Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'près'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. I don't know if this is already posted, anyways anybody have some renderings...big bucks in Laval $150,000,000.00!!!!! 2 storey penthouses in the sky...!!! Lancement du projet Quintessence à Laval 9 mars 2011 Communiqué C’est le jeudi 10 mars qu’aura lieu l’annonce officielle de l’imposant projet haut de gamme d’appartements en copropriété. Le complexe, d’une valeur de 150 millions $, sera construit à Laval près du Centropolis et du Carrefour Laval. La première pelletée de terre aura lieu au printemps 2011 et la livraison des appartements de la première phase est prévue en 2012. Le projet comptera globalement cinq immeubles dans lesquels on trouvera de luxueux appartements terrasses, plusieurs locaux commerciaux, un centre de conditionnement physique et plusieurs espaces verts. Plus de détails à venir. Source : Patrick Sakal :goodvibes: http://essencedevivre.com/
  2. http://journalmetro.com/actualites/national/419174/ces-eglises-qui-changent-de-vocation/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">Ces églises qui changent de vocation Par Marie-Eve Shaffer Métro </header><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; color: rgb(86, 86, 86); font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif; font-size: 15px; line-height: 27px; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Archives MétroL’église Sainte-Germaine-Cousin, à Montréal, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance.</figcaption></figure> Depuis une décennie, pas moins de 285 églises du Québec ont changé de vocation, sinon elles sont sur le point de le faire. La majorité de ces églises ont été converties. Elles ont été mutées en centres communau*taires, en bibliothèques, en salles de spectacle ou même en im*meubles à logements abordables, d’après une compilation scrupuleuse du Conseil du patrimoine religieux du Québec (CPRQ), un organisme à but non lucratif qui veille à la mise en valeur des biens et des immeubles de l’Église. Parfois, les nouvelles fonctions de ces églises sont multiples. Par exemple, l’église Sainte-Germaine-Cousin, dans l’arrondissement de Rivière-des-Pariries–Pointe-aux-Trembles, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance. À la place de l’ancien presbytère, un immeuble à logements pour des personnes âgées sera construit. <aside class="related-articles" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 25px 0px;">À ce sujet: Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir </aside>Les activités de culte ne sont pas nécessairement écartées des projets. Plusieurs communautés religieuses ont d’ailleurs racheté ces églises. Dans d’autres cas, un espace plus restreint a été accordé aux religieux. À La Durantaye, dans Chaudières-Appalaches, l’église Saint-Gabriel a été trans**formée en centre multifonctionnel. Les bancs ont été retirés. Le chœur y est toujours, mais il est dissimulé derrière un rideau lors des activités laïques. Dans moins de 1% des cas, les églises ont été modifiées pour abriter des condos. «Des projets de condos, ce n’est pas l’avenir, a indiqué le chargé de projet du CPRQ, Denis Boucher. Il y a toutes sortes de modifications qui doivent être faites et leur coût est énorme.» D’après la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal, Solange Lefebvre, le Québec est en avance sur plusieurs pays, notamment européens, lorsqu’il est question de trouver un nouvel usage aux églises. «On est plus avancé dans la mesure où on en a déjà converti, a-t-elle dit. On a assumé déjà le fait qu’il fallait [convertir ces églises]». Mme Lefebvre a notamment souligné la création de la Fondation du patrimoine religieux du Québec, en 1995, qui est devenue en 2007 le CPRQ, ainsi que le rapport de la Commission de la culture déposé en 2006, Croire au patrimoine religieux du Québec. La deuxième vie des églises du Québec Infographie: Steve Proulx/37e avenue Le gouvernement du Québec a en plus consacré près de 275 M$ dans la restauration du patrimoine religieux depuis 1995. Bien que le Québec ait fait un pas de plus, il est encore trop souvent en mode réaction, a déploré l’architecte Ron Rayside. «Il faudrait que l’archevêché, les églises, la Ville et peut-être même le gouvernement du Québec s’assoient ensemble pour voir quel sera le plan pour les 20 prochaines années. Il faut qu’on ait une grande réflexion et surtout le temps de la faire», a-t-il fait savoir. En 2006, la Commission de la culture a demandé en vain au gouvernement du Québec de décréter un moratoire «sur l’aliénation et la modification des bâtiments religieux». Ron Rayside regrette que trop souvent, les communautés cherchent à la va-vite un nouvel usage à leurs églises. Lorsque celles-ci sont fermées, elles se détériorent rapidement, faute d’entretien. Et le temps que les communautés, sinon les promoteurs, trouvent un projet réalisable et le financement nécessaire, la dégradation s’accélère. «Quand on trouve un acquéreur, il y a une facture de mise à niveau qui est énorme, a rapporté M. Boucher. Et je ne parle pas de mise aux normes et de tout ce que le bâtiment peut exiger selon l’usage qu’on veut en faire.» Près de 100 ans de changement Depuis près d’un siècle, des églises du Québec sont vendues, transformées sinon démolies. Elles ont laissé leur place dans un premier temps à des développements immobiliers ou même autoroutiers. Sinon, elles sont devenues inutiles en raison de la fusion de deux communautés religieuses. À partir des années 1990, la désertion des églises, le vieillissement de la communauté religieuse et la baisse des vocations religieuses ont poussé les diocèses et les fabriques à commencer à se départir de leurs bâtiments, dont l’entretien est onéreux. Une poignée d’églises changeaient alors de main à chaque année. De 1900 à 2003, près de 250 églises ont été converties, selon l’évaluation de la Chaire de recherche en patrimoine urbain de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, la cadence s’est accélérée. Tellement qu’aujourd’hui, près d’une église par semaine est fermée, vendue ou transformée. Au moins 50 églises délaissent annuellement en tout ou en partie leur fonction religieuse. Des travaux sont actuellement réalisés dans 13 d’entre elles. *** Le financement, le nerf de la guerre Le ministère de la Culture dispose d’une enveloppe budgétaire, dont une partie est gérée par le CPRQ, pour protéger le patrimoine religieux. Le CPRQ accorde son aide financière à hauteur de 70% des coûts des projets. Il évalue ceux-ci selon la valeur patrimoniale de l’église – un classement des églises cons*truites avant 1945 a été fait –, la teneur des travaux et la participation de la communauté. Du côté du ministère de la Culture, il finance en partie les projets situés sur des sites patrimoniaux, désignés par lui-même ou les municipalités. «Dans le cas de la basilique Notre-Dame, dans le Vieux-Montréal, il n’y a pas de problème, c’est une église reconnue qui est bien classée par le [CPQR]. Quand l’église n’est pas bien classée, elle n’est pas dans les “winners” qui ont accès à l’argent», a expliqué la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal et la titulaire de la Chaire religion, culture et société, Solange Lefebvre. Par région Nombre d’églises fermées, transformées ou en cours de transformation par région du Québec Bas-Saint-Laurent: 15 Saguenay–Lac-Saint-Jean: 14 Capitale-Nationale: 18 Mauricie: 14 Estrie: 30 Montréal: 58 Outaouais: 8 Abitibi-Témiscamingue: 15 Côte-Nord: 4 Nord-du-Québec: 0 Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine: 4 Chaudière-Appalaches: 17 Laval: 1 Lanaudière: 5 Laurentides: 21 Montérégie: 47 Centre-du-Québec: 14 TOTAL: 285 Source: Le Conseil du patrimoine religieux du Québec. Les chiffres sont basés sur un inventaire des lieux de culte réalisé en 2003 et mise à jour régulièrement par le CPRQ. Série Métro propose cette semaine une série sur le patrimoine religieux au Québec Aujourd’hui. Ces églises qui trouvent une nouvelle vocation et Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir Demain. Ces églises qui ne sont plus Mercredi. Une conversion unique: un spa Jeudi. Très-Saint-Nom-de-Jésus en attente Vendredi. Le cas de l’Oratoire Saint-Joseph
