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  1. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/476392/immobilier-l-ontario-pourrait-taxer-les-achats-faits-par-des-etrangers Immobilier: l’Ontario pourrait taxer les achats faits par des étrangers 27 juillet 2016 |François Desjardins | Actualités économiques La Colombie-Britannique veut réduire la pression sur les prix de l’immobilier en taxant notamment les achats faits par des étrangers. L’Ontario, également aux prises avec une surchauffe immobilière, pourrait s’inspirer de la province de l’Ouest. La taxe sur les transactions immobilières bouclées par des étrangers en Colombie-Britannique pourrait un jour en inspirer d’autres à l’imposer, notamment l’Ontario, dont le ministre des Finances a reconnu mardi qu’il étudie de très près cette possibilité. Québec n’a pas envisagé cette avenue. Alors que les prix de l’immobilier du Grand Montréal ont augmenté de 1,9 % sur un an et de 9,3 % sur cinq ans, selon les données de l’industrie canadienne, la situation à Toronto et à Vancouver continue de préoccuper. Dans le premier cas, les prix ont bondi de 16 % et de 51 % sur les mêmes périodes. Dans le deuxième, les hausses sont de 32 % et de 50,5 %. À Vancouver, le prix moyen d’une maison unifamiliale est maintenant de 1,77 million, deux fois plus qu’à Toronto, selon les informations publiées il y a deux semaines par les chambres immobilières de ces villes. Pour tenter de contrôler la situation, qui complique grandement l’accessibilité à la propriété pour les premiers acheteurs, la Colombie-Britannique veut imposer aux étrangers une taxe de 15 % sur le prix d’achat d’une résidence dans la région de Vancouver. Cette mesure extrêmement ciblée s’ajoute à un resserrement général des règles dicté par Ottawa depuis quelques années. « Je salue ce que le ministre de Jong a mis en avant », a dit en conférence de presse le ministre des Finances de l’Ontario, Charles Sousa. « Nous étudions certainement toutes les options. » À Québec, ce genre de scénario n’a « pas été envisagé, considérant que nous ne sommes pas dans le même contexte », a indiqué au Devoir l’attachée de presse du ministre délégué aux Finances, Catherine Poulin. L’annonce faite par la Colombie-Britannique a suscité mardi beaucoup de réactions de la part d’analystes. Le geste pourrait avoir comme conséquence d’exercer une forte pression à la hausse sur les prix torontois, car les étrangers seront portés à regarder ailleurs que le marché de Vancouver, a estimé la Banque TD. « Compte tenu d’une part de marché des étrangers de 5 à 14 % [à Vancouver], notre modèle prévoit une baisse de 15 à 20 % du nombre de ventes au cours des trois prochains trimestres et d’une diminution de 5 % du prix moyen », ont écrit deux économistes de la TD, Michael Dolega et Diana Petramal, dans une note aux clients. Puisque la province surveille déjà de près les achats immobiliers faits par des étrangers, nous saurons d’ici le mois de septembre si la mesure fonctionne, a dit au Devoir John Andrew, professeur à l’Université Queen’s où il dirige la Real Estate Roundtable, qui réunit les acteurs de l’industrie pour échanger sur les pratiques immobilières. « Si vous êtes un investisseur de Hong Kong, verrez-vous le marché de Vancouver comme étant abordable, êtes-vous en train de sortir de l’argent de votre pays ? Qui sait quels sont les avantages fiscaux ? Qui sait d’où provient précisément l’argent ? se demande M. Andrew. Je crois que l’Ontario pourrait souhaiter faire la même chose, mais il n’y a pas tant d’activités étrangères à l’extérieur du créneau des condos. » Scénarios Mardi matin, l’organisme fédéral de surveillance de l’industrie financière a demandé à certaines institutions de simuler des chutes de prix de l’immobilier afin de mesurer leur résistance aux chocs. La demande ne vise pas les grandes banques, mais les autres institutions financières qui consentent des prêts hypothécaires. L’avis du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) les prie de simuler une descente de 50 % pour Vancouver, de 40 % pour Toronto et de 30 % pour le reste du pays, une exigence qui survient deux semaines après avoir insisté sur la prudence dans les prêts hypothécaires résidentiels. « La faiblesse persistante des taux d’intérêt, les taux records d’endettement des ménages et la hausse rapide du prix des logements dans certaines régions du pays (notamment dans les grandes régions de Vancouver et de Toronto) pourraient entraîner des pertes sur prêts considérables si les conditions économiques devaient se détériorer », a écrit le BSIF le 7 juillet. « Les institutions financières peuvent encourir des pertes découlant à la fois de la possibilité que les emprunteurs ne puissent rembourser leurs dettes et du déclin de la valeur des biens immobiliers résidentiels auxquels sont adossés les prêts hypothécaires », a ajouté le Bureau du surintendant.
