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  1. LE QUÉBEC TIENT LA CADENCE AVEC L’ONTARIO JULES DUFORT ET JEAN-PIERRE FURLONG ÉCONOMISTES Édition du 22 août 2016, Des compilations spéciales de Statistique Canada nous permettent : • de comparer adéquatement ici les niveaux de productivité et la rémunération du travail au Québec et en Ontario, pour 19 industries productrices de biens et services. La fabrication, l’une des 19, est à son tour subdivisée en 19 catégories ; et, • de vérifier l’hypothèse que l’économie du Québec est globalement aussi productive que celle de l’Ontario. Parmi les diverses données sur le produit intérieur brut (PIB), seules celles sur le PIB nominal aux prix de base par industrie permettent de comparer les niveaux de productivité entre les provinces. Les données les plus récentes sur cet indicateur sont celles de 2012. Le tableau présenté ci-contre indique bien que lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle (c’est-à-dire des différences dans l’importance relative des industries), le rapport Québec/Ontario de la richesse ou la production par heure travaillée augmente. Pour les biens et services pris globalement, le rapport passe de 94,5 % à 97,4 % en 2012. Le tableau révèle aussi que la productivité est nettement plus élevée au Québec dans la production de biens. C’est le cas d’ailleurs pour quatre des cinq industries de ce secteur, soit : • l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ; • l’extraction minière, l’exploitation en carrière et l’exploitation de pétrole et de gaz ; • les services publics et ; • la construction. En revanche, la productivité du Québec est plus faible qu’en Ontario dans l’industrie de la fabrication. Il n’y a que dans 6 des 19 catégories de cette industrie que la productivité québécoise dépasse celle de l’Ontario. L’insuffisance des investissements en machines et équipements et en recherche et développement, une moins grande propension à innover et des établissements de production de taille relativement plus petite, ne permettant pas ainsi de profiter pleinement d’économies d’échelle, sont des pistes à explorer pour tenter d’expliquer cette situation. INDUSTRIES DE SERVICES Dans les industries de services, les prix peuvent avoir tendance à être plus élevés en Ontario qu’au Québec, ce qui expliquerait, du moins en partie, le fait que la productivité du travail soit plus faible au Québec dans ce secteur. (La rémunération constitue d’ailleurs une composante importante du prix des services. Or, la rémunération est plus élevée en Ontario qu’au Québec dans 12 des 14 industries de services.) Si la moitié de l’écart de productivité entre le Québec et l’Ontario dans le secteur des services (3,4 des 6,8 points de pourcentage d’écart) provenait de la présence de prix de vente plus faibles pour les producteurs de services du Québec, le niveau de productivité de l’ensemble du secteur des entreprises commerciales serait identique au Québec et en Ontario (à 99,97 % pour être plus précis). Ainsi, l’hypothèse que la productivité soit aussi élevée au Québec qu’en Ontario tient la route. Tout comme pour la productivité, tenir compte des différences dans l’importance relative des industries a pour conséquence de rapprocher la rémunération du travail au Québec de celle de l’Ontario. Pour les biens et services pris globalement, la rémunération horaire au Québec passe de 92,9 % à 94,9 % de celle de l’Ontario en 2012. On peut aussi déduire des pourcentages précédents que pour l’ensemble des entreprises, notamment les producteurs de biens, la rémunération horaire est inférieure au Québec par rapport à l’Ontario, ce à quoi l’on pourrait s’attendre en tenant compte de la production ou de la richesse créée par heure travaillée. Toutes choses étant égales par ailleurs, si la productivité québécoise correspond à 97,4 % de celle de l’Ontario, la rémunération horaire devrait aussi se situer à 97,4 %. Or, elle n’est qu’à 94,9 % de celle de l’Ontario. L’ampleur de la différence est encore plus difficile à expliquer lorsqu’on se limite aux biens. La productivité du travail y est plus élevée au Québec (106,3 % de celle de l’Ontario), mais la rémunération horaire y est inférieure (98,8 % de celle de l’Ontario). Pour les producteurs de services, la différence de productivité s’accompagne, à première