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  1. Et bien, il me semble que j'avais entendu qu'il voulait même rester jusqu'aux prochaines élections via Radio-Canada : Richard Bergeron quitte la direction de Projet Montréal Mise à jour le lundi 27 octobre 2014 à 8 h 26 HAE Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, quitte la direction du parti. Il en fera l'annonce à 11 h ce matin en compagnie de celui qui deviendra le chef intérimaire. On ignore toutefois qui lui succédera. Après les élections municipales en novembre dernier, Richard Bergeron avait dit qu'il quitterait éventuellement la formation qu'il a lui-même créée. Mais il avait déclaré récemment qu'il pourrait aussi rester, puisqu'il aimait le travail que lui a confié le maire Denis Coderre. En février dernier, le nouveau maire de Montréal lui a en effet confié la direction du dossier du recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, dans l'est du centre-ville de Montréal. Richard Bergeron est l'un des principaux idéateurs de ce projet, qui consiste à recouvrir la tranchée formée par l'autoroute Ville-Marie afin d'y aménager des espaces verts et des places publiques.
  2. Ici, il ne s'agit pas de repartir un sempiternel débat entre ville et banlieue car cela se fait sur de nombreux autres fils. On connait les pour et contre de chaque. Ce que je tente de savoir c'est s'il y a effectivement un renversement de tendance des mouvements de populations. Nous savons tous que depuis 20 ans il y a plusieurs familles qui ont quitté la ville pour la banlieue mais depuis 2 ans il me semble qu'il y a un début de renversement de tendances. http://www.radio-canada.ca/audio-video/index.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/RDI/2012-01-02_17_00_00_tj17h_1136_04_1200.asx&pos=0 Dans ce reportage il n'y a qu'une famille mais la journaliste rapporte des chiffres assez impressionnants (selon l'institut de la statistique du Québec). 30 000 personnes !!! Je dois avouer etre probablement dans ces statistiques ayant moi-meme quitté la banlieue pour la ville il y a 18 mois !
  3. AlainS

    Le trou de beigne

    Le trou de beigne Publié le 07 décembre 2010 à 06h18 | Mis à jour le 07 décembre 2010 à 06h18 Claude Piché LA PRESSE (Montréal) À en juger d'après les nombreuses lettres reçues à La Presse, le budget déposé par l'administration du maire Tremblay a mis les Montréalais en colère. Le budget annonce de fortes hausses d'impôt foncier pour la deuxième année consécutive, en plus d'imposer une nouvelle taxe aux automobilistes montréalais. «La grogne est généralisée, c'est presque l'unanimité, constate Jean-Pascal Beaupré, responsable des pages Forum. Les Montréalais n'acceptent pas que ce soient eux, et pas les banlieusards, qui doivent supporter le fardeau.» Dans ce climat de mécontentement populaire, on comprend que plusieurs Montréalais sont tentés de se réfugier en banlieue. Ils ne sont pas les seuls. Depuis des années, Montréal est victime de l'effet de beigne, qui voit la banlieue s'étendre continuellement au détriment de la ville-centre. Dans l'ensemble, on connaît assez bien le phénomène. On sait que ce sont surtout les jeunes ménages à revenus moyens qui désertent la ville pour la banlieue. On sait aussi que les ménages à faibles revenus restent en ville, souvent parce qu'ils n'ont pas le choix: la vie en banlieue est indissociable de l'automobile. Or, tout cela est basé davantage sur des enquêtes sommaires et des observations sur le terrain que sur une recherche rigoureuse. Assez curieusement, même si les migrations entre la ville centre et la banlieue peuvent avoir des conséquences énormes, il n'existe à peu près pas de renseignements détaillés sur les ménages en cause. Cette lacune vient d'être comblée par deux chercheurs de Statistique Canada, Martin Turcotte et Mireille Vézina. Les auteurs ont mesuré avec précision l'effet de beigne dans les trois grandes villes canadiennes, Toronto, Montréal et