  2. La SCHL limite les garanties sur les titres hypothécaires Publié le 06 août 2013 à 13h31 | Mis à jour le 06 août 2013 à 14h04 La Presse Canadienne OTTAWA Les Canadiens pourraient bientôt devoir payer davantage pour de nouveaux prêts immobiliers, alors que la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) a commencé à limiter les garanties offertes aux banques et autres organisations de prêts sur les titres hypothécaires. La SCHL a averti les banques, sociétés de crédit et autres prêteurs hypothécaires qu'ils seront tous restreints à un maximum de 350 millions de dollars en nouvelles garanties ce mois-ci en vertu de son Programme des titres hypothécaires LNH conforme aux dispositions de la Loi nationale sur l'habitation. Des analystes estiment que le plafond rendra l'obtention par les banques de fonds pour prêter à leurs clients plus ardue et plus dispendieuse, ce qui se traduira probablement par un bond des taux hypothécaires. La société de la Couronne a obtenu la latitude pour garantir jusqu'à 85 milliards de dollars cette année en vertu du programme - et environ 66 milliards avaient été engagés à la fin juillet, s'approchant du total de 76 milliards de dollars pour l'ensemble de 2012. La SCHL a fait état de cette augmentation «inattendue» des volumes, et des mesures prises, dans une note aux prêteurs, le 1er août. La conversion de prêts en titres soutenus par la SCHL est un moyen pour les prêteurs d'obtenir des fonds d'un large éventail d'investisseurs et pour les banques d'émettre plus de prêts à de moindres coûts. Mais le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a déjà exprimé des craintes d'une surchauffe du secteur immobilier qui pourrait contaminer l'économie, et il a pris plusieurs mesures ces dernières années pour contenir le flux de crédits hypothécaires. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201308/06/01-4677490-la-schl-limite-les-garanties-sur-les-titres-hypothecaires.php ----------------- Une immense nouvelle que personne ici n'as rapporté... un excellent "move" pour gérer le risque relié à un éventuel crash immobilier.
  3. Une belle occasion de veloppement manquee par la Banque Nationale... La Scotia achète ING Direct pour 3,1 G$ La Presse Canadienne . les affaires.com . 29-08-2012 (modifié le 29-08-2012 à 16:45) La Banque Scotia (TSX:BNS) a conclu une entente pour acheter la Banque ING du Canada de la société-mère néerlandaise Groupe ING pour 3,13 milliards $ en espèces. La transaction devrait se traduire par un investissement net de 1,9 milliard $ pour la Scotia, une fois déduction faite du capital excédentaire qui se trouve actuellement chez ING Direct. La Banque Scotia a également annoncé une offre publique de 29 millions d'actions ordinaires à 52 $ pour des revenus de 1,5 milliard $ afin de financer cette transaction. L'entente devra être approuvée par les autorités réglementaires. ING Groep NV peine à protéger sa santé financière dans la foulée de mauvais prêts et de marges fondantes. Comme plusieurs banques européennes, ING a dû vendre des actifs et se prévaloir de prêts d'urgence quand la crise budgétaire grecque a miné la confiance envers les institutions bancaires du continent, qui avaient déjà été matraquées par la récession. En février, ING a vendu les activités américaines d'ING Direct à Capital One pour 600 millions $ US. En 2010, le Groupe ING a vendu 400 propriétés industrielles canadiennes au Alberta Investment Management Corp et à KingSett Capital, leur consentant un rabais de 1,3 milliard $, quand la valeur de ce portefeuille s'est écroulée quatre ans après son acquisition.