vue, d’un écart pratiquement identique de rémunération horaire. À un niveau plus détaillé d’analyse, toujours au Québec par rapport à l’Ontario, la rémunération horaire est inférieure à la richesse créée par heure travaillée pour 13 des 19 industries de biens et services analysées. Les entreprises commerciales du Québec sont, dans leur ensemble, vraisemblablement tout aussi productives que celles de l’Ontario lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle et des prix relatifs des services. Par ailleurs, compte tenu de la richesse créée par heure travaillée, les travailleurs québécois sont moins bien rémunérés que leurs homologues ontariens, et ce, dans un grand nombre d’industries. http://plus.lapresse.ca/screens/89d0cf5d-590c-4026-bf3a-9683b47e1429%7C_0.html
  2. A trop vouloir en faire trop en meme temps on n'avance plus. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/861448/manque-t-on-de-productivite-sur-nos-chantiers/
  3. Un excellent article du Devoir paru la semaine dernière et que je voulais publier ici dans la section Économie pour plus de pertinence, mais cette section n'existe pas. Du moins pas encore. On a plutôt tendance à tout mettre dans la section politique et ainsi on en limite involontairement l'accès et les interventions. J'ai donc décidé tout de même de le mettre ici, en espérant qu'il ne se perdra pas dans les centaines de fils qui encombrent déjà cette section. Pour ceux qui souhaitent sauter tout de suite aux conclusions, allez à la fin dans la partie Déséquilibres grandissants , du matériel qui nous porte à réfléchir et se poser de sérieuses questions. Comme on peut le constater, ce n'est pas le système qui ne marche pas, mais le mauvais usage qu'on en fait. Le capitalisme quand on l'utilise correctement et avec discipline, est un excellent moyen pour créer de la richesse et la distribuer. Mais quand un groupe s'en empare et fausse les règles à son seul profit, rien ne va plus et on est condamné à aller de crise en crises. Il faut que ça change... parce qu'il est de plus en plus difficile, complexe et couteux d'intervenir, et la bête en grossissant, risque un jour de dévorer ses maîtres. ____________________ Vos finances - Humeur maussade et déprime du CPG 21 décembre 2013 | Gérard Bérubé | Finances personnelles Entre cynisme politique et résignation financière, les Québécois en particulier, les Canadiens en général affichent une humeur plutôt maussade en cette fin de 2013. Plus endettés, ils se disent également en moins bonne situation financière qu’il y a un an et ils craignent une nouvelle correction boursière. Vivement 2014 ! Cette longue stagnation économique joue sur le moral et l’année 2013 marque un pas tournant dans la résignation des Canadiens concernant leur situation financière. Selon les résultats d’un sondage Financière Sun Life/Ipsos Reid publiés lundi, 57 % des Canadiens disent ne pas être en meilleure situation financière qu’il y a un an. Ce sentiment d’appauvrissement se vérifie davantage chez les femmes et les personnes de 55 ans ou plus, où la proportion de répondants se disant en moins bonne santé financière atteint 61 %. Et c’est pire encore chez les Québécois, 63 % ne pouvant indiquer qu’ils sont en meilleure situation financière qu’il y a un an. On connaît déjà la situation de l’endettement des Canadiens, qui évolue de record en record année après année. Il faut aussi rappeler qu’à ce portrait présenté par la Financière Sun Life, les dettes ont continué de s’accumuler plus rapidement dans le segment des 65 ans et plus. Depuis la crise de 2008, l’endettement dans ce groupe d’âge augmente au rythme annuel moyen frôlant les 9 %. C’est dans ce segment que la dette moyenne affiche la plus forte croissance, et ce, année après année, selon les statistiques de l’agence Equifax. Avec des revenus réduits, souvent associés à des dépenses accrues, ces personnes accumulent plus de dettes pour hausser leurs revenus par le truchement du crédit afin de pouvoir continuer de jouir du style de vie préretraite qu’elles ne pourront peut-être plus se permettre. S’ajoute, parfois, la nécessité de venir en aide à leurs propres enfants adultes ou leurs propres parents qui ont des problèmes financiers. Question d’alourdir encore le paysage financier des Canadiens, seulement 36 % des répondants au sondage disent