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  1. Je ne crois pas qu'on a un sujet sur le projet de transformation de ce tronçon de route. Le large boulevard Papineau à ce niveau changera beaucoup d'apparence dans les prochaines années. La ville de Montréal profite de la réfection du sous-sol pour transformer cette rue "en boulevard verdoyant et durable". Voici un article du Courrier d'Ahuntsic/Bordeaux-Cartierville parlant des éléments écologiques de l'intervention: http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/939557/les-trottoirs-sur-papineau-avaleront-les-eaux-de-pluie/ Voici quelques images du projet, tirés de l'article: Avec le développement de l'ancien dépotoir, le Taz, le nouveau centre d'entraînement de soccer, l'immense parc... Il était devenu nécessaire d'intégrer cette rue à la trame urbaine, et surtout de sécuriser un endroit qui sera de plus en plus fréquenté par des familles et des enfants. En prime, ce sera pas mal plus joli.
  2. Proposed: Current: NOTE: This is a Karsten Rumpf project announced back in JUNE 2011 with little to no indication that any work started. Since he is currently active with the Bishop Court condo conversion, I figured this project would be worth posting here. But this thread probably belongs to "projects oublie" for now.
  3. http://www.cnn.com/2016/03/10/travel/justin-trudeau-canada-having-a-moment-feat/ It's been years since the U.S. has looked so lovingly upon its neighbor to the north, Canada. Sure, there were Expo 67 and the 1976 Olympics, when Montreal was the center of the world. Sure, Bob and Doug McKenzie invited us to the "Great White North" in 1980 and had a big hit with their song "Take Off." But recently, the country some wags have called "America's Hat" has been more in the news than ever, thanks to its handsome prime minister and our less-than-handsome election campaign. Described by Vogue as "dashing" and "strikingly young and wavy-haired," Prime Minister Justin Trudeau is reviving the Trudeaumania inspired by his father's entry into politics. Frolicking with pandas and a knack for selfies have only deepened the younger Trudeau's appeal. As the new prime minister launches into his country's first official visit and state dinner in 19 years, here are some reasons why Canada is always in season -- even when it's underneath several feet of snow: A warm welcome Canadian radio DJ Rob Calabrese created the "Cape Breton If Trump Wins" site in late February as a joke. But a few weeks and more than 800,000 clicks later, he says that thousands of his U.S. neighbors are seriously considering a move to Canada if Donald Trump becomes president. Serene Canadian island courts Trump refugees It's actually much harder to immigrate to Canada than simply fleeing north in your packed Prius, but Trudeau has put out the welcome mat. "Cape Breton is lovely all times of the year," Trudeau said. "And if people do want to make choices that perhaps suit their lifestyles better, Canada is always welcoming." Creative exports While Canada has long provided Hollywood with a diverse collection of talent, there's a wide array to admire right now. Rachel McAdams was recently nominated for an Academy Award for her role in best-picture winner "Spotlight," Ryan Reynolds has gained a new following with "Deadpool," and Drake's "Hotline Bling" made a big splash in 2015. Ellen Page, Seth Rogan and television and movie star Michael J. Fox, whose foundation may help unlock the clues to a cure for Parkinson's disease, are also bringing Canada to Hollywood. And we always enjoy the work of that mighty fine Ryan Gosling. Gosling is always having a moment. The redheaded orphan who put Prince Edward Island on the map for young readers may be fictional, but the "Anne of Green Gables" series by Lucy Maude Montgomery has lured generations of tourists to the picturesque island. The author's birthplace is a museum, and the Green Gables Heritage Place features a house like the one Anne occupied. And yes, there are Anne tours. Natural beauty and cultural preservation Americans have the Colorado Rockies and the 59 parks of the National Park Service. But Canadians have incredible, wild protected nature as well. Ask a Canadian, and they'll tell you (politely) that they prefer the Canadian Rockies. We recommend starting with Banff National Park, Canada's oldest national park. For travelers looking for a bit of Old World charm, there's the lovely city of Montreal, where many residents don't mind if your French is terrible. Are you trying? That counts for something. Stay longer and learn how to speak the North American version of French, all the while reading all official government publications and commercial product labeling in both English and French. Bon voyage/enjoy your trip!
