Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'propriété'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Source: Société immobilière du Canada Location: Montréal Un nouvel appel public de déclaration d’intérêt a été publié à la section des appels d’offres, au sujet de la propriété de la SIC à Longueuil, au Québec. Vous pouvez consulter l’entente de partenariat pour un développement immobilier en cliquant ici. http://www.clc.ca/sites/default/files/Appel_public_de_declaration_dinteret-Longueuil_Quebec.pdf
  2. Mi'X 28 condos dans le Mile-Ex 28 condos dans le Mile-Ex Le Mi’X vous offre l’opportunité de vivre dans le cœur du Mile-Ex, un quartier en pleine ébullition. Imaginez-vous à quelques pas du Marché Jean-Talon, le Parc Jarry, la Petite Italie et 2 stations de Metro (Parc et deCastelnau). Vivre au Mi’X c’est la vraie vie de quartier. De plus le Mi’X contient un ascenseur et stationnement sous-terrain. Le Mi’X est un investissement assurée. Condos à partir de 173,900 + tx et plusieurs unités qualifie pour la subvention Access à la Propriété Livraison a partir du 1er mars 2015 Bureau des ventes Bureau des ventes ouvert 5405 St-Denis, Montreal Lundi - Jeudi 13h30 a 19h00 Sam-Dim 12h00 a 17h00 Tél: 514-998-1514 Fax: 514-744-9169 Courriel: mowen@mondevimmobilier.com http://www.mondev.ca/138-condo-mi-x-28-condos-dans-le-mile-ex.html
  3. Akelius Canada, filiale de la suédoise Akelius Residential Property, vient d'acquérir quatre immeubles d'habitation au centre-ville de Montréal, un investissement de 120 millions pour 415 logements. Il s'agit du Westmount Estates, au 1800, De Maisonneuve Ouest, du Plaza Drummond, au 3435, Drummond, du 3421, Drummond et du 4555, Bonavista, dans Côte-des-Neiges. Les propriétés étaient auparavant contrôlées par Cromwell Management, propriété de George Gantchev et Stanley Zipkin. Akelius est entrée au Canada en 2011. Elle se concentre dans les marchés de Toronto et Montréal pour le moment. Elle vient de franchir le cap des 1000 logements à Montréal avec ces dernières acquisitions. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201601/26/01-4943781-un-groupe-suedois-investit-120-millions-au-centre-ville.php
  4. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  5. Adopter une résolution autorisant la démolition du bâtiment existant situé aux 2148-2150, rue de la Montagne ainsi que la construction d'un bâtiment commercial sur le lot 1 341 026, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble Une demande de projet particulier a été déposée le 6 mai 2015 afin d’évaluer la démolition du bâtiment existant ainsi que des dérogations relatives à la hauteur minimale prescrite, à la superficie maximale du commerce et à l’unité de chargement dans le cadre de la construction d’un édifice commercial bordant la rue de la Montagne. Cette demande peut être effectuée en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011). DÉCISION(S) ANTÉRIEURE(S) n/a DESCRIPTION Description du site La propriété est située dans l’ouest de l’arrondissement dans le secteur animé de Bishop/Crescent entre la rue Sherbrooke et le boulevard De Maisonneuve. L’emplacement, d’une superficie de 267 m², est actuellement occupé par un bâtiment de 3 étages plus soussol construit en contiguïté avec les 2 bâtiments voisins. Ledit bâtiment a été construit vers 1866 et a été agrandi en 1969 dans la cour avant jusqu'à la limite d’emprise de la rue de la Montagne. Cet agrandissement est venu masquer et/ou enlever la plupart des caractéristiques architecturales d’origine. Le bâtiment est actuellement vacant. Il comportait un restaurant au rez-de-chaussée, une boutique de chaussures au sous-sol et 3 logements aux étages supérieurs. Selon une inspection de juin 2013, les logements sont vacants depuis cette date. Enfin, une ruelle publique donne accès à l’arrière de la propriété. Le programme Le requérant désire démolir le bâtiment existant et le remplacer par un nouveau bâtiment commercial. Tous les planchers, la toiture ainsi que le 3e étage (avec toit mansard) seraient démolis. Seul les fondations et une partie du mur arrière seraient conservées. Le nouveau bâtiment aurait 2 étages plus sous-sol et 11,79 mètres de hauteur, donc moins haut, en mètres, que le bâtiment existant. L’ensemble du bâtiment serait occupé par une boutique de vêtements de 520 m2. Au niveau stationnement, il y aurait 1 unité pour auto et 5 unités pour vélo situées à l’extérieur dans la cour arrière. L’accès à ces stationnements se ferait par la ruelle publique à l’arrière. Enfin, il n’y aurait aucune unité de chargement et les livraisons se feraient par cette même ruelle. sent via Tapatalk
  6. Bonjour à tous. Plus je me renseigne sur l'art de l'investissement immobilier plus je trouves quelques petits details que je comprend plus ou moins,Je me demandais alors si vous pourriez m'aider à les saisir. les voila les questions ): 1-que signifie *l'amortissement sur le prix d'achat d'un immeuble? 2-Quelle est la difference entre une maison qui a pris le plus de valeur et une maison qui a la plus d'équité? et lequel est plus préférable de vendre ou garde et pourquoi? 3-réhypothéqué une propriété signifie la vendre? 4- que signifie refinancer son immeuble? 5-comment reconnaitre un cycle dans l'immobilier? 6-Que signifie faire un achat sans comptant? C'est tout pour le moment un grand merci à ceux qui ont pris le temps de lire mes questions.