cotiser à leur REER. Mais à l’inverse, chez les 38 % de répondants déclarant être en meilleure situation financière que l’an dernier, 65 % ont souligné qu’ils ont remboursé les dettes de leur ménage cette année et 50 % versent des cotisations occasionnelles ou périodiques à leur REER. Quant aux perspectives d’avenir, elles ne sont guère reluisantes dans la tête des épargnants canadiens. Selon les résultats d’un autre sondage, publiés également lundi par BMO Banque de Montréal, 63 % des répondants s’attendent à ce que les marchés boursiers subissent une correction au cours de la prochaine décennie. Et 51 % prévoient rechercher des options de placement plus sûres en 2014. CPG: rendement chétif Évidemment, l’institution profite de cet engouement accru pour la protection du capital pour promouvoir son certificat de placement garanti. Dans ce sondage, 27 % des répondants déclarent détenir un CPG, alors que 32 % prévoient en acheter un au cours de la prochaine année, et que 44 % envisagent d’acheter des CPG supplémentaires dans les cinq prochaines années. Plus précisément, il appert qu’à un rendement de 2 % par année, 14 % des Canadiens souhaitent acheter un CPG. Si le taux de rendement montait à 4 %, 57 % jetteraient leur dévolu sur ce véhicule de placement. Il faut cependant retenir que selon le type de CPG, le montant investi et l’échéance, le taux annuel offert est plutôt chétif. Il peut varier entre 0,25 % et 1,35 %. Il peut dépasser les 2 % par année sur une échéance de dix ans. Une fois l’inflation prise en compte… Surtout que, pour reprendre les projections de BMO, « nous estimons que la Réserve fédérale américaine commencera à hausser ses taux au premier trimestre de 2016 et que la Banque du Canada se montre plus conciliatrice; nous prévoyons que celle-ci commencera à augmenter ses propres taux à partir du troisième trimestre de 2015. Nous croyons que la Banque avancera avec prudence, afin d’éviter une trop forte hausse du dollar canadien. Elle ne procédera probablement pas à plus d’une hausse des taux par trimestre, jusqu’à ce que la Réserve fédérale entre dans la danse ». Donc rien pour réjouir ou encourager l’épargnant ! Déséquilibres grandissants Le moral n’y est donc pas et cette longue période de stagnation économique y est pour quelque chose. D’ailleurs, l’Economic Policy Institute de Washington a présenté vendredi ses 13 graphiques les plus révélateurs de 2013. On peut y lire notamment que : L’économie américaine affichait, en novembre, un manque à gagner de quelque 8 millions d’emplois pour combler le trou creusé lors de la Grande Récession ; La faiblesse de la croissance écarte du marché du travail près de 6 millions de travailleurs potentiels ; Un des ratios baromètres de l’état de santé du marché du travail, soit le taux d’emploi des personnes âgées de 25 à 54 ans par rapport à la population, demeure aujourd’hui le même que celui ayant prévalu à la fin de la récession ; L’actuelle austérité budgétaire est la plus lourde de toutes les sorties de récession précédentes ; La part des profits des entreprises accaparée par les actionnaires plutôt que redistribuée aux employés atteignait un sommet historique à la fin du troisième trimestre ; L’écart de la rémunération du chef de la direction par rapport à l’employé moyen atteint 273 pour 1. L’écart était de 20 pour 1 en 1965, et de 100 pour 1 en 1992. Il a atteint son sommet de 383 pour 1 au plus fort de la bulle des valeurs technologiques, en 2000 ; Le déséquilibre se veut plus grand encore entre la rémunération des hauts dirigeants et celle du travailleur moyen. Ainsi, 70 % des travailleurs américains ont vu leur salaire réel stagner ou baisser depuis 2002 ; Le déséquilibre est toujours plus grand. Productivité et gains salariaux évoluaient de manière synchronisée au cours des trois décennies suivant la Deuxième Guerre mondiale. Mais depuis 1972, l’écart entre les gains de productivité et la rémunération horaire réelle n’a cessé de se creuser, pour atteindre à la fin de 2012 un décalage historique. L’indice cumulé des gains de productivité depuis 1948 atteignait 240,9 % à la fin de 2012 et celui du gain horaire réel, de 107,8 %. Le salaire réel fait, en définitive, du surplace depuis la cassure de 1972, les entreprises et les actionnaires s’appropriant l’essentiel des gains de productivité.
