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  1. http://www.lapresse.ca/sports/autres-sports/olympisme/201604/19/01-4972713-jeux-de-2026-les-e-u-ferment-la-porte-a-une-candidature-quebec-lake-placid.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-title_article_ECRAN1POS2&utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_Autres%20contenus%20populaires_article_ECRAN1POS2 Publié le 19 avril 2016 à 06h49 | Mis à jour à 06h49 Jeux de 2026: les É.-U. ferment la porte à une candidature Québec-Lake Placid En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important... (PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE) En plus d'avoir le dénivelé skiable le plus important à l'est des Rocheuses, la montagne de Whiteface, située à quelques kilomètres de Lake Placid, dans le nord de l'État de New York, compte plusieurs infrastructures pouvant accueillir les Jeux d'hiver, notamment des tremplins de saut à ski. Jean-François Bégin La Presse Le Comité olympique américain (USOC) dit non à une participation de Lake Placid à une éventuelle candidature de Québec pour les Jeux olympiques d'hiver de 2026, écartant ainsi d'emblée l'un des scénarios envisagés publiquement par le maire Régis Labeaume. Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains... (Photo Shaun Best, Archives Reuters) - image 1.0 Utilisée comme base d’entraînement par les athlètes américains après avoir été l’hôte des Jeux d’hiver à deux reprises (1932 et 1980), Lake Placid détient plusieurs atouts qui font défaut à la candidature de Québec comme le site potentiel des Jeux d’hiver. On retrouve notamment dans la région une piste de luge-bobsleigh-skeleton (notre photo). « Le Comité olympique américain est concentré à 100 % sur notre candidature pour attirer les Jeux [d'été] à Los Angeles en 2024 et nous n'envisageons pas de candidature pour 2026 », a écrit le porte-parole du USOC, Patrick Sandusky, dans un courriel envoyé à La Presse. Relancé, M. Sandusky a précisé qu'aucune ville américaine ne peut être partie à une candidature d'une ville étrangère sans l'assentiment du USOC - et que cela constituait une fin de non-recevoir à la participation de Lake Placid aux projets de Québec, qui restent d'ailleurs à confirmer. Plus de 20 ans après l'échec de la tentative de Québec d'obtenir les Jeux de 2002, la Capitale nationale a de nouveau attrapé la fièvre olympique, le mois dernier, quand le maire Labeaume a fait savoir que le président du Comité international olympique (CIO), Thomas Bach, l'avait invité à Lausanne. M. Labeaume s'est rendu en Suisse la semaine dernière. Au terme d'une rencontre de cinq heures, il s'est dit convaincu du sérieux de la volonté du CIO de réformer les Jeux pour les rendre plus « modestes » et moins coûteux. Selon l'Agenda 2020, que le CIO a adopté en décembre 2014, il est désormais possible pour deux villes de présenter une candidature conjointe. «Ce n'est plus une hypothèse, c'est acquis. Il n'y a aucun problème pour qu'on tienne ça dans deux villes, même deux pays différents. C'est majeur.» Régis Labeaume Maire de Québec, discutant avec les médias qui l'avaient accompagné lors de sa visite en terre helvétique la semaine dernière Le maire avait évoqué la possibilité que Québec, s'il décide de plonger, fasse cause commune avec Calgary ou Vancouver, qui ont organisé les Jeux en 1988 et 2010 respectivement, ou encore avec Lake Placid. La petite localité du nord de l'État de New York, située à 400 kilomètres de Québec, a été l'hôte des Jeux d'hiver à deux reprises, en 1932 et en 1980. Le mois dernier, le maire Craig Randall avait confirmé au Soleil avoir eu des « discussions très préliminaires » avec Régis Labeaume au sujet d'une participation de sa ville à une possible candidature. Le maire de Québec a indiqué la semaine dernière qu'il comptait rencontrer