Vancouver. Ils ont tracé le portrait socio-économique des ménages avec beaucoup de rigueur. Les résultats de leurs travaux viennent de paraître dans Tendances sociales canadiennes (1), une publication spécialisée de l'agence. À ma connaissance, c'est ce qu'il s'est fait de mieux sur le sujet. Et il se trouve que ces résultats sont proprement stupéfiants. Bien sûr, la recherche confirme que Montréal perd surtout des jeunes ménages à revenus moyens et élevés, ce dont tout le monde se doute déjà, mais elle nous montre aussi clairement à quel point la saignée est importante. D'abord, un premier constat. L'effet de beigne ne sévit pas seulement à Montréal. Toronto et Vancouver sont aussi touchés. À Montréal, entre 2001 et 2006 (l'étude est basée sur les résultats du questionnaire long du recensement de 2006, et même si les chiffres datent de quatre ans, ce sont les plus récents), 14% des ménages montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue; pendant ce temps, seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens inverse. Les proportions sont exactement les mêmes à Toronto, et reflètent aussi la situation à Vancouver à quelques poussières près. C'est en regardant de plus près le profil socio-économique de ceux qui quittent Montréal que l'on peut mieux mesurer l'ampleur de l'exode: En cinq ans, la ville centre a perdu 19% de ses résidents âgées de 30 à 34 ans (une personne sur cinq, tout de même), pendant que seulement 6% des banlieusards de cette tranche d'âge Montréal quittaient la périphérie pour s'installer à Montréal. On compte aussi 14% de départs chez les jeunes de 25 à 29 ans, 15% chez les 35-39 ans, mais la proportion de départs tombe à 3% chez les 65 ans et plus. L'exode des jeunes, c'est vrai. Sur les couples avec enfants, la banlieue agit comme un véritable aimant et Montréal, comme un repoussoir. Ainsi, toujours au cours de la même période, la ville centre a perdu au profit de la banlieue, tenez-vous bien, 34% de ses jeunes ménages ayant au moins un enfant! Pendant ce temps, seulement 2% de ces jeunes ménages ont quitté la banlieue pour Montréal. L'exode des jeunes familles, c'est vrai. Au chapitre des revenus, c'est vraiment la classe moyenne qui est concernée. Ainsi, 25% des ménages ayant un revenu familial (après impôts) entre 70 000$ et 80 000$ ont quitté Montréal. Cette proportion varie de 20 à 23% pour les tranches de revenus situés entre 60 000$ et 150 000$. Pendant ce temps, rares sont les banlieusards à revenus moyens (entre 2 et 3%) qui choisissent de déménager à Montréal. L'exode de la classe moyenne, c'est vrai. Pour les ménages à faibles revenus, c'est le contraire. C'est ainsi que 12% des banlieusards gagnant un revenu familial inférieur à 20 000$ ont quitté leur banlieue pour s'établir à Montréal, qui perdait de son côté 5% de ses ménages à faibles revenus. Enfin, on peut obtenir des résultats ahurissants en combinant plusieurs caractéristiques. Ainsi, pas moins de 42% de tous les nouveaux parents ayant un revenu entre 50 000$ et 100 000$ ont quitté Montréal en cinq ans. C'est une perte énorme pour la ville centre quand on sait à quel point toutes les municipalités font des pieds et des mains pour attirer une population de jeunes ménages à revenus moyens. (1) On peut télécharger gratuitement la revue à partir de la page d'accueil de Statistique Canada: http://www.statcan.gc.ca L'EFFET DE BEIGNE EN QUELQUES CHIFFRES En cinq ans, 14% des Montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue, tandis que seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens contraire. 34% des jeunes ménages ayant deux enfants ou plus se sont exilés en banlieue. 25% des ménages gagnant entre 70 000$ et 80 000$ ont déménagé en banlieue ; en revanche, 12% des banlieusards à faibles revenus (moins de 20 000$ de revenu familial) sont venus s'établir à Montréal Par tranche d'âge, ce sont les Montréalais âgés de 30 à 34 ans qui sont les plus nombreux à fuir la ville centre.
