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  1. http://journalmetro.com/local/ile-des-soeurs/actualites/1008609/du-surf-sur-le-fleuve-grace-au-pont-champlain/ 15/08/2016 Mise à jour : 15 août 2016 | 16:40 Du surf sur le fleuve grâce au pont Champlain? Par Colin Côté-Paulette Montréal pourrait devenir la capitale mondiale du surf de rivière s’il n’en tenait qu’à Hugo Lavictoire, le propriétaire de Kayak sans Frontières (KSF). L’entrepreneur aimerait profiter des travaux de construction du nouveau pont Champlain pour aménager des vagues artificielles et ainsi attirer des touristes sur les berges de la métropole. «On pourrait prendre un pont de 5 G$ destinés aux automobilistes et l’adapter pour en faire une infrastructure qui inclurait un plus grand nombre de citoyens, dont les milliers de gens qui font du surf sur le fleuve», indique M. Lavictoire. Le président de KSF estime que la machinerie déjà en place pour les travaux sous-marins pourrait aussi être utilisée pour installer une structure en forme d’entonnoir au fond du fleuve. Cette pièce créerait de nouvelles vagues éternelles pour les surfeurs et kayakistes, comme celles bien populaires à Habitat 67 et la célèbre «vague à Guy» à LaSalle. À ce sujet: Pour M. Lavictoire, les piles du nouveau pont Champlain pourraient aussi servir d’aires de repos, puisque les structures créent un contre-courant et permettent de remonter facilement le fleuve, de manière sécuritaire, selon lui. «Ça serait quoi d’ajouter 1 M$ au projet pour que Montréal devienne la capitale du surf de rivière. Les retombées économiques seraient plus grandes que celles du Grand Prix, on peut faire du surf neuf mois par année ici, pas seulement une fin de semaine», soutient-il. Olivier Barrette, un membre influent de la communauté de surfeurs montréalais qui parcourt les vagues du monde, voit le projet d’un bon oeil. «Ça fait longtemps qu’on parle d’ajouter des vagues dans le fleuve. Ce n’est pas exagéré, je pense qu’après Munich, on est le 2e pôle de surf de rivière dans le monde. On a plus de surfeurs en tout cas», souligne-t-il dans une entrevue en plein tournage d’une publicité de surf à Burlington. Il prend en exemple certaines villes américaines et allemandes qui ont réussi l’implantation de vagues artificielles dans leurs rivières. Un sport en «implosion» «En ce moment, on est victime de notre succès, le sport implose par sa popularité. Les vagues statiques peuvent être surfées plus longtemps que les vagues dans les océans, alors c’est très populaire», précise Hugo Lavictoire. Il estime que KSF a accueilli entre 200 et 300 touristes cet été, dont plusieurs durant le weekend chaud et ensoleillé du festival de musique Osheaga au début du mois d’août. «On aurait avantage à bonifier l’offre touristique pour s’adresser à une clientèle jeune», croit la gestionnaire des relations publiques à Tourisme Montréal, Andrée-Anne Pelletier. Selon les données Cities, les milléniaux (18-34 ans) représentent 42% des touristes venus à Montréal en 2014. M. Barrette raconte qu’il a même croisé plusieurs hommes d’affaires qui choisissent de faire leurs réunions à Montréal au lieu de Toronto, pour aller profiter des vagues en passant. Impacts: des environnementalistes se prononcent L’achalandage qui découle de la popularité de la vague à Guy joue présentement un rôle dans l’effritement des berges du site, en raison des nombreux adeptes du surf. Toutefois, l’implantation de nouvelles vagues pourrait avoir des effets positifs, selon le directeur de l’organisme Héritage Laurentien, Jason Di Fiore. «Une nouvelle vague viendrait réduire la pression sur les deux sites, mais ça doit être bien fait. Il doit y avoir une étude d’impact adéquate au préalable», explique-t-il. Un changement de courant dans le fleuve, mal dirigé, pourrait troubler les zones de fraie de certaines espèces de poissons. L’accès à l’eau des sites devrait également être amélioré d’après M. Di Fiore. Pour le coordonnateur du Mouvement ceinture verte, Sylvain Perron, l’important est d’avoir une cohérence entre les groupes sportifs et environnementalistes. «Si on officialise le statut de Montréal comme ville de surf, on peut réglementer pour limiter les impacts. Les groupes sportifs pourraient contribuer au nettoyage des berges par exemple», avance-t-il. Le site de la «vague à Guy» sera réaménagé par la Ville de Montréal quelque part entre 2017 et 2019, à la suite de consultations publiques qui ont eu lieu en janvier dernier. Le Réseau des grands parcs de Montréal prévoit, entre autres, l’aménagement d’un escalier de pierres pour freiner l’érosion des berges, la déviation de la voie cyclable et l’ajout de services publics comme une aire de repos et des toilettes. Comme le projet de M. Lavictoire n’est pas encore présenté concrètement, aucun représentant de la Ville ou d’Infrastructure Canada n’a voulu se prononcer.
  2. Cette affiche plantée en bordure du boulevard Curé-Labelle annonce un premier projet de 46 condos, qui s’érigera dans l’aire de stationnement située à l’ouest de la Récréathèque. (Photo: Alarie Photos) Publié le 6 Février 2012 Stéphane St-Amour Courrier Laval - Économie Les jours de la Récréathèque au 900, Curé-Labelle sont comptés. Cette institution lavalloise, vieille de près de 45 ans, reconnue comme le plus grand centre d'amusement familial intérieur au Québec, fera bientôt place à un vaste ensemble immobilier. Un premier projet Bien que la mise en chantier d’un premier projet de 46 unités de condominium soit prévue dès ce printemps, la Récréathèque, qui accueille bon an, mal an 400 000 visiteurs chaque année, demeurera ouverte jusqu’au 1er juillet 2012. Même que le populaire établissement abritera dans les prochaines semaines le condo-modèle et le bureau des ventes du projet Les Jardins AVA, dont les quatre immeubles de trois étages qui le composent s’élèveront sur le terrain de stationnement situé à l’ouest de la Récréathèque, plus précisément entre les rues Jarry et Hennessy. La superficie des unités oscillera entre 950 et 1050 pieds carrés, alors que les condos s’afficheront à partir de 220 000 $, informe Gregory Gineys, chargé de projet à la Division immobilière de Aras Management. 400 autres condos Actuellement, la direction de Aras Management, qui possède la Récréathèque, regarde différents sites dans le Grand Montréal, où elle pourrait dès le 1er juillet relocaliser son centre d’amusement. Une fois le déménagement complété, le bâtiment érigé sur un terrain de 130 000 pieds carrés croulera sous le pic des démolisseurs en vue de préparer le terrain à un mégaprojet immobilier évalué à 75 M$, lequel totalisera à terme trois tours d’habitation et 400 condominiums à l’angle des boulevards Curé-Labelle et Notre-Dame, à Chomedey. Ce projet, que le promoteur immobilier est à coucher sur la table à dessin, s’inscrit parfaitement dans la foulée de la Politique de l’urbanisme durable de la Ville, favorisant la densification urbaine autour de pôles de transport en commun. Incidemment, lors du dévoilement de cette politique en mai 2011, le maire Gilles Vaillancourt réclamait de Québec cinq nouvelles stations de métro, dont une s’implanterait justement au carrefour des boulevards Curé-Labelle et Notre-Dame. Si tout va bien, le futur complexe immobilier AVA Condos pourrait voir s’aménager cet automne le condo-modèle et espérer la mise en chantier d’une première tour d’habitation de huit étages dès le printemps 2013.
  3. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  4. je sais pas c'est qui ce monde la, mais cette petite 'home video' de ce qui semble etre des touristes d'outre-mer pourrait presque faire office de video promotionel pour tourisme montreal ...! bref, c'est bien. http://www.youtube.com/watch?v=8_UiOrQlaWo&feature=related
  5. Fortier

    Réso

    On parle beaucoup du Montréal souterrain ces temps-ci. J'ai donc créer un fil.