  3. Projet résidentiel Dans le quartier Sainte-Marie, à côté de la piste cyclable sur René-Lévesque, prés du pont Jacques-Cartier
  4. Sax: Un air de jazz GENEVIÈVE VÉZINA-MONTPLAISIR MÉTRO 29 avril 2010 00:52 (...) «Si vous venez à notre bureau des ventes, vous pourrez voir le caractère moderne de notre salle de bain et de notre cuisine modèle, souligne-t-elle. Celles-ci possèdent seulement le fini de base et il est déjà très luxueux.» Tandis que le troisième projet Sax est présentement en construction, le Groupe Kevlar prépare déjà son quatrième projet Sax. Celui-ci sera situé à Longueuil et ses unités seront mises en vente en mai 2010. Pour plus de renseignements, visiter le site http://www.sax-1.com
  5. Bourbonnière et Masson • 12 condos de 1 ou 3 chambres • Situé près de la Promenade Masson • Mezzanines et terrasses privées sur le toit • Occupation - mars 2013 http://idevco.ca/fr/bourbonniere.html
  6. Demande de démolition Dans le quartier Sainte-Marie, prés de la rue Cartier http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav17078.pdf Construction d'un bâtiment mixte de 3 étages (commercial au rdc, résidences aux étages)
  7. Description Le 2520 Monsabré est un projet de 3 condos de 2 chambres, de 1179 pi2 situé dans le secteur Mercier, à 10 minutes de marche du métro L’Assomption. Facilement accessible par l’autoroute 25 (Pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine) et à 10 minutes du Centre-Ville. Ce projet inclut: Chambre principale avec walk-in, Surface à aire ouverte, Grand balcon avant et arrière, Grande fenestration, Plancher bois franc et céramique, Air climatisé, Échangeur d’air, Entrée privée, Plafond de 9 pieds, Près d'une piste cyclable ... Demi sous-sol : 227 900 $ + taxes Rez-de-chaussée : 249 900 $ + taxes Deuxième étage : 257 900 $ + taxes Subvention possible de 4 500 $ à 10 000 $. Plus d'information à la page: http://www.2520monsabre.com
  8. Projet en construction à Laval près de l'Hôtel de ville
  9. L'édifice Blumenthal, un immeuble désaffecté de huit étages, deviendra la Maison du Festival de jazz et accueillera, entre autres, une salle de spectacle de 300 places avec resto-bar dédiée au jazz, au blues et à la musique du monde. On y retrouvera aussi un centre de documentation réunissant les archives du festival, un temple de la renommée du jazz et une galerie. L'édifice abritera également des locaux pour les services techniques, les services de sécurité, des loges et autres composantes logistiques requises pour la tenue des événements sur la place des festivals. Le gouvernement du Québec, propriétaire du terrain, alloue près de 9 M$ pour la réfection du bâtiment de 65 000 pieds carrés. Le Festival de jazz, pour sa part, investira 4M$ dans l'aménagement et les équipements requis, dont 3 M$ seront sollicités auprès de partenaires privés. Source: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=3256,15657565&_dad=portal&_schema=PORTAL http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/02/29/002-jazz_n.shtml
  10. Nom: Îlot Voyageur Sud Hauteur en étages: 7, 14 Hauteur en mètres: Coût du projet: 246 000 000,00$ Promoteur: Société québécoise des infrastructures Architecte: Daoust Lestage Entrepreneur général: Emplacement: Début de construction: 2014 Fin de construction: 2019 Site internet: Lien webcam: Autres informations: * Le projet sera occupé par près de 2500 fonctionnaires de Revenu Québec Rumeurs: Aperçu artistique du projet: Maquette: Autres images: Vidéo promotionnelle:
  11. AVENUE DU PARC YVES BOISVERT LA PRESSE C’est drôle à dire, je n’avais jamais vu le rapport avec le parc du Mont-Royal. On nomme les lieux, les places, et un jour on n’entend plus que le son des lettres emmêlé dans des souvenirs. Parc, Parc… On va sur Parc, on se retrouve Parc et Fairmount, Parc et Villeneuve… Ç’aurait aussi bien pu être un mot grec. C’en était un d’ailleurs, même si eux disaient plutôt Park. Entre les rues Van Horne et Mont-Royal, des dernières rues d’Outremont à celles du Mile End, se rencontraient sur Parc cinq ou six Montréal, francos, Grecs, juifs plus ou moins orthodoxes… Les Grecs sont partis pour la plupart. Leurs cafés où l’on a découvert le très exotique baby-foot ont été remplacés par ceux des baristas. Salona (le meilleur), le Coin grec, tous ces bouis-bouis où l’on vous grillait et vous emballait un souvlaki pour pas trop cher – plus de tzatziki svp –, où sont-ils ? La Skala, ça on le sait, c’est la Régie des alcools qui l’a fait fermer, et pas pour un problème d’alcool ni de raton laveur… Il paraît qu’à côté, il y avait un bordel « ethnique » et que « tout le monde sait ça », sauf moi, alors je ne vous en parle pas. *** Les odeurs délimitent les quartiers mieux que les noms de rues. Les yeux fermés, en remontant vers le nord, tu sais à combien de mètres tu te trouves de la rue Rachel, selon l’intensité des résidus de fumée de charbon de bois portugais. Mais tu ne sais plus où tu te trouves sur Parc, depuis qu’ils ont éteint leurs grils. Chez le barbier ou au resto, il y avait toujours près de la caisse des photos du propriétaire avec le député – de préférence libéral, sauf Gérald Godin –, le maire, le conseiller municipal, une vedette de passage… Les murs étaient décorés d’images délavées du Parthénon, de paysages crétois ou de statues de héros antiques… Même notre professeur (grec) de physique à Paul-Gérin-Lajoie avait ouvert le sien. On aurait dit que tous les Grecs devaient avoir une moustache et un restaurant. C’était un homme délicat qui mettait des barres au milieu de ses z et qui était champion de backgammon. Il n’avait pas la moindre autorité et la seule fois qu’il s’est mis en colère, c’est quand on avait fait la journée « hommes en jupe ». Il y a des choses sacrées dans la vie, il y a des choses qui ne se font pas, comme un homme qui s’habille en femme, qu’il avait dit. Pour une fois, on s’était tous tus, non pas honteux, mais décontenancés devant tant de sincérité dans l’indignation. Son restaurant a fermé, quelqu’un a dû abuser de sa bonté. Le St-Viateur Bagel était presque exactement comme il est aujourd’hui, ouvert 24 heures sur 24. Un corridor où des sacs de farine s’empilent à côté des cartons d’œufs, le tout destiné à produire un immense blob de pâte déposé sur une table de boulanger. Un gars y prélève une lanière, la roule à la main, en fait un cercle, les trempe, les aligne sur la longue languette de bois noircie, les enfile au four à bois, en ressort la rangée d’à côté, dorée juste comme il faut… Le propriétaire dans le temps avait à l’avant-bras le numéro de série bleui que les nazis lui avaient tatoué à Buchenwald. Dites ce que vous voudrez de la supériorité supposée des bagels Fairmount, j’étais et je serai toujours du côté de St-Viateur. C’est là souvent que se finissaient les soirées après la fermeture des bars, l’hiver par - 20, la buée plein les fenêtres et des graines de sésame dans le manteau. *** Nos premiers bars étaient tous sur Parc. L’Idéefixe, mais surtout le « 5116 », situé comme par hasard à cette adresse-là (prononcer 51-16), on voit que le patron, un ancien de la police, s’était creusé la tête. Piste de danse, rock pur et dur et Pac-Man à l’étage, grosses Black Label au sous-sol, qu’on appelait le « Pitt ». À la « Pleine Lune », plus au nord, c’était plus « New Wave ». L’éclairage était fluo et il fallait être avec une fille pour ne pas faire la file. Le Dairy Queen a survécu à l’embourgeoisement. Quand il aura trouvé la dernière molécule du dernier vignoble, François Chartier devrait se pencher sur l’harmonie des saveurs du banana split. Le glacé de crème glacée, le tiède de la banane, le chaud du chocolat… La pointe d’acidité de l’ananas qui vient sauver le mangeur au moment où l’excès d’onctuosité et de sucre allait l’écœurer pour de bon… Cette fraise cuite et molle ragaillardie par la glace… Ce reste de produit naturel dans une mer chimique… Tout est en équilibre précaire, mais si on le mange au bon moment, c’est parfait, y a pas d’autres mots : parfait. J’en ai mangé pour plusieurs vies, dans ce parking qui ne dialogue pas très bien avec le décor, comme on dit chez les architectes. Mais j’avoue : à peu près tout jure, dans cette rue où tout se frôle sans se mêler. C’est son non-aménagement chaotique qui en fait la signature. Parc, c’était juste assez près pour s’y ramasser chaque soir d’été et juste assez loin pour ne pas connaître le pharmacien. Tout adolescent a besoin d’un pharmacien qui ne le connaît pas, les soirs de pleine lune et les lendemains aussi des fois. Je dis « Parc », je ne vois pas le parc. Je vois les visages, les amis, les amours. Des couleurs ont pâli comme les affiches blanc et bleu, d’autres sont toujours aussi éclatantes. J’y vais encore souvent, voir si j’y suis. http://plus.lapresse.ca/screens/a9cdef5d-f9aa-4777-bd2a-48424dec7990%7C_0.html