M. Randall à son retour d'Europe. Il n'a pas été possible de parler à M. Labeaume au terme de la séance du conseil municipal, hier soir. Joint au téléphone, son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, a réitéré le message répété récemment par son patron : « On n'est pas en mode olympique, on est en mode exploratoire. On regarde les possibilités. » Dans ce contexte, « il n'est pas question de déception » malgré le veto exprimé par le USOC - d'autant plus, a-t-il ajouté, que c'est le maire de Lake Placid qui avait relancé l'idée d'une collaboration lors d'une entrevue avec Le Journal de Québec, l'hiver dernier. DES ATOUTS Toujours utilisée comme base d'entraînement par les athlètes américains, Lake Placid détient plusieurs atouts qui, dans l'hypothèse d'une candidature conjointe, auraient permis à Québec de ne pas avoir à construire des éléphants blancs potentiels comme une piste de luge-bobsleigh-skeleton et des tremplins de saut à ski. La région compte aussi sur la montagne de Whiteface, dont le dénivelé skiable de 1045 mètres est le plus important à l'est des Rocheuses. L'absence dans les environs de Québec d'une montagne suffisamment haute pour tenir la descente masculine était jusqu'ici considérée comme un handicap fatal pour les chances de Québec de devenir ville olympique. Le maire de Calgary, Naheed Nenshi, n'a pas commenté jusqu'à présent la possibilité d'une candidature conjointe avec Québec. Son homologue de Whistler, Nancy Wilhelm-Morden, s'est pour sa part dite « très intéressée ». Il reste qu'avant même que le USOC ne signifie hier son refus, certains observateurs doutaient du réalisme d'un partenariat entre Québec et d'autres villes nord-américaines. Pour Robert Livingstone, éditeur du site spécialisé gamesbids.com, qui se consacre aux candidatures olympiques, le concept « est plus approprié sur le continent européen, où les distances sont plus courtes et les frontières à l'intérieur de [l'espace Schengen] sont ouvertes ». « Les vastes distances proposées en Amérique du Nord et une frontière surveillée si ce sont des Jeux Canada-États-Unis auraient un impact sur la qualité de l'expérience des Jeux et réduiraient de manière significative les chances de succès de Québec », a-t-il écrit sur son blogue la semaine dernière. Tant le maire Randall que les dirigeants de la New York State Olympic Regional Development Authority (ORDA), qui gère les installations olympiques de Lake Placid, ont refusé d'accorder une entrevue à La Presse, hier. Jeux olympiques de 2026: pas de référendum à 6 millions Si Québec se lance dans une candidature pour les Jeux d'hiver de 2026, pas question de faire un référendum évalué 6 millions, dit Régis Labeaume. Le maire de Québec assure du même souffle que la population sera consultée « en bonne et due forme ». Dans un monde idéal, les citoyens pourraient voter sur une candidature olympique en même temps que le scrutin municipal de novembre 2017, estime M. Labeaume. Or, la loi québécoise ne le permet pas. « Je ne dépenserai pas 6 millions pour un référendum, oubliez ça. C'est-tu clair ? Ce que j'aimerais est qu'on puisse consulter le monde en même temps que les élections. Ce serait bien moins compliqué et ça ne coûterait pas une cenne de plus », a-t-il lancé, hier, en mêlée de presse avant le conseil municipal. L'autre option pourrait être la signature de registres, qu'avait privilégiée l'ancien maire Jean-Paul L'Allier pour la candidature de 2002. « Mais ce que la population doit savoir est qu'elle sera consultée », a tranché le maire. - Le Soleil
  2. Toujours les mêmes Cr%?%$/ de platitudes sur le fait que rien ne marche à Mtl. QdS? Griffintown? Séville? Altitude? Nouveau Marriott? CRCHUM? Quartier de muséums nature? Putain, des types payés pour réfléchir, et qui ne font que répéter des clichés braillards et faciles......
