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  1. I don't know if this is already posted, anyways anybody have some renderings...big bucks in Laval $150,000,000.00!!!!! 2 storey penthouses in the sky...!!! Lancement du projet Quintessence à Laval 9 mars 2011 Communiqué C’est le jeudi 10 mars qu’aura lieu l’annonce officielle de l’imposant projet haut de gamme d’appartements en copropriété. Le complexe, d’une valeur de 150 millions $, sera construit à Laval près du Centropolis et du Carrefour Laval. La première pelletée de terre aura lieu au printemps 2011 et la livraison des appartements de la première phase est prévue en 2012. Le projet comptera globalement cinq immeubles dans lesquels on trouvera de luxueux appartements terrasses, plusieurs locaux commerciaux, un centre de conditionnement physique et plusieurs espaces verts. Plus de détails à venir. Source : Patrick Sakal :goodvibes: http://essencedevivre.com/
  2. L'Adresse sur le fleuve voit le jour et annonce l'ouverture du pavillon des ventesUn partenariat signé : Société de développement 3R, Fonds immobilier de solidarité FTQ et Broccolini TROIS-RIVIÈRES, QC, le 11 déc. 2012 /CNW Telbec/ - C'est ce matin, en présence de M. Yves Lévesque, maire de Trois-Rivières, M. Richard Thibault, président de Société de développement 3R, M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ et de M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini, qu'a eu lieu l'ouverture officielle du pavillon des ventes du magnifique projet de développement résidentiel L'Adresse sur le fleuve. Situé au confluent de la rivière Saint-Maurice et du fleuve Saint-Laurent à Trois-Rivières, ce nouveau milieu de vie s'implante sur l'un des plus beaux sites du Québec. « L'engouement pour le projet est très présent dans la communauté. Déjà, de futurs acheteurs nous ont fait part de leur impatience à aménager dans ce développement prestigieux, » a soutenu M. Thibault. « Nous sommes très fiers de nous associer à ce projet qui, pour cette première phase, permettra de créer ou de maintenir quelque 500 emplois d'ici quatre ans. Aussi, ce partenariat nous permet une fois de plus de consolider notre présence à Trois-Rivières. Nous sommes convaincus qu'avec sa localisation exceptionnelle, L'Adresse sur le fleuve répondra aux besoins des citoyens désireux de profiter d'un milieu de vie paisible et confortable, a soutenu M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ. De plus, je tiens à saluer les partenaires, les professionnels et les collaborateurs de ce projet, car ensemble nous formons une équipe dynamique faisant preuve d'une grande expertise. » « Quel privilège pour Broccolini d'être associé à L'Adresse sur le fleuve. Ce projet immobilier de grande envergure, par son architecture ainsi que sa localisation avec vue sur le fleuve, offrira aux Trifluviens un style de vie incomparable et deviendra une référence dans la ville. Broccolini est fière de contribuer à l'essor économique de Trois-Rivières et remercie ses partenaires pour la confiance témoignée, » a mentionné M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini. Le pavillon des ventes présente l'aménagement du site ainsi que l'intérieur des copropriétés qui seront construites dans la première phase du projet. Cette étape comprendra la construction de 228 unités d'habitation d'architecture moderne réparties entre une tour de 16 étages et 5 immeubles de 4 étages. La superficie des unités variera de 850 pieds carrés à 2 200 pieds carrés. La tour ainsi qu'un premier immeuble de 4 étages devraient être mis en chantier au printemps 2013. En plus d'offrir une vue exceptionnelle, les unités d'habitation de L'Adresse sur le fleuve seront pourvues d'une généreuse fenestration, d'une grande terrasse, d'une excellente insonorisation, de plafonds de 9 à 11 pieds de hauteur, d'un accès sécurisé, de stationnements intérieur et extérieur et d'ascenseurs. De plus, les résidents de L'Adresse sur le fleuve bénéficieront de nombreux services, dont une salle d'entraînement, une piscine, un bain à remous, un spa intérieur, une salle de réception avec cuisine, un accès direct à la piste cyclable et aux sentiers pédestres et, éventuellement, une marina. « Le projet s'adresse tant à une clientèle de premiers acheteurs que de deuxièmes acheteurs. Ces derniers découvriront à notre pavillon des ventes une diversité de possibilités pouvant répondre à des besoins variés et s'adapter au budget de chacun, » ajoute M. Thibault. Les citoyens peuvent déjà consulter le site http://www.ladressesurlefleuve.com. Le développement de ce projet résidentiel entraînera de nombreuses retombées pour le milieu trifluvien puisque l'investissement requis pour la première phase s'élève à 85 millions de dollars alors que le projet global est de plus de 250 millions de dollars. Les entreprises Michel Pellerin Architecte, Pluritec, MédiaVox et Maskbec Construction ont participé au développement du projet.
  3. 13/08/2007 Un nouveau lien routier entre Montréal et Laval pourrait être construit grâce au prolongement de l'autoroute 440. Le tracé passerait par Sainte-Dorothée, traverserait la rivière des Prairies et se rendrait à l'autoroute 40 via l'Île-Bizard, Pierrefonds et Kirkland. Ce sont les travaux de prolongement des autoroutes 25 et 30 qui ont ravivé cette vieille idée. Le projet avait déjà été présenté une première fois il y a 35 ans, mais il avait été mis sur la glace après le moratoire de 1977. Les maires de l'ouest de l'île préfèreraient un boulevard urbain, mais le maire de Laval Gilles Vaillancourt croit qu'une autoroute est la seule solution pour régler les problèmes de circulation.
