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  1. RCQC | Par Ici Radio Canada Publication: 08/09/2014 21:35 EDT Mis à jour: Il y a 1 heure La moitié des 1300 postes de cadres que Québec éliminera dans le réseau de la santé se trouvent à Montréal. Au total, Québec compte ainsi économiser 60 millions de dollars. Des données obtenues par Radio-Canada indiquent que le « taux d'encadrement » - qui représente le pourcentage d'heures travaillées par les cadres par rapport aux syndiqués - est plus élevé à Montréal qu'ailleurs au Québec. Neuf des 20 centres de santé et de services sociaux qui présentent le plus haut taux d'encadrement sont situés sur l'île de Montréal. C'est le CSSS de la Montagne à Montréal qui a le taux d'encadrement le plus élevé dans la province, à 7,7 %. Le seul CSSS montréalais qui n'est pas en haut de cette liste est celui de l'Ouest-de-l'Île (3,8 %). Tout en bas de la liste on retrouve le CSSS de Laval, avec un taux d'encadrement de 3,7 %. En entrevue à la fin août, le ministre de la Santé expliquait à Radio-Canada que « certains hôpitaux ont des missions plus complexes, qui nécessitent un encadrement différent ». Mais Gaétan Barrette estime que ces chiffres restent significatifs. « Pour une installation qui a la même mission, la même population, oui, il y a des taux d'encadrement qui sont beaucoup trop différents ». Le ministre Barette refusait de cibler une région et affirmait que « l'heure n'est pas à pointer des gens ». Québec cible clairement les conseillers-cadres ou « cadres fonctionnels », qui n'ont pas nécessairement d'employés sous leurs ordres. Ces cadres fonctionnels ont parfois un contact direct avec les patients, comme pour les infirmières en prévention des infections. Pour d'autres, ce statut aurait été octroyé pour d'autres raisons, entre autres salariales. Depuis la semaine dernière, l'appréhension augmente puisque plusieurs gestionnaires ont déjà appris que leur poste pourrait être éliminé. Réjean Hébert parle d'un « problème montréalais » De son côté, l'ex-ministre de la Santé, Réjean Hébert, dit tout haut ce que plusieurs répètent à micro fermé. « Il y a un problème à Montréal, un problème entre autres pour la coordination des services ». « Laval a fait un travail de réduction du nombre de cadres qui n'a pas été fait dans plusieurs établissements sur l'île de Montréal », affirme-t-il. Il remarque que la plupart des CSSS montréalais ne sont pas affiliés à un hôpital. L'ex-ministre de la Santé estime que « ces établissements-là ont moins bien performé dans la réduction du nombre de cadres et dans l'optimisation des services depuis 10 ans ». Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, estime aussi que le fait que certains hôpitaux ne soient pas affiliés à des CSSS est dans certains cas une anomalie. Le réseau montréalais alourdi par les clivages linguistiques et religieux? Le réseau montréalais n'aurait pas complété le virage de 2003 qui avait entraîné la création des CSSS. « Pour l'île de Montréal, ça a été une oeuvre inachevée », dit Réjean Hébert. « On a conservé les statuts particuliers pour les hôpitaux et on ne les a pas intégrés dans les CSSS. » Est-ce que le caractère multiethnique de la métropole complique les choses? Oui répond Réjean Hébert. « Il y a des établissements qui sont linguistiques, il y a des établissements qui sont religieux. L'Hôpital général juif est un bon exemple ». Cette situation compliquerait l'organisation des services parce que ces établissements ont une clientèle qui déborde leur territoire immédiat. Selon M. Hébert, cet état de fait ne rend pas la tâche impossible, mais réformer le réseau à Montréal demeure une opération complexe. Une bureaucratie qui alourdit la tâche des employés L'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé (APTS) estime que l'augmentation du nombre de cadres découle en partie des exigences du ministère et que cela alourdit la tâche des employés. « Nos travailleurs sociaux croulent sous les documents à compléter », dit la présidente Carole Dubé, en évoquant notamment les évaluations de performance. « Pendant ce temps-là, c'est certain qu'ils ne vont pas dans les services à domiciles. » Cette reddition de compte demandée aux établissements et aux travailleurs serait problématique, selon l'APTS. « C'est ce qui, selon nous, fait que le nombre de cadres a augmenté de façon aussi importante », affirme Mme Dubé. Son organisation n'est pas convaincue que des fusions viendront à bout du problème. Elle donne en exemple la vague de fusions de 2003, qui a provoqué une augmentation du nombre de cadres sans pour autant améliorer la qualité des services. D'après les informations de Davide Gentile http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/09/08/reseau-de-sante-680-postes-de-cadres-elimines-a-montreal_n_5788072.html
  2. Avis aux médias - Un autre Québec est possible - Lancement de l'Alliance sociale QUÉBEC, le 3 nov. /CNW Telbec/ - Afin de contrer le discours de droite de plus en plus présent sur la scène publique et en prévision des consultations prébudgétaires du ministre des Finances, Raymond Bachand, des groupes progressistes lancent l'Alliance sociale. Les représentantes et les représentants des médias sont invités à une conférence de presse qui se tiendra le 5 novembre 2010, à 9 h 30, à l'hôtel Québec Hilton, à la salle Beauport. Cet événement se déroulera en présence de Michel Arsenault (FTQ), Claudette Carbonneau (CSN), Réjean Parent (CSQ), François Vaudreuil (CSD), Lucie Martineau (SFPQ), Dominique Verreault (APTS), Gilles Dussault (SPGQ), Louis-Philippe Savoie (FEUQ) et Léo Bureau-Blouin (FECQ).
