Ponto est doté d’un optimisme légendaire qui l’aidera à passer à travers tout ça. Au-delà d’être un personnage mignon, Ponto symbolise aussi l’enfant que nous avons à l’intérieur de nous. Celui qui s’émerveille devant tout ce qu’il voit. J’espère que Ponto saura raviver le sentiment d’appartenance des Montréalais envers leur ville. PS: Un admin peut modifier mon titre et enlever la faute de frappe ?
  5. Le 24 février 2010 Montréal en mutation : 25 grands immeubles en 2010 Danielle Bonneau La Presse 12 OBNL entre deux âges et coopérative rêve bleu 12 OBNL entre deux âges et coopérative rêve bleu VerdunBoulevard Gaétan-Laberge 126 logements communautaires Promoteurs : OBNL Entre deux âges et Coopérative Rêve Bleu Constructeur : à déterminer (appel d'offres vers juin) Architecte : Saïa Barbarese Topouzanov Soutien au développement : Bâtir son quartier Début de la construction : automne 2010 L'immeuble de 10 étages sera habité surtout par des personnes âgées en légère perte d'autonomie et des femmes seules de plus de 55 ans. À cause de la présence de biogaz, un design sur pilotis a été favorisé. Le projet a été reconnu comme « novateur » par la Société d'habitation du Québec. Les futurs résidants devraient emménager à la fin de 2011.
  6. 2017 est l'année du 375ème de Montréal, une année importante qui ouvre la porte à plusieurs réalisations d'envergure, qui pourraient enrichir et embellir cette ville au potentiel encore trop peu exploité. Je ne veux pas ici proposer un sondage en limitant les choix de projets, mais plutôt faire un appel de propositions, dont chacun rêve personnellement pour sa ville. L'occasion est belle de laisser aller votre imagination et vos fantaisies, tout est permis pour un cadeau d'anniversaire. Alors qu'est-ce qu'on offre à une ville comme Montréal, qui serait significatif et durable?
  7. Bientôt en prévente! Où l'eau et le ciel se rencontrent: à la hauteur de vos attentes. Situé sur plus d'un acre de terrain parfaitement manucuré, en bordure de l'eau avec accès direct à la rivière, l'élégance et le charme des 75 nouveaux condominiums saura vous faire choisir votre résidence de rêve, au bord de l'eau
  8. Nouveau projet de Belcourt sur la rue Jean-Talon à coté du site de Canvar (Vue) et avant le rouge, les condos Rêve. Pas d’info supplémentaire sur le nombre d’étage, aucun site web encore ni de rendu (ni de mention sur le site de belcourt) seulement une addresse dans les pages jaune online Belcourt Property Condo Reve 4888, Rue Jean-Talon Ouest, Montreal, QC H4P 1W9
  9. Un festival de clichés mais une grosse audience le matin(4 millions). Montréal: Montréal, deuxième ville francophone du monde après Paris attire chaque année de plus en plus de jeunes en quête de rêve américain et de qualité de vie. Quelle magie opère donc cette ville, américaine pour les européens, européenne pour les américains ? http://telematin.france2.fr/?page=chronique&id_article=36924
  10. Régis Labeaume rêve grand: http://equipelabeaume.com/quebec-2014.html
  11. Un évènement de la PGA à Montréal? (Corus Sports) - Après le Grand Prix, il se pourrait que Montréal devienne la ville-hôte d'un autre évènement sportif d'envergure, soit un tournoi de la PGA. En effet, David Skitt, fondateur et directeur de l'Omnium de Montréal de golf, a à coeur d'offrir le meilleur produit possible aux amateurs de golf. « Depuis quelques années, nous sommes en discussion avec le PGA Tour pour voir comment l'évènement pourrait évoluer, mais sans laisser de côté notre évènement du Canadian tour », a-t-il souligné. Depuis près de dix mois, les négociations entre les deux partis s'accentuent afin de trouver un terrain d'entente. « Nous sommes en négociations avec le PGA Tour pour voir quelles sont les possibilités d'amener un tel évènement ici. Il y a entre 10 000 et 15 000 spectateurs qui vont assister à l'Omnium de Montréal de jeudi à dimanche. Si nous faisions un évènement du Champions Tour, on parle de 75 000 personnes qui viendraient y assister. », explique Monsieur Skitt. Selon lui, il ne fait aucun doute que Montréal gagnerait beaucoup à recevoir un tel évènement, tant en visibilité qu'au niveau des retombées économiques. « On parle d'un évènement avec un impact économique, la première année, de 20 millions $ et dans cinq ans, ça va générer 150 millions $. Ce serait une vitrine incroyable pour Montréal, pour la province et pour le pays. Il n’y a aucun évènement du Champions Tour, du Senior Tour au Canada », avance-t-il. Les ambitions qu'a David Skitt n'étaient auparavant qu'un rêve. Aujourd'hui, ce rêve semble se rapprocher de plus en plus de la réalité. « Tout promoteur veut attirer les meilleurs athlètes mondiaux à son évènement. C'est définitivement réalisable. C'est quelque chose qui serait incroyable pour la ville de Montréal. Après l'annonce du Grand Prix, pourquoi ne pas avoir un évènement de la PGA qui a une audience de 250 millions de téléspectateurs à travers le monde », souligne-t-il. « L'opportunité qu'on a maintenant serait d'amener un évènement du Champions Tour au Québec, mais il n'y a aucune entente pour l'instant. Il y a des négociations avec chacun des paliers de gouvernement pour convaincre le plus de personnes possible d'embarquer dans ce projet-là », a-t-il conclu. L'Omnium de Montréal se tiendra du 17 au 23 août, sur le parcours de golf St-Raphaël. Le public pourra assister à l'évènement à partir du 20 août.