  4. Jean Coutu déménage à Varennes Publié le 29 mai 2013 à 07h47 Le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) consolidera toutes ses activités corporatives sur un terrain de 3 millions de pieds carrés localisé en bordure de l'autoroute 30 à Varennes, en Montérégie. La construction du nouveau siège social débutera l'an prochain. L'investissement de 190 millions de dollars offrira une superficie totale de 800 000 pieds carrés. François J. Coutu, président et chef de la direction, soutient que les actuelles installations de Longueuil sont désormais trop petites. Il s'attend à ce que celles de Varennes soient à la fine pointe de la technologie et garantissent des standards élevés de productivité et une performance accrue. Le transfert des opérations est prévu pour le début de 2016 pour les plus de 1000 employés du Groupe Jean Coutu et de sa filiale Centre d'information Rx. François J. Coutu en dira davantage ce mercredi matin lors d'une conférence de presse qui aura lieu à l'hôtel de ville de Varennes. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201305/29/01-4655415-jean-coutu-demenage-a-varennes.php
  5. Je suis au courant qu'il existe déjà une discussion pour l'Îlot Overdale, mais puisqu'il s'agit d'une tour à bureau dans la section Est du terrain (donc qui ne change rien à la partie résidentielle), je me disais qu'une nouvelle discussion pourrait être pertinente! -------------------------------------------------------------------------- TELUS – ÎLOT OVERDALE Publié le décembre 19, 2012 par Marie-Elaine Globensky Ce projet de 18 étages situé à Montréal, soit à l’intersection du boulevard René-Lévesque et de la rue de la Montagne, accueillera les bureaux montréalais de TELUS et offrira un nombre équivalent d’espaces de bureaux locatifs. Le projet s’est développé en partenariat avec Groupe Mach, Ecosystem et Pomerleau et est basé sur une approche globale et multidisciplinaire où architectes, ingénieurs et constructeurs travaillent de concert dès la phase embryonnaire du projet, et ce, afin d’assurer la synergie des différents systèmes. Cette approche innovatrice permet à terme de réduire les impacts sur l’environnement menant à un niveau d’accréditation LEED OR et ainsi assurer un niveau de qualité supérieure. Notre approche a permis à la maison mère de traduire l’identité d’entreprise de Telus. Également, ce projet nous a permis de démontrer notre approche soutenue quant au développement durable. Du point de vue conceptuel, le projet s’inspire librement des caractéristiques symboliques, physiques et écologiques de l’arbre. Ainsi, le projet s’enracine sur le site et développe des connexions avec le quartier environnant. Le tronc, véritable noyau du projet, permet la circulation de tous les éléments nutritifs du système : employées, air, eau et énergie. Les « PODs », l’élément distinctif du projet, agissent telles des branches en connectant les individus sur différents étages. Catalyseur de rencontres informelles, le « POD » est également l’endroit où se déploient nos mécanismes environnementaux. Finalement, la canopée (toiture) agit comme une plateforme multifonctionnelle regroupant les dispositifs environnementaux actifs du projet. L’approche développée repose sur les trois volets fondamentaux du développement durable dans sa définition la plus large soit l’économie, le social et l’environnemental. Économie : Par l’intégration d’environnements de qualité, de lumière naturelle abondante, d’une qualité d’air accrue et de la ventilation naturelle, notre proposition vise à d’augmenter la productivité et le confort des employés accroissant le bien-être et la productivité des employés. Social : Ce projet privé incorpore une composante communautaire par l’implantation d’une généreuse agora au rez-de-chaussée qui serait potentiellement offerte aux organismes communautaires et aux associations à but non lucratif, dont les objectifs correspondent à l’image écoresponsable de TELUS. De plus, les « PODs », un élément distinctif de notre design, proposent des lieux de socialisation et de détente pour les employés afin d’augmenter le sentiment d’appartenance à l’entreprise et indirectement la rétention de la main d’œuvre. Environnemental : Dans ce projet LEED OR, les « PODs », composante clé de notre approche durable, proposent une série de dispositifs alliant mur végétal, végétation luxuriante, fenestration abondante, ventilation naturelle, utilisation importante de bois certifié, bornes de compostage et recyclage, etc. Il s’agit ni plus ni moins des poumons verts du projet, des espaces pivots d’une conscientisation environnementale grandissante. Finalement, la toiture innovatrice du projet agit telle une canopée d’un arbre en captant les rayons solaires et en collectant les eaux de pluie en plus d’offrir la plateforme aux télécommunications, alors que les « racines » du bâtiment encouragent le transport actif et l’agriculture urbaine. De plus grandes images sont disponibles sur le site : http://www.lemayonline.com/fr/lab/telus-ilot-overdale
