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  1. Appel à préserver la vue sur le mont Royal Par Mathias Marchal Métro http://journalmetro.com/actualites/montreal/969153/garder-le-mont-royal-dans-le-paysage/ Josie Desmarais La rue Peel fait partie des rues à partir desquelles la vue sur la Montagne est restreinte La prolifération des tours au centre-ville nuit aux vues sur la montagne et de la montagne, notent des intervenants qui suggèrent notamment de protéger certains corridors visuels. Pour évaluer à quel point le mont Royal est visible à partir du centre-ville, François Bastien, chercheur au département de photographie du Cégep du Vieux-Montréal a notamment parcouru la rue Sainte-Catherine, le long de ses contreforts, et a mesuré à quel point la montagne était visible entre la rue Dufort et l’avenue McGill College. Il présentait ses conclusions la semaine dernière dans le cadre d’une journée d’étude organisée par les Amis de la Montagne et intitulée Le Mont-Royal pourrait-il disparaître? Sur une quinzaine de rues présentées dans sa recherche, seule celle de l’avenue McGill College offre une vue dégagée sur la montagne. «Les rues MacKay, Saint-Mathieu, Pierce et Towers n’offrent aucune vue sur le mont Royal, alors qu’une seule donne à voir le belvédère Kondiaronk, celle de la rue de la Montagne», a souligné M. Bastien. Il a ajouté que le développement immobilier pourrait encore réduire l’aspect visuel de la montagne. S’il convient que la construction de tours sur des lots vacants au centre-ville entre en conflit avec certains éléments du paysage, le chef d’équipe à la division de l’urbanisme de l’arrondissement de Ville-Marie, Bruno Collin, reste ferme: «Si on gelait le développement au centre-ville, on serait collectivement perdant», a-t-il affirmé. M.Collin a présenté de son côté les mesures prises par les autorités municipales pour préserver la vue. «Pour protéger la vue sur le mont Royal à partir de la place Vauquelin, proche de l’hôtel de ville, on a revu toutes les hauteurs maximales des édifices dans cet axe», a-t-il donné en exemple. L’autre aspect pris en compte par l’arrondissement: la vue sur le fleuve Saint-Laurent à partir du belvédère Kondiaronk, qui se réduit au fil de l’érection de nouveaux édifices. «On peut travailler avec le promoteur pour revoir la forme des tours [ou] donner des dérogations pour en augmenter la hauteur et, en contrepartie, en réduire la largeur pour aménager des espaces entre les édifices qui préservent la vue sur le fleuve à partir de la montagne», a-t-il ajouté. Mais la lutte pour la sauvegarde de la vue n’est pas qu’une question de construction, a prévenu François Bastien. Sur la place d’Armes, des arbres ont été plantés récemment. D’ici 10 ans, quand ils seront devenus matures, ils bloqueront la vue sur la montagne, qui est déjà quasiment invisible à partir du Vieux-Montréal, a-t-il lancé. Le chercheur a plaidé pour l’instauration de corridors visuels. «Protéger la vue sur la montagne et depuis la montagne, c’est protéger l’action du regard dans l’espace du lieu, c’est contribuer au maintient de l’identité visuelle de la métropole», a-t-il insisté. 140 Le parc du Mont-Royal a eu 140 ans la semaine dernière. En comparaison, la Ville de Montréal ne dispose d’un service d’urbanisme que depuis 75 ans. Approfondir le sujet: Pour pouvoir en apprendre plus, les autorités municipales et gouvernementales ont mis au point une véritable Bible du Mont-Royal avec une architecte paysagiste. L’Atlas du paysage du mont Royal comprend 233 pages où tous les secteurs de la Montagne sont identifiées et analysées sous plusieurs angles: historique, topographique, paysagère etc. sent via Tapatalk
  2. http://www.sdemontreal.com/fr/est/projets CITÉ PORTUAIRE : ACCESSIBILITÉ ET RAYONNEMENT Le projet de la Cité portuaire vise à appuyer le développement du port de Montréal et des activités économiques qui y sont afférentes. Le projet de la Cité portuaire vise à : accroître l’accessibilité terrestre du port de Montréal élaborer, avec les partenaires, un projet de développement fondé sur les avantages comparatifs et les atouts de Montréal en tant que ville portuaire, en misant notamment sur le secteur de la logistique préserver l’intégrité physique et fonctionnelle des accès ferroviaires et maritimes aménager, dans le port et à proximité, des sites d’observation et d’interprétation des activités portuaires doter Montréal d’une gare maritime internationale