  4. Un thread pour toutes les nouvelles dans le monde des affaires de Montréal. Est-ce que quelqu'un pourrait changer le titre du thread s.v.p. ? Une filiale de la Laurentienne achète Fiducie AGF 06 juin 2012 Une filiale de la Banque Laurentienne (T.LB), B2B Trust, et la Société de Gestion AGF (T.AGF.B) ont annoncé mercredi la conclusion d'une entente selon laquelle B2B Trust fera l'acquisition de la totalité d'AGF dans le cadre d'une transaction d'achat d'actions. B2B Trust fera l'acquisition de Fiducie AGF pour une contrepartie au comptant correspondant à la valeur comptable nette de la société au moment de la clôture, soit environ 242 millions de dollars. Fiducie AGF fournit actuellement des CPG, des dépôts à terme, des prêts investissements et des prêts hypothécaires garantis par l'entremise de 20 500 conseillers financiers et 1050 courtiers hypothécaires à la grandeur du pays. L'entente prévoit également le versement d'une contrepartie conditionnelle d'au plus 20 millions sur cinq ans si la qualité du crédit respecte certains critères. En outre, B2B Trust fera en sorte, immédiatement après la clôture, que Fiducie AGF rembourse la dette subordonnée due à la Société de Gestion AGF Limitée et rachète les actions privilégiées détenues par celle-ci, pour une contrepartie totalisant 173,5 millions. La transaction devrait se conclure en août 2012, sous réserve des avis et approbations réglementaires. À la date de clôture, les actifs de Fiducie AGF devraient s'élever à environ 3,8 milliards et comprendront essentiellement l'encaisse et des valeurs mobilières négociables de 700 millions, et des prêts de détail d'environ 3,1 milliards. L'intégration des activités, prévue pour 2013, devrait donner lieu à des charges non récurrentes de 30 millions à 35 millions. Il est prévu que, grâce cette transaction, le résultat net de la Banque augmente d'environ 28 à 30 millions annuellement à compter de 2014. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201206/06/01-4532218-une-filiale-de-la-laurentienne-achete-fiducie-agf.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2 La Caisse investit 100 millions dans la Banque Laurentienne La Caisse de dépôt et placement du Québec annonce un investissement de 100 millions de dollars en capital-actions dans la Banque Laurentienne. La Banque Laurentienne (T.LB) poursuivra ainsi sa croissance et renforcera sa présence sur les marchés à l'échelle du pays. «La Banque Laurentienne fait partie du paysage québécois depuis plus de 165 ans et a réussi à se tailler une place sur les marchés financiers canadiens, notamment en exploitant une filiale de distribution de services bancaires. Aujourd'hui, la Caisse devient partenaire de cette banque en croissance dont la performance des dernières années est gage d'un avenir prometteur et de rendements attrayants pour nos déposants», a indiqué Normand Provost, premier vice-président, Placements privés à la Caisse. «Nous sommes très heureux de pouvoir compter sur la participation de la Caisse de dépôt et placement du Québec comme actionnaire de la Banque Laurentienne», a indiqué Réjean Robitaille, président et chef de la direction de la Banque Laurentienne. La Banque Laurentienne exploite le troisième plus important réseau de succursales bancaires au Québec. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201206/06/01-4532231-la-caisse-investit-100-millions-dans-la-banque-laurentienne.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  5. Les Canadiens sont sortis indemnes de la crise des prêts hypothécaires à risque traversée par le voisin américain, mais aujourd'hui le niveau record d'endettement des ménages et la flambée des prix des appartements font surgir le spectre d'une bulle immobilière. "Bien que la situation du Canada soit différente de celle des Etats-Unis en 2006, la vague continue de construction d'appartements et les prix des maisons à des niveaux incompatibles avec la croissance des revenus des ménages soulèvent des questions...", notait cette semaine l'économiste en chef de la Banque de Montréal, Sherry Cooper. L'année 2006 avait marqué l'apogée de la bulle immobilière aux Etats-Unis, avant l'explosion de la crise des "subprimes". Les défauts de paiement de ces crédits hypothécaires, consentis à des emprunteurs peu solides, avaient provoqué les premières faillites de banques, enclenchant une crise mondiale. Depuis 2006, les prix des appartements et maisons ont progressé de 30% au Canada avec une pointe de 54% à Vancouver, métropole de la côte Pacifique où le prix moyen d'un appartement avoisine 780.000 dollars canadiens (590.000 euros), selon les données de l'Association canadienne des courtiers immobiliers. Les villes cosmopolites de Toronto et Vancouver sont les deux principales sources de préoccupations sur le marché immobilier canadien. Un pavillon dans un secteur recherché de Vancouver peut facilement dépasser le million de dollars, un appartement sans cachet à Toronto se négocie à un demi-million. "Défiant toute logique, le marché de l'immobilier résidentiel au Canada a surpassé les attentes en 2011", résumait récemment le plus grand courtier immobilier du pays RE/MAX. "Le secteur immobilier au Canada continue de caracoler en tête dans le groupe des pays développés", profitant de taux presque plancher, note la banque Scotia. Si les prix ont flambé, les propriétaires se sont endettés. Selon la Banque du Canada, l'endettement des ménages atteint actuellement un niveau record, à 153% du revenu disponible, un niveau flirtant avec celui des Etats-Unis lors de l'éclatement de la bulle immobilière. Et les prêts immobiliers représentent les deux-tiers