  7. Combien de ces 20 faits sur Montréal saviez-vous déjà ? Recouverte en 1832, la Petite Rivière St-Pierre sort de terre seulement nous rappeler qu’elle existe encore coupant en deux le terrain de Golf Meadowbrook de Côte-St-Luc. Nous sommes sur une île, vous le saviez ça, mais saviez-vous que Montréal est la plus grande île de l’Archipel d’Hochelaga qui en compte environ 325? Montréal est la ville soeur de 21 autres villes internationales dont Hiroshima, Amsterdam, Lyon et Milan. La plus longue rue de l’île est le Boulevard Gouin qui longe la rive nord mesure 50km. L’Hôtel Reine-Élizabeth se devait de nourrir votre cheval gratuitement si vous y louiez une chambre pour la nuit. Cette loi n’a été renversée qu’en 1998. Notre Mont-Royal, partie des Collines Montérégiennes, a trois sommets, Le sommet du Mont-Royal (234m), le Sommet D’Outremont (211m) et la Colline Westmount (201m). À sa dernière expansion en 1933, l’Édifice Sun Life sur Metcalfe était le plus grand building de tout l’Empire Britannique. Il fut le plus grand édifice de Montréal jusqu’à la construction de la Place Ville-Marie. Parlant de la Place Ville-Marie, le gyrophare tout en haut prend 28 secondes pour faire un tour complet et s’éteint à minuit-trente à chaque nuit. Le gyrophare est la propriété de la Banque Royale du Canada. Mettons fin à un mythe ici, les « Tours Eiffel » qui couronne le Pont Jacques-Cartier ne sont pas un cadeau de la France et leur similitude n’est qu’une coïncidence. Fin d’un autre mythe. Même si à la base le Mont-Royal à un coeur fait de magma solidifié nommé gabbro, le Mont-Royal n’est pas un volcan. Les cimetières de Montréal comptent 12 des 1514 victimes du Titanic La Station de Métro St-Michel n’est techniquement pas encore terminé et est la seule station qui ne peut pas recevoir une rame complète de neuf voitures. Puisque nous parlons de transport en commun. La ligne d’autobus avec le plus grand achalandage est la ligne 121 Sauvé/Côte-Vertu avec en moyenne 37 000 passagers du lundi au vendredi. La première voiture de Montréal arriva dans nos rues le 21 novembre 1889 et elle était la propriété de M. Dandurand. Dans le même ordre d’idée, la première victime d’un accident automobile fut Antoine Toutant frappé en traversant la rue le 11 août 1906. Montréal a plusieurs sièges sociaux, dont celui d’un des sites web le plus visité sur le web, Brazzers (et ne faites pas semblant que vous ne savez pas de quoi je parle). Montréal fût la capitale fédérale de 1844 à 1849. Il tombe sur notre belle ville en moyenne 764mm de pluie et 217cm de neige annuellement. Montréal est au 1er rang nord-américain pour le nombre d’étudiants universitaires par habitant devant Boston. La Basilique-Cathédrale Marie-Reine-du-Monde, sur la rue De la Cathédrale est une copie réduite de la Basilique St-Pierre du Vatican. Et finalement, en restant du côté religieux de la métropole. Il y a 152 rues qui portent le nom de « Saint- » ou « Sainte- Écrit pour mon blogue mais partager sans frais avec MTLurb.
  8. Nouveau projet par Kevric http://www.kevric.ca/projets-en-developpement/montreal/280-faillon/ 280 Faillon Édifice à bureaux Projet à l’étude Montréal Le projet Faillon consiste en la conversion d’un bâtiment industriel de 80,000 pi. ca. (2 étages de 40,000 pi.ca.) en un édifice à bureaux. Type de propriété : Édifice à bureaux, projet de développement Ville : Montréal
  9. Fiabilité d'un outil de calcul de la SCHL mise en doute Des failles dans une banque de données qui détermine la valeur des maisons canadiennes auraient pu causer l'inflation des prix de celles-ci, selon certains intervenants du secteur de l'immobilier. Des documents obtenus du Bureau du surintendant des institutions financières du Canada par le Globe and Mail, et contenant des déclarations de banques, d'évaluateurs, d'assureurs hypothécaires et de courtiers immobiliers, affirment que les organismes qui accordent des prêts immobiliers fondent trop leurs décisions sur la banque de données Emili. Cette banque de données, lancée en 1996, par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), permet justement aux prêteurs d'analyser rapidement et sans trop de frais combien d'argent devrait être accordé pour une propriété. Emili utilise entre autres les chiffres des ventes récentes dans le secteur concerné pour faire ses calculs, sans qu'un expert soit envoyé à l'adresse en question pour faire sa propre évaluation de la réelle valeur de la propriété. Les intervenants dans le domaine s'inquiètent maintenant de l'importante marge d'erreur que pourraient receler les estimations d'Emili et des conséquences