  4. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  5. Lofts Zuni Vivre sur l'Île comme en ville Les condos + lofts ZUNI (Zone Urbaine du Nord de l'Île), première phase de la communauté de la Pointe-Nord, forment le dernier ajout à la vie de l'île. Situés à quelques minutes du centre-ville de Montréal, ces condos-lofts abordables vous proposent des espaces de vies modernes, à aire ouverte, donnant sur le fleuve. ZUNI, intègre les meilleurs éléments d'architecture contemporaine et vous permettra de profiter d'installations communes de haut niveau comprenant une aire de détente, une salle de jeu, un gymnase bien équipé ainsi qu'une piscine sur le toit de l'immeuble offrant des vues panoramiques du centre-ville et du fleuve. Quartier Pointe-Nord - Une petite collectivité verte est en construction sur l'île Le Devoir Martine Letarte Édition du samedi 07 et du dimanche 08 mars 2009 Mots clés : Zuni, Quartier Pointe-Nord, Construction, Habitation, Montréal Zuni est le premier élément d'un ensemble de 1600 unités Le quartier comptera de nombreux espaces verts et, pour établir le plan directeur, les constructeurs travaillent avec le service d'urbanisme de l'arrondissement de Verdun. Depuis quelques années déjà, la Corporation Proment planche sur son projet de quartier écologique qu'elle développe sur la pointe nord-est de l'Île-des-Soeurs, un terrain d'une superficie d'un million de pieds carrés. Le projet en impose avec ses 1600 unités d'habitation d'une valeur totale d'environ 700 millions de dollars. Si tout n'est pas encore coulé dans le béton, la première phase commence à prendre forme. Zuni: voilà le nom que portera la première phase de lofts du quartier Pointe-Nord. Les 165 unités résidentielles seront construites dans un immeuble de six ou sept étages, à l'architecture contemporaine. «Au rez-de-chaussée, on retrouvera des commerces qui seront certainement appréciés des résidants, comme un café, un restaurant, une fromagerie, une boulangerie, un nettoyeur, une épicerie, une épicerie fine, etc.», indique Louis-Joseph Papineau, vice-président, développement et construction, de la Corporation Proment. Le toit de l'édifice sera transformé en terrasse commune avec piscine, vue sur le fleuve Saint-Laurent et sur la ville de Montréal. «Pour nous, c'est important de trouver un bel équilibre entre architecture poussée, design intérieur détaillé et produit somme toute abordable. Ainsi, la majorité de nos unités se vendront en dessous de 300 000 $», précise M. Papineau. Pour ceux qui craignent d'aller vers un concept de loft à aire ouverte, il sera possible de fermer une ou deux chambres. Un projet mixte et intégré La Corporation Proment a également l'intention de construire une dizaine de maisons de ville dans la première phase et de hautes tours de condominiums dans les phases suivantes. «Le projet Pointe-Nord mise vraiment sur la variété: il y aura des commerces, des bureaux, des maisons de ville, des lofts, des condominiums, des familles, des couples, des célibataires, des travailleurs, etc. C'est vraiment une collectivité mixte que nous voulons créer», affirme M. Papineau. Le récent déménagement du siège social de Bell Canada à l'Île-des-Soeurs a d'ailleurs donné un bon coup de pouce au volet commercial de la Pointe-Nord. Évidemment, il faut nourrir et occuper ces milliers de travailleurs à l'heure du lunch! La Corporation Proment a aussi l'intention de maximiser la mise en valeur de la beauté naturelle du site. «La Pointe-Nord s'avance dans le fleuve Saint-Laurent, donc trois côtés de l'espace donnent sur l'eau et la vue sur le centre-ville est époustouflante. Nous allons démocratiser le fleuve et la vue, les rendre accessibles à tous les habitants du quartier», indique le vice-président, développement et construction. Un projet vert Avec la Pointe-Nord, la Corporation Proment vise une certification écologique LEED pour le quartier. Pour ce faire, les constructeurs reprendront les grands principes de construction verte de leurs projets antérieurs sur l'île, dont le Vistal, mais ils pousseront plus loin les préoccupations de développement durable. «Nous voulons vraiment créer un concept de collectivité avec une vie de quartier riche. Nous travaillons sur les plans pour que les futurs résidants de la Pointe-Nord puissent combler tous leurs besoins à proximité, sans prendre leur voiture. D'ailleurs, tous les stationnements seront souterrains et le transport en commun est accessible et rapide pour se rendre au centre-ville de Montréal», affirme Samuel Gewurz, président de la Corporation Proment. Le quartier comptera aussi de nombreux espaces verts et, pour établir le plan directeur, les constructeurs travaillent avec le service d'urbanisme de l'arrondissement de Verdun. La Ville a d'ailleurs pris possession d'une bande de terre de 15 mètres qui longe le fleuve et fait le tour de l'île, pour y construire un réseau de pistes cyclables et pédestres. «Une grande partie de cette piste cyclable est construite, mais il nous reste un tronçon à réaliser cette année», indique Gilles Baril, directeur de l'arrondissement de Verdun. Et ajoute Louis-Joseph Papineau: «La piste cyclable de la Pointe-Nord rejoindra celle qui fait le tour de l'Île-des-Soeurs et qui est reliée à la