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  1. Réaménagement de l'échangeur A-20/A-25/Rte-132 L’échangeur situé à la jonction de l’autoroute 20, de l’autoroute 25 et de la route 132 à Longueuil constitue une véritable plaque tournante pour le réseau routier supérieur de la Rive-Sud de Montréal. En plus de donner accès au pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, cet échangeur assure la continuité de l’autoroute 20 le long du fleuve Saint-Laurent, dans l’axe de la route 132, jusqu’au pont Champlain. L’échangeur a été construit dans les années 60 et sa configuration géométrique présente certaines déficiences qui limitent aujourd’hui la capacité des autoroutes 20 et 25. L’achalandage est très élevé sur ces deux grands axes, soit plus de 100 000 véhicules par jour, sans compter les quelque 620 déplacements quotidiens d’autobus. De plus, trois structures qui font partie de cet échangeur ont atteint leur durée de vie utile et nécessitent une reconstruction complète. C’est aussi le cas de la chaussée de l’autoroute 20/route 132 à Longueuil, sur un tronçon compris entre le boulevard Roland Therrien et l’échangeur. Plus d'information: http://www.longueuil.ca/vw/asp/gabarits/gabarit_popup.asp?ID_MESSAGE=29539&ID_ARROND_COMM=40 et http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/monteregie_est/reame_echan_a20_a25_r132
  2. Marie-Claude Malboeuf La Presse Après Clotaire Rapaille, qui a échoué à cerner le «code culturel» de Québec, Influence Communication s'interroge - de manière plus scientifique - sur l'image de marque de Montréal. Plutôt que de sonder les âmes, la firme a analysé, pendant trois ans, une centaine de quotidiens. Qu'est-ce qui ressort lorsqu'on écrit sur Montréal? Sans surprise, l'exercice confirme que nul n'est prophète en son pays. Plus ils habitent loin de Montréal, plus les journalistes présentent la métropole du Québec de façon positive. «Mais plus il s'en approchent, plus ça se dégrade», indique Caroline Roy, analyste chez Influence Communication. Pour parvenir à cette conclusion, la jeune femme et son équipe ont repéré puis analysé 105 000 articles publiés dans 108 quotidiens en 2008, 2009 et 2010. Leur but: déterminer quel «archétype médiatique» véhiculait chaque article. Autrement dit: «Ce que les gens allaient retenir de Montréal en étant exposés à sa couverture dans les médias». «À l'étranger, Montréal est présenté comme un petit joyau culturel, particulièrement dans le domaine de la musique et du cirque, résume Mme Roy. C'est très marquant, même si notre analyse a été faite avant qu'Arcade Fire salue publiquement Montréal aux Grammys.» Du Sunday Mail britannique au San Antonio Express-News (Texas) en passant par le Boston Globe, la vitalité musicale et artistique de Montréal a inspiré 45% des 10 000 textes sur Montréal publiés dans 81 journaux étrangers depuis trois ans. Dans les 16 principaux quotidiens canadiens, la concurrence mêle un peu les cartes. La vitalité culturelle de Montréal est reconnue dans des centaines d'articles, mais des centaines d'autres affirment plutôt que Toronto déclasse la ville de Denis Villeneuve, Karkwa, Wajdi Mouawad, Yannick Nézet-Séguin et Marie Chouinard. À en croire le Toronto Star, l'élite artistique montréalaise est même «profondément jalouse» de certains succès de la Ville reine. La même ambivalence teinte les reportages économiques, qui forment 18% des 30 000 articles canadiens évoquant Montréal. «C'est impossible de dégager un archétype net, dit Caroline Roy. Certains articles qualifient notre économie de moribonde comparativement à celle de Calgary et de Toronto. D'autres soulignent notre force dans le domaine des jeux vidéo.» Lorsque les journalistes canadiens encensent Montréal, c'est presque systématiquement pour saluer son côté «festif» ou sa gastronomie (les thèmes dominants dans 26% des 30 