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  1. Publié le 14 janvier 2014 à 14h40 | Mis à jour à 15h12 La Maison Théâtre de Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé un investissement de près de 10 millions pour la construction d'une nouvelle salle multifonctionnelle sur le campus du cégep du Vieux Montréal. L'accord de principe, signé hier avec le Cégep, spécifie qu'il partagera ce nouvel espace avec la Maison Théâtre. Rappelons que la Maison Théâtre propose environ 300 représentations par année destinées à un public âgé de 2 à 17 ans. Devant une classe de quatrième année du primaire, la première ministre Pauline Marois a insisté sur «l'importance de l'accès aux arts et à la culture pour les jeunes». L'inauguration est prévue pour 2017. http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201401/14/01-4728594-la-maison-theatre-de-montreal-sera-agrandie.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1
  2. Une journaliste du Toronto Star, Katie Doubs, s'en prend à un commentateur d'un quotidien de Chicago, Neil Steinberg, qui ridiculise la prétention de Toronto d'être la quatrième ville en importance en Amérique du Nord. Évidemment, Mme Doubs ne peut résister au passage de se montrer mesquine à l'endroit du Québec. Someone in Chicago has finally noticed Toronto has surpassed it in population, and he’s wryly congratulating us on the extra people. Neil Steinberg, Chicago Sun-Times columnist, notes that to even parse the comparison to Chicago is “an insult to our city.” He has been to Toronto and doesn’t want to “give the impression that people who live there are anonymous ciphers grinding through joyless lives devoid of charm or significance.” So he recalls some Toronto highlights: the Tim Hortons’ outlets, the monument to multiculturalism, the “nondescript skyline whose only noteworthy element is a TV antenna.” In the tradition of stories in which we report the different ways Americans notice us and defend our beloved TV antenna, doesn’t anyone in the Chicago media get the press releases about the CN Tower light show? Since amalgamation, Toronto has billed itself as North America’s fifth largest city behind Mexico City, New York, Los Angeles and Chicago. But according to census data from Statistics Canada, as of last July 1, Toronto’s population was 2,791,140, about 84,000 more than Chicago’s 2,707,120. While the numbers are estimates, Toronto economic development staffers have already declared the city is “the fourth largest municipality in North America. Steinberg’s story was an assignment. He says he’s a humorist. He never would have heard of our alleged population victory otherwise. Somehow, that stings even more. He laughs. He knows that. “To me this is just jovial all good fun that journalists do to sell their papers. I don’t want to be the Ann Coulter of Canada,” he said from his office, where he’s checking out the reaction on Twitter, where people aren’t taking it in good fun. Steinberg says he is being called uneducated, bitter and even a “Nazi” for his effort. He said most people were upset by the bit he wrote about Americans never thinking or caring about Canada. “I’m sorry to be the one to tell you, if you ask people who the Prime Minister of Canada is — God is it Stephen Harper? Tell me it is — you could put a gun to most Americans heads, they would be dead, they wouldn’t come up with that,” he said. He noted that comparing cities is a classic trope. “Chicagoans, to the degree, if we did think about it, that we’re superior to Toronto, it’s to soften the sting of looking longingly towards New York City and wanting to be them,” he said. “Everyone is looking somewhere else for validation. There is nothing wrong with that. I don’t think we should be ashamed of that, we speak the same language, we’re all bound together in the mutual joy of not being Quebec.” Steinberg was last in Toronto in 2008, He stayed at the Fairmont Royal York, went to the Taste of the Danforth, checked out the CN tower. He really loved African Lion Safari, although that’s admittedly outside the population boundaries. “I was tempted to say I’ve been to the great cultural spots in Canada, I’ve been to Potato World. I actually did stop at Potato World. Do you know where that is? It’s on the way to Nova Scotia, it’s in some huge potato processing company there that runs a theme world about potatoes.”[/b]
