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  1. Description Axiom 19 propose un chez-soi où confort, aisance et épanouissement sont au rendez-vous. Situé à l’angle de la rue Villeray et de la 19e Avenue, le projet comblera en tous points les attentes et les désirs de leurs futurs propriétaires. Un projet enveloppé de verdure au cœur de Montréal. Projet de 24 unités enveloppé de verdure Unités de 2 chambres Spacieux balcon Aménagement paysager Finition recherchée Places de stationnement Rangement Ce tout nouveau projet signé Vivenda Développement Urbain et Prével Alliance. http://www.axiom19.com/
  2. LAVAL, QC, le 7 août 2014 /CNW Telbec/ - Habitations Trigone s'apprête à démarrer son premier projet de développement résidentiel sur le territoire lavallois. Le projet nommé « District Concorde » sera situé au coin de l'avenue Léo-Lacombe et François-Souillard. Celui-ci sera à moins de 700 mètres de la station de métro et de la gare de train De La Concorde. Habitations Trigone est fière d'inaugurer un autre projet de type T.O.D (développement orienté vers le transport en commun) qui s'accorde parfaitement avec la philosophie de la compagnie. District Concorde offre une grande variété de produits qui saura combler les besoins des futurs propriétaires. Le projet compte 480 unités de condos réparties dans 9 bâtiments incluant un stationnement hors sol avec toit vert ainsi qu'un stationnement souterrain. Ce projet innovateur favorisera un mode de vie actif puisque les résidents pourront marcher afin de se rendre au métro ou au train. Le premier bâtiment devrait être complété d'ici le printemps 2015. Le projet District Concorde s'insère dans le cadre d'une volonté de la ville de Laval à vouloir revitaliser le secteur de la station de métro concorde. La ville prévoit revoir complètement le concept d'aménagement afin de créer un milieu de vie de qualité pour les futurs résidents. De plus, un crédit de taxe sera accordé par la ville aux nouveaux propriétaires de ce secteur. Nous sommes heureux d'annoncer que l'ouverture du bureau des ventes du projet aura lieu ce samedi 9 août dès midi sur la rue François-Souillard à Laval. Habitations Trigone est une entreprise active dans le secteur de la construction domiciliaire depuis près de 25 ans, ayant à son actif plus de 10 000 unités construites sur la Rive-Sud et Rive-Nord de Montréal. C'est la réputation de qualité et d'intégrité d'Habitations Trigone qui a permis à cette entreprise de se hisser aux premiers rangs de la construction domiciliaire au Québec. Notre passion de construire est toujours aussi vivante et nous continuerons à développer des projets innovateurs, localisés sur des sites de choix, pour des espaces de vie accessibles à tous. Condo neuf a vendre a Laval-des-Rapides, District Concorde | Habitations Trigone
  3. Projet résidentiel de 500M$ à Mirabel. Ray Junior Courtemanche et Daniel Proulx construiront 2 000 unités d’habitation sur une partie des terrains du Lac Mirabel. Le projet, qui porte le nom de La Cité de Mirabel, représente un investissement de 500 M$, ont annoncé les deux promoteurs mardi. À la Cité de Mirabel seront construites trois tours d’habitation de 14 étages, des maisons de ville et une tour d’habitation pour retraité. La réalisation du projet doit commencer en mai et s’étaler sur cinq ans. Il créerait 250 emplois. Aussi, les deux hommes d’affaires se targuent de « protéger » l’équivalent de 3 millions de pieds carrés de milieu naturel, ce qui représente des dépenses de 2,5 M$. La Cité sera située sur le site du Lac Mirabel à l’échangeur 28 de l’autoroute 15. Elle occupera une superficie de 2,2 millions de pieds carrés. Les deux entrepreneurs québécois ont obtenu les feux verts des propriétaires du site de 14 millions de pieds carrés. Il s'agit de Morgan Stanley Group et de Sheldon Gordon Group, actionnaires de MSG Lac Mirabel SEC. En mai dernier, la société immobilière Simon Property Group a annoncé le lancement du futur complexe «Premium Outlet » sur le site du Lac Mirabel. Le projet commercial de 80 magasins sur 350 000 pieds carrés doit être lancé cette année. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/immobilier-projet-residentiel-de-500m-a-mirabel-/554179
  4. Le 7e ciel pour les clients de l’hôtel Le Dauphin Rivesudexpress.ca VIEUX-LONGUEUIL – Afin d’offrir plus de services à ses clients, l’hôtel Le Dauphin, situé sur la rue Saint-Laurent dans l’arr. du Vieux-Longueuil, souhaite agrandir ses installations. Le bâtiment passerait ainsi de six à sept étages. Un second projet de règlement à cet effet était à l’ordre du jour du conseil d’arr. du Vieux-Longueuil, le 16 août. Il est à noter que ce projet d’agrandissement n’amènera pas l’aménagement de cases de stationnement supplémentaires, car aucune autre chambre ne sera construite à ce nouvel étage. En effet, les propriétaires, Jean-Pierre et Jean-François Milot, prévoient plutôt y ajouter deux salles de réunion, une salle à déjeuner, une salle d’entraînement et une terrasse avec une vue sur Montréal. Selon la Direction de l’urbanisme et du développement durable de la Ville de Longueuil, «le secteur est propice aux bâtiments de grande hauteur».
