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  1. Emplacement exceptionnel sur l'avenue Victoria Design contemporain, style urbain, espace épuré Immeuble de 4 étages avec stationnement intérieur pour les résidents Espaces couvert pour les automobiles des visiteurs Ascenseur Toit terrasse communautaire Système de caméras intérieur et extérieur sur DVR Intercom avec caméra de l'entrée Condominiums 3 1/2- 4 1/2- 5 1/2 Construction et produits de qualité supérieur Fenestration abondante Immeuble avec le service de Gaz Métro Insonorisation supérieur dans les planchers et murs mitoyen Vue sur le Country Club de St-Lambert et la ville de Montréal http://www.pururbain.com//pururbain_1/projet
  2. La Presse+, la semaine dernière, a levé le voile sur une entreprise dont peu de Québécois connaissaient l’existence, MindGeek, un géant mondial du XXX. Cette entreprise a un siège social fictif au Luxembourg, à des fins d’évitement fiscal, mais ses opérations sont à Montréal. Si des Américains prenaient le contrôle de MindGeek, est-ce que des voix s’élèveraient pour déplorer le fait que cette entreprise passe en des mains étrangères ? Évidemment pas. Et pourtant, cette entreprise, établie à Montréal, dirigée par des Montréalais, a créé dans la métropole 900 emplois de qualité, souvent des emplois de siège social ou liés aux nouvelles technologies de l’information. Pourquoi ce long préambule ? Pour illustrer le fait que le débat sur les sièges sociaux a une dimension subjective. La vigueur des réactions lorsqu’un siège social passe dans des mains étrangères dépend, du moins en partie, de facteurs comme la notoriété de l’entreprise, sa cote d’amour, sa présence dans notre vie quotidienne. On l’a vu avec Rona. Sans vouloir nier la pertinence de ces considérations plus affectives, il faut trouver des approches plus rationnelles. Je me suis par exemple aperçu, dans un débat amical avec mon collègue Gérald Fillion de RDI, que le simple fait de parler de défense de nos « champions » plutôt que de nos « fleurons » suffisait déjà à changer la perspective. Une étude toute récente de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), signée par Yvan Allaire et François Dauphin, permet de faire un pas de plus dans cette recherche de la rationalité. Parce qu’elle nous aide à savoir de quoi on parle. Cette étude identifie les entreprises vulnérables. Dans la liste du FP 500, on dénombre 69 entreprises québécoises ayant des ventes supérieures à un milliard en 2015. Là-dessus, 14 étaient des filiales de sociétés non québécoises. Il en reste 45. De ce total, 29 sont à l’abri, parce qu’elles sont des coopératives (4), des sociétés d’État (6), des sociétés par actions privées (8), des sociétés cotées en Bourse avec un actionnaire de contrôle ou protégées par des droits de vote multiple (13) ou des sociétés dont l’actionnariat est réglementé, comme Air Canada ou Groupe Transat (8). Il en reste 16 qui pourraient faire l’objet d’une prise de contrôle hostile ou amicale. Les voici : Metro, SNC-Lavalin, Valeant Pharmaceuticals, WSP Global (ancien Génivar, ingénierie), Produits forestiers Résolu, TransForce (camionnage), Gildan Activewear, Dollarama, Aimia (Aéroplan), CAE (simulateurs de vol), Uni-Select (distributeur de produits automobiles), Groupe Canam (produits métalliques), Stella-Jones (transformation du bois), Colabor (distribution alimentaire), Tembec (produits forestiers), Amaya (jeu en ligne). La première chose qui frappe, c’est que plusieurs de ces entreprises sont inconnues du public. Il serait pas mal plus difficile de se mobiliser pour Stella-Jones que pour Metro. Il y en a d’autres qu’on n’aime pas. Qui voudrait défendre le prédateur pharmaceutique Valeant ou Amaya ? D’autres n’ont pas le même enracinement économique, comme Dollarama. Cela montre à quel point il sera difficile d’établir une politique de protection de ces sièges sociaux qui soit cohérente. Voici quelques pistes pour y parvenir. Premièrement, s’entendre sur l’importance des sièges sociaux comme industrie, pour les emplois de qualité qu’elle crée, l’industrie de services professionnels qu’elle soutient, le prestige, des bénéfices indirects, comme le mécénat, pour les partenariats stratégiques. Deuxièmement, savoir de quoi on parle. Il faut un inventaire des entreprises plus détaillé. Certains sièges sociaux ne sont que des coquilles vides. D’autres, dont le siège social n’est pas ici ou qui ne sont pas sous contrôle québécois, ont des activités de siège social significatives, comme Rio Tinto. La dernière étude sur la question, de Secor-KPMG, date de 2011. Troisièmement, il faut savoir ce que l’on tient à protéger, au-delà du siège social, les symboles ou les bénéfices économiques, comme le dynamisme de l’entreprise, son potentiel d’avenir, ses effets structurants, son rôle stratégique. C’est ce qui permet de déterminer les efforts que l’on doit déployer pour éviter qu’une entreprise change de mains. Quatrièmement, définir la palette d’outils que l’on peut utiliser. L’étude de l’IGOPP écarte une politique d’opposition systématique aux transactions qui pousserait les entreprises à installer leur siège social ailleurs et estime que la création d’un fonds de blocage est coûteuse et inefficace. Elle propose plutôt des mesures préventives, recours balisé à des actions à droit multiple, modifications réglementaires pour permettre à un conseil d’administration de bloquer une offre hostile ou pour l’empêcher d’être séduit par une offre amicale. Le Groupe de travail sur la protection des entreprises québécoises a remis au gouvernement Marois un rapport en 2014 qui allait dans le même sens, avec des recommandations très fouillées dont le gouvernement Couillard devrait s’inspirer. Cinquièmement, il faut mettre sur pied un organisme pour faire le suivi. Pas nécessairement une nouvelle structure, mais un mécanisme permanent qui peut suivre la marche des entreprises, prévenir plutôt que guérir, centraliser l’information, coordonner les interventions parfois disparates. Pour éviter ce que la saga du ministre Jacques Daoust a révélé dans le cas de Rona : l’absence de leadership. La raison plutot que la passion - La Presse+
  3. http://www.finance-investissement.com/nouvelles/industrie/pourquoi-montreal-est-elle-un-joueur-de-classe-mondial-en-matiere-d-investissement-alternatif/a/63049