  3. L'appétit des investisseurs pour l'immobilier commercial montréalais ne se dément pas. Les transactions ont totalisé 3,4 milliards de dollars l'an dernier, en hausse de 13,5 % sur un an, et la firme CBRE s'attend à de nouvelles hausses. « On s'attend à ce que l'activité d'investissement grimpe en 2012 puisque les vendeurs sentent de plus en plus que le moment est opportun pour vendre, a indiqué Brett Miller, vice-président exécutif de CBRE pour l'est du Canada, dans un rapport publié hier. Et plusieurs investisseurs institutionnels sont impatients d'augmenter leur exposition au marché montréalais «, ajoute-t-il. Un bilan exceptionnel à Montréal Selon M. Miller, la performance observée à Montréal est d'autant plus « exceptionnelle « qu'il n'y a pas eu de mégatransaction en 2011. Le climat macroéconomique est aussi demeuré incertain toute l'année, ce qui aurait pu décourager certains investisseurs. De tous les segments, celui des immeubles de bureaux a particulièrement brillé dans la métropole, avec un volume d'investissements en hausse de 89,2 %, à 754 millions. La situation canadienne À l'échelle canadienne, les investissements ont reculé de 5,6 % au quatrième trimestre, mais ils ont grimpé de 20,5 % pour l'ensemble de 2011, à 23,6 milliards. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis 2007, a souligné CBRE. « Il serait dangereux d'accorder trop d'attention à la légère baisse du quatrième trimestre, puisque tout laisse croire que la tendance à la hausse des deux dernières années est tout à fait intacte «, a affirmé John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE. Il reste que tous les types de propriétés ont connu une baisse entre le troisième et le quatrième trimestre de 2011, à l'exception des hôtels. Le volume de transactions a reculé pour les immeubles de bureaux (-30,4 %), les magasins (-17,7 %) et les édifices locatifs (-2,3 %). Toronto dépasse le seuil des 9 milliards Sans surprise, Toronto revendique le plus de transactions l'an dernier, avec un volume de 9,6 milliards. Ont suivi Montréal et Vancouver à égalité (3,4 milliards), Calgary (2,5 milliards), Edmonton (2,4 milliards), Ottawa (886,5 millions), London (541 millions) et Halifax (471 millions). Les fonds de placement immobilier ont généré le tiers des transactions l'an dernier, et CBRE s'attend à ce qu'ils demeurent d'importants acheteurs en 2012. Les accords conclus entre Cominar et Canmarc, de même qu'entre Dundee et Whiterock, laissent penser que de nombreux immeubles aboutiront sur le marché cette année. CBRE s'attend à un volume de transactions total variant entre 20 et 25 milliards en 2012 au Canada, soit à peu près le même niveau qu'en 2011. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201202/22/01-4498531-immobilier-commercial-forte-hausse-des-transactions-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9
  4. " Le projet Atlantic Rockland comporte 31 unités et une garderie. (...) La nouvelle partie "enveloppe" l'existant tout en laissant trois de ses façades exposées en presque totalité. La quatrième est exposée à l'intérieur car elle constitue le mur du corridor principal. "
  5. La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20G$ 15 mars 2010 | 10h44 La Presse Canadienne La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20 milliards $ au quatrième trimestre pour atteindre 6 billions $. Statistique Canada indique que cette hausse reflète l'augmentation de 0,7 pour cent de la valeur du patrimoine national, particulièrement les actifs en biens immobiliers résidentiels. La progression de la valeur nette nationale a été tempérée par un accroissement de 19 milliards $ de la dette extérieure nette en raison d'une diminution de l'épargne nationale. La valeur nette nationale correspond au patrimoine national moins la dette extérieure nette. Elle constitue la somme de la valeur nette des particuliers et des entreprises individuelles, des sociétés et des administrations publiques. Du troisième trimestre au quatrième trimestre, la valeur nette nationale par habitant n'a pas changé, s'étant établie à 175 900 $. Cependant, la valeur nette des ménages a augmenté de 93 milliards $ pour atteindre 5,9 billions $. L'accroissement de la valeur des actifs financiers, surtout les actions, les assurances-vie et les rentes, ainsi que celui des biens immobiliers résidentiels, explique en grande partie l'augmentation de la valeur nette. La valeur nette des ménages par habitant a progressé pour atteindre 172 600 $ au quatrième trimestre. Pendant ce temps, la dette nette des administrations publiques a continué d'augmenter. La valeur nette du secteur des administrations publiques a baissé de 20 milliards $, car la valeur de la dette nette continuait de croître. Le ratio d'endettement des sociétés a diminué légèrement. Le financement par actions des sociétés non financières a ralenti du troisième trimestre au quatrième trimestre, tandis que l'émission d'obligations s'est affermie. Toutefois, la valeur globale des émissions d'actions et des bénéfices non répartis a dépassé celle de l'emprunt.