  5. Wow. Je pars une semaine et en revenant, je tombe là-dessus. Quelqu'un peut activer ses contacts pour en apprendre plus? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/01/20110131-141311.html#texte
  6. Des proprios de «plex» sont inquiets Publié le 12 octobre 2010 à 08h06 | Mis à jour à 08h06 Les propriétaires de «plex» montréalais sont inquiets de la hausse de l'évaluation foncière Maxime Bergeron La Presse La hausse salée de l'évaluation foncière inquiète plusieurs propriétaires d'immeubles à logement montréalais, dont certains ont vu la valeur de leur «plex» grimper de près de 80% au rôle 2011 dévoilé le mois dernier. Daniel Dagenais, qui possède un quadruplex à Montréal-Ouest, a ainsi vu son évaluation passer de 280 000$ en 2007 à 500 000$ au nouveau rôle. Un bond «inadmissible» de 78%, qui fera reculer la valeur marchande de sa propriété en plus de pénaliser ses locataires, a-t-il dénoncé à La Presse Affaires. «Je ne serais pas surpris de me faire assommer avec une hausse de 50% de mon compte de taxe», a avancé M. Dagenais. L'impact exact des nouvelles évaluations municipales sur l'impôt foncier sera connu le mois prochain, quand la ville centre fera connaître son budget 2011. La municipalité devrait abaisser graduellement son taux d'imposition pour amoindrir le choc financier dans le portefeuille des contribuables. Or, les propriétaires dont la résidence a pris plus de valeur au rôle que la moyenne - qui s'élève à 27% pour les «plex» dans l'île de Montréal - peuvent d'emblée s'attendre à subir des hausses plus marquées de leur impôt foncier. Une question cruciale pour les proprios d'immeubles à logements. D'une part, la valeur marchande de leur propriété dépend de ses revenus et dépenses, notamment l'impôt foncier. Une hausse trop brutale risque d'affecter les ratios utilisés pour calculer la rentabilité du «bloc», plombant du coup son prix à la revente. Par exemple, Daniel Dagenais estime à 50 000$ la dévaluation subie par son quadruplex. D'autre part, une augmentation prononcée de l'impôt foncier touchera aussi les locataires. Car en vertu de la loi québécoise, les propriétaires peuvent leur refiler l'intégralité des hausses. «Pour les ménages à faible revenu, ça veut dire un appauvrissement garanti», a déploré Jean-Claude Laporte, porte-parole du FRAPRU, un organisme de défense du droit des locataires. La Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ) est consciente du problème. «La question, c'est toujours: comment refiler cette hausse-là à ses locataires sans les perdre, et sans non plus perdre sa marge de manoeuvre pour augmenter le loyer en fonction des autres dépenses», a dit son porte-parole Hans Brouillette. La CORPIQ incite malgré tout les proprios à refiler les hausses de l'impôt foncier à leurs locataires. «N'absorbez pas des montants que vous ne pourrez récupérer par la suite, a fait valoir M. Brouillette. Autrement dit, quand les augmentations (de l'impôt foncier) sont passées, il est trop tard ensuite pour augmenter le loyer en fonction de ce qui a été la hausse d'il y a deux ans. Ce qui n'est pas demandé maintenant ne pourra l'être dans le futur.» La CORPIQ tiendra dans les prochains jours des séances d'information avec un économiste pour présenter les scénarios de hausse d'impôt foncier aux propriétaires. Une rencontre aura lieu demain à Longueuil, et une autre lundi prochain à Montréal. Le FRAPRU s'attend pour sa part à recevoir de nombreuses plaintes de locataires. «C'est certain qu'on s'attend à des problèmes, comme à chaque fois», a dit Jean-Claude Laporte. Contestations Les propriétaires qui jugent leur nouvelle évaluation foncière exagérée ont jusqu'au 30 avril prochain pour demander une révision à la Ville de Montréal. Cela vaut aussi pour les résidants des municipalités défusionnées. Au dernier rôle de 2007, quelque 1,2% des dossiers d'impôt foncier ont été contestés, ce qui représentait 5320 immeubles. Près de 60% des proprios résidentiels qui ont demandé un abaissement de leur évaluation municipale l'ont obtenue, selon les données fournies à La Presse Affaires par la Ville. À ce jour, la municipalité a reçu environ 60 avis de contestation pour le nouveau rôle 2011, a indiqué la porte-parole Patricia Lowe. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201010/12/01-4331596-des-proprios-de-plex-sont-inquiets.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS16 Exode en vue? ou bien gentrification... une ou l'autre, les joueux de tambours ne seront pas contents. Remerciez les taxes...