que cela peut avoir sur le prix des maisons, qui peuvent facilement être évaluées à la hausse. Les banques craignent notamment de détenir une garantie qui vaut beaucoup moins que l'hypothèque accordée aux acheteurs. « Si la propriété vaut 300 $ et qu'un agent immobilier convainc un acheteur de la payer 330 $, donc 10 % de plus que sa valeur, et ils soumettent ce prix à Emili, le système va seulement dire : oui c'est correct pour ce secteur », explique Rick Sieb, président de Intercity Appraisals Ltd. à Vancouver, une société d'experts en évaluation. Appelé à commenter ces documents et les erreurs qu'Emili aurait pu commettre, un porte-parole de la SCHL a affirmé mercredi que l'organisme utilise des évaluateurs lorsque cela est nécessaire. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/10/11/010-banque-donnees-emili-evaluation-maisons-canadiennes.shtml ----------------- oooooffff c'est vraiment pas une bonne nouvelle ça
  10. Un fil pour aider ceux qui achète une propriété... n'hésitez pas mettre vos contacts, je vais les ajouter ici. Notaires: Me Marc-André Théorêt, notaire 2540 bl. Daniel-Johnson, #1108 Laval, Québec Tél.: 450 686 2540 Fax.: 450 686 2560 Inspecteurs de bâtiments: Autres infos utiles: Calculateur de la taxe de mutation: http://www.impot.net/fr/immobilier/mutation/
  11. http://www.clc.ca/fr/propriete/pointe-de-longueuil Le projet de réaménagement de la Pointe-de-Longueuil de la SIC n’en est qu’à la première étape, mais promet néanmoins de jouer un rôle important dans la revitalisation du secteur riverain de la Ville de Longueuil, sur la berge du fleuve Saint-Laurent qui fait face à Montréal. Avec ses panoramas spectaculaires, cette propriété de prestige voisine le centre-ville et le point d’accès au métro, ce qui présente une possibilité d’aménagement fantastique pour la SIC. En 2002, la SIC a conclu une entente d’achat avec Transports Canada portant sur 180 biens immobiliers du portefeuille de la Voie maritime du Saint-Laurent. De tailles variées, ces propriétés ont été désignées excédentaires aux besoins immobiliers du gouvernement du Canada. La SIC a formellement acquis la propriété en juin 2006 et a entamé des pourparlers avec la Ville de Longueuil au sujet des usages possibles du site à l’avenir. La propriété occupe un peu plus de 57 acres (23,1 hectares) et est dotée d’un zonage à la fois commercial et résidentiel. La SIC consulte actuellement la Ville de Longueuil et d’autres intervenants pour élaborer un projet qui engloberait des usages résidentiels et commerciaux, tout en donnant aux citoyens locaux l’accès à des nouveaux parcs et espaces récréatifs. Le calendrier d’aménagement du projet de la Pointe-de-Longueuil n’en est qu’à l’étape d’étude. La SIC verra en temps opportun à collaborer ou initier des consultations qui permettront aux parties intéressées de se prononcer sur les usages possibles de la propriété et sur la façon dont elle sera aménagée pour en tirer le bénéfice optimal, tant pour la collectivité locale que pour la Ville de Longueuil. http://www.clc.ca/properties/pointe-de-longueuil CLC’s Pointe-de-Longueuil redevelopment project is still at an early stage, but already promises to play a major role in the revitalization of the waterfront area of the City of Longueuil, which is located directly across the St. Lawrence River from Montréal. This prestigious property, with its spectacular views, is also adjacent to the city’s downtown core and subway node -- providing CLC with a great development opportunity. In 2002, CLC reached an agreement with Transport Canada to purchase approximately 180 properties located along the St. Lawrence Seaway. These properties, of varying sizes, were considered surplus to the real estate needs of the Government of Canada. CLC formally acquired the property in June 2006 and has begun discussions with the City of Longueuil on possible future uses for the site. The property totals just over 57 acres (23.1 hectares) and is zoned for both commercial and residential use. CLC is currently in consultations with the City of Longueuil and other stakeholders to develop a vision for the property combining residential and retail uses, while also giving local residents access to new parks and recreational space. The timeline for development of the Pointe-de-Longueuil project is currently only in the study stage. CLC intends to initiate consultations in the future to allow interested parties to have their say on appropriate uses for the property, which will allow for the value of the property to be optimized for both the local community and the City of Longueuil.