  6. Une fin de 2008 en queue de poisson pour le Québec Publié le 27 mars 2009 à 10h45 | Mis à jour le 27 mars 2009 à 14h11 Michel Munger LAPRESSEAFFAIRES.COM (Montréal) L'économie québécoise est moins pénalisée que celle de l'ensemble du Canada en raison des dépenses en infrastructures mais elle a quand même terminé 2008 en queue de poisson. C'est le constat que l'on peut faire à la lecture des données du quatrième trimestre publiées ce matin par l'Institut de la Statistique du Québec (ISQ). Ainsi, le produit intérieur brut a diminué de 1,4% à un rythme annuel lors des trois derniers mois de l'année, donnant une taille de 268,5 milliards de dollars à l'économie. Ce résultat peut sembler éclatant si on le compare aux prévisions du Mouvement Desjardins, qui croyait assister à une baisse de 3%. Hélène Bégin, économiste «senior», estime que la baisse de 1,3 milliard du déficit commercial à 25,4 milliards y contribue, en plus des dépenses publiques en infrastructures. D'autre part, l'écart avec la diminution du PIB à l'échelle du Canada est de deux points car l'économie du pays a reculé de 3,4% au quatrième trimestre. Pour l'ensemble de 2008, l'ISQ estime que le PIB québécois a gagné 1% à 268,7 milliards, soit le double de la croissance canadienne. Il reste que le quatrième trimestre n'a quand même pas été facile. La demande intérieure qui avait permis au Québec d'échapper à la morosité, s'est écroulée de 2,5% à un rythme annuel. Ce sont surtout l'investissement en machines et en matériel, tant par les gouvernements que les entreprises, ainsi que la consommation qui sont pointés du doigt pour expliquer cela. L'investissement en capital fixe a vu sa croissance diminuer de plus de la moitié, passant de 7,8 à 3,4%, les entreprises étant réticentes à investir dans leurs activités. Cependant, les gouvernements sauvent la mise avec une hausse de 29,4% en construction non résidentielle, ce qui touche les infrastructures. Débandade des exportations en janvier Par ailleurs, l'ISQ annonce que les difficultés du transport aérien ont pesé lourd sur le bilan des exportations de la province en janvier. Celles-ci ont reculé de 16,1% lors du premier mois de l'année comparativement à décembre. C'est surtout la baisse de 27,6% à 739,5 millions pour les avions assemblés qui heurte le bilan provincial. Seuls six des 25 principaux groupes de produits connaissent des hausses, les dérivés du pétrole et du charbon étant les seuls à se démarquer avec un gain de 22% à 88,9 millions. Autrement, ce qui marque janvier est la léthargie du côté de la demande en provenance des États-Unis. Les exportations du Québec y ont reculé de 9,9%, surtout en raison des forts reculs enregistrés du côté des avions, des instruments de mesure, de médecine et d'optique. Les Européens ont eux aussi été moins friands de produits québécois, les exportations tombant de 37,4%. Encore là, la demande pour les avions y a chuté après une forte hausse en décembre. Les exportations vers l'Asie, elles, ont reculé de 11% en janvier. Enfin, les importations québécoises ont baissé de 16,3% parce que le recul a été important notamment pour l'automobile, le pétrole brut, les tubes électroniques et les semi-conducteurs.