  6. http://www.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php <!-- .excerpt --> Le Métropolis subira une cure de rajeunissement l'an prochain. Son propriétaire, l'Équipe Spectra, cherche actuellement un partenaire-commanditaire pour mener à bien des travaux qui doivent commencer au printemps et se terminer à temps pour la saison des festivals. Il n'est pas question de fermer la salle de spectacle pendant ce réaménagement, qui ne touchera pas à sa structure. «C'est le 20e anniversaire de l'acquisition du Métropolis par Spectra, le 375e de Montréal, et le Quartier des spectacles est vraiment en ébullition. On veut y participer, et c'est un bon moment pour faire ces investissements-là», affirme Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra. À 132 ans bien sonnés, le Métropolis n'a pas subi de baisse de fréquentation récemment et sa réputation est bien établie. Le magazine spécialisé Pollstar le classe bon premier au Canada et 13e au monde dans sa catégorie de salle. «Mais comment fait-on pour passer de la 13e à la 4e place au monde et pour que les artistes et le public qui nous adorent nous adorent encore plus?» demande Jacques-André Dupont. «Il faut garder cet actif-là en parfait état et, tant qu'à investir, on va essayer d'aller plus loin et de créer un lieu qui va nous mener vers les 20 prochaines années.» Agrandir Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra, qui est propriétaire du Métropolis. Photo Ivanoh Demers, Archives La Presse S'ouvrir sur la rue L'Équipe Spectra veut surtout investir dans l'aspect technologique du Métropolis pour être à la fine pointe de ce qui se fait ailleurs dans le monde. Son président tient également à ce qu'il soit plus accueillant pour les spectateurs et qu'il prenne un peu plus de place au coeur du Quartier des spectacles. «On pourrait ouvrir davantage sur la rue Sainte-Catherine, dit M. Dupont. Notre façade pourrait être plus large que présentement. C'est un petit sas pour entrer dans le Métropolis, et j'aimerais que ce soit plus accueillant. Il y aurait même la possibilité d'ouvrir une terrasse sur la [rue] Sainte-Catherine si on voulait. J'aimerais bien également avoir un accès direct au Savoy. Présentement, pour accéder à cette boîte, il faut entrer par le Métropolis.» Il est également question de changer les systèmes de son de la salle, de rénover les loges des artistes, les toilettes, les guichets, les bars ainsi que, peut-être, les loges au balcon et les corbeilles de chaque côté de la scène. «On a trois objectifs: on veut que le public voie la différence et que son expérience soit améliorée, que les artistes soient mieux accueillis et que les techniciens trouvent ça encore plus facile de travailler chez nous.» Changement de nom? M. Dupont parle d'un investissement «dans les sept chiffres» dont la hauteur dépendra de l'implication du partenaire à dénicher. Ce commanditaire éventuel pourrait provenir du monde médiatique ou encore du milieu technologique, plus présent que jamais dans les arts de la scène. Des pourparlers ont déjà été entrepris, et M. Dupont espère que le partenariat sera scellé d'ici la fin de l'année. Le Métropolis pourrait-il changer de nom et devenir la vitrine d'un commanditaire, comme son grand cousin du Groupe CH, le Centre Bell? «Il est tôt pour parler de cela, mais nous serions ouverts à explorer cette option avec le bon partenaire - un partenaire qui, au-delà d'une contribution financière, partagera nos valeurs et notre attachement au Métropolis et à la métropole», répond Jacques-André Dupont. Le Métropolis au fil des ans 1884: Ouverture du Théâtre français. 1923: Après un incendie qui le détruit complètement à la fin du XIXe siècle, il est reconstruit et sera converti en salle de cinéma. 1930: Au début de la décennie, il est encore la proie des flammes. Il sera rénové et décoré par Emmanuel Briffa, qui a également décoré le Théâtre Outremont. 1960: Le théâtre devient une salle de cinéma érotique. 1987: Le Métropolis rouvre ses portes après une fermeture qui aura duré sept ans. Il a une double vocation de discothèque et de salle de spectacle. 1997: L'Équipe Spectra achète le Métropolis et le réaménage quelques années plus tard pour qu'il soit consacré uniquement au spectacle. w.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php
  7. Dans le cadre de la discussion sur le réaménagement du Square Viger, j'ai proposé un grand parcours piétonnier dont voici le texte. J'ai finalement décidé de le publier dans la section Vision, pour le mettre plus en évidence et aussi pour ne pas nuire, par une longue digression, au fil du square lui-même. J'emprunte en même temps la vidéo publiée par ChrisDVD parce qu'elle est en partie ma source d'inspiration. Le projet de NIPPaysage Je retiens l'élément principal de cette vidéo, l'axe central qui ralliera les 4 segments du Square-Viger. Cet axe que j'espérais voir apparaitre sur les plans, me confirme que l'on pourrait à terme le prolonger de part et d'autre pour rejoindre le Palais des Congrès et le pont Jacques-Cartier via Lagauchetière et les terrains de la SRC. Et même au-delà, en se connectant éventuellement avec la promenade centrale du nouveau boulevard Robert-Bourrassa à l'ouest et un axe à poursuivre plus à l'est dans Ste-Marie. Le tout étant complété par une boucle de retour tout le long des berges du St-Laurent au Vieux-Port, le canal Lachine et finalement à nouveau la promenade R-B. Un merveilleux tour d'horizon piétonnier de quelques kilomètres, qui traverserait en les reliant: le Quartier International, le Quartier Chinois, le Quartier de la Santé, le Quartier des Ondes et le Quartier Ste-Marie. Retour via les berges du Port, le Faubourg Québec, le Vieux-Montréal et le Vieux Port. Donnant ensuite accès selon la direction choisie au Quartier des Médias, Griffintown et le centre-ville. Ce parcours urbain deviendrait en même temps un abrégé de Montréal, supporté par une application mobile conçue spécifiquement pour le trajet. On développerait ainsi un véritable circuit piétonnier central, de jour comme de nuit, complètement intégré et unique en son genre. Le Montréal d'hier, d'aujourd'hui et de demain, accessible à tous (montréalais et visiteurs), dans une promenade dynamique qui nous en mettrait plein la vue. A lui seul ce sentier pédestre deviendrait une attraction touristique ultra populaire, tout en nous invitant aux autres promenades urbaines, dont celle qui montera jusqu'au Mont-Royal. Difficile de faire mieux autant sur le plan urbanistique, qu'au niveau du développement durable. Même la valeur foncière des secteurs riverains augmenterait substantiellement par la proximité de ce superbe itinéraire structurellement organisé. On ne pourrait faire mieux non plus pour encourager la marche active et les activités de santé. Le tout couplé d'animations diverses et de places publiques invitantes sur chaque segment de cette exceptionnelle randonnée. Voilà en résumé mon rêve le plus cher pour Montréal. Ne suffit que d'un peu plus d'audace, car tout est potentiellement possible si on se donne la peine de construire des liens pratiques et esthétiques pour les chainons manquants. Pour le reste cette voie royale et les terrains concernés seront prochainement en chantier sur presque tout le parcours est-ouest. Ne suffira que de coordonner l'ensemble et travailler spécifiquement la grille de rues pour obtenir une infrastructure de classe mondiale, dont nous pourrons tous (montréalais et québécois) vraiment être fiers.