  7. Métro, boulot, condo Mise à jour le lundi 4 janvier 2010 à 11 h 49 Toronto force désormais les constructeurs de condominiums à fournir gratuitement aux acheteurs un laissez-passer mensuel de transport en commun durant un an. L'initiative vise à inciter les nouveaux propriétaires à prendre le métro, le tramway ou l'autobus, plutôt que leur voiture. « La majorité des condos sont situés près d'une ligne de transport de haute qualité », indique le président de la Commission des transports, Adam Giambrone. Promoteurs immobiliers en colère Le président de l'Association torontoise des promoteurs immobiliers, Stephen Dupuis, croit que de 30 à 50 % des acheteurs n'utiliseront pas le laissez-passer mensuel qui vaut une centaine de dollars. Selon lui, le coût sera simplement transféré aux nouveaux propriétaires dans le prix d'achat ou sonnera le glas d'options gratuites, comme des comptoirs en granite. Le fondateur du groupe Transport 2000, Harry Gow, voit quant à lui l'initiative d'un bon oeil. Selon lui, les gens s'habituent au transport en commun et poursuivent ensuite leur « bon comportement ». Le nouveau règlement municipal ne s'applique pas aux condominiums déjà en construction; les effets de la mesure ne se feront donc pas sentir avant un an ou deux.
  8. Marché immobilier: la folie reprend-elle à Montréal? 8 décembre 2009 | 15h30 Louis-Pierre Côté Argent Récemment, un bungalow situé près du populaire marché Jean-Talon à Montréal a trouvé preneur pour la somme de 227 000$. Rien d'inusité dans cela, direz-vous. Sauf que le vendeur demandait 199 000$ pour sa propriété... La surenchère immobilière qui a sévi il y a à peine deux ans partout au pays semble de retour à Montréal. «Ces temps-ci, dans certains secteurs primés, ce n'est pas exceptionnel que des résidences soient vendues à un prix plus élevé que celui qui était demandé», a expliqué à Argent Marie-France Vachon, agente immobilière pour La Capitale du Mont-Royal. Ces secteurs primés sont ceux du centre-ville de Montréal, à savoir Rosemont, Petite-Patrie, Villeray, le Plateau, Notre-Dame-de-Grâce et Outremont. Les propriétaires du bungalow dont nous parlons ci-haut ont reçu un total de 31 offres. Plus souvent, ce seront de deux à quinze offres qui seront déposées, à la suite de 30 à 70 visites d'acheteurs potentiels, ce qui fait de Montréal un marché qui est définitivement en faveur des vendeurs, selon Mme Vachon. Dans les couronnes Nord et Sud de Montréal, le marché est plus équilibré, mais il demeure tout de même un marché à l'avantage des vendeurs. Mme Vachon ne croit pas pour autant qu'on assiste à une bulle immobilière, ou que les acheteurs paient trop cher pour leur chez-soi. «Les banques ont resserré leurs critères pour accorder les prêts, et dans les cas où le prêt est assuré par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), on voit arriver un évaluateur de la SCHL» pour s'assurer de la valeur réelle de la propriété, souligne-t-elle. Le phénomène n'est pas propre à Montréal. À Vancouver, une vingtaine de personnes ont campé toute une nuit pour être les premiers à mettre la main sur un des condos nouvellement construits dans un quartier recherché. Le lendemain, 163 condos sur les 224 mis en vente avaient été vendus. Selon une étude de la Banque TD, les ventes de maisons ont bondi de 74% en octobre et les prix ont grimpé de 20% depuis le creux de 2008. Dans certains marchés, les prix sont revenus à leur sommet de 2007 et même davantage. Les bas taux d'intérêt favorisent un tel engouement, estime les experts, qui craignent toutefois que la hausse des taux à venir au cours des prochaines années ne crée des problèmes financiers à ces nouveaux propriétaires