  7. Ralentissement économique Recul de 1,4% du PIB du Québec au cours du dernier trimestre de 2008 27 mars 2009 - 13h02 La Presse Canadienne QUEBEC -- Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a diminué de 1,4 pour cent au quatrième trimestre de 2008, sur une base annualisée et ajustée pour éliminer l'effet des saisons. Pour l'année 2008 dans son ensemble, comparativement à 2007, le PIB du Québec a crû de 1,0 pour cent. En 2007, la croissance avait été de 2,6 pour cent. En comparaison, pour l'ensemble du Canada, au quatrième trimestre, l'économie a enregistré une baisse annualisée de 3,4 pour cent. Toujours pour l'ensemble du pays, en 2008, une croissance 0,5 pour cent a été enregistrée par rapport à l'année précédente. En 2007, la croissance avait été de 2,7 pour cent au Canada. Tant au Québec qu'au Canada, la diminution du taux de croissance annuel du PIB provient de la baisse des exportations et aussi du ralentissement de la demande intérieure finale, a indiqué vendredi l'Institut de la statistique du Québec. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2009/03/20090327-130203.html
  8. L'économie canadienne se porte plus mal qu'on le pense Publié le 11 mars 2009 à 16h13 | Mis à jour à 16h15 La Presse Canadienne Ottawa Le directeur parlementaire du budget, Kevin Page, affirme que le rendement de l'économie canadienne est inférieur à ce que laissent entendre les différentes données publiées. Dans son évaluation de la situation économique rendue publique mercredi, M. Page écrit que la baisse de 3,4% du produit intérieur brut (PIB) réel qu'a connue le Canada au cours de son quatrième trimestre ne reflète pas vraiment la baisse de rendement de l'économie du pays. Il estime que le revenu intérieur brut (RIB) réel - qui mesure le pouvoir d'achat au pays - constitue un indicateur de rendement plus pertinent de la situation. Cette donnée a plongé de 15,3% au quatrième trimestre. Cette baisse abrupte a été alimentée par la réduction des bénéfices des sociétés, reflétant la forte baisse des prix des produits de base, écrit M. Page, faisant remarquer qu'elle est 10 fois plus prononcée que le déclin de 1,5% observé aux États-Unis durant la même période. Le rapport du directeur parlementaire du budget va à l'encontre de l'analyse relativement rose faite mardi par le premier ministre Stephen Harper, qui a affirmé que l'économie du Canada se comportait beaucoup mieux que celle des autres pays. Selon le document, les données du PIB montrant un recul de 6,2% de l'économie aux États-Unis au quatrième trimestre, comparativement à une baisse de 3,4% au Canada, sont trompeuses. Il s'agit de données annualisées, explique M. Page, ajoutant que comparativement à l'an dernier, le PIB du Canada affiche une baisse de 0,7%, contre une diminution de 0,8% du PIB américain, soit des rendements presque identiques.
  9. La Financière Power, le conglomérat montréalais propriétaire de l'assureur Great-West et du Groupe Investors, affiche une perte nette de 773 millions de dollars au quatrième trimestre 2008. Pour en lire plus...
  10. Les données révisées du produit intérieur brut indiquent une chute de 6,2 % de l'économie américaine au cours du quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  11. Signe de reprise en Chine Alexandre Paillé, Lesaffaires.com 09:12 Le secteur manufacturier demeure en contraction. L’activité manufacturière chinoise a connu une légère hausse en janvier de même que les prêts bancaires. Ces deux données alimentent l’espoir d’un redémarrage prochain de l’économie mondiale. L'indice officiel des directeurs d'achat chinois (PMI) est monté à 45,3 en janvier, contre 41,2 en décembre, s'éloignant de son plus bas historique de 38,8 atteint en novembre dernier. Bien que l’indice PMI demeure sous les 50 points, signe que le secteur manufacturier est en contraction, certains y voient un signe de reprise de l’économie chinoise. D’autres économistes estiment que ces données confirment que le pire serait passé. «La croissance chinoise sera en forme de V en 2009, le fond ayant déjà été touché au quatrième trimestre 2008», affirme l’économiste chez Nomura à Hong Kong, Mingchun Sun, à l’AFP. L'économie chinoise a affiché une croissance de 6,8% au quatrième trimestre 2008 en rythme annuel et une croissance de 9% sur l'année, la plus faible depuis sept ans. Autre donnée intéressante, Pékin n’aurait dépensé qu'une petite partie de son plan de relance de 4000 milliards de yuans (721,6 milliards de dollars canadiens) annoncé en fin d'année. De plus, selon un rapport du China Securities Journal, les banques chinoises ont répondu à l'appel du gouvernement et ont accordé un montant record de prêts, 1200 milliards de yuans (216,5 milliards de dollars canadiens), en janvier.
