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  1. Shell songe à quitter le Québec Publié le 08 juillet 2009 à 15h42 | Mis à jour à 15h44 Le géant pétrolier Royal Dutch Shell songe à fermer sa raffinerie de Montréal et à se départir de son réseau de stations-service au Québec et dans les Maritimes. Une révision stratégique de ces activités est en cours actuellement chez Shell, dont l'issue pourrait être la fermeture de la raffinerie, ont appris avec stupéfaction aujourd'hui les employés de la raffinerie de Montréal-Est. Parmi les options examinées figurent la vente de la raffinerie en tout ou en partie, sa transformation en terminal pétrolier ou la fermeture pure et simple. La raffinerie de Shell emploie 550 personnes à Montréal. L'entreprise possède deux autres raffineries, à Sarnia en Ontario et à Fort Saskatchewan Alberta. Shell songe aussi à de départir de son réseau de distribution d'essence au Québec et dans les Maritimes.
  2. Les constructeurs américains GM et Chrysler proposeront à 90000 de leurs salariés de quitter volontairement leur emploi contre un chèque d'au moins 20000$ et un bon d'achat pour une voiture neuve. Pour en lire plus...
  3. À peine trois mois après sa nomination, le président de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Richard Guay, 47 ans, doit quitter ses fonctions pour un mois. Pour en lire plus...
  4. Fraîchement nommé à la Caisse de dépôt et placement, Richard Guay doit quitter pour un mois la barre de l'organisme qui gère le bas de laine collectif des Québécois. Pour en lire plus...
  5. Alan Schwartz va quitter, à la fin d'août, la banque qui a acheté son employeur au printemps. Pour en lire plus...
  6. Deux hauts dirigeants, Jean-Guy Langelier et Trung Huu Nguyen, ont dû quitter leur poste après une vérification interne qui a révélée «des pratiques d’achats et administratives inappropriées». Pour en lire plus...
  7. C'est donc dire que l'action de la société va quitter la Bourse de croissance et intégrer le TSX, l'indice vedette de la Bay Street. Pour en lire plus...
  8. La Presse Canadienne MONTREAL _ La direction de l'agence de presse Reuters a fait circuler un courriel interne, mardi, dans lequel elle annonçait la fermeture immédiate de la salle de rédaction de Montréal, selon les informations obtenues par le quotidien Le Devoir. Le bureau, qui ne comptait plus qu'un seul journaliste, avait subi une première vague de licenciements au début de 2004, à l'époque où Reuters, basée à Londres, connaissait des problèmes de rentabilité. Or la dernière ronde de compressions survient au moment où la compagnie fusionne ses activités avec celles de la canadienne Thomson Corp. La plupart des journalistes canadiens de Reuters travaillent à Toronto, mais l'agence a aussi des correspondants à Vancouver, Calgary, Winnipeg et Ottawa. Cela signifie que Reuters entend couvrir l'actualité montréalaise avec des journalistes basés ailleurs, précise Le Devoir dans son édition de mercredi. Reuters est la deuxième grande organisation à quitter Montréal depuis un an, l'agence de presse Dow Jones ayant plié bagages en 2007 en laissant aller son correspondant, qui écrivait aussi pour le Wall Street Journal. Ces décisions vont dans le sens inverse de ce qu'a fait une autre agence, Bloomberg, qui a ajouté un correspondant à Montréal. L'équipe des ventes de Reuters, dont les clients sont des établissements qui consomment des données financières, demeure en place. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/05/20080528-102902.html
  9. Les Mennonites menacent de quitter le Québec Montréal - La seule communauté mennonite du Québec, des protestants anabaptistes au mode de vie en marge de la modernité, menace de quitter la province francophone dans les prochaines semaines. function loadStorybewertung(bewertung) { ahah("http://www.20min.ch/ro/community/storybewertung/bewertung.tmpl?storyid=15985947&bewertung=" + bewertung,"toolbox_rating_feedback_content"); } var slide_aktiv = ""; var topstories = ""; function showTop(ziel) { //set memo slide_aktiv = ""; Effect.SlideDown(ziel,{duration:0.5}); //return false; } Comment jugez-vous cet article? Insignifiant Important (Photo: Keystone) Elle entend préserver ses enfants de l'enseignement de la théorie de l'évolution. «Tous les parents d'élèves vont quitter le Québec d'ici un mois pour échapper à des poursuites possibles évoquées par le ministère de l'Éducation», regrette Patrick Andries, père de quatre enfants avec sa femme mennonite et résident du village de Roxton Falls, à une centaine de kilomètres de Montréal. Le ministre québécois de l'Education avait visité en novembre dernier l'école fondée par les Mennonites et décrété qu'elle n'était pas conforme à ses exigences quant au cursus académique et à la formation du personnel enseignant. En juin le ministère a menacé de poursuites les membres de la petite communauté s'ils rouvraient les portes de leur école à la rentrée de septembre. «Imposer» Au Québec, plusieurs écoles religieuses appliquent le programme du ministère de l'Education en y ajoutant des cours d'éducation religieuse et de langue. Mais la communauté mennonite refuse de se voir «imposer» un tel programme. Lors de l'apprentissage de la lecture, le ministère «va imposer des histoires, des personnages, qui mettent de l'avant des modes de vie, des rôles, jugés négatifs par les Mennonites», poursuit M. Andries, citant notamment le sujet tabou de «l'homosexualité». «Il y a aussi l'imposition de la théorie darwinienne qui pose problème. On peut penser ce qu'on veut de la théorie darwinienne... mais pourquoi faut-il absolument heurter les sentiments des Mennonites qui trouvent cela vraiment contraire à leur vision du monde», se plaint-il. Les Mennonites nient la théorie de l'évolution des espèces par la sélection naturelle, contraire à leur doctrine du créationnisme selon laquelle les espèces ont chacune été créés par Dieu. Près de 200 000 Mennonites, des protestants orthodoxes proches des Amish, vivent au Canada, mais seulement une poignée réside au Québec, selon les données du dernier recensement. En Suisse Le mouvement amish est en fait une dissidence de la communauté protestante des Mennonites, apparue en Suisse au moment de la Réforme, au 16e siècle, qui considère que seuls les adultes, après avoir confessé leur foi, peuvent recevoir le baptême. Dans les autres provinces canadiennes, comme aux Etats-Unis, les jeunes Mennonites peuvent suivre leur propre programme d'enseignement à l'école, mais doivent passer un examen normalisé. «Notre école est prête à les recevoir, mais ce sont les Mennonites qui ne veulent pas. Il y a certains éléments du programme qui ne cadrent pas du tout avec leur foi», explique le maire de Roxton Falls, Jean-Marie Laplante. Le refus des Mennonites d'intégrer l'école locale ne dérange toutefois pas les habitants du village. Ils ont écrit au Premier ministre du Québec Jean Charest pour lui demander de «trouver un moyen» d'assurer la survie de l'école mennonite et de «suspendre» toutes actions légales. Intégrés «Ils se sont intégrés à notre milieu très facilement. Ce sont des gens impliqués, travaillant, des propriétaires de ferme ou de commerces dans la région», souligne M. Laplante. D'autres cas d'écoles religieuses en marge des normes de l'Éducation ont défrayé la chronique récemment, notamment des écoles juives centrées sur l'enseignement de la Torah. Le ministère a fermé en juin, suite à une ordonnance de la Cour supérieure du Québec, «l'Institut Laflèche», une école dirigée par le groupe religieux «Mission de l'esprit saint», qui voue un culte à Eugène Richer dit «Laflèche», son maître fondateur, un policier québécois né en 1871 et mort en 1925.
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