  9. La popularité des condos en hausse au Québec La Presse Canadienne Québec La popularité des condominiums prend de l'ampleur au Québec. Cet attrait est particulièrement important en milieu urbain et chez les ménages avec peu ou pas d'enfants. Ces résultats sont tirés des données sociodémographiques de l'Institut de la statistique du Québec qui indiquent que la demande pour ce type de propriétés a bondi de 49 pour cent entre 2001 et 2006.L'Institut soutient que 94 pour cent des propriétaires de condos étaient concentrés dans l'une des six régions métropolitaines de recensement, en 2006: les trois quarts avaient opté pour celle de Montréal. Malgré cette progression notoire, la proportion de propriétaires de condos par rapport à l'ensemble des types de propriétés représente moins de 15 pour cent dans toutes les régions du Québec. Ailleurs au Canada, le rapport est nettement supérieur. En Colombie-Britannique, par exemple, certains secteurs voient le tiers de leur parc immobilier dominé par les condos. Cette situation fait en sorte que les chiffres du Québec paraissent plutôt faibles lorsqu'on les compare au marché canadien. Toutefois, l'Institut soutient que la tendance observée au cours des 15 dernières années laisse présager que l'intérêt, loin de s'estomper, ira en s'accélérant.
  10. Publié le 07 juin 2009 à 00h05 | Mis à jour à 00h05 Des épaves de plus en plus gênantes Hugo Meunier La Presse De loin, on dirait une ville abandonnée. Une grappe de vieux immeubles similaires, alignés les uns contre les autres dans un secteur résidentiel un peu mal famé de Pointe-aux-Trembles. Un vaste champ broussailleux s'étend au pied de ces bâtiments, jusqu'à une vieille école primaire abandonnée dont les fenêtres et les portes sont barricadées avec des feuilles de contreplaqué. Il y a deux ans, des enfants grouillaient dans la cour de l'école anglophone McLearon. Mais la commission scolaire English Montreal l'a fermée, faute d'élèves. Aujourd'hui, le nom de l'école sur le mur de briques est noirci par trois incendies criminels qui y ont été allumés en moins de trois mois à l'été 2007. Des débris de verre et des bouteilles de bière s'amoncellent devant les fenêtres barricadées. Des graffitis haineux tapissent les murs. «Fuck les Anglais!» peut-on lire à quelques endroits. «J'ai bien hâte que quelqu'un fasse quelque chose avec ça!» s'exclame Claude Marquis, qui habite en face de l'école avec sa famille. Il était aux premières loges pour assister aux incendies qui ont ravagé l'école, dont le plus violent a entraîné des dégâts évalués à un demi-million de dollars. «Ça brûlait beaucoup. On a eu peur, c'était près de la maison!» raconte ce père de deux enfants. Il y a quelques semaines, les pompiers sont revenus pour un incendie de moindre ampleur. «Et par la suite, j'ai vu des gens faire du grabuge autour de l'école. Ils frappaient dans les fenêtres avec des bâtons», explique la conjointe de M. Marquis, Andrea Predescu. Comme les gens du secteur, ils ont signé une pétition visant à débarrasser le quartier du bâtiment. «L'école attire maintenant toutes sortes d'indésirables», laisse tomber M. Marquis. «Il est à peu près temps» «Il est à peu près temps que quelqu'un en parle», soupire un résidant de la rue Sanguinet lorsqu'on lui demande son avis sur le duplex abandonné depuis à peu près un quart de siècle à côté de chez lui. Depuis, la maison, construite en 1895, attire les consommateurs de drogue et les graffiteurs, sans oublier les rongeurs et même quelques hiboux. Derrière la façade barricadée du duplex, il n'y a presque rien, sinon un amas de briques et de poutres à ciel ouvert. Comme un décor de cinéma. «Les pompiers débarquent régulièrement. Les murs de briques ont