  8. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/476392/immobilier-l-ontario-pourrait-taxer-les-achats-faits-par-des-etrangers Immobilier: l’Ontario pourrait taxer les achats faits par des étrangers 27 juillet 2016 |François Desjardins | Actualités économiques La Colombie-Britannique veut réduire la pression sur les prix de l’immobilier en taxant notamment les achats faits par des étrangers. L’Ontario, également aux prises avec une surchauffe immobilière, pourrait s’inspirer de la province de l’Ouest. La taxe sur les transactions immobilières bouclées par des étrangers en Colombie-Britannique pourrait un jour en inspirer d’autres à l’imposer, notamment l’Ontario, dont le ministre des Finances a reconnu mardi qu’il étudie de très près cette possibilité. Québec n’a pas envisagé cette avenue. Alors que les prix de l’immobilier du Grand Montréal ont augmenté de 1,9 % sur un an et de 9,3 % sur cinq ans, selon les données de l’industrie canadienne, la situation à Toronto et à Vancouver continue de préoccuper. Dans le premier cas, les prix ont bondi de 16 % et de 51 % sur les mêmes périodes. Dans le deuxième, les hausses sont de 32 % et de 50,5 %. À Vancouver, le prix moyen d’une maison unifamiliale est maintenant de 1,77 million, deux fois plus qu’à Toronto, selon les informations publiées il y a deux semaines par les chambres immobilières de ces villes. Pour tenter de contrôler la situation, qui complique grandement l’accessibilité à la propriété pour les premiers acheteurs, la Colombie-Britannique veut imposer aux étrangers une taxe de 15 % sur le prix d’achat d’une résidence dans la région de Vancouver. Cette mesure extrêmement ciblée s’ajoute à un resserrement général des règles dicté par Ottawa depuis quelques années. « Je salue ce que le ministre de Jong a mis en avant », a dit en conférence de presse le ministre des Finances de l’Ontario, Charles Sousa. « Nous étudions certainement toutes les options. » À Québec, ce genre de scénario n’a « pas été envisagé, considérant que nous ne sommes pas dans le même contexte », a indiqué au Devoir l’attachée de presse du ministre délégué aux Finances, Catherine Poulin. L’annonce faite par la Colombie-Britannique a suscité mardi beaucoup de réactions de la part d’analystes. Le geste pourrait avoir comme conséquence d’exercer une forte pression à la hausse sur les prix torontois, car les étrangers seront portés à regarder ailleurs que le marché de Vancouver, a estimé la Banque TD. « Compte tenu d’une part de marché des étrangers de 5 à 14 % [à Vancouver], notre modèle prévoit une baisse de 15 à 20 % du nombre de ventes au cours des trois prochains trimestres et d’une diminution de 5 % du prix moyen », ont écrit deux économistes de la TD, Michael Dolega et Diana Petramal, dans une note aux clients. Puisque la province surveille déjà de près les achats immobiliers faits par des étrangers, nous saurons d’ici le mois de septembre si la mesure fonctionne, a dit au Devoir John Andrew, professeur à l’Université Queen’s où il dirige la Real Estate Roundtable, qui réunit les acteurs de l’industrie pour échanger sur les pratiques immobilières. « Si vous êtes un investisseur de Hong Kong, verrez-vous le marché de Vancouver comme étant abordable, êtes-vous en train de sortir de l’argent de votre pays ? Qui sait quels sont les avantages fiscaux ? Qui sait d’où provient précisément l’argent ? se demande M. Andrew. Je crois que l’Ontario pourrait souhaiter faire la même chose, mais il n’y a pas tant d’activités étrangères à l’extérieur du créneau des condos. » Scénarios Mardi matin, l’organisme fédéral de surveillance de l’industrie financière a demandé à certaines institutions de simuler des chutes de prix de l’immobilier afin de mesurer leur résistance aux chocs. La demande ne vise pas les grandes banques, mais les autres institutions financières qui consentent des prêts hypothécaires. L’avis du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) les prie de simuler une descente de 50 % pour Vancouver, de 40 % pour Toronto et de 30 % pour le reste du pays, une exigence qui survient deux semaines après avoir insisté sur la prudence dans les prêts hypothécaires résidentiels. « La faiblesse persistante des taux d’intérêt, les taux records d’endettement des ménages et la hausse rapide du prix des logements dans certaines régions du pays (notamment dans les grandes régions de Vancouver et de Toronto) pourraient entraîner des pertes sur prêts considérables si les conditions économiques devaient se détériorer », a écrit le BSIF le 7 juillet. « Les institutions financières peuvent encourir des pertes découlant à la fois de la possibilité que les emprunteurs ne puissent rembourser leurs dettes et du déclin de la valeur des biens immobiliers résidentiels auxquels sont adossés les prêts hypothécaires », a ajouté le Bureau du surintendant.
  9. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/474116/immobilier-le-canada-pourrait-resserrer-son-controle Le Devoir Immobilier Le Canada pourrait resserrer son contrôle D’autres pays encadrent déjà l’achat de maisons par les étrangers, rapporte Desjardins 23 juin 2016 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Le Canada aurait les moyens de ralentir l’ascension effrénée du marché immobilier de régions bien précises en encadrant mieux l’activité des investisseurs étrangers, rapporte Desjardins. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a encore une fois mis en garde le Canada, la semaine dernière, contre le danger de la flambée du prix des maisons et son impact sur l’endettement des ménages de la classe moyenne. Le pays a pourtant déjà resserré plusieurs fois ses règles hypothécaires ces dernières années dans l’espoir de freiner le phénomène, commence par rappeler l’économiste du Mouvement Desjardins Benoit P. Durocher, dans une analyse dévoilée mercredi. On a entre autres réduit plusieurs fois la période maximale d’amortissement d’une hypothèque (de 40 à 25 ans), augmenté la mise de fonds minimale (de 0 % à 5 %), réduit le refinancement maximum (de 95 % à 80 %) et durci les règles pour les maisons secondaires. Le problème est que le Canada est aux prises aujourd’hui avec des tendances bien différentes, entre la poursuite du boom immobilier à Vancouver et à Toronto, un ralentissement marqué dans les provinces de l’Ouest depuis la chute du prix du pétrole, et une progression modérée des prix au Québec et dans les provinces atlantiques. « Sans être complètement à court de munitions, il semble difficile [dans ce contexte] d’introduire de nouvelles modifications aux conditions du crédit hypothécaire qui ralentiront de façon efficace le marché de l’habitation en Colombie-Britannique et en Ontario sans nuire aux autres régions », observe Benoit P. Durocher. Le gouvernement fédéral a bien augmenté cet hiver la mise de fonds minimal pour l’achat des maisons valant plus de 500 000 $. Cette mesure qui visait particulièrement les marchés de Vancouver et de Toronto semble toutefois avoir un impact marginal. Freiner les acheteurs étrangers Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué au début du mois qu’Ottawa effectuait un examen « en profondeur » des divergences entre les marchés immobiliers du pays et qu’on essayerait notamment de tester l’hypothèse voulant que le principal facteur derrière la montée des prix à Vancouver et à Toronto soit les acheteurs étrangers. Or, « un consensus apparaît de plus en plus au sein des analystes du secteur prix concernant le rôle déterminant que jouent les investisseurs étrangers dans la vitalité du marché immobilier de Vancouver et Toronto », rapporte Desjardins. Une étude d’un chercheur de l’Université Simon Fraser, Josh Gordon, a notamment établi que les deux villes