de l'endettement total des ménages, selon la Société canadienne d'hypothèque et de logement (SCHL), premier assureur hypothécaire du pays. Une éventuelle hausse du taux directeur ou des pertes massives d'emplois, avec une économie mondiale atone, pourraient faire dévisser le secteur immobilier, les propriétaires les plus vulnérables devenant incapables d'assumer le service des hypothèques contractées sur des résidences achetées au prix fort. Dérive des crédits immobiliers? Les banques canadiennes proposent actuellement des taux hypothécaires concurrentiels à 2,99% sur fond d'un gel attendu jusqu'en 2013 du taux directeur de la banque centrale à 1%, ce qui facilite l'accès à la propriété malgré la flambée des prix. Dans des documents internes publiés cette semaine dans la presse, le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), le régulateur du secteur au Canada, s'inquiète du comportement "de plus en plus libéral" des grandes banques canadiennes qui concèdent des prêts hypothécaires à des particuliers sans que ces derniers aient à prouver leurs revenus. Certains prêts, accordés notamment aux travailleurs autonomes et immigrants récemment arrivés au Canada "présentent quelques similitudes avec les crédits +subprime+ sur le marché américain", indiquait le BSIF. "C'est un sujet d'inquiétude", a reconnu le ministre des Finances, Jim Flaherty. Dans la foulée de la crise des "subprime", Ottawa a resserré les conditions d'accès du crédit en ramenant de 40 ans à 30 la durée maximale d'une hypothèque, et en imposant une mise de fonds initiale de 5%. Et devant la crainte d'une contraction soudaine du secteur immobilier, des voix s'élèvent pour restreindre à nouveau les conditions d'accès à la propriété. http://fr.news.yahoo.com/flamb%C3%A9e-vertigineuse-prix-limmobilier-au-canada-160946377.html
  6. Et je déteste encore plus le Palais de justice. ************************ ************************ Source : guil3433 sur flickr
  7. Des prêts hypothécaires plus difficiles à obtenir? André Pratte Dans un article publié en manchette de son édition de samedi, le Globe and Mail révèle que les dirigeants des six plus grandes banques canadiennes pressent le gouvernement fédéral d’imposer des règles plus sévères pour l’obtention de prêts hypothécaires. Les banques sont apparemment inquiètes de voir les prix des maisons continuer d’augmenter au Canada et craignent que, lorsque les taux d’intérêts grimperont, plusieurs personnes soient incapables d’assumer leurs obligations. C’est une situation similaire qui a mené à la crise financière aux États-Unis. Les choses sont tout de même différentes ici puisque 75% des prêts hypothécaires sont assurés par une société de la Couronne, la Société canadienne d’hypothèque et de logement, i.e. par le gouvernement du Canada. Cela assure une certaine solidité au marché. Toutefois, les consommateurs faisant face à une saisie auraient du mal à rembourser leurs autres dettes (notamment celles des cartes de crédit), ce qui réduirait les profits des banques et freinerait l’économie. On ne sait pas dans quelle mesure le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, est sensible aux arguments des banquiers. Il doit notamment considérer le fait que tout resserrement des règles pourrait également avoir un impact néfaste sur la croissance économique, en plus de priver plusieurs Canadiens de la possibilité de réaliser leur rêve (pas très rentable au plan politique…). Néanmoins, les normes actuelles portent en elles des risques importants, me semble-t-il. On peut aujourd’hui acheter une maison en ne déposant que 5% du capital. Ça veut dire 10000$ pour une maison de 200000$! Quelqu’un qui ne peut mettre plus de 10000$ sur la table a-t-il vraiment les moyens d’acheter une maison de 200 000$? De plus, l’échéance du prêt peut aller jusqu’à 35 ans, ce qui veut dire que l’acheteur paie une somme considérable en intérêts. Les banquiers aimeraient que les nouvelles normes imposent un paiement comptant de 10% de la valeur de la maison et que l’échéance du prêt ne puisse être plus longue que 30 ans. Il s’agirait là, à mon avis, de mesures de prudence élémentaire.
  8. Salut tout le monde. Nous parlons souvent du manque de projets à Montréal. Je crois qu'il est temps que l'on commence à penser à développer Montréal nous-même, à passer à l'action. Je ne réside pas à Montréal pour le moment, mais je compte y avoir un pied à terrre et y vivre en partie. Je compte aussi y investir de façon importante à moyen et long terme. Je veux construire à Montréal, c'est un vieux rêve. Je ne suis sûrement pas le seul ici. Alors pourquoi pas s'offrir un fil sur la façon de mener avec succès la construction d'une tour à condos à Montréal. Je vous invite à apprendre avec moi comment le faire, virtuellement, sur ce fil. Venez partager vos connaissances, vos commentaires, les articles pertinents qui peuvent nous éclairer dans l'élaboration d'un projet de tour à condos. Quel terrain choisir? Combien d'argent faut-il avancer? Comment une tour est-elle financée? Quelle clientèle aller chercher? Je connais quelques personnes qui sont prèts, non, qui recherchent activement des projets au-dessus de $100 millions, pour lesquels ils sont prèts à investir chacun 10 pc. (ils sont sur la côte Ouest). Disons donc que nous avons accès à $150 millions, pour la forme. Amusons-nous à créer un projet à Montréal, du début à la fin. Qu'est-ce que vous en pensez? Alors, commençons par le commencement. Trouvons-nous un terrain. Quel terrain choisiriez-vous? Comment chercher et trouver un terrain vacant ou ayant une construction non-partrimoniale qui pourrait nous intéresser?