Route verte.» Plus de parcs Les discussions se poursuivent entre la Corporation Proment et l'arrondissement de Verdun, car celui-ci souhaite construire trois autres parcs qui, dans un désir d'intégration, seraient attenants au parc linéaire riverain. La volonté de donner accès à l'eau est aussi présente. «Que ce soit à Montréal ou à l'Île-des-Soeurs, il y a très peu d'accès directs au fleuve. Il n'y a pas assez d'eau pour qu'on puisse construire une marina à la Pointe-Nord, mais on veut tout de même construire un quai pour que les gens puissent pêcher, par exemple, et mettre à l'eau un kayak ou d'autres petites embarcations», ajoute M. Papineau. Après avoir consulté quelques architectes canadiens et américains pour maximiser le potentiel du site de la Pointe-Nord, la Corporation Proment en raffine actuellement les détails avec l'aide d'architectes et d'urbanistes locaux. Le projet est encore en évolution mais, si tout va comme prévu, la prévente de la première phase devrait commencer à l'automne et la première pelletée de terre est prévue en 2010. Fiche technique Pointe-Nord - première phase - Type d'unités: lofts - Nombre d'unités: 165 - Superficie des unités: de 550 à 1000 pi2 - Nombre d'étages: 6 ou 7 - Prix: de 200 000 $ à 300 000 $ - Différents commerces au rez-de-chaussée - La première phase comprendra aussi une dizaine de maisons de ville - Tous les stationnements seront souterrains - Transport en commun à proximité - Piste cyclable reliée à la Route verte - Vue sur le fleuve Saint-Laurent et la ville de Montréal
  6. Situé à l'intersection des rues Hochelaga et Fletcher, ce projet est composé de 3 phases distinctes. Les deux premières phases sont complétées mais les travaux de la troisième phase ne sont pas encore commencés. Les unités de la troisième phase sont encore en vente. Photos en date du 10 décembre 2013 La troisième phase: La première phase complétée: La deuxième phase complétée: Le terrain longeant la rue Hochelaga qui accueillera la troisième phase:
  7. IluvMTL

    C2-mtl 2013

    http://www.cyberpresse.ca/arts/musique/201204/29/01-4520144-moby-jouera-dans-griffintown.php Publié le 30 avril 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Moby jouera dans Griffintown Moby se produira comme DJ à l'événement de clôture de la conférence sur le commerce et la créativité C2-MTL. PHOTO: ANDRÉ TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE André Duchesne La Presse Le célèbre DJ new-yorkais et star de la musique électronique Moby sera la vedette principale de l'événement de clôture de C2-MTL, conférence mondiale sur le commerce et la créativité qui rassemblera 1200 participants à Montréal, a appris La Presse. Du 22 au 25 mai, dans l'ancien édifice New City Gas dans Griffintown, cet événement ambitieux et nouveau genre fera converger des conférenciers très prestigieux vers Montréal. À ce jour, la liste des invités comprend le cinéaste Francis Ford Coppola; la rédactrice en chef et fondatrice du Huffington Post, Arianna Huffington; l'ancien PDG de Disney Michael Eisner; le chef de la direction financière de Google, le Québécois Patrick Pichette; le PDG du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre; le directeur de la création chez DreamWorks, Bill Damaschke, etc. «Nous souhaitons faire de cette conférence un événement annuel, lance Benoit Berthiaume, producteur exécutif de C2-MTL. On veut que Montréal s'inscrive de cette façon dans une conversation mondiale avec les autres grandes métropoles de créativité. Nos participants sont des dirigeants d'affaires de haut niveau provenant de partout dans le monde.» Pour M. Berthiaume, Moby, qui sera à Montréal à titre de DJ, représente parfaitement l'esprit et le contenu de la conférence. «C'est un artiste multidisciplinaire qui est reconnu pour son talent et son esprit créatif», souligne-t-il. Placée sous le thème de l'illumination - une référence directe à l'édifice où elle se tiendra -, la soirée du 24 mai se déclinera en trois segments. D'abord, la firme montréalaise Moment Factory proposera une expérience interactive ludique. Viendra ensuite une programmation musicale dont l'affiche reste à confirmer. Enfin, Moby, artiste aux 20 millions d'albums vendus dans le monde, montera sur scène. Si les activités de la conférence seront réservées aux participants inscrits, 500 billets grand public (à 65$ l'unité) seront mis en vente pour la soirée du 24. New City Gas Diminutif de «Commerce + Créativité Montréal», C2-MTL est un organisme sans but lucratif imaginé par l'agence créative Sid Lee. L'organisme a la volonté de réinventer la conférence, indique Geneviève Hinse, attachée de presse. Signe de ce côté hip, la conférence aura lieu dans l'ancien bâtiment New City Gas, rue Ottawa, dans Griffintown. Cette ancienne usine à gaz a récemment été achetée par un entrepreneur qui est en train de la rénover de fond en comble pour en faire un centre de congrès underground. De très importants travaux sont en cours, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du bâtiment en prévision de C2-MTL qui sera le premier événement à s'y tenir. Une partie du terrain extérieur accueillera un village interactif. Au total, l'exposition occupera un espace de 75 000 pieds carrés sur deux quadrilatères urbains.