  4. Les Affaires CONNEXION | INSCRIPTION BLOGUES ACCUEIL > BLOGUES > JULIEN BRAULT image INTELLIGENCE ARTIFICIELLE JULIEN BRAULT Neoshop, une boutique venue d'Europe, veut vous vendre des produits technos québécois Publié à 13:05 Lancée à Laval (en France) en 2013, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. La première boutique Neoshop hors France devrait ouvrir ses portes à Montréal en septembre prochain. Exploitée par le Quartier de l’innovation, la boutique aura pour mission de supporter les start-ups québécoises en leur permettant de tester leur produit plus rapidement auprès des consommateurs. L’emplacement de la première incarnation de la boutique n’a pas été déterminé, si ce n’est qu’elle aura pignon sur rue à l’intérieur de la zone dont se réclame le Quartier de l’innovation. À terme, toutefois, Neoshop devrait déménager dans l’ancien Planétarium Dow, qu’on est en train de rénover. Lancée à Laval (en France) en 2013 par l’organisme de développement économique Laval Mayenne technopole, Neoshop a aidé 70 start-ups françaises à commercialiser leurs produits. Après avoir ouvert une boutique éphémère à Paris en décembre, l’organisme veut maintenant exporter son concept. Selon Gabrielle Langlois, directrice des opérations du Quartier de l’innovation, l’organisme est en négociation avec des partenaires dans une douzaine de villes européennes, qui sont intéressés à ouvrir des boutiques Neoshop. La boutique Neoshop à Montréal devrait ainsi offrir des produits de start-ups européennes, mais réserver la plupart de ses tablettes aux produits locaux. En contrepartie, cette affiliation européenne pourrait permettre à des start-ups québécoises d’introduire leurs gadgets en Europe. Validation de produits innovateurs Les vendeurs de Neoshop recevront une formation qui leur permettra de donner de la rétroaction aux entrepreneurs, pour qui Neoshop servira de terrain d’essai dans le monde du détail. Si certains d’entre eux choisiront sans doute de retourner à la planche à dessin, les autres se verront offrir des services d’accompagnement à la commercialisation par Neoshop. Alors que la France ne manque pas de start-ups à l’origine de produits physiques, c’est moins le cas au Québec, où Neoshop pourrait avoir du mal à garnir ses tablettes. Lorsque je lui ai demandé si elle considère un vêtement de bébé en chanvre comme un produit de start-up, Gabrielle Langlois m’a assuré que non. «Ça peut être low tech, mais il faut qu’il y ait de l’innovation dans le produit; on ne veut pas être un deuxième Salon des métiers d’art.» sent via Tapatalk
  5. http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201406/03/01-4772382-projet-de-10-m-a-alma.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-le-quotidien_section_ECRAN1POS1 Publié le 03 juin 2014 à 09h29 | Mis à jour le 03 juin 2014 à 09h29 Complexe récréotouristique Projet de 10 M $ à Alma Agrandir PHOTO INTERNET =author%3ALaura+L%C3%A9vesque&sort=recent"]LAURA LÉVESQUE (Alma) Un projet récréotouristique majeur se mijote sur l'ancien site des Collines du Terroir, à Alma. Produits Boréal et la femme d'affaires Dominique Tremblay, connue pour avoir fondée la Forfaiterie, souhaitent mettre en place un complexe quatre saisons sur les terrains situés en bordure du lac Saint-Jean, à Saint-Coeur-de-Marie, au même endroit où devait se concrétiser le défunt projet Mistouk sur le lac. En plus d'aménager de l'hébergement et offrir des activités touristiques, la construction d'une piscine et une plage intérieures fait partie des plans. Un dôme géant recouvrirait cet attrait ouvert au public autant l'hiver que l'été et dont la superficie atteindra 40 000 pieds carrés. Les coûts entourant la construction du complexe oscilleraient entre 6 à 10 millions$. «Il y aurait une plage, un restaurant, des jeux d'eau, même un endroit pour faire du wake board», exclame d'emblée Mme Tremblay, visiblement enthousiaste à cette idée. «Et sur les murs, ce sont des projections d'images, dont des paysages. La capacité serait d'environ 900 personnes. Les gens pourront aller en motoneige le matin et revenir s'étendre sur la plage en après-midi», ajoute-t-elle. Hébergement Les promoteurs ne manquent pas non plus d'originalité en matière d'hébergement. Produits Boréal d'Alma construirait une quarantaine de chambres sous trois formules différentes, dont des troglodytes, ces petites maisons qu'a popularisé le Seigneur des Anneaux. «On a le relief parfait pour aménager ce type d'hébergement sur le site. On prévoit en faire quatre. Au bout de la pointe, il y aura des maisons dans les arbres. Et plus près de l'entrée du site, nous voulons aménager des chalets», précise Patrick Girard, copropriétaire de Produits Boréal, rappelant que ces habitations seront construites en usine avant d'être installées sur le site. En ce qui concerne l'énergie utilisée pour faire chauffer la piscine et la plage intérieures, les promoteurs envisagent l'achat d'une chaudière à biomasse qui brulerait notamment les résidus de l'usine de Produits Boréal. Vendre le lac ensemble Si tout se déroule comme l'espèrent les deux entrepreneurs, le complexe récréotouristique pourrait ouvrir ses portes en juin 2015. Ces derniers se montrent également ouverts à construire de l'hébergement sur un autre site autour du lac Saint-Jean. Mais plusieurs partenariats avec des sites touristiques, des hôteliers et des aubergistes sont souhaités. «C'est le lac Saint-Jean qu'on veut vendre. On a déjà des ententes avec Chalets et spa Chambord, l'Hermitage Saint-Antoine pour offrir plus d'hébergement. Parce que si on vend juste un site, ça ne fonctionnera pas. On veut inviter les touristes à vivre le lac Saint-Jean, pas seulement Alma», insiste M. Girard. Dominique Tremblay songeait quant à elle depuis longtemps à créer un projet dans sa région natale où elle possède un chalet. «Le Lac-Saint-Jean est l'une des régions les plus en demande par les touristes, mais elle est encore l'une des moins vendues. J'ai demandé personnellement aux dirigeants d'entreprises qui montent les forfaits du Québec pour les Européens pourquoi ils n'offraient pas le lac Saint-Jean en forfait. Et l'hébergement a toujours été un problème», constate celle qui a créé la Forfaiterie dans les années 90 et qui compte mettre son expérience au profit du développement touristique du Lac-Saint-Jean.