  9. C'est un sujet qui me passionne, je crée un fil pour partager des articles intéressants au lieu de créer plein de fils différents. Pas 1929, 1873! Le Devoir Antoine Robitaille Édition du jeudi 09 octobre 2008 Mots clés : Histoire, Crise financière, Crise économique, Économie, Québec (province), États-Unis (pays) La grave crise économique du XIXe siècle a plusieurs points en commun avec les problèmes de 2008 Photo: Agence Reuters Québec -- «Le moindre problème économique est tout de suite appelé une "crise", et une véritable crise est tout de suite comparée à LA crise, celle de 1929», notait le collègue Éric Desrosiers en début de semaine. C'est sans compter que, selon l'historien américain Scott Reynolds Nelson, le fameux krach n'est pas le meilleur parallèle historique pour la situation actuelle. Car 1929, c'est d'abord une affaire de surproduction, d'inventaires débordant, doublée d'un effondrement total des Bourses; le tout aggravé par l'incapacité de l'Allemagne à payer ses dettes de guerre, ce qui s'est répercuté sur les réserves d'or anglaises, explique Nelson dans The Real Great Depression, un texte disponible sur le site Chronicle for Higher Education (chronicle.com). Aucun facteur de ce type ne caractérise vraiment ce que nous vivons actuellement, dit-il. Les entreprises contemporaines exercent un contrôle serré de leur production; les problèmes boursiers font suite à des problèmes bancaires qui ont commencé à apparaître il y a un an. Et «il n'y a aucun problème international sérieux avec les réserves d'or, simplement parce que les prêts des banques n'ont plus de rapport avec celles-ci». En fait, la «Panique de 1873», comme on l'a appelée, aurait beaucoup plus de similitudes avec les perturbations actuelles. «Les similitudes avec ce qui se passe actuellement me bouleversent», écrit Nelson. Nos malheurs ressemblent à ce que sa «grand-mère de 96 ans appelle encore la vraie grande dépression», celle que ses propres grands-parents avaient eu à affronter, écrit cet universitaire du collège William & Mary en Virginie. Tout a commencé autour de 1870, en Europe, avec... des prêts hypothécaires très faciles à obtenir. Dans l'Empire austro-hongrois, en Prusse et en France, les empereurs avaient appuyé «une série de nouvelles institutions qui se sont mises à émettre des prêts hypothécaires dans les domaines de la construction municipale et résidentielle». Le secteur du bâtiment explose à Vienne, à Paris et à Berlin. La valeur des terrains croît rapidement et donne l'impression d'une pente de croissance pour toujours ascendante. «Les emprunteurs cupides accumulent les emprunts, se servant d'édifices non construits ou non achevés comme garanties», note Nelson. Mais les éléments fondamentaux de l'économie sont peu solides. Entre autres parce que l'«invasion commerciale américaine», comme on l'a appelée en Europe, se préparait à menacer la «European way of life» (selon l'expression rigolote de Nelson). Les producteurs de blé américains, par exemple, grâce à des innovations technologiques comme des élévateurs à grains, des trains et des navires géants, font chuter les prix. Au XIXe siècle, «les producteurs agricoles du Midwest», dit Scott Reynolds Nelson, sont un peu comme les Chinois de notre époque, eux qui fournissent les Wal-Mart. L'historien Jean-Claude Robert, de l'UQAM, trouve la thèse de Nelson intéressante mais s'inscrit toutefois en faux ici: «Les États-Unis, à l'époque, font chuter les prix en raison de leurs innovations technologiques et non, comme la Chine actuelle, parce qu'ils paient des petits salaires.» Toujours est-il qu'en 1871, l'Angleterre, principal importateur de l'époque, décide subitement de s'approvisionner en blé américain. La Russie et l'Europe centrale en pâtissent. Les prix de la farine, du colza et du boeuf en subissent des contrecoups. En mai 1873, c'est le krach en Europe centrale. Les mauvais prêts hypothécaires coulent les banques continentales. Les banques britanniques retiennent leur capital. Le prêt entre les banques devient prohibitif et la crise frappe les banques américaines à l'automne de 1873. Nelson raconte que «les compagnies ferroviaires tombent en premier» puisqu'elles avaient inventé... devinez quoi: «De nouveaux instruments financiers qui garantissaient des rendements constants, bien que peu de gens comprenaient exactement ce qui était garanti aux investisseurs en cas de problème.» En fait, rien, aucun actif. Le prix de ces bons s'effondre. Les compagnies contractent des prêts à court terme pour se financer, mais rapidement les taux explosent, ce qui en contraint plusieurs à la faillite. En septembre 1873, quand un grand financier du domaine ferroviaire, Jay Cooke, se déclara incapable de payer ses dettes, ce fut le krach dans les Bourses. «La panique dura pendant quatre ans aux États-Unis et pendant six ans en Europe», écrit Nelson. Conséquences au Québec Au Canada et au Québec, la crise de 1873 a eu plusieurs conséquences. «C'est la première vraie crise du capitalisme moderne», rappelle Jean-Claude Robert. La croissance économique du Québec en est affectée. Des Québécois immigrent aux États-Unis en masse, car malgré la crise, il y a des emplois dans les manufactures. En réaction, le gouvernement du Québec lance des projets de colonisation et accélère l'ouverture de paroisses (sorte de «plan Nord» de l'époque?). En 1879, le gouvernement fédéral adopte la Politique nationale, qui vise à hausser radicalement les tarifs douaniers pour les produits fabriqués au Canada. Aux yeux des historiens, cela contribue grandement à l'essor de la révolution industrielle au Canada, «notamment de Montréal», note Éric Bédard, de la Téluq. Aujourd'hui, c'est surtout aux États-Unis que le protectionnisme risque de faire un retour en force. Déjà, note Jean-Claude Robert, Barack Obama et Hillary Clinton ont évoqué la «nécessité» de revoir l'ALENA. 