  8. Publié le 19 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Carte blanche aux créateurs Programmation comprenant des logements, dont un minimum de 30% de logement social, dans les parties protégées des nuisances du périphérique et qui prévoit la reconstitution des fonctionnalités du parc de stationnement et de la gare routière existantes sur le terrain « Pershing ». Concepteur : Sou Fujimito, architecte / Manal Rachdi, Oxo Architectes / Moz Paysage / Atelier Paur Arène, paysagiste / Pierre-Alexandre Risser Horticulture; Jardins, paysagiste. Photo fournie par la mairie de Paris (http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/francois-cardinal/201703/18/01-5080053-carte-blanche-aux-createurs.php#wcm:article:5080053) François Cardinal (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Fran%C3%A7ois+Cardinal) La Presse La toute première décision comme ministre de l'Aménagement et de l'Architecture ? Spontanément, la priorité irait au diktat du plus bas soumissionnaire. À son abolition, en fait, tant cette règle fait des dégâts au Québec. Il est franchement absurde qu'encore aujourd'hui, une loi force les élus à choisir le projet le moins cher plutôt que le meilleur ! Mais comme première, première décision ? Le ministre pourrait faire rêver davantage, non ? Il pourrait élever la qualité de l'architecture plutôt que d'éliminer simplement les obstacles. Pourquoi ne pas donner carte blanche aux créateurs ? Pourquoi ne pas s'associer à Québec et Montréal, cibler une demi-douzaine de terrains publics, puis lancer un concours international : les projets les plus fous, les plus originaux, les plus innovants remporteraient... un permis de construction ! L'idée peut sembler farfelue, mais c'est très précisément ce que vient de faire la Ville de Paris. Avec des résultats époustouflants ! En accédant à la mairie en 2014, Anne Hidalgo a en effet lancé « l'initiative un peu folle » Réinventer Paris. Une manière révolutionnaire de céder les terrains qui appartiennent à la ville, surtout les plus ingrats. Une vingtaine de sites aux quatre coins de Paris ont ainsi été mis en compétition : gare, friches industrielles, hôtels particuliers, terrains vagues et même un transformateur électrique. Un appel de projets a alors été lancé aux promoteurs et architectes avec une seule règle : pas de tour. « Ils ont été attirés par l'idée de la carte blanche : pour une fois, nous n'imposions aucun programme et leur laissions proposer les idées et innovations les plus originales », explique Jean-Louis Missika, adjoint à la mairesse, chargé de l'urbanisme (voir entrevue). Et la qualité des projets a surpris la Ville, autant que leur nombre : 650 dossiers officiellement déposés avec offre d'achat formelle par autant d'équipes d'investisseurs réunissant des architectes, des paysagistes, des designers, mais aussi des penseurs, des agronomes et des artistes. Et rien d'utopique dans les projets, car l'objectif était de les construire « à court terme ». Les 22 gagnants ont ainsi été choisis l'an dernier, 10 dossiers sont déjà passés devant le conseil municipal et trois permis de construire ont été délivrés. La majeure partie des projets, promet-on, verra le jour d'ici 2020. Paris ne s'est donc pas contentée de susciter la création urbaine, elle l'a réinventée... en même temps qu'elle a réinventé la ville. Parmi les lauréats, on retrouve de tout. Un écoquartier suspendu au-dessus d'une autoroute. Une station électrique transformée en cinéma. Des bains-douches réaménagés en ateliers d'artistes. Un entrepôt de voirie devenue funérarium. « Paris, s'est exclamé Le Soir, n'avait pas connu pareil bouillonnement de projets urbains depuis le Second Empire. » Depuis, en fait, que Napoléon a chargé le baron Haussmann de percer de larges avenues dans la ville. Le concours est ainsi devenu un véritable laboratoire d'idées, sans même que cela coûte un sou à la municipalité (elle aurait au moins pu rémunérer les professionnels, mais bon...). Au contraire, même, grâce à la vente des terrains, les coffres de la Ville seront renfloués de centaines de millions d'euros. Réinventer Paris est ainsi devenu une opération financière intéressante. Mais c'est aussi devenu une nouvelle carte de visite pour la ville, une occasion en or pour les jeunes architectes d'émerger et, surtout, une opération de pédagogie auprès des Parisiens qui ont suivi le concours de près et qui se sont déplacés nombreux pour visiter leur exposition au Pavillon de l'Arsenal (jusqu'au 8 mai, pour les intéressés). « Rarement, a concédé Le Monde, une compétition d'architecture aura suscité autant d'engouement en France. » Trop beau pour être vrai ? Trop beau pour Montréal et Québec ? Ce n'est pas l'avis de la mairie de Paris, qui est en discussion avec « un grand nombre de villes qui souhaitent s'inspirer de la démarche », en plus de mener de front de nouvelles initiatives du genre pour la grande région de Paris, le sous-sol parisien et même la Seine. « Montréal a la chance de disposer d'un vivier important de collectifs et porteurs de projets qui pourraient être intéressés par ce type de démarche, indique Jean-Louis Missika. Le classement de la métropole québécoise en tant que ville UNESC O de design incite à ouvrir la production urbaine à des équipes pluridisciplinaires. » À son avis, les appels à projets urbains innovants pourraient certainement servir d'inspiration aux professionnels de Montréal. « Mon conseil à M. Coderre serait de miser sur la jeune génération, pleine de ressources et d'idées nouvelles. » Prometteur, non ? Une bonne initiative pour lancer la carrière d'un ministre de l'Architecture fraîchement nommé.