  3. Régis Labeaume rêve grand: http://equipelabeaume.com/quebec-2014.html
  4. Fini les mamours avec Québec Michelle Coudé-Lord Le Journal de Montréal 11/08/2009 04h27 L’ambiance n’est plus au beau fixe entre Gérald Tremblay et Régis Labeaume, que l’on voit ici réunis lors de jours plus heureux. Une nouvelle guerre s'ouvre entre Montréal et Québec. Le calendrier des festivals est au coeur du débat. La décision d'Alain Simard et de la Ville de Montréal de déplacer en juin les FrancoFolies vient d'ouvrir une boîte de Pandore. Le maire de Québec, Régis Labeaume, et le maire de Montréal, Gérald Tremblay, tous deux en élection, défendaient chacun leur territoire avec vigueur, hier. Pour le maire de Québec, "Montréal vient de poser un geste méprisant." Pour une question de rentabilité, voire de «survie» selon Alain Simard, les FrancoFolies auront lieu du 9 au 19 juin, comme il y a trois ans. La présentation en août de l'événement affiche un manque à gagner de 400000 $ à 600000 $. «Les FrancoFolies en août, ce n'est pas viable. Et il fallait réagir et profiter au maximum de cette nouvelle Place des festivals. On ne nuit pas à personne. Le Festival d'été de Québec est assez gros et indépendant pour ne pas être affecté par notre décision. Et le temps des chicanes de clochers est révolu, je crois. On se doit de travailler ensemble pour que les festivals redonnent le plus au Québec» indiquait- il hier au Journal de Montréal. Un affront pour Québec Le maire de Québec condamnait hier ce geste unilatéral, sans consultation, de Montréal. «Ce n'est pas vrai qu'un businessman, nommé Alain Simard, va décider unilatéralement de changer de dates son festival, de nous faire mal, sans qu'on réagisse. Je n'ai pas l'habitude d'être une victime. Les FrancoFolies en juin, ça signifie que les artistes étrangers vont prioriser Montréal au détriment de Québec. Si Spectra mène mal ses affaires, qu'il change de modèle» confiait hier en fin d'après-midi, au Journal de Montréal, Régis Labeaume. Réplique du maire Tremblay La réplique du maire Tremblay ne s'est pas fait attendre, et est tout aussi franche et directe. «Je dis bravo à Québec pour tous leurs bons coups. Mais quand M. Labeaume décide de tenir un grand festival du rire en juillet, ce qui nuit au Festival de l'humour de Gilbert Rozon à Montréal, il ne nous demande pas conseil. Or, cette décision est logique pour nous. Moi, je suis là pour défendre les Montréalais et Montréalaises. Alain Simard et Gilbert Rozon sont de grands partenaires ; le projet de la Place des festivals est de 147 M$, dont 67 M$ viennent de la Ville de Montréal, il faut maximiser cet investissement. Les FrancoFolies sont une institution pour nous, et pour toute la culture francophone, une vraie richesse. Je tiens donc à la défendre». Québec ou Montréal ? Le maire Labeaume, qui a déjà été président du Festival d'été de Québec, dit connaître ce dossier-là par coeur et n'aime pas cette «façon de faire de Montréal». «J'ai reçu un appel du maire Tremblay lundi matin pour m'annoncer la conférence de presse d'Alain Simard concernant cette décision. Jamais il m'a dit qu'il l'accompagnait. Je me demande d'ailleurs ce qu'il faisait là. C'est lui qui provoque la chicane. Ce changement de calendrier fait mal à tous les festivals de l'est du Québec. Si les FrancoFolies existent depuis 20 ans, moi, je leur rappelle que le festival d'été de Québec existe depuis 42 ans. Je ne savais pas que notre succès les dérangeait tant que ça. Une chose est certaine, on ne se fera pas dicter quoi que ce soit par une entreprise privée comme Spectra. Nous aussi nous avons nos appuis», ajoute le maire de Québec. Le maire Tremblay dit pour sa part agir pour le bien de sa ville. «Quand il vient chercher le Cirque du Soleil, quand il crée le Moulin à images, on l'applaudit et M. Labeaume n'appelle pas personne. Nous, on fait ce qu'il y a de mieux pour Montréal et ce sont les Francos en juin. Le Festival d'été de Québec est assez mature pour résister à cela.» Le conseil d'administration du Festival d'été de Québec se réunissait d'urgence hier soir et le maire Labeaume entendait bien faire des représentations auprès de plusieurs ministres. «On va se battre, c'est certain» a lancé Régis Labeaume. Les «mamours» entre Québec et Montréal sont vraiment terminés. Plusieurs ministres du gouvernement Charest devront choisir leur camp... Québec ou Montréal. Le Festival de jazz de Montréal suivra les Francofolies et sera présenté du 25 juin au 6 juillet 2010. Le Festival d'été de Québec est présenté du 8 au 18 juillet 2010.
  5. Dans un contexte économique difficile, et en pleine négociations avec ses employés, le maire Régis Labeaume présente un budget prudent et limite les hausses de taxes à l'inflation. Pour en lire plus...