2008, comme 1873, pourrait bien déboucher sur une de ces périodes où «tout le monde veut vendre à tout le monde, mais où personne ne veut acheter», dit Jean-Claude Robert. «L'échec en juillet de la ronde de Doha de l'OMC, qui a commencé il y a sept ans, indique qu'une ère de protectionnisme pourrait pointer à l'horizon», écrit Scott Reynolds Nelson. Au Québec, le premier ministre Jean Charest mise sur une ouverture des marchés. L'idée est bonne, croit l'économiste Pierre Fortin. Charest aurait raison de voir l'échec des négociations multilatérales (Doha) comme une occasion de se tourner vers des ententes bilatérales. Mais la crise actuelle, si elle s'avère effectivement une resucée de 1873, pourrait bien nuire à ses nombreux projets de libre-échange, notamment celui avec l'Europe, dont les négociations doivent être lancées officiellement la semaine prochaine à Québec. http://www.ledevoir.com/2008/10/09/209839.html (9/10/2008 10H18)
  10. Wells Fargo abandonne l'immobilier canadien Denis Lalonde Lesaffaires.com 31 juillet 2009 La division canadienne de la banque américaine Wells Fargo n’accepte plus les demandes de prêts hypothécaires résidentiels au pays provenant de son réseau de succursales et de son canal de financement indirect par l'entremise de courtiers hypothécaires. «Dans la mesure où la Société financière Wells Fargo Canada, hypothèques HomePlan, a émis une promesse de prêt hypothécaire dûment signée, pourvu que le ou les demandeurs aient respecté toutes les modalités et conditions de la promesse de prêt hypothécaire (y compris les délais spécifiés pour la conclusion du prêt ou l'expiration de la promesse de prêt hypothécaire), nous honorerons ces engagements», précise toutefois le président de Wells Fargo Canada, Rick Valade dans un communiqué publié hier. La direction de la société n’a pas précisé pourquoi elle abandonnait le marché des prêts hypothécaires résidentiels. Wells Fargo Canada est une entreprise de 5,5 milliards de dollars, selon son site Internet. Elle offre des produits et services financiers au pays depuis 60 ans via un réseau de 130 succursales et compte 2500 emplois. Son siège social est situé à Mississauga, en Ontario. La société mère Wells Fargo est la 4e banque en importance aux États-Unis au niveau des actifs sous gestion http://www.lesaffaires.com/article/0/services-financiers/2009-07-31/496471/wells-fargo-abandonne-limmobilier-canadien.fr.html
  11. Même s'ils se disent prêts à collaborer contre la fraude fiscale, la Suisse, le Luxembourg et l'Autriche appréhendent les pires conséquences si les pressions internationales entraînent la fin du secret bancaire. Pour en lire plus...
  12. Montréal soumet pour 1,2G$ de projets à Ottawa 15 janvier 2009 - 06h59 Noée Murchison et Mathieu Bélanger Le Journal de Montréal Piscines, bibliothèques, pistes cyclables et logement social, le maire de Montréal proposera aujourd'hui à Ottawa de nouveaux chantiers d'une valeur de 1,2 milliard de dollars pour affronter la crise économique. «Ce sont des nouveaux projets qu'on ne peut pas faire parce qu'on n'a pas assez d'argent», a dit Gérald Tremblay, en entrevue avec Le Journal de Montréal. À la demande du gouvernement fédéral, Montréal a dressé une liste de travaux prêts à débuter en 2009 et 2010 afin de créer environ 16 000 emplois dans la région métropolitaine. Si Ottawa accepte de les financer, ces travaux s'ajouteraient aux investissements déjà prévus au budget de la Ville et aux 3,64G$ consacrés aux infrastructures dans le Programme triennal d'immobilisations pour 2009-2011. Le parc Jean-Drapeau, les musées Nature et Pointe-à-Callière pourraient notamment recevoir un tiers de milliard de dollars. Les rues, les boulevards et les pistes cyclables exigeraient des investissements de 172M$. Hier La liste d'épicerie de Montréal a déjà été présentée à plusieurs ministres conservateurs et aux partis d'opposition. Le maire espère toucher l'aide fédérale au plus tôt, «hier» si possible. «Si le gouvernement veut réellement créer de l'emploi, accélérer le développement économique et améliorer la qualité de vie, c'est une occasion unique de le faire», lance Gérald Tremblay. Montréal participera aujourd'hui à une rencontre avec les maires des grandes villes à Ottawa pour en discuter. À la grandeur du pays, la Fédération canadienne des municipalités (FCM) propose plus de 1000 projets prêts à être mis en chantier dès le printemps pour créer 150 000 emplois. C'est la recette de la FCM pour permettre au Canada de traverser la crise économique actuelle. «Il n'y a pas de temps à perdre», a indiqué le président de la FCM et maire de Sherbrooke, Jean Perrault. «Le gouvernement fédéral doit inclure le financement des infrastructures à son budget de relance. Il doit aussi prévoir des mécanismes pour que les fonds soient distribués à temps pour le début de la saison de construction en 2009», a-t-il plaidé.
