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  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/966622/une-premiere-arcade-de-realite-virtuelle-bientot-a-montreal/ 24/05/2016 Mise à jour : 24 mai 2016 | 3:42 Une première arcade de réalité virtuelle bientôt à Montréal Par Mathias Marchal Métro Montréal pourrait disposer dès cet été de la première arcade de réalité virtuelle en déplacement libre au Canada. C’est ce dont rêve Yan Cyr, directeur du studio Beam Me Up, situé au Technohub, dans l’arrondissement de Saint-Laurent. «À ma connaissance, on est les seuls à concevoir des salles de réalité virtuelle où tu peux te déplacer librement sans être relié à un fil. Donc, ça améliore grandement l’expérience», affirme M. Cyr. Le studio, qui développe cette technologie depuis près de trois ans, travaille avec des spécialistes du jeu vidéo pour créer des expériences immersives en 3D, mais aussi avec des ingénieurs spécialistes des objets connectés. Un collaborateur d’Exium Réalité est aussi en train de mettre au point un gant tactile qui permettra d’ajouter le sens du toucher à l’expérience de réalité virtuelle ou augmentée de Beam Me Up. Si l’arcade dont rêve Beam Me Up ne dispose pas de millions en budget, comme aux États-Unis ou en Australie, son directeur pense qu’il a de quoi en intéresser plusieurs. «Avec toutes les expériences virtuelles qu’on a créées pour tester notre technologie, on pourrait imaginer un parcours dans les locaux du studio. Il y aurait le couloir de la peur, où on serait poursuivi par des gargouilles. On aboutirait ensuite dans l’Holodec actuel [une pièce munie de capteurs], où on jouerait une partie d’échecs à saveur Harry Potter, pour finalement aboutir dans la salle principale, où il faudrait piloter un avion en évitant les obstacles ou survivre à une attaque d’extra-terrestres», illustre l’ancien cofondateur d’Enzym Lab, une entreprise spécialisée dans les tests de jeux vidéo. Video Player Mais la réalité virtuelle va bien au-delà du jeu vidéo. Le studio montréalais développe des projets immersifs avec deux musées montréalais et collabore avec l’arrondissement dans le cadre de la réfection du parc à la sortie de la station de métro Côte-Vertu. «La visualisation du futur parc ou de tout autre projet d’urbanisme peut se faire dans nos salles immersives; ça aide les décideurs publics à voir l’impact des différentes options de réaménagement qui s’offrent à eux afin qu’ils prennent les meilleures décisions», soutient Yan Cyr. L’autre gros marché qui s’ouvre au studio est celui des projets immobiliers. «Avec la réalité virtuelle en déplacement libre, tu peux entrer dans les plans 3D de ton futur appartement avant même qu’il ne soit construit. C’est quand même mieux que de le voir sur une maquette en carton», lance Yan Cyr. Effectivement, en se baladant virtuellement sur la terrasse d’un immeuble, on s’est accidentellement retrouvé sur la corniche au-dessus du vide. Et même si les images sont faites par ordinateur, on était littéralement pétrifié. Il a fallu plusieurs secondes avant qu’on arrive à mettre un pied de côté pour sortir de cette fâcheuse posture. La réalité virtuelle, c’est assez puissant. Pas étonnant alors que la technologie serve à traiter les soldats victimes de stress post-traumatiques, les joueurs compulsifs ou les victimes de phobies. C’est aussi une voie qu’explore Beam Me Up, qui a obtenu une bourse fédérale pour s’assurer la collaboration de six chercheurs en neurosciences et en intelligence artificielle. Pendant deux ans, ils étudieront les données cérébrales des utilisateurs de réalité virtuelle pour optimiser l’expérience. Où les rencontrer? Dans le cadre des activités du Printemps numérique, le studio sera présent : Au marché de la réalité virtuelle de Montréal, le 1er juin Au symposium iX, le 3 juin à la SAT Au festival Eureka, dans le Vieux-Port, du 10 au 12 juin La stratup américaine The VOID VR travaille elle aussi avec Sony Pictures sur la création de centres d’amusement de réalité virtuelle particulièrement élaborés, si l’on se fie à cette vidéo. À Melbourne, en Australie, une telle salle existe déjà, créée par Zero Latency VR