canadiennes comptent parmi les six villes étrangères où les riches Chinois investissent le plus dans l’immobilier, avec Los Angeles, San Francisco, New York et Seattle. Un moyen de freiner cette tendance, dit Benoit P. Durocher, serait que les provinces ou les villes introduisent une taxe annuelle qui augmenterait en fonction de la valeur des propriétés afin de limiter la vente de maisons de haut de gamme particulièrement prisées par les investisseurs étrangers. Le Canada pourrait aussi s’inspirer du Royaume-Uni qui impose une taxe sur les gains de capitaux réalisés au moment de la vente par un étranger d’une propriété britannique. D’autres pays, comme l’Australie et Hong-Kong, imposent aux étrangers une taxe spéciale lors de l’achat d’une propriété. Comme plusieurs investisseurs n’habitent jamais ces maisons ni même ne se donnent la peine de les louer, on pourrait aussi taxer les logements inoccupés. Plusieurs pays exercent un contrôle plus direct des achats immobiliers des étrangers. En Australie, ces derniers ne peuvent habituellement acheter que des maisons neuves. En Suisse, ils sont soumis à des quotas par région. Au Mexique, les investisseurs étrangers ne sont généralement pas admis trop près du centre de la capitale ni à moins de 50 km à l’intérieur des côtes. Vite, mais prudemment Le bon dosage, avec de telles mesures, est important, note l’économiste du Mouvement Desjardins. Il ne faudrait pas que le Canada entache sa réputation d’économie ouverte sur le monde ni ne provoque un ralentissement du marché immobilier trop prononcé. « Cela dit, le temps presse, car plus les prix des propriétés progressent à Vancouver et à Toronto, plus les risques de déséquilibre augmentent et plus la possibilité d’une éventuelle correction s’intensifie. »
  10. via la Voix Pop 15/01/2016 Mise à jour : 15 janvier 2016 | 13:06 Projet de 135 condos sur la rue Saint-Rémi Par André Desroches TC Media L'immeuble résidentiel de quatre étages serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l'on trouve présentement un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. André Desroches / TC Media Un projet résidentiel comptant 135 unités d’habitation, essentiellement des copropriétés et quelques logements sociaux, pourrait voir le jour sur la rue Saint-Rémi dans le quartier Saint-Henri. L’immeuble serait construit au 767, Saint-Rémi, là où l’on trouve un bâtiment industriel inoccupé, ainsi que sur le terrain contigu. Selon ce qu’a appris TC Media, il inclurait 14 logements sociaux et 14 logements abordables. Il s’agirait d’un bâtiment de quatre étages. Le règlement d’urbanisme de l’arrondissement du Sud-Ouest prévoit pour ce secteur des immeubles de 2 à 3 étages. Le projet, qui déroge à cette norme, pourrait faire l’objet d’un projet particulier de construction. La table de concertation Solidarité Saint-Henri a organisé deux rencontres en décembre et janvier pour présenter le projet aux résidents qui demeurent dans le Village des tanneries, là où le bâtiment serait érigé. Le Village des tanneries, cette petite enclave située à l’extrémité ouest de Saint-Henri, est délimité par les rues Cazelais, Saint-Rémi et Desnoyers et la voie ferrée. Opposition du POPIR Bien qu’il ne s’agisse pour le moment que d’une proposition préliminaire, le promoteur n’ayant déposé aucun projet formel à l’arrondissement, le POPIR-Comité Logement affiche d’emblée son opposition. «Notre mandat, c’est zéro condo», déclare Fred Burrill, organisateur communautaire au POPIR. C’est un non catégorique même si le projet prévoit l’inclusion de logements sociaux. «Nous ne sommes pas pour la construction de logements sociaux à n’importe quel prix», souligne M. Burrill. Selon le POPIR, ce type de développement résidentiel ne répond pas aux besoins des locataires de Saint-Henri, dont le revenu médian est de 25 395$. «Nous voulons le plus possible que le quartier demeure un quartier populaire», insiste Fred Burrill pour qui la multiplication de projets de condos ne fait qu’accélérer l’embourgeoisement du quartier. «Nous n’avons pas encore de position», indique pour sa part Shannon Franssen, coordonnatrice de Solidarité Saint-Henri. Le Comité aménagement de la table de concertation doit se réunir au début de février pour faire le point dans ce dossier.
  11. Le terrain du Square Philips est immense, près de 70,000 pieds carrés, est zoné +200m en plus d'avoir une densité de 12 ce qui lui permet un potentiel maximal. En plus, il est situé à un endroit idéal au centre-ville. Son gros problème est que le terrain est enclavé dans les arrières cours et possède un accès à la rue très limité. Je me suis amusé avec Google Sketch et Earth à développer un projet pour ce site. Sans plus tarder, je vous présente: LE PRISME Ce projet rempli l'espace enclavé par une portion stationnement qui devient la base de tout l'ensemble qui se retrouve dégagé en hauteur. Le plus gros prisme jamais conçu sur la planète sera érigé au sommet d'une tour et culminera à 205 mètres de hauteur. À cette hauteur très précise, une fois la nuit tombée, le faisceau de la place Ville-Marie frappera de plein fouet le prisme ce qui aura pour effet de créer un arc-en-ciel de lumière au dessus du Village! Puisqu'on aime ça à Montréal de bien s'intégrer avec les voisins, le nom de ce projet est une référence à un autre bijou montréalais connu sous le nom de LE CRYSTAL. En plus, son architecture audacieuse fait un petit clin d'oeil à ses grandes voisines, les tours McGill et KPMG comme on peut le voir ci-dessous. L'espace qui reste au pied de la tour et au dessus du stationnement est très grand: plus de 35,000 pieds carrés (dans la configuration avec un hôtel tel qu'illustré) pour pouvoir y installer un magnifique espace de loisir comme un tennis ou une piscine, à faire mourir d’envie les résidents des Lofts St-Alexandre avec leur pataugeuse. On pourrait aussi développer un hôtel dans la partie sud qui pourrait apporter restaurants, bar, cafés, tous avec terrasses sur cette grande place. Voici quelques vues avec l'impact sur le skyline montréalais: Du pont Champlain Du pont Jacques-Cartier Du Mont-Royal
  12. le jeudi 22 novembre 2007 L'Université du Québec à Montréal (UQAM), dans le cadre de son plan de redressement financier, serait sur le point de vendre la Bibliothèque Saint-Sulpice, selon Le Devoir. Un groupe d'acheteurs aurait déposé une offre d'achat d'environ 4 millions de dollars, le 13 novembre dernier, pour mettre la main sur le bâtiment historique du Quartier latin. L'UQAM avait acquis le bâtiment il y a deux ans. Le groupe d'investisseur souhaite y implanter une librairie dont la bannière demeure toutefois inconnue. La transaction est toutefois conditionnelle à l'accord du bureau des gouverneurs de l'Université du Québec et à l'approbation du ministère de la Culture du Québec. Ce dernier pourrait se prévaloir de son droit de premier acheteur en raison de la valeur patrimoniale de l'édifice. Le bureau des gouverneurs de l'UQ se réunit le 12 décembre prochain pendant que le ministère de la Culture a jusqu'à la fin de l'année pour se prononcer. Le groupe d'acheteurs représenterait des intérêts québécois autres qu'Archambault et Renaud-Bray. Construit en 1914, l'édifice a été classé monument historique en 1988. Le plan de redressement de l'UQAM prévoit l'économie de 155 millions de dollars, notamment par la vente de plusieurs immeubles de son parc immobilier. L'UQAM s'est déjà départi de l'édifice La Patrie, l'ancien pavillon des Sciences et le 221-223 Sainte-Catherine est. Elle pourrait encore liquider le Domaine seigneurial de Mascouche et l'auberge La Huardière de Saint-Michel-des-Saints. L'aventure immobilière de l'UQAM a provoqué un gouffre financier de 300 millions de dollars.