  13. Le Trésor américain accorde un prêt de 1,5 milliard de dollars à la société de crédit automobile Chrysler Financement, qui s'ajoute aux 17,4 milliards de dollars de prêts déjà consentis à Chrysler et à GM le mois dernier. Pour en lire plus...
  14. La Bank of China lance un sombre avertissement car les prêts non performants s'accumulent et les problèmes profonds à l'origine de la récession n'ont pas été réglés. Pour en lire plus...
  15. Le gouvernement britannique a annoncé mercredi un plan consistant à garantir jusqu'à 20 milliards de livres (35,9 G$ CAN) de prêts à court terme. Pour en lire plus...
  16. Les deux provinces pourraient demander à la Cour suprême du Canada de trancher au sujet de la création, par le gouvernement Harper, d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  17. Des enquêteurs qui fouillaient le bureau ont trouvé environ 100 chèques signés, prêts à être expédiés à des membres de sa famille, à des amis et à des employés. Pour en lire plus...
  18. La SCHL aurait ignoré des mises en garde d'Ottawa Mise à jour le jeudi 18 décembre 2008 à 11 h 30 La décision du gouvernement Harper d'autoriser, en 2006, l'arrivée d'entreprises américaines sur le marché canadien de l'assurance hypothécaire aurait conduit la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) à prendre des risques. Selon ce qu'explique le Globe and Mail, jeudi, les gestionnaires de la SCHL auraient sciemment ignoré, ces deux dernières années, les mises en garde du gouvernement fédéral quant à leur décision d'assurer des prêts hypothécaires à haut risque. Des sources anonymes proches du dossier ont affirmé que la SCHL serait en désaccord avec Ottawa sur le risque posé par les hypothèques amorties sur 40 ans et celles accordées sans une mise de fonds minimale. En fait, la SCHL, selon un responsable du gouvernement fédéral, serait même l'assureuse de près des deux tiers des prêts hypothécaires amortis sur 40 ans qui ont été accordés au pays lors des six premiers mois de l'année. Et si la SCHL ne semblait guère prendre au sérieux les mises en garde quant à la dangerosité potentielle de tels produits, en juillet dernier, le ministre canadien des Finances Jim Flaherty a décidé de prendre le taureau par les cornes et a mis fin, en octobre dernier, aux garanties de prêts sur 40 ans. Selon ce qu'a appris le quotidien torontois, il semblerait que la SCHL, une société de la Couronne créée en 1954, a commencé à adopter le style des assureurs américains lorsque ces derniers ont été autorisés, en 2006, à entrer sur le marché canadien. Les gestionnaires de la SCHL étaient d'autant plus inquiets, toujours selon des sources citées par le Globe, qu'une étude gouvernementale interne qui circulait à l'époque faisait état de la possible privatisation de plusieurs agences fédérales, dont la SCHL. Et c'est la crainte d'être privatisée qui, selon des observateurs anonymes proches de la SCHL, a convaincu l'agence qu'elle se devait d'être perçue somme tout aussi efficace que la compétition.
  19. Soucieuse de préserver sa position sur un marché de plus en plus concurrentiel, la Société canadienne d'hypothèques et de logement aurait assuré un grand nombre de prêts hypothécaires à haut risque. Pour en lire plus...
  20. Pour faire face à la crise du crédit, Québec débloque un milliard en prêts et garanties de prêts aux entreprises qui ont des problèmes temporaires de capital. Pour en lire plus...