000 articles canadiens), ou encore, parfois, son réseau de vélos Bixi. Des qualités qui retiennent aussi l'attention des journalistes étrangers. «Avoir une image aussi positive à l'extérieur, c'est très encourageant pour l'avenir de la ville, commente le vice- président de Tourisme Montréal, Pierre Bellerose. À long terme, cela devrait inciter les gens qui ne la connaissent pas à venir la découvrir. Nos sondages montrent eux aussi que le fait que les Montréalais célèbrent la vie est reconnu partout, de Terre-Neuve jusqu'en Colombie-Britannique.» «Dans le grand jeu planétaire, on se démarque, se réjouit pareillement Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. La mondialisation nous amène à être perpétuellement en train de nous demander comment les entreprises à l'étranger nous considèrent lorsque vient le moment d'investir, comment faire en sorte que les travailleurs stratégiques soient exposés à un bruit de fond positif à l'égard de Montréal. Et on semble réussir.» «Quand je voyage, des choses similaires ressortent, poursuit-il. Il y a un mois, je me trouvais avec les présidents de 18 des plus grandes chambres de commerce et on m'a demandé quel est le secret de notre succès, à Montréal, pour exploiter des créneaux très porteurs comme celui des jeux vidéo.» Décrépitude et corruption Pour le reste, par contre, Montréal n'a vraiment pas bonne presse au Canada. Ses infrastructures vieillissantes (15% des textes canadiens qui portent sur la ville) ainsi que ses scandales de corruption et la présence de la mafia (12% des textes) assombrissent la couverture des quotidiens examinés par Influence Communication. «Nos différences culturelles historiques génèrent sans doute une certaine méfiance, une ambivalence chez les journalistes canadiens, analyse Pierre Bellerose. Mais d'après moi, ce n'est pas propre à Montréal. Ils pensent sûrement la même chose au sujet du Québec dans son ensemble.» En septembre dernier, le magazine Maclean's a en effet fait sa une avec le titre: «The Most Corrupt Province of Canada», illustré d'une photo de Bonhomme Carnaval. Une manchette susceptible d'effrayer les investisseurs à l'égard du Québec en entier. Chez les touristes, l'impact de ces articles est nul, croit par contre M. Bellerose. «Je ne pense pas qu'ils les empêcheront de venir passer un week-end au Grand Prix ou au Festival de jazz», dit-il. Journaux régionaux Chose certaine, Montréal paraît encore plus mal dans les autres régions du Québec. Leurs sept quotidiens parlent relativement peu de la métropole, affirme Caroline Roy, et lorsqu'ils le font, c'est généralement pour l'égratigner sur des aspects bien précis. On y lit tout d'abord qu'elle est trop subventionnée, qu'elle pâlit à côté de la ville de Québec, que le français y est menacé, que la qualité de vie y est moindre et, seulement en dernier, que la corruption y règne. «Les gouvernements donnent trop d'argent à Montréal», écrit par exemple Le Nouvelliste. «Montréal est devenue non-québécoise», écrit le Journal de Québec. «Certains médias québécois font une fixation sur Montréal. Ils semblent s'imaginer qu'on y complote sans arrêt contre leur ville. Ça ne date pas d'hier, mais c'est maintenant cimenté», commente le professeur Marc-François Bernier, qui enseigne les communications à l'Université d'Ottawa et a déjà travaillé en région et dans la Vieille Capitale. D'après Pierre Bellerose, les journalistes régionaux et étrangers n'ont tout simplement pas les mêmes références. «C'est manifeste lorsqu'on sonde les touristes, dit-il. L'été dernier, lors du même week-end, les Américains nous répondaient que Montréal était une ville très propre alors que les Québécois des régions disaient qu'elle était très sale.» «Pour les New-Yorkais ou les Parisiens, Montréal est une ville presque relaxe, où il n'y a pas vraiment de problèmes de circulation, de