  6. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/312376/rencontre-avec-henry-mintzberg-gourou-du-management-la-productivite-a-l-americaine-tue-les-entreprises#partager
  7. Nathalie Elgrably-Lévy Économiste sénior, Institut économique de Montréal «De l’audace, de l’audace; en toute occasion, de l’audace». Cette citation d’Edmund Spenser, poète anglais du XVIe siècle, aurait pu tout aussi bien être prononcée par les ténors du front commun syndical. Alors que l’économie reste fragile, que le chômage atteint 8,4% et que le déficit et la dette compromettent notre croissance économique et le niveau de vie de nos enfants, le front commun réclame sans vergogne des augmentations salariales de 11,25% sur trois ans, soit 3,2 milliards $, rien de moins! Évidemment, les chefs syndicaux s’empressent de proposer à l’État des moyens pour financer cette dépense additionnelle. Ainsi, Mme Carbonneau recommande d’augmenter les impôts de 900 millions $ et de renoncer au plafonnement des dépenses et aux efforts de retour à l’équilibre budgétaire, autant de suggestions qui ne pourront qu’aggraver la situation actuelle. Manifestement, elle juge que la santé économique de la province, les perspectives d’avenir de millions de Québécois et la compétitivité de nos entreprises passent après la satisfaction de ses membres. Belle solidarité! Ainsi, le front commun suggère des moyens de trouver les fonds nécessaires, mais il n’explique pas pourquoi Québec, donc les contribuables québécois, devrait accepter de telles hausses salariales. Après tout, puisque le front commun nous demande de consentir des sacrifices et de nous montrer généreux, ne devrions-nous pas à notre tour exiger de lui qu’il défende la légitimité de ses ambitieuses revendications? On nous répondra que les employés de l’État travaillent dur. Admettons! Mais cela n’est pas une justification, car ceux du secteur privé, qui travaillent autant, sinon davantage, n’oseraient même pas rêver à de telles augmentations. S’agit-il d’indexer la rémunération pour tenir compte de la hausse du coût de la vie? Nullement, puisque celle-ci, telle que mesurée par Statistique Canada, fut d’à peine 0,6% en 2009. Les employés de l’État seraient-ils défavorisés? Bien au contraire! Selon l’Institut de la statistique du Québec, les employés du secteur public ont touché en 2008 un revenu hebdomadaire moyen 29% plus élevé que celui de leurs homologues du secteur privé, alors qu’ils travaillent 73 heures de moins par année. Quant aux avantages sociaux et à la sécurité d’emploi, il n’existe pas de données pour l’ensemble du secteur privé, mais il est raisonnable de penser que les travailleurs des PME québécoises sont moins gâtés que ceux de la fonction publique. Les hausses salariales de 11,25% seraient-elles alors justifiées par une hausse proportionnelle de la productivité des employés de l’État? Voilà qui serait difficile à croire! Pour l’ensemble de l’économie, la productivité n’a augmenté que de 0,8% par année de 1981 à 2008. Alors, je pose de nouveau la question. Pourquoi devrions-nous accepter des augmentations aussi considérables et payer nettement plus cher pour obtenir les mêmes services? Pourquoi un travailleur du secteur privé qui n’a ni sécurité d’emploi ni régime de retraite et dont la rémunération atteint à peine 77% de celle de son collègue de la fonction publique devrait-il faire les frais de la folie des grandeurs du front commun? Il fut un temps où le syndicalisme réalisait de grandes choses et contribuait au développement de la société. Mais ce temps est révolu. Il a obtenu la création d’une catégorie de travailleurs jouissant de privilèges sans rapport avec leur productivité. Il a aussi réussi à obtenir que les contribuables se plient aux exigences des chefs syndicaux. Est-il donc incongru de demander aux dirigeants du front commun de respecter la capacité de payer de la population? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/02/20100204-054803.html :applause:
  8. L'école HEC Montréal fait un constat qui tombe comme une tonne de briques sur le Québec: il souffre d'un «retard économique significatif et chronique» et d'un niveau de vie inférieur comparativement au reste du Canada et aux États-Unis. C'est la principale conclusion qui ressort de l'étude Productivité et prospérité au Québec publié vendredi par le Centre sur la productivité et la prospérité des HEC. Il ne s'agit pas de préjugés mais d'un bilan chiffré pour la période démarrant en 1981 et se terminant en 2008. Le produit intérieur brut québécois a crû de 73%. Pendant ce temps, celui des voisins ontariens s'accroissait de 112%, celui de l'ensemble du Canada de 105% et celui des États-Unis de 120%. Cela a fait reculer le poids économique du Québec de 3,5 points à 18,8% de 1981 à 2008. Pourtant, le poids démographique de la province allait reculer plus lentement, soit de 3,1 points à 23,3% à la fin de la même