  12. Une première dans l'histoire des Cards Dimanche 18 janvier 2009 ASSOCIATED PRESS GLENDALE, Arizona - Non, il ne s'agit pas d'un mirage. Les Cardinals de l'Arizona, qui sont venus de l'arrière pour vaincre les Eagles de Philadelphie 32-25 en finale de l'Association Nationale de la NFL, dimanche, prendront part à leur premier Super Bowl de leur longue, mais peu glorieuse histoire. Après avoir vu les Cards se forger une avance de 24-6 à la mi-temps - grâce aux trois passes de touché captées par le receveur Larry Fitzgerald, -, les Eagles ont inscrit 19 points sans réplique pour prendre les devants 25-24 au quatrième quart. Mais les Cards ont remporté le match sur une passe de huit verges de Kurt Warner à la recrue Tim Hightower avec 2:53 à jouer, la quatrième passe de touché du match de Warner (21 en 28, 279 verges). "Cette poussée offensive, où nous avons marqué en fin de match après avoir retranché plus de sept minutes au cadran a vraiment fait la différence", a déclaré l'entraîneur-chef des vainqueurs, Ken Whisenhunt. Donovan McNabb (28 en 47, 375 verges, trois touchés, une interception) a été formidable pour mener la charge des Eagles en deuxième demie, mais il a raté quatre passes du milieu du terrain dans les derniers moments du match. Si les Cards (12-7), première équipe classée quatrième de son association à disputer un match de championnat à domicile, étaient sensés être assomés par tout le battage entourant ce match, ils ont plutôt réagi en vétérans. Oui, ils ont bousillé cette avance de 24-6. Mais c'est alors que Warner, joueur le plus utile du Super Bowl XXXIV remporté par les Rams de St. Louis en janvier 2000, a orchestré de mains de maître une poussée de 72 verges, couronnée par sa quatrième passe de touché de la journée. Il a conclu ce retour en rejoignant Ben Patrick pour la transformation de deux points. Mais le joueur-clé de cette rencontre a sans aucun doute été Fitzgerald, qui a capté neuf passes pour des gains de 152 verges, dont deux attrapés très importants sur cette poussée décisive. Fitzgerald a d'ailleurs établi une nouvelle marque en séries en portant son total de verges par la passe à 419, surpassant le grand Jerry Rice. Et il reste toujours un match à jouer à Fitzgerald - le Super Bowl. Pouvez-vous le croire? Les Cards n'ont jamais aussi bien paru depuis qu'ils sont dans la région de Phoenix, après des arrêts à Chicago et St. Louis. "Je veux vous remercier, tous autant que vous êtes", a déclaré Warner au cours des cérémonies d'après-match, sous une pluie de confettis et au son de "We are the Champions", de Queen. "Quand personne ne croyait en nous, quand personne ne croyait en moi, vous l'avez fait et nous nous en allons au Super Bowl." Lessivée par les Eagles 48-20 lors de leur dernier affrontement, l'équipe de Whisenhunt avait une allure complètement différente à son premier match de championnat depuis 1948. "C'était très approprié qu'un paquet de joueurs différents contribuent à cette victoire. Ce fut une grande victoire d'équipe", a déclaré Whisenhunt. Avec des victoires en séries contre les Falcons d'Atlanta, les Panthers de la Caroline et les Eagles (11-7-1), les Cardinals ont maintenant disputé la meilleure saison de leur histoire. Ils ont même dépassé leur nombre total de victoires en séries depuis qu'elles existent, soit depuis 1933. "Cette équipe a connu des années difficiles en Arizona", a admis Whisenhunt. Dernière équipe de l'Association Nationale à se rendre aussi loin depuis la fusion de 1970, les Cards sont aussi devenus la première équipe à n'avoir remporté que neuf parties en saison régulière à atteindre le Super Bowl depuis les Rams de Los Angeles, en 1979. Les Rams s'étaient alors inclinés face aux Steelers. Pour les Eagles, favoris de cette rencontre, il s'agit d'une autre fin de saison en queue de poisson. L'équipe d'Andy Reid a atteint la finale d'association en cinq occasions au cours des huit dernières saisons, mais n'a signé qu'une victoire, perdant contre les Patriots de la Nouvelle-Angleterre dans le seul match du Super Bowl qu'ils ont disputé au cours de cette séquence. "Vous ne voulez jamais que ça se termine, et vous ne voyez pas venir ça, a dit McNabb. C'est difficile de voir votre saison prendre fin de cette façon, si près du Super Bowl."