  6. Voici le lien http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201307/22/01-4672972-la-chine-aura-la-plus-haute-tour-du-monde.php qui annonce la construction d'une tour plus haute que celle de Dubaï mais façon chinoise. J'avoue que selon les méthodes choisies, je ne voudrais pas demeurer à proximité. La qualité douteuse de plusieurs produits chinois n'inspire déjà pas confiance, imaginez une tour de cette envergure construite à la va-vite et vous avez la plus belle catastrophe potentielle annoncée.
  7. Hausse des exportations du Québec en septembre. Bonne nouvelle économique pour le Québec: les exportations y ont crû, en septembre 2013, tant à l'international que vers les États-Unis, vers l'Europe et vers l'Asie, a fait savoir mercredi l'Institut de la statistique du Québec. Ainsi, les exportations vers les États-Unis ont crû de 7% en septembre dernier - celles-ci représentent près de 71% de l'ensemble des exportations du Québec. Parmi les produits en forte croissance, on retrouve les aéronefs. Les exportations internationales du Québec ont augmenté de 3,9% en septembre, comparativement à seulement 1,7% pour le Canada. Pour les neuf premiers mois de 2013, le volume cumulatif de ces exportations est plus élevé de 4,5% qu'à la période correspondante de 2012. Les exportations vers l'Europe ont crû de 9,3% - celles-ci représentent 11% de l'ensemble des exportations. Encore là, les aéronefs arrivent en tête de liste, suivis des moteurs d'aéronefs et du matériel de transport autre. Les exportations vers l'Asie ont connu une hausse de 24,6% -elles comptent pour près de 9% des exportations du Québec. Parmi les produits les plus exportés, on retrouve les aéronefs, les machines destinées au commerce. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201311/20/01-4712713-hausse-des-exportations-du-quebec-en-septembre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  8. Nouveau projet du Groupe Rossi pour des condos et commerces au rez de chaussée. Emplacement actuel (commerce de produits nettoyants): http://maps.google.ca/maps?hl=fr&q=groupe+rossi+condo+plateau&ie=UTF8&ll=45.534495,-73.577081&spn=0,0.005284&z=18&layer=c&cbll=45.534495,-73.577979&panoid=kryZNo3NAxAtDsmwuCiF_A&cbp=12,66.27,,0,11.67 http://www.grouperossi.ca/
  9. Finances: Montréal grimpe encore en grade Publié le 25 mars 2013 à 12h17 | Mis à jour à 12h17 La réputation de Montréal comme place financière grimpe encore d'un cran dans le classement des «centres financiers mondiaux» réalisé par une firme spécialisée de Londres, et dont les résultats sont discutés ce midi lors d'une conférence du CORIM. (Conseil de relations internationales de Montréal) Montréal se classe maintenant au 16e rang parmi les principales villes d'activités financières dans le monde. C'est un rang de mieux que le classement de l'an dernier, mais aussi neuf de mieux qu'il y a six ans. Toutefois, selon le principal auteur du classement, Mark Yeandle, directeur du Z/yen Group de Londres, le progrès de Montréal risque de stagner si la métropole québécoise n'y met pas plus d'efforts ciblés de coordination et de promotion. En fait, Montréal subit encore un «déficit de réputation» au niveau international, en dépit de ses avantages concrets comme ville financière d'envergure intermédiaire, a expliqué M. Yeandle en entrevue avec La Presse Affaires, ce matin. «Les attributs du secteur financier à Montréal demeurent sous-estimés et méconnus dans le milieu de la finance internationale. C'est une question de moyens de promotion, mais aussi des choix que Montréal doit faire et promouvoir envers les types de services financiers où elle a de vrais avantages concurrentiels, a expliqué Mark Yeandle. «C'est inutile de chercher à rivaliser des gros centres financiers comme Londres, New York et même Toronto, qui font partie du top-10 mondial. À mon avis, Montréal devrait cibler les secteurs où elle a déjà le plus de capacités. La gestion d'avoirs financiers, par exemple, où Montréal pourrait même concurrencer des pays comme la Suisse, qui perd peu à peu son avantage du secret bancaire.» Dans le secteur des produits dérivés, ajoute M. Yeandle, la spécialisation de la Bourse de Montréal est porteuse d'un bon potentiel alors que ce marché migre de plus en plus des transactions privées (au comptoir) vers des marchés mieux supervisés et plus transparents. Un bémol, toutefois. «La spécialisation des produits dérivés requiert un bon mélange de talents en finances, mais aussi en technologies. C'est très différent des talents requis en gestion d'avoirs », souligne Mark Yeandle, ce qui suggère un défi additionnel de gestion pour les principaux intervenants en finance à Montréal. Autres détails et commentaires dans le cahier Affaires de La Presse de mardi. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201303/25/01-4634540-finances-montreal-grimpe-encore-en-grade.php
  10. La Bourse de Montréal, spécialisée dans les échanges de produits dérivés, a battu son propre record d'activités en 2012 alors que ses concurrents nord-américains étaient en baisse. Un peu plus de 64 millions de contrats à terme et options ont été échangés à la Bourse de Montréal l'an dernier, 3,8% de plus qu'en 2011. De plus, cette hausse en apparence faible s'est avérée à contre-courant du marché nord-américain des produits dérivés, dont le volume était en recul de 13%. Cette performance avantageuse de la Bourse de Montréal dans un marché très concurrentiel lui a d'ailleurs valu des éloges de la part des dirigeants du groupe TMX (T.X), qui diffusait ses résultats de fin d'exercice hier à Toronto. «Nous sommes extrêmement satisfaits d'avoir maintenu la croissance du volume, ce qui semble anormal en comparaison de ce qui s'est passé dans le marché mondial des contrats à terme et des options», a indiqué Thomas Kloet, président et chef