  21. Le prix des maisons a chuté de 10 % au Canada Devoir Le Édition du mardi 16 décembre 2008 Les ventes ont diminué de 42 % en novembre par rapport à l'année dernière Vancouver -- Le prix des maisons a chuté de près de 10 % à travers le Canada et les ventes ont diminué de 42 % en novembre, comparativement à la même période l'an dernier. Selon l'Association canadienne de l'immeuble (ACI), 27 743 maisons ont été vendues en novembre dans tout le pays. Cela représente une chute de 12,3 % par rapport à octobre et «le plus bas niveau atteint depuis janvier 2001 pour les activités mensuelles». En octobre, les ventes avaient chuté de 14 % par rapport au mois précédent. De telles baisses d'un mois à l'autre n'ont pas été observées depuis 1989, «alors que l'on entrait dans la dernière récession immobilière», a affirmé l'économiste en chef de l'ACI, Gregory Klump. Ce dernier croit que le climat de récession et le resserrement des marchés du crédit sont en cause. La plus importante baisse des ventes annuelles a été observée en Colombie-Britannique, où elles ont chuté de 62 %. L'économiste estime que ce plongeon des ventes de maisons se traduit par au moins 2,8 milliards $ en moins dans les dépenses liées à l'achat d'une nouvelle maison. Les ventes de maisons ont totalisé 7,9 milliards au Canada en novembre, une chute de 11,7 % par rapport au mois précédent et le plus bas niveau depuis le mois de janvier 2004, selon l'ACI. Prêts hypothécaires Une partie du problème lié à la baisse des ventes de maison s'explique par la difficulté à obtenir des prêts hypothécaires, selon M. Klump. La semaine dernière, la Banque du Canada a émis un avertissement selon lequel les prêts hypothécaires et les défauts de paiements des consommateurs pourraient «augmenter significativement» si la crise financière mondiale se détériorait davantage. «Les bilans des ménages se ressentant de la faiblesse des marchés boursiers, du recul des prix des maisons, du tassement de la progression des revenus et du niveau record où se situe le ratio de la dette au revenu, il est possible qu'un ralentissement très prononcé de l'activité économique entraîne une hausse importante du taux de défaillance sur les prêts aux ménages», a écrit la Banque du Canada. Selon l'institution, le nombre de «ménages vulnérables» -- les 3 % de Canadiens dont le ratio du service de la dette dépasse 40 % -- pourrait doubler d'ici la fin de l'an prochain, en considérant le scénario le plus pessimiste. La Banque explore dans son document cinq grandes sources de risque qui pèsent sur le système financier canadien, dont celui découlant de l'endettement des ménages. Selon les économistes de la banque centrale, cet endettement des ménages constitue un canal par lequel un choc extérieur pourrait se propager à l'ensemble du système financier au pays. La Banque du Canada a toutefois pris la peine de mentionner que même si l'endettement accru des ménages constituait pour le système financier canadien une source de vulnérabilité qui devait faire l'objet d'une surveillance étroite, il ne fallait pas exagérer l'importance de ce risque.
  22. Qu'est-ce qui pourrait déraper au Canada ? * Anne Robert, Les affaires.com * 11:33 Les risques identifiés dans la revue du système financier. Si l’économie canadienne a fait preuve de résilience, la Banque du Canada passe en revue les risques qui pourraient faire basculer son scénario de reprise progressive. «L’issue la plus probable de la crise actuelle est une amélioration graduelle de la situation sur les marchés financiers mondiaux et des conditions de crédit au Canada, à la faveur de l’entrée en vigueur des mesures exceptionnelles adoptées pour la résoudre», pense la Banque du Canada. Elle est tout de même tenue de publier tous les six mois dans sa Revue du système financier, une analyse des risques qui pèsent sur le système. La Banque du Canada en a identifié cinq. 1. Les banques demeureraient réticentes à prêter, retardant le rétablissement de la confiance et le retour à des conditions de financement plus normales. 2. Au cas d’une récession prolongée, les banques accuseraient des pertes sur les prêts, les obligeant à serrer la vis sur les nouveaux prêts. 3. Si les ménages s’appauvrissent avec la récession, les ménages trop endettés ne seront pas en mesure de rembourser leurs emprunts, et les banques ayant encaissé des pertes prêteront moins. 4. Si la récession américaine s’avérait plus grave ou plus longue que prévu, les répercussions sur les entreprises, les ménages et les banques canadiennes seront considérables, compte tenu des liens étroits entre les deux pays. 5. Le dollar américain demeure sur-évalué. Une correction trop brutale pourrait provoquer de fortes fluctuations sur les marchés financiers.
  23. La Chambre des représentants a adopté mercredi un projet de loi autorisant jusqu'à 15 milliards $ de prêts à l'industrie automobile américaine. Pour en lire plus...
  24. Le groupe, considéré comme le plus menacé des trois constructeurs automobiles nationaux par une crise de liquidités à court terme réclame 12 G$ sous forme de prêts pour éviter le dépôt de bilan en 2009. Pour en lire plus...
  25. La Maison-Blanche a dit se laisser plusieurs jours pour examiner les plans de restructuration qu'ont élaborés les constructeurs automobiles afin d'obtenir des prêts. Pour en lire plus...
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