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  1. http://radio-canada.ca/arts-spectacl...osm-salle3.asp Une nouvelle salle pour l'OSM L'orchestre symphonique de Montréal aura finalement sa salle de concert, rapporte Le Devoir dans son édition de samedi. Le gouvernement Charest a conclu un partenariat public-privé pour la construction du nouvel édifice, qui, toujours selon le quotidien, occupera une partie de l'esplanade de la Place des Arts. La ministre de la Culture du Québec, Line Beauchamp, devrait en faire l'annonce officielle mardi lors d'une conférence de presse qui réunira le premier ministre Jean Charest, le président du conseil d'administration de l'OSM, Lucien Bouchard, et le chef Kent Nagano. Le coût du projet dépasserait quelque peu les 100 millions de dollars. La nouvelle salle devrait accueillir entre 1800 et 2200 personnes. OSM.pdf
  2. ******************** Ce sont tous les commerces jouxtant le Spectrum qui seront rasés dans le projet qui est devant les autorités de la Ville. Archives La Presse Projet immobilier de 70 millions sur l'emplacement du Spectrum Mario Cloutier La Presse Le Spectrum vit ses derniers mois. Il était prévu que cette institution du showbizz montréalais soit détruite tôt ou tard pour faire place à un nouveau complexe qui aurait abrité le nouveau Spectrum. Ce n'est plus le cas. Le nouveau propriétaire des lieux va de l'avant avec un projet de 70 millions, commerces et tour de bureaux, qui exclut la salle de spectacle. «Jusqu'à preuve du contraire, il n'est plus question d'une salle de spectacle. On avait des délais à respecter. On a travaillé avec Spectra depuis mai 2006 pour relocaliser le Spectrum à l'arrière de l'édifice, mais malheureusement, jusqu'à aujourd'hui, rien ne se passe, on est obligés d'aller vers une autre option», a confié à La Presse Sam Benatar, président de la société immobilière SIDEV. Si la Ville l'autorise, le Spectrum et les commerces avoisinants seront rasés l'été prochain après la tenue des FrancoFolies, organisées par Spectra, aussi responsable du Festival international de jazz. La nouvelle construction devrait commencer sans plus tarder. Responsable de la transformation du Gordon Brown Building, 400, de Maisonneuve Ouest, qui a reçu le Prix du patrimoine commercial 2006, le promoteur ajoute que les délais sont dépassés depuis le 30 octobre dans le cas du Spectrum. «On a avisé Spectra qu'on allait travailler tout de suite sur les autres options puisqu'on n'avait pas de réponse. On les a avisés qu'ils devaient quitter les lieux le 15 août prochain. Comme entrepreneur privé, vous comprenez, on ne peut pas attendre indéfiniment», souligne M. Benatar. SIDEV procède déjà à une phase de pré-location pour des locaux commerciaux d'une superficie de 50 000 pieds carrés. Les investissements nécessaires pour les locaux commerciaux seront de plus de 10 millions, tandis que la tour de bureaux aura besoin d'au moins 60 millions pour se réaliser. «Best Buy est en train de négocier avec nous une possibilité de s'incorporer dans notre projet commercial. Il n'y a rien de finalisé. On discute avec toutes sortes de locataires. Je ne vous cache pas qu'on a été approchés par des locataires majeurs qui aimeraient être du projet», indique le président de SIDEV. La vente du quadrilatère abritant le Spectrum a été conclue juste avant Noël avec l'ancien propriétaire, la famille Feldman. Au rôle d'évaluation foncière, la valeur du terrain a augmenté de près d'un million entre 2004 et 2005, alors que celle des immeubles vétustes a chuté, pour une valeur totale de 5,5 millions. Généralement, le prix d'achat est supérieur à celui du rôle d'évaluation, surtout pour un secteur aussi prisé. Spectra Pour l'équipe Spectra et son président, Alain Simard, locataires et non propriétaires du Spectrum, il était clair que la salle allait être rasée avec les commerces avoisinants, même que «c'est une bonne nouvelle pour Montréal», selon lui. Il croit cependant encore aux chances du projet auparavant nommé Complexe Spectrum. «On ne jette pas l'éponge. On a quelques mois pour trouver une solution, soutient M. Simard. D'une manière ou d'une autre, le Spectrum va certainement continuer d'exister. Ce qu'on veut savoir, c'est si la Place des festivals va voir le jour parce qu'en ce moment, on perd des espaces pour les spectacles gratuits.» Interrogé à ce sujet, le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoît Labonté, réitère qu'il «doit y avoir une Place des festivals dans ce secteur», c'est-à-dire dans l'îlot Balmoral. Il en parlera bientôt à la ministre de la Culture, Line Beauchamp, et le plan de développement de l'îlot Balmoral devrait être livré au début février. Il avoue que la disparition du Spectrum ne lui plairait pas. «Si on devait en arriver là, ça ferait une donnée de plus dans l'équation qu'on doit résoudre sur l'îlot Balmoral, dit-il. Est-ce qu'on prévoit, par exemple, la construction d'un nouveau Spectrum ou une autre salle de remplacement ? La vraie question est de savoir s'il y a quelque chose autour qui peut absorber cette perte. Est-ce que ça prive nos chanteurs et musiciens d'un lieu ou s'il y en a d'autres ? Je pense qu'il y en a d'autres.» Financement Là comme ailleurs, l'argent reste au coeur du problème. Spectra n'est pas en mesure de financer entièrement la construction d'une nouvelle salle de 1000 places pas plus qu'elle ne pouvait exercer son option de premier refus et procéder à l'achat du quadrilatère comprenant le Spectrum. Sam Benatar indique, de son côté, qu'il a décidé d'aller de l'avant «après des mois et des mois d'investissements très importants de notre part sur des plans de relocalisation du Spectrum. «Le chantier va commencer au mois d'août», répète-t-il. «La location est tellement bonne pour ce secteur, ajoute le président de SIDEV. C'est un coin stratégique qui va attirer énormément de gros locataires avec ce qui se prépare à l'îlot Balmoral et la salle de l'OSM. C'est un quartier qui va être en pleine expansion dans les années à venir.»