  4. Juste un petit mot pour vous dire que je ne serai pas présent les prochains jour sur MTLURB. Je quitte pour la Floride demain. Une belle semaine de Golf au Soleil!;)
  5. Ebay quitte Vancouver, 700 personnes perdront leur emploi Mise à jour le mercredi 6 mai 2009, 15 h 18 . L'entreprise eBay, qui exploite un populaire site Internet d'enchères, a décidé de fermer son seul centre d'appels au pays, qui se trouve à Vancouver. Quelque 700 personnes perdront leur emploi d'ici le 30 septembre prochain. Les activités seront transférées au centre d'appels de Salt Lake City, aux États-Unis, où des emplois seront créés, et dans d'autres pays. La multinationale justifie sa décision par une baisse de ses revenus en raison du contexte économique difficile. Les profits d'eBay ont atteint 357,1 millions de dollars américains pour le premier trimestre de l'année, en baisse de 22 % comparativement à la même période pour de 2008 (459,7 millions de dollars). Les revenus de l'entreprise ont chuté de 8 % pour s'établir à 2,02 milliards. Ces résultats ont toutefois été conformes aux attentes des analystes financiers.
  6. Archambault quitte le Complexe Les Ailes 13 janvier 2009 - 06h02 La Presse Laurier Cloutier La chaîne Archambault a vidé ses locaux du Complexe Les Ailes, le 31 décembre dernier, mais pas du tout à cause de difficultés financières. C'est ce qu'assure la directrice du marketing du Groupe Archambault, Diane Langlois. Par contre, elle reconnaît que la chaîne a demandé une baisse de loyer aux Ailes, il y a déjà plus de deux ans, et que, faute d'un accord, les deux parties ont conclu une entente pour mettre fin au bail. Ivanhoé Cambridge n'a pas mis Archambault dehors, assure de son côté la directrice du Complexe Les Ailes, Johanne Marcotte, sans donner de détails sur le dossier «confidentiel» et la pénalité éventuelle de fin de bail. Le propriétaire ne sait pas encore qui va prendre les locaux d'Archambault. «Ce n'est pas attaché encore. C'est quand même des locaux rares sur la rue Sainte-Catherine, qu'on n'aime pas voir vides», selon Johanne Marcotte. Le Complexe Les Ailes a profité d'une hausse de son affluence en 2008 et a renouvelé des baux, souligne la directrice, sans préciser si des locataires ont exigé des baisses de loyers. Par ailleurs, Diane Langlois indique qu'Archambault a investi 8 millions de dollars l'an dernier dans l'ouverture d'un magasin à Sainte-Dorothée et la rénovation de quatre autres (Anjou, Laval, Saint-Georges, Saguenay). À Montréal, les clients peuvent faire leurs achats dans les deux autres Archambault de la rue Sainte-Catherine, dit-elle.
  7. Après 42 ans au service de la multinationale québécoise, dont 13 à titre de président et chef de la direction, Jacques Lamarre passe le flambeau à Pierre Duhaime, un vice-président de l'entreprise. Pour en lire plus...
  8. Luc Bertrand quitte ses postes de direction de la Bourse de Montréal et du Groupe TSX pour relever de nouveaux défis. Pour en lire plus...
  9. De passage au Forum économique de Davos, le premier ministre Jean Charest dit prévoir de nouvelles mesures pour «soutenir l'emploi» dans le budget de mars prochain, quitte à plonger le Québec en déficit. Pour en lire plus...
  10. Le dossier du TGV Québec-Windsor, que Jean Charest destinait à la voie rapide voici 12 mois, n'a même pas quitté la gare cette année. Pour en lire plus...
  11. Le fabricant de produits pour enfants et de bicyclettes Industries Dorel a perdu un autre de ses hauts dirigeants, à la suite de la démission du président de son secteur des produits de puériculture. Pour en lire plus...
  12. Henri-Paul Rousseau a empoché une généreuse indemnité de départ lorsqu'il a quitté la Caisse de dépôt, a appris La Presse Affaires. Et contrairement à la pratique répandue, la somme lui a été versée même s'il a quitté son poste de plein gré. Pour en lire plus...
  13. La chaîne Archambault a vidé ses locaux du Complexe Les Ailes, le 31 décembre dernier, mais pas du tout à cause de difficultés financières. Pour en lire plus...