  12. Montréal, championne du MICE des Amériques. Montréal attire toujours autant le MICE. Pour la cinquième année consécutive, la ville québecoise est la première destinations des Amériques pour l'accueil d'événements internationaux, selon l'International Meetings Statistics for the Year 2015 publié par l'Union des Associations Internationales (UAI). Montréal, championne du MICE des Amériques Montréal attire les conventions, les congrès et autres meeting. Elle a accueilli 108 événements internationaux au cours de l'année 2015. Cela représente une hausse de 29 % par rapport à 2014. La métropole québécoise devance ainsi les grandes villes américaines en recevant 42% d'événements internationaux de plus que New York (premier rang aux États-Unis) ou encore 59% de plus que Washington DC. Au Canada, Montréal domine aussi largement en accueillant plus de la moitié (52 %) des manifestations internationales qui ont lieu dans les trois grandes destinations du pays (Toronto, Vancouver et Montréal). Pour l'année 2015-16, le Palais des congrès de Montréal a comptabilisé près de 57 000 participants qui ont pris part à 25 congrès internationaux. Ces activités ont permis de générer près de 118 000 000 $ en recettes touristiques pour la ville. Il est possible de se procurer le rapport Meetings Statistics for the Year 2015 complet sur ce lien. Son prix est de 1080€ au lieu de 1270€ jusqu'au 1er septembre. http://www.uia.org/publications/meetings-stats http://www.deplacementspros.com/Montreal-championne-du-MICE-des-Ameriques_a38977.html?TOKEN_RETURN
  13. Salut, c'est ma première publication sur le forum! J'en profite pour parler d'un projet de Côte-des-Neiges, mon quartier chéri. C'est un immeuble à condos de Mondev: Les Lofts Gatineau. Emplacement: Avenue Gatineau, entre Swail et Jean-Brillant, en face du parc Jean-Brillant, près de la station Côte-des-Neiges. Livraison: printemps 2017 89 unités
  14. ROSEMONT SUR LE PARC - 48 CONDOS NEUFS - LANAUDIÈRE COIN BOULEVARD ROSEMONT Condo Montréal. Nouveau projet à Rosemont. 48 condos de Studio, 1 et 2 chambres à partir de 134 452$. Subvention disponible selon le nouveau programme de la Ville en 2010. Rosemont sur le Parc est situé sur la rue Lanaudière près du boulevard Rosemont, dans un secteur en pleine évolution. Découvrez nos différents plans en cliquant sur les unités disponibles. Réservez votre unité pour occupation été/automne 2012. Projet de MONDEV http://www.mondev.ca/condo-montreal-rosemont-sur-le-parc-48-condos-neufs-a-montreal-rosemont-.html?ProjetID=114
  15. Exit la zone industrielle! par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 29 octobre 2009 à 15:08 Près de deux ans après son entrée en vigueur, le généreux programme fiscal favorisant la conversion de la zone industrielle avoisinant la station de la Concorde donne ses premiers fruits. La cour à bois de Carrière Lefebvre, qui borde la rue Robert-Élie au nord du boulevard de la Concorde, est à disparaître. D’une valeur estimée au rôle à 2,3 M$, la demi-douzaine de bâtiments qui abritait des matériaux de construction croule actuellement sous le pic des démolisseurs. Jusqu’à 12 étages Construction Voyer, le nouveau propriétaire des lieux, entend mettre en chantier d’ici les prochaines semaines deux premiers bâtiments locatifs de six et de douze étages, a confirmé au Courrier Laval le porte-parole de la Ville, Marc Laforge. «Le bâtiment de six étages sera construit en façade de la rue Robert-Élie et celui de 12 étages s'élèvera en arrière-plan, près de la voie ferrée», dit-il, rappelant que le plan particulier d'urbanisme [PPU] ne prévoit aucune limite de hauteur, mais plutôt un minimum de deux étages par bâtiment. À terme, ce développement résidentiel compterait neuf bâtiments de 6, 8 et de 12 étages, qui totaliseront quelque 450 unités d’habitation, nous affirmait le président de Construction Voyer, Jean-François Voyer. Adopté en janvier 2008 par le conseil municipal, le PPU visait justement la densification du secteur. «Si on ne favorise pas la densité près de la station de métro, dites-moi où on le fera?» avait fait valoir le maire Vaillancourt aux citoyens qui questionnaient la hauteur des immeubles projetés, lors d’une séance de consultation publique tenue en février 2008. Zéro logement social Selon M. Voyer, 75% des unités du projet seront vouées au secteur locatif contre 25% pour les unités en copropriété. À la Ville, on indique que le présent développement n'offrira aucun logement social, alors que l'adoption du PPU devait pourtant «permettre d'exiger des promoteurs à consentir à du logement social à proximité des stations», avait insisté M. Vaillancourt lors de la consultation publique de 2008. Le PPU se voulait «une garantie pour les gens à faible revenu de pouvoir demeurer dans le quartier», assurait-il. Questionné à ce propos, Marc Laforge soutient que c'est «toujours la volonté de l'administration municipale qu'il y en ait [du logement social] et il y en aura», dit-il, en évoquant de futurs projets qui prendront éventuellement racine de l'autre côté du boulevard de la Concorde. Incitatifs majeurs Rappelons qu'en 2007, l’administration Vaillancourt a voulu profiter de l’arrivée du métro pour faire table rase des zones industrielles enclavées du secteur résidentiel de Laval-des-Rapides. Pour en accélérer le processus, elle a concocté un alléchant programme fiscal susceptible de convaincre les entrepreneurs de la place à relocaliser ailleurs leur exploitation industrielle. Selon certaines conditions, l’aide financière accordée sous la forme d'un crédit de taxes vise le droit de mutation et la taxe foncière générale imposée sur l'immeuble où l'entreprise se relocaliserait. Dans le cas de Carrière Lefebvre, l’entreprise a déjà fait son nid dans le parc autoroutier de la 25. Pour la taxe de Bienvenue, le crédit équivaut à 100% du montant du droit sur les mutations immobilières au moment du transfert de propriété. Quant à la taxe foncière relative à la valeur imposable de l'immeuble, le programme d'allègement fiscal se décline sur cinq ans, à raison d'un crédit de 100% la première année, 90% la seconde, 80% la troisième, 60% la quatrième et d'un crédit de 40% la dernière année. Le même forfait fiscal s'applique à la construction d'unités de logement sur les terrains vacants situés dans le périmètre visé. Mine de rien, Carrière Lefebvre libère 340 000 pieds carrés de terrain au nord du boulevard de la Concorde. Le même industriel possède un terrain équivalent au sud de la Concorde, qui n’est toujours pas vendu. Son propriétaire, André Lefebvre, est confiant toutefois de trouver preneur d’ici le début 2010. Dans cette portion du territoire, une quinzaine d’industriels détiennent près d’un million de pieds carrés, une superficie monstre appelée à être redéveloppée à la faveur de complexes d'habitation, de commerces de voisinage et d'espaces verts. http://www.courrierlaval.com/article-394905-Exit-la-zone-industrielle.html http://www.voyer.ca/fr/projets/le-logix/