  3. (PRESSE)Trente milliards de dollards devront étre investis a montréal au cours des deux prochaines décennies pour la mise a niveau des infrastructures, souterraines et de transport en commun.A l instar du fonds de l eau,qui permettra d autofinanacerles travaux d infranstructures dans le réseau souterrain a partir de 2013, l administration Tremblay-Zampino envisage la mise sur pied d un fonds similaire,celui ci dédié aux infrastructures routiéres.C est qu a révélé le président du comité exécutif de la ville de Montréal ,Frank Zampino,en entrevue avec Montreal Express.(ce fonds pour les infrastructures routiéres permettrait de mettre a niveau non ponts,viaducs et l ensemble du réseau artériel.Nous nous sommes engagés a investir 500millions dollard dans nos infratructures routiéres,notament pour corriger le probléme des nids-de-poules, mais cette somme n est pas suffisante pour la remise a niveau de toutes les rues )explique M.Zampino.Selon lui montréal nécessitera des investissements de 30 milliards au cours des 20 prochaines années,soit 10milliards pour les infrastructures routiéreset 10 milliards pour les infranstructures de transport en commun.Les deux autres paliers de gouvernement seront appelés a contribuer ,comme c est notament le cas du fédéral avec la taxe d accise sur l essence et du gouvernement du Québec pour le métro de montréal .Mais Montréal n en reste pas la et réclame également des pouvoirs habilitants en matiére fiscale et administrative pour continuer son dévloppement.(Nous dépendons de l impot foncier qui représente environ70pour100 de nos revenus sur un budget de 4 milliards dollard , poursuit M.Zampino .Nous voulons obtenir une partie de la croissance générée a Montréal.Chaque fois qu un milliard est investi ici,les gouvernements supérieurs retirent chcun 150millons .On demande a Québec et a Ottawa de partagerla moitiéde ces retombées avec nous)(Si le gouvernement n accorde pas d attention a sa métropole,elle qui crée plus de la moitié de la richesse au Québec , nous serons toujours en retard par rapport a Toronto et aux autres grandes villes du monde.Ajourd hui ,la compétition se fait entre les grandes villes ,pas entre les pays)soutient le président du comité exécutif.Le maire Gérald Tremblay et Frank Zampino doivent rencontrer sous peu le chef du parti québéquois et celui de l Action démocratique su Québec pour les sensibiliser aux besoins de Montréal.
  4. Montréal (Québec), le 24 janvier 2012 –Alors que C2-MTL s’apprête à réinventer la conférence d’affaires, les organisateurs sont heureux d’annoncer l’ajout de trois nouveaux conférenciers de calibre international à la liste des intervenants qui prêteront leur immense talent à l’événement prévu du 22 au 25 mai prochain. Il s’agit du chef de la direction financière de Google, Patrick Pichette, du directeur de la création de DreamWorks, Bill Damaschke et du cofondateur et architecte principal de MVRDV, Winy Maas. L’équipe est également heureuse d’annoncer la participation de Teressa Iezzi (rédactrice en chef de Co.Create et membre de l’équipe de rédaction chez Fast Company Online), Mitch Joel (auteur et président de Twist Image) et Laurent Simon (professeur agrégé en gestion, HEC Montréal MosaiC), qui font maintenant partie de la liste préliminaire des panélistes. Ces penseurs et acteurs de renommée internationale se joindront à une impressionnante liste de conférenciers, parmi lesquels le réalisateur Francis Ford Coppola, l’ancien président directeur général de Disney, Michael Eisner, la rédactrice en chef de AOL Huffington Post Media Group, Arianna Huffington et le rédacteur en chef de Fast Company, Robert Safian. La liste complète des conférenciers est disponible à c2mtl.com/fr/les-conferenciers. Imaginez une conférence d’affaires… autrement Le sujet de la créativité se devant d’être abordé de manière créative, les organisateurs de C2-MTL s’apprêtent à réinventer l’expérience de la conférence d’affaires. Leur approche sans précédent se traduira entre autres par une contribution inédite du Cirque du Soleil, partenaire créatif de l’événement, un Boot Camp de création, des discussions personnalisées, du contenu évolutif, des conférences multimédias, une exposition immersive, des espaces conceptuels et des ateliers expérientiels destinés à invoquer la collaboration et enflammer la créativité. Le tout se déroulera dans un « village d’innovation » pour lequel le complexe patrimonial industriel New City Gas et ses alentours seront entièrement restaurés pour être transformés en un véritable carrefour créatif conçu spécialement pour l’événement. « Préparez-vous à être surpris », de prévenir le président et chef de la direction du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre. Les participants auront aussi à leur disposition une série d’outils et ressources interactifs, dont une application mobile conçue exclusivement pour C2-MTL. Cette application permettra à une équipe éditoriale présente sur les lieux d’organiser et de personnaliser le contenu des conférences en temps réel et d’offrir aux participants des résumés journaliers personnalisés, enrichis de contenu et de suggestions supplémentaires destinés à alimenter la réflexion. Et bien sûr, l’ADN créatif de Montréal ne manquera pas d’être mis à contribution à travers un programme de divertissement sans précédent, comprenant notamment festivités nocturnes percutantes, expériences gastronomiques surprises et autres performances spectaculaires –après tout, nous sommes à Montréal ! http://c2mtl.com/fr/nouveaux-conferenciers-2012-01/ http://c2mtl.com/fr/les-conferenciers/
  5. Repairs to Hélène de Champlain building force eatery to shut Restaurant's owner plans to close it down when lease expires at end of 2009 ALAN HUSTAK, The Gazette Published: 8 hours ago The building that houses the Hélène de Champlain restaurant on Île Ste. Hélène needs massive repairs, and the restaurant will close for good in 16 months when its lease expires. Pierre Marcotte, the French- language television personality who has leased the red sandstone building from the city since 1983, says the property needs between $3 million and $5 million in repairs. "We have no choice but to close," he said. "The city has decided not to renew its lease after 2009 in order to undertake the repairs. That could take a year or more to complete. The electrical and heating systems are outdated, and major repairs to the building itself are necessary." Initially meant to be a sports pavilion, the island chalet was built during the Depression as a Quebec government make-work project. It was designed by Émile Daoust to resemble a Norman château, and the grounds were landscaped by Frederick Todd. It was turned over to the city in 1942 and in 1955 became a municipal restaurant, but didn't get a liquor licence until 1960. In 1966, Mayor Jean Drapeau had the building redone as the official residence for Expo 67's Commissioner-General, Pierre Dupuy. It also had a hall of honour next to the main dining room that was used by Drapeau as a reception centre for visiting dignitaries and heads of state. The reception for French President Charles de Gaulle was held in the chalet after he delivered his controversial "Vive le Québec libre" speech. Even though the restaurant proved to be a money-loser, Drapeau kept its five dining rooms open until 1977, when they were closed because of a labour dispute. They reopened in 1981. Marcotte said he does not plan to renew his lease, and no one is certain what will happen to the building once the repair work is done. In the past, there has been talk of converting the site into a hotel for high rollers at the Montreal Casino. ahustak@ thegazette.canwest.com
  6. http://www.groupebourgouin.com/cachemire.html Au coeur des Jardins Angora, Les Tours Cachemire est un projet de 80 unités de condominiums qui conjuguent deux vues, l’une sur la tranquillité de la magnifique forêt d’un parc de conservation naturel, l’autre sur Montréal, sa vie culturelle et ses services. --- TERREBONNE, LE JEUDI 11 JUIN 2015 – Le maire de Terrebonne, M. Jean-Marc Robitaille, accompagné des membres du conseil municipal et du président du Groupe Bourgouin, M. Robert Bourgouin, a fièrement procédé jeudi, en fin d’après-midi, à la pelletée de terre inaugurant officiellement les travaux de construction d’un projet résidentiel d’envergure développé par le Groupe Bourgouin au cœur des Jardins Angora. La première des « Tours le Cachemire », un projet de condos, comprendra 84 unités de logement sur 14 étages, dont 6 penthouses.