période... HEC calcule que le niveau de vie par habitant se situait à 38 897,99 $ en 2008 au Québec, ce qui est seulement 85,5% des 45 471,82 $ constatés en Ontario. L'étude note qu'un écart grandissant se creuse entre le Québec et les autres territoires recensés. Le rapport ne dépeint pas une province qui vit dans la misère. Toutefois, il avertit qu'«en dépit du fait que sa population jouit d'une qualité de vie qui peut être enviable, le Québec est néanmoins en perte de vitesse par rapport à ses voisins immédiats.» Le coeur du problème se trouve dans les gains de productivité, disent les HEC. Au sein des 20 membres de l'OCDE, seule la Suisse enregistre un gain inférieur à celui du Québec. Les États-Unis et le Canada se trouvent dans les bas fonds avec le Québec sur cet aspect. HEC estime que le problème de productivité se situe principalement dans les services. Ces derniers sont le principal moteur de croissance en matière de productivité et c'est là où le Québec est en retard, notamment dans le commerce de gros et le transport. Robert Gagné, directeur du Centre sur la productivité et la prospérité, blâme le phénomène sur un environnement qui ne favorise pas une plus grande efficacité. Il s'attarde à la technologie, à la formation, à la fiscalité et à la réglementation. Il ne tient toutefois pas des propos comparables à ceux de l'ancien premier ministre Lucien Bouchard, qui affirmait que les Québécois pourraient passer plus de temps au boulot. Et ce même s'ils travaillent 73 heures de moins par année que les Ontariens. «Cette faible productivité n'a pas sa raison d'être, dit M. Gagné. On peut faire le choix de ne pas travailler ou de moins travailler. Par contre, lorsqu'on est au travail, on ne peut pas faire le choix d'être moins productif.» Le directeur reconnaît qu'il ne peut pas proposer de solutions concrètes pour l'instant. «Les solutions viendront, je l'espère, des recherches que mènera le Centre au cours des prochaines années en matière de capital humain, des comportements des entreprises et de politiques publiques.» Étude : http://expertise.hec.ca/centre_productivite_prosperite/wp-content/aa-2008-01_bilan-1981-2008_fra_sept-2009_final_web.pdf Source: http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/09/20090925-123051.html
  9. Baisse de la population active: des économistes sonnent l'alarme Publié le 22 juillet 2009 à 15h52 | Mis à jour à 15h55 La Presse Canadienne À défaut d'une croissance de sa force de travail, le Québec s'expose à de graves conséquences préviennent des économistes de Desjardins. Si les récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) et de Statistique Canada prévoient que l'augmentation des taux de natalité et d'immigration vont freiner le déclin de la population québécoise d'ici 2056, les économistes de Desjardins constatent tout de même une baisse de la population active au même moment que le vieillissement de la population s'accentue. En entrevue à La Presse Canadienne mercredi, l'économiste Hendrix Vachon a rappelé que le déclin de la population des 15 à 64 ans devrait s'amorcer dès 2014 et se poursuivre au cours de la décennie suivante. Si rien n'est fait, Desjardins prévoit une diminution de la population active au Québec de 0,1 pour cent à 0,4 pour cent de 2014 à 2021. Les entreprises québécoises devront donc modifier leur façon de faire si elles désirent maintenir leur niveau de productivité d'ici 2021. Mais relever la productivité avec la même quantité de ressources, voire moins de travailleurs, n'est pas une tâche facile. À défaut de pouvoir augmenter la force de travail, les entreprises québécoises devraient notamment investir davantage dans de meilleures technologies, plus performantes, afin de pouvoir augmenter leur productivité, indique M. Vachon. Au cours des dernières années, le Québec a enregistré une hausse moyenne de sa productivité de travail d'environ 1 pour cent par année. Selon les nouvelles prévisions de Desjardins, les gains de productivité nécessaires au maintien d'une croissance du PIB potentiel sont de 2 pour cent d'ici 2021 M. Vachon propose donc à court terme de solliciter un plus grand nombre de travailleurs à se joindre à la population active ou à demeurer sur le marché du travail plus longtemps. Sinon, prévient-il, les problèmes et les défis à relever d'ici les 15 prochaines années vont demeurés entiers.
  10. Pendant que les municipalités canadiennes demandent l'aide du fédéral pour lancer une série de projets d'infrastructure, une étude montre que ces travaux contribuent à la productivité. Pour en lire plus...
  11. Depuis le deuxième trimestre de l'an dernier, la productivité au Canada s'est située entre 0% et moins 0,7%, un plancher atteint au premier trimestre de 2008. Pour en lire plus...
  12. La productivité dans le secteur non-agricole aux États-Unis a fortement ralenti au troisième trimestre, progressant de 1,1% à un rythme annuel par rapport au trimestre précédent. Pour en lire plus...