de la direction de TMX, au cours de la téléconférence d'analystes. Selon M. Kloet, deux facteurs principaux expliquent cette bonne tenue de la Bourse de Montréal. D'une part, le marché boursier canadien a encore attiré beaucoup d'investisseurs étrangers l'an dernier, ce qui a accru leur recours à des produits dérivés d'origine canadienne comme outils de gestion de risque de leurs placements. D'autre part, a souligné le président de TMX, la Bourse de Montréal et son marché des produits dérivés se démarquent de plus en plus au niveau international. Et même à Londres, la métropole financière mondiale où TMX a un bureau de commercialisation depuis deux ans. «Après Londres, nous serons en Asie au cours des prochains mois pour promouvoir nos produits et services. Le plus intéressant pour nous, c'est que MX (surnom de la Bourse de Montréal) est devenu un produit d'attrait international, et non plus seulement au Canada», a indiqué M. Kloet. Cette importante croissance de la Bourse de Montréal au sein du groupe TMX se manifeste aussi dans ses résultats financiers. Pour le deuxième exercice consécutif, TMX a encaissé en 2012 plus de revenus provenant des frais transactionnels des produits dérivés que ceux provenant des transactions d'actions à Toronto. Ces revenus à la Bourse de Montréal et sa filiale BOX à Boston ont atteint 115,5 millions de dollars en 2012, en hausse de 2% en un an. En comparaison, les revenus transactionnels aux Bourses d'actions de Toronto et TSX-Croissance ont reculé de 12%, à 92,9 millions. Ce recul s'explique surtout par la baisse prononcée des volumes d'actions en 2012 (-20% à Toronto et -37% à TSX-Croissance) alors que le volume de produits dérivés augmentait de 3,8%. Quant aux chances de la Bourse de Montréal de maintenir cet élan en 2013, tout indique qu'elles dépendront de l'attrait des investisseurs pour les produits dérivés alors que les Bourses d'actions sont en poussée haussière. Dans les résultats financiers de TMX, aussi, les attentes demeurent floues, alors que le groupe doit encore intégrer de nouvelles activités (Bourse Alpha à tarifs réduits, firme de compensation CDS) obtenues au moment de la prise de contrôle par le consortium financier Maple. Ce consortium de 13 institutions financières, dont la Caisse de dépôt et placement, la Banque Nationale et du Mouvement Desjardins, a réalisé une mainmise de 3,8 milliards sur TMX en juillet dernier, au terme de 18 mois de démarches financières et réglementaires. Dans ses résultats publiés hier, TMX affiche un profit net de 34,7 millions au quatrième trimestre comparativement à une perte de 10,2 millions un an plus tôt. Pour l'exercice partiel de huit mois terminé le 31 décembre, TMX a dégagé un profit de 20,7 millions au lieu d'une perte de 37,3 millions en 2011. En Bourse, les investisseurs ont manifesté leur satisfaction. Les actions de TMX ont pris 2,2%, à 56,73$. Il s'agit d'un nouveau sommet depuis celui de 57$ atteint en juillet 2007, juste avant la crise financière et le krach boursier de 2008. ------------------ Volume des contrats à terme et d'options (1) Année - Millions 2012 64,2 2011 61,9 2010 44,3 2009 34,7 2008 38 2007 42,7 2006 40,5 2005 25,8 2004 21,8 2003 17,6 1: Produits dérivés de sources diverses, en ordre de volume décroissant en 2012: actions, taux d'intérêt à court terme, obligations, fonds négociés en Bourse (fnb), indices boursiers, devises. Source: Bourse de Montréal (Gr.TMX) http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201302/07/01-4619204-annee-record-a-la-bourse-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  11. Un nouveau marché public à Montréal Jean-Louis Fortin 11/01/2011 17h46 En plus de pouvoir fréquenter les marchés Atwater et Jean-Talon, les Montréalais seront en mesure d’acheter des aliments frais dans un nouveau marché public qui pourrait voir le jour à proximité des autoroutes 15 et 40, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, a appris 24H. Le projet d’entre 3 et 4 millions $, encore à l’étape des approbations, pourrait obtenir le feu vert dans les prochaines semaines, selon nos informations, d’autant plus que les autorités politiques et administratives de l’arrondissement souhaitent qu’il voie le jour. C’est l’Association des jardiniers maraîchers du Québec (AJMQ) qui a présenté une demande en ce sens à la Ville. Une centaine producteurs membres de l’AJMQ, qui occupent un centre de distribution agroalimentaire pour les commerces et restaurants, situé à côté du Marché Central, pourront ainsi vendre leurs produits directement grand public. Achalandage élevé Sur le site, au moins un des immenses quais de chargement pour camions serait converti en un « grand marché public », explique André Plante, directeur général de l’AJMQ. Un endroit un peu à l’image du marché Jean-Talon, mais de moindre ampleur, illustre-t-il. Selon, lui, la proximité du Marché Central, un grand centre commercial, est susceptible d’attirer un nombre important de visiteurs. « On s’attend à ce que ça soit extrêmement achalandé. On pense que les gens voudront venir acheter des produits frais », prévoit André Plante. Ronald Cyr, directeur de l’arrondissement, précise que les fonctionnaires municipaux accompagnent actuellement l’AJMQ, mais que le permis de construction n’a pas encore été émis. « La construction d’un marché est certainement un point d’intérêt pour les marchands et les citoyens », assure-t-il toutefois. Sur place pour longtemps André Plante attend un feu vert de l’arrondissement « d’ici un mois ». L’AJMQ, décrit-il, devra d’abord transformer l’un des autres quais sur le site en un entrepôt fermé, pour y transférer une partie des activités de distribution. Dans une deuxième phase de construction, 10 000 pieds carrés de superficie à l’intérieur d’un bâtiment adjacent pourraient aussi accueillir des commerces à l’abri des caprices de Dame Nature. Ce projet d’expansion survient moins de six mois après que les maraîchers aient refusé de déménager du site de 800 000 pieds carrés qu’ils occupent actuellement pour le centre de distribution. La firme Bentall, le gestionnaire du Marché Central, leur avait proposé de se relocaliser dans l’Est de la Ville pour pouvoir compléter le développement du centre commercial, mais les maraîchers ont rejeté l’idée à 75%, de peut de perdre leur clientèle. jeanlouis.fortin@24-heures.ca http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/01/20110111-174642.html