  14. Le PDG s'en va dans le cadre de changements au conseil et à la haute direction du fournisseur de services d'affaires électroniques. Pour en lire plus...
  15. La sous-gouverneure a annoncé lundi qu'elle quitterait son poste le 1er décembre prochain pour se consacrer «à d'autres intérêts». Mme Kennedy oeuvrait pour l'institution depuis 14 ans. Pour en lire plus...
  16. L'Institut économique de Montréal annonce la nomination de Michel Kelly-Gagnon à titre de président. Ce dernier quitte le Conseil du patronat, un poste qu'il a occupé durant trois ans. Pour en lire plus...
  17. Selon l’organisation, M. Kelly-Gagnon a choisi «de relever un autre défi professionnel». Il quittera son poste le 23 janvier prochain. Pour en lire plus...
  18. Même les mariages les plus solides ne résistent pas toujours à l'épreuve du temps. Après 20 ans à la Banque Nationale, l'économiste en chef Clément Gignac quitte l'institution financière québécoise afin de mettre le cap vers Ottawa. Pour en lire plus...
  19. L'économiste en chef de l'institution financière se joindra au ministère des Finances à Ottawa, où il occupera le poste de conseiller spécial au sous-ministre des systèmes financiers. Pour en lire plus...
  20. Hugo Joncas, Journal Les Affaires 14:12 SAP Labs Canada est sur le point de s’entendre avec Motorola pour sous-louer une partie de l’espace que l’entreprise a libéré au 700, rue Wellington, dans la Cité du multimédia a appris LesAffaires.com. « Les négociations sont assez avancées », dit André Plourde, président du Groupe Immobilier de Montréal et courtier pour Allied, propriétaire de la Cité du multimédia. SAP Labs est installée à Montréal depuis 1998 pour y faire de la recherche et développement de logiciels de gestion en entreprise. L’entreprise occupe déjà 75 000 pieds carrés dans la phase 4 de la Cité du multimédia, au 111, rue Duke. Elle emploie 400 personnes. En avril dernier, SAP Labs annonçait son intention d’embaucher 100 personnes de plus d’ici un an. Quant à Motorola, elle a quitté ses locaux de la rue Wellington à l’été 2007, cinq ans après s’y être installée. Le géant américain de l’électronique a fermé le centre de recherche et développement qu’elle y exploitait dans la foulée d’un plan mondial de compressions. L’entreprise a quitté le Québec après avoir bénéficié de généreuses subventions, dont des crédits d’impôt de 40 % sur les salaires d’une partie de ses employés. Le bail de Motorola l’engage toutefois pendant encore trois ans. L’entreprise cherche donc un sous-locataire pour les 73 500 pieds carrés qu’elle occupe au 700, rue Wellington. Le courtier chargé de négocier pour Motorola a refusé de commenter. « Pour l’instant, l’entente est confidentielle, dit Jeremy Kenemy, chez Jones Lang Lasalle. Je ne suis pas autorisé à vous donner les détails : nous ne sommes pas rendus là. » Chez SAP Labs, l’attachée de presse s’est également abstenue de commenter.
  21. La banque britannique Barclays, qui apparaissait comme la mieux placée pour reprendre Lehman Brothers, a quitté la table des négociations, accroissant la possibilité d'une mise en liquidation de la banque d'affaires américaine, affirme dimanche le quotidien New York Times. Pour en lire plus...
  22. Le conglomérat médiatique Quebecor a annoncé vendredi le départ de son vice-président exécutif aux affaires corporatives. Pour en lire plus...
  23. Jeff Frehner, PDG de l'une des deux unités de la division récréative de Dorel, quitte l’entreprise pour des raisons familiales. Pour en lire plus...
  24. Ford Canada a déniché son nouveau patron après le départ de Barry Engle qui avait quitté son poste le 19 août dernier. Il s'agit de David Mondragon. Pour en lire plus...
  25. Le nombre de chômeurs a légèrement diminué au Canada en juillet parce qu'un grand nombre de personnes, surtout des jeunes, ont quitté la population active. Pour en lire plus...
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