  13. Beaucoup de lecture, je suis surpris que personne ai posté ça encore. Sources: Argent Canoe 10 Chantiers pour Montréal http://argent.canoe.com/dixchantierspourmontreal/ En perte de Vitesse depuis 50 ans http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143538.html Les 10 chantiers de l'institut économique de Montréal http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143404.html Tourisme Médical http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143307.html Vendre les HLM http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143205.html Étudiant Étranger http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-143043.html Implanter la concurrence dans les transports en commun http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142927.html Mont-Royal et Secteur privé http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142831.html Cosmopolitisme http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142738.html Péages sur le réseau routier http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142608.html Vendre le stade et l'hippodrome http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142503.html Augmenter la productivité des employés municipaux http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142354.html Autonomie Fiscale http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142231.html Entrevue avec l’Institut économique de Montréal http://argent.canoe.com/lca/chroniques/dixchantierspourmontreal/archives/2008/10/20081031-142047.html
  14. Après avoir connu une croissance anémique en juin, le produit intérieur brut canadien s'est quelque peu ressaisi en juillet grâce à un regain de productivité du secteur énergétique. Pour en lire plus...
  15. Bien qu'ils aient dépassé les cibles de productivité fixées par l'entreprise, les employés de l'ouest de Montréal perdraient leur emploi en novembre prochain, selon le syndicat. Pour en lire plus...
  16. Les industries d'extraction minière, pétrolière et gazière, ainsi que le secteur de la construction, ont été principalement à l'origine du repli. Pour en lire plus...
  17. Les gains de productivité ont été révisés en nette hausse pour le deuxième trimestre aux États-Unis, à 4,3% à un rythme annuel, au lieu de 2,2% annoncé initialement. Pour en lire plus...
  18. Papiers White Birch et Emploi-Québec investissent dans la formation des travailleurs de l'usine F.F. Soucy afin d'améliorer la productivité de l'entreprise. Pour en lire plus...
  19. Le Québec, un des pires marchés du travail sur le continent 28 août 2008 - 09h50 Presse Canadienne Une étude conclut que le Québec se classe à l'avant-dernière place en matière de performance de son marché du travail au Canada, l'une des pires en Amérique du Nord. L'étude publiée jeudi par l'Institut Fraser compare la performance du marché du travail dans les 10 provinces canadiennes et les 50 États américains. Jean-François Minardi, analyste de politiques publiques à l'Institut, indique que le Québec souffre d'un taux de chômage élevé, d'un important chômage de longue durée et la province affiche également l'un des plus mauvais résultats en matière de productivité du travail dans toute l'Amérique du Nord. L'étude comprend une mesure de la performance du marché du travail fondée sur cinq indicateurs soit la croissance totale du niveau d'emploi, celle de l'emploi dans le secteur privé, les taux de chômage, la durée des périodes de chômage et la productivité du travail sur une période s'étalant de 2003 à 2007. Le taux de chômage et la durée de recherche d'un emploi associés à la productivité des travailleurs ainsi que la mauvaise performance en matière de création d'emplois dans le secteur privé ont eu une influence négative sur le résultat global de la province. L'Alberta a le marché du travail le plus performant de toute l'Amérique du Nord, tandis que la Colombie-Britannique se classe deuxième au Canada et 11e en Amérique du Nord. En matière d'emploi dans la fonction publique, un écart est visible entre les provinces canadiennes et les États américains. Le Québec se classe 51e sur 60 en raison de son taux élevé d'emploi dans la fonction publique qui représente 19,8% de l'emploi total de la province. L'étude révèle aussi que le Québec a un taux de syndicalisation de 40,2%. Une raison expliquant ce taux de syndicalisation élevé est la législation du travail québécoise qui est, selon l'Institut, favorable aux syndicats. Or, la recherche démontre que les lois qui régissent les rapports entre employeurs et employés freinent la performance des marchés du travail lorsqu'elles favorisent un groupe au détriment d'un autre.
  20. Pour améliorer la productivité de l'usine Kruger de Trois-Rivières, la papetière et le gouvernement du Québec investissent 11 millions de dollars dans la formation du personnel. Pour en lire plus...
  21. Les gains de productivité ont légèrement ralenti au deuxième trimestre à 2,2%, contre 2,6% lors des trois premiers mois de l'année. Pour en lire plus...
  22. Malgré la menace de fermeture, les employés de l'entreprise de Trois-Rivières ont rejeté à 80% les dernières demandes de l'employeur, qui cherchait à obtenir des gains de productivité. Pour en lire plus...