stationnement ou de propreté, dit-il. Les journalistes étrangers ne s'attardent pas à nos problèmes, parce que ça cloche généralement encore plus dans leur ville, et exactement sur les mêmes points.» *** Ce qui a été analysé Influence Communication a trié tous les articles publiés dans 108 journaux représentatifs de leur marché en 2008, 2009 et 2010. Parmi ceux-ci, 105 000 contenaient plus d'une mention de Montréal et ont donc été analysés: > 10 000 ont été publiés dans 81 quotidiens étrangers (57 américains, 16 anglais et 8 français); > 30 000, dans 16 quotidiens canadiens; > 15 000 dans 7 journaux québécois hors Montréal; > 50 000 dans 4 quotidiens montréalais. Les articles portant sur le sport ont été exclus. 1. Ville aux lourdes structures et échec des fusions 20,2% 2. Métropole culturelle en péril 18,3% 3. Ville minée par la corruption 12,3% 4. Ville aux infrastructures vieillissantes 10,0% 5. Ville de jeux vidéo 4,4% 6. Ville festive 4,2% 7. Ville propice au cyclisme 3,7% 8. Ville de musiciens 3,6% 9. Ville qui perd sa population au profit de la banlieue 3,1% 10. Ville truffée de nids-de-poule 3,1% 11. Ville sale 3,0% 12. Ville trop subventionnée comparativement aux autres 2,3% 13. Ville en déclin comparativement à Québec 1,6% 14. Ville où le français est menacé 1,5% 15. Ville de cirque 1,5% 16. Haut lieu de la mafia italienne 1,4% 17. Ville où règne une piètre qualité de vie 1,3% 18. Siège de la clique du Plateau qui dirige le Québec 1,2% 19. Destination touristique agréable 1,1% 20. Ville froide et enneigée 0,6% http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201103/12/01-4378665-montreal-cest-beau-de-loin.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS2
  3. Le grand bouleversement Mise à jour le lundi 30 mars 2009 à 23 h 09 La presse écrite est en crise aux États-Unis. Les salles de nouvelles sont constamment réduites et des journaux menacent de fermer. Certains abandonnent même leur version papier pour se retrouver sur Internet. Il faut dire que la crise actuelle accélère la perte des revenus publicitaires, qui sont de plus en plus éparpillés. La crise des médias s'est fait sentir plus vite aux États-Unis, et elle commence à atteindre le Canada. Florian Sauvageau, le directeur du Centre d'études sur les médias, croit que les 14 quotidiens québécois sont à l'aube d'un grand bouleversement. Le problème, c'est le modèle économique qui est en train de se briser, le financement surtout des grandes entreprises de presse, 80 % par de la publicité et un maigre 20 % par le public. C'est ça qui ne marche plus. La première victime canadienne est le Groupe Canwest Global, l'éditeur du National Post et de 12 quotidiens au pays, dont The Gazette à Montréal. En 2000, Canwest a payé plus de 3 milliards de dollars pour acheter les journaux du groupe Hollinger. Or, avec la crise, les commanditaires ne sont pas au rendez-vous comme prévu, et Canwest peine à rembourser ses dettes. C'est par exemple le cas avec le domaine de l'automobile. En 2006, il a permis de rapporter 850 millions de dollars aux journaux du pays, soit 34 % de tous leurs revenus publicitaires. Aujourd'hui, la crise frappe de plein fouet cette industrie, comme bien d'autres d'ailleurs. Il y a eu beaucoup plus de compressions budgétaires au Canada anglais. Le groupe Canwest Global repousse l'échéance du paiement de ses dettes quasiment de semaine en semaine, alors c'est certain ici ce sont les mêmes annonceurs, ce sont les mêmes industries qui sont en danger. Quebecor Media publie, par l'entremise de ses filiales Osprey et Sun Media, 37 quotidiens payants au pays. Sa vice-présidente affaires publiques, Isabelle Dessureault, explique que, dans les faits, les coûts d'exploitation sont en hausse, alors que les revenus sont en baisse. Ainsi, au Journal de Québec, qui a été en lock-out pendant 15 mois, et au Journal