  12. Population Population Région Montréalaise: 3,859,318 (2010-07) Ville Montréal: 1 692 082 (2010) Ile de Montréal: 1 934 082 (2010) Nombre ménages Montréal: 743 204 (2006) Ménages avec enfants Montréal: 254 630 (2006) Personne par ménage: 2.18 (2006) Naissances Île de Montréal: 23 268 (2010) PIB: 127 390 000 000$ (2011) PIB/Habitant: 32 601$ (2011) PIB Montréal / PIB Québec: 49.58% (2011) Revenus disponibles (2009) Région de Montréal: 27 537$ Montréal (île): 27 462$ Laval: 26 442$ Longueuil: 28 834$ Joliette: 30 986$ Assomption: 26 840$ Les Moulins (Terrebonne, La Plaine): 34 891$ Emploi Taux d'activité Grand Montréal: 66.2% (2012-08) Taux d'activité Laval: 66.5% (2010-09) Emplois Ile de Montréal: 944 200 (2011-08) Emplois Laval: 195 000 (2010-09) Emplois Montérégie: 741 500 (2010-09) Emplois Laurentides: 284 600 (2010-09) Emplois Lanaudière: 244 600 (2010-09) Chômage Grand Montréal: 8.2% (2012-10) Chômage Île de Montréal:9,6 % (2012-10) Chômage Laval: 8.6% (2012-10) Traffic maritime: 24 524 139 tonnes métriques (2009) Prix médian propriété divise Région Métropolitaine: 218 000$ (2010-10) Prix médian maison unifamiliale Région Métropolitaine: 260 000$ (2010-10) Prix médian propriété "Plex" Région Métropolitaine: 340 000$ (2010-10) Prix médian propriété divise Montréal: 250 000$ (2010-10) Prix médian maison unifamiliale Montréal: 257 000$ (2010-10) Prix médian propriété "Plex" Montréal: 397 000$ (2010-10) Prix médian propriété divise Laval: 205 000$ (2010-Q4) +21% Prix médian maison unifamiliale Laval: 266 500$ (2010-Q4) +11% Immigration Immigrants accueillis Île de Montréal: 33 084 (2009) Sources: http://www.tableaudebordmontreal.com http://ville.montreal.qc.ca/montrealenstatistiques http://www.stat.gouv.qc.ca/princ_indic/publications/se12-40.pdf http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201011/09/01-4340855-immobilier-fort-recul-des-ventes-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS4 http://en.wikipedia.org/wiki/Les_Moulins_Regional_County_Municipality,_Quebec http://www.statcan.gc.ca/pub/91-214-x/2009000/t021-eng.htm http://www.stat.gouv.qc.ca/princ_indic/indicrm.htm
  13. Publié le 03 juin 2010 à 07h01 | Mis à jour le 03 juin 2010 à 07h06 (Montréal) Signe que le marché immobilier de luxe se porte bien à Montréal, un record vient d'être fracassé dans l'arrondissement d'Outremont. L'agente Marie-Yvonne Paint, de Royal LePage, a obtenu le prix le plus élevé jamais payé dans ce quartier pour une résidence située au 22, avenue Ainslie. La maison vient d'être achetée par un couple d'industriels français au coût de 5,3 millions après sept mois sur le marché. «À Westmount, on a déjà eu ce prix-là, mais pas à Outremont, a indiqué Mme Paint. On a vraiment créé un précédent.» > Suivez Maxime Bergeron sur Twitter Le prix d'origine de la somptueuse résidence - connue sous le nom de Maison Tourville - était de 6,2 millions, mais il a été abaissé en mars. La propriété de cinq chambres à coucher est évaluée à 3,6 millions par la Ville, et ses comptes de taxes municipales et scolaires s'élèvent à 43 693$ par année. Les acheteurs, qui arrivent directement de France, s'y installeront avec leurs cinq enfants. Ils ne manqueront pas d'espace, puisque la propriété compte aussi une maison secondaire pour les invités. Avant cette transaction, le prix le plus élevé jamais obtenu pour une résidence à Outremont était de 2,7 millions, selon les données de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La transaction remonte à 2004. Marie-Yvonne Paint se dit très satisfaite du prix final ainsi que du délai de vente de sept mois, «qui n'est pas long pour cette gamme de prix». La maison a fait l'objet d'un total de trois offres au fil des mois, a-t-elle affirmé. Ce prix de vente, si élevé soit-il, est à des années-lumière de ce que tente d'obtenir un vendeur de l'Île-Bizard, dans l'ouest de Montréal. Il demande 27 millions pour sa propriété de neuf chambres à coucher, sise sur un terrain de 48 000 mètres carrés. Les taxes combinées coûteront 64 000$ par an au futur acheteur... s'il se manifeste. Le marché du haut de gamme dans son ensemble se porte très bien dans la métropole, selon des données obtenues récemment par La Presse Affaires. Quelque 64 maisons de plus de 1 million ont changé de main au premier trimestre, contre 27 pendant la même période en 2009. Le prix moyen de ces transactions était de 1,5 million, comparativement à 1,3 million l'an dernier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201006/03/01-4286371-un-record-immobilier-fracasse-a-outremont.php