  12. Bombardier Produits Récréatifs (BRP) entamera sous peu la construction d’un tout nouveau centre de design et d’innovation de 15 M$ à Valcourt. D’une superficie de 54 000 pieds carrés, le nouvel édifice regroupera toutes les ressources de BRP en design sous un même toit. Ces employés travaillent actuellement à Valcourt et à Sherbrooke. BRP commencera les travaux dès ce printemps en démolissant un bâtiment pour faire place à la nouvelle construction. Cette dernière devrait être prête à acceuillir plus de 50 employés en 2008. «BRP est aux premiers rangs d'une industrie en constante évolution et où la compétition est de plus en plus forte en raison de la mondialisation, explique dans un communiqué le pdg de BRP, José Boisjoli. Dans ce contexte, il devenait primordial de regrouper nos équipes de design afin d'augmenter la synergie entre elles et ainsi accroître notre capacité de créer des produits plus innovateurs et compétitifs.» Le fabricant des Ski-Doo, Can-Am, et autres Spyder veut faire de ce nouveau centre sa vitrine technologique. La société espère d’ailleurs attirer des designers de partout au monde grâce à la convivialité accrue du nouvel édifice. En plus des équipes de design, le bâtiment abritera aussi le service des achats. En outre, l’équipe de compétition déménagera dans un autre immeuble des environs.
  13. Comment réanimer le Montréal financier François Normand . Les Affaires . 14-05-2010 Le recul de la métropole sur l'échiquier de la finance canadienne n'est toutefois pas inéluctable. Photo : lesaffaires.com Déménagement de sièges sociaux, perte du négoce des actions, exode de cerveaux financiers : Montréal souffre depuis près de 50 ans d'un long déclin dans le domaine financier. Il y a un demi-siècle, la métropole pouvait se targuer d'être le coeur financier du Canada. Aujourd'hui, elle est reléguée à un rôle de second plan, derrière Toronto et Vancouver. Le recul de la métropole sur l'échiquier de la finance canadienne n'est toutefois pas inéluctable. Montréal peut jouer à nouveau un rôle important. Le franc succès de Singapour - la cité-État d'environ cinq millions d'habitants s'est hissée en quelques décennies au quatrième rang mondial du palmarès des plus grands centres financiers du monde, selon la dernière édition du Global Financial Centres Index, grâce à une fiscalité avantageuse - montre que tout est possible quand une ville a une vision qui fera d'elle un leader du monde financier. Montréal, qui est au 32e rang des centres financiers du monde, a besoin d'électrochocs pour réanimer ses activités de gestion de portefeuille, de transactions de produits dérivés ou encore de contrats d'assurance. Lesquels ? Voici l'ordonnance d'une douzaine d'analystes, de financiers et de gestionnaires de portefeuille d'ici et d'ailleurs. 1. Dotons-nous d'une vision commune, ça presse La finance à Montréal, quel est son numéro de téléphone ?, pourrait-on dire en paraphrasant la célèbre expression du secrétaire d'État américain Henry Kinsinger à propos du manque d'unité de l'Europe. C'est un des problèmes du Montréal financier : il n'a pas d'organisme unique, comme le Toronto Financial Services Alliance (TFSA), pour parler au nom des acteurs clés qui gravitent dans le domaine, des financiers aux universitaires en passant par les gouvernements. Or, il est impératif que la communauté financière montréalaise ait une vision commune sur ce qu'elle veut faire (marchés visés, stratégies d'attraction, concurrents à contrer, etc.). Sans ce projet commun, les efforts pour redynamiser Montréal sont inutiles, selon l'avocat Jean Martel, associé chez Lavery, de Billy. " S'il n'y pas de sensibilité pour ces questions-là, on ne se rendra pas au premier but ! ", dit l'ancien président de la Commission des valeurs mobilières du Québec. Aussi, la volonté de Québec de mettre sur pied une table de concertation pour justement déterminer cette vision est bien vue dans le milieu financier. Cependant, il faut faire vite, et accoucher d'un projet commun concret et réaliste, disent les analystes. Pour Louis Régimbal, associé et responsable du secteur financier chez SECOR, la renaissance de Montréal passe par une niche bien définie pour la métropole, comme les produits dérivés - la spécialité de la Bourse de Montréal, grâce à ses options et à ses contrats à terme - et le secteur de l'assurance, en tablant sur la présence de Standard Life et d'Axa. Montréal pourrait également devenir un centre financier en énergie grâce à l'industrie gazière en émergence au Québec, souligne Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret. " Montréal pourrait jouer dans l'est du Canada le même rôle que Calgary. " Steve Gauthier, vice-président du Centre financier international de Montréal, un organisme qui se consacre au développement de Montréal à titre de place financière internationale, estime que la métropole pourrait aussi devenir un pont entre les États-Unis, l'Europe, et les économies émergentes, où les besoins financiers explosent. Enfin, plusieurs observateurs estiment que la communauté financière montréalaise doit se mobiliser pour que le Québec ne perde pas son unique régulateur - l'Autorité des marchés financiers - au profit d'une éventuelle commission fédérale des valeurs mobilières qui serait probablement située à Toronto. La perte de l'AMF drainerait encore d'autres ressources financières vers la métropole canadienne, comme des avocats spécialisées en valeurs mobilières, sans parler d'une perte de contrôle de Québec sur le secteur financier. Pour l'ex-premier ministre Bernard Landry, la souveraineté serait le seul rempart contre cette éventualité. 