Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'pwc'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

2 résultats trouvés

  1. PwC fait l'acquisition du cabinet Lehoux Boivin, situé à Brossard. Une transaction qui concrétise la volonté de l'entreprise de s'étendre dans les régions québécoises et de se rapprocher des PME. «Ce n'est qu'un début dans la réalisation de notre plan stratégique, dit Nicolas Marcoux, associé directeur national, bureau de Montréal et grandes villes chez PwC. Nous étudions d'autres possibilités d'acquisition sur la Rive-Nord de Montréal, et même sur l'île.» En vigueur depuis le 1er août, la transaction accroît de 40 personnes les effectifs de PwC au Québec. Ils grimpent donc à 1 035, dont 790 à Montréal, 190 à Québec et 15 à Gatineau. Les deux cofondateurs du cabinet de Brossard, Mario Boivin et Gilles Lehoux, passeront chez PwC. Martin Fontaine et Louis-Alexandre Lehoux, fils du cofondateur du cabinet, y deviennent quant à eux associés. Les deux parties ont refusé de divulguer le montant de la transaction. Ce dernier qualifie de «coup de foudre d'affaires» la rencontre entre les deux cabinets. «Nous sommes très près de nos clients et très engagés envers la communauté locale, dit-il. PwC, qui a une forte clientèle parmi les grandes entreprises, souhaite justement se rapprocher des PME. Nous partageons la même vision et les mêmes objectifs.» Le nouvel associé de PwC croit que les clients de Lehoux Boivin bénéficieront grandement de ce ralliement à un géant des services financiers. «Ils auront le meilleur des deux mondes, juge-t-il. Ils continueront de bénéficier du même service de proximité, tout en ayant accès à des services très spécialisés et à un réseau international que nous ne pouvions leur offrir.» Le cabinet Lehoux Boivin a été fondé en 1998. Il présente un chiffre d'affaires annuel d'environ 4 millions de dollars, que PwC croit pouvoir faire doubler ou même tripler assez rapidement grâce à l'acquisition de nouveaux clients. «Ce cabinet multidisciplinaire de premier plan se spécialise dans les services offerts aux PME détenues par des propriétaires dirigeants, explique Nicolas Marcoux. En ce sens, cette acquisition constitue une preuve tangible de notre engagement envers les sociétés privées et les entrepreneurs québécois.» Depuis qu'il est revenu au Québec - il a été leader national, transactions, pour tout le Canada chez PwC, de 2012 à 2015, un poste situé à Toronto -, Nicolas Marcoux n'a cessé de marteler l'intention de PwC de s'implanter dans les régions du Québec et d'offrir ses services aux PME. Il parle même de «changer le visage de PwC au Québec». Choix de modèle d'entreprise au départ, bien sûr. Après tout, le nombre très élevé de PME dans la province rend ce marché attractif pour un cabinet qui compte déjà son lot de très grands clients. Mais cet objectif peut aussi se confondre avec certains intérêts stratégiques de l'économie québécoise, croit Nicolas Marcoux. «On déplore régulièrement que des sièges sociaux quittent le Québec par voie d'acquisitions, note-t-il. Chez PwC, nous croyons que nous pouvons aider les entreprises d'ici à grandir et à devenir elles-mêmes acheteuses et consolidatrices. Grâce à nos services spécialisés, à notre expertise et à notre réseau international, nous souhaitons contribuer à créer les futurs CGI, Couche-Tard et autres WSP québécois.» Soutenir les entrepreneurs C'est par l'internationalisation que les entreprises québécoises deviendront de futures CGI. Or, les PME québécoises manquent de ressources pour se lancer à l'international. En 2012, une étude de Développement économique Canada pour les régions du Québec démontrait que l'un des principaux obstacles à l'internationalisation de nos PME était le manque de connaissances des marchés étrangers, de leurs lois et règlements et des occasions d'acquisitions qu'on peut y trouver. En ce sens, la présence de services professionnels et financiers de haute qualité en région est devenue incontournable. Même si elles n'arrivent pas encore assez à s'installer à l'étranger, peu de PME de nos jours n'ont pas de volet international dans leurs opérations. Plusieurs importent de l'Asie, exportent aux États-Unis ou ratifient des ententes commerciales avec des partenaires étrangers, notamment. Cela fait du réseau international de PwC un atout important pour ces entreprises. Mais en plus de cela, c'est aussi un certain isolement des entrepreneurs qu'il faut briser, selon Nicolas Marcoux. «Les entrepreneurs se sentent souvent seuls face aux importantes décisions qu'ils ont à prendre, déplore-t-il. Ils se heurtent à des dilemmes. Est-ce le moment de faire une acquisition ? De vendre ? De préparer le transfert de l'entreprise ? Ils ont besoin de conseils spécialisés et d'accès à des données de haute qualité concernant la dynamique d'affaires dans leur créneau ici et à l'étranger, de manière à faire des choix stratégiques judicieux.»