  14. Le 25 février 2010 Qui a peur de l'architecture contemporaine? * Lucie Lavigne La Presse En matière d'architecture résidentielle, le style contemporain déstabilise ou parfois même rebute encore plusieurs personnes. Pourquoi? Nous avons posé cette question à un architecte bien connu au Québec: Pierre Thibault. Lucie Lavigne: Pourquoi selon vous, les maisons de style contemporain sont-elles encore rarissimes au Québec? Pierre Thibault: Parce que les règles de l'architecture contemporaine sont complètement différentes de celles de l'architecture traditionnelle. Les gens n'ont plus leurs repères. Selon moi, l'une des meilleures façons de la découvrir et, surtout, de l'apprécier est de «goûter» pendant une journée aux qualités architecturales d'une habitation actuelle. Au départ, les gens sont impressionnés par l'effet des volumes et le lien entre l'intérieur et l'extérieur, beaucoup plus puissant que celui d'une maison standardisée où toutes les pièces sont identiques. Après un certain temps, les visiteurs se disent «wow», je suis bien ici. Ils se rendent compte que l'expérience peut être enrichissante. L'objectif de l'architecte est d'ailleurs de créer une atmosphère et de procurer des sensations diversifiées aux occupants d'une propriété. Je l'ai vécu moi-même avec certains membres de ma famille. Après avoir visité mon chalet, ils m'ont demandé s'ils pouvaient l'habiter... pendant un week-end! Q. Pourquoi les néomanoirs continuent-ils de se multiplier et comment décodez-vous cette tentative de recréer des châteaux? R. Je crois que c'est un phénomène qui tire à sa fin. Cette tendance correspondait aux envies d'une génération de la fin des années 90 qui avait une image idyllique de la propriété, popularisée par certaines émissions de la télé américaine. La nouvelle génération, dont mes propres enfants et mes étudiants à l'Université Laval, n'adhèrent pas à cette mode. Je dirais même qu'ils la ridiculisent et comparent les similichâteaux à des maisons de Barbie. Ils préfèrent, je crois, retourner à des valeurs essentielles et universelles. À leurs yeux, habiter n'est pas un moyen d'impressionner son voisin, mais plutôt d'avoir une vie plus agréable. Q. Croyez-vous que la construction contemporaine sera un jour plus populaire? R. Je suis de nature optimiste, alors je vous répond: oui! Comme j'enseigne à l'université et que j'ai maintenant des clients très jeunes, je suis à même d'observer un changement. Les très grandes maisons, dites Monster Houses n'ont plus la cote. Les enfants qui les ont habitées ne veulent pas vivre leur vie d'adulte dans ce type d'habitation surdimensionnée. Je dirais même qu'ils ont influencé leurs parents. J'ai actuellement des clients qui vivent dans une Monster House et qui veulent changer d'environnement. Lors de visites, j'ai d'ailleurs constaté de visu la pauvreté spatiale de ces projets. On a beau mettre beaucoup d'argent dans la décoration, ça ne rend pas les espaces intérieurs plus agréables à vivre. Q. Qu'est-ce qui différencie une habitation conventionnelle d'une autre, de style contemporain? R. Souvent, dans les habitations à l'architecture conventionnelle, chaque pièce est à peu près identique, c'est-à-dire qu'elle comporte toujours quatre murs dont un ou deux percés d'une petite fenêtre. Le rapport avec l'extérieur et la lumière s'avère ainsi toujours à peu près le même. À l'inverse, dans une propriété contemporaine, le but est d'aller chercher le maximum de lumière naturelle, des vues variées sur l'extérieur et une diversité spatiale avec des espaces parfois plus hauts ou plus larges que la normale. On peut alors se retrouver avec des pièces où l'on se sent un peu «comprimés». Ailleurs dans la maison, on peut, au contraire, ressentir une dilatation de l'espace avec des plafonds hauts. Résultat? Le quotidien est moins banal. La préoccupation de l'architecte n'est donc pas de faire «joli», mais de solliciter tous les sens des occupants. Se promener dans la maison se transforme en une expérience architecturale. Q. Parmi les éléments déconcertants d'une maison contemporaine, il y a son entrée principale, rarement flamboyante et centrée en façade. Il est parfois même difficile de l'apercevoir de la rue. Qu'en pensez-vous? R. Je crois que le mot «déconcertant» est juste, car la plupart des gens ont l'habitude d'entrer en façade. En entrant latéralement, par exemple, les visiteurs peuvent découvrir une grande perspective avec une longue fenêtre qui cadre le paysage, au lieu de tomber face à face à une penderie. Cette façon moins conventionnelle de pénétrer dans une propriété est de plus en plus appréciée. Depuis 50 ans, notre façon de vivre et l'habitat ont évolué. Certaines personnes sont toutefois restées avec une image passéiste de l'habitation. Q. Enfin, est-il possible pour une famille qui n'est pas très fortunée de construire ou de rénover une habitation dans un style contemporain ? R. L'un des meilleurs moyens pour abaisser les coûts de construction est de réduire la superficie. Sinon, il existe des trucs pour faire paraître une propriété plus vaste qu'elle ne l'est en réalité. Une fenestration bien pensée et de grandes terrasses, par exemples, rendent les espaces intérieurs particulièrement agréables et, surtout, ils peuvent créer un effet d'agrandissement étonnant. photos: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/architecture-et-patrimoine/201002/24/01-954862-qui-a-peur-de-larchitecture-contemporaine.php