  2. Un congrès international à Montréal. (Montréal) Il y aura l'inénarrable Larry King et ses légendaires bretelles. Il y aura Carlos Slim, homme le plus riche de la planète. Il y aura des pavillons de différents pays comme à Expo 67. Et une «rivière numérique» coulera en plein Palais des congrès. Le Congrès mondial sur les technologies de l'information, présenté comme le plus important événement international de l'industrie, arrive à Montréal pour la première fois de son histoire en octobre prochain. Et les organisateurs promettent d'en mettre plein la vue, notamment grâce aux technologies de PME québécoises qui seront mises à l'honneur pendant l'événement. «C'est une conférence sur les technologies, alors on va utiliser les technologies québécoises pour créer des effets percutants et repousser les limites de ce qu'on voit habituellement dans les conférences. On va utiliser la réalité augmentée, la géolocalisation et les réseaux sociaux pour joindre les gens», explique François Morin, PDG de ce congrès mieux connu sous l'acronyme WCIT (pour World Conference on Information Technology). Tenue tous les deux ans depuis 1978 dans divers pays du monde, la WCIT promet cette année d'attirer 3000 délégués en provenance de 80 pays dans la métropole québécoise. Outre Carlos Slim, le magnat mexicain des télécommunications qui trône au premier rang des hommes les plus riches de la planète, l'événement accueillera des noms comme Justin Rattner, directeur de la technologie de l'information chez Intel, Robert Youngjohns, président de Microsoft pour l'Amérique du Nord, et Don Tapscott, un gourou des TI qui a publié plusieurs livres sur le sujet. L'animateur américain Larry King, qui dirigera une table ronde à Montréal en octobre, a participé par téléphone à la conférence de presse annonçant la tenue de l'événement. «Je vais essayer de rendre la table ronde amusante, informative et divertissante, a promis l'homme. Je veux que le public réalise la révolution provoquée par les technologies de l'information dans laquelle nous vivons.» Les thèmes abordés iront des villes intelligentes à la société numérique en passant par les soins de santé et la fameuse informatique en nuage. Une vitrine pour les technologies québécoises L'annonce du congrès a donné lieu à quelques surprises, notamment lorsque le PDG de l'événement a promis de faire couler une «rivière numérique» dans le Palais des congrès. «Il va même y avoir des roches pour traverser la rivière», a dit sans rire François Morin. Quelques explications plus tard, les journalistes ont pu comprendre qu'un flot de «zéros» et de «un» symbolisant l'ère numérique serait projeté sur le sol pendant l'événement. Autour seront installées des photos de paysages canadiens. Grâce à la réalité augmentée, les participants qui pointeront leur téléphone intelligent vers ces images verront défiler des noms d'entreprises canadiennes actives en technologies de l'information. Merchlar, une jeune boîte montréalaise dans tous les sens du terme - l'entreprise a été fondée en 2010 et la moyenne d'âge de ses 15 employés est de 26 ans - est derrière l'aspect technique de cette «rivière». «Nous espérons profiter de la WCIT pour tisser des liens avec d'autres compagnies d'ailleurs. Le domaine de la réalité augmentée est en pleine croissance et nous voulons acquérir une meilleure compréhension du marché mondial pour maintenir le momentum qu'on a créé dans le marché canadien», a dit à La Presse Affaires Jack Han, vice-président directeur chez Merchlar. Ingenium, une autre boîte montréalaise, s'occupera quant à elle de monter une plateforme permettant aux participants d'interagir sur les réseaux sociaux, tandis que Voti, de Pointe-Claire, démontrera sa nouvelle technologie d'inspection de bagages en 3D par rayons X. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201206/26/01-4538250-un-congres-international-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  3. J'aurais pu le mettre dans la section bouffe et culture, mais comme il y a des opinions de délégués de l'extérieur, je l'ai posté ici. Peu importe en réalité..... [video=youtube_share;HyLXWY2qC4Q]