commencé à s'effriter et les risques d'effondrement augmentent. J'ai fait plusieurs plaintes à la Ville, mais ça ne donne rien», soupire ce voisin. Ce genre de situation n'est pas une exception et pourrait se multiplier au cours des prochaines années. Des épaves de plus en plus gênantes Le vieillissement du parc immobilier risque de faire augmenter le nombre d'immeubles abandonnés à Montréal, qui s'élève déjà à 500, estime le Service incendie de Montréal (SIM). «Les structures prennent de l'âge. Beaucoup de bâtiments du centre-ville et du Centre-Sud ont entre 75 et 100 ans», explique James Ross, chef de division en santé et en sécurité au SIM. La situation force d'ailleurs trois arrondissements - Sud-Ouest, Ville-Marie et Mercier-Hochelaga-Maisonneuve - à assurer une surveillance permanente et à tenir un registre des immeubles abandonnés, qui appartiennent pour la plupart à des particuliers. Incendie, vieillissement des structures, déménagement, décès, faillite, succession, difficultés à vendre: les raisons qui poussent les gens à abandonner leurs immeubles sont nombreuses. Certains propriétaires continuent de payer leurs impôts fonciers. D'autres se sont évanouis dans la nature. Tous ont cependant la responsabilité de fermer les accès à leurs bâtiments, sous peine d'amendes. Ce qui ne veut toutefois pas dire que ces immeubles sont impénétrables. Règlement plus musclé Avec les années, plusieurs de ces épaves urbaines finissent par se fondre dans le décor. Les autorités assurent qu'elles ne sombrent pas dans l'oubli pour autant. Les arrondissements ont le pouvoir de recommander la démolition des immeubles abandonnés s'ils s'avèrent dangereux. Les bâtiments sont d'ailleurs classés en trois catégories par le Service incendie de Montréal: vacants, dangereux et à risques particuliers. «Ce n'est pas parce que c'est laid qu'on peut faire quelque chose, même si ça irrite le voisinage», nuance Jean Poisson, chef de la division des permis et des inspections de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Pas moins de 204 immeubles abandonnés sont éparpillés sur son territoire, dont plusieurs en état de dégradation avancée. M. Poisson se réjouit de l'adoption d'un règlement municipal à la fin de 2007, qui autorise l'imposition de lourdes amendes aux propriétaires qui détériorent ou laissent se détériorer leurs bâtiments. «Ce sont les propriétaires qui sont responsables du nombre d'immeubles abandonnés, et non le vieillissement du parc immobilier», croit M. Poisson. Dans l'arrondissement de Ville-Marie, 47 bâtiments abandonnés sont dans la ligne de mire des autorités. «On a enfin les moyens d'exercer une pression sur les propriétaires», explique le porte-parole de l'arrondissement, Jacques-Alain Lavallée, en référence au nouveau règlement. Quant aux immeubles squattés du centre-ville, M. Lavallée souligne qu'il est conscient du problème. «On ne peut pas toujours être là», plaide-t-il. L'arrondissement du Sud-Ouest abrite aussi son lot de bâtiments condamnés, soit 49, dont plusieurs immeubles industriels. Un nombre qui pourrait diminuer, croit Normand Proulx, directeur en aménagement urbain et du service aux entreprises de l'arrondissement. À l'instar de la Ville, plusieurs groupes communautaires du Sud-Ouest maintiennent une pression sur les propriétaires pour que les immeubles vacants connaissent une seconde vie. Le Service de police de la Ville de Montréal a d'ailleurs chassé la semaine dernière une centaine de personnes qui occupaient une usine de chandelles désaffectée à l'angle des rues Atwater et Saint-Patrick. Les évincés militaient contre la conversion des bâtiments abandonnés du quartier en copropriétés plutôt qu'en logements sociaux.
