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  1. 12 mars 2018 Mis à jour le 11 mars 2018 à 17h24 https://www.lesoleil.com/affaires/conquerir-le-monde-avec-leau-derable-2270e1f7218e7bc182e633b8b0618b21 Conquérir le monde avec l’eau d’érable Gilbert Leduc Le soleil En arpentant ses érablières dans la région de la Chaudière-Appalaches, Stéphane Nolet a eu une idée. «Et si je commercialisais une eau d’érable de haute qualité?» Maple 3 (prononcez, en anglais, tree ou three) venait de voir le jour. En cours de route, deux associés sont venus se joindre à l’entrepreneur issu d’une longue lignée d’acériculteurs. «Je représente la quatrième génération», glisse-t-il à l’oreille du Soleil. Guillaume Crouzet s’occupe du marketing. Les ventes sont l’apanage de Yannick Leclerc. «Nous sommes trois. Vous voyez que le chiffre 3 dans le nom de la compagnie s’applique aussi bien à la composition de l’équipe de direction de la compagnie qu’à l’arbre, la source de notre produit», fait remarquer M. Crouzet. MAPLE 3 n’a pas pignon sur rue en forêt, mais bien à Limoilou! Plus précisément dans L’Autre Caserne où les trois entrepreneurs côtoient d’autres dirigeants de jeunes pousses comme eux dans cet espace de cotravail. «Pour le moment, ça nous convient parfaitement. Nous n’avons pas besoin de grands bureaux. Ou bien nous sommes dans les érablières de Stéphane ou à parcourir l’Europe ou l’Asie pour vendre notre eau d’érable», explique Guillaume Crouzet. Entre le moment où Stéphane Nolet a eu son éclair de génie et l’apparition sur le marché des contenants d’un litre et de 330 millilitres d’eau d’érable Maple 3, il s’est écoulé au moins trois ans. «Il a fallu réaliser des travaux de recherche et développement et des tests de précommercialisation qui ont été, ma foi, très concluants», explique Stéphane Nolet dont les érablières consacrées exclusivement à la récolte de l’eau d’érable représentent un potentiel de 15 000 à 20 000 entailles. «Potentiel considérable» La Terre de chez nous signalait, à la fin janvier, que les ventes d’eau d’érable connaissaient un «envol spectaculaire». Elles pourraient bondir à plus de quatre millions de litres en 2018, indiquait la publication. La Fédération des producteurs acéricoles du Québec mentionnait qu’il ne s’était jamais vendu plus d’un million de litres par année jusqu’à maintenant. Sur les tablettes des supermarchés, le consommateur peut notamment trouver les marques Oviva, Seva et Necta. Et Maple 3, évidemment. «Le produit est biologique. Il ne contient aucun sucre ajouté, aucun agent de conservation. Il est faible en calorie. Il contient des minéraux et des électrolytes», spécifie Stéphane Nolet en soulignant que le marché des eaux végétales représente un segment des breuvages connaissant une forte croissance. Qu’il suffise de penser à la popularité de l’eau de coco. «Le potentiel de l’eau d’érable est considérable», affirme Guillaume Crouzet. Pour se démarquer de ses concurrents, MAPLE 3 cible une clientèle en particulier : les personnes âgées de 25 à 40 ans qui sont actives et passionnées de plein air et qui sont à la recherche d’une solution d’hydratation saine et naturelle. «Il y a actuellement un vide dans le marché des breuvages. Il y a un grand espace à occuper entre l’eau et les boissons sportives sucrées», affirme l’acériculteur. «Notre désir est d’offrir une solution 100 % naturelle d’hydratation pour donner une option santé aux consommateurs soucieux de leur alimentation.» C’est connu, les produits québécois de l’érable ont la cote en Asie et en Europe. Deux marchés dans lesquels les gars de Maple 3 se sont précipités à la vitesse de l’éclair. «Nous vendons en France, au Japon, à Singapour et à Hong Kong», énumère Guillaume Crouzet. «Et il y a de l’intérêt pour nos produits en Chine.» À la conquête de l’Ouest Maple 3 met aussi le paquet, par les temps qui courent, du côté de l’Ouest canadien. L’entreprise vient d’ailleurs d’obtenir un coup de pouce de la Ville de Québec pour exporter sa marque à l’autre bout du pays. Une subvention de 50 000 $ accordée dans le cadre de la troisième cohorte du programme Québec, ville entrepreneuriale. Pour financer les premières phases de démarrage de l’entreprise, Stéphane Nolet a puisé dans les revenus de ses érablières. Une première ronde de financement auprès d’institutions prêteuses s’est tenue l’an dernier. Maple 3 souhaite maintenant voir apparaître dans le décor de nouveaux investisseurs pour appuyer l’expansion de la compagnie. «Oui, il y a des personnes qui s’intéressent à ce que nous faisons. Des discussions sont en cours», indique Stéphane Nolet sans vouloir en dire davantage.
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