  7. Après plus de 15 ans à la barre d'Aéroports de Montréal (ADM), James Cherry prendra sa retraite en décembre. L'organisme retiendra les services d'une firme de recherche de cadres pour trouver son successeur. « Grâce à sa vision et à une saine gestion, ADM a connu une croissance continue : son trafic de passagers a doublé, sa desserte aérienne, notamment à l'international, s'est grandement enrichie, et ses infrastructures ont été agrandies et modernisées. Le tout accompagné de résultats financiers solides », a déclaré hier le président du conseil, Normand Legault.
  8. Montreal’s cash-strapped universities have a wealth of notable and famous alumni who got their start at one of our local universities before leaving their mark on this province and beyond. Across the fields of business, science, politics and the arts, there are countless examples of notable alumni who earned a degree at a Montreal university before making it big. The list from Université de Montréal reads like a veritable Who’s Who of Quebec leaders, while McGill University has an embarrassment of riches, with bragging rights to the longest list of notables across all fields and by far the most prestigious prize winners. Here are some examples of those famous alumni (with apologies to the many accomplished graduates we didn’t have space to include). We have also included Nobel Prize winners and the number of Rhodes Scholars to round out the list of distinguished alumni. Montreal universities have bragging rights to many famous alumni | Montreal Gazette
  9. http://www.newswire.ca/news-releases/keywords-to-expand-its-montreal-studio-creating-100-jobs-577614131.html MONTRÉAL, Canada and DUBLIN, Ireland, April 29, 2016 /CNW Telbec/ - Keywords Studios, an international technical service provider to the global video game industry, announced today that it intends to expand further in Montréal, creating 100 new jobs within the next three years. This announcement was made during a visit of The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, at Keywords headquarters in Dublin, Ireland, and after his discussions with Andrew Day, Chief Executive Officer of Keywords Studios. We love the city and we love the quality of the talent we can find in Montréal", commented Mr Day. "Since coming to Montréal in 2010, we've had great results there and we want to continue this success." Keywords offers technical services to the gaming industry. Functional testing and localization testing are the main tasks accomplished in Montréal. Keywords' clients includes the world's best-known developers, among which, to name a few, Ubisoft, WB Games, Zynga, King and Sony. They have worked on thousands of different titles such as Rise of the Tomb Raider, Halo 5: Guardians, Assassin's Creed Syndicate, Candy Crush, Clash Royale and Mobile Strike. "Keywords' decision to continue to invest in our metropolis illustrates once again Montréal's strength in the video game industry", said The Honourable Denis Coderre, Mayor of Montréal and President of the Montréal Metropolitan Community, during his visit of Keywords' headquarters, part of his European trip. "What's more, it does highlight the fact that the whole gaming cluster plays a vital role in our economy and that Montréal is the place to be." Montréal International, Greater Montréal's investment promotion agency, has provided support to Keywords Studios over the years. "Along with our government partners, we've been working with Keywords since their arrival in Montréal, stated Stéphane Paquet, Vice President - Investment Greater Montréal at Montréal International. Their reinvestment is most welcome and the whole team at MI look forward to continuing working with Keywords on other projects." "I hope that this most recent announcement is only a first step, added Mr Day, since we are currently studying further more ambitious possibilities for our Montréal studio." Keywords' Montréal studio currently employs around 350 employees.
  10. http://journalmetro.com/actualites/national/918058/air-canada-commande-ferme-de-45-avions-cs300/ 17/02/2016 Mise à jour : 17 février 2016 | 8:22 Air Canada: commande ferme de 45 avions CS300 Par Rédaction La Presse Canadienne MONTRÉAL – Le transporteur aérien Air Canada annonce mercredi la signature d’une lettre d’intention avec Bombardier (TSX:BBD.B) pour l’acquisition d’un maximum de 75 avions de modèle CS300 de Bombardier. L’intention porte sur 45 commandes fermes et sur des options en vue de l’achat de 30 appareils supplémentaires. Les premières livraisons sont prévues pour la fin de 2019 et se poursuivront jusqu’en 2022. Calin Rovinescu, président et chef de la direction d’Air Canada (TSX:AC), explique qu’avec son rendement élevé sur le plan écoénergétique et son nombre accru de places, la technologie de prochaine génération des appareils C Series est très bien adaptée à la stratégie du transporteur.
  11. Technologies de l’information : 60 nouveaux emplois dans le service aux entreprises. – LINKBYNET, société française spécialisée dans l’hébergement, la sécurité et la gestion des structures et applications informatiques, annoncera aujourd’hui l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, cinq ans après y avoir implanté avec succès son siège social nord-américain. La société a en effet connu une croissance exceptionnelle au Québec durant cette période, en investissant près de 12 millions de dollars et en recrutant près d’une centaine d’employés, un succès considérable comparativement aux 8,4 millions de dollars et 60 embauches prévus initialement. Forte de cette réussite, LINKBYNET prévoit d’ailleurs créer 60 nouveaux emplois d’ici 2020. Offrant des services personnalisés pour héberger, gérer et sécuriser les applications et infrastructures informatiques de petites et grandes entreprises, LINKBYNET a fait progresser son chiffre d’affaires de quelque 50 000 dollars en 2011 à plus de 2,5 millions de dollars en 2015. Elle ambitionne maintenant de tripler, d’ici cinq ans, son chiffre d’affaires et de doubler ses effectifs au Canada, principalement dans le Grand Montréal. L’annonce sera faite par M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord, en présence de M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore, ainsi que des membres de la direction du groupe LINKBYNET, lors d’un cocktail-conférence au Centre des sciences de Montréal. « LINKBYNET a misé sur le Grand Montréal en 2010 pour étendre ses activités de services infonuagiques et informatiques. Après cinq ans, nous pouvons affirmer que c’était un bon pari, tant au niveau de l’expertise technique que des opportunités commerciales », a déclaré M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord. « Nous sommes heureux de célébrer ce succès avec nos clients, partenaires et amis qui nous ont accompagnés dans notre croissance », a-t-il également ajouté. Soutenue par Montréal International et Investissement Québec dans ses projets d’implantation et d’expansion, LINKBYNET répond aux besoins urgents et grandissants des entreprises montréalaises et québécoises, telles L’Oréal Canada, Bolloré ou encore CAA Québec. « Le succès de LINKBYNET, qui a connu une croissance significative de ses opérations et qui a su se positionner stratégiquement au sein de l’industrie des technologies de l’information en Amérique du Nord, démontre une nouvelle fois l’attractivité du Grand Montréal. La métropole québécoise est en effet reconnue pour son bassin de talents qualifiés, sa situation géographique enviable et ses coûts d’opération hautement compétitifs », a déclaré M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore. « De plus, LINKBYNET offre une expertise très ciblée et à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui permet de soutenir la compétitivité de nombreuses entreprises dans la région, et ce, tous secteurs confondus », a-t-il conclu. Mentionnons que LINKBYNET a remporté de nombreuses distinctions au cours des dernières années, incluant le trophée du meilleur « cloud hybride », décerné par VMWare en 2014 et le prix du « Customer obsession partner », attribué par Amazon web service en 2015. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/linkbynet-expansion-grand-montreal/