  13. http://auto.lapresse.ca/technologies/201507/29/01-4888911-la-route-de-demain-prefabriquee-en-plastique-recycle.php Publié le 29 juillet 2015 à 09h46 | Mis à jour à 09h46 La route de demain: préfabriquée en plastique recyclé? Denis Arcand La Presse La route de demain sera faite de plastique recyclé et l'âge d'or de l'asphalte achève, prédit la société néerlandaise VolkerWessels, qui vient de rendre publique sa technologie PlasticRoad. VolkerWessels affirme que ses routes de plastique recyclé se construiraient et s'entretiendraient bien plus rapidement que les routes d'aujourd'hui. Les travaux routiers seraient plus courts: ils se mesureraient en semaines, pas en mois. Et ils seraient moins fréquents. La clef? La préfabrication en usine de segments modulaires et leur installation sur un simple lit de sable. Les routes de plastique dureront trois fois plus longtemps que nos voies asphaltées d'aujourd'hui, et ce, avec un entretien minime, affirme la compagnie. Comme une piste Scalextrix «L'idée est de mouler les segments pour qu'ils s'imbriquent les uns dans les autres. La largeur idéale est d'environ 3,5 m, soit la largeur d'une voie routière», a indiqué à La Presse Simon Jorritsma, conseiller développements nouveaux et techniques spéciales chez InfraLinq, la filiale asphalte de VolkerWessels. «On pourrait aussi faire des pistes cyclables», ajoute-t-il. Autre avantage, le concept PlasticRoad prévoit un espace creux toujours accessible où on pourrait faire passer le câble, les fils électriques alimentant les lampadaires et les feux de circulation, l'aqueduc, les tuyaux d'égout et d'eau de pluie et, un jour, l'infrastructure électronique permettant la conduite autonome des voitures de demain. L'asphalte est un excellent revêtement routier, mais les problèmes liés au pétrole et les besoins nouveaux auxquels font face les entrepreneurs exigent de nouvelles solutions, estime Simon Jorritsma. «Le plastique est une alternative durable très supérieure et ouvre la porte à toutes sortes d'autres innovations, comme la production d'électricité, le chauffage des routes, des surfaces de roulement moins bruyantes et la construction modulaire», écrit-il. Plastique recyclé à 100% «Notre intention est d'utiliser seulement du plastique recyclé», sans adjuvant d'hydrocarbures, a indiqué à La Presse M. Jorritsma, qui fait remarquer que 55% du plastique produit dans le monde est brûlé dans des incinérateurs. «C'est du gaspillage d'incinérer le plastique si on peut le réutiliser et lui donner un usage nouveau de haute qualité [...] pour faire des routes.» Dans une région comme le Québec, avec ses températures extrêmes, une route de plastique tiendrait-elle le coup? «La structure routière PlasticRoad n'est pas affectée par la température ni la corrosion; elle résiste facilement à des températures allant de -40 à 80 degrés Celsius», écrit M. Jorritsma. Épandage de sel Pour ce qui est du sel et du gel, VolkerWessels n'a pas encore de certitude: «Nous voulons développer un prototype avec les bons partenaires et faire des expériences et des tests», a-t-il indiqué à La Presse. Il ajoute que la société travaille sur un système de tuyaux permettant de stocker la chaleur solaire absorbée par la route, et de chauffer la route assez pour éviter le gel (et le sel) aux températures modérées. La PlasticRoad a un autre argument intéressant, compte tenu des scandales récents dans la construction au Québec: ce sera «beaucoup plus facile de vérifier la qualité de la route (rigidité, écoulement des eaux, etc.)». La question de l'adhérence, surtout au froid, est un élément majeur: «Premièrement, on va voir si on peut rendre antidérapant le plastique lui-même. Si ça ne marche pas, on pourrait intégrer du sable ou du gravier dans la surface de roulement», a indiqué M. Jorritsma. Et combien coûterait la Plastic Road? «À ce stade-ci, on ne peut pas encore parler du coût par kilomètre», a répondu M. Jorritsma. La ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a déjà signalé son intérêt à faire un projet-pilote sur ses rues urbaines. M. Jorritsma ajoute que plusieurs villes sont intéressées à participer à des projets-pilotes, dans plusieurs pays du monde.
  14. http://www.journalmetro.com/linfo/article/828938--un-grand-projet-rue-de-la-commune J'ai bien hâte de voir ce que ça va donner!
  15. «Montréal devrait se positionner comme un leader du tourisme vert au Canada, c’est gagnant économiquement et socialement», croit Vincent Léger, consultant en tourisme durable. Avec ses partenaires, il est déjà en contact avec trois arrondissements. Les terrains libres ne manquent pas. Sur le bord du bassin Peel, dans le sud-ouest, un terrain de 170 000 pieds carrés pourrait faire l’affaire. «Comme il est sur le bord de l’eau, il pourrait très bien se jumeler avec des activités de canot Rabaska et attirer des touristes étrangers», fait valoir M. Léger. Le secteur Bellechasse qui doit être revitalisé près du métro Rosemont, est aussi envisageable et aurait l’avantage d’être central. Plusieurs villes comme Berlin (Tentestation) ou Paris (dans le Bois de Boulogne) disposent déjà de campings accessibles en transport en commun. Depuis deux ans, New York a ouvert une douzaine de ses parcs, dont Central Park, au camping familial les fins de semaine d’été, afin notamment de reconnecter les citoyens avec la nature. Un concept qui rejoint celui de M. Léger. «Autour de ce camping, il y aurait plusieurs activités liées à la nature qui pourraient aussi intéresser les Montréalais ne pouvant s’évader de l’Île», affirme-t-il. Le camping, qui serait interdit aux véhicules à moteur, ferait la part belle à différents types d’habitations comme la tente prospecteur ou la yourte tout en incorporant une dimension design avec des cabines faites à base de conteneurs. Du côté de Tourisme Montréal, on se dit étonné par l’idée. «Par le passé, on a déjà eu quelques demandes de campings, mais surtout pour des roulottes et des mobiles homes, indique Pierre Bellerose, porte-parole de l’organisme. Toutefois, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de place pour ce type d’offres.» M. Bel*lerose précise que le coût des terrains sur l’île pourrait être un frein. http://www.journalmetro.com/linfo/article/775903--du-camping-a-montreal
  16. Je trouve que l'utilisation actuelle de l'ancien Forum est assez lamentable et aucunement digne de sa renommée. Je sais que le coin est délabré et que tous attendent le développement du quadrilatère d'à coté soit celui ou se trouve le Séville mais je crois qu'un projet différent et d'envergure pourrait donner une plus-value à ce coin de la ville et à Montréal en général. Je suis un peu tanné des ''Mall'' intérieur au Centre-ville donc j'imagine agréablement un ''Musée du sport Québécois'' ou ''Musée du sport du Québec'' en plein dans l'emplacement du Forum au lieu de ce pénible ''mall'' Sur la partie arrière (De Maisonneuve) on pourrait ériger une tour de condo et sur la partie centrale et avant (Ste-Catherine) il pourrait y avoir ce ''musée du sport''. Rien n'empeche de garder la partie cinéma et un Rest-Bar de type sport cadrerait bien avec la formule. Je crois que le Québec ne manque pas d'événement, de lieu, de personnalité sportive ou d'histoire pour créer un certains intéret. Je sais que le Canadien ont crée leur propre petit musée à l'intérieur du centre Bell et cela est bien dommage car j'aurais bien aimé insérer le tout dans un ensemble d'envergure comprenant tout sur le Sport au Québec. Imaginons tous les thèmes que l'on pourrait abordé genre : L'histoire du Forum en lui meme Le club de Hockey Canadien Les nombreux joueurs du club Les non-québécois s'étant illustré au Québec (S. Crosby, P.Lafontaine etc..) Les Maroons Les Nordiques Les grands commentateurs sportifs (Danny Gallivan, René Lecavalier) La ligue junior majeur du Québec avec des joeurs d'ici mais n'ayant jamais joué pour le CH (Marcel Dionne, Mario Lemieux, Martin Brodeur, Michael Bossy etc...) Les Expos Les Royaux Les joueurs de baseball québécois (Éric Gagné) Le stade Delorimier Jackie Robinson Les Olympiques de 1976 Le Stade Olympique Le parc Jarry Les tournois de Tennis annuel (Coupe Rogers) Les Alouettes Le Concorde Le Stade Percival-Molson Les ligues canadienne de Football et universtaire du Québec Les athlètes québécois ayant remporté des médailles tant aux olympiques d'été que d'hiver (Étienne Desmarteau, Gaétan Boucher, Marc Gagnon etc...) La Formule 1 et le circuit Gilles-Villeneuve Gilles Villeneuve lui-meme La Motoneige et la participation de Joseph-Armand Bombardier Les Grands boxeurs québécois ou ayant combattu à Montréal ( Fernand Marcotte, les Hiltons, Yvon Durelle, Arturo Gatti, etc...) Les Grands combats à Montréal (Duran-Léonard) Le monde de la lutte avec Yvon Robert, Jean Ferré, Édouard Carpentier, Les Rougeau etc.... Les hommes forts comme Louis Cyr, Jos Montferrand, Le Grand Antonio Les différents sports d'hiver pratiqué au Québec (La peche, la peche sur la glace, la chasse, le ski etc...) Le Soccer L'impact Le Manic L'histoire des courses de chevaux Blue Bonnets Les clubs de golf du Grand Montréal Les grands parcs de Montréal et du Québec Le Marathon de Montréal Le tour de l'ile en vélo Les jeux du Québec Les émissions de sports à la télé et à la radio Et j'en passe surement plusieurs..... Qu'en pensez vous ?