  3. Patrimoine - Les églises d'Hochelaga-Maisonneuve auront une idée de leur sort en août Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du jeudi 09 juillet 2009 Mots clés : Fermeture, Hochelaga, Patrimoine, Église (immeuble), Montréal Les deux églises du quartier Hochelaga-Maisonneuve menacées de fermeture devront encore patienter quelques semaines avant d'être fixées sur leur sort. La semaine dernière, le comité de sauvegarde des deux lieux de culte a donné jusqu'à la fin d'août à une firme d'architectes et à une compagnie spécialisée en rénovation patrimoniale pour remettre des dossiers sur l'avenir des deux églises. «On aura des propositions beaucoup plus intéressantes avant la fin de l'été», résume Carole Poirier, députée de la circonscription à l'Assemblée nationale et porte-parole du comité. «Les solutions seront présentées à la population cet automne. Ce sera une forme de consultation.» Les deux églises catholiques, Très-Saint-Nom-de-Jésus et Saint-Clément, situées près l'une de l'autre dans la rue Adam, n'attirent presque plus de fidèles et coûtent des centaines de milliers de dollars à entretenir chaque année. L'évêché a donc décidé de les fermer au culte. L'objectif à moyen terme vise la construction de logements sociaux sur le site de Saint-Clément. Les esquisses préliminaires n'ont pas satisfait le comité. Les architectes doivent en livrer de nouvelles à la fin d'août. «Nous avons eu des discussions sur la préservation de l'église comme telle, explique Carole Poirier. On comprend bien qu'il ne sera pas possible de tout préserver. Nous avons tenté d'établir un compromis autour des sections à préserver absolument. Les architectes vont travailler à partir de ces idées.» Il est également envisagé de transformer la nef ou d'autres parties en centre de diffusion ou de création artistique. Des logements pour les artistes pourraient aussi être intégrés au projet, mais il y a loin de la coupe aux lèvres. «Il y a plusieurs groupes associés au projet parce qu'on veut mettre en place un mouvement d'économie sociale, dit Mme Poirier. Les services connexes seront tous offerts par des organismes de l'économie sociale présents dans Hochelaga-Maisonneuve.» Une douzaine de personnes assistaient à la rencontre de la semaine dernière. Le comité a aussi décidé d'octroyer un contrat pour l'examen de la structure de Très-Saint-Nom-de-Jésus. La firme recommandée par le ministère de la Culture doit déterminer la nature et le coût des travaux à réaliser à court, à moyen et à long terme sur la structure de l'édifice centenaire. Avec ses 5000 mètres carrés, ce temple a la taille d'une cathédrale romano-bysantine. L'orgue de tribune de la maison Casavant frères (opus 600), installé en 1915, est toujours un des plus puissants au monde. L'orgue a été restauré pendant la dernière décennie, avec l'aide de l'argent public, mais aussi de dons des citoyens. Si l'église doit être démolie, le comité étudie la possibilité de conserver l'instrument de 91 jeux, répartis sur quatre claviers, dans l'église voisine de la Nativité. Cette seule opération délicate coûterait trois quarts de millions. http://www.ledevoir.com/2009/07/09/258364.html
  4. Le président des États-Unis est prêt à répéter les sauvetages comme celui de Citigroup pour préserver le système financier. Pour en lire plus...
  5. Le Tribunal de première instance des Communautés européennes a rejeté mercredi les efforts faits par Lego afin de préserver la marque de commerce de son jeu de construction. Pour en lire plus...
  6. Afin de préserver la concurrence des banques canadiennes, le ministre des Finances du Canada annonce un nouveau programme temporaire de garantie des prêts interbancaires. Pour en lire plus...
  7. La majorité des caisses de retraite canadiennes sont parvenues tout juste à préserver leur capital au cours de la première moitié de l'année, tant les rendements ont été médiocres. Pour en lire plus...
  8. jeudi 29 novembre 2007 L'Ordre des architectes du Québec a décerné hier un prix d'excellence en architecture aux architectes Pierina Saia et Réal Paul ainsi qu'à la Ville de Montréal pour la rénovation exemplaire du pavillon du Lac-aux-Castors, sur le mont Royal. Les architectes ont su préserver et retrouver l'esprit original de cette construction réalisée en 1958 par Hazen Sise et Guy Desbarats. Les architectes ont eu recours au même céramiste qu'à l'époque, Claude Vermette, pour rendre au pavillon son éclat d'autrefois.
  9. (12 avril 2007)Les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal ont autorisé le lancement d’appel d’offres public pour des travaux d’exécution dans le cadre de la remise en bon état du belvédère Camilien-Houde dans le parc du Mont-Royal pour un montant évalué sommairement à 225 000$. «Ces travaux de restauration permettront d’améliorer la qualité du site, des aménagements, de les préserver en redirigeant les eaux de ruissellement pour éliminer les problèmes d’érosion et de bonifier le mobilier urbain pour répondre aux besoins des utilisateurs», explique Helen Fotopulos, mairesse de l’arrondissement Plateau Mont-Royal. Plusieurs composantes du belvédère ont subi une dégradation depuis son aménagement en 1995.
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