  12. Création de 500 emplois sur cinq ans dans le secteur de l’environnement au Québec. Montréal, le 2 décembre 2015 – Afin de satisfaire les besoins du marché québécois de la collecte, du transport et du traitement des matières résiduelles, Derichebourg Environnement annonce l’implantation de son siège social nord-américain à Montréal. L’entreprise prévoit créer 500 emplois au Québec, et ce, au cours des cinq prochaines années. Le leader européen de la collecte des déchets ménagers rassemblera notamment au sein de sa nouvelle filiale les ressources matérielles et humaines dédiées à la collecte des déchets ménagers sur deux arrondissements de la Ville de Montréal, soit Rosemont–La Petite-Patrie et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. L’annonce a été faite par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, en mission en France dans le cadre de la tenue de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21), qui se tient du 30 novembre au 11 décembre à Paris. « Les collectivités doivent faire face à une réduction de budget pour la collecte de déchets, tout en améliorant leurs services aux usagers. C’est pourquoi les municipalités doivent trouver des prestataires capables d’innover et de présenter des offres concurrentielles », a déclaré M. Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Canada Environnement. « C’est dans cette optique que Derichebourg Environnement désire accélérer son développement à l’international et plus particulièrement au Canada, en faisant de sa filiale montréalaise la plus importante en Amérique du Nord au sein du Groupe. » Derichebourg s’est engagé dans une politique de recherche et développement à long terme visant à mettre en place des filières pérennes de traitement des biens en fin de vie, respectant et même dépassant les objectifs de valorisation fixés par les directives européennes. « Avec l’arrivée d’un nouveau joueur comme Derichebourg, la métropole québécoise renforce sa position dans la valorisation des matières résiduelles et le développement des compétences dans la collecte et le traitement des déchets », a déclaré M. Denis Coderre, maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal. « La Ville de Montréal priorise toujours des services publics efficaces et efficients, essentiels pour assurer la croissance économique, générer le plus de bénéfices possible pour la collectivité et optimiser le bien-être de tous les citoyens », a-t-il ajouté. Montréal International, en collaboration avec Investissement Québec, a soutenu la société française Derichebourg dans son implantation dans la région. « Le marché de la collecte et du traitement des déchets est en pleine croissance dans le monde. Le Grand Montréal pourra dorénavant compter sur l’expertise ciblée et à l’avant-garde d’un nouvel acteur reconnu en Europe, qui pourra partager son savoir-faire avec des partenaires académiques, institutionnels et industriels au Québec », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. « Cette implantation vient renforcer l’économie du Québec et de la grande région montréalaise. De concert avec nos partenaires en prospection, nous avons eu l’occasion d’entretenir des échanges fructueux avec Derichebourg, qui ont permis de mettre en valeur avec succès nos avantages concurrentiels. Cette relation est appelée à se développer et nous comptons bien accompagner l’entreprise dans son développement au Québec », a conclu M. Pierre Gabriel Côté, président-directeur général d’Investissement Québec. Mentionnons que Derichebourg Environnement dispose d’opérations dans toute la France (Paris, Ile de France, Marseille, Caen), en Italie (Turin, Milan, Florence, Sardaigne), au Maroc (Rabat, Marrakech), et à l’Ile de la Réunion dans l’Océan Indien. À propos de Derichebourg (http://www.derichebourg.com) Le Groupe Derichebourg est un acteur majeur, au plan international, des services aux entreprises et aux collectivités. Avec un chiffre d’affaires 2014 de 2,56 milliards d’euros, l’entreprise compte aujourd’hui 28 000 collaborateurs dans le monde, répartis dans 14 pays et sur 3 continents. Derichebourg propose une gamme complète et intégrée de prestations dans deux secteurs d’activités complémentaires et à travers deux entités distinctes : Derichebourg Environnement. Services à l’environnement : recyclage et valorisation des biens en fin de vie, collecte & gestion des déchets industriels et ménagers, propreté urbaine. Derichebourg Multiservices. Services aux entreprises (multiservices) : propreté, énergie, aéronautique, intérim, accueil, manutention, milieux sensibles. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/derichebourg-implantation-siege-social-nord-americain-dans-le-grand-montreal/
  13. http://journalmetro.com/actualites/montreal/885493/denis-coderre-prochain-president-de-metropolis/ Sent from my iPhone using Tapatalk
  14. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  15. Ça va pas ben pour Aubut... http://journalmetro.com/sports/851393/le-coc-elargit-lenquete-sur-marcel-aubut/ Le COC élargit l’enquête sur Marcel Aubut MONTRÉAL – L’enquête sur les allégations de harcèlement sexuel visant Marcel Aubut sera étendue à «toute plainte, formelle ou non», qui sera portée à l’attention du Comité olympique canadien. Le Comité a diffusé un communiqué, vendredi, dans lequel il dit trouver «extrêmement troublantes» les nouvelles allégations de même nature visant son président qui ont fait surface dans les médias au cours des derniers jours. L’organisme a donc décidé de mettre sur pied un deuxième mécanisme dont le travail sera dirigé par un tiers indépendant qui reste à identifier et qui procédera à un «examen détaillé» de toute plainte additionnelle. Le Comité olympique encourage toute personne qui aurait des informations à cet effet à lui faire part de ses préoccupations et affirme qu’il est régi par des politiques claires en matière de harcèlement. Il s’engage à prendre toutes les mesures requises à la suite de ces enquêtes. Le nouveau mécanisme d’enquête s’ajoute à celui mis sur pied sous l’égide de l’ancien juge en chef de la Cour supérieure du Québec François Rolland, qui se penche sur la seule plainte formelle déposée jusqu’ici dont l’auteur et la nature demeurent confidentiels. Marcel Aubut s’est temporairement retiré de ses fonctions, mercredi, en attendant la conclusion de cette enquête. Dans un communiqué qu’il a publié lui-même mercredi soir, M. Aubut décrit les allégations comme étant «une remarque qu’il aurait faite à une collègue». Il