  16. 6 x 6 étages 3 x 8 étages 8 x 12 étages Fermez les yeux et imaginez-vous habiter dans un secteur où nature et vie pratique cohabitent à la perfection. C’est ce que vous offre Domaine Mont-Laval par son développement résidentiel situé au cœur de Sainte-Dorothée et à proximité du plus grand site naturel de cette belle ville. Nos condos et penthouses spacieux et abordables vous offrent le meilleur des deux mondes. Ils sont situés près des services tels qu’arrêt d’autobus, épicerie, dépanneur, restaurants, mais également bien lovés près d’un lac, d’une montagne, de parcs, de pistes cyclables et autres attraits naturels. http://charplexe.ca/domainemontlaval/index.asp
  17. Un belvédère adjacent au Pont Jacques-Cartier offrira des vues panoramiques de Montréal de 360 degrés, incluant des vues spectaculaires du pont lui-même. Les vues du centre-ville, le Mont-Royal et le fleuve seront nettement plus intéressantes que celles de la Tour du Stade, car le Stade est plus éloigné du centre-ville. Le Belvédère du Pont sera facilement accessible à cause de la proximité du Métro Papineau et les pôles touristiques du centre-ville, à distance marchable. Comme les belvédères du Mont-Royal, il nous donnera l'opportunité de s'approcher d'un autre icône importante de Montréal. Il y a suffisamment d'espace pour construire une tourelle dans les espaces sous-utilisés adjacents au pont, prés de la rue Sainte-Catherine ou même par dessus l'Épicerie Métro dans un projet d'agrandissement. Un belvédère de plus ou moins 25 m au dessus de la rue, légèrement plus haut que le tablier à cette endroit, sera à peu prés à la même hauteur que le projet d'Interloge, présentement en construction du côté est de la rue de Lorimier. Photo prise (sans l'effet zoom) à partir de la piste cyclable (le côté ouest) du tablier du pont, vis à vis la rue Sainte-Catherine. On peut voir le toit du Métro Papineau dans la bas droite de la photo. Un belvedere avec un design simple sera facile à construire, et ne devrait pas coûter énormément cher non plus. Un attrait touristique pour le quartier et un phare qui pourrait être un lègue pour 2017. Le Belvedere du Pont pourrait être financé par un ou plusieurs employeurs du secteur (Molson, Épicerie Métro, La Cordée, Macdonald Tobacco, les syndicats...). Le design de la structure (du discret à l'audacieux) restera à déterminer. Au sujet d'un nouveau belvédère (avec ascenseur) prés du pont Jacques-Cartier, quels concepts verriez-vous quant aux emplacements possibles autour de la rue Sainte-Catherine (entre l'Épicerie Métro et la rue de Lorimier)? Quelques images Pour voir des images et des exemples d’ailleurs, vous pouvez consultez ce fil: Etes-vous pour la construction d'un ascenseur pour le pont Jacques-Cartier? Par exemple, il y a quelques images dans le post #85 dans ce lien. http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/19747-Etes-vous-pour-la-construction-d-un-ascenseur-pour-le-pont-Jacques-Cartier?p=180518#post180518 Vos découvertes (images ou exemples d’ailleurs) sont les bienvenues aussi!
  18. Publié le 02 juillet 2014 à 07h28 | Mis à jour le 02 juillet 2014 à 07h28 Turcot: «Je perds 16 ans de ma vie», déplore un locataire expulsé http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201407/02/01-4780349-turcot-je-perds-16-ans-de-ma-vie-deplore-un-locataire-expulse.php Hugo Pilon-Larose La Presse Les résidants du 780, rue Saint-Rémi, dans le quartier Saint-Henri de l'arrondissement Le Sud-Ouest, à Montréal, ont fait leurs derniers adieux à leurs appartements, hier. Après des années de batailles et de négociations, le grand chantier du nouvel échangeur Turcot aura finalement eu raison d'eux. Depuis bientôt sept ans, les locataires de ces lofts tentaient de sauver l'immeuble qui, selon les plans du ministère des Transports du Québec (MTQ), doit être démoli pour céder la place à l'échangeur, ramené au niveau du sol. En vain. Depuis l'immense stationnement déserté, hier après-midi, l'imposant édifice revêtu de briques rouges semblait déjà vide. Seul entre les cônes orange et les bretelles de l'autoroute 720. Abandonné par la centaine de locataires qui se sont pourtant battus pour sa survie. Au deuxième étage, auquel on accède par une cage d'escalier bétonnée sans couleur ni décoration, la lumière du jour s'infiltrait dans le corridor par la porte ouverte d'un logement. La pièce était vide, sans aucune trace de la vie qui devait y régner jusqu'à tout récemment. Puis, apercevant La Presse, Andrew Kolakowski s'est présenté, visiblement ému de quitter l'endroit. «On avait tout pour nous ici. L'accès à l'autoroute était facile, nous avions accès à un grand jardin et, surtout, le loyer était abordable. Pour près de 500$, tout compris, on pouvait vivre en paix», a-t-il dit d'une voix trahissant son découragement et sa colère. En ce 1er juillet, festival des déménagements dans la métropole, l'homme d'origine polonaise a quitté ses quartiers contre son gré. Son nouvel appartement, qui est situé tout près d'une station de métro, se console-t-il, lui coûtera 900$ par mois. Une hausse soudaine du coût de la vie avec laquelle il doit composer. Un peu plus loin dans le long corridor sans fenêtres de l'immeuble construit en 1922 (il abritait à l'époque les quartiers généraux de l'Imperial Tobacco Company of Canada), une deuxième porte s'est ouverte. La lumière chaude du soleil de juillet frappait de plein fouet les fenêtres hautes de 15 pieds de ce loft entièrement aménagé. Le locataire, qui terminait de réunir ses affaires personnelles, a expliqué l'hostilité implacable qu'il vouait envers le MTQ. «Tout ce que tu vois ici, c'est moi qui l'ai construit. En quittant mon loft, je perds 16 ans de ma vie. J'aimerais bien être dédommagé, mais on ne nous offre presque rien. Le gouvernement a été présent juste pour fuck up our life», a dit Tasso Klavdianos, contenant difficilement sa colère. Promesse de nouveaux lofts Amers, les résidants quittent des lofts dont certains offrent une vue imprenable sur le centre-ville de Montréal. Mais un projet se prépare, a expliqué le plus ancien des locataires de l'immeuble, Michel Charbonneau, rencontré dans son logement au troisième étage. «La bataille a été tellement longue. On nous disait parfois qu'on pouvait garder nos logements, puis le Ministère changeait d'idée. On a finalement reçu la lettre finale d'éviction en avril dernier. Maintenant, on sait qu'un projet se prépare pour qu'on puisse être relogés dans quelques années dans des locaux sur la rue Ottawa. On ose y croire», a expliqué celui qui a longtemps été concierge au 780, rue Saint-Rémi. Le projet en question, piloté par l'entreprise d'économie sociale Bâtir son quartier, vise à offrir aux locataires évincés un loft dans un nouvel aménagement préparé sur le site de l'ancien centre de tri postal à l'angle des rues Guy et Ottawa, toujours dans Saint-Henri. «Ça fait huit ans qu'on nous promet d'être relogés, mais ça n'arrive jamais. Il faut aussi considérer le coût d'un déménagement. Ce n'est pas donné», a dit Lorraine Élément, conjointe de M. Charbonneau. Le couple, ensemble depuis 22 ans, a vécu plus de 16 ans dans ce loft qu'il quitte à contrecoeur. Assis autour de la table de cuisine, le seul meuble toujours présent pour occuper le premier étage de leur loft avec mezzanine, les deux amoureux ont profité d'une pause dîner pour se remémorer de bons souvenirs. «Quand tu t'assoyais sur le sofa, là-bas, près des fenêtres, les grandes feuilles de la plante cascadaient au-dessus de ta tête. C'était comme écouter la télévision dans la jungle», s'est rappelé M. Charbonneau, fier des dizaines de plantes, toutes d'une taille supérieure à un mètre, qui transforment son salon en oasis de fraîcheur. «Mes plantes, sais-tu où elles iront, dans quelques minutes?», a-t-il demandé en fin d'entrevue, sans donner plus de détails. La réponse à sa question se trouvait à la sortie de l'immeuble, placée de façon bien évidente, près du stationnement... Dans le conteneur à déchets.