  6. Ooh La La Kelly Ripa finds romance in Montreal. By Joseph Guinto. Photograph by Robert Ascroft. Kelly Ripa has talked to every single living celebrity in America. Twice. Maybe even more. I have not verified this fact, per se, but she’s served alongside TV legend Regis Philbin for almost seven years as cohost of Live with Regis and Kelly, so it must be true. Or close to it. And yet, Ripa — plenty famous in her own right, known for acting on All My Children and in sitcoms as well as for playing the role of TV talker — is still genuinely interested in the vaporing of the vainglorious, the gabbing of the glitterati. You know, the stuff that famous people talk about. She Said… Here’s where Kelly Ripa parle français in Montreal. LODGING Hôtel le St-James, very expensive, (514) 841-3111, http://www.hotellestjames.com Hotel St-Paul, expensive, (514) 380-2222, http://www.hotelstpaul.com DINING Eggspectation, inexpensive, (514) 282-0119, http://www.eggspectation.ca Ferreira Café, moderate to expensive, (514) 848-0988, http://www.ferreiracafe.com Olive & Gourmando, inexpensive to moderate, (514) 350-1083, http://www.oliveetgourmando.com NIGHTLIFE Vauvert, expensive, (514) 876-2823, http://www.restaurantvauvert.com THINGS TO SEE AND TO DO IN *MONTREAL Formula One Grand Prix du Canada, http://www.formula1.com Just for Laughs Comedy Tour, (514) 845-2322, http://www.justforlaughs.ca Montreal International Jazz Festival, (514) 871-1881, http://www.montrealjazzfest.com Old Montreal, http://www.vieux.montreal.qc.ca Spa Diva, (514) 985-9859, http://www.spadiva.ca SHOPPING Les Cours Mont-Royal, (514) 842-7777, http://www.lcmr.ca “I’m a pop-culture junkie,” she says from her office inside ABC’s Manhattan headquarters, where Live is produced. “I never get tired of it. There’s always something they haven’t revealed, something that you’ve never heard anywhere else. I really find it fascinating.” Then again, not everything the famous and rich say and do is fascinating. And, to be sure, some things are simply better left unrevealed. To wit, do you really want to know that Britney Spears had a number-three value meal with a Coke at McDonald’s last night? Probably not. But many of us — or at least I — still manage to obtain this type of knowledge on a daily basis. It would be wrong to blame Ripa for that. She’s certainly never grabbed a camera and followed a pop star to a fast-food restaurant. (I have not verified this fact, per se, though surely it is true.) But Ripa, 37, does regularly open her own life to the other pop-culture junkies in the world, right down to discussing what she had for dinner last night. Each weekday morning on Live, she and Philbin, 76, engage in 20 minutes of remarkably unscripted banter that touches on everything from their noshing habits to the day’s news (well, celebrity news, anyway) to where babies come from — specifically, where Ripa’s babies come from, in at least one case. I had somehow forgotten about this when Ripa and I recently chatted. We were talking about Montreal, her favorite romantic getaway and a place that she and her husband, fellow All My Children alum Mark Consuelos, visit nearly every year sans the kids (Michael, 10; Lola, 6; and Joaquin, 4). But then, exactly 10 minutes and 34 seconds into our conversation, Ripa reminds me that she keeps few secrets from the public. “One of our children was conceived in Montreal, actually,” she says, quite unprompted. “Mark and I went for our anniversary one year, and Joaquin was our souvenir.” This is one of those things that we — okay, maybe it’s just me — actually don’t want to know. Or maybe it’s just something that we — or again, maybe it’s just me — don’t know how to react to. Regis would likely come up with something witty or wacky to say in reply. The best I can do is, “Oh, so Joaquin came right out speaking French, eh?” I am no Regis. Thankfully, since Ripa talks for a living, she bails me out. “That’s why we gave Joaquin the exotic name,” she says. “I was going to name him Jean Pierre. But I thought that was too much. Jean Pierre Consuelos doesn’t really go together.” Jean Pierre. It’s probably just a joke. But still, I hadn’t heard that before. It’s funny — and, sure, fascinating. You know what else is fascinating? Montreal. Especially Kelly Ripa’s Montreal. Here are the things you do want to know about. We Said… Here’s where we allons in Montreal. LODGING Novotel Montréal Centre, moderate, (514) 861-6000, http://www.novotelmontreal.com. The Canadian dollar is no longer a bargain, but the Novotel still is. Its budget-friendly digs are comfortable and convenient, and it’s near the intersection of Rue Sainte-Catherine and Rue Crescent, where clubs, restaurants, and shops abound. Opus Hotel Montreal, moderate to expensive, (514) 843-6000, http://www.opushotel.com. If you were a touring rocker with a touch of fame, you’d probably stay at this slick, modern downtown hotel. It would be a smart move. The Opus offers its style at a discount, compared with prices at Montreal’s other sleek digs. DINING Au Pied de Cochon, moderate to expensive, (514) 281-1114, http://www.restaurantaupieddecochon.ca. You will be