  15. L'APCHQ part en guerre contre la SHDM Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mercredi 27 mai 2009 Mots clés : Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec, programme Accès condos, Construction, Québec (province) Les constructeurs d'habitations réclament l'abolition du programme Accès condos Sévèrement blâmée pour sa gestion du dossier du Faubourg Contrecoeur, la SHDM fait de nouveau l'objet de critiques. Cette fois, ce sont les entrepreneurs en construction qui l'accusent de concurrence déloyale, montrant du doigt le programme Accès condos. Estimant que le programme Accès condos est illégal, l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ) a déposé une requête en Cour supérieure hier contre la Ville de Montréal et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), afin que celles-ci cessent la mise en marché de tout projet lié à ce programme. Lancé en 2004, le programme Accès condos facilite l'accès à la propriété à Montréal. Grâce à un crédit d'achat, des ménages peuvent acquérir à un prix abordable une unité détenue en copropriété divise. Or, selon l'APCHQ, la SHDM agit comme constructeur et promoteur dans ce dossier sans toutefois détenir de licence, contrevenant ainsi à la Loi sur le bâtiment. Celle-ci précise d'ailleurs que les organismes publics ne peuvent obtenir une telle licence. «C'est la SHDM qui détermine l'emplacement, le nombre de logements, le type d'unité, le prix des unités, et c'est elle qui fait la vente. Elle n'agit pas comme promoteur et elle fait toutes ces étapes-là? Je trouve un peu ridicule de penser que les gens vont embarquer là-dedans», commente Marc Savard, directeur général de l'APCHQ du Montréal métropolitain. L'APCHQ ne s'oppose pas aux programmes d'accession à la propriété, mais elle estime que la SHDM et la Ville devraient plutôt se tourner vers des programmes de subventions pour acheteurs tel qu'Habiter Montréal. «Si elles jouent au promoteur-constructeur, comme elles le font présentement, c'est sûr qu'elles vont trouver des constructeurs sur leur chemin», ajoute M. Savard. L'APCHQ prépare le dossier depuis 13 mois. Elle souhaite que le Tribunal déclare illégale la façon d'agir de la SHDM et lui ordonne de cesser la mise en marché de tout nouveau projet dans le cadre d'Accès condos. Elle allègue que la SHDM représente une concurrence déloyale pour les entreprises en construction, car son statut d'organisme public lui permet notamment de financer ses projet à un taux d'intérêt «insignifiant» et la soustrait à l'obligation de payer des impôts sur certains revenus. Selon M. Savard, l'impact pour les promoteurs privés est majeur, car il devient difficile pour eux de vendre des unités lorsque la SHDM se pointe dans un quartier. La SHDM se défend d'agir comme un promoteur et de contrevenir à la Loi sur le bâtiment. «Quand on a développé le programme Accès condos, on l'a fait en se basant sur des opinions juridiques pour s'assurer qu'on ne contrevenait pas à la loi. Des vérifications récentes ont confirmé la même chose», indique Gabrielle Collu, porte-parole de la SHDM. Le programme est offert à tous les entrepreneurs dont les projets respectent les critères établis par la SHDM, insiste-t-on. «Ce programme est un énorme succès», rappelle Mme Collu. Depuis 2004, le programme a permis à près de 1000 ménages d'acquérir une propriété. http://www.ledevoir.com/2009/05/27/252316.html (27/5/2009 9H04)
  16. Québec a tenté de récupérer sa colline Antoine Robitaille Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le gouvernement fédéral est toujours propriétaire d'une partie des terrains devant l'Assemblée nationale Québec -- Le gouvernement Charest a formellement demandé à son vis-à-vis fédéral, en 2006, d'enfin devenir propriétaire de certains terrains qu'il lui loue devant le parlement à Québec. Mais Ottawa n'a jamais daigné répondre, a appris Le Devoir. Paradoxalement, les bronzes de René Lévesque, de Robert Bourassa, d'Honoré Mercier et de Louis-Hippolyte Lafontaine se retrouvent donc en terrain fédéral loué (voir la carte au http://www.ledevoir.com). Dans une lettre datée du 7 juillet 2006, le ministre des Affaires intergouvernementales, Benoît Pelletier, soumettait à son homologue fédéral du temps, Michael Chong, «cette problématique que l'Assemblée nationale du Québec souhaite corriger depuis longtemps». C'est pour des raisons historiques liées aux besoins du Canada «en matière de défense au XIXe siècle», expliquait-il, que plusieurs terrains en face du parlement sont restés «de propriété fédérale». Sur une carte en annexe à la lettre, on prend conscience qu'Ottawa possède le terrain qui va pratiquement de la borne du kilomètre zéro (devant la porte centrale) jusqu'aux fortifications, en passant évidemment par le rond-point où se trouve aujourd'hui la fontaine de Tourny. Lors du réaménagement de la colline parlementaire à la fin des années 1990, Québec avait dû avertir le gouvernement fédéral de ces travaux, a-t-on appris. Dans sa lettre de juillet 2006, Québec n'avait toutefois réclamé la propriété que d'un seul des quatre «lots» loués à Ottawa depuis 1881: celui le plus rapproché du parlement, à l'ouest de l'avenue Honoré-Mercier (autrefois Dufferin), numéroté 1 315 204 et faisant presque 10 000 mètres carrés. Benoît Pelletier, qui est redevenu professeur de droit constitutionnel la veille du déclenchement des élections, le 4 novembre -- après avoir détenu le portefeuille des Affaires intergouvernementales pendant cinq ans --, écrivait que cette propriété fédérale sur un