  19. Carte interactive des usines du Québec. Très cool pour voir qu'est-ce qui se fabrique dans votre quartier! Carte: https://denis.cartodb.com/viz/c1440366-de3a-11e4-91b0-0e4fddd5de28/embed_map http://www.lesaffaires.com/dossier/secteur-manufacturier-la-carte-des-usines/dans-une-usine-pres-de-chez-vous/578548
  20. Afin de maximiser l'offre commerciale du centre-ville et la vitalité des quartiers - La Ville de Montréal lance le Plan commerce avec l'appui financier du gouvernement du Québec MONTRÉAL, le 8 mai 2015 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal, M. Robert Poëti, annoncent la mise sur pied du Plan commerce. Ce plan directeur définit le cadre dans lequel les stratégies du Service de développement économique de la Ville seront élaborées au cours des prochaines années en matière de mise en valeur et de développement de l'activité commerciale montréalaise. Ce plan dispose d'un budget de 40,5 M$ de la Ville de Montréal, qui comprend une somme de 9,5 M$ provenant d'une aide financière du gouvernement du Québec accordée dans le cadre de l'Entente Montréal 2025, administrée par le Secrétariat à la région métropolitaine. « Le Plan commerce que nous dévoilons aujourd'hui, et qui est appuyé par un budget de 40,5 M$, se veut un engagement ferme de la Ville envers sa diversité commerciale, son centre-ville, les sociétés de développement commercial et le commerce de proximité. Il résulte de notre collaboration avec les arrondissements, les villes liées et l'Association des sociétés de développement commercial (ASDC) de Montréal que je tiens à remercier. Je remercie aussi le gouvernement du Québec pour son soutien financier à ce projet essentiel au développement économique de Montréal. Ensemble, nous avons l'ambition de miser sur une offre commerciale dynamique, afin d'asseoir le rayonnement de notre centre-ville et la vitalité de nos quartiers », a affirmé M. Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la mise en œuvre du Plan commerce. Miser sur le dynamisme et la valorisation de l'offre commerciale montréalaise, en faisant appel à la concertation et à la collaboration de tous les acteurs en cause, est une approche stratégique et nécessairement gagnante. Nous adhérons à cette démarche qui permettra de consolider des actions déjà entreprises et d'améliorer le visage et la notoriété de notre métropole. Voilà une vision qui rejoint tout à fait la volonté gouvernementale quant au développement et à la prospérité de Montréal », a ajouté le ministre Robert Poëti. Une forte compétition, qui se joue à l'échelle internationale et qui se répercute chez les commerçants, combinée à la popularité croissante du magasinage en ligne, figurent parmi les enjeux qui exigent de revoir l'approche du commerce de détail, en tenant compte des nouvelles habitudes de vie et de consommation de la population. Malgré de nombreux changements opérés au cours des dernières années, les rues commerciales montréalaises, avec leur ambiance conviviale, leur créativité et une programmation festive, conservent généralement leur attrait pour les consommateurs. Ces commerces innovateurs, créatifs et uniques se retrouvent aujourd'hui bien au-delà du centre-ville. Toutefois, la compétition est bien réelle et il y a lieu de continuer à déployer des efforts soutenus afin de maintenir Montréal et son territoire parmi les destinations commerciales de premier plan. Le Plan commerce, qui couvre dans son ensemble la période de 2015 à 2026, propose quatre axes d'intervention, appuyés par des programmes de financement pour assurer pleinement l'atteinte de ses objectifs : gérer de manière dynamique la fonction commerciale ; dynamiser le centre-ville pour accroître sa contribution au rayonnement de Montréal ; accompagner les commerces lors de travaux d'infrastructures d'envergure sur les grandes artères commerciales ; maintenir l'engagement municipal en soutien à la rénovation commerciale de qualité. Quatre mesures importantes prendront effet dès 2015 et 2016 : La relance du programme PR@M Commerce pour la période 2016-2020, qui passe de 12,7 M$ dans la version précédente (2007-2014) à 15,4 M$, et ce, pour stimuler et aider la rénovation des bâtiments commerciaux sur 20 rues et artères de l'agglomération. À chaque année, quatre rues commerçantes ou grandes artères commerciales seront admissibles au programme ; L'investissement de 1,5 M$ dans la promotion de la diversité commerciale et du commerce de proximité pour l'ensemble de l'agglomération montréalaise ; L'injection, pendant 4 ans, de 4,7 M$ dans les Sociétés de développement commercial (SDC) du territoire de la Ville de Montréal pour les aider à mieux contribuer à l'amélioration des affaires de leur secteur et encourager la création de nouvelles SDC ; La création du programme PR@M Artères en chantier pour un montant 13,9 millions $ afin de tourner une situation négative en une situation d'opportunité lors de la tenue de chantiers d'infrastructures majeurs sur sept artères commerciales montréalaises entre 2015 et 2024. Le secteur commercial montréalais en quelques chiffres Le commerce à Montréal, c'est : 14 000 entreprises de biens et services de consommation, dont 8 331 sont des commerces de vente au détail ; une structure commerciale composée majoritairement de propriétaires indépendants, représentant 30 % des commerçants de l'ensemble du Québec ; une offre commerciale répartie en trois formats, soit le magasin sur rue, le centre commercial et le regroupement de magasins ne partageant pas d'aires intérieures communes ; une abondance de magasins ayant pignon sur rue, composée autant de grandes chaînes, de bannières de franchises que de commerces indépendants ; près de 120 000 emplois contribuant à près de 4,5 % du PIB de l'agglomération ; un chiffre d'affaires global estimé à près de 40 milliards de dollars. SOURCE Communiqués Montréal sent via Tapatalk
  21. http://www.condospromenade.com/fr.php Petit projet sur la Promenade Ontario près de l'intersection Pie-IX avec la SAQ qui est présentement l'autre bord de la rue va déménager au rez-de-chaussée de l'édifice. La construction est bien avancée. Cette portion de la promenade s'en vient pas mal du tout...