  12. Entrevue avec le président de la société française Train haute vitesse : Alstom rêve de relier Montréal à Boston 19 mars 2009 - 17h11 Katia Germain ARGENT Le président d'Alstom Canada et Alstom USA, Pierre Gauthier, a un rêve qu'il chérit avec d'autres : un train à haute vitesse reliant Montréal à Boston, New York et Washington. «Dans un document du National Geographic, la liaison Montreal-Boston apparaît! Je me dis, ce n'est pas impossible de la concrétiser si on en a la volonté... Nous sommes les leaders à ce chapitre. Je rêve peut-être, mais ça nous ferait un grand plaisir de participer à ce projet!», a-t-il souligné. Le président d'Alstom prononçait, jeudi, une allocution devant le Conseil des relations internationales de Montréal. L'Agence ferroviaire fédérale américaine étudie présentement la possibilité de faire circuler un train à haute vitesse dans le corridor Montréal-Boston. Selon Transports Québec, les résultats seront divulgués au printemps 2010. Des projets en vue à Montréal En parallèle, Alstom se montre intéressée par plusieurs projets actuellement caressés par Montréal. «Montréal a un plan de développement et de modernisation de son réseau de transport en commun ambitieux. Alstom pourrait contribuer à de nombreux chantiers qui pourraient être lancés par la métropole», a lancé M. Gauthier. La construction d'un futur réseau de tramway, une navette ferroviaire entre le centre-ville et l'aéroport Montréal-Trudeau ainsi qu'un train rapide Montréal-Windsor comptent parmi les projets qui suscitent l'intérêt de la société française.
  13. Leigh Sogoloff, qui passe ses soirées à faire des danses-contact au Rick's Cabaret Vegas, dans Procyon Street, à Las Vegas, explique que ses revenus ont fondu de moitié en un an. Pour en lire plus...
  14. Oyu Tolgoi, la Colline turquoise, devrait avoir la capacité de produire un million de tonnes de cuivre par an, ainsi que de l'or, représentant une manne pour ce pays pauvre du nord de l'Asie Pour en lire plus...
  15. Un pan du rêve américain s'écroule AFP Édition du jeudi 24 juillet 2008 Washington -- L'accession à la propriété était une étape majeure du rêve américain, mais aujourd'hui ce socle de la mobilité sociale s'effondre, et avec lui s'enclenche un cercle vicieux dont les professionnels ne voient toujours pas la fin, au bout d'un an de crise. Et cette spirale infernale s'étend à l'ensemble de l'économie. Comme l'a souligné début juillet le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke, le déclin du marché immobilier est «une cause majeure du ralentissement plus large de l'activité économique». De nombreux foyers modestes avaient vu dans les facilités de crédit accordées par les banques l'occasion de s'acheter un logement: en cinq ans, la proportion de ménages ayant apporté moins de 20 % du capital nécessaire à l'achat d'une maison ou d'un appartement est passé de 45 % à 58 %. Mais les banques ont fait payer cette facilité de crédit avec des taux d'intérêt plus élevés que la moyenne. Tant que le marché immobilier était haussier, les emprunteurs pouvaient toujours vendre ou renégocier leur crédit, s'ils n'étaient plus en mesure d'honorer les traites. Mais avec un marché immobilier en baisse, «cette porte de sortie se referme», comme l'explique William Emmons, un économiste de la Banque fédérale de réserve de Saint Louis dans une étude. «Tout revers financier peut rapidement se traduire en défaut de paiement.» Par pâtés de maisons À terme, les banques peuvent saisir les logements: 2,2 millions de procédures ont été lancées en 2007, selon le cabinet RealtyTrac. Les ménages surendettés sont expulsés, la maison abandonnée se dégrade, cela pèse sur le standing du quartier, et la banque est prête à brader le logement non remboursé, ce qui pèse sur le marché d'ensemble. «S'il y a beaucoup de logements vacants, à un moment ça bascule», relève Leif Haase, un responsable du centre de réflexions New American Foundation en Californie. Dans la capitale de l'État, Sacramento, touchée de plein fouet, «on voit certains pâtés de maisons où trois ou quatre maisons ont été saisies et restent vides. [...] Sans parler des lotissements construits et non habités, parce que les gens ne veulent pas vivre dans des villes fantômes». Pour finir, «l'effet boule de neige» peut conduire au développement de la criminalité, avec la promesse d'une dégradation durable des quartiers. La question qui se pose maintenant, c'est de savoir si on a touché le fond.