dit offrir son soutien «inconditionnel» aux enquêteurs. Ce communiqué ne visait toutefois que la première plaignante, les autres incidents n’ayant pas encore été rapportés au moment où il a été diffusé. Depuis, d’autres femmes ont publiquement partagé des allégations contre le président du Comité olympique canadien et de la Fondation olympique canadienne. Vendredi, le quotidien La Presse révélait que le Comité olympique canadien était au courant de certains comportements déplacés de son président depuis plusieurs années. En 2011, le secrétaire général et chef de la direction du COC à l’époque, Jean R. Dupré, avait écrit une lettre à son président — dont La Presse a obtenu copie — dans laquelle il demandait à ce dernier de cesser une série de comportements spécifiques auprès des femmes et acceptait de ne pas porter plainte contre lui parce qu’il avait donné l’assurance que de tels comportements cesseraient sur le champ. L’avocate montréalaise Amélia Salehabadi-Fouques a accordé plusieurs entrevues aux médias, jeudi, dans lesquelles elle a détaillé ses interactions avec M. Aubut. Le réseau TVA et la station de radio 98,5 FM ont également diffusé des entrevues avec une femme qui dit avoir travaillé avec Marcel Aubut et avoir subi du harcèlement sexuel. Amélia Salehabadi-Fouques, une avocate spécialisée dans le droit du sport et membre de l’Association canadienne de soccer depuis 2013, a dit avoir été victime de harcèlement de la part du président du COC à trois reprises dans les quatre dernières années. Mme Salehabadi-Fouques a notamment soutenu que M. Aubut l’a embrassée de force et lui a fait des commentaires sexuels. Ses allégations n’ont pas été prouvées devant un tribunal. Dans les entrevues accordées à des journaux et des stations de radio, Mme Salehabadi-Fouques raconte être entrée en contact avec Marcel Aubut il y a quatre ans, pour s’impliquer dans le COC. Il lui aurait donné rendez-vous dans un chic restaurant de Montréal, mais à son arrivée, elle a été surprise de voir qu’il était assis au bar. En discutant, il est devenu clair pour elle qu’il était davantage intéressé par son physique que par son expérience professionnelle. Il lui aurait posé des questions de nature privée et aurait fait des commentaires personnels. Plus tard dans la soirée, il l’aurait embrassée «avec la langue». Elle dit avoir pris un taxi seule pour rentrer chez elle. Dans diverses entrevues, elle se remémore aussi un incident survenu l’an dernier, à Québec. Il l’aurait invitée à assister à une rencontre d’affaires avec une foule d’autres personnes, mais une fois à l’hôtel, elle était seule. Il n’y avait qu’une seule chambre d’hôtel réservée au nom de M. Aubut, aucune pour elle, a-t-elle affirmé. «Il me dit: « quand est-ce que je vais venir dans ta chambre? J’ai demandé des clés pour ta chambre »», a-t-elle confié à La Presse. Encore l’an dernier, lors d’un match de la Coupe du monde de soccer féminin U-20, devant son fils de 15 ans, il l’aurait interpellée dans un couloir et lui aurait demandé: «Quand est-ce qu’on couche ensemble?» En entrevue au 98,5 FM, l’avocate a affirmé ne pas savoir si elle porterait plainte formellement. Lorsqu’elle a appris qu’une autre personne avait porté plainte, cette mère de trois enfants s’est sentie concernée et a décidé de ne plus rester silencieuse. «En tant que mère, je vais toujours me lever pour les jeunes femmes harcelées», a-t-elle écrit sur Twitter mercredi. Plus tard jeudi, TVA a diffusé une entrevue avec une femme soutenant avoir été victime de plusieurs gestes de M. Aubut en 2011, lorsqu’elle travaillait dans un bureau d’avocats de Montréal. La femme n’a pas été identifiée, mais TVA a indiqué qu’elle était une de ses anciennes adjointes exécutives. Selon ce qu’elle raconte au réseau d’information, Marcel Aubut mettait ses mains autour de sa taille, et elles étaient un peu plus basses chaque nouvelle fois. Elle a également soutenu qu’il plaçait ses mains sur ses épaules et touchait sa poitrine. Elle l’aurait également vu en caleçons à une occasion, lorsqu’il l’a appelée dans sa salle de conférence. Après ces incidents, a-t-elle raconté, elle a dû quitter pour des raisons de santé. Selon TVA, elle n’a pas porté plainte car le cabinet lui a proposé une entente lui donnant l’équivalent de 10 000 $ contre son renoncement à tout recours. Âgé de 67 ans, Marcel Aubut est membre du COC depuis 2000, et président depuis avril 2010. Par le passé, il a occupé le poste de président des Nordiques de Québec, jusqu’au déménagement de l’équipe au Colorado en 1995. Il a notamment aidé à faire venir au Canada les frères Stastny, en 1980, pour jouer pour les Nordiques. Il a été nommé officier de l’Ordre du Canada en 1993, officier de l’Ordre national du Québec en 2006, et avocat émérite du Barreau du Québec en 2008. Il a été intronisé au Panthéon des sports canadiens en 1999. Il exerce le droit et est partenaire, avocat et vice-président du conseil d’administration de la firme montréalaise BCF. Mercredi, BCF a fait savoir qu’elle ne commenterait pas l’enquête et a ajouté que le rôle de M. Aubut dans la firme n’était pas à risque puisque les allégations ne concernaient pas directement ses activités professionnelles.
  16. Souce: News Release Lockheed Martin. Raytheon Company [NYSE: RTN] and Bombardier (TSX: BBD.B) have teamed with Lockheed Martin [NYSE: LMT] to deliver a low-risk, affordable solution for the United States Air Force’s JSTARS Recapitalization program. Embracing the United States government’s desire for strong industry partnerships, the Lockheed Martin-led team will provide the Air Force capabilities superior to the current JSTARS. The team will also deliver a true open system architecture to allow the government to own the technical baseline for future upgrades and reduce life cycle cost. “Our track record of performance in systems integration and leadership in Open Mission Systems, combined with our teammates’ relevant products and in-depth experience, give us confidence that we can provide the Air Force the best possible solution,” said Rob Weiss, executive vice president and general manager, Lockheed Martin Aeronautics, Advanced Development Programs (the Skunk Works®). Lockheed Martin will serve as the lead systems integrator for the program and Raytheon will bring to the team their experience with ground surveillance, intelligence, surveillance and reconnaissance systems, mission systems integration, and JSTARS communications. "ISR and mission systems integration are core capabilities for us," said Rick Yuse, president of Raytheon Space and Airborne Systems. "We are committed to building modular, easily adapted and upgraded open systems to help our warfighters stay ahead of future threats." Bombardier will provide its ultra-long-range Global business jet platform, which is less expensive to operate than modern airliners and is uniquely suited to the JSTARS mission by allowing the on-board radar to see further and deeper into valleys and survey the battlespace for extended periods of time without refueling. “The track record we built over the past years with the Battlefield Airborne Communications Node (BACN) program for the Air Force using the Bombardier Global platform makes us very well-positioned in this market segment,” added Stéphane Villeneuve, vice president, Specialized Aircraft, Bombardier Commercial Aircraft.