  9. Émission du 15/18 de la Première Chaîne, mardi 17 janvier, en direct du Sommet de la PVM. Plein d'affaires sur le CV! Archives | Le 15-18 | ICI Radio-Canada Première De belles choses, de belles entrevues (j'ai appris, par exemple, que le portefeuille de locaux de bureaux d'Ivanhoé Cambridge est rempli à 90% en ce moment. Eh bien)
  10. Salut, c'est ma première publication sur le forum! J'en profite pour parler d'un projet de Côte-des-Neiges, mon quartier chéri. C'est un immeuble à condos de Mondev: Les Lofts Gatineau. Emplacement: Avenue Gatineau, entre Swail et Jean-Brillant, en face du parc Jean-Brillant, près de la station Côte-des-Neiges. Livraison: printemps 2017 89 unités
  11. http://journalmetro.com/actualites/montreal/966622/une-premiere-arcade-de-realite-virtuelle-bientot-a-montreal/ 24/05/2016 Mise à jour : 24 mai 2016 | 3:42 Une première arcade de réalité virtuelle bientôt à Montréal Par Mathias Marchal Métro Montréal pourrait disposer dès cet été de la première arcade de réalité virtuelle en déplacement libre au Canada. C’est ce dont rêve Yan Cyr, directeur du studio Beam Me Up, situé au Technohub, dans l’arrondissement de Saint-Laurent. «À ma connaissance, on est les seuls à concevoir des salles de réalité virtuelle où tu peux te déplacer librement sans être relié à un fil. Donc, ça améliore grandement l’expérience», affirme M. Cyr. Le studio, qui développe cette technologie depuis près de trois ans, travaille avec des spécialistes du jeu vidéo pour créer des expériences immersives en 3D, mais aussi avec des ingénieurs spécialistes des objets connectés. Un collaborateur d’Exium Réalité est aussi en train de mettre au point un gant tactile qui permettra d’ajouter le sens du toucher à l’expérience de réalité virtuelle ou augmentée de Beam Me Up. Si l’arcade dont rêve Beam Me Up ne dispose pas de millions en budget, comme aux États-Unis ou en Australie, son directeur pense qu’il a de quoi en intéresser plusieurs. «Avec toutes les expériences virtuelles qu’on a créées pour tester notre technologie, on pourrait imaginer un parcours dans les locaux du studio. Il y aurait le couloir de la peur, où on serait poursuivi par des gargouilles. On aboutirait ensuite dans l’Holodec actuel [une pièce munie de capteurs], où on jouerait une partie d’échecs à saveur Harry Potter, pour finalement aboutir dans la salle principale, où il faudrait piloter un avion en évitant les obstacles ou survivre à une attaque d’extra-terrestres», illustre l’ancien cofondateur d’Enzym Lab, une entreprise spécialisée dans les tests de jeux vidéo. Video Player Mais la réalité virtuelle va bien au-delà du jeu vidéo. Le studio montréalais développe des projets immersifs avec deux musées montréalais et collabore avec l’arrondissement dans le cadre de la réfection du parc à la sortie de la station de métro Côte-Vertu. «La visualisation du futur parc ou de tout autre projet d’urbanisme peut se faire dans nos salles immersives; ça aide les décideurs publics à voir l’impact des différentes options de réaménagement qui s’offrent à eux afin qu’ils prennent les meilleures décisions», soutient Yan Cyr. L’autre gros marché qui s’ouvre au studio est celui des projets immobiliers. «Avec la réalité virtuelle en déplacement libre, tu peux entrer dans les plans 3D de ton futur appartement avant même qu’il ne soit construit. C’est quand même mieux que de le voir sur une maquette en carton», lance Yan Cyr. Effectivement, en se baladant virtuellement sur la terrasse d’un immeuble, on s’est accidentellement retrouvé sur la corniche au-dessus du vide. Et même si les images sont faites par ordinateur, on était littéralement pétrifié. Il a fallu plusieurs secondes avant qu’on arrive à mettre un pied de côté pour sortir de cette fâcheuse posture. La réalité virtuelle, c’est assez puissant. Pas étonnant alors que la technologie serve à traiter les soldats victimes de stress post-traumatiques, les joueurs compulsifs ou les victimes de phobies. C’est aussi une voie qu’explore Beam Me Up, qui a obtenu une bourse fédérale pour s’assurer la collaboration de six chercheurs en neurosciences et en intelligence artificielle. Pendant deux ans, ils étudieront les données cérébrales des utilisateurs de réalité virtuelle pour optimiser l’expérience. Où les rencontrer? Dans le cadre des activités du Printemps numérique, le studio sera présent : Au marché de la réalité virtuelle de Montréal, le 1er juin Au symposium iX, le 3 juin à la SAT Au festival Eureka, dans le Vieux-Port, du 10 au 12 juin La stratup américaine The VOID VR travaille elle aussi avec Sony Pictures sur la création de centres d’amusement de réalité virtuelle particulièrement élaborés, si l’on se fie à cette vidéo. À Melbourne, en Australie, une telle salle existe déjà, créée par Zero Latency VR
  12. l'Harmony of the Sea sort aujourd'hui pour la première fois des chantiers de Saint Nazaire, France. Apres seulement 40 mois de construction et vendu au croisiériste Américain royal Carribean pour 900 millions d'Euros. La Bête mesure 362 mètres (plus long que la tour Eiffel) et un tonnage de 227000 Il pourra accueillir 8500 passagers, personnel de bord inclus.
  13. http://journalmetro.com/dossiers/galeries-de-photos/911031/le-lancer-du-sapin-une-competition-epineuse/ 30/01/2016 Mise à jour : 30 janvier 2016 | 19:54 En photos: Le lancer du sapin, une compétition épineuse! Par Rédaction Métro C’est samedi après-midi à la Place Jacques-Cartier qu’a eu lieu la première compétition panaméricaine de lancer du sapin. Présenté par Igloofest et Sapin MTL en collaboration avec la Société de développement commercial du Vieux-Montréal, l’événement est inspiré d’une vieille tradition allemande. Pour cette première édition, la compétition a opposé quelques dizaines de participants. Les profits iront au programme 375 000 arbres du Jour de la Terre Québec, qui a pour objectif de planter 375 000 arbres dans la région de Montréal pour son 375e anniversaire.