  16. Jeune, Gérald Tremblay rêvait de laisser sa trace quelque part dans l'histoire des avocats du Québec. Comme nouveau bâtonnier, il a l'occasion de réaliser son rêve. Pour en lire plus...
  17. La députée péquiste Lisette Lapointe dépose un projet de loi qui exclut les pensions alimentaires pour enfants du calcul des revenus à partir desquels est fixée l'accessibilité à certains programmes sociaux. Pour en lire plus...
  18. Le premier pas vers la matérialisation du rêve d'un Petit Maghreb sur la rue Jean-Talon vient d'être franchi. Nacer Boudi, propriétaire d'Atlas Net, Youcef Handi, co propriétaire du restaurant Walima, et le conseiller publicitaire du Journal de St-Michel, Claude Boulet, ont enfin réglé les questions de paperasse afin de créer l'association de commerçants de cette artère. «Présentement, cette direction n'est que temporaire, en attendant la première assemblée générale. Nous trois, nous sommes impliqués pour piloter le projet jusqu'à l'élection officielle du premier conseil d'administration», explique Nacer Boudi, visiblement fier de voir qu'enfin le Petit Maghreb devient de plus en plus réalité. Lors de cette assemblée, dont la date est encore à déterminer, les marchands pourront se prononcer sur leur accord avec le projet d'association, de développement de l'artère, sur le nom «Petit Maghreb» et enfin élire le premier conseil d'administration de l'association. Claude Boulet et lui tiennent à insister sur le côté rassembleur du projet. Un projet qui aura d'heureuses répercussions sur ce tronçon de la rue Jean-Talon, compris entre les boulevards St-Michel et Pie-IX. «L'association jouera plusieurs rôles dont ceux de défendre les droits des marchands, de promouvoir le Petit Maghreb en lui donnant un aspect maghrébin avec la coopération de la ville, comme ils l'ont fait avec la Petit Italie ou Chinatown, poursuit Monsieur Boudi. L'association permettra de travailler ensemble afin de revitaliser et d'embellir la rue Jean-Talon et de faire du Petit Maghreb un pôle attractif ce qui fera augmenter l'achalandage chez tous les commerçants.» La création d'un quartier Petit Maghreb est, semble-t-il, une première en Amérique du Nord, ce qui fera de lui un endroit unique à visiter pour tous les Maghrébins nostalgiques de leur pays. Un endroit de référence pour chaque Maghrébin ou simple voyageur de passage à Montréal. «On doit pouvoir arriver à faire de l'endroit quelque chose de reconnu. Que quelqu'un qui prend un taxi de l'aéroport pourra dire au chauffeur "Petit Maghreb!" et qu'il sache exactement où aller», ajoute Nacer Boudi. Un Petit Maghreb qui contribuera à l'enrichissement de la culture de la Métropole et même du Québec dans sa diversité. Le développement de cette artère aura certes un effet bénéfique sur l'achalandage des commerces situés sur celle-ci. Au-delà de l'aspect commercial La création d'un Petit Maghreb n'est pas tout pour Nacer Boudi. Il espère que la Ville s'impliquera activement dans ce processus afin de développer cette artère, de la transformer physiquement mais aussi pour mettre au point, avec d'autres associations de cette communauté, un genre de semaine de festivités maghrébines qui pourraient se dérouler dans le parc François-Perrault tout juste à l'arrière de la rue Jean-Talon. «Pour présenter la culture, les coutumes, les traditions, la cuisine du Maghreb, parce que c'est ça les vrais accommodements… apprendre à connaître et à respecter les valeurs de l'autre», souligne-t-il. Marchands de ce tronçon de la rue Jean-Talon, compris entre St-Michel et Pie-IX, et maintenant mieux connu sous le nom de Petit Maghreb, vous êtes invités à vous joindre en grand nombre à l'association à naître pour faire ce rêve une réalité, un endroit unique à travers toute l'Amérique du Nord
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