  17. via le site de Microsoft : Press Release MICROSOFT CLOUD TO TOUCH DOWN IN CANADA Locally deployed Azure, Office 365 and Dynamics CRM Online will help power Canadian business Toronto, June 2, 2015 – Microsoft today announced plans to deliver commercial cloud services from Canada. Azure, Office 365 and Dynamics CRM Online will be delivered from Toronto and Quebec City in 2016, further strengthening Microsoft’s footprint in Canada’s competitive cloud landscape. “Soon, the Microsoft Cloud will be truly Canadian,” said Kevin Turner, Worldwide Chief Operating Officer, Microsoft, who travelled to Toronto to make the announcement. “This substantial investment in a Canadian cloud demonstrates how committed we are to bringing even more opportunity to Canadian businesses and government organizations, helping them fully realize the cost savings and flexibility of the cloud,” said Turner. According to IDC, total public cloud spend in Canada is projected to grow to $2.5B by next year. The fastest growth will be from Public cloud infrastructure with a strong 45 per cent increase by 2016. These new locally deployed services will address data residency considerations for Microsoft customers and partners of all shapes and sizes who are embracing cloud computing to transform their businesses, better manage variable workloads and deliver new digital services and experiences to customers and employees. General availability of Azure is anticipated in early 2016, followed by Office 365 and Dynamics CRM Online later in 2016. Janet Kennedy, President of Microsoft Canada, says delivering cloud services from data centres on Canadian soil opens up significant new cloud-based possibilities for organizations who must adhere to strict data storage compliance codes. “We’re very proud to be delivering the Microsoft Cloud right here in Canada, for the benefit of Canadian innovators, entrepreneurs, governments and small businesses. Delivering the flexibility of hyper-scale, enterprise grade, locally deployed public cloud services is the ultimate Canadian hat trick.” Canadian Customers Already Using Cloud Today Canadian customers of all sizes are already in the Microsoft Cloud. Even today, Microsoft delivers cloud-based email, Office 365, and CRM Online to more than 80,000 Canadian businesses. Companies like Air Canada, Quebecor and Hatch are saving money while empowering their employees to collaborate, be more productive and mobile with Office 365, Yammer, and Skype for Business. “Information systems and technology continue to be a differentiator for Hatch as it helps us to gain advantages in the marketplace – our use of Microsoft cloud is an integral part of this success. We are now able to focus on our business while benefiting from all the innovation Microsoft offers with a Service Level Agreement we can count on.” Christopher Taylor, Global Director, Hatch. Diply.com is a great example of an Ontario-based start-up leveraging Microsoft Azure, the company’s cloud-based infrastructure. The company delivers 850M page views per month on Microsoft Azure and owns no servers. Diply.com is able to rent servers from Microsoft by the hour based simply on the demand they receive. “We only pay for what we use,” said Gary Manning, CTO and co-founder at Diply.com. “We estimate our cost per 1,000 users is only $0.07! We’d never be able to build that back-end infrastructure ourselves.” Governments in Canada Welcome the Microsoft Cloud Ontario’s Deputy Premier and President of Treasury Board, Deb Matthews, applauded Microsoft’s commitment to enabling Ontario businesses to compete globally. “This commitment by Microsoft will further enhance the ability of Ontario’s innovative business sector to thrive and compete with the best in the world,” said Matthews. “To date more than 3,200 Canadian startups have benefited from joining the free BizSpark program, many of which are based in Ontario. By bringing the power of the cloud to Canada and providing free access through BizSpark, our entrepreneurs can truly compete with the best in the world.” John Tory, Mayor of Toronto, praised the announcement as a significant boost to Toronto’s digital infrastructure. “Together with Microsoft, we’re bringing Toronto into the 21st Century,” said Mayor John Tory. “Toronto is home to a skilled and talented work force that is ready to bring ideas to life. The City is committed to investing in state-of-the-art infrastructure that’s needed to attract good jobs and fuel innovation.” Tory noted that it’s estimated that more than 14,000 jobs in Toronto are connected to cloud computing. To learn more about Microsoft’s cloud touching down in Canada visit reimagine.microsoft.ca Additional Quotes “Microsoft gives us the high-performance infrastructure we need to handle major fluctuations in traffic and demand for a majority of our media websites,” said Richard Roy, Vice President of IT and Chief Technology Officer, Quebecor. “We only pay for what we use, eliminating the need for costly up-front investment in hardware. Microsoft has completely transformed the way we build new IT environments – what used to take days or weeks can now be done in a matter of minutes. Our move to Microsoft’s cloud with has enabled us to innovate rapidly in response to changing forces in our industry.” “We decided to move to the cloud with the Office 365 suite because of the globalization of CDPQ’s investment activities and our need for simplified collaboration among our teams around the world”, said Pierre Miron, CDPQ’s Executive Vice-President, Operations and Information Technologies. “CDPQ also welcomes Microsoft’s decision to establish two data centers in Canada, one in Quebec City and the other in Toronto,” added Miron. “The City of Regina partnered with Microsoft Canada in 2013 to become one of Canada’s first public sector organizations to embrace Office365,” said Chris Fisher, Director of IT, City of Regina. “That strategic decision, which raised eyebrows amongst our peers, continues to pay dividends as the product matures. It is helping the City find cost-effective ways for employees to efficiently communicate with each other and the public.” “As proud Canadians and creators of the world’s first 100% cloud-based digital asset management system, we’re eagerly awaiting the new Canadian data centres coming online next year,” said David MacLaren, President & CEO of MediaValet. “Since launching the first version of MediaValet in late 2010, we’ve had opportunities to work with healthcare, government and higher education organizations in Canada, but been hampered by their rigorous data compliance needs. Microsoft’s investment in a Canadian cloud will open up doors to significant sectors of the Canadian market and help us grow our market share on home soil.” About Microsoft Established in 1985, Microsoft Canada Inc. is the Canadian subsidiary of Microsoft Corporation (Nasdaq "MSFT") the worldwide leader in software, services and solutions that help people and businesses realize their full potential. Microsoft Canada provides nationwide sales, marketing, consulting and local support services in both French and English. Headquartered in Mississauga, Microsoft Canada has nine regional offices across the country dedicated to empowering people through great software - any time, any place and on any device. For more information on Microsoft Canada, please visit www.microsoft.ca. For further information, please contact: Natasha Beynon Veritas Communications beynon@veritasinc.com 416.640.4660
  18. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/banque-industrielle-commerciale-chine-montreal/ Bonne nouvelle, évidemment, mais l'histoire ne dit pas ou ils vont s'installer.
  19. Ça n'a pas été posté nulle part, me semble? http://fr.canoe.ca/infos/regional/archives/2013/06/20130604-135115.html
  20. http://www.lapresse.ca/international/201503/06/01-4850027-obama-le-petrole-canadien-est-extraordinairement-sale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-actualites_article_ECRAN1POS1 Publié le 06 mars 2015 à 18h12 | Mis à jour le 06 mars 2015 à 20h21 Obama: le pétrole canadien est «extraordinairement sale» WASHINGTON Le président américain Barack Obama n'est pas tendre envers le pétrole canadien. Il a déclaré vendredi que la manière dont le pétrole est extrait au Canada est exceptionnellement sale, ce qui explique pourquoi les écologistes sont si nombreux à s'y opposer. «Évidemment, il y a toujours des risques à extraire beaucoup de pétrole des fermes du Nebraska et d'autres régions du pays», a-t-il affirmé lors d'une rencontre avec des citoyens américains en Caroline du Sud. Le président américain semble de plus en plus critique à l'égard de l'oléoduc Keystone XL. Il répète depuis plusieurs mois que les bénéfices du projet seraient beaucoup plus grands pour le Canada et moins pour les États-Unis. Ses déclarations au collège Benedict se distinguent toutefois de ses précédentes puisqu'il a visé ici l'industrie toute entière. Le président a déclaré que sa décision d'opposer son veto à un projet de loi sur l'oléoduc n'est pas le dernier mot dans ce dossier et qu'il n'a pas encore pris de décision finale. Il répondait alors à la question d'un étudiant qui l'avait chaleureusement remercié de s'être engagé à contrecarrer le projet de construction. M. Obama a toutefois ajouté qu'il ne donnerait pas le feu vert à un oléoduc qui profite à une compagnie étrangère, à moins qu'on ne puisse démontrer qu'il est sécuritaire et qu'il ne contribue pas aux changements climatiques. Il a ensuite évoqué ce qu'il a appelé la menace catastrophique des changements climatiques, qui engendrent des feux de forêt, une hausse du niveau des océans, la perte de récoltes, des sécheresses, la famine, la guerre et la propagation de maladies transmises par des insectes. «Cela va vous toucher plus que les vieux comme moi. Ces dérangements économiques, sociaux et sécuritaires pourraient rendre vos vies et celles de vos enfants beaucoup plus difficiles (...) Ce que j'ai décrit, ce n'est pas de la science-fiction, pas de la spéculation. C'est ce que la science nous dit», a-t-il dit aux jeunes. Le gouvernement canadien martèle de son côté que l'oléoduc pourrait contribuer à émettre moins de gaz à effet de serre que le transport ferroviaire. «Cela reflète ce que certains groupes d'intérêt lui disent. Nous l'encourageons à regarder les faits dans ce dossier et à travailler avec nous - Albertains et Canadiens - pour devenir des chefs de file en protection de l'environnement», a plaidé Rob Merrifield, l'envoyé spécial de l'Alberta aux États-Unis. Il regrette que l'Alberta ait une si mauvaise réputation en environnement malgré tous ses efforts pour diminuer les émissions par baril. Il a rappelé que la province a été le premier État en Amérique du Nord à imposer un prix sur le carbone afin de mettre l'argent dans un fonds pour les technologies vertes. L'année dernière, le département d'État des États-Unis évaluait que le pétrole canadien produisait 17 pour cent plus d'émissions de gaz à effet de serre que le baril moyen aux États-Unis en 2005. M. Merrifield reconnaît qu'il reste encore beaucoup de travail à faire. «Nous n'y sommes pas arrivés. Nous n'avons jamais dit que nous y étions arrivés. Mais nous sommes premiers dans plusieurs secteurs et nous travaillons fort pour continuer à nous améliorer», a-t-il expliqué.