  22. Un petit projet de MONDEV en à quelques blocs de chez moi. Le bâtiment visible sur StreetView est déjà démoli. [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/?ll=45.524297,-73.587161&spn=0.003146,0.004823&t=m&z=18&layer=c&cbll=45.524297,-73.587161&panoid=g7pZWBNgC916QuyYX3m6-g&cbp=12,54.77,,0,-10.91[/sTREETVIEW] http://www.mondev.ca/129-condo-henri-julien-condo-plateau-mont-royal.html
  23. http://www.quebecurbain.qc.ca/2010/08/30/le-reseau-demesure-dautoroutes-inachevees-de-quebec/ Le réseau actuel d’autoroutes dans la région de la Capitale-Nationale totalise 481,3 km. Ceci représente environ 20 km par 100 000 habitants. Ceci lui décerne le 1er rang au Canada et le 3e rang dans toute l’Amérique du Nord. Toutefois, dans les années 60, on voyait encore plus grand que cela. Saviez-vous que cet énorme réseau est inachevé? On le voyait beaucoup plus grand. En 1968, la firme d’ingénieurs-conseils Jobin & Vandry produit, à la demande du Ministère du Transport (à l’époque le Ministère de la Voirie), le plan de circulation et de transport de la région métropolitaine de Québec. Un rapport de recommandations qui a servi de plan de travail pour construire le réseau d’autoroutes que nous empruntons aujourd’hui. Les infrastructures routières d’avant 1968 À l’époque où le plan est rédigé, le pont Frontenac est en construction. Le pont fut renommé en l’honneur de Pierre Laporte qui fut assassiné lors de la crise d’octobre 1970. L’autoroute 20 sur la Rive-Sud vers Lauzon et le nouveau boulevard Champlain sont en construction en même temps pour desservir ce nouveau pont. Des emprises sont déjà construites partiellement telles que les boulevards du Vallon, Duplessis et Henri IV et l’autoroute Métropolitaine (plus tard renommée autoroute de la Capitale). « Le plan » Le rapport présente trois scénarios et le plan ci-dessous est celui qui est recommandé par les ingénieurs. Visualisation du réseau Vandry sur Google Maps Pour vous aider à mieux comprendre où toutes les nouvelles artères auraient passé sur le territoire de la Ville de Québec et de Lévis, voici une carte personnalisée où nous avons superposé le Plan Vandry à la meilleure de nos connaissances: Visualisation plein écran Autoroute de la Falaise Cette autoroute est probablement la plus surprenante de tout le plan. Un peu à l’image des autoroutes Métropolitaine à Montréal et la 40 à Trois-Rivières, on a voulu faire une autoroute surélevée le long de la falaise entre la haute-ville et la basse-ville de Québec. Une autoroute qui s’empruntait à partir de la terminaison de l’autoroute Dufferin dans St-Roch jusqu’à l’autoroute Duplessis entre le chemin des Quatre Bourgeois et le chemin Sainte-Foy. La construction de cette autoroute avait été planifiée puisque des voies rapides provenant de l’autoroute Dufferin avaient été construites pour se terminer abruptement sur la rue du Pont près du cinéma Charest dans Saint-Roch. D’ailleurs, le plan de transport désigne l’actuelle autoroute Dufferin-Montmorency comme l’autoroute de la Falaise. Cette autoroute devait traverser ensuite St-Roch sous terre au sud de la côte d’Abraham pour revenir à la surface et sur viaduc surélevé passé la rue Dorchester. Elle suivait la trajectoire de la rue Arago et la côte de la Pente douce derrière l’Hôpital Saint-Sacrement et derrière l’Hôpital Jeffrey-Hale. Elle déviait légèrement vers le nord passé l’avenue Saint-Sacrement pour rejoindre la rue Frank-Carrel. Elle revenait ensuite vers la haute-ville rendue à Sainte-Foy en traversant l’avenue Chapelaine près du cimetière Belmont. Elle se rendit ensuite au sud du chemin Quatre Bourgeois sur le terrain du PEPS de l’Université Laval pour continuer à longer Quatre Bourgeois jusqu’à l’autoroute Henri IV. Elle finit par dévier au sud pour finalement rejoindre le boulevard Duplessis direction nord. Si cette autoroute avait été construite, elle aurait énormément changé le paysage urbain de Québec. Elle devait rejoindre le centre-ville de Québec à l’aéroport. Elle devait comprendre 3 voies dans chaque sens et on la désigne comme l’épine dorsale du réseau routier de Québec. Le tunnel Dufferin Anciennes bretelles d'autoroute du tunnel Dufferin-Montmorency (maintenant détruites) - Crédit photo Jean Cazes Il devait servir à déverser le trafic autoroutier vers le boulevard St-Cyrille (aujourd’hui René-Lévesque). C’est d’ailleurs pour cette raison que ce boulevard a 3 voies dans chaque sens. Selon la trajectoire illustrée dans le plan, le tunnel se rendait d’abord jusqu’à l’actuel rond-point devant l’Assemblée nationale (emplacement de la Fontaine de Tourny). Il bouclait tout près des fortifications historiques pour retourner à la surface au dessus du tunnel vers Saint-Cyrille. Aussi, une sortie souterraine vers la rue d’Aiguillon et une entrée dans le tunnel à partir de la rue Saint-Joachim étaient prévues aussi. En analysant l’emplacement de la boucle du tunnel et l’embranchement sur St-Joachim, ceci corresponds exactement à l’emplacement de l’actuel du stationnement d’Youville. Nous n’avons pas pu confirmer que ce stationnement a été construit comme solution de rechange à l’excavation abandonnée du tunnel Dufferin. Le boulevard Saint-Cyrille avait été modifié pour rendre les voies direction ouest plus basses que celles dans le sens inverse. Il existait d’ailleurs une entrée au stationnement du Complexe G sous les voies surélevées du boulevard pour le trafic provenant de l’est. Nous avons examiné davantage ce tunnel et on y reviendra en détail dans un billet prochainement. Boulevard Jean Lesage et la rue d’Aiguillon – Embranchement de l’est On prévoit prolonger le boulevard Jean Lesage sur la rue Vallière, la côte de la Potasse et la rue des Glacis pour rejoindre la rue d’Aiguillon. Ce prolongement est dessiné comme boulevard divisé à 2 ou 4 voies. On prévoit que la rue d’Aiguillon devienne à sens unique vers l’est. C’est d’ailleurs ce qui a été fait. Le trafic de la rue Saint-Joachim provenant de l’ouest devait traverser le carré d’Youville pour rejoindre la rue des Glacis et poursuivre vers le Nord. À l’ouest, près de la rue Sutherland dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, un embranchement d’autoroute était prévu pour rejoindre un tracé alternatif de l’autoroute Laurentienne vers le nord (expliqué plus bas). Rue Saint-Joachim La rue Saint-Joachim devait être beaucoup plus longue. Elle devait débuter à partir de la côte de l’Aqueduc/rue Sherbrooke jusqu’à la place d’Youville dans un sens unique vers le Vieux-Québec. On semble avoir plutôt opté de rendre la rue Saint-Jean à sens unique. Le plan Vandry proposait pourtant que la rue Saint-Jean devienne exclusive aux autobus. La rue Saint-Joachim aurait suivi l’actuelle rue Lockwell et la rue Saint-Gabriel. Les utilisateurs du stationnement de Place Québec auraient eu un accès très rapide pour rejoindre l’autoroute Dufferin-Montmorency puisqu’un tunnel d’accès automobile était prévu où se situe l’entrée principale au stationnement d’Youville. D’ailleurs, si on