  17. Comme urbania à récemment fait un manifeste d'idées pour Montréal. J'ajoute ici mes propres idées. Certaines sont originales. Certaines sont des idées qui proviennent d'ailleurs, que j'ai repris et modifier. Certaines sont peut-être farfelue, mais on a bien le droit de rêver. Un musée dans la ville sousterraine. Comme le festival Art-Sousterrain, mais à l’année longue. On pourrait faire contribuer tous les musées montréalais qui ont plein d’oeuvres d’art qui dorment dans leur entrepôt car ils n’ont pas assez d’espace d’exposition. Faisons aussi participer les universités, les organismes gouvernementaux, les entreprises privées, et les citoyens qui veulent prêter une partie de leur collection. Ce ne serait pas juste pour les œuvres d’art, mai aussi des artéfacts archeologiques, des antiquités, objets de colletction, des vieilles voitures, un vieux tramway, n’importe quoi d’intéressant à exposer. Reconstruire la pyramide inversée du pavillion du Canada sur l’ile Notre-Dame. La pyramide inversée, le Katimavik, était un des éléments les plus marquants d’Expo 67. Pourquoi ne pas le reconstruire ? Une tour sur le Mont-Royal. Je ne voudrais pas d’une tour sur le Mont-Royal, cela le dénaturerait. Mais le Mont-Royal est déjà dénaturé par l’horrible antenne de Radio-Canada, plus haute et plus visible que la croix. Alors si on est obligé de l’avoir on pourrait au moins la transformer en quelque chose de moins laid, une tour ou une sculpture. Le musée du Louvre à Montréal. Le Louvre a des antennes à Lens en France et à Dubai. Pourquoi pas une à Montréal. On a peut-être pas les milliards que Dubai a payé pour l’avoir, mais justement ils ont été critiqués pour avoir ainsi ‘vendu’ les oeuvres et le prestige du musée. Ce serait l’occasion de montrer qu’ils ne font pas ça juste pour l’argent. Et puis on a une relation spéciale avec la France. Ils ont donné la statue de la liberté aux Etats-Unis, nous on a rien eu de semblable. Et puis le silo #5 serait l’endroit idéal pour mettre le musée. Une equipe de football de la NFL a Montréal. Oubliez le baseball, ça ne fonctionnera jamais à Montréal, il y a trop de match pour soutenir l’interêt pendant une saison. Montréal est une ville de hockey, mais 16 jours par année ça pourrait devenir une ville complètement football. Dans un stade olympique avec un toit ouvrant, imaginer les tailgates sur l’esplanade du parc olympique, l’ambiance, la fébrilité serait incroyable. Un parc aquatique intérieur avec une plage intérieure. Nous sommes chanceux d’avoir ce vaste territoire qu’est le Québec, relativement à l’abri des catastrophes naturelles (séisme, ouragan, tsunami), qui n’a pas eu de guerre depuis très très longtemps. Malgré ça, les québecois rêvent tous ou presque d’une seule chose, aller dans le sud en hiver. Je trouve ça pathétique, mais on pourrait facilement offrir la sensation d’être en été pour une journée avec une plage intérieure et des glissades d’eau. Un parc sur le toit du palais des congres. Les toits des édifices sont en général sous-utilisés à mon avis. Celui du palais des congrès est immense. Voir ce projet de BIG pour savoir à quoi ça pourrait ressembler.
  18. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201502/12/01-4843501-souffler-la-neige-pour-economiser-a-montreal.php Publié le 12 février 2015 à 08h08 | Mis à jour à 08h08 La Ville de Montréal a l'intention de souffler davantage de neige sur les terrains, dans certains quartiers, au lieu de l'enlever. Pierre-André NormandinPIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse Les Montréalais devront bientôt apprendre à vivre avec de gros bancs de neige devant leur résidence. La métropole compte souffler davantage la neige sur les terrains plutôt que de la charger systématiquement, une opération beaucoup moins coûteuse. Alors que plusieurs attendaient hier la nouvelle politique de déneigement qui doit uniformiser les pratiques des 19 arrondissements, la Ville de Montréal a finalement indiqué qu'elle comptait plutôt la présenter en avril, soit après la fin de l'hiver. L'administration a toutefois présenté un bilan des actions entreprises dans la foulée du rapport du contrôleur général sur les ratés du déneigement en début d'année. Des changements importants sont à prévoir l'hiver prochain. Montréal souffle la neige dans un peu moins de 10% de ses rues, soit 400 des 4100 km. Cette situation devrait bientôt changer, parce que la métropole en est à «identifier les terrains sur lesquels il est possible de souffler de la neige». D'ici l'automne, la métropole compte ainsi indiquer les zones où le soufflage sera privilégié par rapport au chargement de la neige. «C'est sûr que si on va dans le centre-ville, ce n'est pas évident. Mais si on pense à Pierrefonds, à LaSalle, à Montréal-Nord ou à Pointe-aux-Trembles, il y a des endroits où on pourrait souffler», a dit le maire Denis Coderre. Miser sur le soufflage pourrait permettre de réduire considérablement les coûts du déneigement à Montréal. La métropole dit d'ailleurs s'inspirer de la Ville de Québec, dont la facture de déneigement est beaucoup moins élevée. La capitale souffle en effet la neige sur le terrain de ses citoyens dans une importante partie de son territoire, notamment dans les anciennes villes de banlieue fusionnées en 2001. Il en coûte ainsi environ 10 800$ pour déneiger un kilomètre de voie à Québec par hiver, contre 17 800$ à Montréal. À Laval, où l'on charge la neige dans seulement 52% des rues, la facture est de 8500$ par kilomètre. Des obstacles au soufflage Souffler davantage est plus facile à dire qu'à faire, prévient le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau. Son administration a déjà évalué ce scénario pour réduire les coûts de déneigement, mais la découverte de plusieurs obstacles majeurs a mené à l'abandon de l'idée. D'abord, le soufflage compliquerait l'entretien des trottoirs, qui seraient couverts de neige après le passage des souffleuses. «Il faudrait alors repasser la chenillette. Ça deviendrait kafkaïen», dit M. Croteau. Autre problème: l'utilisation massive de sel dans les rues de Montréal risque de mettre à mal les rares espaces verts de la métropole, selon l'élu. «Ça va brûler le gazon des résidences et des parcs. Ça pourrait même nuire à la croissance des arbres. Ça pose un problème environnemental.» Cette réflexion sur le soufflage survient alors que l'hiver s'annonce particulièrement coûteux pour Montréal, la Ville envisageant déjà d'avoir à piger dans ses réserves. Alors qu'on est à peine au milieu du mois de février, la métropole Montréal a déjà procédé à quatre chargements de neige. Or, le budget de 155,7 millions est prévu pour cinq opérations. Le maire assure que son administration ne laissera pas les arrondissements seuls avec la facture, eux qui sont responsable du déneigement. «Quand on parle d'avoir une politique unique de déneigement, il y a les budgets qui viennent avec. Cette politique, ce n'est pas de laisser les arrondissements à eux-mêmes.» Encore le Plateau Quand vient le temps de justifier la politique neige que Denis Coderre compte imposer aux 19 arrondissements, le nom du Plateau-Mont-Royal n'est jamais bien loin. «Certains arrondissements peuvent faire à leur tête, mais ce n'est pas une question de juridiction, mais de qualité de service», a martelé le maire, hier. Il n'a d'ailleurs pas caché son mécontentement de voir que le Plateau ne menait pas d'opération de chargement de la neige après la tempête qui a balayé Montréal dimanche. «Regardez les bancs de neige. Il y a un problème», s'est-il désolé. L'administration du Plateau réplique qu'elle a chargé la neige la semaine dernière et que les 9 cm tombés dimanche ne justifient pas le déclenchement d'une nouvelle opération. «Nous avons décidé d'attendre les prochaines précipitations prévues ces jours-ci, avant de prendre une décision sur un nouveau chargement», a indiqué Catherine Piazzon, porte-parole de l'arrondissement.