  13. George St-Pierre (GSP) : Victoire sans équivoque Samedi 31 janvier 2009 RDS.ca Georges St-Pierre (Photo PC) Le Québécois Georges St-Pierre n’a laissé aucun doute quant à son statut de légende vivante des arts martiaux mixtes. L’athlète originaire de Saint-Isidore a facilement défendu sa ceinture des poids mi-moyens de l’UFC en battant par K.-O. technique le champion des poids légers B.J. Penn, lors du UFC 94 présenté samedi soir à Las Vegas. St-Pierre (18-2), qui avait battu Penn par décision partagée à UFC 58 en mars 2006, a été en contrôle de la première à la dernière seconde et les médecins n’ont eu d’autre choix que de stopper le carnage après un quatrième round où l’Américain en a eu plein les bras. « Je m’entrainais depuis le mois de septembre en vue de combat », a déclaré le Québécois, qui a été ardemment encouragé par les spectateurs réunis au MGM Grand Garden Arena. « Je suis très fier de ce que j’ai réalisé. » Après un premier round où les deux combattants sont demeurés debout, St-Pierre a véritablement commencé son travail de destruction en envoyant son adversaire au sol au deuxième assaut. Le Québécois a lancé de solides coups de poings au visage de Penn, le coupant sous l’œil gauche. St-Pierre a également envoyé quelques coups de genou dans les côtes de Penn, qui tentait tant bien que mal de retenir St-Pierre avec ses deux jambes. Dès le début de la troisième reprise, St-Pierre a délivré une solide gauche au visage de Penn, qui a immédiatement commencé à saigner du nez. Le reste du round s’est déroulé au sol, l’Américain continuant à encaisser la rafale de coups du Québécois. Le quatrième assaut aura été à l’image des deux précédents à la différence que Penn avait de plus en plus de mal à monter sa garde. Le supplice a finalement pris fin après que les médecins eurent décidé le combattant originaire d’Hawaï en avait eu assez. ------------- Ce gars la est une grande vedette, le Québécois le plus populaire internationnalement actuellement, nul n'est prophète en son pays qu`ils disent...
  14. Hausse des taxes sur l'alcool et crise économique ont fait chuter les ventes de bière au Royaume-Uni au quatrième trimestre 2008 à un rythme jamais vu pour cette période de l'année. Pour en lire plus...
  15. La Société Chemin de fer Canadien Pacifique a vu ses profits baisser au cours du quatrième trimestre de 2008, de même qu'au cours de l'exercice dans son ensemble. Pour en lire plus...
  16. Le groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson a dépassé mardi les attentes du marché au quatrième trimestre 2008 et sur l'ensemble de l'année écoulée. Pour en lire plus...
  17. La banque américaine enregistre des pertes considérables au quatrième trimestre et sépare ses activités saines de ses actifs à risques. Pour en lire plus...
  18. Le géant bancaire américain est resté largement bénéficiaire en 2008 et est parvenu à dégager un modeste profit sur le dernier trimestre malgré les prévisions pessimistes. Pour en lire plus...
  19. Le fabricant américain de téléphones mobiles Motorola, qui s'attend à une nouvelle perte au quatrième trimestre, a annoncé mercredi la suppression de 4000 emplois supplémentaires. Pour en lire plus...
  20. La banque américaine avance la publication de ses résultats du quatrième trimestre à vendredi matin, au lieu de la date prévue du 22 janvier. Pour en lire plus...
  21. Le géant de l'aluminium Alcoa a annoncé lundi des pertes de 1,19 milliard $ US au cours du quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  22. La compagnie a abaissé ses prévisions de résultats pour le quatrième trimestre en raison des mauvaises performances de Sam's Club et de ses activités internationales. Pour en lire plus...