de Montréal, où les 250 employés sont en ce moment en lock-out, il est difficile de s'entendre sur les changements à apporter. On ne peut pas renouveler un média, l'amener sur Internet, l'amener sur un téléphone mobile avec, je dirais, la structure de fonctionnement du passé. En 2008, le Journal de Montréal aurait malgré tout récolté près de 20 millions de dollars en profits. D'ailleurs, de 1997 à 2006, les quotidiens canadiens ont connu une hausse de 17 % de leurs revenus. Toutefois, même si les profits sont encore au rendez-vous, ils sont de moins en moins importants. Les revenus publicitaires pour le quatrième trimestre de 2008 pour les journaux de Sun Media, il y a eu un recul de 8 % par rapport à 2007, alors c'est quand même important au niveau publicitaire seulement. [...] En 2007 seulement, il y a eu un recul de 20 % du côté des revenus des petites annonces parce que maintenant il y a d'autres alternatives, bien sûr Internet. Internet Internet a vu ses recettes générées par la publicité quadrupler au Canada de 2003 à 2007. Il faut toutefois préciser qu'il n'y a pas que les commanditaires qui délaissent les journaux pour le web, mais aussi les lecteurs. Par exemple, en 2001, la moitié des Canadiens âgés de 18 à 34 ans lisaient régulièrement un journal en semaine. En 2007, ils n'étaient plus que 40 %. On dit que chaque lecteur de journal qui meurt n'est pas remplacé parce que les jeunes s'informent sur Internet. C'est pourquoi les journaux ont recours à Internet. C'est le cas du site Cyberpresse, qui est alimenté par les sept quotidiens du Groupe Gesca, eux-mêmes présents un peu partout dans la province. Gesca n'a pas voulu parler de ses performances pendant la crise. En revanche, le syndicat des travailleurs de l'information de La Presse dit que l'employeur ne se gêne pas à l'interne pour dire que l'heure est au resserrement budgétaire et que les revenus publicitaires diminuent, même si le tirage augmente. Les quotidiens gratuits À Montréal, le Métro et le 24 heures sont désormais incontournables, surtout en cette période de crise. Distribués gratuitement, ils sont maintenant lus par plus d'un million de Québécois chaque semaine. Le Métro par exemple, attire des milliers de jeunes lecteurs de plus que La Presse. Malgré cette tempête, c'est le calme au Devoir. Ce quotidien, le seul qui est indépendant au Québec et qui sera centenaire en janvier, possède l'avantage d'avoir des revenus publicitaires provenant de secteurs variés. C'est notamment le cas avec le monde culturel ou le domaine des institutions publiques, comme l'explique son directeur, Bernard Descôteaux. C'est sûr qu'on est obligé de travailler plus fort pour aller chercher des revenus publicitaires, mais pour le premier trimestre de 2009, nos revenus publicitaires vont être un peu supérieurs à ceux de 2008. Le Devoir possède un autre avantage: seulement la moitié de ses revenus proviennent de la publicité. Le reste provient du tirage qui, du reste, n'est pas en baisse. En comparaison, dans les autres quotidiens, c'est en moyenne 80 % des revenus qui sont générés par la publicité. Bernard Descôteaux rappelle que les lecteurs du Devoir sont très fidèles parce qu'il s'agit d'un quotidien de créneau qui se spécialise dans certains secteurs, comme la politique, la culture, le domaine des idées et le débat. Une histoire à suivre Il faut se demander si les journaux d'ici devront se spécialiser pour survivre à la crise de fond que traverse la presse écrite. Les quotidiens québécois sont assurément à la croisée des chemins. Nouvelles présentations, nouvelles plateformes, les changements ont déjà commencé. Et la crise économique devrait contribuer à les accélérer.
  4. General Motors et Chrysler auraient entrepris des discussions préliminaires en vue d'une union, selon deux grands quotidiens américains. Pour en lire plus...