regarde l’aménagement en courbe vers le stationnement, ça ressemble étrangement à l’angle nécessaire pour accélérer et ainsi accéder au tunnel à une vitesse raisonnable. Comme mentionnée plus haut, la rue Saint-Joachim aurait aussi permis de rejoindre la rue des Glacis vers la basse-ville. Boulevard Saint-Cyrille – Embranchement de l’ouest Le boulevard Saint-Cyrille qui recevait une portion du trafic automobile de l’autoroute de la Falaise se poursuivait à l’ouest vers un embranchement spectaculaire qui aurait exigé la démolition de l’ancien Hôpital Jeffrey-Hale. L’embranchement surélevé (sans doute) traversa les rues Crémazie Ouest, rue de Candiac, avenue Bourlamaque, chemin Sainte-Foy et rue des Franciscains. Elle aurait abouti sur l’autoroute de la Falaise au coin des rues Montmagny et d’Arago. Axe Sainte-Geneviève, Senezergues et place Montcalm Une autre particularité qu’on peut remarquer sur les plans du rapport est le fait qu’on prévoit un axe nord-sud à travers le quartier Saint-Jean-Baptiste et la colline Parlementaire, et ce, en boulevard divisé. Le tout l’aurait été le prolongement de la côte Sainte-Geneviève et aurait coupé en diagonale vers le sud sur des terrains qui semblent être vacants aujourd’hui. Avait-on procédé à la démolition à l’époque? Elle traverse ensuite le boulevard René-Lévesque à la hauteur de la rue Berthelot pour rejoindre l’actuelle rue Senezergues et se termine sur Place Montcalm près de l’Hôtel Loews le Concorde. Le boulevard Saint-Amable La rue Saint-Amable aurait été transformée en boulevard divisé accessible à partir du boulevard Saint-Cyrille via la rue des Parlementaires derrière l’Assemblée nationale. Elle aurait été prolongée à l’ouest passé l’avenue Turnbull pour rejoindre l’avenue de Salaberry. Ceci aurait exigé l’expropriation et la démolition d’une partie du campus du St Patrick’s High School. L’accès aux rues Salaberry et Turnbull aurait permis aux automobilistes de rejoindre le tracé proposé de l’autoroute Laurentienne à l’ouest. La Grande Allée et l’avenue Wilfrid-Laurier à sens unique On propose dans le plan de rendre Grande Allée à sens unique vers Sillery entre l’avenue Wolfe-Montcalm et l’avenue Honoré Mercier. Toutefois, on recommande étonnamment de se servir de la tranquille avenue Wilfrid Laurier pour le trafic en direction est. Les automobilistes auraient circulé tout près du monument de Wolfe, un peu sur l’avenue George VI des Plaines d’Abraham pour revenir sur l’avenue Wilfrid Laurier et passer devant le manège militaire. Ils auraient poursuivi jusqu’aux fortifications à l’entrée des plaines et derrière le « bunker » ou le « calorifère ». Une rue aurait été pavée entre la statue et le mur pour rejoindre l’intersection avec l’avenue Honoré Mercier devant le parlement. Autoroute Saint-Charles Cette autoroute est projetée dans une quinzaine d’années dans le plan. Elle est parallèle et au sud de l’autoroute de la Capitale et au nord de l’autoroute de la Falaise. Elle est située sur la Rive-Nord de la rivière Saint-Charles. Elle aurait traversé les quartiers Limoilou et Vanier. Elle commence sa trajectoire sur la Rive-Nord au Port de Québec. Elle traverse l’autoroute Dufferin à l’aide d’une série impressionnante d’échangeurs surélevés. Elle poursuit vers l’ouest vis-à-vis l’actuel incinérateur de Québec, elle aurait longé approximativement la 9e rue à Limoilou, elle aurait passé sur la Pointe aux lièvres, sur le terrain de l’édifice de la CSST et au sud du boulevard Hamel. Rendue à l’avenue Saint-Sacrement, elle se dirige au sud à travers le parc industriel Duberger et Jean-Talon pour rejoindre et fusionner avec l’autoroute Charest Ouest. En discutant avec les communications de Transport Québec, on semblait ignorer l’existence de cette autoroute projetée. Toutefois, en regardant la trajectoire, les terrains entre la rivière Saint-Charles et le boulevard Hamel dans Vanier, on constate que les constructions datent des années 70 ou elles sont plus récentes. Est-ce qu’on avait procédé à l’expropriation et la démolition en prévision de cette autoroute? Il nous a été impossible d’avoir cette information. Pont Québec-Lévis L’autoroute Saint-Charles se serait poursuivie à partir de la Pointe-à-Carcy vers la Rive-Sud sur un pont suspendu similaire au pont Pierre-Laporte. Le pont aurait rejoint la municipalité de Lauzon sur la pointe la plus rapprochée de Québec près de la rue Sainte-Anne. Sa trajectoire se poursuit vers le sud-est passant tout près à l’est de l’Hôtel-Dieu de Lévis et du Club de Golf de Lévis. Elle aboutit dans une série d’échangeurs pour rejoindre l’autoroute 20. Dans un rapport, voici ce qu’on dit sur ce nouveau pont: Les déplacements entre Québec et Lévis-Lauzon par le pont actuel sont peu nombreux, ce qui est compréhensible puisqu’il faut 30 minutes entre le Parlement et le centre de Lévis. Parmi tous les déplacements en auto effectués dans la région pendant l’heure d’affluence, on n’en compte que 16% d’une durée de plus de 30 minutes. Par contre, en utilisant le pont proposé à l’est de Québec, il ne faudrait que 13 minutes pour relier les deux centres. Il est probable que le trafic transfluvial serait plus élevé si, en plus d’avoir une capacité adéquate, le pont reliait Québec et Lévis. Les ingénieurs s’arracheraient les cheveux avec les délais actuels pour voyager entre les deux rives! :-) Autoroute Métropolitaine On décrit peu l’autoroute Métropolitaine dans le présent plan puisque sa construction était décidée et budgetée. Elle devait être complétée dans son entier parallèlement aux nouvelles routes proposées dans le rapport Vandry. La portion à l’est ressemble en tous points à l’autoroute de la Capitale sur laquelle nous circulons actuellement. Dans le plan de transport, on indique qu’elle est présentement en construction à partir d’Henri IV vers l’est. On indique que le tronçon ouest vers l’aéroport suivra et cette éventualité semble acquise. Les expropriations sont effectués en 1968. On évalue le projet à 9,9 millions de dollars. Toutefois, on constate que ce projet a été mis aux calendes grecques. Il reste des vestiges visibles de ce prolongement abandonné. L’échangeur d’Henri IV et de l’autoroute de la Capitale est très large et il occupe un immense terrain. Il y a beaucoup d’espace pour d’autres embranchements. L’autoroute Henri IV et un échangeur parallèle à cette dernière sont construits sur des viaducs inutiles. Ils surplombent un champ. L’autoroute de la Capitale devait passer sous l’autoroute Henri IV. Aussi, on peut apercevoir en voiture et sur la carte satellite le début asphalté de plusieurs embranchements abandonnés. Ils devaient servir à accéder à la portion ouest de l’autoroute de la Capitale (voir la carte interactive pour mieux comprendre). Ce tracé devait passer à travers la municipalité de L’Ancienne-Lorette. Il passe au sud du Collège Champigny et de l’Aéroport de Québec. Il se poursuit au nord du boulevard Hamel pour rejoindre l’autoroute Charest près de la municipalité de Saint-Augustin-de-Desmaures. Le