2. Donnons un grand coup de barre pour réduire les impôts Si elle veut attirer l'élite financière, Montréal devra offrir quelque chose que les autres places financières n'ont pas, notamment sur le plan fiscal. " Il faudrait bonifier au maximum le crédit d'impôt pour attirer les financiers internationaux ", croit Denis Durand, associé principal chez Jarislowsky Fraser. Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret, va plus loin. Selon lui, Québec devrait carrément abolir pendant 10 ans l'impôt des sociétés financières et des financiers qui viennent s'établir dans la métropole. " Le gouvernement se priverait de revenus à court terme, mais il pourrait les accroître à moyen terme grâce à l'activité économique générée par l'arrivée de nouvelles entreprises et de nouveaux acteurs à Montréal ", dit-il. Pour attirer des experts, Steve Gauthier, vice-président du Centre financier international de Montréal, estime qu'il faut réduire l'impôt des particuliers. " C'est le plus élevé en Amérique du Nord. C'est là que le bât blesse ! ", dit-il. Selon lui, l'impôt des sociétés n'est pas vraiment un frein : à 29,9 % (taux provincial et fédéral combinés), c'est en fait le plus bas en Amérique du Nord. Pour sa part, Claude Béland, président du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) et ancien dirigeant du Mouvement Desjardins, affirme que Québec doit accorder plus d'autonomie fiscale à Montréal, afin que la métropole puisse imposer directement, au niveau qu'elle souhaite, les sociétés financières et les financiers. Cela dit, aucun analyste ne suggère que Montréal devienne un paradis fiscal (impôt insignifiant ou inexistant, absence de transparence du régime fiscal et d'échanges de renseignements fiscaux avec d'autres États). Le Canada se trouve sur la " liste blanche " de l'Organisation de coopération et de développement économiques (États ou territoires qui ont mis en oeuvre des normes internationales en signant au moins 12 accords conformes à ces normes), et il doit y rester. " Nous avons la certification de l'OCDE, c'est un avantage énorme ", dit Steve Gauthier. Du reste, la fiscalité ne serait pas un élément si important aux yeux des financiers, selon Louis Régimbal, associé et responsable du secteur financier chez SECOR. " Ce qui compte vraiment, c'est l'infrastructure et l'expertise technologique, comptable, actuarielle, sans parler de la gestion du risque ", dit-il. 3. Confions plus de mandats aux gestionnaires locaux Les Québécois ont souvent tendance à croire que ce qui se fait ailleurs est meilleur, et la finance n'échappe pas à cette logique. " Cette perception est forte dans l'industrie ", déplore Jean-Luc Landry, président de Landry Morin, une firme de gestion de portefeuille. Or, plusieurs sociétés montréalaises décrochent d'importants mandats internationaux d'investisseurs étrangers qui font davantage confiance aux financiers de Montréal qu'à ceux de... New York, Londres ou Hong-Kong. Hexavest, une firme spécialisée dans la gestion d'actions, en est un bel exemple. Fondée en 2004, elle vient de décrocher un mandat avec le National Pension Service of Korea, qui gère un portefeuille de 250 milliards de dollars américains. Si Montréal veut redevenir une place financière d'envergure, les gestionnaires de portefeuille locaux doivent avoir plus de contrats. " C'est l'activité financière qui génère l'activité financière ", dit Vital Proulx, président d'Hexavest. C'est pourquoi Bâtirente, le système de retraite de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), confie souvent des mandats de gestion d'actifs à de jeunes firmes québécoises, comme à Hexavest à ses débuts. " C'est sûr que nous prenions un certain risque, mais nous avons commencé par de petits mandats ", confie Daniel Simard, coordonnateur de Bâtirente. Cette politique d'appui aux gestionnaires locaux est bonne pour Montréal car elle crée des acteurs qui se démarquent sur les marchés internationaux, ce qui peut inciter des investisseurs étrangers à confier des mandats à d'autres financiers montréalais. Selon Daniel Simard, cette politique est aussi avantageuse pour Bâtirente : la proximité permet d'exercer une meilleure supervision des activités des gestionnaires que si ces derniers se trouvaient à Toronto ou à New-York, mais aussi de réduire les coûts de transport pour aller rencontrer les financiers qui gèrent le capital des retraités de la CSN. Pour sa part, Jean-Luc Landry affirme que les grandes banques de Montréal devraient soutenir davantage les petites firmes de gestion de portefeuille, dont plusieurs éprouvent des difficultés depuis l'affaire Norbourg, les petits investisseurs hésitant à leur confier leur économies. Vital Proulx abonde dans le même sens. Les institutions financières et les investisseurs institutionnels devraient confier systématiquement un certain pourcentage de la gestion d'actifs à des firmes locales, une pratique courante aux États-Unis, selon lui. 4. Maraudons l'élite financière mondiale Dans la foulée de la crise financière, les États-Unis et l'Europe resserrent la bride du secteur financier. Montréal doit en profiter pour courtiser et attirer ici des financiers étrangers qui pourraient s'inquiéter de l'impact de ces réformes sur leurs activités. La réforme dans le secteur des produits dérivés est intéressante pour Montréal. Les États-Unis et l'Europe veulent réduire le risque associé à des produits non