  23. Les retards du Canada Alain Dubuc La Presse Il y a mille et une façons de prendre prétexte de la fête de la Confédération pour réfléchir à la réalité canadienne. J'ai choisi un angle d'attaque qui est à mille lieues de l'esprit festif et de légèreté estivale qui préside habituellement à ce genre d'exercice. À la veille du 1er juillet, je voudrais parler des retards du Canada. Un pays qui, contrairement à ce que l'on croit d'habitude, n'est pas assez compétitif et risque d'être déclassé. Et si j'aborde cette question maintenant, ce n'est pas pour casser le party, mais parce que la remise d'un rapport au gouvernement fédéral m'en donne l'occasion. C'est ce jeudi qu'a été rendu public le rapport du Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence, composé de cinq personnes issues du monde des affaires, présidé par Lynton Wilson, où l'on retrouvait la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. Le Canada, nous dit en substance le groupe d'étude en termes mesurés, n'est pas un modèle de compétitivité, et les Canadiens ne réalisent pas pleinement l'importance de la concurrence. Pourtant, de nombreux signaux d'alerte indiquent que tout ne tourne pas rond au Canada, en cette période d'accélération de la concurrence mondiale: déclin des investissements étrangers, bouleversements du marché du travail, faible présence internationale du Canada, sauf aux États-Unis, érosion de notre avantage de coûts, faible innovation, très faible croissance de la productivité. Je suis très à l'aise avec le cadre général dans lequel s'inscrit cette démarche, puisqu'elle pose les problèmes de la même façon que je le fais depuis des années, en commençant par un principe très simple: «Le fait d'améliorer la performance économique globale du Canada permettra aux Canadiens de rehausser leur niveau de vie.» Le rapport propose ainsi 65 recommandations pour améliorer le degré de concurrence. Celles qui susciteront les plus vives réactions favorisent un assouplissement des contrôles sur les investissements étrangers et sur les fusions bancaires. Mais le rapport se penche aussi sur la révision de la fiscalité, l'investissement dans l'éducation postsecondaire, le développement des villes, l'union économique canadienne, les relations commerciales Canada-États-Unis. Ce ne sont pas tant ces recommandations, souvent techniques, qui ont retenu mon attention, mais plutôt les questions qu'elles soulèvent. La première - et elle est de taille - consiste à se demander si ce message sera entendu. Au Québec, l'idée qu'il y a un problème qu'il faut régler en augmentant la productivité et en créant de la richesse commence à passer, parce que nos retards sont mesurables et les menaces évidentes. Mais ailleurs au Canada, parce que l'activité est gonflée aux stéroïdes pétroliers, le fait que l'économie canadienne souffre de carences ne saute pas autant aux yeux. Il sera difficile de percer le mur de l'indifférence et de pousser à l'action politique. Est-ce que les Canadiens savent que le pays est au 17e rang sur 20 dans l'OCDE pour la croissance de la productivité? L'Ontario, mal en point, commence à peine à le découvrir. Il faut ensuite se demander s'il existe une volonté politique au Canada pour s'attaquer à ces problèmes. La question est centrale parce qu'il faudrait une solide dose de leadership des gouvernements, et particulièrement du gouvernement central. Le fait que le gouvernement Harper ait commandé ce rapport peut être vu comme un signe positif. Mais il y a déjà eu des rapports récents, qui ont abordé ces questions, l'un produit lors du règne de Paul Martin, et l'autre par le ministre Jim Flaherty, sans que cela devienne un élément central des plans d'action et des préoccupations de ces gouvernements. Voilà pourquoi une série de recommandations du rapport qui ne plairont pas à tout le monde au premier abord prennent toute leur importance. Il s'agit de la création d'un Conseil canadien de la concurrence. «Un autre organisme!» diront certains. Au contraire, cette idée d'un organisme léger, indépendant du gouvernement, qui relève du Parlement, m'apparaît utile, et même essentielle. Un exemple? Dans ses recommandations au ministre, le comité propose une transformation de la fiscalité, qui consisterait entre autres à baisser l'impôt sur le revenu, surtout pour les revenus faibles et moyens, et à augmenter la TPS. Exactement le contraire de ce qu'a fait le gouvernement Harper. Peut-être que cette décision malheureuse aurait pu être évitée si une voix indépendante et non partisane s'était fait entendre. Un organisme qui peut choisir ses champs de réflexion et d'étude, qui peut préconiser des mesures pour améliorer la productivité et la compétitivité, qui peut contribuer à créer une culture de la concurrence, comblerait certainement un besoin. http://www.cyberpresse.ca/article/20080628/CPOPINIONS05/806281117/6730/CPACTUALITES
  24. La productivité du travail dans les entreprises canadiennes a fléchi de 0,3% au cours du premier trimestre de 2008 par rapport au trimestre précédent. Pour en lire plus...
  25. Les gains de productivité ont été révisés en hausse au premier trimestre aux États-Unis à 2,6% à un rythme annuel au lieu de 2,2% annoncé précédemment. Pour en lire plus...
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