MTQ est toujours propriétaire de cette bande de terrain. Il n’y a aucune construction mise à part certaines rues municipales transversales. Lorsque nous avons posé la question au MTQ, on nous a répondu qu’il n’y pas de plans futurs pour achever cette autoroute. Pourquoi ne vendent-ils pas les terrains? Le ministère nous a répondu qu’ils ne vendent jamais leurs terrains à moins que la municipalité en fasse la demande spécifique. C’est une réponse curieuse, étant donné qu’on manque de terrains à Québec à l’heure actuelle. Cette autoroute devait être l’autoroute de contournement de Québec. Une boucle pour éviter le trafic local de Québec. Elle est devenue bien malgré elle l’épine dorsale puisqu’elle est la plus longue autoroute est-ouest de Québec à l’heure actuelle. Ceci crée une pression sur la petite autoroute Henri IV à 4 voies qui sert autant à rejoindre les 2 bouts de l’autoroute 40 qu’à desservir les ponts de Québec. Trajectoire ouest de l’autoroute Laurentienne Le plan propose un tracé supplémentaire à l’autoroute Laurentienne. Tout en conservant le tracé vers St-Roch, on projette de créer un embranchement à la hauteur du boulevard des Cèdres qui aurait traversé le terrain d’Hydro-Québec et aurait passé au sud de la rue Soumande à Vanier. Un tracé qui correspondant à l’emplacement actuel de la multitude de grandes surfaces telles que Toys R Us et Canadian Tire. L’autoroute Laurentienne aurait traversé la rivière Saint-Charles près de l’Hôpital Sacré-Coeur près du magasin Latulippe pour suivre un tracé similaire à la rue Bigaouette dans Saint-Sauveur. Les deux directions de l’autoroute se seraient séparées peu avant la falaise de la haute-ville en se dirigeant vers l’est pour se déverser dans les avenues Salabbery et Turnbull. Ces deux avenues auraient été converties en sens unique à 3 voies. De toute évidence, cette option a été abandonnée. On semble alors avoir privilégié d’appliquer cette même recette aux rues Dorchester et de la Couronne dans le quartier St-Roch. Une solution qui existe aussi sur le territoire de Montréal. Le fiasco de l’Autoroute Dufferin Cette autoroute à 6 voies avait été construite pour desservir le prolongement irréaliste du Port de Québec jusqu’au pont de l’île d’Orléans. Sans avoir une certitude de la réalisation de ce projet du gouvernement fédéral, le MTQ est allé tout de même de l’avant. Le remplissage des battures de Beauport nécessaire à sa réalisation avait soulevé la grogne populaire. Fait à noter, l’ancien maire de Beauport à l’époque, Marcel Bédard, était aussi le ministère délégué aux Transports. Lorsque le gouvernement a changé en 1976, a répondu aux inquiétudes des citoyens en créant une audience publique. Le Bureau d’audience publique en environnement (BAPE) a fait sa 1re consultation publique à vie et le Ministère de l’Environnement a vu le jour. La commission était d’ailleurs présidée par le président du BAPE lui-même. La très grande majorité des intervenants mis à part la Ville de Beauport et la Chambre de commerce de Beauport ont demandé l’abandon immédiat du projet. Le ministre a toutefois recommandé de terminer l’autoroute avec une trajectoire respectant davantage l’environnement. On disait que le projet était très avancé et beaucoup d’argent public avait déjà été dépensé jusqu’à ce jour. On peut voir des vestiges de l’abandon du projet initial en visitant la presqu’île près de l’avenue d’Estimauville où l’on stationnait autrefois des véhicules récréatifs. Cette presqu’île correspond à la trajectoire originale de l’autoroute. Elle venait rejoindre une seconde extension d’enrochement dans le fleuve, entre le boulevard François-de-Laval et la sortie du boulevard des Chutes, correspond aussi où l’autoroute aurait passé. Cette trajectoire nous fait comprendre l’étendue de remplissage qui était planifié à l’époque et de la destruction du littoral. De plus, il existe une presqu’île au bout de la sortie du boulevard des Chutes. Cette extension devait recevoir des bretelles d’échangeurs élaborés pour la sortie du boulevard. Après l’abandon, on a gazonné le terrain rempli. Preuve que le Port a déjà voulu se rendre si loin : cette presqu’île lui appartient. Dans le plan, on propose plusieurs modifications dans les rues municipales de Beauport. On parle de prolonger la rue Seigneuriale au sud jusqu’à cette autoroute. Aussi, le MTQ est propriétaire d’une bande de terrain qui correspond au prolongement du boulevard François-de-Laval jusqu’à l’avenue St-David qui se rend à l’autoroute de la Capitale aussi. Pourquoi le béton cessa-t-il de couler? Le changement de gouvernement en 1976 ralentit l’expansion du réseau routier. Le PQ avait inclus des promesses de nature environnementales dans son programme électoral. Aussi, les projections dans le rapport Vandry & Jobin étaient basées sur le fait que les femmes restaient à la maison et s’occupaient des enfants. Toutefois, les femmes baby-boomers ont rejoint massivement le marché du travail dans les années 60 et 70. Le taux de natalité a chuté et l’accroissement de la population a ralenti. Dans le rapport, on projette sur l’année 1987 (20 ans). On estime qu’il aura 700 000 habitants dans la région de Québec. Le recensement de 2009 dénombre 746 252 habitants pour la région métropolitaine de Québec (source). La circulation à Québec est de plus en plus difficile. Le peu d’amélioration aux transports au sens large à Québec se fait sentir. On peut alors conclure que les calculs utilisés par les ingénieurs de l’époque étaient crédibles. Il faut juste se demander maintenant quelles sont les solutions de notre temps. On a laissé de côté beaucoup d’autres renseignements dans le plan pour ce billet. C’est un document volumineux et on fera des billets sur des sujets spécifiques. Si vous avez des questions, les commentaires sont là pour ça.
  24. http://ici.radio-canada.ca/emissions/c_est_pas_trop_tot/2014-2015/chronique.asp?idchronique=358943 Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Vivre en ville ou en banlieue, dans la chronique de François Cardinal Photo : Cadillac Fairview / iStockphoto Contrairement aux prévisions, les baby-boomers ne semblent pas vouloir revenir s'installer plus près du centre-ville, observe le chroniqueur François Cardinal. Cette nouvelle donne pourrait non seulement ralentir le « boom des condos », mais aussi l'aménagement des banlieues. « On n'a peut-être pas envie à 65 ans d'une vie urbaine trépidante », soumet M. Cardinal comme hypothèse. Il faut dire que beaucoup de familles choisissent de s'établir en périphérie, notamment à cause du prix des maisons. Leurs parents, les baby-boomers, font donc peut-être le choix de rester près de leurs petits-enfants, ajoute le journaliste sent via Tapatalk
  25. Nom du projet : Esprit Description : Projet de construction de condos à Duvernay. Près du nouveau pont de la 25 et du pont Pie IX. Au 2935 Avenue des Aristocrates, Laval, Qc H7E 0E3 Site : http://condosesprit.com/ Image : http://www.presti.ca/img/condos-gallery-1.jpg
×
×
  • Créer...