  4. L'entrepôt qui je crois était loué par la ville situé au 701 Notre-Dame Ouest a été démoli voilà pas si longtemps. Ils débarrassaient encore des débris la semaine dernière. Le terrain appartient tout vraissembablement à Magil Laurentienne, juste en face de la tour de la Bourse Je ne suis pas en mesure de savoir quel développement qu'il y aura à cet endroit. On parle de grands terrains de stationnement en ce moment. Du coup j'aimerais ajouter que le terrain du Bureau en gros non loin de la est d'un gaspillage de "prime real estate" avec le nouveau boulevard qui sera la bientôt. Quelqu'un peu m'éclairer et me pointer vers le fil du suejt sur le forum? (s'il y en a un) ou comment trouver plus d'info sur le sujet?
  5. Pas d’austérité chez Hydro-Québec Pendant que le gouvernement Couillard propose un gel salarial à ses 540 000 fonctionnaires pour les deux prochaines années, les employés d’Hydro-Québec verront leurs chèques de paie bondir de 7,2 %. Dès le 1er janvier, les salaires de 15 000 travailleurs d’Hydro-Québec seront notamment bonifiés de 4,2 %. En 2016, c’est une hausse de 3 % qui attend les employés de la société d’État. En tout, au cours des quatre prochaines années, les salaires des employés d’Hydro-Québec progresseront de 12,45 %. Ces impressionnantes hausses ont été consenties lors du renouvellement de la dernière convention collective ratifiée il y a un an, en décembre 2013, avec sept des huit syndicats de la société d’État. Pour justifier de telles hausses, Hydro-Québec dit avoir mis fin au controversé régime annuel de primes à la performance offert à ses employés depuis une dizaine d’années. Ce régime de primes était décrié parce qu’Hydro-Québec détient le monopole de la vente d’électricité au Québec et que les objectifs de ce régime étaient trop faciles à réaliser. En 2013 (pour l’année 2012), ce régime a distribué 88 millions $ aux travailleurs d’Hydro-Québec. Pour compenser la fin de ces généreux bonis, la société d’État a toutefois décidé d’ajuster les échelles salariales de ses travailleurs syndiqués à compter du 1er janvier 2015. Prime de 84 M$ Pour l’année 2014 qui se termine, Hydro-Québec dit avoir «gelé» les salaires de ses travailleurs et ne versera pas la fameuse prime au rendement. Or, les travailleurs d’Hydro-Québec ont touché en avril 2014 (pour la dernière fois) la prime dite de rémunération incitative pour la performance financière de la société d’État réalisée en 2013, a appris Le Journal. Cette prime de 84 millions $ équivaut à tout près de 4000 $ par employé ou jusqu’à 4,5 % de leur salaire annuel, soit 1,5 % lorsque les objectifs financiers sont atteints et jusqu’à 3 % en se fondant sur les indicateurs de rendement de l’entreprise. Hydro-Québec persiste à dire que ses travailleurs syndiqués subiront néanmoins un «gel de rémunération» l’an prochain. «Pour 2015, une portion de la rémunération incitative a effectivement été intégrée aux échelles salariales, d’où l’augmentation de 4,2 %», a indiqué hier un porte-parole d’Hydro-Québec, Patrice Lavoie. Les cadres aussi Les travailleurs non syndiqués d’Hydro-Québec ne sont pas en reste. Eux qui ont vu leurs salaires progresser de 1,75 % en 2014, auront droit à une hausse de 2 % en 2015. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/17/pas-dausterite-chez-hydro-quebec
  6. Reportage de Canal+ sur les Canadiens avec en prime quelques belles images de la ville
  7. http://www.rds.ca/hockey/chroniques/281190.html http://tsn.ca/nhl/story/?id=288991
  8. Des ponts d'or dans les universités Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 05/11/2009 05h32 Malgré un déficit de 455 millions - Des ponts d'or dans les universités Le campus du centre-ville de l’Université Concordia. L’institution anglophone a remis des primes de départ pour le moins étonnantes à au moins deux cadres supérieurs. Les universités de la province ont beau crouler sous les déficits, cela ne les empêche pas de verser de très généreuses primes de départ à leurs cadres supérieurs... même quand ceux-ci continuent à travailler pour elles par la suite. Des données obtenues par le Journal grâce à la Loi sur l'accès à l'information révèlent que plusieurs hauts dirigeants d'universités québécoises ont reçu des «indemnités de départ» équivalant à au moins un an de salaire, l'an der nier, quelques mois seulement avant d'être réembauchés dans d'autres fonctions. C'est le professeur Martin Singer, de l'Université Concordia, qui a le plus bénéficié de ce système de primes pour le moins