  2. Les ventes des disquaires en déclin 25 juin 2008 - 07h02 La Presse Hugo Fontaine Agrandir 48% des adolescents américains n'avaient acheté aucun disque compact en 2007, une hausse de 10 points en un an. Il ne reste plus que 1000 jours avant que le disque compact ne cède sa place de principal médium de musique au Canada. Selon une étude de la firme PricewaterhouseCoopers (PWC), la valeur des ventes de musique en ligne dépassera celle des ventes de CD en 2011. Dans son rapport annuel sur l'avenir des industries des médias et du divertissement, PWC prévoit que la «distribution physique» de musique passera de 572 millionsUS en 2007 à 236 millions US en 2012. Cela représente un déclin annuel de 16,2%. À l'inverse, la distribution numérique passera de 122 millions à 424 millions durant la même période, une hausse annuelle de 28,3%. Click here to find out more! «L'économie de la musique change, commente Georges Tremblay, vice-président, produits, chez DEP Distribution. Mais personne ne sait exactement quelle forme elle prendra.» «C'est clair que le format physique est en train de péricliter», ajoute M. Tremblay. De fait, les prévisions de PWC sont annoncées quelques semaines après qu'Apple eut dépassé Wal-Mart comme principal vendeur de musique aux États-Unis, selon des données du bureau d'audit américain NDP Group. Ce même groupe avait aussi dévoilé que 48% des adolescents américains n'avaient acheté aucun disque compact en 2007, une hausse de 10 points en un an. «La nouvelle génération n'apprend pas à acheter des disques, indique le propriétaire du disquaire indépendant L'Oblique, Luc Bérard. Je remarque que ma clientèle est plus vieillissante.» Le gérant de la boutique Cheap Thrills, Guy Lavoie, souligne que les prix de ses CD, neufs et usagés, ont baissé. «On achète et on vend moins cher, les disques ont perdu de la valeur», dit-il. L'engouement pour le téléchargement Chef disquaire au magasin d'usagé L'Échange, Denis Turp remarque que des gens viennent vendre toute leur collection de disques qu'ils ont numérisée. Il est peu probable que ces gens achètent de nouveau. «On voit que l'engouement pour le téléchargement est plus généralisé qu'il y a quelques années, dit M. Turp. Ce n'est plus seulement l'apanage de quelques initiés.» Luc Bérard fait d'ailleurs remarquer que, dans les grands magasins, le DVD gruge de plus en plus d'espace au détriment du CD. C'est également le cas dans des chaînes comme HMV, où le CD était autrefois roi et maître. Les disquaires plus spécialisés croient malgré tout pouvoir se tirer d'affaire. «Les ventes baissent peut-être moins vite que dans les grands magasins, parce que nous avons un marché plus ciblé», soutient Luc Bérard, qui se concentre davantage sur la musique indépendante. «Dans ce créneau, c'est une autre mentalité. La clientèle est plus susceptible d'acheter.» L'avenir du CD Même s'il est en perte de vitesse, le CD ne disparaîtra pas de sitôt. Le Québec est d'ailleurs la province où il se vend le plus de disques par habitant. Ce qui fait dire à Georges Tremblay que la prévision de PWC est peut-être un peu trop précoce dans le cas de la Belle Province. «Au Canada anglais, le numérique représente presque 10% des revenus, mais c'est cinq fois moins au Québec.» Il reste encore de bonnes raisons d'acheter un CD, font valoir les acteurs de l'industrie. «Les pochettes sont de plus en plus intéressantes et les prix descendent», dit Simon Fauteux. Raymond Trudel, propriétaire du disquaire Atom Heart, est du même avis. «Le prix des CD baisse tout le temps, alors que les téléchargements ne sont pas nécessairement bon marché.» «Peut-être que le médium physique n'aura plus sa raison d'être pour la jeune génération, mais la génération des 40-50 ans va toujours rechercher l'objet physique, résume Denis Turp. On peut le voir dans le retour du vinyle.» Le retour en force du vétéran 33 tours est un phénomène relevé par tous les disquaires joints par La Presse Affaires. De plus en plus de mélomanes recherchent ce support, ce qui laisse croire que le CD pourrait avoir un avenir semblable. «Le CD va descendre pendant encore cinq à 10 ans, prévoit Guy Lavoie, de Cheap Thrills. Je pense que ça va remonter un peu après. Mais ce ne sera plus jamais la même chose.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080625/LAINFORMER/806250905/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
×
×
  • Créer...