  21. Made you click Molson Coors relocating headquarters to 1801 California in downtown Denver Molly Armbrister Reporter- Denver Business Journal Molson Coors Brewing Co. will relocate its U.S. headquarters next year to Denver's second-tallest building: 1801 California. The company (NYSE: TAP) has leased 53,872 square feet in the 54-story tower at 1801 California St., which was purchased and upgraded by Brookfield Office Properties Inc. last year. Molson Coors will renovate the office areas, located on the 45th, 46th and part of the 47th floors, beginning in the spring. The company expects to inhabit the new space in fall 2015. Molson Coors' HQ is currently located at 1225 17th St. in Denver. It also has headquarters space in Montreal. "We are pleased to be moving to 1801 California, which will allow us to maintain our headquarters presence in vibrant downtown Denver," said Sam Walker, Molson Coors global chief people and legal officer. "This new location enables us to bring together our offices and employees under one roof and remain in the heart of Denver's thriving business community." 1801 California was formerly occupied entirely by Qwest Communications, but now CenturyLink Inc., which bought out Qwest, occupies about 30 percent of the building's 1.3 million square feet. Brookfield has been working to fill the building since completing its renovations on the property in February. "We're thrilled to have Molson Coors' U.S. headquarters making its home at 1801 California, said David Sternberg, executive vice president for the midwest and mountain regions for Brookfield. "1801 California is an ideal setting for Molson Coors — a landmark location for one of Colorado's iconic companies and one of the world's leading brewers," said Ted Harris, senior vice president at Cassidy Turley, one of the brokers on the transaction.
  22. Devrait-on imiter la Chine pour éviter les horreurs architecturales? Via LaPresse+ du 17 octobre : Chine : Pékin contre les « architecture grotesques » « STOP AUX ARCHITECTURES BIZARRES ET GROTESQUES », DÉCRÈTE PÉKIN AGENCE FRANCE-PRESSE PÉKIN — Le président chinois Xi Jinping a appelé à stopper l’essor des « architectures bizarres et grotesques », dans un pays où prolifèrent les curiosités urbaines, ont rapporté hier des médias d’État, alimentant un vif débat sur l’internet. À côté des bâtiments du XXe siècle aux formes austères et quasi soviétiques, les métropoles chinoises ont vu se multiplier ces deux dernières décennies les innovations architecturales accompagnant l’explosion du secteur immobilier et la poussée de l’urbanisation. Des conditions idéales pour attirer des architectes du monde entier, dont de grands noms comme Zaha Hadid, mais aussi nombre de jeunes inconnus, saisissant en Chine des occasions qu’ils n’auraient pas eues dans leur pays d’origine à ce stade de leur carrière. Mais au fil des ans, certains bâtiments et tours à l’aspect particulièrement déconcertant – souvent des projets coûteux commandés par des organismes d’État ou avec leur appui – ont suscité de vives controverses, alimentant des critiques acerbes sur l’usage à mauvais escient de fonds publics. Le nouveau siège de la télévision d’État (CCTV) à Pékin, conçu par l’architecte néerlandais Rem Koolhaas, a provoqué un torrent de sarcasmes, sa forme lui valant le surnom populaire de « Grand Pantalon ». Une paire d’arches sur des ponts traversant les fleuves Yangtsé et Jialing dans la métropole de Chongqing évoque des organes génitaux féminins, ce que relèvent d’abondants commentaires sur le web. Mais Xi Jinping, à la tête du pouvoir depuis près de deux ans, veut en finir avec ces « incongruités » : s’exprimant mercredi devant une délégation d’artistes, il a décrété que la Chine devait dire « stop aux architectures bizarres et grotesques », selon le Quotidien du peuple, organe du Parti communiste. À vrai dire, le siège même de ce quotidien – une tour pékinoise étrangement chapeautée, dont la silhouette est unanimement qualifiée de « phallique » – a été tellement moqué et raillé de façon grivoise sur les réseaux sociaux que les censeurs y ont banni un temps toute discussion sur le sujet. AVIS PARTAGÉS Si beaucoup d’internautes saluaient hier les injonctions du président Xi, d’autres se montraient plus modérés. « Mon sentiment, c’est que ce “non aux architectures bizarres” vise davantage les promoteurs que les architectes. Les propriétaires de tours sans égards [pour le paysage urbain] doivent être mis hors d’état de nuire », lançait un usager de Weibo, le Twitter chinois. Un autre répliquait, dans un microblogue : « On nous parle de “grotesque”, mais ces projets ont été librement conçus et choisis par les architectes et les promoteurs. Veut-on imposer le même sens de l’esthétique à des millions de personnes ? » LE PRÉSIDENT XI VEUT DES ARTISTES « PATRIOTES » Le président chinois Xi Jinping a demandé aux artistes de « servir le peuple » et de promouvoir le patriotisme et les « valeurs socialistes », suscitant des comparaisons dans la presse officielle avec un célèbre discours de Mao Tsé-toung de 1942. « Servir le peuple et la cause socialiste est une exigence du Parti communiste chinois (PCC), et ceci est essentiel pour l’avenir du développement culturel et artistique du pays », a déclaré le président chinois, cité hier par l’agence Chine Nouvelle, lors d’une rencontre la veille avec une délégation d’artistes chinois, comprenant notamment des écrivains, des acteurs et des danseurs. Le président Xi leur a demandé de ne pas devenir des « esclaves du marché » et de produire des œuvres qui ne « puent pas l’argent », mais mettent en valeur principalement le « patriotisme », favorisent des « points de vue corrects » et « répandent les valeurs chinoises contemporaines », a indiqué de son côté le quotidien Global Times. — Agence France-Presse