  19. Bonjour! On parle souvent du secteur coin Saint-Laurent et Sainte-Catherine à cause de ses nombreux bâtiments en mauvais état et de tous ses terrains vagues. Je me disais que ce serait bien de faire quelque chose pour unifier ce secteur et l'embellir. En même temps, je trouve que le petit parc Hydro-Québec à l'ouest de la maison du développement durable, bien que très beau et très agréable, termine trop brutalement sur un stationnement. Voici donc ma proposition pour réunifier le secteur. Un fil conducteur qui commencerait sur la place de la paix, traverserait un éventuel nouveau bâtiment pour rejoindre le parc Hydro-Québec. Puis, il passerait à travers la future esplanade de la patinoire, pour ensuite traverser le stationnement et aboutir dans un bâtiment au-dessus de la station Saint-Laurent. Il pourrait ressortir de l'autre côté pour marquer une seconde entrée du métro. Cela pourrait prendre plusieurs formes, que ce soit du béton peint, comme à Copenhague (voir plus bas), de la végétation, des murales au sol, des jeux de matériaux... Situation actuelle: Proposition Exemple de Copenhague:
  20. À quand une belle grande patinoire sur le canal de Lachine? 17 février 2014 16h27 | Marco Fortier | Le blogue urbain http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/400206/a-quand-une-belle-grande-patinoire-sur-le-canal-de-lachine Une belle patinoire sur le canal de Lachine pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal. Chaque hiver, sur les eaux glacées du canal de Lachine, dans le sud-ouest de Montréal, une toute petite patinoire prend vie. Entretenue par des enfants, et peut-être leurs parents. Une toute petite patinoire juste assez grande pour faire une partie de hockey. Nos amis de l'Association du design urbain du Québec ont posé récemment une très bonne question : pourquoi ce fabuleux canal long de 14,5 kilomètres n'héberge-t-il pas une patinoire digne de ce nom? Une vraie belle patinoire pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal, un peu comme la patinoire du canal Rideau fait la réputation d'Ottawa comme ville d'hiver. Le canal de Lachine est bien beau en été, mais en hiver, c'est le désert. Il ne s'y passe pas grand-chose. Le canal longe pourtant Griffintown et Pointe-Saint-Charles, deux des quartiers les plus dynamiques de Montréal, qui connaissent une sorte de renaissance après des années difficiles. «Il y a tout un potentiel aux abords du canal de Lachine. On pourrait y aller étape par étape, en aménageant une patinoire entre le bassin Peel et le marché Atwater, par exemple», dit Jérôme Glad, de l'Association du design urbain du Québec. Pour lui, le canal représente une belle occasion de «mettre Montréal sur la mappe» en hiver. Aux Pays-Bas, les multiples canaux sont pris d'assaut par les patineurs durant la saison froide. Même chose ailleurs au Canada : la rivière Assiniboine, à Winnipeg, se transforme en piste cyclable — et de ski de fond — durant l'hiver. Benoit Dorais, maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, est bien d'accord avec l'idée d'aménager une patinoire sur le canal de Lachine. Il rappelle qu'en 2009, une pétition signée par plusieurs centaines de résidants du quartier avait réclamé une patinoire sur le canal. L'arrondissement ne roule pas sur l'or, mais le maire serait favorable à répartir sur 12 mois, plutôt qu'uniquement en été, le budget des activités prévues au canal. «Ça peut être une patinoire sur le canal, ou encore des pistes de ski de fond, de raquette ou de vélo le long du canal», dit-il. Le problème avec le canal, c'est que l'eau est instable, explique-t-il. De l'eau chaude est rejetée par des industries dans certains secteurs à l'ouest de l'échangeur Turcot. Chaque année, au moins une personne est secourue dans le canal parce que la glace a cédé sous son poids. Une des plus belles sections, entre le Vieux-Port et le marché Atwater, est propice au patinage. Avouez qu'une belle grande patinoire aiderait sans doute à profiter de l'hiver. En attendant les jours pas si lointains où on pourra enfin ressortir les kayaks... Une belle patinoire sur le canal de Lachine pourrait devenir un lieu emblématique de Montréal. L'hiver, il ne se passe pas grand chose actuellement sur le canal de Lachine. Aux Pays-Bas, les multiples canaux sont pris d'assaut par les patineurs durant la saison froide.
  21. Les riches sont moins nombreux qu’on ne le pense Nos impressions sur le 1 % le plus riche ne s’appuient pas sur la réalité de l’économie québécoise. Les Québécois peuvent s’indigner des salaires excessifs gagnés à Wall Street, mais les financiers de New York ne paient pas d’impôt à Revenu Québec. On entend beaucoup parler de la concentration accrue de la richesse, particulièrement dans le 1 % supérieur de la distribution des revenus. Il est alors naturel d’imaginer que l’État pourrait facilement financer des programmes sociaux en augmentant les impôts des mieux nantis. « Faire payer les riches » est devenu un slogan répandu parmi ceux qui s’opposent au coup de frein donné dans les dépenses publiques. Malheureusement, nos impressions sur le 1 % le plus riche ne s’appuient pas sur la réalité de l’économie québécoise, et trop souvent sur des données et des anecdotes venant de l’extérieur. Les Québécois peuvent bien s’indigner des salaires excessifs gagnés à Wall Street, mais les financiers de New York ne paient pas d’impôt à Revenu Québec. La proposition selon laquelle le fisc québécois pourrait tirer des revenus plus importants des hauts salariés se heurte à au moins deux problèmes. D’abord, la concentration des revenus a été moins forte au Québec ces 30 dernières années que dans le reste du Canada, et beaucoup moins forte qu’aux États-Unis. En fait, elle s’est largement limitée aux économies anglophones ; la part du 1 % supérieur est restée stable dans les autres économies industrialisées. On constate la même tendance au Canada : Une des hypothèses avancées pour expliquer cet écart — la question demeure ouverte — porte sur le pouvoir de négociation : une menace de la part d’un anglophone hautement qualifié de quitter son pays pour prendre un emploi mieux rémunéré à New York ou à Londres serait plus crédible que celle venant d’un Japonais, d’un Suédois ou… d’un francophone. Ce pouvoir de négociation se traduit par des salaires plus élevés — mais seulement pour ceux qui sont assez bien placés pour chercher des offres à l’étranger. Par ailleurs, la proportion de hauts salariés est moins importante au Québec que dans les autres provinces. Et les « riches » québécois sont moins nombreux que leurs homologues ailleurs au pays : Le taux de hauts revenus au Québec est semblable à celui des provinces atlantiques et inférieur à celui de toutes les autres régions du Canada. Même si sa population équivaut à moins de la moitié de celle du Québec, l’Alberta compte plus de hauts salariés que le Québec. À ces deux points, il faut en ajouter un troisième: une augmentation du taux d’imposition risque de réduire les revenus pour le fisc. Comme je l’ai déjà expliqué au magazine Maclean’s, le taux d’imposition qui maximise les revenus au Canada est autour de 50 %, et c’est ce qu’applique déjà le Québec. Les Québécois peuvent se féliciter d’avoir bien résisté à la tendance vers la concentration des revenus, mais il faut aussi accepter l’autre côté de cette médaille. Il est illusoire de croire que le gouvernement du Québec pourrait générer des revenus substantiels en imposant davantage les mieux nantis: les riches sont moins nombreux qu’on ne le pense, et ils gagnent moins qu’on ne le pense. Si l’État veut plus de revenus, il lui faut ratisser plus large. Stephen Gordon est professeur titulaire au département d’économique de l’Université Laval à Québec. http://www.lactualite.com/actualites/politique/les-riches-sont-moins-nombreux-quon-ne-le-pense/