fighting for a reservation with foodies from around the world at this simply decorated eatery, where pork and foie gras are the main attractions. Yes, they cook them together. Banquise, inexpensive, (514) 525-2415. Located in the Plateau neighborhood, largely a French-speaking area of town, this diner-style restaurant serves more than a dozen different kinds of poutine. That’s a Quebec specialty featuring, when at its most basic, french fries topped with cheese curds and gravy. C’est magnifique! Le Réservoir, inexpensive to moderate, (514) 849-7779. This neighborhood joint is just off what Montrealers call the Main — Boulevard Saint-Laurent, the old dividing line between the French- and English-speaking sides of town. Celebrate the détente with international snacks, and drink house-brewed beers until the last call, at three a.m. NIGHTLIFE Casa del Popolo, (514) 284-0122, http://www.casadelpopolo.com. Maybe you’ll get lucky and catch the next Arcade Fire performance at this venue, which is popular with the indie-rock set. Les Deux Pierrots, (514) 861-1270, http://www.lespierrots.com. Does sitting in a brick-walled bar in Montreal’s oldest neighborhood while singing along to French and English cabaret songs sound silly? Well, then, it’s time to get silly. SHOPPING Marché Bonsecours, (514) 872-7730, http://www.marchebonsecours.qc.ca. Unfortunately, they’re no longer selling fresh vegetables at this European-style marketplace. But they are selling locally made crafts, so that’s nice. ATTRACTIONS La Basilique Notre-Dame de Montréal, (514) 842-2925, http://www.basilique nddm.org. Is the interior of this scaled-down, nineteenth-century replica of Paris’s Notre-Dame more dramatic than the original’s? That depends on how you feel about the stunning use of the color blue. Le Mont Royal, (514) 843-8240, http://www.lemontroyal.qc.ca. Frederick Law Olmsted, who laid out New York’s Central Park, also designed this sprawling space. It’s filled with hiking and biking trails and is capped by a 98-foot-high cross, which honors Paul de Chomedey, Sieur de Maisonneuve, the city’s founder. About Montreal: There are more than 3.6 million people in Montreal and its immediate urban area. That’s nearly half the population of the province of Quebec. Some 70 percent of those people are native French speakers, making Montreal the second-largest francophone city in the world, after Paris. Plus, Montreal is in Canada. About Kelly Ripa’s Montreal: “My husband has friends who live in Montreal,” Ripa says, “and he’d been raving about it for years, telling me how wonderful it is and that we just had to go and that I would love it. The first time I went, I think, was for our fourth or fifth wedding anniversary. When we landed, everyone at the airport was speaking French. So I turned to Mark, and I said quite possibly the dumbest thing I’ve ever said in my life. I said, ‘You’re right; it’s so romantic and wonderful. It’s just like being in another country.’ He said, ‘I hate to burst your bubble, but we are in another country.’ ” About Montreal: The city has seen a boom in swank boutique hotels in recent years, especially in Old Montreal, a neighborhood with narrow, cobblestoned streets that dates back to the founding of the city, in 1642. Plus, Montreal smells nice. About Kelly Ripa’s Montreal: “The St-James in Old Montreal is a wonderful hotel,” Ripa says. “It is simply luxurious. Also, the St-Paul Hotel is very boutiquey and kind of rock and roll. They give you these wonderful colognes that you can take with you when you leave. I sometimes call the hotel and ask them to send me some because they smell so good.” About Montreal: The city claims to have more restaurants per resident than any other city in North America. It is famous for café au lait, smoked meats, and game-based Quebecois cuisine. Plus, some of the restaurants serve breakfast even at lunchtime. About Kelly Ripa’s Montreal: “Mark and I go there without our kids,” Ripa explains. “It’s the only place we go without our kids. I mean, I know it’s wonderful for children, but it’s just been our romantic-getaway place. So we usually get up and have breakfast at lunchtime — which, you have to *understand, with three kids, that’s such a luxury for us to not have to get up early. So we usually go to Eggspectation. It’s a very good sort of diner-breakfast place. There’s also a specialty place called Olive & Gourmando in Old Montreal. It has café au lait and croissants and beautiful breads. Unfortunately, I don’t know the street it’s on. Mark and I just sort of wander around there.” About Montreal: The city has thriving live jazz and rock scenes — the noted indie act Arcade Fire is just one rock band to emerge from Montreal. And the city is packed with watering holes. There are, on average, 9.5 bars per square kilometer. Plus, there are lots of restaurants and music venues (which can also be called watering holes). About Kelly Ripa’s Montreal: “If you [can], go to Old Montreal. There are these little cobblestone streets, and every place is a jamming supper club or an amazing jazz bar,” Ripa says. “I just think it’s magic. “You have dinner very late there. It’s