étonnant. Après avoir occupé le poste de vice-recteur exécutif durant tout juste trois ans, entre 2004 et 2007, il a ensuite bénéficié d'un «congé administratif» de 14 mois, une période au cours de laquelle il a empoché la bagatelle de 363 430 $. Et ce n'est pas tout. Le contrat de M. Singer était à ce point généreux qu'il lui garantissait son plein salaire de cadre supérieur durant cinq ans, même s'il avait quitté «hâtivement» ses fonctions. Ce professeur d'histoire, qui a été nommé doyen à l'Université York de Toronto le 1er juillet dernier, a donc pu gagner 184 137 $, durant les neuf derniers mois de l'année 2008-2009, alors qu'il enseignait seulement deux cours par session. Réembauchée 11 mois plus tard Le cas de Martin Singer est loin d'être unique dans le réseau des universités québécoises, qui affichait pourtant un déficit accumulé de 455 M$, en 2008. La vice-rectrice à l'administration de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), Hélène Grand-Maître, a obtenu une «indemnité de départ» de 142 427 $, l'an dernier, après avoir volontairement «rompu son lien d'emploi» avec l'institution. Les hauts fonctionnaires oeuvrant dans le réseau de l'Université du Québec ont tous droit à une telle prime après quatre ans de service, a-t-on expliqué au Journal. Mais le «départ» de Hélène Grand-Maître n'a pas été très long : moins d'un an après avoir reçu son «indemnité», elle a été nommée vice-présidente de l'Université du Québec, en août dernier. C'est cet organisme qui chapeaute les universités régionales, dont fait partie son ancien employeur, l'UQO. À l'Université Concordia, le professeur Truong Vo-Van a eu droit à une indemnité de départ de 139 037 $, en 2008-2009, après avoir quitté ses fonctions de vice-recteur associé. Or, il est de retour au sein du corps professoral cette année, indique le secrétaire général de l'institution, Bram Freedman. Un cadeau de retraite ? D'autres cas soulèvent par ailleurs des doutes quant à la nécessité de verser de telles primes à ces hauts fonctionnaires. Le 28 novembre 2008, l'ancien directeur général de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), Pierre Lapointe, a quitté son poste, ce qui a lui a permis d'empocher une prime de 167 562 $. Mais trois jours plus tard, il était nommé à la tête de FPInnovations, une société de recherche du secteur forestier, qui lui aurait offert un «pont d'or» pour l'attirer, selon un article paru à ce moment-là dans un hebdomadaire lavallois. D'autres indemnités de départ ont été consenties à des hauts fonctionnaires des universités l'an dernier, soit parce qu'une telle mesure était prévue à leur contrat ou qu'ils avaient tout simplement décidé de prendre leur retraite. L'ancien recteur adjoint de l'Université de Sherbrooke, Denis Marceau, est du nombre. Il a eu droit à un chèque 217 441 $, il y a quelques mois, en partant à la retraite. Avec la collaboration de Serge Laplante, notre recherchiste à l'Assemblée nationale. «Révoltant» et «absurde» La Ligue des contribuables du Québec trouve «absolument révoltant» le versement de ces primes de départ à des hauts fonctionnaires des universités. La porte-parole de l'organisme, Claire Joly, avait du mal à contenir sa colère lorsqu'elle a été informée des révélations du Journal. «Ces gens-là profitent du système pour s'en mettre plein les poches, dénonce-t-elle. C'est carrément honteux d'accepter ce genre de primes-là, surtout quand ils ont le culot de venir nous dire ensuite que le système d'éducation supérieur est sous-financé.» Pourquoi de telles primes ? Claire Joly souligne que ce genre de pratique est «malheureusement assez répandu dans le secteur public.» «C'est une pratique de rémunération absurde, qui n'existe absolument pas dans le secteur privé. Si on démissionne ou on prend sa retraite, on n'a pas le droit à une prime de départ.» Mme Joly craint toutefois qu'il soit difficile de mettre un frein à ce système d'indemnités puisque «l'exemple vient d'en haut.» «Les députés eux-mêmes reçoivent une prime de départ s'ils démissionnent», déplore-t-elle.
  9. La société minière achète le producteur de charbon en payant une prime de 17% sur son titre en Bourse. Pour en lire plus...
  10. Le groupe pharmaceutique suisse achète le laboratoire Arius Research en payant 2,44 $ par action, une prime de 15% sur le prix de clôture de mardi. Pour en lire plus...
  11. Cette somme représente une prime de 78,7% par rapport au prix moyen de vente des actions de la société ces 20 derniers jours. Pour en lire plus...