réglementés comme comme les swaps sur défaillance (credit default swap), qui visent à assurer le risque de défaut de paiement. Washington et Bruxelles veulent que ces produits dérivés, négociés de gré à gré, soient réglementés. Or, c'est le type de produits qu'offre la Bourse de Montréal, avec ses contrats à termes et ses options sur actions. " Le seul marché organisé de produits dérivés au Canada est à Montréal ", dit l'avocat Jean Martel, associé chez Lavery, de Billy. Dans ce contexte, Montréal doit convaincre des acteurs financiers de négocier leurs produits dérivés par la Bourse de Montréal, et celle-ci doit s'assurer d'offrir une diversité de produits pour répondre à la demande. Selon Denis Durand, associé chez Jarislowsky Fraser, Montréal pourrait tenter d'attirer des institutions financières américaines en leur faisant valoir que la réforme américaine ressemblera à la réglementation canadienne, qui fonctionne bien. 5. Faisons connaître nos forces au reste du monde Tout comme l'Ontario, Montréal devrait mener une campagne publicitaire énergique dans les grands médias économiques internationaux pour se mettre en valeur. Expertise de calibre mondial, main-d'oeuvre bilingue, structure de coût concurrentielle, Montréal compte plusieurs avantages en tant que place financière. En termes relatifs, Montréal compte plus de CFA - le diplôme d'analyse financière le plus prestigieux du monde, selon The Economist - que New York, soit 1 800 par rapport à 6 800. Or, New-York est le coeur de la finance internationale, et compte près de 20 millions d'habitants, soit six fois plus que la grande région de Montréal. Mais cette expertise n'est pas exploitée, dit Louis Régimbal, associé et responsable du secteur de la finance chez SECOR. " Montréal a une pépinière de CFA, malheureusement, bon nombre d'entre eux doivent quitter la ville pour trouver de l'emploi ", dit-il. Selon Steve Gauthier, vice-président du Centre financier international de Montréal, la métropole a aussi une structure de coûts avantageuse pour les société financières." L'impôt des sociétés le plus bas en Amérique du Nord, les espaces à louer au mètre carré ne coûtent pas cher, et l'industrie financière affiche un faible taux de roulement ", dit-il, en ajoutant que Montréal a l'avantage d'être à proximité de quatre grands centres financiers, Toronto, New York, Chicago et Boston. La diversité culturelle de Montréal est un bénéfice encore méconnu à l'étranger : les financiers sont souvent bilingues, ce qui facilite les échanges avec les clients et les partenaires mondiaux. Les villes multiculturelles comme Montréal sont également souvent plus ouvertes aux influences extérieures, et à l'affût des nouvelles tendances, y compris en finance. Enfin, le style de vie de Montréal, plus près de l'Europe, peut séduire des financiers européens qui voudraient s'installer en Amérique du Nord. " C'est un environnement plus facile à comprendre que celui de Toronto ", dit Denis Durand, gestionnaire de portefeuille et associé chez Jarislowsky Fraser.
  14. Ottawa voit grand Mise à jour le lundi 26 avril 2010 à 23 h 49 Photo: La Presse Canadienne /Adrian Wyld Le ministre conservateur, Peter Van Loan. (archives) Le ministre fédéral du Commerce international, Peter Van Loan, a indiqué à la Presse canadienne que les négociations entre le Canada et l'Union européenne (UE) pourraient mener à un pacte plus élaboré encore que l'Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA). Ce que nous recherchons, c'est l'entente commerciale la plus ambitieuse que nous ayons jamais conclue. — Le ministre Peter Van Loan Selon le négociateur en chef du Canada, Steve Verheul, les négociations en vue de conclure l'Accord économique et commercial global (AECG) progressent bien. Les deux parties en sont à la troisième ronde de pourparlers, et deux autres ont été planifiées. Le ministre Van Loan souhaite que l'accord soit entériné d'ici la fin de 2011. La délégation canadienne compte quelque 60 personnes. À la demande de l'UE, des représentants des provinces canadiennes en font partie en tant que partenaires à part entière. Selon Scott Sinclair, un chercheur pour le Centre canadien de politiques alternatives, les délégués européens souhaitent notamment éliminer le système de régulation de l'offre dans les secteurs des produits laitiers et de la volaille, et la Commission canadienne du blé. En retour, croit-il, le Canada pourrait exporter une plus grande quantité de matières premières en Europe. Un marché important L'ancien ministre libéral John Manley, maintenant à la tête du Conseil canadien des chefs d'entreprise, fait observer que le Canada a besoin de diversifier son commerce international et que dans ce contexte, une entente avec l'Union européenne, dont l'économie ressemble à celle du Canada, pourrait générer d'intéressantes retombées. Le gouvernement canadien estime que l'entente ferait bondir le produit intérieur brut (PIB) du Canada de 12 milliards de dollars d'ici 2014. En 2008, les exportations canadiennes en Europe se sont chiffrées à 52 milliards de dollars, un montant plutôt modeste compte tenu de la taille du marché. L'Union européenne, un marché d'un demi-milliard d'habitants répartis dans 27 pays, a un PIB de 19 milliards de dollars. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, est un ardent défenseur d'un accord de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/04/26/014-canada-ue-pacte.shtml Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est le système de régulation de l'offre dans le secteur des produits laitiers, en bref c'est ce qui fait en sorte que vous payez vos produits laitiers beaucoup trop chers, beaucoup plus cher qu'aux USA, puisque les prix sont artificiellement gonflés pour subventionner les producteurs laitiers (qui sont millionnaires soit dit en passant).