  14. http://journalmetro.com/actualites/economie/864874/start-ups-montreal-20eme-ville-du-monde-la-plus-active/ Mise à jour : 28 octobre 2015 | 20:25 Start-ups: Montréal, 20e ville du monde la plus active Par Mathias Marchal Métro Métro Selon certains analystes, les entrepreneurs de la nouvelle économie devraient prendre plus de temps pour faire croître leur entreprise avant de la revendre. Pour la première fois cette année, Montréal figure au classement des 20 meilleurs écosystèmes de start-ups (entreprises en démarrage) dans le monde. Les organisateurs de la journée Portes ouvertes start-ups auront une raison de plus de se réjouir. Entrevue avec Kara Sheppard-Jones, l’organisatrice de l’événement qui se tient jeudi. Combien y a-t-il de start-ups à Montréal et quelle est la qualité de l’écosystème? Il y a plus de 200 start-ups à Montréal et ce chiffre augmente drastiquement si l’on compte les petites entreprises de deux employés, qui n’ont pas encore de bureau et qui en sont à leur première année. Le nombre de sociétés d’investissement en capital-risque (venture capital), d’opportunités de mentorat, et de support académique pour l’entrepreneuriat ont grandi de manière importante depuis les dernières années, contribuant ainsi à hausser la qualité des start-ups montréalaises et à garder les talents montréalais au sein de la métropole. On note aussi que le taux d’échec des star-tups tend à diminuer. Il est actuellement d’un peu plus de 10% dans la première année. Comment mesurer si Montréal se positionne bien sur la planète start-ups? Montréal a accédé pour la première fois cette année au classement Compass des 20 meilleurs écosystèmes start-ups dans le monde, se classant au 20e rang, non loin de Toronto et Vancouver qui figurent désormais aux 17e et 18e rang. Les critères les plus importants sont le financement, le talent, la taille et la valeur de l’écosystème. [NDLR: ce classement ne comprend pas de villes du Japon, de Chine de Taiwan ou de Corée du Sud]. Quels seront les moments forts de la journée Portes ouvertes Start-ups? Près de 150 start-ups montréalaises ouvriront leurs portes. C’est un événement condensé de trois heures de 16h à 19h qui sera intense en soi! Les moments forts de la soirée seront, entre autres, le lancement de nos parcours thématiques, une innovation cette année, ainsi que l’after-party à l’atelier de Dix2.
  15. Flo j'ai pris la liberté de créer un lien dans la section technologie urbaine avec ce fil, car je crois que c'est une trouvaille extraordinaire qui ne doit pas passer inaperçue. http://mtlurb.com/forums/showthread.php/23547-Quand-la-route-devient-centrale-photovolta%C3%AFque-une-premi%C3%A8re-mondiale-fran%C3%A7aise?p=236164#post236164 et un autre lien qui vient de la même source avec une petite vidéo http://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/021398624191-colas-lance-la-route-photovoltaique-une-premiere-mondiale-1165007.php#
  16. Combien de ces 20 faits sur Montréal saviez-vous déjà ? Recouverte en 1832, la Petite Rivière St-Pierre sort de terre seulement nous rappeler qu’elle existe encore coupant en deux le terrain de Golf Meadowbrook de Côte-St-Luc. Nous sommes sur une île, vous le saviez ça, mais saviez-vous que Montréal est la plus grande île de l’Archipel d’Hochelaga qui en compte environ 325? Montréal est la ville soeur de 21 autres villes internationales dont Hiroshima, Amsterdam, Lyon et Milan. La plus longue rue de l’île est le Boulevard Gouin qui longe la rive nord mesure 50km. L’Hôtel Reine-Élizabeth se devait de nourrir votre cheval gratuitement si vous y louiez une chambre pour la nuit. Cette loi n’a été renversée qu’en 1998. Notre Mont-Royal, partie des Collines Montérégiennes, a trois sommets, Le sommet du Mont-Royal (234m), le Sommet D’Outremont (211m) et la Colline Westmount (201m). À sa dernière expansion en 1933, l’Édifice Sun Life sur Metcalfe était le plus grand building de tout l’Empire Britannique. Il fut le plus grand édifice de Montréal jusqu’à la construction de la Place Ville-Marie. Parlant de la Place Ville-Marie, le gyrophare tout en haut prend 28 secondes pour faire un tour complet et s’éteint à minuit-trente à chaque nuit. Le gyrophare est la propriété de la Banque Royale du Canada. Mettons fin à un mythe ici, les « Tours Eiffel » qui couronne le Pont Jacques-Cartier ne sont pas un cadeau de la France et leur similitude n’est qu’une coïncidence. Fin d’un autre mythe. Même si à la base le Mont-Royal à un coeur fait de magma solidifié nommé gabbro, le Mont-Royal n’est pas un volcan. Les cimetières de Montréal comptent 12 des 1514 victimes du Titanic La Station de Métro St-Michel n’est techniquement pas encore terminé et est la seule station qui ne peut pas recevoir une rame complète de neuf voitures. Puisque nous parlons de transport en commun. La ligne d’autobus avec le plus grand achalandage est la ligne 121 Sauvé/Côte-Vertu avec en moyenne 37 000 passagers du lundi au vendredi. La première voiture de Montréal arriva dans nos rues le 21 novembre 1889 et elle était la propriété de M. Dandurand. Dans le même ordre d’idée, la première victime d’un accident automobile fut Antoine Toutant frappé en traversant la rue le 11 août 1906. Montréal a plusieurs sièges sociaux, dont celui d’un des sites web le plus visité sur le web, Brazzers (et ne faites pas semblant que vous ne savez pas de quoi je parle). Montréal fût la capitale fédérale de 1844 à 1849. Il tombe sur notre belle ville en moyenne 764mm de pluie et 217cm de neige annuellement. Montréal est au 1er rang nord-américain pour le nombre d’étudiants universitaires par habitant devant Boston. La Basilique-Cathédrale Marie-Reine-du-Monde, sur la rue De la Cathédrale est une copie réduite de la Basilique St-Pierre du Vatican. Et finalement, en restant du côté religieux de la métropole. Il y a 152 rues qui portent le nom de « Saint- » ou « Sainte- Écrit pour mon blogue mais partager sans frais avec MTLurb.
  17. Get a look at THIS http://www.bitrebels.com/design/the-worlds-first-vertical-forest-an-architectural-beauty/ C'est à Milan.
  18. nouvelle phase mise en vente dans le quartier angrignon a Lasalle. Il y a une photo du projet sur la première page du site internet http://www.opuscondos.com/
  19. La SAQ, avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal, prévoient la construction d'une nouvelle succursale sur une partie du terrain de stationnement proche de la bâtisse de Première Moisson.