  12. Harper is on the second day of a three-day tour of Europe, with environmental issues at the centre of the agenda. Most European countries are wary of Canada's mixed record on the Kyoto Protocol for greenhouse gas emissions, with far more political and public support for reductions in Europe than is generally found in this country. Before he left, some environmentalists criticized the prime minister's trip for its own greenhouse gas emissions. They say the air travel involved in taking Harper's retinue to several European cities in three days will generate more than 400 tonnes of carbon dioxide emissions, as much as 100 cars produce in a year. But Harper and his officials say expressing Canada's position on climate change is crucial, as well as discussing this country's booming trade with Europe, worth some $110 billion in the past year. Speaking to UN delegates in Bonn, Harper said Canada was the first industrialized country to ratify a biodiversity treaty in 1992, and that this country took a varied approach to environment protection, involving all sectors of society, and not just government. "Canada has gone to great lengths to protect and preserve our rich and diverse environment," Harper said in Bonn. "In our country, this is not just a government enterprise. We are partnered with many private individuals, corporations and non-governmental organizations dedicated to environmental philanthropy." CBC's chief political correspondent, Keith Boag, travelling with the prime minister, said there was little about the address that was new in policy terms. "The speech was really just a once-over-lightly about how beautiful Canada is," Boag said. "How many lakes and rivers and streams and mountains and forests and fields and so on [the country] has." The Bernier resignation is still very much on the mind of the prime minister and officials and journalists travelling with him, Boag said. Canada could do more: environmentalists Environmental groups at the Bonn meeting say there is sometimes more words than substance to Canada's positions on biodiversity and other environmental issues. William Jackson with the International Union for the Conservation of Nature said Canada can be proud of its domestic achievements in environmental protection, but its international role in holding up agreements on issues like climate change has raised eyebrows. "I have not seen Canada blocking things to the point [that] decisions are not being made," Jackson says, "but I've seen them expressing their views strongly." Federal Environment Minister John Baird, who is with Harper, dismissed accusations Wednesday that Canada isn't doing enough to curb greenhouse gas emissions. Baird said the Canadian government actions include regulating big polluters, a hydrogen initiative in B.C., encouragement of carbon capture and storage efforts, an electricity grid between Ontario and Manitoba and support for tidal power generation in the Maritimes. Harper was hoping to convince European leaders that his plan for fighting greenhouse gases is a good one, despite criticism from environmentalists. Unlike most of Europe, Canada and the U.S. oppose any new climate change pact that would exclude major polluters, such as China or India. Harper is using this trip to lay the groundwork for the upcoming G8 meeting this summer in Japan, which will focus on climate change. On Wednesday in Bonn, Harper is also meeting German Chancellor Angela Merkel. The two leaders pledged last year to increase co-operation between their two countries on a range of issues, including environmental policy and trade. Harper's next stop will be Rome for meetings with Italian Prime Minister Silvio Berlusconi before travelling to London where he has meetings scheduled with the Queen and his British counterpart, Gordon Brown, as well as a speech to business leaders at the Canada-United Kingdom Chamber of Commerce. With files from the Canadian Press http://news.sympatico.msn.cbc.ca/abc/world/contentposting.aspx?isfa=1&newsitemid=harper-bonn&feedname=CBC-WORLD-V3&showbyline=True
  13. Ottawa pledges tax cuts as surplus soars STEVEN CHASE Globe and Mail Update September 27, 2007 at 1:02 PM EDT The Canadian government racked up a monster surplus of about $14-billion for the last fiscal year, Ottawa reported Thursday. It said it has used the surplus to retire national debt and will funnel the $725-million interest saved as a result to Canadian taxpayers through tax cuts. That is a break of about $30 to $40 per tax filer in annual savings, depending on how it is allocated. That surplus far exceeds the $9.2 billion forecast in the last budget. Prime Minister Stephen Harper congratulates Finance Minister Jim Flaherty on March 19 after the government's budget speech. It is an embarrassment of riches for the Conservative government of Prime Minister Stephen Harper, which said Canadians were overtaxed when it took office and vowed that there would be no more surplus surprises. Ottawa's coffers are swollen by extra personal and corporate income-tax revenue generated by richer profits from a commodity boom. By law, all this excess cash – $14.2 billion – has been used to pay down Canada's debt and is not available for spending. However, the interest savings generated by the debt paydown – a fraction of the overall surplus – will be used to fund tax reductions, as promised by the Harper government. The surplus hit $13.8-billion and Ottawa ultimately reduced its debt by $14.2-billion last year, the government announced.
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