  11. Publié le 02 juin 2009 à 14h43 | Mis à jour à 14h50 Une boutique montréalaise parmi les meilleures au monde Nadielle Kutlu Cyberpresse Les Touilleurs a récemment été classé parmi les cinq meilleurs commerces de détails au monde, dans la catégorie des articles et accessoires de cuisine. La boutique de l'avenue Laurier, à Outremont, a reçu cette distinction lors du prestigieux concours international Global Innovator Award 2009 (GIA) qui s'est tenu à Chicago. Vingt-quatre pays répartis sur les cinq continents y ont participé.Les Touilleurs a d'abord remporté le concours au Canada pour ensuite représenter le pays sur la scène internationale. Comme une distinction ne vient jamais seule, les propriétaires sont aussi en discussion pour avoir leur propre émission de télévision auprès d'un grand diffuseur, a appris La Presse. C'est la première fois que la boutique, qui a souvent remporté des honneurs, se présentait au GIA. Les critères de sélection reposaient, entre autres, sur la stratégie de marque de l'établissement, le concept, l'expérience client et l'étendue de la gamme de produits. «C'est un prix important, on se retrouvait face à nos pairs et ça permet aussi de mettre Montréal sur la carte», souligne le copropriétaire Sylvain Côté. «On espère que ça va fidéliser encore plus la clientèle et attirer la curiosité de nouveaux clients.» Qu'est-ce qui a séduit le jury ? «On nous a dit que c'était notre unité, l'ensemble de ce que nous offrons. Que ce soit la présentation de notre vitrine, la recette sur le tableau à l'entrée, le personnel, le service à la clientèle, tous ces éléments forment une unité chez Les Touilleurs», explique-t-il. Lorsqu'on entre dans la boutique, on remarque rapidement le look épuré et soigné. « Il n'y pas de boites entassées comme on voit souvent dans d'autres magasins», souligne Sylvain Côté . Le tout reste simple afin de faire ressortir l'objet. Les articles de cuisine sont notamment importés d'Allemagne ou de France. Les propriétaires tentent d'ailleurs d'offrir une exclusivité dans la gamme de produit. Depuis son ouverture en 2002, l'entreprise, qui a atteint un chiffre d'affaires de 1, 1 million $, est devenue une véritable référence dans le milieu. En plus des articles de cuisine, la boutique offre divers cours de cuisine animés par des grands chefs ainsi que des voyages gastronomiques.
  12. Les syndiqués en lock-out du quotidien montréalais manifestent devant le siège social des propriétaires de leur journal. Pour en lire plus...
  13. Fondée il y a cinq ans, Mountain House devait être un eldorado pour les jeunes familles. Aujourd'hui, 9 propriétaires sur 10 sont «sous l'eau». Pour en lire plus...
  14. À l'approche d'une saison des Fêtes obnubilée par la crise économique, les propriétaires de sites de commerce électronique aux États-Unis ont entrepris une guerre des prix agressive. Pour en lire plus...
  15. L'économiste Yves St-Maurice est parfois amusé par les promesses électorales. Mais cette fois-ci, il est carrément médusé devant la promesse de l'ADQ de permettre aux propriétaires québécois de déduire leurs intérêts hypothécaires dans leur déclaration de revenus. Pour en lire plus...
  16. Les indices nord-américains de même que le pétrole et le huard ont tous fait un pas en arrière hier, dans une danse des marchés rythmée par les difficultés de GM et le plan d'aide aux propriétaires américains. Pour en lire plus...
  17. Selon le Wall Street Journal, un nouveau programme d'aide aux propriétaires devrait être révélé lors d'une conférence de presse aujourd'hui vers 14h00. Pour en lire plus...
  18. Le secrétaire adjoint temporaire au Trésor américain, chargé de la stabilité financière, Neel Kashkari, a indiqué jeudi que son administration travaillait à un plan de protection des propriétaires immobiliers en difficulté. Pour en lire plus...
  19. Le candidat républicain à la présidentielle aux États-Unis a dévoilé mardi matin une série de mesures destinées à soutenir les retraités, les épargnants, les propriétaires immobiliers, face à la crise économique. Pour en lire plus...
  20. John McCain propose que Washington rachète les hypothèques de propriétaires qui n'arrivent plus à les rembourser et qu'il leur offre un nouveau prêt plus avantageux. La facture, qu'il évalue à 300 milliards$US, serait toutefois épongée par le contribuable. Pour en lire plus...
  21. La question touche beaucoup de propriétaires de maisons: est-ce que la bulle spéculative de l'immobilier résidentiel au Canada va éclater sous peu ? Pour en lire plus...
  22. Le secrétaire américain au Trésor Henry Paulson a appelé dimanche le Congrès à vite voter son plan de sauvetage pour les banques, laissant entendre que des mesures pour les propriétaires immobiliers pourraient attendre un texte ultérieur. Pour en lire plus...