  15. Domtar vend ses produits forestiers pour 80M$ 29 mars 2010 | 09h00 Mise à jour: 29 mars 2010 | 09h49 Argent Domtar Corporation (UFS) a annoncé lundi la vente de son secteur des produits forestiers à un nouveau venu dans ce secteur, EACOM Timber Corp. (ETR), pour 80M$ en argent et en actions. Et du coup, Montréal gagne un nouveau siège social. La transaction comprend cinq scieries en activité à Val-d'Or et à Matagami au Québec, de même qu'à Timmins, Nairn Centre et Gogama en Ontario. Deux autres scieries inactives, à Sainte-Marie au Québec et à Ear Falls en Ontario, changeront aussi de mains. L'usine de deuxième transformation de Sullivan au Québec ainsi que les intérêts de Domtar dans deux investissements, Anthony-Domtar Inc. et Elk Lake Planing Mill Limited, font également partie de la transaction. De plus, EACOM acquiert des éléments du fonds de roulement de Domtar évalués de 30 à 40M$. Tous les employés du secteur des produits forestiers de Domtar, ainsi que les membres de l'équipe de direction dirigée par Jean-François Mérette, seront transférés au sein de EACOM. EACOM établira son siège social à Montréal et «deviendra un des plus importants producteurs de bois d'œuvre cotés en bourse dans l'Est du Canada», affirme John D. Williams, président et chef de la direction de Domtar Corp. Pour sa part, Rick Doman, président et chef de la direction d'EACOM Timber, a fait valoir qu'avec cette acquisition, EACOM poursuivait sa vision de «devenir un producteur de bois d'œuvre de résineux de premier plan». EACOM est une société de Richmond, en Colombie-Britannique. Elle possède actuellement une usine inexploitée à Big River en Saskatchewan, qu'elle a acquise au début de 2010. Domtar indique qu'une proportion de 19% du prix de la vente sera réglée sous formes d'actions d'EACOM qui se transigent à la Bourse de croissance TSX. Les scieries vendues ont accès à environ 3,5 millions de mètres cubes de droits de récolte annuels et une capacité de production de près de 900 millions de pieds mesure de planche. La transaction devrait être conclue à la fin du deuxième trimestre de 2010. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/03/20100329-090059.html
  16. Cette nouvelle ne me surprend pas du tout. Disons qu'un endroit où ils se sont toujours refuser à offrir le paiement direct et le crédit comme mode de paiement, et s'entête à ne pas moderniser les caisses, il y avait de fortes chances qu'une partie des revenus ne soit pas déclarée. Je me demande pourquoi le fisc n'a pas enquêté avant?
  17. Ça me surprends que personne n'en ait parlé encore... Pour ceux qui ne le savent pas encore, l'OMS a élevé son niveau d'alerte à 4 aujourd'hui. http://www.canoe.com/infos/international/archives/2009/04/20090427-170256.html Si cette crise continue de se concrétiser, elle pourrait signer l'arrêt de mort pour plusieurs entreprises qui sont déjà mal en point à cause de la crise économique. À titre d'information, la souche de la grippe porcine (H1N1) est la même que la grippe espagnole de 1918 qui a fait environ 30 millions de morts. Je sais qu'à l'époque, la médecine et la technologie était loin d'être ce qu'elle est aujourd'hui, mais ça mérite quand même réflexion, je crois. Finalement, ce qui m'a poussé à ouvrir le sujet, c'est que j'ai constaté aujourd'hui que la grippe porcine a fait plus de victimes en plus ou moins 4 semaines que la grippe aviaire (H5N1) en 5 ans. http://fr.wikipedia.org/wiki/Influenzavirus_A_sous-type_H5N1 Au niveau des impacts : Jean Charest : Les Québécois doivent éviter le Mexique http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/04/20090427-191030.html Le port du masque se répand à l'aéroport Montréal-Trudeau http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/04/20090427-213254.html Divers pays demandent à leurs ressortissants d'éviter le Canada. http://nouvelles.sympatico.msn.ca/abc/Grands_titres/ContentPosting_SRC_grands_titres.aspx?isfa=1&feedname=CBC_TOPSTORIES_V3_FR&showbyline=True&date=true&newsitemid=433684 Grippe porcine : les sociétés aériennes écopent http://argent.canoe.com/lca/infos/international/archives/2009/04/20090427-084549.html Grippe porcine La technologie antimicrobienne de Noveko International en demande 27 avril 2009 - 14h34 Argent Si certains secteurs de l’économie sont fortement affectés par l’éclosion de la grippe porcine, qui semble prendre une proportion internationale, d’autres, pharmaceutiques en tête, sont tirées vers le haut en raison de la forte demande pour leurs produits. Ainsi en va-t-il pour Noveko International (EKO), une société montréalaise qui, par l'intermédiaire de ses filiales, se spécialise principalement dans le développement et la commercialisation de filtres à air, masques et autres produits aux propriétés antimicrobiennes. Son président et chef de la direction, Alain Bolduc, explique que l’entreprise avait déjà par le passé effectué du démarchage auprès du Mexique et que des produits de Noveko International y seront livrés sous peu. L’alerte à la grippe aviaire a un effet positif sur l’activité de l’entreprise, reconnaît M. Bolduc. «On était déjà prêt (à une situation semblable) constate-t-il. On est déjà approuvé par Santé Canada, CE Marking, et on est sur le point d’être approuvé par la FDA aux États-Unis», de sorte que Noveko est «prêt à commercialiser (ses produits) à grande échelle». Qui plus est, la société montréalaise jouit d’une expertise dans le domaine des porcheries, qu’elle équipe de son système de filtration afin de réduire les incidences d’infections virales. Lundi, le titre de Noveko International cotait à 2,95$ en mi-journée, soit 1,05$ de plus qu’à la fermeture vendredi.
  18. Le vignoble du Marathoniens appartient aux parents d'un de mes chums, et je peux vous dire que le leur vin de glace est excellent. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'ils se distinguent à l'international.
  19. À la fin juin, Chrysler mettra à pied 1200 employés pour une durée indéterminée à son usine d'assemblage de Windsor en raison de la baisse de demande pour ses produits. Pour en lire plus...
  20. Bell Canada acquiert le détaillant de produits électroniques La Source, augmentant ainsi son réseau de vente de 750 magasins. Pour en lire plus...
  21. Le numéro un mondial des cosmétiques, heurté par un fort recul de ses ventes en Europe et aux États-Unis, compte réduire par attrition de manière «progressive, mais significative» ses effectifs mondiaux. Pour en lire plus...
  22. Alors que la majorité de ses concurrents licencient à coups de milliers, le fabricant canadien du BlackBerry annonce qu'il recrutera 3000 employés pour faire face à la demande pour ses produits. Pour en lire plus...
  23. Le bénéfice net trimestriel de Telus chute de 29 %, en raison d'ajustements liés aux impôts. L'entreprise enregistre malgré tout une croissance soutenue de ses produits sans fil et de transmission de données. Pour en lire plus...
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