  5. Feu vert pour l'achat d'Osprey Media par Quebecor 09:12 | Presse Canadienne, Le Bureau de la concurrence du Canada ne s'opposera pas au projet de Quebecor Media de faire l'acquisition d'Osprey Media, ont indiqué lundi les deux sociétés. Quebecor Media offre d'acheter le fonds de revenu Osprey Media au prix de 8,45 $ la part. Il s'agit d'une offre bonifiée annoncée au début du mois en réponse à une offre concurrente de 8,25 $ de Black Press, une entreprise de Victoria, en Colombie-Britannique, également intéressée par Osprey. Quebecor avait aussi échoué dans sa tentative pour faire bloquer cette offre concurrente par la cour. Son offre bonifiée, qui viendra à échéance le 3 août, s'élève à 414 millions $. Osprey possède entre autres 20 quotidiens régionaux et 34 autres journaux, de même que d'autres publications telles que des magazines. La société a indiqué qu'elle restait ouverte à une offre supérieure d'ici l'échéance de la proposition de Quebecor. La valeur totale de l'offre, incluant le montant d'une dette, est de 575,8 millions $.
  6. Quebecor acquiert une chaîne de journaux en Ontario Mise en ligne 01/06/2007 06h36 on error resume nextFor mp_i=11 To 6 Step -1If Not IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash." & mp_i)) ThenElse mp_swver=mp_i Exit ForEnd IfNext PC, Le Journal de Montréal, Webfin ARGENT Quebecor Média (QBR.B a annoncé, jeudi, qu'elle fera l'acquisition du Fonds de revenu Osprey Media (OSP.UN) de Markham en Ontario, l'un des plus importants éditeurs de journaux, de magazines et de publications spécialisées au Canada, pour la somme de 516,9M$. Dans un communiqué émis tard en soirée, Quebecor Média a précisé que son offre de 7,25$ par action constituait une prime de 30,6% par rapport au prix de clôture de l'action le 30 mars dernier, avant qu'Osprey Media n'annonce qu'elle entreprenait un processus d'examen de ses options stratégiques. Jeudi, la part d’Osprey Media a clôturé à 6,92$. Le prix aux termes de l'offre représente une valeur comptable totale d'Osprey Media d'environ 355,5M$ et une valeur totale d'entreprise d'environ 516,9M$. «C'est une transaction extrêmement importante pour nous car je pense que ça fait de nous le plus grand éditeur de journaux au Canada», a commenté le vice-président exécutif de Quebecor, Luc Lavoie. «Ça confirme notre engagement dans le domaine des journaux écrits, a-t-il ajouté. Je crois que ça ajoute un tirage supplémentaire de près de 400 000 copies.» Quebecor Media met notamment la main sur 20 quotidiens et 34 journaux non quotidiens. Parmi ces publications, mentionnons le Kingston Whig-Standard et St. Catharines Standard, deux journaux de l'Ontario publié depuis des décennies. «Nous croyons que grâce à l'ajout des actifs d'Osprey à notre portefeuille existant dans le secteur des médias imprimés, notre organisation sera mieux à même de relever les défis auxquels fait face notre industrie. Avec la combinaison de Sun Media et d'Osprey, Quebecor Média renforce son rôle de chef de file dans le secteur», a déclaré Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Quebecor Média. Investissement Scotia S.A.R.F. et le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario, les principaux porteurs de parts d'Osprey Media, ont convenu, sous réserve de certaines conditions, de déposer en réponse à l'offre environ 53,9% du nombre total des parts en circulation. La convention d'acquisition et de soutien prévoit, entre autres choses, une clause de non-sollicitation de la part d'Osprey Media, sous réserve des dispositions de résiliation fiduciaire conférant à Osprey Media le droit d'étudier et d'accepter une proposition supérieure, sous réserve du droit de Quebecor Média d'égaler la proposition supérieure et du versement à Quebecor Media de frais de résiliation de 15M$. Les publications d'Osprey Media comprennent 20 quotidiens et 34 journaux non quotidiens ainsi que des guides d'achat, des magazines et d'autres publications.
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