  23. Plus de propriétaires que de locataires à Montréal Le 30 juillet 2008 - 07:28 | Geneviève Allard -------------------------------------------------------------------------------- La tendance semble s'inverser. Le nombre d'appartements libres à Montréal a grimpé depuis le 1er juillet, ce qui pourrait ravir les locataires et inquiéter les propriétaires. Comme l'expose La Presse, l'Opération relogement de l'Office municipal d'habitation de Montréal (OMHM) a eu trois fois moins d'appels que l'an dernier de familles en quête de logis. Plutôt, l'Office a reçu une quarantaine de coups de fils de propriétaires à la recherche de locataires. Le taux d'innocupation actuel est d'environ 3%, un point d'équilibre, maintient le quotidien. D'ici trois ou quatre ans, cela pourrait passer à 5$ si la tendance se maintient. Les propriétaires pourraient alors devoir baisser le prix des loyers ou même donner des mois gratuits, ce que la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ) refuse de faire, les prix étant déjà les plus bas en Amérique du Nord. La CORPIQ explique cette tendance notamment par le fait que bien des Québécois s'achètent de maisons en banlieue et la construction trop importante de logements sociaux par le gouvernement québécois.
  24. Propriétaires cherchent locataires Photo Martin Chamberland, La Presse Philippe Orfali La Presse Le nombre d’appartements inoccupés a bondi à Montréal depuis le 1er juillet, selon les propriétaires de logements et les groupes communautaires. Une situation qui pourrait laisser présager des jours meilleurs pour les locataires et des maux de tête pour les propriétaires. L’Opération relogement de l’Office municipal d’habitation de Montréal (OMHM), qui vient en aide aux familles sans logis, a reçu environ 350 appels cette année. C’est trois fois moins que les 1200 appels reçus en 2007. «Ce sont maintenant les propriétaires qui nous appellent, parce qu’ils sont à la recherche de locataires», affirme le chargé de projet Frédéric Roy. L’OMHM a reçu une quarantaine d’appels du genre depuis le 1er juillet. «Notre recherche de logements a été beaucoup plus simple que l’an dernier. Les locataires avaient beaucoup plus de choix», dit-il. Même son de cloche au Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU). «On a constaté une augmentation importante du taux d’inoccupation du logement locatif, indique la porte-parole, Marie-Josée Corriveau. Beaucoup moins de gens sont venus nous voir cette année.» Les propriétaires ne devraient pas s’inquiéter pour l’instant, estime toutefois le professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal Daniel Gill. « Avec un taux d’inoccupation actuel d’environ 3%, on est à un point d’équilibre, dit-il. Mais si la tendance se poursuit, le taux de logements inoccupés à Montréal pourrait facilement atteindre 5% d’ici trois ou quatre ans. » Rendus là, les propriétaires n’auront d’autre choix que de baisser leur loyer ou d’offrir des mois gratuits, croit l’expert. «Pas question», tranche Hans Brouillette, porte-parole de la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ). «Tous les coûts d’exploitation augmentent, c’est illogique que nous baissions nos loyers. Ce sont déjà les plus bas en Amérique du Nord.» De locataires à propriétaires Selon la CORPIQ, le fait que les salaires aient augmenté plus rapidement que les loyers des Québécois incite de plus en plus de locataires montréalais à s’acheter une maison en banlieue. «Cinquante pour cent des Montréalais étaient locataires en 2001. On est rendus à environ 45% en 2008, dit M. Brouillette. Ça a des répercussions sur les propriétaires de logements locatifs.» Plusieurs milliers de logements abordables ont également été bâtis au cours des dernières années par le gouvernement provincial, regrette M. Brouillette. «Que le gouvernement cesse de bâtir du logement social ! s’exclame-t-il. On en a des logements. Ce qu’il faut, c’est prendre l’argent qu’on aurait mis dans les logements neufs et aider les familles à payer le juste prix pour leur logement.» Une proposition qui fait bien rire Marie-Josée Corriveau, du FRAPRU. Selon elle, les logements qui affichent encore «À louer» sont soit hors de prix ou en mauvaise condition. «Les propriétaires doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas demander des prix exorbitants pour leur appartement. Avec une plus grande offre de logements, les locataires vont refuser de payer autant.»
  25. Le président américain a signé un vaste plan de sauvetage de l'immobilier venant en aide aux propriétaires menacés de saisie, et à des géants du refinancement hypothécaire. Pour en lire plus...
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