  23. La banque d'affaires américaine a fait bien pire qu'attendu par le marché à son quatrième trimestre. Pour en lire plus...
  24. La plus faible croissance chinoise en 20 ans ? 16 décembre 2008 - 07h28 Agence France-Presse La Chine pourrait terminer l'année 2008 avec la croissance économique la plus faible en près de 20 ans, estiment des économistes après la publication des chiffres de novembre, nettement moins bons que prévu. Une série d'économistes estiment que la croissance sera située en 2008 entre 5% et 6,5% au quatrième trimestre. Pour l'ensemble de l'année, la Banque mondiale avait indiqué qu'elle s'attendait à ce que l'économie chinoise progresse de 9,4%. «Notre prévision est plutôt pessimiste», dit Tao Dong, analyste au Crédit Suisse à Hong Kong, qui prévoit 6,5% de croissance entre octobre et décembre. Selon lui, c'est le niveau le plus bas depuis que la Nation asiatique a commencé à publier des indicateurs trimestriels en 1995. Avant, la Chine avait enregistré une croissance annuelle de 3,8% en 1990. Son économie s'était ensuite emballée, affichant des taux jamais inférieurs à 7,6%, même pendant la crise financière asiatique de 1997. Xing Ziqiang, économiste basé à Beijing pour China International Capital Corporation, partage le même pessimisme, prévoyant un chiffre entre 5% et 5,5% au quatrième trimestre. Les indicateurs publiés depuis la semaine dernière pour le mois de novembre montrent que la quatrième économie mondiale ressent l'impact de la crise mondiale beaucoup plus fortement que prévu. Parmi les principales inquiétudes figure le recul des exportations, pour la première fois depuis 2001, de 2,2% sur un an, alors qu'elles avaient progressé en octobre (+19,2%). L'indice des prix à la consommation, principale mesure de l'inflation en Chine, a progressé en novembre de 2,4% sur un an, son plus bas niveau mensuel depuis près de deux ans, laissant planer la menace d'une déflation dès le premier trimestre 2009. Dans le même temps, la production industrielle en Chine a également fortement ralenti, en augmentant de 5,4% sur un an, alors qu'elle avait atteint un pic en mars (+17,8%). Le dernier chiffre, publié mardi, montre que les investissements en capital fixe ont progressé de 26,8% sur un an entre janvier et novembre, contre 27,2% sur les dix premiers mois. Beijing a pris récemment une série de mesures pour accroître la demande intérieure et adoucir les effets du ralentissement des marchés à l'exportation, notamment quatre baisses des taux d'intérêt depuis septembre. Les autorités ont également adopté un plan de relance budgétaire de 4000 milliards de yuans (724 G$ CAN) jusqu'à la fin de 2010. Cependant, les économistes soulignent qu'il faudra plusieurs mois avant d'en sentir les effets. Dans ce contexte, le gouvernement devrait agir de nouveau. Mardi, le gouverneur de la Banque centrale Zhou Xiaochuan a laissé entendre que de nouvelles baisses des taux d'intérêt pourraient intervenir, soit fin décembre soit au début de l'année prochaine. D'autres programmes pour réduire les impôts, accroître les crédits aux petites et moyennes entreprises et soutenir les familles à revenus modestes sont attendus en fonction des résultats du plan de relance, selon les économistes. Malgré tout, la Chine, qui a connu des taux de croissance à deux chiffres ces cinq dernières années, semble encore mieux placée que les autres économies pour affronter l'hiver. Huang Yiping, économiste chez Citigroup à Hong Kong, prévoit ainsi une croissance de 8,2% en 2009, en prenant en compte les effets des mesures de relance, dont une grande partie sera consacrée aux infrastructures. «Cela serait encore plus bas sans ces politiques», dit-il. BNP Paribas voit une croissance chinoise à 7-8% l'année prochaine
  25. La banque d'affaires américaine a annoncé mardi avoir enregistré une perte nette de 2,12 G$ US au quatrième trimestre de son exercice 2008. Pour en lire plus...
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