terrain hautement symbolique pour la nation québécoise constituait un accroc aux principes mêmes du fédéralisme. Il soulignait qu'en 1867, l'Acte de l'Amérique du Nord britannique avait consacré l'intention des provinces fondatrices du Canada de «contracter une union fédérale» en vertu de laquelle chacune posséderait une assemblée législative indépendante du Parlement canadien et «souveraine» dans ses sphères de compétence. «Dans ces circonstances, poursuivait-il, il nous apparaît important que le "situ" sur lequel l'Assemblée nationale est érigée reflète cette caractéristique fondamentale de notre régime fédéral.» M. Pelletier énonce donc le principe selon lequel «les terrains qui entourent l'Assemblée nationale doivent lui appartenir». Il a été impossible de savoir de quel type de contrat de location il est question ici. Certaines sources parlent d'un bail «emphytéotique» (de très longue durée, maximum de 99 ans, selon le Code civil). Dans un document intitulé Rapport d'un comité de l'Honorable Conseil exécutif, en date du 16 novembre 1888, consulté par Le Devoir, on peut lire une description s'apparentant à cette partie de terrain. On dit que, «conformément à un ordre de Son Excellence le Gouverneur général en Conseil du 24 janvier 1881», cette portion de terrain «est maintenant laissée à l'usage du gouvernement de la province de Québec, moyennant un loyer ou rente annuelle de cinquante piastres». Personne n'était en mesure hier, dans les officines étatiques, de dire si Québec déboursait toujours ce montant annuellement. On a toutefois souligné avec ironie que lorsqu'un bail emphytéotique se termine, les «améliorations» qui ont été faites sur le terrain deviennent propriété du «bailleur emphytéotique». Pas que symbolique Aux yeux de Québec, le transfert de propriété de ce terrain «n'aurait pas que des conséquences symboliques». Dans sa lettre, M. Pelletier souligne qu'«au plan pratique, cela permettrait au président de l'Assemblée nationale d'exercer pleinement ses privilèges et ses responsabilités quant à la sécurité de l'enceinte parlementaire». Une source bien au fait du dossier explique que lorsqu'il y a des manifestations, «on met des barrières»; or, «assurer votre sécurité sur un terrain qui n'est pas totalement le vôtre, mettons celui de votre voisin, c'est problématique, non?». La controverse autour de la commémoration de la bataille des plaines d'Abraham a ramené à l'avant-scène la présence très importante du gouvernement fédéral dans la capitale nationale québécoise. Celle-ci n'aurait pas d'équivalent dans les autres capitales de provinces au Canada. L'ancien président de la Commission de la capitale nationale, Pierre Boucher, faisait remarquer mercredi dans nos pages qu'au cours du XXe siècle, «la présence du gouvernement du Canada à Québec a pris une proportion stupéfiante». Il estimait la part de propriété fédérale à 40 % du territoire de la ville fortifiée et de ses alentours, «au point où même une portion de la place de l'Assemblée nationale est localisée en terre fédérale».
  17. L'entente, qui élimine certaines restrictions touchant la propriété et les vols directs, fera du marché canado-européen l'un des plus ouverts au monde. Pour en lire plus...
  18. Le géant montréalais de la transformation laitière fait l'acquisition de Neilson Dairy, une filiale du groupe Weston, pour la somme de 465 millions de dollars. Pour en lire plus...
  19. Les ventes des maisons existantes en hausse 15 octobre 2008 - 11h38 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Les ventes des maisons existantes a été hausse en septembre, le prix en baisse. Les ventes des maisons existantes ont augmenté en septembre alors que les acheteurs se sont empressés d’acheter de l’immobilier avant que les conditions de crédit se resserrent. Selon l’Association canadienne de l’immeuble, les ventes ont été en hausse de 25 680 unités ou 3% par rapport au mois précédent. Cette hausse est explicable selon l’Association par un flux d’acheteurs importants qui souhaite accéder à la propriété avant les nouvelles mesures gouvernementales. En juillet dernier, les conditions des prêts hypothécaires ont été resserrées. Ainsi, pour avoir accès à l’assurance hypothécaire, les nouveaux acheteurs doivent signer une hypothèque étalée sur 35 ans ou moins avec une mise de fonds de départ d’au moins 5% de la valeur de la propriété. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Une chute des prix moyens est donc à prévoir selon l’association. «Dans certains marchés résidentiels cossus du Canada, la chute des prix sera plus importante que les autres hausses de prix que subiront les autres marchés, et elle continuera à faire baisser le prix moyen national d’ici la fin de l’année et jusqu’en 2009», indique l’économiste en chef de l’ACI, Gregory Klump. Encore et toujours les principaux coupables, les turbulences qui secouent les marchés financiers mondiaux et le recul de la croissance économique, ont un impact sur le secteur.
  20. Avec la déprime boursière, le rap n'est pas très à la mode ces temps-ci - pas le style de musique, mais bien le Régime d'accès à la propriété, mieux connu sous l'acronyme RAP. Pour en lire plus...