  22. Publié le 20 novembre 2014 à 23h35 | Mis à jour le 20 novembre 2014 à 23h35 La «ville-globe du futur» est dans l'océan Le projet coûterait 3000 milliards de yens (28,7... (Photo SHIMIZU CORPORATION, AFP) TOKYO Et si au lieu de songer à coloniser l'espace interstellaire, l'humain s'intéressait davantage à occuper l'aire la plus importante de la planète bleue: la mer ? C'est à un tel projet de «ville-globe flottante» que réfléchit très sérieusement une entreprise de construction japonaise. Quelque 4000 résidents et 1000 visiteurs pourraient vivre et travailler dans une sorte d'Atlantide moderne, une sphère de 500 mètres de diamètre qui abriterait des hôtels, des complexes résidentiels, des bureaux, des sites de recherche et des centres commerciaux. Cet immense globe de béton et matériau transparent flotterait, mais les neuf dixièmes de la structure seraient constamment plongés dans la mer. La sphère pourrait être totalement immergée par mauvais temps, en descendant le long de l'axe central, une gigantesque structure hélicoïdale de 600 mètres de diamètre qui s'enfoncerait jusqu'à 4000 mètres de profondeur. Cette construction en spirale constituerait un chemin de 15 kilomètres menant à un bâtiment au fond de l'océan, qui pourrait servir d'usine d'exploitation de métaux rares et autres ressources. Selon les ingénieurs visionnaires de la firme Shimizu à l'origine de cette création imaginaire, il serait même possible d'utiliser des micro-organismes appelés «méthanogènes» pour convertir en méthane le dioxyde de carbone (CO2) capturé à la surface. De l'énergie serait en outre produite par différentiel thermique entre le fond et la surface de l'océan. Le projet coûterait 3000 milliards de yens (28,7 milliards $CAN) et toute la technologie requise pourrait être prête d'ici à 2030. Ce concept de science-fiction a été pensé avec plusieurs organisations, dont l'Université de Tokyo et l'Agence japonaise pour les Sciences et Technologies maritimes (JAMSTEC). «Nous avons passé deux ans à concevoir le projet avec des technologies que nous imaginons plausibles dans l'avenir», a expliqué un porte-parole de Shimizu. Il s'agit de la troisième folie architecturale présentée par ce géant du BTP après une «mégapole verte flottante» et un anneau à énergie solaire autour de la Lune pour alimenter la Terre. En 2012, une autre grande entreprise de construction japonaise, Obayashi, a imaginé un ascenseur qui emmènerait les touristes à 96 000 kilomètres d'altitude, jusqu'au quart du chemin de la Terre à la Lune. Seraient employés pour ce faire des nanotubes de carbone, un matériau 20 fois plus résistant que l'acier. http://www.lapresse.ca/actualites/sciences/201411/20/01-4821075-la-ville-globe-du-futur-est-dans-locean.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-actualites_article_ECRAN1POS5
  23. À ceux pour qui ça pourrait intéresser, il va y avoir un documentaire sur les Super Skyscrapers ce soir à PBS à 22heures. (poste 650 sur Illico) Ca devrait être intéressant! http://video.pbs.org/video/2365169579/
  24. A L'approche du 375e anniversaire de Montréal et du 50e anniversaire de l'expo67, auquel on pourrait ajouter le 150e anniversaire du Canada, histoire de plaire a tout le monde et de se procurer tout le financement possible, pourquoi ne pourrions nous pas: construire sur l'une des iles, puisque cela ne peut se construire sur l'ile de Montréal meme, ce que l'on voudrait la plus belle tour au monde (cela pourrait donner lieu a un concours international d'architecture) et peut-être meme, pourquoi pas, la plus haute tour de la planete, ce qui pourrait peut etre en faire un symbole architectural emblematique de MONTREAL. Deuxièmement puisque l'on ne sait pas encore quoi faire du silo #5 serait-il possible d'en faire un carrefour, offrant des salles d'expositions pour les evenements speciaux, mais aussi, une place destinee a nos grands musees montrealais,ou ils pourraient se côtoyer, mais aussi ou ils pourraient exposer le trop plein de leurs collections, en plus de representer une invitation a visiter leur adresse en ville, ca pourrait etre une tres grande attraction pour les touristes et peut-être une invitation de prolonger leur sejour. Quelqu'un pourrait-t-il me dire si quoi que ce soit a été fait sur la suggestion d'Alain Simard de créer sur le site de l'expo et avec la participation des pays et (compagnies) ayant participe a EXPO67 d'un grand symposium de sculptures monumentales et architecturales, si rien n'a été fait, pourquoi M, Simard ne prendrait-t-il pas le baton du pelerin.
  25. je ne crois pas que cet article à été publier encore... quand même intéressant. La souveraineté ne serait pas « mauvaise » pour le Québec Le 29 juin 2012 à 14h11 | ARGENTMise à jour le 21 février 2013 à 15h53 Olivier Bourque Argent Un chercheur de l'Institut Fraser croit que la souveraineté ne serait pas mauvaise économiquement pour le Québec. Il compare la province à la Slovaquie qui a vécu un véritable essor après l'éclatement de la Tchécoslovaquie en 1989. « Ça pourrait avoir un effet positif sur le Québec. En tout cas, ça ne serait sûrement pas la crise que certains anticipent. Je crois même que les liens avec les autres Canadiens seraient plus chaleureux », a souligné le chercheur Filip Palda, appelé à commenter un sondage soulignant que la moitié des Canadiens sont peu inquiets quant à une possible séparation. Cette position semble surprenante pour l'Institut Fraser. Leur dernière étude, qui date d'environ 20 ans, indique que les coûts de la séparation « seraient très élevés pour le Québec » et qu'un tort serait porté « aux deux économies ». « L'étude de l'institut a été publiée à une autre époque lorsque la situation était différente », a souligné M. Palda qui a confirmé que cette nouvelle position était la sienne. Il a ainsi fait une comparaison avec la Slovaquie qui est devenue un pays en 1989 après la Révolution de velours. « Avant que ça devienne un pays, nous étions pessimistes. Il était isolé, sans aucune nouvelle technologie, et recevait une péréquation. Mais les Slovaques ont généré un taux de croissance impressionnant à un rythme spectaculaire », a souligné le chercheur. « Je ne crois pas que le Québec souffrirait s'il perdait sa péréquation (NDLR: une balance de 4,4 milliards $). Pour le Québec, c'est un mauvais encouragement pour les politiciens », a-t-il poursuivi. M. Palda croit que l'avenir sera aux petites nations qui pourront tirer profit du nouveau contexte économique. « L'appartenance à un grand pays est en train de disparaître. Car la technologie permet d'avoir accès à de grands marchés. […] Avant, le commerce s'effectuait Est-Ouest au Canada, mais maintenant c'est Nord-Sud », a-t-il poursuivi. L'IREC… en accord Fait inusité, cette position rejoint celle de l'Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), jugée à gauche sur l'échiquier économique. Le chercheur Robert Laplante croit que la comparaison avec la Slovaquie n'est toutefois pas tout à fait correcte. « Le Québec a davantage de ressources et de moyens. Mais il est vrai que la Slovaquie a profité de sa séparation pour s'ouvrir économiquement », a-t-il souligné. M. Laplante croit surtout que la fédération canadienne actuelle est très loin d'aider l'économie québécoise. « On le voit très bien, a-t-il soutenu. Les sables bitumineux font hausser le dollar canadien et cela fait mal à nos exportations. Donc pour le Québec et même l'Ontario, ce n'est pas du tout viable économiquement de rester dans le Canada. » Mais comment le Québec pourrait-il aller combler le montant de péréquation qu'il reçoit chaque année? Le chercheur croit que la province pourrait couper dans le gras. « Bien sûr, c'est préoccupant. Mais il faut savoir qu'on pourrait très bien équilibrer nos finances publiques en éliminant les doublons. Il y en a beaucoup actuellement. Et les dépenses ne seraient pas les mêmes dans un Québec souverain. Pas sûr qu'on se payerait des F-35 à 30 milliards $ », a-t-il constaté. Imprimer http://argent.canoe.ca/nouvelles/affaires/souverainete-mauvaise-quebec-29062012
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