  20. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2014/03/17/002-2013-annee-record-pour-le-beaux-arts-demontreal.shtml
  21. Via Les Affaires : L'incubateur Founder Institute s'établit à Montréal Offert par Les Affaires Publié à 06:00 Édition du 08 Février 2014 PAR JULIEN BRAULT Le Founder Institute accueillera sa première cohorte d'entrepreneurs à Montréal le 29 avril prochain. Fondé dans la Silicon Valley en 2009, l'incubateur est déjà implanté dans quelque 70 villes, mais Montréal représentera sa première incursion au Canada. Son ambition ? Amener des employés à créer des entreprises qui dureront. «Mon but est d'inverser le taux d'échec des start-ups, dont 90 % ferment leurs portes avant d'avoir atteint 24 mois», explique Adeo Ressi, pdg du Founder Institute. L'incubateur affiche des résultats qui semblent probants. Des 1 034 entreprises issues de l'incubateur, 89 % seraient toujours actives. Dans chaque ville où s'implante le Founder Institute, des directeurs locaux s'occupent de mettre en place le programme. À Montréal, c'est Sergio Escobar, organisateur de Startup Weekend à Montréal, et Louis-Philippe Maurice, pdg de Busbud, qui font office de codirecteurs. Contrairement aux incubateurs comme FounderFuel, le Founder Institute n'investit pas dans les entreprises qu'il incube. En fait, il faut débourser 750 $ pour y être admis à Montréal, en plus de céder 3,5 % des parts de toute entreprise créée durant le programme. Ces parts sont ensuite partagées entre le Founder Institute et les mentors. D'une durée de quatre mois, le programme requiert des poulains un investissement en temps d'au moins 15 heures par semaine, mais leur permet de garder leur emploi. «Le but est d'attirer des jeunes professionnels qui ont peut-être une idée, mais qui ne savent pas quel chemin emprunter pour la concrétiser», explique Louis-Philippe Maurice. Conseils d'entrepreneurs à succès L'incubateur, qui accepte les candidats individuellement, favorise ainsi la formation d'équipes, mais surtout, il permet à ses participants de bénéficier des conseils d'entrepreneurs à succès. Hicham Ratnani, cofondateur de Frank & Oak, Ian Jeffrey, directeur général de FounderFuel, Martin-Luc Archambault, pdg de Wajam et Alexandre Taillefer, associé principal de XPND Capital, seront du nombre. «Ce programme permet aux entrepreneurs d'éviter de faire des erreurs ; si on en avait fait partie, on aurait pu aboutir plus vite», soutient Hicham Ratnani, de Frank & Oak. Le Founder Institute n'est pas aussi sélectif qu'un incubateur traditionnel, mais n'y est pas admis qui veut. Le processus d'admission repose en grande partie sur un test de personnalité en ligne, qui permettrait de retenir les candidats ayant ce qu'il faut pour devenir des entrepreneurs à succès. Un second tri est effectué durant le programme. En règle générale, entre 20 et 30 % des participants partent en cours de route. Un devoir non rendu ou une absence peuvent entraîner l'exclusion. «C'est dans le contrat de chaque participant», explique Sergio Escobar, codirecteur du Founder Institute à Montréal. Ceux qui souhaitent faire partie de la première cohorte montréalaise de l'incubateur ont jusqu'à la mi-avril pour poser leur candidature. Entre 20 et 25 participants devraient être retenus.
  22. La revue Le moniteur du commerce international (lemoci.com) offre ce mois-ci un dossier spécial sur les affaires au Québec. On y retrouve entre autres une entrevue avec Pauline Marois, première ministre du Québec, sur les forces économique de la province et sur les nouvelles opportunités d’investissement en marge de l’Accord de libre-échange avec l’Europe. http://www.montrealinternational.com/wp-content/uploads/2014/01/MOCI-DossierQuebec.pdf
  23. Une société espagnole obtient d'importants avantages pour s'implanter au Québec Publié le 22 janvier 2014 à 13h31 Comblée par de l'électricité au rabais et un congé fiscal de dix ans, la société espagnole FerroAtlàntica va s'implanter au Québec. À l'occasion du Forum économique mondial de Davos, le premier producteur mondial de silicium métal a annoncé mercredi un investissement de 375 millions de dollars au Québec et la création de plus de 300 emplois. Le site de la future usine n'est pas encore choisi, mais la construction est prévue «dans les prochains mois» et le début des activités est fixé à la fin de l'année 2016. Le silicium métallurgique est une composante d'alliage destinée entre autres à l'industrie automobile, à la production de silicone, de béton haute performance et de panneaux solaires. Avec le quartz, des résidus forestiers pourront être utilisés pour la transformation des matières premières en silicium métal. L'entreprise espagnole est la première société à profiter des mesures incitatives que comporte la politique économique «Priorité emploi» présentée l'automne dernier par la première ministre Pauline Marois et le ministre des Finances Nicolas Marceau. FerroAtlàntica aura donc droit à un congé de taxes d'une durée de dix ans et à un rabais d'un cent du tarif L d'électricité consenti aux grandes entreprises (4,4 cents le kilowattheure). Investissement Québec souhaite prendre une participation de cinq à dix pour cent dans le projet, ce qui représente un montant oscillant entre 20 millions et 30 millions de dollars. Des conditions «très favorables», a convenu le directeur général de FerroAtlàntica, Pedro Larrea, en point de presse. «L'avenir de FerroAtlàntica aujourd'hui se trouve au Québec, a lancé M. Larrea. Nous avons trouvé de la compréhension pour nos problèmes et des solutions à nos problèmes, des solutions pour l'électricité (et) des solutions financières.» La création de 300 emplois est un baume pour Mme Marois qui a été rattrapée à Davos par les difficultés de Bombardier. Le géant de l'aéronautique a annoncé mardi le licenciement de 1700 employés, dont 1100 au Canada, notamment aux