  21. Montréal courtise les familles Avec un grand sourire, la campagne rappelle que les Montréalais n'ont pas de pont à traverser pour se rendre au travail. La campagne souligne aussi qu'au lieu d'acheter une seconde voiture, les Montréalais peuvent investir dans l'achat d'une propriété d'une valeur élevée. Le lundi 22 septembre 2008 Danielle Bonneau La Presse Élever sa famille à Montréal? C'est avantageux, fait valoir la Ville de Montréal, dans une campagne de publicité sans précédent. À la radio, sur l'internet et dans les rues de la métropole, elle courtisera les jeunes couples montréalais qui lorgnent la banlieue lorsque vient le temps de fonder une famille. Attaquée à mots couverts par les banlieues lorsqu'elles vantent leurs qualités, Montréal riposte avec son slogan: Une vie proche de tout. Avec des phrases comme «Pour leur petite enfance, voyez les choses en grand» et «Ne mettez pas un pont entre vous et vos enfants», elle s'emploiera, de façon ludique, à faire ressortir ses atouts. Les banlieues ont fait leur promotion sans se gêner pour frapper sur Montréal, indique Cosmo Maciocia, responsable de l'habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal. Sans jamais la nommer, c'est clair que Montréal est leur cible principale. Nous avons décidé de prendre notre place dans le marché immobilier.» Le public visé: les jeunes couples et les familles qui habitent à Montréal. Le but: les encourager à y demeurer. La campagne mettra donc en valeur tout ce qu'ils apprécient déjà, comme la proximité des services, des parcs et des aires de jeu, l'absence de pont à traverser et la possibilité d'investir dans une propriété d'une plus grande valeur plutôt que d'acheter une seconde voiture. La campagne, conçue par l'agence de publicité Bleu Blanc Rouge, mise beaucoup sur l'internet pour capter l'attention des Montréalais à la recherche d'une propriété. Environ 25% du budget y sera consacré et diverses stratégies seront mises en oeuvre. Sur certains sites très ciblés, comme micasa.ca et DuProprio.com, par exemple, les Montréalais qui reluquent du côté de la banlieue se feront proposer des propriétés en vente à Montréal. «Il y aura une contre-offre», explique Denis Quirion, directeur au développement du logement social et abordable à la Ville de Montréal. Surtout, la Ville veut changer les perceptions et démontrer qu'il est avantageux d'acheter une maison à Montréal. La tâche est ardue: les jeunes familles qui désirent accéder à la propriété sont confrontées à un double obstacle. Le prix des propriétés est très élevé à Montréal. Et il s'y construit surtout de petites unités, peu adaptées à leurs besoins. Aussi la Ville veut-elle former un partenariat avec les promoteurs, les agents immobiliers et les institutions financières pour séduire les jeunes. L'enjeu est crucial, fait remarquer M. Maciocia. Les quartiers ont besoin des familles pour maintenir leur dynamisme économique et social. Montréal, qui vient de se doter d'une politique familiale, encourage d'ailleurs activement la construction de logements sociaux et abordables, de même que la rénovation des logements existants, en accordant une aide financière. Elle lancera le mois prochain, à l'intention des promoteurs, un nouveau programme d'aide à la construction résidentielle. Elle compte ainsi voir bâtir 300 logements abordables d'au moins trois chambres, situés aux trois étages inférieurs et dotés d'espaces de rangement. La campagne de promotion est dotée d'un budget initial de 1,75 millions. Elle se poursuivra en janvier avec la création d'un nouveau site internet, où seront répertoriés tous les projets immobiliers en cours à Montréal.
  22. Air Canada a accueilli favorablement la proposition du Parti conservateur visant à augmenter l'accès des sociétés étrangères à la propriété dans les secteurs aérien et des mines d'uranium. Pour en lire plus...
  23. La minière québécoise a indiqué avoir conclu une entente de principe avec Joseph Leadbetter pour l'obtention de droits relatifs au prolongement de la propriété Leadbetter. Pour en lire plus...
  24. Une villa de la Côte d'Azur à vendre pour 793 millions $ Selon Nice-Matin, l'acquéreur de la villa Leopolda serait un milliardaire russe dont l'identité est pour l'instant tenue secrète. Agence France-Presse Nice , France La villa Leopolda de Villefranche-sur-mer, dans le sud de la France, actuelle propriété de la veuve de l'homme d'affaires Edmond Safra, est en cours de vente au prix de 500 millions d'euros (793 millions $ CAN), ce qui en fait la demeure privée la plus chère du monde, a indiqué une source proche du dossier. Un compromis de vente de cette propriété érigée en 1902 par le roi des Belges Leopold II, a récemment été signé, a indiqué cette source à l'AFP, confirmant une information du quotidien Nice-Matin. Selon Nice-Matin, l'acquéreur est un milliardaire russe dont l'identité est pour l'instant tenue secrète. Il ne s'agit cependant pas de Roman Abramovitch, que de nombreux sites internet donnent, depuis plusieurs mois, pour nouveau propriétaire de la villa, ont assuré à l'AFP deux sources proches du dossier. Dans un classement établi en 2007 par la magazine américain Forbes, l'immense demeure et son parc de huit hectares qui comprend plusieurs maisons annexes et plus de 1200 oliviers, cyprès, citronniers et orangers, étaient classés parmi les dix propriétés privées les plus chères du monde. Ce même classement situait au rang des biens les plus chers un château de 103 chambres à 138 millions de dollars située dans le Surrey, au sud de Londres, suivi de près par le «ski lodge» du prince saoudien Bandar à Aspen, dans le Colorado. Lily Safra, la veuve du banquier suisse d'origine libanaise, Edmond Safra, mort en 2003 dans l'incendie de son appartement monégasque, est l'actuelle propriétaire de la villa Leopolda qui appartenait dans les années 50 à l'Italien Giovanni Agnelli, propriétaire des usines Fiat. «Les négociations ont duré des mois, la propriété n'était pas à vendre mais son acquéreur la voulait vraiment», a confié à l'AFP un des sources proches du dossier.
  25. Avec les récents soubresauts de l'économie, l'acheteur d'une nouvelle propriété pourrait être tenté de verrouiller ses paiements en optant pour une hypothèque à taux fixe: est-ce une bonne idée? Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...