  23. http://affaires.lapresse.ca/economie/201409/09/01-4798383-je-vois-montreal-120-projets-pour-relancer-la-metropole.php Publié le 09 septembre 2014 à 06h31 | Mis à jour à 06h31 «Je vois Montréal»: 120 projets pour relancer la métropole Jacques Ménard, président de BMO Groupe Financier, a lancé le mouvement « Je vois Montréal » avec la chambre de commerce du Montréal métropolitai MAXIME BERGERON La Presse Quelque 120 projets concrets destinés à relancer l'économie montréalaise seront annoncés en une seule journée, le 17 novembre prochain, dans le cadre d'un sommet inédit. La rencontre, issue du mouvement citoyen « Je vois Montréal », réunira plus de 1000 participants de tous les horizons à la Place des Arts. Tous les projets présentés ce jour-là seront assortis d'un calendrier d'exécution, et des suivis réguliers seront effectués, promettent les organisateurs. « C'est un momentum qui se crée, fait valoir Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), en entrevue à La Presse Affaires. Ce n'est pas un événement où le lendemain, c'est fini. L'objectif, c'est de faire un suivi, qu'il y ait carrément des score cards et qu'on puisse éventuellement voir des projets qu'on avait annoncés qui finissent par se réaliser. » Des gestes concrets Plusieurs des projets qui seront soumis le 17 novembre sont encore en train d'être ficelés. Selon nos informations, la Caisse de dépôt et placement du Québec planche, par exemple, sur un programme qui donnera aux jeunes entrepreneurs montréalais un accès accru au conseil d'administration de grandes sociétés. « On veut quelque chose qui va avoir de l'impact », a indiqué une source à la Caisse. Parmi les autres initiatives, la BMO travaille sur un projet qui vise à « promouvoir et rehausser la marque de Montréal comme ville universitaire. » La Banque Nationale étudie pour sa part quelques concepts, dont l'un vise à mettre en valeur les chantiers de construction montréalais, perçus par de nombreux citoyens comme une grave nuisance. Le Centre Phi a, de son côté, conçu un nouveau slogan pour Montréal, qui pourrait servir de bougie d'allumage à une campagne d'image pour la ville. La Fondation Montréal lancera, quant à elle, un concours en collaboration avec toutes les universités montréalaises, a-t-on appris. L'exercice permettra d'identifier les meilleurs projets d'affaires et de les transformer en véritables entreprises. Jacques Ménard, président de BMO Groupe Financier qui a lancé le mouvement avec la CCMM, insiste sur la portée inédite de « Je vois Montréal ». La rencontre du 17 novembre ne sera pas une « grand-messe », ni un forum destiné à dresser des « listes d'épicerie » pour les gouvernements, dit-il. Il s'agira plutôt d'un grand exercice dont les résultats se feront sentir au moins jusqu'au 400e anniversaire de Montréal, en 2042. « C'est une mobilisation et aussi une responsabilisation plus grande de la société civile à l'endroit de la relance de Montréal et de l'atteinte du potentiel de Montréal par des gestes concrets, des initiatives concrètes, des engagements spécifiques que vont prendre des citoyens et citoyennes venant un peu de tous les milieux », a-t-il indiqué en entrevue à La Presse Affaires.
  24. http://www.montrealgazette.com/business/Obituary+David+Azrieli+touched+many+parts+society/10014707/story.html By Paul Delean, THE GAZETTE European-born David Azrieli, who fled the Nazis as a teenager, fought in the 1948 Arab-Israeli war and then found fortune in Canada, died Wednesday at age 92. According to Forbes magazine, the Montreal-based real-estate developer and businessman was one of the richest Canadians with an estimated worth of $3.1 billion. He also was one of the most generous, contributing more than $100 million to philanthropic causes around the world, many of them in the fields of medical research, education and the arts. “It’s a great loss,” said Susan Laxer, president of local Jewish organization Federation CJA. “He literally changed the landscape in Israel with his office towers and architecture, and with his philanthropy, he touched many parts of our society and community. Through his legacy, he’ll continue to touch the lives of many people.” Norma Joseph, professor of religion and associate-director of the Azrieli Institute of Israel Studies at Concordia University, described him as “a formidable person, very strong-minded. And he used his mind for a wonderful vision of community and building.” The institute got its start in 2011 with funding provided by the family foundation, “but he did more than give money. He also gave his personal time and effort,” Joseph said. Born into a Jewish family in Poland, Azrieli escaped ahead of the Nazi occupation and kept moving, winding up in British Mandate Palestine in 1942. He studied architecture at Technion-Israel Institute of Technology and fought in Israel’s war of independence before settling in Canada in 1954. In a rare 1973 interview with the Montreal Star, he said he arrived here with no family connections and “literally, penniless.” “Nobody gave me anything,” he said. After earning a Bachelor of Arts degree from the Université de Montréal and working at a number of jobs, he had enough saved for his first solo project in 1957, construction of four duplexes on vacant lots he purchased in Ville D’Anjou. It was the start of a real-estate juggernaut that would eventually include thousands of apartment units, office buildings and shopping centres in Canada, the U.S. and Israel. Among his local holdings is the downtown Dominion Square Building housing The Gazette, acquired for $78.25 million in 2005, and the Sofitel Hotel. The Azrieli Group also held interests in companies active in the fields of energy, water and finance. He remained its chairman until last week when daughter Danna succeeded him, a move prompted by his medical condition. A sometimes controversial figure, Azrieli made headlines in the 1970s when he razed the former Van Horne Mansion on Sherbrooke St. and erected a 17-storey office tower on the site. In 1984, he sued The Gazette for libel over an editorial about a local development, but lost. “From the times of the pyramids to those of the skyscrapers, the works of architects and builders have been monuments to their glory or to their shame,” Superior Court Judge Paul Reeves said. “They build before the public eye and the public rightfully says whether it likes or dislikes what it sees.” In his later years, Azrieli split his residency between Israel and Westmount. “I have two homelands,” he once said, “two places that I love and where I have been blessed to do what I love best.” Active in and supportive of Jewish causes throughout his lifetime, he served as president of the Canadian Zionist Federation and in 2008 authored a book called Rekindling the Torch: The Story of Canadian Zionism, which told the story of the contribution of Canadian Jews and non-Jews to establishment of the state of Israel and their continuing support for the country. He also made Holocaust remembrance a personal crusade after it took from him two siblings and both parents. “This is my vision, to be able to use the tangible rewards of my career in building and construction to create a legacy for education and educational institutions in both of my homelands,” he said. A recipient of the Order of Canada, Azrieli also was a “chevalier” of the Ordre National du Québec. Married for 57 years to Stephanie Lefcort, he had four children: Rafael, Sharon, Naomi and Danna. He died surrounded by family at his country home in Ivry-sur-le-Lac, Que. pdelean@montrealgazette.com
  25. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
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