very European in that way. Then a lot of these restaurants that start out serving food will turn into nightclubs. All of a sudden, the tables vanish and a DJ comes out. “They have this place called Vauvert in the St. Paul. You can have dinner, and then right after dinner, the DJ comes in. They call it diabolique when the DJ is there on Saturday nights. It’s like a big party. So you eat dinner, and then you dance. It’s one-stop shopping. Plus, the people are gorgeous, and the waitresses have designer uniforms. It’s all very sleek and very elegant.” About Montreal: More than half the Canadian fashion industry’s workers are employed in Montreal. It’s no surprise, then, that the city is home to numerous fashion designers and boutiques. Plus, there are spas. About Kelly Ripa’s Montreal: “For shopping, I like to go to the Cours Mont-Royal,” Ripa says. “It’s kind of like a mall, but there are a lot of small boutiques in there. I mean, you have to buy something when you travel. You have to at least get the kids something. You’re leaving them. ‘Bye! We’ll be back in two days. Have fun with Grandma and Papa!’ Also, I really love Spa Diva, which is in the Cours Mont-Royal. It’s very relaxing.” About Montreal: Despite the fact that Montreal is known for its French speakers and French heritage, one in four Montrealers is an immigrant, and the city is surprisingly diverse, supporting its own Chinatown and Little Italy. There’s also a slice of Portugal. About Kelly Ripa’s Montreal: “There’s a wonderful place called Ferreira Café, which Mark took me to for my birthday one year,” Ripa says. “It’s Portuguese food and is just fabulous. Mark kidnapped me. I’m not kidding. He flew me blindfolded to Montreal and took me to Ferreira. Well, I was allowed to take the blindfold off when we landed. I didn’t have to eat blindfolded. He had me home in time for the show the next day.” About Montreal: Winters are long and can be stingingly cold, which explains why the city loves its warm-weather festivals. It hosts international mega-gatherings to celebrate jazz, comedy, and film. It also has really fast car races. About Kelly Ripa’s Montreal: “Mark loves the Formula One race,” Ripa says. “He goes every year if he can. That’s in June. They also have the jazz festival. That’s great; it’s in July. But the comedy festival, for me, is the most special. You see the most amazing performers. You just know that any day now, a sitcom is going to come out of one of the great performances you just saw on the stage.” About Montreal: The city is the site of a semi-risqué routine performed at the aforementioned Just for Laughs comedy festival by a certain American star named Kelly Ripa. It included some, ah, other performers. About Kelly Ripa’s Montreal: “Yeah, thanks for noticing that I did that,” Ripa says. “It was amazing fun. The joke was that we hired all these drag queens to do a burlesque striptease with me. I had just had a baby, and they all looked much more like women than I did. So people were like, ‘Oh, look at these beautiful women … and Kelly.’ Then the audience figured out that they were all men … and Kelly.” Career Questions Kelly Ripa explains what she does when she’s not relaxing in Montreal. Did you set out to be an actor/talk-show host? No. My whole career has been a series of accidents. I accidentally got into acting because my friends were doing it. They were doing extra work, and they were making good money. So I was like, Hey, why not? That led to the soap [All My Children], which led to the talk show, which led to the sitcom, which led to the production company. What production company? Mark and I have a TV production company together now. We sold a scripted show that did not get picked up this past fall, and we just sold a pilot to the History Channel for an interesting show called Wild Gourmet. It’s about a man who is a trained chef and an anthropology major. He takes you through a culture’s hunting and eating of a specific animal. Why production? You can’t be on camera forever. Very few people can. So I’m one of those people who would eventually like to work behind the camera. Wait — hasn’t Regis been on camera forever? He’s the one in a million. He’s always relevant. He’s always charming. He’s always gorgeous. [Laughs] I don’t see it turning out that way for me. Speaking of Regis, I’ve heard people say he’s quitting when his contract is up. True? I don’t believe that. I’ve been hearing that since I got here. He loves it. I love it. It’s a great place to work. It’s a fun, sort of easy schedule for people like us, who really just want to be on vacation all the time. You did voice work for two animated movies that are coming out soon. What was that like? I don’t even remember. You do these things, and then for, like, the next seven years or something, they animate the film. It’s all that computer animation. I had almost forgotten that I did them. One of them, Fly Me to the Moon, my son is also in. I play a fly, and my son plays the friend of one of my maggots. It’s very cute. http://www.americanwaymag.com/tabid/2855/tabidext/3465/default.aspx
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