  3. La Banque Laurentienne prévoit une autre année record Publié le 04 mai 2009 à 17h24 | Mis à jour le 04 mai 2009 à 17h27 La Presse Canadienne Montréal La Banque Laurentienne (LB) fait un pied de nez à la récession: elle s'apprête à connaître un nouvel exercice record en matière de dépôts et de prêts. C'est ce qu'a indiqué lundi le président et chef de la direction de l'institution montréalaise, Réjean Robitaille, au cours d'une allocution prononcée à la tribune du Cercle canadien. «On connaît nos six premiers mois de l'année, on connaît ce qu'on a dans le pipeline et c'est déjà plus élevé (en volume) que l'année dernière», a-t-il expliqué en point de presse par la suite. Il est encore trop tôt pour savoir si les profits atteindront eux aussi un niveau inégalé. Au dernier exercice, terminé le 30 septembre 2008, le secteur particuliers et PME de la Laurentienne a enregistré un chiffre d'affaires de 415 millions $ et un bénéfice net de 45,4 millions $. Les profits nets totaux de la Banque ont atteint 102,5 millions $ sur des revenus de 630,5 millions $. L'institution profite de la bonne résilience de l'économie québécoise, mais elle sait aussi se faire opportuniste. Pendant la saison REER, elle a offert, par le biais des conseillers financiers indépendants qui sont clients de sa filiale B2B Trust, un compte d'investissement à intérêt élevé qui lui a permis d'aller chercher «des milliards de nouveaux dollars très, très rapidement», s'est félicité M. Robitaille. Des fonds que l'on prêtera à la clientèle d'affaires de l'ensemble du pays. La crise du crédit, qui a réduit les possibilités de financement pour les entreprises, en raison notamment du retrait de certaines banques étrangères du marché canadien, a ouvert de nouvelles occasions d'affaires pour la Laurentienne. «Je reçois des appels que je ne recevais pas avant», a confié le PDG. «Il y a des projets qui nous intéressaient plus ou moins par le passé parce qu'il y avait tellement de compétition et que la tarification était à des niveaux qui étaient, selon nous, pas profitables. Eh bien là, tout à coup, l'environnement (l'écart entre les taux d'intérêts d'emprunt et de prêt) fait que c'est intéressant pour le client et que ça peut l'être pour nous.» Les meilleurs rendements obtenus du côté du financement commercial permettent à la Laurentienne d'atténuer quelque peu la diminution des marges bénéficiaires dans le secteur des hypothèques résidentielles, une situation attribuable à la vive concurrence et aux faibles taux d'intérêt. Pas si pire, la récession? Fait intéressant, Réjean Robitaille n'est pas convaincu que la récession actuelle est la pire depuis la Grande Dépression, comme le répètent plusieurs économistes depuis des mois. «Jusqu'à présent, ça semble mieux que celle du début des années 1980», a estimé celui qui se qualifie d'«éternel optimiste». Par contre, la récente poussée des bourses ne veut pas dire que le pire est nécessairement derrière nous. «2009 va être une année relativement difficile», a convenu M. Robitaille, ne sachant trop comment interpréter la «lueur» des dernières semaines. «Les pertes sur prêts vont augmenter», a-t-il prévenu, avant d'ajouter qu'«aucune banque n'est immunisée» contre une récession. Le grand patron a expliqué lundi la solidité actuelle de la Laurentienne par les leçons tirées de l'éclatement de la bulle technologique, en 2000-01, qui lui avait coûté cher. Cette prudence a dissuadé la banque de se lancer massivement dans le papier commercial adossé à des actifs (elle en détenait tout de même pour 20 millions $ en 2007) et les produits dérivés complexes. Pour la suite des choses, Réjean Robitaille craint qu'on sorte de la crise sans apporter des changements importants au système économique. Comme bien d'autres, il s'attend à ce que la réglementation soit resserrée. Mais en évoquant certains scandales financiers américains des dernières années, il constate «que les gens n'ont pas vraiment appris». Circonspect sur les réformes à mettre de l'avant, M. Robitaille glisse tout de même que la rémunération de certains dirigeants américains a été «scandaleuse». Il souhaite que l'on mette moins l'accent sur le rendement à court terme pour privilégier davantage le long terme. Quant à la nomination de Michael Sabia à la tête de la Caisse de dépôt et placement du Québec, décriée par certains commentateurs, le grand patron de la Laurentienne se montre beau joueur. «Ce n'est pas maintenant qu'on peut juger de la pertinence de M. Sabia, ça va être dans quelques années», a-t-il affirmé.
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