installations de Montréal et Mirabel. La première ministre a dit être «très désolée» pour les travailleurs mis à pied, mais s'est montrée optimiste pour l'avenir. «Je suis confiante pour la suite des choses. Bombardier est une très grande entreprise. Ils ont eu dans le passé certaines difficultés, ils ont toujours respecté leurs engagements», a-t-elle souligné. Conséquence du contexte économique, Bombardier accuse une diminution de son carnet de commandes pour les avions d'affaires. En outre, l'entrée en service de ses appareils CSeries a été reportée à la deuxième moitié de 2015. Un tel ralentissement n'est pas inédit dans l'industrie de l'aéronautique, a fait valoir Mme Marois, rappelant que les constructeurs Embraer et Airbus avaient aussi été confrontés à des délais dans la mise en service de nouveaux appareils. Quant aux travailleurs licenciés, le gouvernement du Québec fera tout ce qu'il peut avec les programmes existants pour les accompagner «s'il y a lieu», a indiqué Mme Marois. http://affaires.lapresse.ca/dossiers/forum-economique-de-davos/201401/22/01-4731350-une-societe-espagnole-obtient-dimportants-avantages-pour-simplanter-au-quebec.php
  24. Après Porto Alegre, Montréal. La métropole québécoise sera le rendez-vous de dizaines de milliers d'altermondialistes en août 2016, pour le Forum social mondial. Ainsi en a décidé le Conseil international de cette instance, qui s'est tenu à la mi-décembre à Casablanca, au Maroc. Selon le communiqué publié ce matin, Montréal a été choisi pour «son ouverture au monde, sa richesse interculturelle, le dynamisme de sa jeunesse, son caractère bilingue, son accessibilité aux personnes à mobilité réduite et ses infrastructures de communication et d'accueil». C'est la première fois, précise-t-on, que ce forum se tiendra dans l'hémisphère nord. Depuis 2001, le Forum social s'est tenu à Porto Alegre à quatre occasions, à Mumbai, à Nairobi, à Belem, à Dakar et à Tunis. La première édition avait attiré quelque 20 000 militants. Au fil des ans, la participation a atteint quelque 150 000 personnes. Certains observateurs rapportent cependant un certain essoufflement du mouvement. L'objectif de cette messe annuelle du mouvement altermondialiste, née en réaction au Forum économique mondial qui se tient à Davos, est «de créer des espaces qui renforcent la participation citoyenne, la démocratie et vise la construction d'un monde plus juste, durable et solidaire». Les participants y jouent un rôle plus actif que dans des congrès plus classiques : on y préfère la tenue d'ateliers à la présentation de conférences. «Qualité» et «originalité» D'autres événements altermondialistes sont prévus en août 2014, notamment le Forum social des peuples qui se tiendra du 21 au 24 août à Ottawa. La décision de confier à Montréal l'accueil de l'édition 2016 du Forum social mondial est attribuée au «Collectif Vers un Forum Social Mondial (FSM) au Québec, constitué de personnes oeuvrant au sein de différentes organisations québécoises, de professionnels de l'organisation d'évènements, d'artistes, d'universitaires et de citoyens engagés», qui en a fait la promotion depuis mai dernier. «La qualité et l'originalité de la candidature défendue par une délégation composée de trois membres auront permis de convaincre le Conseil international de sa pertinence», indique-t-on dans le communiqué. Aucun porte-parole de l'organisme n'était disponible aujourd'hui pour commenter la nouvelle. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201312/19/01-4722517-montreal-sur-les-traces-de-porto-alegre.php
  25. http://fondationguidomolinari.org/ INFOLETTRE LIENS UTILES CONTACT - HORAIRES - ACCÈS ENGLISH ACCUEIL LA FONDATION L’ARTISTE ET SON ŒUVRE ACTIVITÉS [TABLE=width: 866] <tbody style="background-color: transparent; border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">[TR] [TD][h=2]La Fondation[/h]La Fondation Guido Molinari est ouverte du jeudi au dimanche de 13h à 17h et les jeudis jusqu’à 20h. Entrée libre. Elle résulte d’un geste généreux de l’artiste, destiné à valoriser et perpétuer son travail de création, en installant notamment, dans son dernier studio situé dans une ancienne banque du quartier Hochelaga- Maisonneuve, un centre d’exposition, de documentation, de conférence, de diffusion et de création, susceptible d’encourager aussi le cas échéant de jeunes artistes émergents…. Lire la suite > [/TD] [TD][h=2]L’artiste et son œuvre[/h]Guido Molinari est né en 1933 à Montréal où il ne suit que quelques cours à l’École des beaux-arts et à l’École du Musée des beaux-arts, entre 1948 et 1951. En 1953, il présente sa première exposition particulière à L’Échourie et, trois ans plus tard, il expose aux États-Unis pour la première fois. Très tôt, cet autodidacte est considéré comme le maître de la peinture abstraite au Canada…. Lire la suite > [/TD] [TD][h=2]Activités[/h][h=3]EN COURS[/h]Molinari en deux temps : Tableaux 1964- 1968 et oeuvres sur papier 1953-1957. Notre exposition d’ouverture réunit deux corpus d’œuvres, séparés par une dizaine d’années. À première vue, on dirait de la musique de chambre, à l’étage, et de la musique symphonique, au rez-de-chaussée. Ou encore des créations de jeunesse à côté d’une production de maturité. C’est un peu vrai, encore que… Lire la suite > [h=3]À VENIR[/h]La Fondation Guido Molinari travaille sur sa programmation annuelle. Lire la suite > [h=3]PASSÉES[/h]La Fondation Guido Molinari a présenté Les années Moli de Marc Séguin en mai-juin 2013. Une exposition réunissant des travaux réalisés entre 1996 et 1998, soit à l’époque où le jeune artiste travaillait dans un espace, rue Chapleau, mis à sa disposition par Molinari qui était son professeur, et un peu son complice. Lire la suite > Abonnez-vous à notre infolettre [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
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