  4. J'ai passé par la rue Cypress hier et je me suis dis que ça serait une belle place pour une tour. Le rendu est vraiment juste un test de volume.. il n'y a pas de textures, pas de détails, c'est même pas "rendered". J'ai mal placé mon image, je viens de me rendre compte.. elle est un peu courte, donc la tour serait plus haute en réalité. De 10-15%. EDIT: version 2
  5. La population du centre-ville de Montréal a retenu l’attention d’un groupe de chercheurs qui ont évalué, pour la première fois, l’importance qu’y a la population transitoire. L’étude, réalisée par le Groupe de recherche sur les espaces festifs (GREF) et dont les résultats ont été dévoilés lundi, a permis de constater que 23 000 individus résident au centre-ville alors que 350 000 personnes, dont 120 000 étudiants, y transitent chaque jour sans y habiter. Le Carrefour jeunesse-emploi (CJE) Montréal centre-ville, qui a donné l’impulsion au projet d’étude, espère que ces premières données lui permettront d’améliorer le financement auquel il estime avoir droit. «Nous sommes financés au prorata de la population résidente du centre-ville, a indiqué Suzanne Matte, directrice générale du CJE Montréal centre-ville. Le problème, c’est que 70 % de notre clientèle est transitoire. Seulement 30 % d’entre elle réside sur notre territoire.» Cette réalité a aussi nui au financement d’autres partenaires de l’étude, dont le Centre de santé et de services sociaux de la Montagne et le YMCA Centre-ville. Puis*qu’aucune statistique n’avait été compilée sur la population transitoire, les données des recensements avaient préséance dans l’attribution de l’aide financière. Qui transite? La principale raison de la présence de la population transitoire au centre-ville : 1 Études : 42,5 % 2 Travail : 30,2 % 3 Consommation : 27,1 % http://www.journalmetro.com/montreal/article/539225--qui-est-la-population-du-centre-ville
  6. Ce qui semblait impensable il y a peu de temps encore est devenu réalité: l'Etat helvétique engage 68 milliards de francs suisses (71,9 G$ CAN) pour aider la banque UBS en panne de liquidités. Pour en lire plus...
  7. La Banque Nationale rachète le Groupe Option Retraite 18 septembre 2008 - 17h30 La Presse Canadienne La Banque Nationale (NA) a confirmé jeudi l'acquisition du Groupe Option Retraite, une firme qui gère des actifs totalisant plus de 1,5 milliard $. Les détails financiers de l'accord n'ont pas été dévoilés. Fondé en 1993, le Groupe Option Retraite compte 180 employés et 15 bureaux au Québec et en Ontario. Il se spécialise dans les services de planification financière personnelle. «Ceci constitue notre quatrième et notre plus grosse transaction depuis le début de 2008», a commenté Luc Paiement, le coprésident et le vice-président exécutif de la gestion du patrimoine de la Banque Nationale, qui compte plus de 17 000 employés et des actifs de 122 milliards $. Selon le président-fondateur du Groupe Option Retraite, Richard Dorval, la prise en charge de la Nationale, sixième banque en importance au Canada, «permettra aux clients de bénéficier d'une plus grande variété d'outils et de services adaptés à la réalité des marchés financiers». M. Dorval joindra les rangs de la Banque Nationale en tant que conseiller spécial au groupe de direction. Plus tôt cette année, la Banque Nationale avait racheté la société torontoise Aquilon Capital, en février le groupe financier Everest du Québec et en mai, Bieber Securities du Manitoba. L'action de la Banque Nationale a progressé jeudi de 64 cents à la Bourse de Toronto, où elle a clôturé à 51,35 $.
  8. Le président du conseil d'administration accuse le milliardaire de déformer la réalité et de manipuler les faits sur les événements récents avec Microsoft. Pour en lire plus...
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